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Final Fantasy: The 4 Heroes of Light

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Final Fantasy: The 4 Heroes of Light
Old fashioned
Final Fantasy, la poule aux œufs d'or de Square Enix, le saint Graal du RPG japonais a encore frappé. Quoi de mieux comme support que la Nintendo DS qui possède le parc de console le plus important au monde pour faire fructifier la licence aux cristaux ? Et lorsque le studio nippon tente de reconquérir le cœur des anciens fans occidentaux de la série déçus par un treizième opus trop casual au goût de certains, on nous annonce la localisation de Final Fantasy: The Four Heroes of Light, un soft old school à souhait, et il l'assume. Verdict.

Four heroes? How unusual!

Originaire du petit village paisible d'Horne, vous, héros, êtes sur le point d'acquérir votre majorité tant attendue. Afin de faire cela dans les règles, il convient d'aller rendre une visite au roi. Une simple formalité en somme. Cependant, il en sera bien évidemment tout autrement. Le roi ayant vu sa fille se faire capturer par une obscure sorcière et les soldats du royaume n'ayant rien pu faire pour empêcher cela, il vous incombera d'aller sauver la jeune fille en détresse dans le manoir de ladite nécromancienne. Quelques rencontres et une princesse sauvée plus tard, le retour au bercail ne fut pas tel qu'il aurait du être. Une malédiction s'est abattue sur Horne et toute la population s'est vu changée en statue de pierre. Un bien triste constat pour nos désormais quatre héros de lumière (vous savez, les rencontres), pour lesquels les avis sur la démarche à suivre diffèrent amplement. La suivante de la princesse et le héros comptent bien restaurer Horne, tandis que la princesse pédante et le jeune homme arrogant engagé par le roi ont la ferme intention de s'en aller d'ici le plus vite possible, et de rejoindre un endroit sûr. Toutefois, le cristal de lumière les a averti, le monde est rongé par un terrible mal : une menace qui réside au sein même de l'humanité, et le temps leur est compté pour sauver le monde de la dévastation.

Ainsi débute une aventure qui tout du long trempe littéralement dans la plus pure tradition old school à la façon des Final Fantasy NES, en témoigne d'ailleurs en grande partie la trame somme toute basique du scénario. Et autant le dire tout de suite, l'intérêt de Final Fantasy Gaiden ne se trouve pas dans l'histoire. Malgré une narration plutôt agréable, le récit à lui seul n'aura que très peu de chance de vous captiver et d'être le motif de vos sessions de jeu. En effet, old school oblige oserais-je, l'intrigue du jeu réside sur un timbre post et manque cruellement de renouvellement. Autant la première dizaine d'heures de jeu peut paraître intéressante car elle donne lieu à des scènes plutôt cocasses, décalées et amusantes avec un rythme plutôt correct ; autant la seconde partie du jeu paraît présenter bien moins d'intérêt. Cette scission de l'aventure s'explique par un début où les différents héros ne cessent de se séparer pour moult raisons, certaines justifiées, d'autres (bien souvent) totalement abracadabrantes qui font le charme de cette introduction. On prendra alors à tour de rôle le contrôle des protagonistes éparpillés à la surface du globe, afin de découvrir un monde attrayant et enfantin. Pour qu'au final, tout le monde se réunisse dans un certain lieu, où un événement majeur forcera les héros à regrouper leurs forces et à oublier leurs divergences d'opinion pour sauver le monde tous ensemble. C'est alors qu'un léger, voire énorme bémol vient ternir un tableau des plus réjouissants : le jeu ne se renouvelle absolument pas.
Final Fantasy: The 4 Heroes of Light
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It's raining cats and dogs (litteraly)!

Et c'est par malheur un cruel défaut pour un jeu qui n'a théoriquement que d'intérêt l'exploration d'un univers aussi vaste que divers. Dans Final Fantasy Gaiden, rien de tout ça n'est permis. Même si l'obtention d'un dragon qui permet d'alléger les trajets est salvatrice, les allers-retours entre les même villes et même donjons que dans la première partie du soft sont inévitables. En effet l'univers étant relativement étroit, on aura malheureusement vite fait le tour des quelques cités du soft et une impression de redondance s'installe inévitablement. Par conséquent, on sera parfois contraint de revisiter certains lieux de deux à trois fois, bien qu'une (très) petite minorité de nouveaux donjons fasse son apparition. Et lorsque le tout est étalé sur une bonne trentaine d'heures bien pesées, on peut se lasser. D'autant plus que Square Enix n'a pas forcément fait d'efforts sur un bestiaire, certes loufoque et soigné, mais qui manque diablement de renouveau au fil du jeu. Notons également des dialogues simplets au possible - reflets de la psychologie ô combien profonde des personnages - avec une avalanche de choix mais qui au final se révèlent anecdotiques, la conversation nous orientant toujours vers la seule débouchée possible.

