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89 commentaires
Kingdom Hearts: Chain of Memories gba
Shadow

le 13/02/2010
8
Chain of Memories est à mes yeux le Kingdom Hearts le plus abouti sur presque tous les plans : son gameplay est très recherché, son univers est vraiment bien amené (et je n'ai pas pour habitude d'apprécier les épisodes au rôle de “transition” dans une série), sa difficulté rend les affrontements contre boss purement jouissifs. Les ombres au tableau : un certain manque de renouvellement dans les musiques ou les décors, et l'aspect un peu frustrant (voire effrayant selon les personnes) de se retrouver cloîtré dans un château... Si possible, il est conseillé aux habitués de la série d'essayer le remake PS2, ne serait-ce que pour la mise en valeur de son scénario (doublages) et du système de jeu (modélisation 3D). Mais aussi et surtout, pour avoir un choix dans la difficulté, car l'opus GBA est bien plus hardcore que le reste de la série... Pour plus de détails, cf mon blog.
Final Fantasy IV Advance gba
Shadow

le 08/08/2009
7
Après une version PS1 qui me laissa sous le charme et un remake DS qui remplit quasiment tous ses objectifs, j'appréhendais d'essayer cette version Advance, craignant des ajouts qui ne soient pas dans l'esprit du jeu original. Il va sans dire que la possibilité de jouer de "nouveaux" personnages ou visiter des donjons inédits a de quoi plaire sur le papier ; ceci dit dans le premier cas, l'ajout me semble fort dispensable (la plupart des protagonistes bonus sont des boulets, et puis je pense que si à la base les développeurs voulaient les laisser derrière, il y avait une raison... Là ils rejoignent le combat, et ça n'a pas beaucoup de sens à mes yeux). En ce qui concerne les niveaux bonus, ils ont le mérite de proposer un déroulement atypique, mais il demeure assez pénible d'y déambuler puisqu'ils nécessitent à un moment donné un personnage en particulier pour progresser (on ne peut pas tous les avoir dans l'équipe, d'où l'apparition... d'aller-retours !).

Par ailleurs le lifting graphique est loin d'être à la hauteur du GBA ; le jeu n'est pas désagréable à regarder, mais on ne s'arrêtera pas d'émerveillement devant un écran.

Le pire aspect de ce remake : la difficulté. Par rapport aux versions PS1/DS, elle est énormément rabaissée ; par exemple lorsque vous risquez une altération d'état, l'attaque adverse ratera (souvent), et vous vous en tirerez sans une égratignure (rendant accessoirement les objets curatifs obsolètes). Les dégâts que vous pouvez subir sont grandement diminués, et les comportements des boss sont tellement navrants, qu'aucune forme de stratégie n'est nécessaire la plupart du temps pour emporter les plus "durs" combats. Il ne se dégage aucune forme d'accomplissement, et c'est un point que je considérais comme faisant partie intégrante du soft.

Après, le jeu reste malgré tout "le même". C'est-à-dire que les musiques d'Uematsu sont sublimes, le gameplay est prenant, et les quêtes annexes rallongent raisonnablement le temps de jeu. Mais il n'y a rien à faire, j'ai eu l'impression de ne pas jouer au même jeu (que sur PS1/DS). À moins d'être allergique à la 3D de l'ère PS1/DS, préférez-lui (largement) le remake sur la portable aux deux écrans. Il possède une profondeur de jeu autrement plus intéressante, une traduction enrichie (plus le doublage de certaines scènes, renforçant leur caractère tragicomique de base) et surtout des graphismes remis au goût du jour.
Fire Emblem gba
Shadow

le 03/05/2009
9
Fire Emblem porte très mal son nom, puisqu'à l'instar des Final Fantasy, il s'agit du septième épisode de sa série (seulement) qui connait le premier les joies d'une localisation. Et je ne sais pas à quel point ça s'est avérait rentable pour Nintendo, mais de mon côté, j'ai découvert une saga de Tactical RPG emprunts d'heroïc fantasy de grande qualité, qui m'a à tout jamais marqué (et que je considère comme la référence en la matière).

Je pense qu'il est bon de préciser que je n'avais jamais, mais alors jamais, joué à un jeu du genre auparavant, et à vrai dire même ma connaissance du RPG en général était limitée à l'époque.
Et pourtant, tout est rassemblé pour nous immerger progressivement et complètement dans l'univers si particulier de la série : des tutorials très complets nous accompagnent pour la première dizaine de missions, tandis que toutes témoignent d'une scénarisation jamais prise à défaut (alternance de séquences de texte et d'action qui ne lasse pas, de par une dynamique rare).

