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Divinity II: Ego Draconis

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Divinity II: Ego Draconis
La troisième divinité
Après Beyond Divinity et Divine Divinity, deux jeux n'ayant pas vraiment marqué leur époque, Larian Studios revient avec ce nouveau jeu de rôle. Sorti en septembre 2009 peu de temps avant le blockbuster de Bioware, Dragon age : Origins, Divinity II affirme, en préface de son manuel, avoir la ferme intention de se tailler la part du lion dans le monde très fermé du RPG occidental dominé actuellement par les géants Bioware et Bethesda Softworks. Pari réussi pour le studio Belge?

Draconis versus Dragons

Divinity II plonge le joueur dans le monde de Rivellon. Ce monde a déjà été foulé par les armées d'une puissance démoniaque appelée "le Damné". Le grand Sorcier Zandalor et Lucian, l'élu divin, parvinrent à empêcher l'Alliance des Ténèbres - un groupuscule d'humain aux ordres du démon - et leur maître d'accomplir leurs sombres desseins. Cependant, avant sa mort, le démon lui montra un nouveau né sur un autel, lui annonçant le retour du chaos. Malgré cela, Lucian ne put se résoudre à tuer le nourrisson et décida de l'élever dans la lumière, comme son propre fils. Il fut appelé Damian.
Celui-ci fut élevé sans trop de problèmes jusqu'à ce que l'Alliance des Ténèbres, toujours présente en Rivellon mais cependant cachée, envoie une jeune femme dénommée Igraine pour séduire l'engeance du démon. La technique se révéla fructueuse : Damian tomba instantanément amoureux de la belle, qui, malgré son travail de séductrice, succomba aux charmes obscurs de sa cible. Elle put cependant mener sa mission, et commencer discrètement à éveiller les pouvoirs ténébreux du jeune homme. Malgré sa bienveillance, l'élu divin ne se rendit compte que trop tard de l'implication de l'Alliance des Ténèbres et dut prendre la décision de faire exécuter Igraine. Damian fou de rage et de chagrin jura vengeance : "le Damné" était de nouveau en Rivellon.
Après une première défaite et un emprisonnement magique, Damian put se libérer et mena cette fois une guerre contre son père adoptif. Ce dernier était allié aux chevaliers dragons, de puissants humains capables d'utiliser la connaissance de cette race antique. Malgré cela, un des leurs trahit Lucian et l'assassina, ce qui calma pour un temps la colère du Damné. Ayant d'autres plans en tête avant la domination de Rivellon, il se retira et au fil des siècles et de la reconstruction, celui-ci, malgré sa réputation toujours maléfique, finit par ne plus être considéré comme une Menace. Les Chevaliers Dragons furent eux tous logés à la même enseigne : des traîtres. Pourchassés par les Draconis, des tueurs ayant subtilisé les connaissances de la race antique, leur nombre se réduisit pour presque disparaître.

C'est dans ce contexte que le joueur entre en Rivellon. Après avoir réalisé son profil physique au moyen d'un éditeur somme toute minimaliste, celui-ci est invité à parfaire sa formation de Draconis par "l'importation" de la connaissance des dragons. Après ces derniers enseignements, il sera placé dans l'unité du commandant Rhode, dont la mission est de poursuivre le dernier Chevalier Dragon de Rivellon, dans la région du vallon brisé. Cependant, celui-ci échappera, mourant, des griffes du commandant et rencontrera le joueur. Réunissant ses dernières forces, il parviendra à sauvegarder son esprit dans celui de notre héros. L'espèce des chevaliers dragons se retrouve donc sauvée pour le moment, la noble quête du joueur change. Il faut arrêter Damian dont les agissements semblent avoir repris.

La trame se veut plutôt classique mais relativement surprenante. Appuyée par un background tout à fait honorable et par le personnage de Damian, Bad-guy extrêmement charismatique, elle sera un immense atout pour le jeu. On regrettera cependant une narration un peu décousue et bourrée de temps morts. C'est d'autant plus dommage que les dialogues sont très sympathiques même si leur mise en scène laisse à désirer; leur humour parfois présent arrachera quelques sourires, et la personnalité de certains PNJ entrainera le même effet, toujours très agréable.
Si le W-RPG actuel vante l'influence des choix du joueur sur la trame, c'est ici le vide de ce côté, la trame reste relativement dirigiste et ne possède aucun embranchement possible. Cependant, la fin surprenante et très bien amenée nous fait oublier ce léger détail.
Globalement une réussite, l'histoire de Divinity II tiendra le joueur en haleine, même pendant les gros temps morts, et fut pour moi la source d'une motivation spectaculaire, chaque apparition de Damian étant une récompense en soi.
Divinity II: Ego Draconis
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Moteur... Action !

