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Utawarerumono: Mask Of Truth > Galeries > Artworks > PlayStation 4 > 5 disponibles :

Utawarerumono: Mask Of Truth

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Utawarerumono: Mask Of Truth

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4 commentaires
dandyboh

le 22/11/2023
8_5

Suite directe de Utawarerumono: Mask of Deception, le jeu prend place juste après les événements de ce dernier, et reprend le même moteur de jeu, légèrement amélioré (mais mêmes légères, ces améliorations sont vraiment les bienvenues).

Avant de commencer à lire ce commentaire, je vous invite à lire celui que j'ai laissé sur Mask of Deception.

Impossible de parler du scénario sans spoiler ce jeu ou le précédent, je m'abstiendrai donc d'en parler.

Il s'agit donc toujours du même genre de jeu : un visual novel / T-RPG avec énormément de phases de dialogues non interactives, mais ici l'ensemble me paraît mieux équilibré, j'ai moins ressenti l'impatience de passer à une phase de combat lors des dialogues. Le scénario, par ailleurs, va plus à l'essentiel comparé à l'épisode précédent : on est directement impliqué dans les affaires géopolitiques des personnages, on est tout de suite au cœur de l'histoire. Et une fois de plus, on a droit à une "seconde partie" qui donne son lot de révélations : l'histoire, l'univers est vraiment LE point fort du jeu.

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Au niveau du gameplay, beaucoup d'améliorations :
* les personnages sont mieux équilibrés.
* quelques améliorations dans l'ergonomie générale et les informations disponibles sur les cartes de combat.
* un mode "training" avec quelques récompenses à la clé fait office de tutoriel des différents personnages et mécaniques du gameplay afin de les maîtriser le tout correctement. Contrairement à son prédécesseur, tout est fait pour donner envie au joué de tirer parti de toutes les subtilités du gameplay.

La difficulté est toujours très faible en mode normal, il faut vraiment jouer en mode difficile pour profiter du jeu.

Le contenu post-game est toujours présent et mieux pensé, et là encore, il faudra avoir des nerfs solides pour compléter certaines batailles particulièrement ardues.

J'ai lu ça et là que ce Mask of Truth était la version finale de Mask of Deception qui n'était qu'un brouillon mais je ne suis pas d'accord : effectivement ce jeu fait tout mieux que son prédécesseur, mais c'est vraiment le duo qui donne toute sa saveur à l'histoire. Hors de question de jouer à Mask of Truth sans avoir fait Mask of Deception avant d'ailleurs : vous n'allez rien comprendre au jeu.

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Verdict
8,5/10

Yamaneko44

le 16/06/2021
6
La suite de Mask of Deception, donc, nous narre les aventures de la petite bande que nous avions laissée à la fin du précédent épisode.

On se laisse donc guider une nouvelle fois dans ce petit univers sympathique, et bien mis en valeur de par ses nombreux textes descriptifs, et ses personnages hauts en couleur.
Rien à redire à ce niveau là, le casting est très bon, et les personnages sont tous très attachants, alliés comme ennemis.

Après, une fois cela dit, il faut reconnaitre la faiblesse technique du jeu qui pourrai aisément tourner sur ps2, ce qui est dommage quand on y joue sur ps4pro.

Le rythme du jeu est très lent aussi, demandant beaucoup de patience au joueur qui voudrait s'y investir à fond. On passe beaucoup de temps à lire les mêmes scènes de beuveries (oui tous les persos aiment boire du saké ou du thé), les mêmes scènes de pensées du héros qui se demande pleins de choses inutiles, comme la qualité du matériau, la couleur des vêtements, ou encore la météo....

Le scénario n'est pas mauvais (heureusement car on passe 50 heures sur 65 à lire), mais on pouvait s'attendre à beaucoup mieux. On reste en effet comme pour pas mal d'animés, sur notre faim, avec cette impression d'inachevé que savent si bien distiller nos amis nippon à la fin d'une série.

De plus, on échappe pas aux grands poncifs du jrpg, avec les longues tirades de chaque personnage avant un combat, ou avant un évennement important, ou même pendant un combat. (Genre personne ne bouge tant que chaque perso n'a pas dit son mot, sinon c'est pas du jeu !! ).

On retrouve aussi les grands sentiments que sont l'amour et l'amitié qui sont plus fort que le reste etc etc....
Pas désagréable, mais pas orignal non plus.

Les musiques sont quant à elles pour beaucoup reprises du précédent opus. Ils auraient pu faire un petit effort la dessus.

La partie batailles (au nombre de 25) est bien foutue, même si on aimerait pouvoir utiliser tous nos persos, la variété des styles propres à chaque perso fait qu'on peut aborder les combats de pleins de façons possibles.
Sinon, ils ne sont pas complexes, plutôt longs, surtout vers la fin. (surtout la fin en fait LOL).

En résumé, je me suis bien amusé sur ce petit "VN/Tacticalrpg", mais j'avoue que j'ai l'impression qu'ils ont voulu en rajouter des couches sur la fin estimant que leur jeu était trop court au moment de boucler, ce qui donne un sentiment de surenchère sur la fin.