On suit ainsi les aventures de Lyn, cette jeune fille qui apprend par hasard qu'elle est la dernière héritière d'un grand royaume. On notera que passées les premières missions, le jeu change de point de vue jusqu'au grand final, et qu'il sera possible dans une partie ultérieure de voir l'histoire encore d'un autre oeil (ce qui modifie quelques missions ainsi que plusieurs scènes). Avec un système de Soutien pour installer le dialogue entre deux unités, on est donc face à soft qui témoigne d'un grand travail de psychologie, et ce pour la moindre recrue faisant partie de nos troupes. Pour finir, sachez que vous incarnez un personnage "à part entière", puisque les principaux protagonistes vous demandent régulièrement conseil au cours de l'aventure ; fait assez rare et peu présent dans le RPG pour mériter d'être souligné.

Fire Emblem a pour principal défaut d'être linéaire (malgré la possibilité de jouer des missions annexes si vous vous débrouillez bien), mais sa difficulté progressive et son histoire envoûtante captiveront les grands amateurs de Moyen-Âge à la recherche d'un conte épique et inoubliable. À mes yeux le meilleur opus de la série que j'ai pu essayé.
Fire Emblem: The Sacred Stones gba
Shadow

le 03/05/2009
8
Deuxième opus à nous parvenir, et en vérité le dernier d'une "trilogie" sur GBA, aux épisodes assez homogènes en terme de qualité.

The Sacred Stones, c'est l'histoire d'Eirika et d'Ephraim, deux orphelins qui sont séparés alors que leur royaume se fait envahir. Étant jumeaux, leur relation est forte, et ils cherchent inéluctablement à se protéger l'un-l'autre. Eirika manie l'épée et est accompagnée de Seth, conseiller de son défunt père, tandis qu'Ephraim, fier lancier, est parti en recherche de gloire.
J'ai trouvé cette relation très belle (on assiste régulièrement à des flash back pour nous attacher aux personnages), de même que pour beaucoup des autres unités que l'on peut recruter, grâce au système de Soutien : un dialogue peut s'instaurer entre deux unités (si elles sont compatibles l'une avec l'autre), après qu'elles aient passé du temps ensemble. Si l'histoire en elle-même ne paye pas de mine, la psychologie est donc au rendez-vous, et la rejouabilité est encouragée par les modes de difficultés différents, la possibilité de suivre l'un ou l'autre de nos jeunes lords, et enfin les différents Soutiens à visionner (une relation "forte" ne pouvant s'obtenir qu'avec un personnage parmi cinq ou six durant une partie).

Tactical RPG par essence classique, cet opus de Fire Emblem s'ouvre au grand public en permettant des affrontements aléatoires en plus de la quête principale, ce qui diminue d'un cran la difficulté. Quelques extras sont disponibles une fois la partie finie, et on apprécie la liberté d'évolution offerte : chaque unité peut être promue de deux manières différentes à partir d'un certain niveau.

À faire pour les frustrés du premier jeu sorti chez nous, mais aussi pour les fans, qui trouveront quelques ajouts bien placés.
The Legend of Zelda: Collector's Edition gc
Shadow

le 02/03/2015
9_5
J'avais bien apprécié cette compil', qui fut l'occasion de refaire à fond (notamment) Ocarina of Time et Majora's Mask. Les jeux NES sont un peu durs, donc mieux vaut y jouer avec chargement/rechargement de sauvegarde rapide. Bon rien ne vaut les versions d'origine, mais les jeux réunis sont vraiment intéressants quand même.
Skies of Arcadia Legends gc
Shadow

le 01/01/2010
9
Arcadia est un monde rempli d'onirisme (à commencer par le fait que l'on navigue dans les cieux) et de merveilles en tout genre. L'appel à l'aventure n'a jamais été aussi fort dans un RPG, et le dépaysement est véritablement total. Les musiques sont un facteur d'immersion fort, elles remplissent entièrement leur rôle ; il est fort probable que vous en reteniez au moins quelques unes, à commencer par l'un des thèmes de combat, épiques à souhait. Les graphismes ne sont pas le point fort du jeu, mais les expressions sur les visages (couplées aux échantillons de voix) dynamisent les séquences narratives. La mise en scène est également très bonne, puisque les angles de vues changent régulièrement ; lorsqu'on navigue dans notre vaisseau, on admire la grandeur de ce dernier, et l'instant d'après on prend conscience qu'il est finalement très petit, vu de loin... Les batailles célestes avec d'autres entités (comme les navires ennemis) sont également très bien détaillées, les choix que l'on fait se retranscrivent à l'écran. La fine équipe qui prend part à l'aventure est constituée de membres très variés, chacun ayant sa propre personnalité. Une divergence d'intérêt peut ainsi mener un membre à quitter le reste du groupe. Ce qui fait la force du récit de Skies of Arcadia, c'est qu'il est finalement assez profond, puisque la plupart des personnages bénéficient du même traitement, et ainsi on se retrouve même à se prendre d'affection pour des méchants !

