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Jeux, Famille du Monde et Sans Patrie...
Crée le 30/04/2009
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De zéro à Une.
Par Mac Old Field, le 01/11/2011 à 20h40 (43026 vues)
Catégorie : Divers
...de O comme cOquille à Une comme sUnmanbUlle...

19/10/2011
Rubans de fille et fils de feu habillent un arbre sur la terre.
Tourmenté aprés les tempêtes, les alliances scratchto-sphériques, aprés une pluie qui lui semblait universelle, dessus comme dessous deux nuages, l'arbre a reçu le cadeau comme quoi il peut en être un aussi...

De la mort à la vie, de la friction à la réalité, de ce qui retient comme de ce qui raniment les coeurs et les mains, l'amour vraisemblablement, qui nous fait comme le fait d'exister.

(1,2..., 19, 10, "test balance"..., "les chaussettes de l'archi-duchesse sont-elles sèches archi sêches"?..., ..."la chât'euse sâchant chât'er etchat tera"..., bon ça semble ok...)


Au commencement..., à la chevauchée d'un man and woman qui walk et qui rient...

De l'année derniére sans sms, puis du 26/06 au 19/10/? avec...

Ndit
"Coucou mac, je suis navrée de t'annoncer que Columbo n'est plus. A demain."

...

Ndit
"Le site Friandiz.com m'envoie un mess., dixit: "Offrez-vous un Mac. Louez-le". Drôle non?. (eh oui, faut que j'amortisse mes 50 sms par mois)..."
Mdit
"Amortis N!, A mortis, à.. + %, ... Pilotes entre 2 bisous... Quel que soit le nombre de km/sms, ce n'est pas un "problême" pour moi, co-pilote virtuel ou pas, pourvu qu'on se coince pas dans la porte, avec avec ou dans le décor, c'est tout..."

Ndit, voix on:
Le loup Alpha, en tant que mâle dominant de la meute, peut s'approprier toutes les femelles qu'il désire, et c'est le seul qui en a l'autorité...
Mdit, voix on:
Morbleu!, Non!, de l'Alpha jusqu'aux derniers des loups tout gris, ils ont et n'ont qu'une seule femelle et y restent attachés!
(des deux, gentillement, pas un n'en démord, à vérifier de son côté)
Mdit
"Tort, t'as eu tort!... Tort de "prendre la tête" de celui qui reste en tête de loup! Tu prends la file, juste derrière, mais la file tout de même! Voilà voilou, t'as tort et pi c'est tout!"
(+ tard, N reconnaitra..., du bout des babines)

...
M et N dans l'Antre et le noir, comme de tanière, d'entre les échanges et le silence...
...

Ndit
"Donnant donnant... Il y a de ça 19 ans, jour pour jour, à 15h, ..X et moi avions pris rdv... pour commencer une hist... (celui qu'elle a perdu de ses yeux qui voient, nda) J'y ai donc pensé toute cette nuit et toute la journée. Voili voilà.
Mdit
"Je comprends, poses repos et reposes-toi bien.
Ndit
"Ce n'est pas de repos dont j'ai besoin, et à vrai dire j'ignore ce dont j'ai besoin. Sinon pr répondre à ta question, je t'adore sûrement autant que toi vis-à-vis de moi, mais dire les choses, je sais pas faire (ça devait être en option pour moi)...
Mdit
"j'aurais pas mieux dit, moi aussi..."

Ndit
"J'ai le sentiment étrange et 1pénétrant... que tu parlais de Creully (rassures-moi, tu l'écris bien en deux mots?!). C'est marrant comme une mémoire sélective peut l'être aussi dans le temps! Qui sait, peut-être me souviendrai-je des termes du pari un jour ou l'ôte (mais quoi?)"...

Mdit
"Il est probable, d'une situation débordante, dans laquelle il sait où donner de la tête et garder le cap, qu'il aille plus en avant, qu'à cela ne tienne si la digue s'affaisse, la Terre s'en chargera bien, et que ce soit elle, il préfére autant, sur la lune, qu'elle prenne le dessus."
Ndit
"Je sais pas ce que tu prends, mais je veux la même chose (bis) on the rock! Sois plus clair dans tes propos et tes écrits si tu veux la communication (nda: revancharde!, parce que je lui reprochais ses côtés d'huitre perlière, ma voix on vs sa voix off, sic!). En ce qui me concerne, parler du bout des doigts (sms) m'est plus aisé, quelle lâche 't'es N!. Quoiqu'il en soit, mon visage s'illumine toujours d'un sourire à chacun de tes messages, et l'illumination..."
Mdit
"N, il est tard, et simplement, je me rappelle, à te rappeler, à trés bientôt (ça va?, pas trop compliqué?), pour ce qui est des virgules à la ligne ("reproche" fait voix on!), je verrai ça la prochaine fois! Je t'embrasse fort et te souhaite bonne nuit, les deux, même s'ils ne sont pas ensemble, sont aussi sincère l'un que l'autre.
Ndit
"Bisous forts et bonne nuit en toute et profonde sincérité!"

Ndit
"Mots d'adulte-enfants. ...on regarde Idiana Jones, moi dis que son prénom était celui de son chien. Je poursuis en disant à xy junior: "tu t'appelleras "xxx" (le nom de mon chien)", et à xx junior: "toi, ce sera Tibou..., mais avec les filles, ce sera difficile... Xy poursuit disant qu'elle n'a pas compris. Drôle? A part ça, désolée pour mon humeur de ... soir, mais, comme pour toi, la fin de soirée de Mardi me fût... étrange, va t'on dire. T'inquiétes, c pas toi, mais plutôt moi, ...ça m'a travaillé les jours suivants (d'où ce te diéte). Impression d'une nouvelle direction entre nous (imagination peut-être trop fertile, me trompe-je?). Au fait, tu ne m'a pas répondu quand je t'ai demandé ce qui te travaillait et qui t'empêchait d'écrire (question de trop sans doute). Bon j'arrête parce qu'avec toute les questions que je me pose, je vais décharger mon bigo. Sur ce gros gros bisous et BONNE NU""IT"