Voila, un bon petit 6/10





BlackJowy

le 24/02/2020
8_5
Jeu qui clôture parfaitement le diptyque qu'il forme avec Mask Of Deception et la "Trilogie" si on l'on peut dire avec le premier jeu.

Certains passages m'ont un peu agacé (les non-dits qui trainent beaucoup trop longtemps), mais c'est à ce jour l'un des jeux qui m'a fait ressentir les plus fortes émotions avec ce personnage si particulier qu'est Maroro
(Faut dire que je ne l'aimais vraiment pas sur le début de Mask Of Deception et puis il devient attachant, et puis cette scène au début du jeu m'a déchiré le cœur en tout petits morceaux... ne parlons pas de sa fin.)


Bref, ce n'est pas un jeu ni même une série à faire pour son gameplay qui est surtout un prétexte, mais cette histoire, cet univers et surtout ces personnages valent la peine.
grikarfyn

le 21/11/2016
9_5
Bon, nous y sommes enfin. 14 ans après ses débuts, la trilogie Utawarerumono voit enfin sa conclusion avec Futari no Hakuoro. La petite histoire aura voulu que les 2 et 3e épisodes ne soient séparés que d'1 an, mais l'essentiel est là.

A titre personnel j'étais resté sur ma faim après le 2e opus. Déjà car il intégrait beaucoup de nouveaux personnages au détriment des anciens, ensuite car leurs développements n'étaient pas assez appuyés et enfin le rythme très lent avec pas mal d'errances n'aidait pas. Un bon système de jeu mais trop simple (hormis le post-game) mais aussi un cliffhanger de malade qui justifiait à lui seul qu'on laisse sa chance au "dernier" opus.

Alors que vaut ce troisième jeu ? La réponse est on ne peut plus évidente : c'est FABULEUX !

La première chose de rectifier est le rythme du jeu qui ressemble beaucoup plus au très bon Tears to Tiara 2, en mieux peut être. C'est toujours un visual novel certes, mais l'équilibre avec les missions tactiques est juste comme il faut, ni trop court ni trop long.

Mais surtout l'histoire atteint des sommets, blindée de scènes mémorables et de moments de bravoures ou dramatiques, avec tout ce qu'il faut de profond et subtil pour nous captivés du début à la fin. C'est simple, il y a tellement d'évènements qu'on a jamais le temps de décrocher et en tant que lecteur on reste sur les fesses des idées mises en place et à quel moment. Pour ne rien gâcher, les personnages s'ouvrent enfin à nous et le casting devient un des plus attachant et développé que j'ai vu. Même les nouveaux venus (très peu nombreux cela dit) trouvent leurs places à la perfection. Et puis toutes les réponses sont données, ce qui parlera à ceux qui étaient présents sur le premier Utawarerumono.

Alors oui, la réalisation fait un peu cheap vu qu'elle n'a pas bougé, mais on apprécie toujours autant la palette d'animation. Et pour le prouver il faut s'atteler aux combats qui gomment tout ce qui n'allait pas. Déjà car la difficulté est rehaussée au point que la commande qui permet de revenir en arrière devient bénédiction mais surtout le système est d'une profondeur invraisemblable qui laisse pantois. Rien de mieux que les nombreux challenges de Munechika, entre tutorial et puzzle pour s'en rendre compte. Le nombre de parchemins pour les skills défensifs et de soutien donne le tournis et le level cap dépasse le niveau 50 pour des maps en post-game franchement coriaces (entrecouper de maps hilarantes). Feature bonus : les furies en binômes géniales.

Mais je pense qu'un des gros points fort du jeu vient des skills propres aux personnages. En fait c'est la première fois que je vois des skills qui sont capables de renforcer des personnalités, c'est pas juste pour le combat et notre attention va étrangement faire en sorte de déplacer méticuleusement nos persos comme des amis qui risqueraient leurs vies à nos côtés. C'est subjectif bien sûr, mais c'est un sentiment plutôt fun qui s'en dégage et ça donne beaucoup de force aux batailles.

Si je ne parviens pas encore à vous convaincre le nombre des superbes CGs est deux fois plus important (une cinquantaine sans les variantes) et, ce n'est pas une mince affaire, on retrouve l'intégralité de la bande-son du 2e jeu (déjà de qualité) plus autant de nouvelles pistes (d'encore meilleure qualité) pour une ost de premier ordre avoisinant les 90 musiques avec notamment des chansons merveilleuses. Je ne ferai pas l'affront de remettre en doute le travail des seiyuus, un des meilleurs jamais entendus pour ma part.

Bref, j'ai joué 85h en prenant mon temps, en n'ayant pas tout fait mais presque.

Pour conclure il s'agit là d'un jeu majeur qui termine sa trilogie de la meilleure façon possible et s'impose également comme un des tacticals les plus passionnants que j'ai pu joué. Merci Aquaplus pour cette merveilleuse histoire qui restera comme une des plus puissantes que le jeu vidéo m'est offert.



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