[Review] Ar Tonelico : Melody of Elemia, de Gust
Par Shadow, le 28/09/2009 à 20h30 (2085 vues)
Catégories : Preview & Review, RPG
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On va changer un peu des couleurs grisâtres et des Einherjars de la série de tri-Ace, pour se plonger dans un univers définitivement coloré et post-industriel (contradiction ?). Ar Tonelico : Melody of Elemia est un titre un peu à part au sein des productions Gust : très orienté fan service, beaucoup vous diront qu'ils trouvent son gameplay moins fun que celui d'un Atelier Iris... Que possède donc ce soft, qui le rende si particulier ?

Introduction : Gust est connu pour être à l'origine des Ateliers, une série de RPG 2D qui a débuté en 1997 (sur Saturn). La plupart ne sont pas sortis du Japon ; avec la PS2, la localisation des Atelier Iris (au nombre de trois) par NIS America et Koei a permis à la série d'obtenir une certaine notoriété. Ar Tonelico : Melody of Elemia se positionne à part dans la série. Une sorte de spin-off, puisqu'il ne possède pas de numérotation en tant que “Project A”, même s'il reprend certains aspects de gameplay ou de narration. L'histoire laisse en l'occurrence une place importante aux Songs. Il en résulte un univers complètement atypique et pour le moins charmant.


La jaquette présente trois des protagonistes majeurs : au centre on trouve Lyner. Héros du jeu et surtout chevalier d'Elemia, il vit dans la très haute cité Platina, une sorte de havre céleste. À sa gauche, Misha ; elle fait partie des Reyvateils, des êtres vivants crées grâce à la technologie du Son. Il s'agit aujourd'hui des seules créatures capables de donner du pouvoir aux Songs, dont les hommes ont abusé par le passé. L'implantation, dans le corps d'une Reyvateil, de “cristaux Grathnodes” est nécessaire pour amplifier le pouvoir des dites chansons. Mais cela n'est pas sans danger pour l'humanoïde, car cela réduit son espérance de vie (plus ou moins importante selon la classe de Reyvateils). Les Reyvateils Origins sont les toutes premières connues, et représentent les administrateurs de la tour d'Ar Tonelico. Il n'en existe que trois, et tant que la tour existe, elles peuvent vivre éternellement. Dans le cas de Misha, on a affaire à une Reyvateil de type Bêta, issue du clonage d'une Reyvateil Origin. Son espérance de vie s'en trouve diminuée, mais elle demeure impressionnante (une Reyvateil Bêta peut vivre jusqu'à 150 ans). Et enfin à la droite de Lyner se trouve Aurica, une Reyvateil de troisième génération. Elle et ses semblables sont issues de l'union entre un humain et une Reyvateil. Leur espérance de vie s'en trouve nettement diminuée, ainsi que leur talent naturel à donner du pouvoir à leurs Songs. Pour des informations complémentaires sur l'univers d'Ar Tonelico, un artbook assez complet fut édité à la sortie US du jeu.



L'intrigue débute dans une Platina en pleine crise. Des Virus ont envahi les lieux et Lyner est appelé à défendre la cité, en tant que chevalier d'Elemia. Il sera pour cela aidé de sa supérieure Shurelia (une Reyvateil), ainsi que d'un compagnon d'arme du nom d'Ayatane. Le premier combat avec un Virus sert de tutorial pour poser quelques bases du gameplay. Ayatane et Lyner se placent en première ligne, tandis que Shurelia est en retrait. Pendant que les deux premiers attaquent, la dame prépare une chanson. Durant ce premier aperçu du système, vous n'aurez à vous soucier que de commander Lyner : Shurelia relâchera ses pouvoirs au bout d'un certain moment. Malgré la puissance des Songs, vous n'êtes pas de taille face au Virus ; il vous faudra donc fuir, lesdits ennemis se multipliant à chaque minute qui passe. Ayatane permettra à Shurelia et Lyner de prendre de l'avance, en barrant temporairement la route aux Virus. Dans la précipitation, Shurelia confiera à Lyner la mission d'aller rejoindre le Lower World (Monde d'en Bas), afin d'y trouver un Crystal suffisamment puissant pour arrêter les Virus. Le chevalier s'embarque ainsi dans un vaisseau dôté de la plus haute technologie. Mais tout ne se déroule pas comme prévu, et l'atterrissage ne se fait pas sans mal pour le chevalier d'Elemia. Le vaisseau s'écrase dans une forêt du Lower World, et son pilote perd conscience. Une jeune fille l'aperçoit et lui vient en aide. L'aventure de Lyner a commencé.