Mdit
Esprits avatars trouvés perdus et retrouvés, champi-boulés, tu m'avais dit que t'en finirais jamais d'un anniv, moi je délogeais pas de l'époque anticipée mais non fictive des nav'is, quand est-il aujourd'hui, et quand sont-ils, lui et moi?, pseudo "elle" et puis toi? Je me surprends de croire autrement, je suis surpris en ce que j'espérais, d'un rêve devenu une autre réalité..., je m'y étais fait...
Mais pitié!, pas au téléphone parler!? ôtes tél, je préfére le "hot" ..nous reparlerons rapidement, tranquilement, de "hot", vive et douce voix, je te le promets, te et me, si j'ai le petit moyen, à tes yeux, de te faire parler aussi. Et excuses-toi auprés de ton xx junior, expliques lui... comme quoi rien n'est jamais perdu!..., même si sa maman s'est gentillement moquée. Plein petits bisous, petits trés serrés..
Ndit
"Parler..., oui, faudrait, mais cela me sera difficile. Mes réactions sont comme l'abécédaire pour tous. Je vais arriver où tu sais et faire comme su de rien n'était. Bref, je suis perdue... Un nouvel optique s'ouvre et m'angoisse... (à tel point que j'ai envoyé mess à "celui que j'ai perdu de mes yeux qui voient"(*)..., ignorant s'il le recevra, ...comme bouteille à la mer...) Etre aprés L. ne me sied guère, orgueil ou prétention, vas savoir. Eve eut la pire des places, Lilith était, est et restera... Vade retro prétention. BREF, j'ignore où j'en suis, ignorant où t'en es. Sur ce gros gros bisou..."

Ndit
"C'est fou comme 4 jours qui ne semblaient n'être qu'1 hier, paraîssent être 40 aujourd'hui!!!"

Mdit
"..., ...tu me diras... s'il t'a répondu ou pas... ou si tu vas... Putain!, dire que ça me ferait chier n'est pas loin, ce que d'un côté je m'en excuse... parce que c'est grossier..., et "cyronique", com si je te disais: "embrasse-le comme si c'était de ma part"..., ce que je veux pas. Je t'embrasse for, from Mac.
Ndit
"Qu'est-ce qui t'arrive Mac, est-ce la lucidité ou autre qui te fait réagir ainsi?! Toi qui semble être à cheval sur l'othogaphre et la formule... Je t'ai connu + prolixe et + pointu avec ta plume. Le fait est qu'il est l'île à laquelle mon ancre reste attachée (tu n'ignores pas mon attachement à l'ancre, un symbôle non innocent) et que malgré le courant... Et c'est toi qui m'avait dit de le recontacter. Bon, pour l'instant "I", aucune conséquence... A voir... En attendant gros bizous...
Mdit
"Jém'en suis pas rendu compte, je ne faisais que part, à chaud, brut de lave, de ressentis, sur le coup, même s'ils font les battements, ce qui peut surprendre, étonner, ne + rester sur leurs gardes, d'autres gueules de styles... Ce qui m'a parfois coûté cher, ce qui j'espère, n'arrivera jamais entre nous, et pi j'suis pas tjrs de la rhétorique à l'art con, bon j'arrête, je sens que je vais t'en dire..
Ndit
"Dire quoi? Trop ou pas assez, peut-être?! Sinon t'inquiètes, tu n'as, dirons-nous, pas de soucis à te faire..Gros GROS bisous serrés, disais-tu (jolie comme expression)"
Mdit
Bisous, bises, biz, bzz, ron...?, ron!!!... Dormir, zzz'est du mal!!!, alors ze te laizze encore 1 petit zmz, petit comme ze le zuiz. (déroutant non?)
N, j'aime aussi ce que tu écris, c'est un plaisir de te lire, le plaisir de lire, comme de t'écouter, même si différents, comme de plaisirs, vraiment je le pense, comme on se l'écrit... Bonne nuit N."


Mdit
"..."
"(!!!)"
"N, j'me sens bizarre, j'couve quet'chose, avec tous ces ... et ces (!!!), c'est p'têt l'infection dont je t'avais parler?"
Ndit
"Une infection!? Sans affliction j'espère, ...un besoin d'affection pépére, ...attention à l'addiction et risques de fluctuation... Que de questions sur suppositions, sans superpositions. De spectrales spéculations. Le tout sans dérision... Peut-être que de petits touts ou de grands riens achèveront ta guérison... Gros gros bisous..."
("jolie synthése", dixit M, de sa voix on)
Mdit
"Efficace ton mot sur moi, sur le point 2 décoller... Je lève les yeux au ciel et je vois la lune, et puis VENUS, et puis je me dis que si j'avance encore un peu, la plus imposante n'est peut-être pas celle qui s'est présentée... Bisous N, et donc à demain...

...

Mdit
"Je faisais un peu le con quand j'étais avec toi, j'en ai l'air davantage maintenant que tu n'y est plus... Et puis tu as raison, même l'air de la ville, dehors, l'est aussi. A trés traits +, aussi sous d'autres cieux. Level bisou.
"Traduction: j'aime quand on fait les cons mais j'aime aussi quand on les fait moins..., c'est un euphémisme.
Ndit
"Level bisou? Et quel est le suivant? Combien de levels à ce jeu? Marivaud en aurait-il, de son ancre(?!) et de sa plume, écrit les règles? Y'a-t-il hasard? Mac Young Field saura t'il jouer sans être petit joueur, mais tel Guillaume? Attention c'est un jeu d'ange-heureux, sous d'autres cieux. En hate-tendant, moi, je te fais de gros-petits bisous et t'écris à trés trés trés vite"
Mdit
"Level = niveau mais aussi "horizontal", 2 mm!?, en hâte-"tendant", je t'embrasse plus haut que je ne l'étais jusqu'à présent et te dis, non pas trés, mais à trés vite. Bone! (suite à un cauchemar relaté, nda) nuit N, et sérieusement, sans jouer ni tricher (comme toi je le sais), je t'embrasssse et me serre trés fort à toi.
Ndit
Jeu de plateau alors?! Faudra voire à sortir le Joy (joke), ça ne se joue pas à la souris (...). A part ça, chacun de nous voulait se faire un "theater côté dugarden, faudra peut-être monter ça ?!? BIZZZZOUS et douce nuitée"

Ndit
"Ailes-haut" Mac, c'est N, vas bien j'espère. Ceci sera un message sans fente-easy (graveleux!). Si tu veux, ou peux, "toi et moi à l'entrée de l'Artiste garden party" + resto (j'invite) et dès minuit, je te souhaite un trés bon anniversaire (mais faudra sans doute attendre pour le cadeau)(non!, n(a)da). Voiture ou pas, c'est pas grave. On se quittera vers minuit, comme l'avait fait cendrillon. Voilà, le message est envoyé, aprés c'est selon... (et si c'est pas pour 2-mains, cela se fera tjrs + tard). Sur ces "Bone" parôles, je te fais de Nabuchodonosors Bizzzzous!"
Mdit
"Haut qu'est d'ac. Je te dis à quelle heure demain soir (voire l'heure "dugarden's party") demain midi (voire autre mail). Gros sMAC encore de grenouille, j'espère pr plus longtemps, et à demain (voire plus), c'te blague, qui ne l'est pas seulement... Bon somme à toi++..., ...bon ben j'vais donner mon prénom, comme quand c'est comme ça, quand on finit son message, ...Mac. (Bizouoouuuh.., et passes tranquillement une trés bonne nuit).
Mdit
"Action!, les trois coups!, moteur aux machinistes, bateau sur le pont !, ..h.., devant ..., avt d'être ds la boîte, et de développer kado codak. Ds le même temps, 2 surprises sur prises pr seulement 1 an de pris?..., tu me "gâtes"...
Ndit
"ok pour (...), à toute Bizzou"

...