Le gameplay n'a en soi rien de bien original, on parcourt des donjons en résolvant quelques énigmes (caractéristique en disparition dans les J-RPG actuels) et on affronte des monstres pour gagner argent/objets/niveaux. Là où le jeu se distingue de ses congénères, c'est par la mise en exergue du travail d'équipe : une barre d'esprit se remplit à chaque tour en fonction du nombre de personnages présents, et elle se vide plus ou moins à l'utilisation d'une magie/technique ! Il faut donc gérer vos dépenses, afin de ne pas risquer de manquer d'esprit lorsque vous voudrez lancer un sort en particulier... Les combats sont assez faciles dans l'ensemble, il n'y a pas de stratégie particulière à appliquer en dehors de la dernière remarque... La plupart du temps il suffit de booster un personnage et de concentrer les assauts avec ce dernier. Le jeu inclue de très bonnes idées pour rendre le gameplay agréable (notamment, les héros charismatiques n'auront pas à subir de batailles aléatoires tous les trois pas...) et relativement divers, d'où tout le fun du jeu. On notera enfin la possibilité, passée la première moitié du jeu, d'avoir son propre équipage, et surtout une base d'où lancer les opérations. On pourra faire toutes sortes d'aménagements dans cette dernière, qui représente au final une part importante de "l'âme" du jeu.

Une expérience à vivre une fois dans sa vie.

+ Durée de vie très bonne (dépaysement garanti, et bonne longévité de l'aventure)
+ Des protagonistes hauts en couleur pour une intrigue menée avec maestria
+ Six personnages jouables, avec des styles très différents
+ Possibilité de construire et customiser son propre QG
+ Quêtes annexes très bien pensées et nombreuses
+ Un gameplay simple/classique, mais très fun
+ Le monde immense qui s'offre à nous

- Très facile passé un certain stade
- Pas de New Game + (certains lieux ne peuvent être revisités)
- La traduction française (quelques bugs parfois très gênants, et des fautes)
The Legend of Zelda: Ocarina of Time Master Quest gc
Shadow

le 11/12/2009
8
Dans l'idée d'un Super Mario Bros. The Lost Levels, Master Quest est une version revue d'Ocarina of Time. L'occasion de re-parcourir la plaine d'Hyrule comme on l'a laissée, mais les donjons en eux-mêmes sont totalement différents : la plupart des structures sont conservées mais les énigmes changent souvent du tout au tout. On doit donc exploiter davantage certains mécanismes de gameplay, et dans l'ensemble l'idée est séduisante ; elle l'est beaucoup moins lorsqu'il est question d'agir à l'aveuglette dans l'espoir que quelque chose se passe. En effet certaines énigmes sont vraiment retords, et surtout on ne voit pas toujours très bien ce qu'on a déclenché en activant un mécanisme... Dès lors le jeu peut devenir assez confus et frustrant.

Autrement le titre est resté identique à lui-même, c'est-à-dire beaucoup de qualités, et (quelques) défauts. On note ainsi le passage globalement réussi de la série à la 3D, même si certaines modélisations dans les visages ou les formes sont assez douteuses... Le gameplay du soft est vraiment neuf, dans la mesure où la jouabilité s'adapte, justement, à ce nouvel environnement en 3D. On a une histoire vraiment très kitsch (avec une princesse qui devine tout avant tout le monde, y compris son vénérable père...), mais l'on se laisse facilement embarqués dans ce petit "jeu de rôle" de la Princesse Zelda, dans le sens qu'Ocarina of Time procure un véritable sentiment de vivre une grande aventure. Sans oublier le fameux évènement qui survient après le troisième donjon. Je regrette cependant qu'il n'y ait pas davantage d'interaction entre les deux types de gameplay suite à ce passage.

Au rang des défauts, je retiendrai surtout les graphismes qui ont un peu vieilli (surtout par rapport à Majora's Mask, qui s'améliore pas mal sur ce plan-là), et quelques énigmes agaçantes pour cette Master Quest. Le plus pénible reste le faible nombre de points de téléportation, ce qui fait que la durée de vie est artificiellement augmentée, dès lors que l'on cherche à faire les quêtes annexes. Autrement le jeu est une réussite.

À moins que vous attendiez du scénario qu'il fasse preuve d'une richesse et d'une originalité débordante, ce Zelda reste à juste titre l'un des épisodes les plus réussis de la série (à mon sens), tant il fait preuve d'un univers recherché et d'un gameplay passionnant. À faire !
Tales of Symphonia gc
Shadow

le 20/07/2009
8
En six ans, Tales of Symphonia a très mal vieilli, c'est certain. La médiocrité de la mise en scène est en grande partie responsable du caractère grotesque de la plupart des scènes, qui perdront de leur intensité pour les gens un peu trop exigeants. Le début s'annonce mal tant la forme est classique et le héros tête brûlée, et pourtant... Le traitement est finement pensé (franchement à part Colette la *moitié* du temps, je ne trouve pas les personnages niais... Le ton du jeu est quand même souvent très dur. Et puis les épreuves qu'ils traversent -même Colette- les forcent à tenir bon, par peur de perdre la face. Bref pour moi le scénario est loin d'être un monument de niaiserie, mais bon...), certains passages sont même parfois un peu techniques.

