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The Legend of Heroes: Zero no Kiseki

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The Legend of Heroes: Zero no Kiseki
To protect and to serve
Trois ans après la trilogie Eiyuu Densetsu VI: Sora no Kiseki, Falcom nous offre enfin le septième épisode de la série, Zero no Kiseki sur l'infatiguable Playstation portable de Sony. Fidèle représentant du RPG old school par excellence, le développeur japonais continue sur sa lancée et nous invite cette fois-ci à découvrir une autre partie de l'univers parcouru par Estelle et Joshua dans la précédente trilogie : l'immense cité d'ombre et de lumière de Crossbell.

Beyond the Wall

Située au milieu des deux grandes puissances que sont l'Empire Erebonian et la République de Calvard, la ville de Crossbell est une gigantesque cité-état parfaitement autonome et prospère mais gangrénée par la mafia et les organisations criminelles étrangères. Loyd Bannings, un jeune homme de 18 ans originaire de Crossbell, revient dans sa ville natale après trois ans d'absence passés dans une école de police à l'étranger dans le but de devenir un formidable inspecteur comme l'était son grand frère, décédé dans l'exercice de ses fonctions quelques années auparavant. Élevé par celui-ci et sa grande sœur Cecil à la mort de leurs parents, Loyd contient donc difficilement son impatience à l'idée de revoir cette dernière qu'il n'a pas vu depuis son départ pour l'académie. Mais les retrouvailles devront attendre car sitôt débarqué du train, il devra se présenter à ses supérieurs de la police de Crossbell (le C.P.D) et être affecté à son poste au sein d'une toute nouvelle unité : la "Special Support Section" (ou S.S.S.).

Car en effet, les forces de l'ordre ont perdu la confiance des habitants. Les pressions politiques exercées par l'Empire d'un côté et la république de l'autre altèrent le bon fonctionnement du système et les citoyens se sont alors peu à peu tournés vers l'organisation libre et privée des Bracers au détriment de la police. Le S.S.S. fut donc mis en place dans ce sens afin de proposer un service similaire pour concurrencer la célèbre guilde mais aussi redorer le blason du C.P.D. Loyd fera ainsi la connaissance de ses nouveaux partenaires, Elie MacDowell, la petite-fille du maire, Randy Orlando, l'ex-militaire et Tio Plato, l'adolescente taciturne.

Fini les Bracers, nous voici donc cette fois-ci aux commandes d'une unité spéciale de la police composée principalement de ces quatre jeunes gens. Le déroulement du jeu ne s'en retrouve pas fondamentalement bouleversé, puisqu'il s'agit toujours d'effectuer des quêtes (ici via un terminal) optionnelles ou importantes pour la continuité de l'histoire, exactement comme dans les guildes de Sora no Kiseki. Et rassurez-vous, bien que la majorité de l'action se passe dans les différents quartiers de la ville de Crossbell, vous aurez également l'occasion à de nombreuses reprises de partir enquêter hors de la cité afin de visiter les campagnes environnantes. Car si la plupart des quêtes annexes ressemblent à peu de choses près à celles que l'on retrouve dans la plupart des RPG (éradication de monstres, aider les habitants à retrouver un objet perdu, etc.), le cœur du scénario quant à lui se compose de différentes enquêtes policières que nos jeunes investigateurs devront élucider, menant petit à petit à la conclusion de l'aventure.
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City of Light and Darkness