Mdit
"Je n'ai rien perdu, pas une seule miette, j'ai même grandi, d'une seule traite, d'un an depuis longtemps, assez grand pour remonter à pied. Parce qu'à choisir, j'ai préféré rater le dernier Tram... Je t'embrasse d'un nouveau baiser, comme on s'en ait fait. Mac, de nouveau tout gentil, pour N, de l'ancienne pétasse... Free de Nice Dreams."
Ndit
"L'Agneau de son odeur, parfuma la Souris. La nuit, sera Souris d'Agneau, instant muet, mais pas sourd, emprunt de poésie. Telle est la soirée, ...et encore bon Agnusversaire, mais gare au loup, -gare ou... Bizzzzou et à sous-ca-me-dit ou sur-jeu-dit (jeu de mot-jeu de vil)"

...

La nature naît-elle du hasard?, ou au hasard des natures?. De la nature même du hasard, il en est deux, objectif et subjectif. Ceux qui vivent dans le hasard objectif sont dans un état de transe quantique, comme de ces yeux étrangers qui passaient devant notre restaurant, qui nous voyaient discuter, se demandant de quoi..., ou de ce que nous avions dans notre assiette, ou du pourquoi d'être ensemble... Alors que toi et moi, nous de notre propre témoignage, le savions déjà. C'est ce qu'on appelle, à nôtre endroit, de nôtre endroit, le hasard subjectif.
Si l'Univers est fini, les probalités sont probables et à peu prés définies, comme il en est de la politique, de l'information, de la météo comme des autochtones, plus efficaces localement, dans la tête de ceux qui y habitent, sur Terre s'entend...
En revanche, si l'univers Continu, la tâche est plus ardue... A moins de faire appel à des esprits spécialistes, de cette échelle justement, parcourant des distances en des riens de temps, s'ils existent comme elle se déploie, supérieurs selon cette improbabilité, improbable selon le plus grand nombre, parce qu'éloignés et trop petits, comme de ces passants devant la vitrine du restaurant, comme de nous les voyant à notre tour, à la différence prés qu'on n'en avait rien à foutre...
Quand bien même, en y revenant, pour le plaisir, ces passants..., que voyaient-ils, à quoi pensaient-ils?... A une intoxication, comme nous y avons pensé aussi, en déconnant, un camion de pompier pas loin. Mauvais présage?, ou s'agit-il d'une toute autre réanimation?? Oui, c'est ça, comme on s'est régalé, un bon goût à la bouche qui monte des lévres au palais. Pas une fausse note, en plus c'est toi qui m'invitais(!), comme j'aime me laisser faire parfois, sachant qui m'accompagne. Rien d'inachevé ni de périmé dans nos assiettes, une journée passée ensemble, qui n'a pas fait que passer.
Avant cela, nous en étions autrement, comme eux derriére les vitrines, pour l'instant d'une herbe qui passe et se dessèche à la course aux leviers des soleils, mangeant et mourant dans nos corps mortels prédéfinis, que ce soit au restaurant comme d'en bas de chez soi, à l'envers et à l'endroit. De clics et de brocs, des 24 heures en images d'une vie qui se déroule, d'un moteur qui vibre sans qu'on y fasse attention, tout juste à quoi bon, pourquoi et comment se tenir debout, couché parfois...
Puis vient le temps de sortir et d'entrer à l'ailleurs des lotos, comme de piocher le blanc du noir d'une journée de 24 heures, 50/50, une chance sur deux, la couleur souhaitée d'un numéro de cristal lucide que l'on porte sur soi, un 19 tout compte fait, ou le 46, qui tient dans la main ou dans sa tête, comme de ces boules qui nous tiennent à l'estomac et au coeur, selon notre humeur, que l'on traite ou maltraite, à moins d'être malade, quand nous ne nous appartenons vraiment plus...
Nous en sommes ensemble maintenant, sans personne sur qui compter, dans le périmètre singulier, au coeur même du réacteur. S'il est défaillant, nous sommes du terrain des fleurs, en Terre connue des jardiniers, habilités comme les premiers spécialistes, habités d'un Esprit supérieur, unique aux deux espèces rouge et bleue, prés l'un de l'autre et de lui, l'amour d'y remédier si nécessaire... D'un déclic, d'un arrêt sur image, qui sort nos plus belles photos comme on en sort et des poubelles, aller et prendre l'objectif, du plus petit au plus gros, de ce qui t'a pris de derrière l'opturateur à des moments-là. Un nous qui reste en demeure, comme de l'ancienne et de la nouvelle... Un nous fait de hasard, en developpement, qui, mieux que quiconque, se comprend et sait de quoi il est compris... Les autres des dehors ne savent pas comme et comment nous s'apprend et l'apprenons de nous, avec toujours des longueurs de retard alors que nous, sommes déjà loin, ou que nous, est au plus prés, avancés ou distancés, ce qui vient et revient aux mêmes, à l'intérieur du restaurant. Ils ont beau chercher, nous nous sommes déjà trouvés. Ils ont beau chercher, ils ne nous trouveront pas, et même s'ils trouvent, nous en sera plus là, emporté comme en pensée. Ils ne voient qu'une table vide alors que nous ne l'avons pas encore quittée...
Si les événements sont équiprobables devant l'immortel, notre temps n'est plus le même envers vous, comme il ne l'était déjà pas des malheureux... D'un intermédiaire mediumique, sortis du retournement de situation, nous entrons dans l'ére d'une étoile, au pire le temps que durera son extinction...