Après si graphiquement le jeu reste très correct (avec des graphismes cell-shading agréables et un déroulement fluide), nul doute que l'ajout de séquences animées en plus grand nombre aurait bénéficié au soft. Cela aurait pu atténuer les erreurs d'animation et de mise en scène qui plombent l'ambiance. Un dernier reproche, sur le déroulement des batailles qu'on a dit se faire en 3D à la sortie, ce qui est totalement faux puisqu'on n'a pas la liberté d'échapper à un boss qui nous coince entre lui et un "mur" délimitant la zone de combat.

Mais en dehors de ça, le reste est du tout bon ! Le jeu porte très bien son nom, puisque les musiques sont inspirées et variées (on n'a jamais l'impression d'entendre 2 fois la même pour un type de zone), avec notamment 3 thèmes pour les rencontres aléatoires, dont le deuxième est épique à souhait. Les acteurs sont également très convaincants, on regrette donc que les petites discussions entre certains membres de l'équipe ne soient pas doublées (et ça relève entièrement de la flemme de l'éditeur sur ce coup, vu qu'en VO les voix sont là).

Si l'on peut se plaindre de la durée de vie a priori faible (la trame principale dure à peine une trentaine d'heures), elle est en fait d'excellente qualité dans le sens où on ne s'ennuie à aucun moment dans l'aventure (et il y a très peu d'aller-retours). Qui plus est, le contenu annexe permet facilement de tripler ce temps ; le New Game + est donc fort utile et appréciable, car il n'y a pas assez d'une partie pour tout découvrir.

Et enfin, Tales of Symphonia c'est la définition même du jeu interactif. C'est probablement le titre le plus abouti que j'ai pu jouer sur ce point ; c'est bien simple, dans l'univers du soft, le joueur peut exercer son influence sur quasiment tout. Ainsi, certains évènements peuvent être réalisés dans l'ordre suggéré par le groupe, mais vous pouvez très bien décider de continuer votre aventure et vous y attarder plus tard ! Ça change parfois les dialogues d'ailleurs. Sans trop en dire, il existe une astuce scénaristique selon laquelle vous pouvez décider vous-même d'un des compagnons qui rejoindra le groupe vers la fin (là encore certaines scènes changent). Enfin, le joueur a un contrôle total sur l'évolution des protagonistes : il existe deux types d'orientation pour le style de combat (Frappe et Technique), chaque personnage appartenant à l'une ou l'autre en fonction de certaines capacités annexes que vous lui attribuez. Ce style de jeu influe directement sur les coups appris ! Enfin, les "titres" offrent des gains supplémentaires de certaines statistiques, vous permettant d'accroître les atouts d'un héros, ou au contraire pallier à ses faiblesses...

Avec sa carte du monde rempli de choses à faire, et un level design intelligent (vous allez en résoudre des énigmes pour finir le jeu), un soft aura rarement donné une telle sensation de liberté (loin d'être illusoire pour le coup) et de savoir-faire. Oui vraiment, le seul défaut de Tales of Symphonia, c'est que sur certains points, il vieillit mal.
Paper Mario : La Porte Millénaire gc
Shadow

le 12/07/2009
7
Paper Mario GC est la second offrande d'Intelligent Systems à la série des jeux de plate-forme de Nintendo. On retrouve donc un RPG dans la veine du précédent volet sorti sur N64, avec un esthétique papier très "particulière", et toujours aussi esthétique (les trois Dragons notamment...). Au point de vue technique, le jeu n'a rien à se reprocher : c'est fluide (même avec une centaine de créatures à l'écran), et il y a des décors tout simplement splendides (la forêt du chapitre 2 en tête). On peut compter sur quelques ajouts de gameplay exploitant également la "condition papier" de notre héros, et les compagnons qui nous rejoignent sont très attachants (Goomélie et sa petite quenotte, Viviane et sa grande maladresse, Bombart et son coeur fondant...).

L'humour est omniprésent, et tout y participe : la taille des caractères peut s'intensifier rien que pour marquer la vivacité d'une réaction, et c'est souvent associé à une vibration de la manette... Les musiques contribuent également très fortement au caractère comique du soft, et font souvent appel aux souvenirs de geeks (cf la musique culte du chapitre 3, lorsque vous recevez un message). On retient aussi les délires sur l'Internet, avec l'incursion de la technologie dans le monde de Mario, mettant en scène le personnage improbable de Tech, un ordinateur. Mais cela se voit aussi lors de discussions pour le moins "inattendues", lors du chapitre 4.