Abordons ce qui représente pour moi le point faible de DivinityII : son gameplay. Après la création de votre personnage, vous serez amené à choisir la voie qui vous correspond, à savoir guerrier, mage ou archer, ce qui déterminera le placement de votre premier point de compétence.
L'évolution du personnage se fait, du reste, d'une manière classique. On acquiert de l'expérience en remplissant des missions et en tuant des monstres pour monter de niveau. A chaque niveau, on gagne des points de caractéristiques à répartir dans les habituées du genre (Force, Dextérité, Intelligence, Esprit et Vitalité) ainsi qu'un point de compétence à utiliser pour en débloquer une nouvelle ou en améliorer une déjà apprise. Cependant, il n'y a pas de restriction de classe. Un personnage ayant choisit la voie du guerrier au début pourra tout à fait mettre des points dans un sort de feu ou dans la maîtrise de l'arc. Cependant, en faisant cela, il faudra d'autant plus faire attention à chaque montée de niveau.
Si ce système prône la polyvalence, elle se révèle très peu efficace à outrance. Il sera de loin préférable d'améliorer une compétence que d'en acquérir une nouvelle, au vu de l'a difficulté du soft, ce qui fera qu'à la fin, on utilisera environ trois compétences au maximum compte tenu de toutes les compétences passives indispensables à faire évoluer.

La difficulté du titre est relevée, et obligera le joueur à réaliser les nombreuses quêtes annexes. Si ces missions sont en bonne quantité, la qualité laisse parfois à désirer : peu sont scénarisées et beaucoup correspondent à des quêtes de coursier ou d'assassinat de monstres. Elles permettront de gagner de l'or, des équipements aux noms improbables qui feront jubiler les amateurs de Hack'n Slash (cuirasse parfaite du noble de la chouette du courroux mystique !), ainsi que de la précieuse expérience.
C'est un point auquel je n'ai pas adhéré. L'abondance des quêtes annexes est une chose, mais obliger parfois le joueur à chercher la moindre quête restante pour augmenter en niveau en est une autre. On note toutefois un système de télépathie déclenchable pendant les dialogues contre un peu de votre expérience, qui permettra parfois de découvrir d'autres moyens de résoudre vos quêtes.
La difficulté vient essentiellement du défaut majeur des combats et du gameplay à mon sens : des monstres ayant trois niveau de plus ou de moins que vous sont respectivement imbattables et inoffensifs.

Même s'il s'agit d'un Hack'n Slash, le système de combat fait montre de subtilité, grâce à différents mouvements de saut et d'esquive qui permettent d'éviter les projectiles ou les attaques rapprochées. Cependant, la difficulté mal dosée du soft en rendra plus d'un perplexe, malgré la réserve de potions qui devra à tout moment remplir votre sac.
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Drag on shooter

Il sera possible, durant le jeu de se transformer en dragon grâce à une pierre draconique. Outre une apparence en définitive stylisée et malgré tout assez "chic", cela donnera une certaine impression de liberté. Cette impression sera néanmoins très vite gâchée par des murs et des plafonds invisibles extrêmement serrés. Par exemple il sera impossible de passer au dessus d'une falaise.
Deuxième défaut que l'on relèvera dans ce système : la disparition des ennemis au sol lors d'une transformation. Ils seront donc inattaquable ce qui réduit quand même un peu l'impression de puissance. Mais le gros problème, c'est qu'évidemment, il arrivera de se poser et de tomber en plein dans un groupe d'ennemis, et compte tenu de la difficulté, c'est parfois un peu gênant. Et, vous m'accorderez s'il vous en dit, qu'un dragon myope, c'est tout de suite moins "classieux".

Côté combat (seulement aérien du coup), le jeu se transforme en Shoot Them Up assez basique. Le dragon possède de base son souffle et grâce à un arbre de compétences spécifique, à des livres de compétences draconiennes, et aux niveaux montés sous cette forme, on pourra améliorer la puissance de feu de la bestiole. De même que pour la forme humaine, il y a un système d'équipement pour la forme de dragon. Si ces phases ne sont pas d'une subtilité extrême, elles sont néanmoins intenses et très immersives.

De plus, au cours de l'aventure, vous acquerrez une tour de guerre qui sera votre base et votre sanctuaire. Y seront basés des prospecteurs qu'il faudra équiper pour qu'ils vous ramènent gemmes, minerais et plantes afin de fournir votre alchimiste et votre enchanteur, et pour qu'ils reviennent de leurs périlleuses missions en un seul morceau. Vous aurez également à disposition un Nécromancien qui assemblera les morceaux des cadavres de vos ennemis pour créer votre créature, invocation qui pourra vous être utile (malgré une IA parfois déplorable). Cet aspect du gameplay est plus qu'appréciable mais il apparaît vraiment trop tard dans le jeu pour être véritablement agréable.