À la fois riche, prospère et accueillante, la ville de Crossbell est assombrie par l'omniprésence de plusieurs organisations criminelles particulièrement puissantes et solidement implantées dans la cité. Les personnages auront donc fort à faire afin de faire régner la justice en son sein et d'opérer un profond changement des mentalités. C'est en tout cas le point de vue du personnage principal, Loyd, un jeune héros typique du RPG à la japonaise, idéaliste et profondément humain. À ce titre, il serait absurde de ne pas admettre qu'un sentiment de déjà-vu se fait sentir au début dans la personnalité de notre jeune équipe. Entre Elie la jeune fille modèle et un peu coincée, Randy le coureur de jupon et Tio la lolita renfermée sur elle-même, tous ces archétypes ont déjà été maintes fois utilisés dans les jeux vidéo et pourraient paraitre un peu stéréotypés. Cependant, l'une des grandes forces du récit est de prendre le temps de développer ses personnages au moyen de (très) nombreux dialogues, affinant leur personnalité, dévoilant leur passé respectif et les rendant finalement très attachants. Il s'agit indéniablement de l'un des aspects les plus réussis de Zero no Kiseki, tout comme l'était le couple Estelle/Joshua en son temps. Le scénario n'est quant à lui pas en reste, avec une intrigue savamment distillée qui monte en intensité au fur et à mesure de la progression de l'aventure. Il faudra donc vous armer de patience pour commencer à entrevoir les réels tenants et aboutissants de l'histoire qui ne seront dévoilés qu'au tout dernier chapitre, riche en révélations.

De très nombreuses personnalités graviteront également autour de notre équipe de choc, amis ou ennemis et aux caractères toujours très développés. Sachez aussi que beaucoup de têtes connues des épisodes précédents referont surface ici puisque le jeu se déroule dans le même monde que les Sora no Kiseki. Il serait d'ailleurs préférable d'avoir joué aux jeux précités au préalable afin d'apprécier pleinement l'expérience. En effet, bien que l'histoire soit complétement inédite et parfaitement compréhensible aux nouveaux venus, les références à l'ancienne trilogie sont tout de même relativement présentes et vont bien au delà des simples clins d’œil ou caméos. Falcom offre donc une vraie continuité à son univers et forme un tout cohérent pour le plus grand plaisir des fans.
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Tactical Orbment Enigma

L'excellent système de combat est de retour quasiment à l'identique, agrémenté de quelques nouveautés. Les monstres sont toujours visibles dans les donjons et il est évidemment possible de les frapper avant d'entamer un combat pour bénéficier de quelques avantages au début de la bataille, la meilleure solution étant bien sûr de les surprendre par l'arrière. Les affrontements se déroulent sur une map quadrillée où tous les adversaires sont libres de se déplacer dans la limite toutefois de leur capacité de mouvement. Le placement de votre groupe se révèle donc d'une grande importance puisque les différentes magies ou attaques spéciales possèdent toutes une zone d'effet plus ou moins large. En résulte donc une dimension stratégique réelle, un côté Tactical RPG fort agréable qui prendra toute son ampleur lors des rencontres avec les différents boss du jeu.

L'AT ("Attack Turn") de chaque adversaire est représentée par une barre d'initiative sur la gauche de l'écran afin de toujours connaitre l'ordre d'action des personnages, tandis que différents bonus peuvent éventuellement venir s'y ajouter comme une possibilité d'attaque critique par exemple ou bien encore une récupération de points de vie ou de magie. L'un d'eux, le "Team Rush" est à ce titre une nouvelle attaque possible permettant à toute l'équipe de fondre sur l'ennemi en même temps, occasionnant ainsi des dégâts monstrueux, à la manière des derniers Persona. Quant aux "Crafts", les fameuses techniques spéciales de chaque héros, elles répondent bien évidemment présentes, la jauge de CP se remplissant au fur et à mesure des attaques infligées ou subies. Nos jeunes policiers en apprendront également de nouvelles au fil de l'aventure, dont certaines grâce à l'affinité grandissante de Loyd envers ses coéquipiers (comprenez par là, des attaques combinées uniques avec l'un des autres personnages principaux).