En clair, Final Fantasy Gaiden prêche le culte de la simplicité, mais il arrive tout de même à se démarquer quelque peu du simple RPG classique à l'ancienne lambda. Du old school pur et dur en 3D, cela possède effectivement son charme.
Final Fantasy: The 4 Heroes of Light
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Final Fantasy: The 4 Heroes of Light

Home, sweet home

Que l'on se rassure Final Fantasy Gaiden tient ses promesses. Les vieux routards du RPG retrouveront sans grande peine leurs anciennes sensations alors oubliées de leurs années nostalgie. Tout est bien là, en place, comme si le schéma du "bon vieux RPG old-school" était respecté à la lettre : peu de dirigisme, un passage devant tous les PNJ obligatoire pour les informations de base et l'orientation ; mais aussi des donjons tortueux sans carte des lieux (préparez papiers et crayon), un petit humour décalé et surtout, une bande-son exceptionnellement bien adaptée. Entre quelques délicieuses sonorités 8/16 bit et des envolées orchestrales, Naoshi Mizuta a réussi à harmoniser passé et présent dans cette OST pour un résultat détonnant et parfaitement adapté à l'esprit du jeu. Résultat : une ambiance réussie qui arrivera à toucher les plus jeunes comme les anciens dans leur for intérieur. Mais, car il y a un gros mais, Final Fantasy Gaiden prend le parti d'arborer une identité visuelle très marquée. Square Enix a de ce fait créé un univers accueillant qui regorge de couleurs aux teintes pastels accentuées. S'en dégage une impression de chaleur, de convivialité qui pousse le joueur à vouloir rester dans le jeu. Cependant, la direction artistique alors prise ne plaira sans doute pas à tous mais elle affirme la volonté du titre de se démarquer des autres productions. On regrettera toutefois l'absence d'artworks des personnages dans les dialogues. Connaissant le talent dont a fait preuve Yoshida sur Tactics Ogre: Let Us Cling Together ou Final Fantasy XII, il est réellement dommage de s'en priver. Par ailleurs, la 3D du soft (relativement bien réussie pour le support, il faut le dire, avec des animations plus que correctes) n'influe en rien sur l'ambiance old-school habituellement présente dans les softs 2D. Aucun souci à se faire donc, les décors des villes et donjons sont pour la plupart très réussis et d'une réelle finesse, le ton pastel seyant particulièrement bien au design des environnements afin d'imprégner le soft de cet aspect simple et bon enfant.

Cependant voilà, un jeu, c'est fait pour y jouer et de façon agréable, enrobage réussi ou non. Et cela, Square Enix l'a peut-être un peu oublié en développant Final Fantasy Gaiden.
Final Fantasy: The 4 Heroes of Light
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Simple mais un peu lourd

Le soft reprend et calque le désormais culte système de job emprunté à Final Fantasy III et l'enrichit de manière assez conséquente pour ne pas être une vulgaire copie. Cependant, ne vous attendez pas à être étonné par le gameplay de Final Fantasy Gaiden, classique est le maitre mot du système de jeu. Matérialisés sous forme de couronnes que l'on acquiert au fur et à mesure de la progression, bien souvent après des boss, les jobs changent du tout au tout les stats de votre héros et lui octroient de un à trois pouvoirs spéciaux selon son stade d'évolution. Ces couvre-chefs s'améliorent donc à l'aide de gemmes obtenues sur les monstres que vous aurez préalablement terrassé. Les compétences ainsi obtenues, de même que les magies, s'organisent dans un menu de combat où seuls six emplacements sont disponibles. Il faudra donc veiller à choisir correctement son arsenal afin de partir au combat. Venons-y à l'équipement. Des haches aux lances en passant par la traditionnelle épée à une main, les armes de même que les protections sont tout ce qu'il y a de plus classique et, couplées aux jobs, permettent une personnalisation plutôt pointue tout en restant simple. Un équipement qui d'ailleurs influera sur le skin du héros, tout comme les couronnes, ce qui est assez rare dans le genre sur DS pour être signalé. Même chose, il sera également possible d'améliorer les stats d'équipement via le système de gemmes.