Pour clôturer le tout, Divinity II propose des sauts totalement libres, ce qui donne lieu à des phases de plates-formes plutôt bien réalisées. Cependant on note un oubli étrange, il n'y absolument aucun dégât de chute. Si ce petit détail est amusant, car faire des chutes de plusieurs dizaines de mètres sans prendre le moindre dégât peut être grisant, les plus rôlistes d'entre vous trouveront cet oubli dramatique.

Malgré sa diversité, le gameplay de Divinity II souffre de mauvais calibrage, de manque d'application, peut-être, et d'oublis assez étranges. Et, au lieu d'avoir un jeu qui proposerait une expérience de gameplay diversifiée comme l'était sa vocation, Divinity II est bien souvent lassant. Dommage.
Divinity II: Ego Draconis
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Un dragon pas si myope

Graphiquement, Divinity II s'en sort plutôt bien. Les textures sont jolies, les décors sont parfois tuants et complètement grandioses, la végétation, bien qu'un peu datée, donne un très joli rendu. On déplorera cependant un certain manque de diversité dans les modèles de personnages. Le Chara-Design est d'ailleurs assez banal, malgré quelques personnages plutôt réussis. Cependant, le titre souffre d'un clair manque d'optimisation : les saccades et les ralentissements font parfois irruption, les menus sont parfois lents à s'afficher que ce soit sur la version PC ou la version 360. On remarque aussi des effets de lumières parfois plus que douteux. On obtient quelque chose d'assez inégal au final.
L'ambiance est cependant toujours bien rendue, allant du féérique pour certains décors à l'atmosphère totalement glauque de la demeure d'un nécromancien. Divinity II surprend agréablement sur ce point.

La bande-son n'échappe pas non plus à cette inconstance. Certaines musiques ressortent et sont bien épiques mais la plupart se contentent d'être simplement fades. Les doublages français, eux, sont corrects et se laissent écouter sans grimacer.

L'aventure durera une trentaine d'heures, voire quarante si vous comptez réaliser toutes les missions annexes. Cependant, la replay-value reste faible, étant donné que vous aurez fait la plupart des quêtes annexes pour faire face à la difficulté, et que le scénario ne possède aucun embranchement possible.
Divinity II: Ego Draconis
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Divinity II: Ego Draconis
Divinity II est un jeu bourré de potentiel et de bonnes intentions. Cependant, faute à une mauvaise exploitation de ses idées, Larian Studios n'en a fait qu'un jeu parfois agréable sans plus et qui peut très vite devenir lassant. Le scénario, s'il se pose évidemment en gros point fort du jeu, aurait gagné à connaître une narration moins décousue. Au final, l'ensemble paraît léger comparé à ce que peuvent proposer les derniers jeux de rôle en date (Dragon Age, The Witcher ou Oblivion pour remonter encore dans le temps, et j'en passe), même si l'ensemble reste globalement sympathique à jouer.

27/02/2010
  • L'histoire
  • L'ambiance oscillant entre le féérique et le glauque
  • Damian !
  • Certains décors magiques
  • Les combats sympathiques et parfois bien nerveux
  • Forme de dragon...
  • ... mal pensée parfois
  • Bande-son inégale
  • Effets de lumière douteux
  • Gameplay plein de failles
  • Chara-design quelconque
  • Des ralentissements agaçants
6

TECHNIQUE 3.5/5
BANDE SON 3/5
SCENARIO 4/5
DUREE DE VIE 3.5/5
GAMEPLAY 2.5/5
Divinity II: Ego Draconis > Commentaires :

Divinity II: Ego Draconis

6
7.5

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4 commentaires
Takhnor

le 25/08/2019
8
Le jeu est très joli et soigné pour son époque, et j'ai été relativement indulgent quant au nombre limité de visages de personnages en faisant le parallèle avec un autre jeu qui avait ce travers: The Witcher.
Divinity Ego Draconis est intéressant dans son optique de jouer un personnage obligé de devenir son propre Némésis (le choix du mot n'est pas anodin connaissant le jeu précédent de la série).
DED est à nouveau un Action RPG, empruntant parfois un peu trop à l'action à mon goût, et revient un peu sur Divine quant à son arbre de compétences bien qu'on puisse réinitialiser ses choix comme dans Beyond.
L'écriture est soignée elle aussi, le développement de l'histoire astucieux et celle-ci recelle par moment de choix moraux. Mais il y a bien des moments où je n'ai pu résister au fou rire.
J'avais trouvé pour ma part les phases en dragon plutôt fun, bien qu'après avoir rasé la toute dernière forteresse, j'en étais un peu lessivé.
La musique de Kiril Koprovsky est ici un peu moins expérimentale que dans les Divinity précédents, mais sa touche perso transparaît, et l'OST dans son ensemble est très bonne.
Selene