Équipé de leur système "Enigma" spécialement conçu pour la police de Crossbell (un dispositif ultra moderne développé par la fondation Epstein permettant non seulement l'utilisation de pouvoirs magiques mais offrant aussi la possibilité de communiquer entre eux comme un téléphone cellulaire), votre groupe sera capable de lancer de puissants sorts ("Arts") moyennant un coût en EP, autrement dit en points de magie. Ces pouvoirs énergétiques peuvent être obtenus en récupérant des Sepith (sorte de cristaux d'éléments tels que l'eau, le feu, etc.) sur les créatures terrassées et ensuite de les raffiner sous forme de Quartz par le biais d'un magasin spécialisé. Le mélange de plusieurs variétés différentes de Sepith permettent alors de créer toutes sortes de magie plus ou moins puissantes que vous pourrez ainsi à loisir insérer dans les réceptacles libres de votre Enigma. Ce système particulièrement bien pensé permet donc toutes sortes de combinaisons afin d'obtenir les sorts désirés. Pour finir, sachez que ces cristaux pourront également être échangés contre de l'argent afin d'acheter de nouveaux équipements dans les boutiques, car dans Zero no Kiseki les monstres ne rapportent pas de butin, seules les quêtes terminées permettent d'en gagner. Mais si vous possédez les matériaux adéquats, un atelier en ville vous permettra aussi de créer des armes très puissantes et introuvables à la vente. Un gameplay en béton armé donc, fun, complet et riche en possibilités.
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Trails of Zero

Techniquement le jeu ne s'éloigne pas vraiment des épisodes précédents et propose toujours un mélange de sprites en SD sur des décors en 3D. C'est beau, c'est propre, et le style graphique habituel de la firme est conservé. C'est le character designer de Ys Seven et Star Ocean IV qui s'est cette fois-ci occupé de dresser les portraits des différents protagonistes du jeu et le résultat est largement satisfaisant. Les personnages sont variés et charismatiques pour la plupart, avec de nombreux changements d'expressions qui facilitent l'immersion dans les phases de scénario. Quant aux compositions musicales, elles remplissent parfaitement leur rôle, et même si l'on n'évite pas quelques pistes un peu passe-partout sans consistance, le gros de l'OST est d'un très bon niveau, surtout en ce qui concerne les excellents Battle Themes du jeu. Falcom a toujours su créer des musiques épiques qui prennent le joueur aux tripes dans ces moments-là et Zero no Kiseki n'échappe pas à la règle. Bref, le soft tient parfaitement la route à tous les niveaux, et ce ne sont pas les temps de chargements extrêmement discrets qui viendront ternir l'ensemble.

Pour terminer, un mot sur la durée de vie assez importante du titre. Une cinquantaine d'heures seront nécessaires pour voir le bout de la longue quête principale et de nombreuses autres si vous comptez boucler la multitude de missions annexes disponibles. Ajoutez à cela la possibilité d'aller s'amuser dans les casinos, de faire de la cuisine ou bien encore de partir à la pêche, et vous obtenez un jeu archi complet à la longévité potentiellement monstrueuse. D'autant plus que la difficulté générale parfaitement équilibrée ne vous forcera probablement pas à subir de fastidieuses séances de leveling, pouvant parfois augmenter artificiellement la durée de vie de certains RPG. Les boss sont certes souvent coriaces mais une stratégie efficace vous permettra toujours de vous sortir de n'importe quelle situation.
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The Legend of Heroes: Zero no Kiseki
Zero no Kiseki ne possède finalement pas de réel défaut. Beau, long, jouissant d'un excellent système de combat, de personnages attachants et d'un scénario très prenant, Falcom démontre encore une fois sa grande maitrise du RPG japonais traditionnel tant il est difficile pour le joueur de lâcher la console. Les heures de jeu s'envolent jusqu'à la conclusion de cet énorme prologue dont l'histoire se poursuit et se termine dans Ao no Kiseki.

27/06/2012
  • Le système de combat
  • Les références à Sora no Kiseki
  • Le scénario et les personnages
  • Grande durée de vie
  • Techniquement impeccable
  • Peu d'innovations en terme de gameplay
8

TECHNIQUE 4/5
BANDE SON 4/5
SCENARIO 4/5
DUREE DE VIE 5/5
GAMEPLAY 4/5
The Legend of Heroes: Zero no Kiseki > Commentaires :

The Legend of Heroes: Zero no Kiseki

8
8.5

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8 commentaires
Schwarztraum

le 21/08/2024
9

Il y a des jeux comme ça, qu'on sait immédiatement qu'ils vont nous prendre aux tripes.