Le titre est, paradoxalement, difficile à recommander aux hardcore gamers : la trame principale est très courte, et surtout incroyablement facile. Ce n'est qu'en creusant que l'on peut mesurer toute la substance contenue : la partie annexe triple la durée de vie totale, et on prend un grand plaisir à compléter notre Journal avec les différentes petites choses à découvrir.

Tout ceci contribue à donner une certaine replay value au soft, et cela lui permettra aussi probablement de bien vieillir (après tout il va avoir déjà 5 ans). Néanmoins, le soft d'Intelligent Systems a vraiment été pensé comme un copié/collé de son prédécesseur (badges obtenus, personnages recrutés, certaines situations...). C'en est parfois gênant, et au final le soft demeure dans l'ombre de l'excellent Paper Mario. Il se contente au final d'être un très bon RPG, ce qui n'est peut-être déjà pas si mal.
Fire Emblem: Path of Radiance gc
Shadow

le 30/04/2009
8
+ Les thèmes traités d'un oeil d'adulte
+ De bonnes idées pour la rejouabilité
+ Un gameplay profondément enrichi
+ Le Soutien toujours très prenant
+ Des musiques épiques
+ Les cinématiques...

- ... Trop peu nombreuses
- Certains choix dans la localisation
- Déséquilibre entre l'ennemi et le joueur
- Durée de vie pour un jeu sur console de salon
Fire Emblem Fates: Héritage 3ds
Shadow

le 15/06/2016
7_5
Pour Fire Emblem Fates, Intelligent Systems a choisi de découper l'aventure en 3 parties distinctes et complémentaires. Héritage propose au joueur de choisir les liens du sang pour combattre l'armée un peu trop envahissante du royaume de Nohr. Ambiance asiatique très « posée », avec des compositions sonores apaisantes et des classes inspirées du Japon médiéval sont au programme de cette route réputée comme étant la plus facile.

Avec la direction prise par Awakening, au game design discutable sur certains points, j'attendais beaucoup de ce nouvel opus, tout en ayant très peur qu'on nous serve une suite dans la même lignée. Et mes peurs se sont assez vite envolées. Déjà le character design s'est bien amélioré (et pourtant c'est la même personne, à croire qu'elle n'était pas motivée auparavant...). Mais le scénario également s'améliore : même s'il y a bien des moments où la qualité de l'écriture laisse à désirer, il faut reconnaître que l'histoire est plutôt bien accrocheuse, avec notamment son lot de personnages au destin plus ou moins heureux. Côté gameplay, les nouvelles classes déstabilisent gentiment le joueur (qui retrouvera ses repères avec Conquête), ainsi que le système des armes complètement revu. Aucune arme ne s'use désormais, mais leur utilisation ne peut être ni abusive, ni similaire à celle qu'on avait auparavant. En effet, des bonus/malus sont attribués à chaque arme, rendant des armes a priori intéressantes assez risquées à utiliser si on s'y prend mal. Enfin, les batailles sont bercées par de magnifiques thèmes comme je l'ai mentionné, chose qui faisait cruellement défaut dans Awakening. La difficulté Deux étoiles est plutôt bien équilibrée pour un habitué de la série. On retrouve globalement un opus de la qualité des jeux GBA sortis chez nous. Reste à voir ce que donnent Conquête et Révélation, d'autant que l'histoire de cette version ne se suffit pas vraiment à elle-même (à la manière de Path of Radiance sur Game Cube, en fait). Mais vous pouvez être sûr que Fire Emblem Fates mérite déjà toute votre attention...
The Legend of Zelda: Majora's Mask 3D 3ds
Shadow

le 02/03/2015
9_5
Majora's Mask possède une ambiance très atypique pour un Zelda, et même il faut le dire, pour un jeu vidéo en général. Ce jeu est la face sombre de la série, à l'image de l'objet maléfique, un masque en forme de coeur.

On comprend très vite que le jeu s'inspire de son aîné, Ocarina of Time, mais pour proposer un univers qui lui est propre, et qui va mettre le joueur assez mal à l'aise. Il n'y a qu'à regarder la lune gigantesque qui menace de s'effondrer sur la ville dans les 72 heures, et on est convaincu. Pour éviter la catastrophe, Link aura recours à des objets qu'il connaît bien pour résoudre des énigmes, mais également l'ocarina du temps et... des masques! Ces objets tiennent une place essentielle dans cet opus, puisqu'il y en a 24 et que chacun a une influence sur une ou plusieurs quêtes.