le 06/04/2014
7
Divinity 2 est une belle aventure qui cumule malheureusement pas mal de défauts.
Les quêtes, que ce soient les annexes ou autres, sont dignes d'un mmorpg et c'est bien du gâchis au vu de l'excellente qualité d'écriture dont est doté le soft. Les choix des dialogues n'influencent rien du tout mais les répliques au moins sont bourrées d'humour.
Le scénario principal est prenant même s'il y a un gros manque de mise en scènes par moment (l'île de la Sentinelle, les apparitions de Damian qui ne servent à rien...), le rythme s'essouffle très vite mais pourtant quel final ! Je comprends la frustration de ceux qui n'ont pas pu enchaîner avec l'extension.
D'un point de vue esthétique, j'ai trouvé le jeu très soigné, mention spéciale aux caves et intérieurs des maisons, c'est donc avec plaisir qu'on explore chaque recoin. Dommage que nous restons finalement hermétiques à tout ça, le monde n'étant pas assez vivant pour être réellement immersif.
Il n'y a pas de cycle jour/nuit, les personnages se ressemblent tous. En 8 minutes de jeu vous croisez au moins 5 clones de vos instructeurs donc même les personnages importants n'ont rien pour se démarquer. Aussi, le choix du sexe de votre héros n'est pas pris en compte lors des dialogues.
Pour les combats, c'est du hack n slash donc j'ai adoré même si les techniques du guerrier ne se sont pas révélées particulièrement intéressantes, je tenterais le mage si j'ai un jour le temps (ou le courage) de m'y replonger.
Pour la version Dragon Knight Saga il y a pas mal de bugs non négligeables qui subsistent. Impossible de terminer quelques unes des forteresses volantes (les quêtes les plus chiantes du jeu) pour cause que les boss n'apparaissent pas ! Invisibles au combat, écran noir au moment des dialogues... Sans compter d'autres bugs comme se faire éjecter au milieu d'un combat...
Luckra

le 15/01/2011
Edité le 15/01/2011
7
Divine Divinity II est une bonne surprise et tente de se démarquer de la masse de W-RPG heroic fantasy.

Graphiquement, le jeu est agréable à regarder avec surtout des intérieurs (donjons et maisons) très soignés par rapport à l'extérieur. A noter, l'eau est assez dégueulasse et les effets d'ombre et de lumière sont assez bizarres.
Niveau musique, la plupart des pistes sont très discrètes mais certains thèmes, notamment de village, restent en tête.
J'ai trouvé le scénario très classique mais très bien écrit, les nombreuses quêtes annexes sont variées et surtout ont de multiples fins si l'on cherche plus loin que le bout de son nez. Malheureusement, la mise en scène laisse grandement à désirer, les clones de PNJ empêche l'immersion complète et aucun personnage n'est vraiment charismatique. De plus, la fin est complètement bâclée. Dommage.
Pour le gameplay, on a le droit à du hack&slash avec très peu de compétences, basique mais efficace. Au final, on jouera bourrin mage ou guerrier malgré les quelques soucis de collision en combat. La difficulté fait du yoyo avec alternance de phase très très facile et d'autres qui n'ont pas à rougir d'un Gothic. L'idée de la forme Dragon est excellente mais malheureusement très galère à diriger et peu utilisée au final.
Malgré que cette version soit "enhanced", de nombreux bugs subsistent encore et certains empêchent même de finir certaines quêtes annexes.

Finalement, le bilan est mitigé mais globalement positif. Bourré de bonnes idées sur le plan narratif et sur le gameplay, Divinity II n'exploite toutefois pas tout leur potentiel. Quelques corrections et ce sera bon.
Gwimdor

le 28/11/2010
Edité le 28/11/2010
7
Après avoir terminé Divinity II, je ressors de cette expérience assez mitigé, proposant un scénario aux dialogues très bien écrits et à l'humour bien dosé. Le jeu est doté de beaux graphismes, d'une ambiance envoutante et de passages en dragon vraiment fun et bien réalisés, pour finir par un cliff final assez énorme. Le jeu possède malheureusement beaucoup de défauts, pas le moindre personnage attachant ou un minimum intéressant, une absence assez déconcertante de cycle jour/nuit. Vous pouvez arriver à n'importe quel moment de votre périple dans un village, les habitants feront toujours la même chose, les quêtes annexes relativement nombreuses sont très loin d'être passionnantes.

Au final, j'ai bien apprécié ce Divinity II qui possède un charme certain malgré ses nombreuses lacunes.

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