Dans le cas de Zero no Kiseki, c'était un tout: le trait si particulier des personnages, l'ambiance de la Cité-État, le fait que les personnages soient adultes, la police qui résonnait bien plus que les Bracers pour moi, les quelques bribes d'OST que j'avais déjà entendues par hasard...

J'ai donc attendu un peu avant de me lancer dans ce que je supposais, instinctivement, être ma partie préférée d'une de mes sagas favorites. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que je n'ai pas été déçu.

Une ambiance mature (entre police, mafia et corruption), des personnages absolument fantastiques, une OST divine, un système de jeu parfaitement calibré...et en plus, le scénario est une bombe? Chaque chapitre apporte sa pierre à l'édifice, et je ne peux qu'être dythirambique sur la qualité dingue des dialogues en particulier dans cet opus des Trails.

J'avais beaucoup aimé les Sky, mais il faut avouer que l'arc Crossbell est bien plus marquant, bien plus court et donc plus condensé, moins classique.

On ne peut que remercier Falcom de nous proposer toujours autant de chefs d'oeuvre, année après année. Mais ceux-ci sont au sommet de leur art dans cette duologie, et ce n'est pas rien.


Herbrand

le 19/05/2020
8
Un bon Kiseki dans la lignée des précédents. Crossbell offre un terrain de jeu plus petit mais la ville en elle-même est très vivante. On en vient rapidement à connaître chacun des NPCs, ce qui contribute à notre immersion. J'ai moins apprécie le nombre restreint de protagonistes ainsi que leur personnalité (plus banale que ce qu'offrait la trilogie Sky). Falcom a eu la bonne idée de limiter les aller-retour grâce à un réseau de bus bien placé aux quatre coins de la région.

Le soft reste de qualité, mais c'est surtout dans sa suite que l'apothéose sera atteinte...
Sphynx

le 19/11/2017
9
Zero no Kiseki vient prendre la relève de la très bonne trilogie Sora no Kiseki, qui avait montré tout le potentiel de Falcom sur la PSP. Pari réussi puisque avec ce 7e épisode, la série des Legend of Heroes renforce son identité, avec ses qualités et ses défauts.

Parmi ses indéniables qualités justement, force est de reconnaître que Falcom a fait d'important progrès techniques dans sa maîtrise du support par rapport à la trilogie Sora, et nous offre ici une superbe 3D portée par un moteur de jeu léger mais puissant. On prend un vrai plaisir à déambuler dans la ville, sur les chemins de campagne alentours ou dans les donjons aux effets de lumières bluffants. La musique, elle, est réussie sans être extraordinaire, mais les doublages partiels sont efficaces. Le système de combat et d'optimisation est à la fois simple et très prenant, et reprend trait pour trait ce que l'on a connu dans les épisodes précédents : on regrettera peut-être la répétitivité des attaques dans le dos, mais la gestion des tours et des bonus rend les combats intéressants et dynamiques. La difficulté est tout aussi bien gérée et adaptée à un jeu portable, le soft étant globalement facile mais pouvant représenter parfois un petit challenge et demander de la préparation.

Tout au long du jeu, on découvre une galerie riche de personnages très attachants et particulièrement bien dépeints, un élément qui est devenu la marque de la série. On retrouve beaucoup de visages connus, qui permettent d'approfondir avec plaisir l'univers qu'on a appris à connaître dans les épisodes précédents. Un univers toujours empreint de réflexions politiques et économiques, qui vient cette fois-ci tourner autour de la thématique de la ville, de ses vices et de ses vertus. Cette thématique, assez inhabituelle dans le genre, est relativement bien traitée et c'est un des points forts du titre.

Le scénario qui prend place dans ce décor, quant à lui, est malheureusement moins efficace. La narration remarquable - on notera l'excellent suivi du déroulement des sous-quêtes optionnelles dans la trame et les dialogues des PNJ - et la mise en scène impressionnante - de superbes travelings et des séquences parfois fantastiques (le show, la course, la bataille pour le contrôle de la ville, etc.) - figurent au nombre des plus belles réussites de Zero. Si cela permet de s'immerger dans le jeu, ça n'efface pas pour autant le manque de finition de l'histoire en elle-même, qui tourne un peu en rond pour aboutir sur une fin qui essaie d'expliquer à la va-vite des points laissés en suspend trop longtemps. Sans parler de l'excès de bons sentiments et de naïveté (tout le monde veut aider notre charmant héros, qui est toujours le seul à découvrir le pot-au-rose à l'issue d'une enquête pourtant évidente) qui imprègne l'aventure, qui est paradoxalement à l'opposé de la maturité voulue de l'univers LoH.