Décrire Majora's Mask en quelques mots est pour moi difficile, tant le jeu était novateur et riche sur N64, mais également très particulier. Ce que je peux dire de l'expérience originale, c'est que Termina est un univers où chaque PNJ a son histoire, son propre emploi du temps. Et cela est important à considérer puisque le joueur doit connaître les activités des personnages impliqués dans les quêtes à accomplir. De façon globale, beaucoup d'habitants de Termina souffrent, et la mission de Link est de les aider à trouver la voie du bonheur. Parfois cela s'avère très simple, d'autres fois compliqué et long, et d'autres fois encore, très étrange (le ranch Romani par exemple). Heureusement toute quête, tout personnage important se retrouvent marqués dans un journal qu'il est possible de consulter à tout moment. Si l'on rate une action, il est toujours possible de revenir dans le temps, même si cela implique de devoir refaire certaines actions. Le jeu est pensé essentiellement autour de ces quêtes, ce qui signifie qu'il possède très peu de donjons (quatre), mais que l'accès à chacun d'entre eux est conditionné par l'accomplissement de certains objectifs secondaires. La durée de vie se retrouve par conséquent un peu légère, si l'on trace en ligne droite (une vingtaine d'heures). Ce temps peut facilement être doublé pour qui cherche à découvrir les moindres secrets de Termina.

Parlons maintenant des nouveautés de la version 3DS, assez nombreuses. Certaines sont anecdotiques (des changements de noms de lieux, d'emplacements d'objets). D'autres étaient essentielles à faire pour améliorer le confort de jeu. Ainsi, les statues de sauvegardes permettent désormais une sauvegarde permanente (sur N64 on ne sauvegardait définitivement que lorsqu'on revenait au premier jour), le journal de quêtes a été réorganisé et est beaucoup plus clair, il se met à jour régulièrement. Une nouveauté sympathique, les combats contre les boss ont été légèrement modifiés, obligeant les connaisseurs à repenser leur approche en combat. La difficulté du jeu a été conservée en l'état : Majora's Mask peut s'avérer résistant par moment, mais jamais il ne décourage le joueur qui persévère.

Majora's Mask en trois mots : unique, exigeant, et épique.


The Legend of Zelda: Majora's Mask n64
Shadow

le 02/03/2015
8_5
Majora's Mask possède une ambiance très atypique pour un Zelda, et même il faut le dire, pour un jeu vidéo en général. Ce jeu est la face sombre de la série, à l'image de l'objet maléfique, un masque en forme de coeur.

On comprend très vite que le jeu s'inspire de son aîné, Ocarina of Time, mais pour proposer un univers qui lui est propre, et qui va mettre le joueur assez mal à l'aise. Il n'y a qu'à regarder la lune gigantesque qui menace de s'effondrer sur la ville dans les 72 heures, et on est convaincu. Pour éviter la catastrophe, Link aura recours à des objets qu'il connaît bien pour résoudre des énigmes, mais également l'ocarina du temps et... des masques! Ces objets tiennent une place essentielle dans cet opus, puisqu'il y en a 24 et que chacun a une influence sur une ou plusieurs quêtes.

Décrire Majora's Mask en quelques mots est pour moi difficile, tant le jeu était novateur et riche sur N64, mais également très particulier. Ce que je peux dire de l'expérience originale, c'est que Termina est un univers où chaque PNJ a son histoire, son propre emploi du temps. Et cela est important à considérer puisque le joueur doit connaître les activités des personnages impliqués dans les quêtes à accomplir. De façon globale, beaucoup d'habitants de Termina souffrent, et la mission de Link est de les aider à trouver la voie du bonheur. Parfois cela s'avère très simple, d'autres fois compliqué et long, et d'autres fois encore, très étrange (le ranch Romani par exemple). Heureusement toute quête, tout personnage important se retrouvent marqués dans un journal qu'il est possible de consulter à tout moment. Si l'on rate une action, il est toujours possible de revenir dans le temps, même si cela implique de devoir refaire certaines actions. Le jeu est pensé essentiellement autour de ces quêtes, ce qui signifie qu'il possède très peu de donjons (quatre), mais que l'accès à chacun d'entre eux est conditionné par l'accomplissement de certains objectifs secondaires. La durée de vie se retrouve par conséquent un peu légère, si l'on trace en ligne droite (une vingtaine d'heures). Ce temps peut facilement être doublé pour qui cherche à découvrir les moindres secrets de Termina.

Majora's Mask en trois mots : unique, exigeant, et épique.


Shin Megami Tensei: Devil Survivor 2 nds
Shadow

le 28/11/2012
9
DS2 reprend les éléments réussis du premier opus : demon design réussi, gameplay simple (partie Tactical) mais riche (cathédrale pour la fusion, achat des démons aux enchères...), histoire d'un Tokyo post-apocalyptique, etc. Élément très intéressant, DS2 est, lui aussi, excellent en terme de replay value... L'effet de surprise a certes disparu, le soft est plus linéaire que son aîné, et l'intrigue va un peu moins loin dans la schizophrénie collective. Il ne se rapproche pas tant d'un Lucifer's Call, que d'un Persona 3 ou 4. Il y a en effet l'ajout d'un système "à la S. Link", dans lequel converser avec vos compagnons renforcera votre efficacité en combat. Mais au premier Devil Survivor, ce second opus ajoute une ost très réussie, un compendium à compléter, et de nombreux boss plutôt originaux à battre (tant de l'histoire principale que du contenu annexe).