L'histoire s'avère très classique dans son déroulement et dans les thématiques abordées. Lyner évolue dans un monde qui a déjà souffert de la guerre ; l'histoire est aujourd'hui racontée au peuple par l'église d'Elemia. Cette dernière existe dans le but de permettre la renaissance des grandes déesses du passé. Un passé dont on connait finalement bien peu de choses, notamment concernant les causes de la guerre qui eut lieu entre les humains et les Reyvateils. Tout semble être rentré dans l'ordre depuis, et avec les importantes avancées technologiques, le Virus apparaît comme le nouvel ennemi de l'humanité. La quête de Lyner lui permettra de découvrir la vérité sur le monde dans lequel il vit ; la distinction entre le "bien" et le "mal" ne lui apparaîtra, à terme, plus aussi évidente qu'il l'avait toujours pensé. La constitution d'un univers aussi riche n'est d'ailleurs pas le seul point sur lequel l'attention des développeurs s'est portée, puisque les Reyvateils donnent au soft tout son intérêt (voir la partie gameplay plus loin).

Les deux Reyvateils rencontrées, Misha et Aurica, permettent bien une petite variante dans le déroulement de l'intrigue, mais c'est hélas bien superflu au final... Les différentes fins, selon que vous choisissez de suivre l'une ou l'autre des Reyvateils se ressemblent beaucoup trop. Le plus gênant demeure le nombre faramineux d'allers-retours entre les différents lieux du jeu qui vous attendent, ceci se résumant parfois à l'activation d'un simple dialogue... Mis à part la petite touche propre à l'univers du jeu, les Songs, le scénario n'est pas le point fort du jeu pour qui connait le RPG. Il n'en demeure pas moins agréable car l'univers se révèle travaillé, et que bon nombre de rebondissements maintiennent un intérêt constant. De plus, les phases de dialogues sont illustrées par de jolis portraits des personnages.



Vous pouvez engager un maximum de quatre personnages par joute, dont une Reyvateil. À l'instar de Valkyrie Profile, la “Valkyrie” (ici, la Reyvateil) joue un rôle prédominant, et peut, comme nous l'avons vu, "charger" son pouvoir en chantant. Les mots chantés se transforment et deviennent une magie d'attaque, de soin, de défense... Il vous suffit pour cela d'utiliser un bouton dédié aux commandes de la Reyvateil, afin d'en prendre le contrôle et sélectionner une action. Chanter épuise progressivement l'humanoïde, ce qui se traduit par une diminution du nombre de MP de la personne concernée. Il faut donc savoir lui dire de s'arrêter lorsque cela vous semble nécessaire : lorsqu'elle ne chante pas, ses MP retrouvent petit à petit leur maximum. Le secret de la réussite consiste en l'emploi efficace des Songs ; or pendant qu'elle chante, une Reyvateil est sans défense... D'où les trois autres combattants.