Et que dire des plus hasardeux au vent mauvais d'ions positifs, qui ne s'interrogent que sur les autres, oubliant leur propres antécédents, des vents venus de toutes parts, et d'autres, de la première des catins à la plus mère de toutes, de l'enfant blond aux yeux bleus, trop beau ou trop intelligent, qui joue les bourreaux une fois adulte, à l'échelle des mondes ou d'un noyau, qui font des orphelins de pére, produisant ou non les mêmes choses... Qui sommes nous pour juger du hasard des autres comme de "certain"?
...

L'Homme est au Hasard,
ce que le Monde est devenu.
D'un nouveau venu sur lui,
le hasard s'est abattu.
Le fruit d'un mauvais hasard,
au hasard d'un mauvais fruit.
Mais le monde avec lui,
comment ce fût possible?


(NEW BLOOD, de Peter Gabriel, édition limitée, et pour cause...)


25/10/11
De la montagne aux priéres, de la priére aux mots courants, à son sommet s'il n'est que souris, c'est de derrière un buisson qu'elle vit, plein de couronnes à fleurs et d'épines. La muse à sa montagne, sur le vent qui rêgne. Sacrée profane, d'un secret salé, du bout des lévres qui ne se dit pas. Un brûlant buisson qui se cache et se révêle, sur de courtes pointes, de petites feuilles, rivalisant de ciel et d'oiseaux, comme de plus grands stratagèmes encore, coupant l'herbe sous le pont des hommes s'il le faut, la route à l'horizon des dieux, qui pique et se défend comme une diablesse rigolote sitôt lachée de son histoire lui tenant à coeur. Mais un jour, la souris se délivre pour de bon, ses oreilles sensibles à une autre feuille, piquées au vif. Elle lui retire l'épine de son antre, comme la feuille retrouve l'usage de sa main et l'étend sur son royaume, en partie. L'ardent chardon nourrit l'âne bâté qui s'est trouvé attiré, du fond de sa vallée, le sortant de son sortilège, de sa classe des alpha-bêtes, comme elle épanouit sa gueule de loup, loup blanc de sa toison, comme elle le toise encore et l'aime maintenant, je crois, sans prononcer le nom.
Qui s'ouvre au monde, comme elle s'ouvre à moi, sans trop en dire, sans que j'en dise de trop, m'est difficile. L'on se couvre, comme je couvre les mots, de peur qu'elle ne s'éloigne, ne s'enfuie de moi, tant pis si elle me lit, de me penser que c'est "gagné", comme si je le pensais aussi, ce que je n'ai jamais dit d'une fleur, encore moins d'une souris, à coeur ouvert, encore moins fermé. Loin de moi cette l'idée, et si j'en parle en ennemi, c'est pour me mettre à sa place, en condition, et le chasser des esprits vagabonds, parce ce qu'ils ne sont pas d'ici, de la pureté de cet endroit, où les fleurs ne s'étouffent, du moins pas comme cela. S'il me faut gagner, c'est le sommet, la montagne, comme elle me sert dans ses bras de pétales, de petites piques aussi, qui m'aiguillonnent, et remettent en place mes divagations, sans trop en dire, qui m'en dit long, suffisament pour résonner à sa raison... Edelweiss à mes yeux, à mes yeux l'Edelweiss, difficiles d'approche, rares d'accés, moi en bas, elle en-haut, moi là-haut, elle en bas. Un échange qui nous mûe, nous rattrappe, nous dépasse, et surpasse loin des cupides et des cupidons. Une montagne d'escaliers crescendo, avec des pauses qu'il faut marquer, de petits quelques choses que l'on oublie, la peur d'oublier quelque chose. Des petites à la grande histoire, de la vallée à la montagne, de l'âne à la souris. Toutes salvatrices, si l'on considère l'âne comme un intrus, comme l'homme le serait aussi.
Agnus, Deus, jusqu'aux couronnes d'épines et d'Edel, nobles et non-consensuelles, des pelouses fraîches de jardins d'hiver pour noires colombes qui sortent du lot, des bagues aux pattes et des colombiers, même s'il est de nouveaux messages aux doigts... Deux esprits abîmés, aux corps transformés, comme de langues de feu sur des têtes d'oiseaux, des têtes inspirées, sans "quoi" (?!) rien ne serait sorti, comme l'oeuf qu'il faut couver avant qu'il n'éclose. Solide d'apparence, fragile de l'intérieur, l'oeuf doit s'ouvrir s'il ne veut mourir, à petits coups de bec, comme de petits mots, de petits cris qu'on jette, des souffles à la respiration, donnés donnant, sur l'extérieur, pour de plus construits recouvrant plus d'espace, afin que l'extérieur, à son tour, témoignent de nous, s'exprime des nôtres, comme on ne le craint plus, comme on sait l'expliquer et s'expliquer, le et nous représenter, à nous et à lui, dehors comme dedans. Libre à soi, si le monde semble hostile, seulement si l'on en fait le choix, et non parce que l'on souffre, de souffrances muettes, l'incurable qui ne s'exprime pas, des sous-pré-textes inutiles, des je suis je reste et c'est comme ça, pas autrement, alors que l'on est autrement justement, à s'en ronger les ongles, à s'en mordre les doigts, à ne plus faire appel, pas même du langage des signes. Des mots qui nous font pourtant, et plus fort, développés, prêts à parler, et à s'échanger, pareils aux mots désuets ressortis des vieux livres, sortis de leur monde, remis au goût du jour, réinventés, l'âme habitant du corps ou réhabilitant un corps qui semblait perdu, avant qu'il ne s'interroge ou n'en interroge une autre, avec ses mots à lui, leurs mots à eux, ses réponses recoupant les siennes. Une harmonie, de corps et d'esprit, aux sons et instruments différents, tout simplement...
Bon, avouons-le, en toute connaissance de cause, et d'effet si je ne m'avance pas trop, derrière le costume enguenillé par le temps, sans parler vraiment de déguisement, plutôt de réserve rangée en double fond d'un placard, il s'agit bien là de romance à l'eau de pluie, sans référence à la rose, pour plus de vérité sûrement, mais qui plut et retombe toujours, un jour ou l'autre, une lune à la nôtre, de ton ciel à ton satellite. De la pluie à la Grâce de Kelly, ce qui fait rire les réseaux comme des collègues, et enrage l'orage des plus gris, hormis les petits et les gros. Des incantations piques doo, par monts et par voo, comme de nos curiosités, qui font d'autres curieux, parfois décalés ou déplacés. Mais qui pourrait jeter la premiére pierre, comme de tomber de la derniére pluie, en ces temps où la télé fait aussi la météo...