Un indispensable sur la console aux deux écrans de Nintendo.
Golden Sun: Obscure Aurore nds
Shadow

le 28/12/2010
7
Golden Sun DS se sera fait attendre, et pour cette seule raison certains seraient sûrement tentés de lui jeter la pierre. Le fait est qu'en l'occurrence, ils auraient de nombreuses raisons de le faire. Les développeurs ne cachent pas, dès la première heure de jeu, qu'il n'existe aucune raison valable pour continuer l'aventure dans le monde de Weyard. Comme s'ils s'étaient rendus compte de l'absurdité de la quête initiale, celle-ci est tout simplement oubliée dès lors que nos héros ont trouvé l'occasion de briller comme leurs aînés. Et par dessus tout, la fin est complètement horripilante, s'inspirant d'un certain (premier) Golden Sun. Le message subliminal "achetez la suite sur 3DS" n'est pas si bien caché que ça... Et franchement quand on voit la psychologie invraisemblable de certains personnages (*en plus* de la niaiserie des opus GBA), ou l'inutilité d'autres, on a moyennement envie d'approuver la décision du staff de développement. Mais le pire dans tout ça, c'est que quelle qu'eût été la durée de vie, la linéarité extrême du jeu aurait de toute façon déconcerté beaucoup de joueurs.

+ Les graphismes du jeu, du très bon (exploration) à l'époustouflant (combats)
+ Des musiques de duels épiques, on vit une vraie histoire d'héroïc fantasy
+ Un gameplay toujours aussi bien pensé (énigmes, psynergies, Djinns)
+ Beaucoup de clins d'oeil (à défaut de caméos le plus souvent)
+ Le background de la série s'enrichit considérablement

- La quête principale est beaucoup trop facile
- Un RPG trop linéaire, avec des points de non-retour
- Les musiques hors combat sont complètement ratées
- Beaucoup de personnages bouche-trou, interactions peu crédibles
- Aucun antagoniste charismatique : l'intrigue ne décolle jamais vraiment
Castlevania: Order of Ecclesia nds
Shadow

le 02/09/2010
6
Véritable déception au sein de la série, alors même que les deux opus précédents sur la console n'étaient pas flamboyants, mais apportaient au moins leur petite pierre à "l'édifice Catlevania". Plus que de ne contribuer à rien, cet opus va même jusqu'à déposséder la série de son identité. Le château de Dracula n'apparaît ainsi qu'à la moitié du jeu, et le reste du temps on doit se contenter de mini-donjons sans aucun level design. Bilan des courses, on s'ennuie ferme. Les PNJ tentent d'enfoncer le clou avec leurs quêtes abracadabrantes (comme aller chercher un animal de compagnie, ou encore une gemme super rare qui a une certaine *probabilité* d'être délivrée à la fin d'un donjon hardcore...). Le jeu n'est pas très dur en lui-même, la seule difficulté consiste en la gestion des glyphes, certains seront nettement plus efficaces que d'autres sur une créature donnée (contre un boss ça fait toute la différence). Alors oui le bestiaire se renouvelle (enfin), oui le character design s'améliore (enfin), mais... Le scénario est vraiment plat, alors même que les développeurs avaient l'occasion de nous proposer quelque chose de grand, avec une héroïne au lieu d'un héros (pour une fois...). Malheureusement pour Shanoa, comme elle le dit elle-même à un moment du jeu, on a du mal à verser une larme au sujet de son destin, tellement son personnage est vide... Il faut dire que le coup de l'amnésie est bien pratique (on voit de loin venir le "grand méchant" de l'histoire, entre les deux possibilités), et franchement ça ne me donne pas envie de m'attacher aux personnages. Les développeurs (et en particulier IGA) se complaisent vraiment trop dans la médiocrité de leur formule surannée à mon goût. Un Castlevania qui aurait pu être grandiose, mais qui finit la série sur DS en demi-teinte, et je trouve ça limite scandaleux pour ma part...
Castlevania: Portrait of Ruin nds
Shadow

le 02/09/2010
8
On change de contexte cette fois-ci, pour suivre les aventures de deux chasseurs de vampires qui s'entraident dans leur quête. On a donc la possibilité d'alterner entre l'un des deux personnages à tout moment en plein combat, pour utiliser toutes sortes d'attaques, mais aussi effectuer des techniques de coopération ! L'exploration gagne en richesse avec le principe des tableaux, nous permettant de découvrir des endroits plutôt variés. L'aspect RPG de la série ressort encore plus dans cet épisode, avec la présence d'un PNJ qui nous propose toutes sortes de quêtes, principe qui sera repris dans Order of Ecclesia. Un MetroïdVania très riche et qui saura capter l'attention des amateurs, en dépit du cruel manque d'originalité du soft.
Castlevania: Dawn of Sorrow nds
Shadow