Leur rôle est de protéger la chanteuse ; ils se positionnent donc devant elle (en triangle), et reçoivent les coups à sa place. Vous pouvez les faire attaquer, mais leur puissance est ridicule comparée à celle d'une Song. Certains ennemis sont plus menaçants que d'autres, puisqu'ils tentent une attaque directe sur les Reyvateils. Lorsqu'une telle attaque se prépare, la cible se retrouve entourée d'un certain nombre de cercles. Vous devez utiliser le nombre correspondant de combattants pour empêcher l'ennemi de faire mouche. À l'issu de cela, vous aurez parfois l'occasion d'exécuter un Counter. Il suffit pour cela de presser un certain nombre de touches (associées aux combattants qui ont défendu). Lors d'un Counter à trois personnages, la dernière attaque est légèrement plus puissante et bénéficie d'une petite animation. À ce sujet, les animations se révèlent hautes en couleur et assez nombreuses.

Lorsqu'une Reyvateil charge une Song, une barre apparaît sur la droite, vous indiquant la puissance accumulée. Le “problème” est que, la barre se remplissant, si vous avez choisi un sort de défense par exemple, un esprit apparaît et vous octroie toutes sortes d'attributs à chaque fois que la barre atteint un certain seuil. Très souvent, cela ralentit l'action, et le jeu freeze à certains moments. Du coup les combats, bien pensés au départ, peuvent être assez brouillons. La difficulté est de plus très mal gérée, puisque les Songs s'avèrent tellement dévastatrices qu'il suffit de s'équiper correctement pour que même les boss ne soient pas une menace. La contradiction vient du fait que certains combats aléatoires sont complètement en décalage du reste, et s'avèrent extrêmement difficiles à remporter. Du coup, on préférera fuir ces derniers, d'autant que la commande de fuite est attribuée à la Reyvateil, et qu'elle ne rate jamais. Dès lors que l'on sait qu'une Reyvateil commence toujours un combat, il suffit que vous en possédiez une pour ne jamais craindre pour votre vie. N'attendez pas de game over dans ce jeu, il est difficile d'en subir un.



Toujours dans la partie gameplay, le jeu propose de fabriquer soi-même certains objets, à la manière d'un Atelier Iris. Le système se rapproche d'ailleurs de ce qu'il sera dans Atelier Iris 3. Vous avez à votre disposition toutes sortes d'ingrédients (cristaux, objets divers...), et avec la carte adéquate vous donnant les instructions, vous pouvez fabriquer un objet précis. Cette alchimie se révèlera indispensable à la progression à de nombreuses reprises. Le système est plutôt bien pensé, et peu contraignant au final : vous pouvez y accéder via n'importe quel point de sauvegarde.

Pour ce qui est des phases d'exploration, votre personnage peut sauter et, à l'aide de ses Reyvateils, détruire certains éléments du décor en envoyant des forces élémentaires (telle qu'une boule de feu). Il n'y a rien de particulier à signaler, si ce n'est quelques énigmes de temps à autre... Une barre en bas d'écran indique vos chances de rencontrer un adversaire, de même que dans Atelier Iris 2. La couleur varie du bleu (état de sécurité) au rouge (forte chance d'engager un combat). La barre est pleine lorsque vous arrivez dans une zone, et se vide un peu après chaque combat. Il est ainsi possible de finir par se déplacer librement, une barre vide signifiant l'absence pure et simple de rencontres aléatoires.

La gestion de l'équipement se fait de manière assez traditionnelle au départ. Passé un certain point, vous serez capable d'amplifier les forces que vous procurent vos précieux objets, en y insérant des cristaux. L'inconvénient du système, c'est qu'il rend la gestion assez lourde (jusqu'à quatre cristaux peuvent être fixés sur une arme, une armure, et un accessoire et ce, par personnage...), et qu'elle est responsable du manque de balance de la difficulté. L'initiative est louable, mais elle dessert le jeu au final.