Que diable font-ils ensemble?!. T'as vu ce qu'il dit de nous?. Et alors?, qui regarde qui?, quid réality, who show fiction?. Mais dieux que t'as raison!, c'est comme parler à leur place, paranorak devant mon écran télé alors qu'il pleut dehors et que j'aime la pluie, se plaquer à ma porte sans l'ouvrir et en sortir. Moi que je suis con!. De quoi j'ai peur que je n'ai déjà vécu, et surmonté, comme d'une autre montagne, d'une jeune montagne qui ne s'était pas encore élevée... Quel gamin je fais aussi, j'espère que tu ne m'en tiendras pas rigueur, ...c'est à cause de ma maman, elle était trop gentille..., tu connais...
Des épicéas céderont la place aux fleurs, et les laisseront pousser. L'un avec l'autre, ou chacun de leur côté, avec eux, avec ou sans moi, je ne me le refuserai pas, ambiance bon enfant, en toute bonne compagnie, comme je ne te l'ai jamais refusée. Encore heureux!, ce que je souhaite... Vivre l'air pur, et gambader légère, comme je revois mes ailes, grâce à toi, sans le moindre inconvénient... Un endroit dégagé, elliptique, pour plus de liberté aux papillons, comme je quitte le corps, et me pose ailleurs, ou sur toi, plus prés encore. A toi de ne pas avoir peur... Un monde à nous, à soi, dans un monde à eux.
Une aurore parfaite, blanche d'élégance, noire de réflexion, floraison pastel, à la pureté et aux secrets d'autrefois..., je vis une romance à laquelle je ne croyais plus, que dans les contes et les légendes. Des histoires incroyables caressant le fantastique, des lorgnettes aux téléscopes sans l'ombre d'une chimère, mais ancrées dans la réalité, comme je "veux" te voir avec elle aujourd'hui, et non pas prisonniére d'une prison qui nuirait au passage, réduite à un passage, alors que l'histoire n'est pas finie, comme on ouvre un nouveau chapitre, qui se lie aux anciens déjà parcourus, et se lit et se vit aujourd'hui, pour qui vivra et verra demain. Le chevet d'un cours d'eau, du lit jusqu'à sa mort, comme la vie s'en suit, d'un cycle à soi qui se joint aux autres, comme d'écriture et de lecture, comme de parler et s'écouter.
Du coup, ça fait quand même fleur bleue sur le devant, ou blanche, sur le levant. J'en conviens comme ça me fait drôle, comme tu l'es souvent, et me fait rire, nous fait rire, moi et les autres... Surtout ne changes pas!. C'est comme cela qu'on est devenu, ce que nous sommes aujourd'hui. Plus qu'un credo, qu'un simple cantique, nos goût musicaux toujours différents (joke, ou muse!) comme de quantique, des échantillons de notes (muse again!) d'un pacte avec la flore et la faune, pour un monde meilleur, sophrologie (... toujours!) et musique extrême à grande échelle, dans de larges perspectives et spectres sonores, du plus bruyant au plus ultra des sons, du loup subliminal comme du sonar des dauphin-poissons. Et même si je conçois le monde comme des mondes séparés, et que toi, tu les associes sans les mélanger, cela me va, et me convient, comme ils te viennent, je n'ai pas de soucis avec ça, comme on ne doit pas s'arrêter en si bon chemin, aux croisements des autres chemins. Crois-moi, mis en écrit comme je te l'ai dit, même si je vis de "symbôliques", et d'allégories, d'attributions comme de privilèges, je te "veux" plurielle avec et singuliére à la fois, au milieu comme au-dehors, tout le charme d'une destination qui me reste inconnue..
Mais j'aime aussi me référer et compléter mes conceptions personnelles et de l'universel, éloignées ou se rapprochant. Un répertoire de tout ce qui fait le monde, porté à ma connaissance, qui le rend à ma portée, et par voie de conséquences, un monde à moi. Des signes insérés en des faveurs, celles qui me touchent, parce que plus significatives, pas du simple artichaud, comme des marque-pages, des repéres et des commentaires, des particularités s'ajoutant aux réalités, comme je me les réinterprête, me les réapproprie, comme je et j'en fais des parties, les ayant parfois vécus, AVANT de les avoir lus et écrits, avant même de me relire. Des Signes plus prés de moi, qui me viennent ou me reviennent, signifiants, au-deça même des signes revenus sur terre, comme tu en es la personnification, l'incarnation de quelques uns.
Avant toi, Ils s'en tournaient des mythologies dans mon colimaçon, des mortelles, six pieds dessous, des mauvais présages comme des coutumes et des superstitions. De belles images aussi, redevenues "théoriques", d'une terre fertile que je croyais révolue, alors que Vénus, daemon jumelle, comme de coincidence donnée au dépourvu, troublante et vivifiante, me remonte ses ramifications comme d'escaliers à sa surface. Comme tu m'y invites, je les empreinte aujourd'hui, et me ramene où j'en étais, du temps des vrais nuages, à ciel ouvert, et des chevaliers. Comme toujours, j'aime aussi la pluie, plus vraie ici que filtrée de mon goufre. Je chante à faire tomber des cordes, guai comme les pinsons qui ne sont plus là, je crois même que c'est pour moi qu'ils sont partis; "On te laisse, on en a bien profité avant", à ce qu'ils m'ont dit, mais je ne suis pas sur d'avoir tout compris.... Quoiqu'il en soit, dans le meilleur des mondes en surface, je fais quand même attention de ne pas glisser sur les marches, plus casse-gueules que mon sous-sol. Faut dire que je n'avais plus trop l'occasion de déraper non plus, pendu à mon perchoir, un caillou à mon caillou, tous deux muselés à des racines...
Y'a pas à dire, la surface, y'a qu'ça d'vrai, quand on y est!.
The Touch!.