le 02/09/2010
7
La suite des aventures de Soma, entamées sur GBA. Une suite qui n'était pas vraiment nécessaire (le scénario nous le confirme à lui seul), mais qui apporte une petite "DS touch" pas désagréable : certains boss sont gigantesques, et on peut se servir du stylet pour résoudre quelques énigmes. Vaincre les boss peut même devenir pénible, vu qu'il faut tracer un glyphe pour le coup de grâce et qu'à la moindre erreur, la créature se régénère ! Autrement peu de choses ont changé, on retrouve donc un château gigantesque à visiter, beaucoup d'ennemis (déjà vus...) à défaire, et des âmes à collectionner pour gagner des pouvoirs divers et variés. Quel dommage qu'il y ait ce design manga inapproprié, le jeu ne souffre que de cela et d'un petit manque d'originalité ; autrement, un bon MetroïdVania.
Pokémon Platine nds
Shadow

le 14/08/2010
6
Les versions DPP marquent l'arrivée d'une quatrième génération de créatures à collectionner pour la série de Nintendo. Celle-ci semblait déjà, avec RSE, être à bout de souffle, et ces nouveaux opus confirment la tendance. Dans le fond, l'aventure ressemble beaucoup à ce que l'on a déjà pu accomplir : rassembler 8 badges des champions d'arènes en vue d'affronter les maîtres de la ligue, tout en déjouant les plans d'une organisation de malfaiteurs en chemin. Pour se détendre entre deux combats, on pourra participer aux concours de Pokémon... Bref, rien de bien neuf sous le soleil, et pourtant l'histoire gagne, quelque part, en personnalité. Les développeurs tentent de mettre en place un univers (en l'occurrence, Sinnoh) aux origines recherchées ; le problème c'est que le titre ne sait jamais très bien s'il doit faire dans le tragicomique, ou bien le sérieux à tout va. Au final les évènements qui se trament apparaissent ainsi plus grotesques que jamais, et l'on espère donc que Gamefreaks mettra plus de soin à l'élaboration de ses intrigues à l'avenir (ils ont certainement les moyens pour rendre leurs jeux plus intéressants de ce point de vue).

Sinon niveau gameplay c'est du tout bon, il faut dire qu'il était difficile de se planter à ce niveau-là, en reprenant les mêmes mécanismes. Les batailles sont stratégiques à souhait, et les musiques de combats sont véritablement prenantes. On regrette quand même que cette version Platine n'ait pas été l'occasion d'apporter une jouabilité tactile à la série, ç'aurait dû être un minimum dans le cahier des charges, étant donné que son seul but était de capitaliser le succès des versions précédentes. On n'est donc plus à un foutage de gueule près (les créatures "inédites" sont pour la plupart des (pré-)évolutions d'anciennes espèces, dénaturant par la même occasion leur design dès que possible), et la pillule a un peu de mal à passer. DPP n'est pas un mauvais RPG, mais pour moi c'est assurément une génération de Pokémon assez médiocre.

+ Excellente durée de vie pour ceux qui veulent exploiter toutes les possibilités
+ Système de jeu accessible mais toujours aussi riche
+ Des musiques de combats superbes
+ Une histoire recherchée...
+ La Zone de Combat

- Pas de jouabilité tactile
- Intérêt de la Pokémontre... ??
- Difficulté de la trame toujours un peu trop basse
- Les évènements de l'intrigue, tous assez grostesques
- Le design qui dénature nos créatures favorites quand elles évoluent...
Final Fantasy Tactics A2: Grimoire of the Rift nds
Shadow

le 21/07/2010
7
Classique dans le fond, Final Fantasy Tactics A2 présente cependant un gameplay pour le moins addictif. On ne pourra pas s'empêcher d'y revenir régulièrement pour découvrir ce qu'il y a de nouveau à faire, à débloquer ; le jeu est adapté aussi bien aux courtes sessions de jeu qu'à des séances de gaming intensif (quicksave possible en combat). Quand la linéarité et un scénario en retrait peuvent être une force, Final Fantasy Tactics A2 est indéniablement un des titres sur lesquels on peut compter. En somme il ne s'agit pas d'un soft inoubliable, mais il ne devrait pas décevoir les amateurs de Tacticals jouant sur la DS.

+ Un jeu qui monte en puissance avec les heures (postgame très fourni)
+ L'univers d'Ivalice toujours aussi unique et intriguant
+ Les nombreuses références à Ivalice Alliance
+ Quelques scènes vraiment poignantes
+ Forge et enchères très addictives
+ Gameplay riche en possibilités

- Des dialogues souvent niais
- Le jeu un peu lent au démarrage
- Pas d'exploration dans les villes traversées
- Les lois absurdes (le joueur n'ayant alors pas de contrôle sur certains paramètres)
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