Très tôt dans le jeu, le système de Dive est introduit. À l'aide de machines spécialisées, vous pouvez littéralement plonger à l'intérieur du subconscient d'une Reyvateil (consentante). Vous vous retrouvez alors dans son monde, sa Cosmosphere. Le système a pour but d'améliorer la relation entre l'humanoïde et son partenaire, pour la rendre au final quasi fusionnelle. Une Reyvateil doit donc se sentir préalablement en confiance, et elle laissera ainsi Lyner "plonger". Une fois à l'intérieur de la Cosmosphere, vous pouvez accéder à différents lieux en donnant quelques Dive Points (ces derniers peuvent être gagnés par chaque Reyvateil participant aux combats). Une petite intrigue se met en place dès lors que vous pénétrez dans un lieu important (repérable au nombre de DP demandés), intrigue dans laquelle la logique n'a pas sa place, ce qui donne lieu à des scènes particulièrement drôles à de nombreuses occasions... En effet, le joueur se trouve dans l'univers de la Reyvateil qu'il a choisi, et donc c'est cette dernière qui en assure l'existence et la pérennité. Attendez-vous donc à y voir les sentiments, même les plus primaires, que cette dernière éprouve...

Un étage représente un aspect de la personnalité de la Reyvateil en question, vous devez l'aider à "s'élever" psychologiquement, afin qu'elle se connaisse davantage et qu'elle s'accepte telle qu'elle est. Vos actions ont une répercussion dans le monde réel, puisqu'à l'issue d'une séance de Dive, une Reyvateil acquiert de nouvelles Songs. Si elle se trouvait vêtue différemment dans son monde, vous pourrez peut-être même bénéficier d'un nouveau costume à lui faire porter en combat. Ceci peut modifier les talents naturels de la chanteuse, en augmentant son capital de MP.

Le système de Dive se révèle un moyen intéressant de connaître vos principaux personnages. On regrettera qu'il soit très linéaire, ne laissant pas réellement le joueur agir. De plus, il rend les personnages autres que Lyner et une Reyvateil assez dénués d'intérêt, puisque ceux-ci ne sont que peu développés au cours du jeu.



Pour ce qui est des graphismes, on a là de la belle 2D comme Gust sait la faire. Les décors sont agréables à regarder quand il s'agit d'endroits naturels, avec l'emploi de couleurs chatoyantes (en forêt par exemple). En revanche, les lieux industriels se révèlent assez répétitifs... Ceci est dû au fait que la tour d'Ar Tonelico est une structure dont certains aspects se retrouvent à l'identique sur plusieurs étages.

Mais ce petit soucis dans l'exploration est atténué par le plaisir que procurent les diverses musiques. Ce qui marque le plus dans l'OST, ce sont les différents styles et l'intensité des pistes. Des moments-clés peuvent être ponctués non plus par des musiques, mais par des chansons, et le titre du jeu prend alors tout son sens. Les chansons véhiculent toutes sortes d'émotions, qui correspondent très bien au contexte dans lequel elles sont chantées. Enfin, NIS America nous fait une adaptation comme on a l'habitude : doublages japonais et états-uniens sont présents. Ces derniers sont assez réussis, et on apprécie tout particulièrement de les entendre pendant l'exploration des Cosmospheres, car elles dynamisent la narration. À l'écrit, quelques fautes de langues se sont glissées, mais globalement le travail est sérieux.

Le jeu est dans la bonne moyenne du genre côté durée de vie, avec pas loin de quarante heures minimum pour venir à bout de la quête principale. Les quelques “quêtes annexes” présentes ont un intérêt assez... discutable. Une fois l'exploration des Cosmospheres terminée, il ne reste rien à accomplir en dehors de la synthèse des différents objets, et quelques petites subtilités. Une deuxième partie pour connaître la destinée de la Reyvateil délaissée la première fois ne s'impose même pas. En compensation, le soft dévoile un nombre appréciable de bonus, débloqués post game.