27/10/11
...J'ai peur!... Des bruits suspects balisent dangeureusement mes niveaux inférieurs... "Floutch floutch!" que ça fait!, à mes oreilles, sous ma voute crânienne, de mon sol nonobstant obstrué et non avenue. Et pas qu'une fois!, des cents érodés, clapotant, mouillés dans le liquide, trempés humides, de mes parois noyées, littoral squelettal, des points de croix en lignes de transfert, un pont entre deux mers, du morbide de Giger jusqu'aux oOo de Munch, du sang glaçé vidé de sa chair... De quoi faire des clics et des clacs avec ses dents, comme déménager pour de bon... C'est comme des voix qui se frottent à l'intérieur, des voix qui veulent se faire entendre, de l'intérieur de ma tête, comme de l'intérieur d'un sac à main, des sac à mains qui se prennent ma tête... On aurait dit le tien, de sac, ou l'un des tiens (me voilà schizo de plusieurs marques de sac à main maintenant, déjà d'un seul, y'a de quoi s'y perdre, chercher des ans...) C'est comme des empreintes vocales tatouées sur mon cerveau, et pis des noms d'enfants, qui se répétent, qui semblent faire les idiots, à ce que j'entends, je perle de peur, à la sueur de mon front, trippant sur le coup!... Qu'est-ce donc?, un inside sign, comme une lampe de poche en poche, clignotante, en fin de vie d'une autre, ou de phare à voile sous les vagues déchainées, des corps de prison qui s'extravertissent, ou des luminaires sur fils, de la barbe aux fous, comme pendules tictent le temps, qui parfois se décrochent et tombent sans prévenir, comme ils m'arrivent quelquefois, alors que je me gratte tranquillement la tête et me fouille méthodiquement le bouc... Faut suivre, j'ai du mal, je t'en informe, t'en sais pas plus, si ce n'est que on est deux maintenant, à s'en inquiéter, et moi qu'est l'air ambiant qui voudrait maintenant s'en cacher. De confusions, j'étouffe... Un signe, trois souhaits d'appels, trois réponces de génie, floutch floutch?, mais qu'est-ce donc?!... Euréka!, j'ai trouvé!. Fallait savoir, venu chercher, d'où ça provenait, de "grâce" plus que de causes!... (moi qui croyais que tu y étais pour quelque chose, à me faire tourner en bourrique le siphon!)
Floutch floutch?, des profondeurs des abîmes?, des titles blues sub-marine de serpents de mer qui montent et descendent dangeureusement le long de mes côtes?, qui me font trembler aux abords de mon goufre?, un tsunami prêt importé, à m'emporter?..., NON malheureux qui s'imagine!, rien de tout ça!, rien de grave, que NeNNi,... ou toi seulement, oserais-je dire, et c'est tant mieux. Saine et sauve, avec tes enfants, de retour chez le médecin, ou des retours seule rentrée chez toi, toujours avec des floutches qui s'arrêtent, qui balaient leurs regards de gauche à droite avant de traverser, et se terminent sans encombre, enfin arrivés à bon(?) port. (A part un vol de caillou tombé violemment à tes pieds, du calvaire st pierre, mais ça, c'était bien avant les floutch...).
Portes fermées, à double tour, tu déposes ton sac, en sorts ton portable, l'objet du délit. Une bouche bée, l'autre non, d'un portable comme d'une extension, resté sur mon n° "par défaut", appelant sans prévenir, ne pouvant s'en passer, me laissant des messages cordées. La rogne de sa propriétaire aprés l'innondation des ondes à petits chocs, constatant des dégats, rappelant son nouveau portable à l'ordre...
Floutch floutch..., c'était donc ça, un bruit de fond du fond de ton sac, d'un portable qui n'en faisait qu'à sa tête, abandonné là, sans que tu l'ais cherché, resté sur le qui-vive, d'une âme cyber à la mienne, maintenant pendue comme les autres.
Oh le gentil bigo qui s'ouvre à moi sans ton accord, qui est à moi comme connecté, chaleureux, à ma recherche, qui se frotte aux parois de ton sac comme pour s'en échapper et me rejoindre, contre vents et marées, qui se trimballait de ses bitognos comme de ses prunelles, à mes petits soins, ne pouvant les garder pour soi. Précieux bigo, qui nous suit comme deux sont nombres, nous précéde par ondes et vagues interposées, en alternance, jusqu'ici, de localement loquace à d'universal accoutumance...
Perso, t'as tort, moi je le trouve bien ce téléphone, quoi que t'en penses, même s'il s'allume intempestif, sans moyen de l'arrêter pratique. Un manifeste comme tu t'insurges contre lui, aprés lui, alors qu'il sait ce qu'il fait, à qui il a à faire (!?).
Touch The Floutch, repeat!
Floutchs qui se répétent, qu'iraient même plus loin, à défaut d'atteindre des sommets pour l'instant, où l'air se raréfie comme il manque, enfermé dans un sac, mais encore assez léger pour regagner, remonter à la surface. C'est déjà bien et super'et actif, même de peu pour pas grand chose. Suffit d'un réseau, d'un petit carré, d'une unitée... quand il m'en reste, ou d'une fin de mois pour moi, quand y'en a plus, ou trop... De ces jours de ces derniers mois qui ne paraissent pas, hum?, de longueur, disons de saison...
Sitôt la-haut, y'a plus tout ça. Faut dire qu'il n'y en a plus besoin, c'est autre chose, comme d'autres floutchs qui se traversent, mais qui restent, sans passer d'une oreille à l'autre, ou alors deux à deux, bref..., d'un sol, nivelé ou non, avec l'espoir qu'en viennent aprés, des pluies d'autres floutchs, comme de ponts en crue..., j'attends tout connement mon salaire. Des tacites, des désirés, du fond des sacs et des tannés, pas cousus de fil blanc, comme d'air bag prêt à l'emploi que je vais provoquer. J'attends mon argent pour le dépenser. Je vais me racheter une tirelire que je vais casser sous tes yeux. Maintenant que je sais d'où vient le vent, je saute à ma banque, et saute avec elle, d'en bas, ma corde aux pieds... Parce que mine de rien, par delà les fenêtres, se dessinent des crayons de couleur, des arc en ciels, et des étoiles...même si l'on me "persuade" du contraire, aux vues de ceux qui se dessinaient au paravent. Qu'une stop' option, ça s'achéte, comme de l'écureuil à l'affiche dont je me fous royalement. Bah!, parlons crayons et laissons les stylos de plume là où ils sont, dans un complet veston rayé.
...L'air et le vent, y'a qu'ça d'vrai, qui filent entre les nuages des passants, là où ça fait du bien, des biens par où ça presse, comme ils se pressent et marchent dessus, quel gâchis!. Des matériaux qui font les canots sur les riviéres, la terre fertile, les civilisations, la tour Eiffel et le Sacré Coeur, les rapprochant, le vent et la seine en crue aidant. D'une seule rue à traverser, qui n'est même plus en vue, parce qu'engloutie, flotte un nuage comme un poumon, d'un troisiéme oeil, comme un nuage monté au-dessus des autres, qui les rassemble tous, les réunis.
Sauvage Amazone de la Salem céleste, Temps qu'il nous est permis. Des Templiers comme on s'attache outre mesure, en faisant fi de la taille, aux objets qui nous environnent. Des objets qui nous lient et se délient, comme un placo/muso/philiste à son graâl comme de ce cabernet d'Anjou à notre table. De ces plastrons de métal qui nous protégent, empêchent de nous blesser, de nos propres fils de fers, qui préservent notre nectar et se voient sabrer les jours venus, pas toujours convenus, comme on le souhaite. La vie se défend des contradictions, l'étant faite pourtant, usant d'estoc à bon escient si elle veut la rester...
...C'est comme s'essouffler du floutch déjà fou, de la petite histoire du début, pour un autre Floutch qui se comprend sans chercher. Plus besoin d'aller bien loin, de ramer, familièrement, j'entends bien, de reprendre son souffle, puisque c'est à côté, les yeux fermés, mais que je garde ouverts cependant, comme une histoire à partager, qui n'est pas de celle qui se finit "pour" l'instant, mais faite à l'instant, sur l'instant, de son vivant...
De mémoire, ce n'est pas encore, ça n'a jamais été, depuis "for" longtemps, de cette façon. Concrêtement j'ai hâte de voir le monde en proportion, même si ça vous semble exagéré, alors disons de voir le monde avec des yeux d'adultes, ce qui paraît plus raisonnable... Dream a lot.