On se heurte aussi, comme c'était déjà le cas dans Sora, à un souci de rythme. On se trouve toujours face à une quantité impressionnante de dialogues, c'est une autre marque de la série. On peut le regretter, mais ce sont ces dialogues qui rendent attachants les très nombreux personnages que l'on croise. C'est un choix de design, discutable mais qui est au cœur du style LoH. Le vrai problème, c'est que couplé à une surabondance de quêtes annexes et à des séquences de jeu (trajets, donjons, scénaristiques) trop longues, le jeu a parfois du mal à nous entraîner avec lui. Fort heureusement, la narration a été grandement améliorée et vient partiellement gommer ce défaut, au moins si l'on compare avec la série des Sora.

Le soft est complet, rien à redire là-dessus : de très nombreuses sous-quêtes, des mini-jeux, de la pêche, de la cuisine, etc. Le système de record et un mode Nightmare assurent une replay-value conséquente. Mais est-ce que c'était vraiment nécessaire ? On a parfois l'impression que la durée de vie a été artificiellement augmentée et que Zero et sa suite Ao auraient parfaitement pu ne faire qu'un seul et même jeu, si on avait su éviter les longueurs scénaristiques, les sous-quêtes trop nombreuses, les bonus appréciables mais pas vraiment essentiels, et le problème de rythme qui en découle. Et quel jeu extraordinaire ça aurait fait !

Parce que ces quelques défauts mis à part, le jeu demeure fantastique. La barre était haute après le 6e épisode, mais il restait beaucoup de choses perfectibles. De réels progrès ont été fait sur la technique et la narration et la mise en scène ont été renforcées, permettant de se plonger avec plaisir dans l'univers, sa galerie de personnages et ses questions sur la thématique de la ville. Zero no Kiseki est donc à la hauteur des espoirs qu'on plaçait en lui, et hisse la série des Legend of Heroes au niveau des meilleures RPGs de la PSP.

+ La narration et la mise en scène
+ L'univers LoH et sa galerie de personnages
+ La thématique de la ville
+ Superbe techniquement
+ Un système de jeu simple et efficace
+ Une difficulté bien dosée

- L'abondance de dialogues et les problèmes de rythme
- Le scénario et la naïveté générale du jeu
- La durée de vie et la replay-value conséquente... Trop long ?
Larva

le 18/04/2014
OK, si ça peut te faire plaisir.
moi
le 18/04/2014
" un site fr " lapsus...c'est que dans ton article sur le jeu , ben y a des fausses note pourqu'un qui semble conaitre le jap...lol...d'ou ma remarque pertinante a ton égard et bien diriger.
l'autre
le 18/04/2014
Tu efacera le com si tu veux, mais tout jeux jap a forcement une soluce ou un playtrought/waltrought youtubesque, ici ce jeu manque de bol n'en a pas, donc a moin de bien comprendre le japonais, et donc de l'etre, ce qui est asser rare pour quelqu'un qui frequente un site jap hein, tu m'excusera, je dirais que NON...
Larva

le 16/04/2014
Ca parait si inconcevable de comprendre une autre langue que le français ?
quelqu'un
le 16/04/2014

C'est tres rare de trouver un non japonisant qui a terminer le jeu, donc je dirais seulement ceci.

Comment a tu fini le jeu, ou aucune trace de soluce MEME en video youtube explique comment se dermerder dans le jeu, moi meme j'ai beau chercher partout et je ne trouve rien de bien concret pour on va dire bien comencer le jeu....?

Je suis bien impatient de savoir ta réponse sur le sujet, a moin bien sur que tu métrise le japonais, ce qui me paraitrais asser surprenant .


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