Conclusion : Il est difficile de nier qu'Ar Tonelico est un jeu sympathique. Il souffre de défauts comme sa trop grande facilité, et de problèmes certains dans la narration (les aller-retours). Malgré tout, on apprécie l'univers, recherché et cohérent. La 2D est jolie, et les musiques/chansons sont variées et de qualité. La relation entre Lyner et ses Reyvateils rappelle ces simulations de vie où vous devez organiser des rendez-vous avec l'âme soeur pour la séduire... (Il y a même des visites nocturnes sous la tente... !) Une véritable relation de confiance s'instaure peu à peu entre Lyner et ses Reyvateils, et cette dernière sera mise à rude épreuve au cours de leur périple. Le système de Dive (couplé aux conversations) est un moyen unique de construire un lien solide entre deux personnes. Il permet au joueur d'être témoin et de ressentir toutes sortes d'émotions, tout en écoutant une belle histoire. Ar Tonelico n'est donc finalement pas n'importe quelle expérience, et est en cela digne d'intérêt.

+ Les Cosmospheres, riches et intéressantes
+ Les Bonus débloqués en post game
+ L'aspect sonore très réussi
+ Une expérience unique
+ Bonne durée de vie
+ L'univers travaillé
+ Une 2D détaillée

- Des aller-retours
- Difficulté très mal gérée
- Le système de fin alternative mal géré

Note Indicative : 13/20






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8 commentaires
Medion

le 29/09/2009
Edité le 00/00/0000
Pas de souci
J'étais p'tet juste pas bon sur AI3, je crois être l'un des seuls à pas le trouver super facile
Shadow

le 29/09/2009
Edité le 00/00/0000
Ah oui pardon, je les compare bien niveau difficulté ^^
Medion

le 29/09/2009
Edité le 00/00/0000
"Franchement je ne trouve pas ça abusé de les comparer, ils sont sortis à six mois d'intervalle aux USA, et ils sont pensés exactement pour le même public."
Je dis pas que c'est abusé de comparer les jeux, mais de comparer leur difficulté. Pour moi y a vraiment rien à voir mais bon.
Shadow

le 29/09/2009
Edité le 29/09/2009
Medion : je te parle de mon ressenti pour ces deux jeux ; je n'y peux rien si j'ai eu l'impression en y jouant de n'avoir rien accompli... (Je sais que toi tu l'as trouvé plus dur que Mana Khemia, mais ce n'est pas mon cas) Franchement je ne trouve pas ça abusé de les comparer, ils sont sortis à six mois d'intervalle aux USA, et ils sont pensés exactement pour le même public. Et puis dans Ar Tonelico, il y a aussi un boss optionnel qui gagne en difficulté avec les combats, non ? Il doit bien être du niveau de la plupart des monstres d'AI3.

Et rassure-toi, je mettrais probablement la même note à AI3 si je le testais ^^ La structure du jeu est vraiment mauvaise, à moins d'adhérer à l'ambiance vue et revue, le jeu est franchement assez moyen.
Medion

le 29/09/2009
Edité le 29/09/2009
Comparer AT et AI3 en terme de difficulté, c'est vraiment abusé Shadow ^^
AI3 comporte quelques combats chauds, et quelques Mana optionnelles vraiment pas faciles (shadow stalker).
Alors que AT, y a rien de dur de A à Z.

Moi j'aurais mis à peu près la même note.

Mikaya : pour moi MK et tous les Atelier modernes d'ailleurs sont meilleurs.
Mikaya

le 29/09/2009
Edité le 00/00/0000
Je l'ai mais jamais joué encore ^^ faudra que je me le fasse mais Mana Khemia me fait plus envie
Shadow

le 28/09/2009
Edité le 28/09/2009
Dans ma notation j'ai tenu compte du fait qu'il a très mal vieilli à mon sens. (sinon tu peux mettre +1)
Et puis à la base les jeux trop faciles comme ça ou Atelier Iris 3, je trouve ça d'un ennui... Alors quand en plus on se retrouve toujours à se trimballer entre deux endroits X et Y...
Ceci dit les Cosmospheres valent l'achat du jeu à elles seules ^^
Toki

le 28/09/2009
Edité le 00/00/0000
Je trouve ta notation assez severe^^
Bon jeu sinon, chara design sympa et persos attachants (Shurelia) ,des chansons magnifiques mais je lui prefere quand meme sa suite qui lui est superieure sur bon nombre de points.
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