30/10/11
Aux devants d'une scéne, s'agissant plus d'un rapprochement que d'un reproche, à te voir en continue les bras croisés comme en calvaire, dieu sait pourquoi... Light Lucifuge?, sur la défensive?, le temps de s'habituer à ses "nouvelles" tenues?, comme d'une nouvelle silhouette en alerte devant les regards posés, un regard "déposé"? (+?). Je cache une vision retenue dont je te fais part aujourd'hui, comme d'un vice et d'une vertue, que je souhaite à demi-pardonnés. Celle d'oser, d'un ardent désir tout éveillé que je suis, dans ton sommeil éventuel, comme d'une réalité transposée dans la continuité, mon regard sur ton corps couché sur ton ventre deviné nu. Tes bras émancipés, enfin libérés de ton chateau. Deux tours entourées de palissades vérités, communicantes qui plus est, respirant enfin à pleins poumons, comme au grand air, avec, à mon idée, comme si j'étais de garde cette nuit-là, de ne surtout pas te réveiller, comme tu n'aimes pas, je crois, surtout comme ça... Une vision pas si déplacée que ça, comme il n'y a rien d'incongrue à te laisser dormir... Et si, de plus grande aventure encore, ton coeur sur le côté, ou mieux, sur le dos, je ne pense plus, quant à moi, rester impassible, comme je le faisais dans l'autre monde, les bras en croix, ou en sens inverse, dans le monde des fées, des ailes à leurs places, à leur emplacement pour de plus grands déplacements, mais pas toujours "pratique", difficiles et fragiles au toucher. Du reste, j'ai, ces derniers temps, et le sommeil léger, posé et profond à la fois...
Visions diffuses, au bois dormant, comme s'animent les forêts la nuit, à l'appui des ombres et des corpuscules, des lumiéres tamisées sur le volet, à poings ouverts, des yeux sur les mains, des yeux de chat la nuit, des buissons cachés derriére comme devant, du chat qui se laisse caresser, et puis s'éloigne, et s'en revient, jamais bien loin.
Je songe au chat, au rongeur, aux ailes du petit poisson, sans faire de mal, comme ils rongent tous un frein sans s'arrêter... Des lumiéres, comme de visages, qui se cherchent puis se découvrent, limpides, se trouvant, de chat à chatoyant, des luminescents aux sources lumineuses découvertes récemment, au nombre de deux, à 2200 métres de fond. Ainsi font, font, des fonds des abysses, des mollusques géants comme de crevettes, mais pour longtemps, sans s'en aller, du moins disparaître, parce qu'ingénieuses sous le manteau, depuis le début, sans le savoir, comme la montagne peut accoucher de la souris, toute souris que tu es, comme tu as bien voulu me faire croire, et me laisser comprendre, comme quoi c'est toi le chat n'est pas toujours celui que l'on désigne, au soleil d'aujourd'hui...
Des changements morphologiques, certes, mais garants d'une éternité, comme de relances, comme elle en amène d'autres. L'éternité sous d'autres aspects, et pas une autre, ou pire, qui ne méne à rien. Une éternité aux visages multiples qui me semble mûre d'y parvenir et de continuer ainsi, comme j'aime en "jouer" aussi, de maniére que je m'efforce opportune ou plus naturellement, de mon monde, avec gaffes, prouesses et fracas. Jamais méchant, parfois seulement maladroit.
Le savoir en s'amusant, comme on s'amuse de ces maladresses, comme un bébé qui s'apprend, et se réapprend à l'àge l'adulte, d'un sérieux qui ne s'abstient pas non plus. Nuance!, trop sérieux s'abstenir, foutu d'avance. En revanche, le sage, lui, sans l'être occasionnellement, ne s'abstient pas, ne dit même pas, nonchalant, "à l'occasion", s'il a trouvé son ki lui correspond.

