Introduction : Six Half est la seconde oeuvre de la mangaka Ricaco Iketani, à qui l'on doit également Lollipop. Les deux oeuvres ont été publiées en France par l'éditeur Delcourt. Concernant le manga qui nous intéresse, il s'agit de l'histoire de Shiori, qu'on découvre alors qu'elle reprend connaissance suite à un accident en moto...

Notes : l'éditeur a publié la série en version ebook, pour les intéressés. Si vous souhaitez partager l'article, voici mon tweet. :)

Synopsys : Alex, récemment devenue orpheline, décide de faire le ménage dans la maison où elle a passé son enfance. Avec l'aide de son oncle et sa tante, elle conserve une petite étincelle de vie en elle ; mais quand elle se rend dans cette maison, elle se sent afreusement seule. Et puis elle découvre, par l'intermédiaire d'un dernier courrier de sa mère, qu'elle aurait une soeur dont elle ignorait la simple existence...

Après des séries comme Hunger Games, L'Épreuve, ou encore Divergente, il n'est pas étonnant de voir débarquer de nouvelles séries littéraires de jeunesse en trois tomes. Pour l'auteur ça reste l'occasion de ne pas tout miser sur un seul livre, pour se laisser le temps de voir s'il trouvera son public, et de pouvoir bien développer ses idées sur plusieurs bouquins. Sans compter que si les séries sus-citées s'adressent en principe à un public relativement jeune, les personnes plus âgées peuvent également les apprécier. Enfin, la série de Michelle Gagnon est « recommandée par Harlan Coben » (un bon auteur américain de thrillers), l'argument marketing qui m'a fait succombé à l'envie de me lancer dans la lecture. Alors, les Expériences Noa Torson, ça raconte quoi ?

Cet été 2015, je découvre plusieurs séries avec pour thématique commune les voyages temporels. Chacune traite le sujet à sa façon, et c'est ce qui fait tout l'intérêt de ces lectures. Alors pour fêter comme il se faut l'annonce de Zero Escape 3, je vous propose une dernière leçon pour cette année scolaire... Celle-ci s'intitule « Comment bien voyager dans le temps, en 3 étapes. »

La vie est parfois cruelle. Pas dure, parce qu'il y a toujours plus malheureux que nous, des gens qui souffrent de maladies graves, de famines... Mais malgré toutes ces considérations, il arrive des moments où on ne peut s'empêcher de ne penser qu'à soi-même. De vouloir disparaître, et simplement arrêter de ressentir quoi que ce soit parce que chaque seconde qui s'écoule est insupportable. Alors dans ces moments-là, que faire ? Voici quelques idées qui me traversent l'esprit...

NB : ce billet est l'occasion de parler un peu de moi, pour une fois.
Préparez-vous, car mon esprit est un peu désordonné en ce moment !

Voici enfin le dernier volume de Limited Lovers, un shôjo de Keiko Yamada, mangaka encore inconnue sous nos latitudes. Mine de rien celui-ci aura su se faire désirer, pas tellement du fait de l'éditeur 12bis, très au point sur la parution, mais bien parce qu'on avait rarement lu un manga du genre aussi bien rythmé et prenant !

Fluide mais pas seulement, Limited Lovers plaçait le thème du handicap au centre de son intrigue dans les deux premiers tomes. On y suivait une lycéenne victime d'un accident l'ayant rendue paraplégique et ce, dès le début du manga ! Le choix de l'auteur était judicieux : on ne se serait pas facilement attaché à la Karin superficielle d'avant, alors que la perte de contrôle des membres inférieurs a entraîné une prise de conscience chez la jeune fille. Quand elle a réussi à surmonter tout ça, elle s'est heurtée aux préjugés de la société, et sa relation avec Okitta Teppei, le médecin dont elle s'est éprise, était des plus conflictuelles.