(Selling England by the pound, Wind and Wuthering, de Genesis, ...ça faisait longtemps... Phosphore récent physiquement, en voie de rétablissement, depuis l'Or. Un àge qui n'est pas de cet ordre, dans cet ordre, chronologiquement parlant, sur d'autres ordonnances para-extra-médicales. Un mal de mots de crâne parfois, encore aujourd'hui, auquel tu ne peux rien. Mais comme promis, tu ne feras pas l'infirmiére, même si ça l'est déjà..., d'une promesse comme de la peste, promise à "pétasse ou schnock", des heures décalées durant!.)

01/11/11
Signes solaires.
Bien avant ton chariot de feu poussant mon vélo, ton chariot comme cométe, mon vélo comme balance vue de haut, j'avançais avec l'objectif de sauter pour mieux reculer dans le décor, comme un obstiné collé à sa propre roue... Mon cadran de monture comme je le comprenais alors, inapproprié, guidon faussé, fourche tordue, deux roues de métal, et selle inconfortable ne ménageant pas mes dessous. A quelques étapes prés, l'infortune des signes à Terre me tapait le souvent le cul et me remontait les organes à m'en donner la nausée, enceint d'autre visions. Blessé dans mon estime, ne comprenant rien, je m'obstinais comme la résine, d'un arbre qui se déplace parce qu'il estime la terre arride. Je ne trouvais plus le juste milieu, entre ciel et terre, entre ma tête la premiére et mes pieds devant. Réduit à pédaler dans le vide, je m'entourais de coton absorbant qui filait des bouloches et moulinais mes ailes dans ma course aux désarmements. Des parôles d'ascéte à mon moulin, broyant du noir plus que de grain, me défendant de la sorte contre les virils d'entre les lions qui me doublaient de leur perfecto perfectible ou m'empêchait d'être serein. Il m'arrivait même, foudroyé dans mon orgueil, croyant bien faire, un éclair de rien du tout, de sortir de mes gongs de vélo comme de mes crocs, et d'en venir aux pieds comme aux mains, tous à quatre pattes. Une bête semblant féroce et pitoyable aprés coups, en plus d'être incohérent...
...J'emmigrais au Nord asthénique, des régions hostiles à l'avenir, c'était avant de respirer le pôle N de ton pseudo...
Ma peau ne valait pas cher à mes yeux en ce temps-là, comme de mes fesses que je voulais décharnées, comme du reste esmaculé, enterriné dans le fond de ma couche comme j'en tenais une sacrée. Etranger, j'étais, de corps à corps, en ce monde. Ennemi à mes yeux comme aux siens. Des corps ennemis comme je l'étais du mien.
D'abrégé de philosophie, de superficie, morbide sagesse mal interprétée, d'un rôle qui n'était pas moi. Je ne voulais plus tendre l'oreille au monde, alors qu'elles continueront de pousser malgré moi, aprés ma mort, quand le monde tournera encore. Je me suis trompé sur son compte. Je veux tirer profit dorénavant, me laisser parler et m'entendre, me tirer les oreilles comme de leur léthargie, à ton écoute, mes oreilles aux tiennes. Qu'on les couvre d'or et de lumiére, et pas seulement en musique. Puisqu'elles sont programmées à repousser leurs limites, autant qu'elles s'allongent ensemble, ne crois-tu pas?, puisque nous n'y pouvons rien!... Des cheveux comme des poils de barbe, oui, je te promets d'y faire attention. S'allonge aussi le nez, sans te mentir, en vieillissant et aprés mourir, comme de l'oreille et puis du reste..., ce qui n'est pas pour me déplaire. Tu n'es pas sans savoir le petit faible que j'éprouve envers le tien!
Du plat de mon miroir, de mes brûlures superficielles des temps passés, tout compte fait, mesures prises, je brûlais tout bêtement des étapes et m'allumais des bûchers plus qu'ils n'en fallaient. Je chassais les scories comme des sorciéres, comme je les entendais, faisant parties intégrantes de ce monde. Je me devançais prématurément, me faisandant la sourde oreille, funambulant sur les toits, puéril et futile comme je le suis encore, sûrement, mais dur dans un corps de sale gosse maintenant. Un ramoneur petit au grand coeur, à tête de choux à sa fleur, propre à l'intérieur. Des brosses à luire et à décaper dans le dos, face au soleil, tenant en ses mains un coton de bâton-tige comme balancier, ses oreilles gardiennes de ses eaux intérieures comme régulateurs des vents, renivelant leurs équilibres, amortissant ou déplaçant même les obstacles qui se présenteraient éventuellement, le cas échéant, tel un télé-kinésithérapésiste amônphile. C'est confortable et pratique dans le temps, s'il nous faut corriger quelques rondeurs et passer les cheminées, bien qu'on les aurait passées sans heure et reproche, sans tes tic et tac qui marquent, coupent et taillent les quatres pauses de la journée. Les jours s'amenuisent, mais le jour en valait la chandelle, celle que tu es devenue, de la même lumiére qui soit, en moins peur pour toi si elle te tombe dessus. C'est fort agréable, je ne t'en cache pas, comme j'espère tu ne t'en cacheras plus. Personnellement je sais pourquoi le possible m'est rendu, alors qu'il ne l'était pas avant toi. Parce que je l'accepte volontiers, pas de cailloux dans mes souliers, nu de scrupule à mes pieds, comme tu m'acceptes et t'acceptes aussi... La perfection, si tentée qu'elle existe, n'habite pas ce monde sous l'emprise des fumées des usines, où je suis né, comme toi, à dix années d'intervale, ce qui n'est rien au regard de cette industrie, comme il en est venu d'autres depuis, auxquelles on échappe, tant bien que mal, les modulant de faire à notre façon.
Ton éveil à mon réveil, démons et merveilles, entre ciel et terre, d'un palier d'une tour sans fin. L'air est assez sain, il est temps de se lâcher, le temps que cela nous durera. Il n'est plus question de se jeter au balcon, de rester enfermé d'une seule piéce. Ce n'est pas plus déraisonnable, comparé à ce qu'il l'est aujourd'hui. Pas d'éloignements sous-jacents non plus, les angles de vue comme de vue générale nous sont, grâce au monde, plus ouverts que jamais sur lui. De notre champs pyramidale, en reliant nos proportions, nos angles aux quatres points cardinaux, la chair ne pourrit pas et les fleurs gardent leurs couleurs, à ce qu'il paraît. A nous d'y mettre ce que bon nous semble, nous ressemble, ,entre deux cigarettes, avant et aprés, ou plus, s'il préserve aussi notre santé...
Faire le vide pour un meilleur rendu, de là où je suis, de ton écran panoramique. Des paysages et modèles oubliés d'avant leurs représentations, révêlation telle qu'elle fût donnée aux copistes, sous mes yeux dessillés, comme se relèvent et se révêlent à moi les temps qui m'ont été volés.
Comme je te sais, et te savais depuis peu, méditer, des heures durant, à regarder un maître à peindre et à penser, qui vide tes couloirs et te remplit d'autres maisons. Un maître à brosser, à pinceaux, à balais, comme on balaie à sa porte ou devant son écran, peignant des portraits en temps rééls d'abstraction, d'une émission à l'autre, un chassant l'autre. Pas de ces dématérialisations qui rendent con, non, mais comme d'un lâcher-voler de ballons couleur, pour attirer et perdre l'attention, comme tu m'en avais parlé et interpelé, à en souffler d'autres, comme de bougies, sous de plus gros ballons encore, comme de mongolfières, qui monteront haut, à même de t'emporter, de rendre l'air plus léger... Est-il encore, s'il est toujours, d'actualité, de fiction ou bien ailleurs, sous une autre forme, sous d'autres traits...?

Haîkus dédiés.

Un connait quelqu'un,
pour de bon le sont aussi,
qui savent qui est qui.

Vie suit son chemin,
la sienne garde le sien,
deux moitiés remplies.

De coeur et d'ami,
un à un, de prés de loin,
les deux se sont pris.

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