Néanmoins, Square Enix étant décidément désireux de faire tout son possible pour plomber l'expérience Final Fantasy Gaiden, on se retrouve affublé d'un inventaire incroyablement petit de seulement quinze places par héros. Vous me direz, soixante places c'est bien assez et puis, il faut avoir l'esprit old-school et savoir choisir le contenu de son bagage minutieusement, etc. Certes, c'est exact, mais durant une bonne quinzaine d'heures (comme expliqué plus haut) on se retrouve bien souvent tout seul ou à deux héros et le manque de place se fait inlassablement sentir. En effet, les magies ainsi que l'équipement devant être conservés dans l'inventaire afin de pouvoir en user, on passe vite de la capacité maximum à la moitié des places disponibles par personnage. Alors on peste pour diverses raisons : on ne peut pas toujours prendre le contenu des coffres ; on arrive à la fin du donjon et on doit faire demi tour parce qu'on n'a pas le bon package pour affronter le boss (pas la place de prendre deux équipement différents) ; lorsque l'on change de job, on est contraint de faire un maximum de manipulations peu commodes dans l'inventaire avec notre réserve en ville... Bref, la crise de nerf peut vite arriver, d'autant plus que les passages en solo sont plutôt difficiles du fait de n'avoir personne sur qui compter pour le soin, la magie ou l'attaque alors que le système de couronne est à l'évidence fait pour être employé avec une équipe de quatre joueurs. On se retrouve alors bien souvent désemparé face à pléthore de situations.

En revanche, peu de critiques à faire sur les combats en eux-mêmes. Plutôt tactiques de par la pré-sélection des skills à utiliser et le système d'Action Point (telle action coûte tel nombre d'AP), bien calibrés avec un level scaling plus marqué qu'à l'habitude dans les RPG japonais, et juste assez nombreux, on prend plaisir à participer à ces joutes au tour par tour classique tantôt très simples, tantôt ardues contre certains boss. Le challenge ne manquera donc pas d'être au rendez-vous, en particulier pour ceux qui oseront s'attaquer aux quêtes annexes qui vous donneront accès aux ultimes couronnes.

Et par dessus tout, mieux vaut éviter la maniabilité au stylet, ô combien imprécise et hasardeuse. Se contenter des touches semble être la plus sage décision pour profiter du soft.
Final Fantasy: The 4 Heroes of Light
Final Fantasy: The 4 Heroes of Light
Final Fantasy: The 4 Heroes of Light
Servi par un enrobage atypique et reluisant, Final Fantasy: The Four Heroes of Light nous enivre du délicieux parfum old-school des jeux d'antan. Malheureusement, le soft accuse le poids de son ambition. La 3D employée empêche le développement d'un large univers, lequel aurait profité au titre de Square Enix en lui évitant cet aspect redondant qui survient après une première partie plutôt agréable, saupoudrée d'un humour plaisant. Manque de chance, la gestion de l'inventaire calamiteuse vient ternir une expérience de jeu qui aurait du coup pu s'avérer bien plus jouissive. Reste alors un système de job plutôt riche et des combats appréciables. Final Fantasy: The Four Heroes of Light demeure néanmoins le soft à tenter sur DS si l'on possède la fibre nostalgique. Le reste découvrira un titre à l'identité unique plombé par quelques lourdeurs et un certain manque de renouvellement, tant au niveau scénaristique que de l'univers.

08/01/2011
  • Le old-school sublimé
  • Une première partie entrainante avec de l'humour
  • Une OST qui convient parfaitement
  • Un soft coloré à l'ambiance agréable
  • Une identité marquée...
  • ...qui ne plaira pas à tout le monde pour sûr
  • Manque de renouvellement cruel
  • Redondant
  • Un inventaire atroce qui gâche en partie l'expérience
  • Maniabilité au stylet ratée
6

TECHNIQUE 4/5
BANDE SON 4/5
SCENARIO 1.5/5
DUREE DE VIE 4/5
GAMEPLAY 2.5/5
Final Fantasy: The 4 Heroes of Light > Commentaires :

Final Fantasy: The 4 Heroes of Light

6
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12 commentaires
kolibri

le 28/09/2024
5
Un jeu qui a de très belles qualités mais aussi des défauts très relous.

+ les graphismes, magnifique 3D et des villes avec beaucoup d'identité et de charme. Les villages sont par exemple vraiment magnifiques (Arbor par exemple).
+ le gameplay qui tient la route malgré des aspects un peu cryptiques (les transformations en animal)
+ les rôles, qui permettent beaucoup de personnalisation dans le gameplay

+/- les musiques oubliables mais qui conviennent bien au jeu

- les pics de difficulté. Préparez-vous à beaucoup de levelling si vous voulez avoir une chance, surtout au début du jeu et dans le dernier donjon
- le scénario qui tient sur un grain de riz, et qui donne vraiment l'impression de se faire balader pour les biens du scénario
- le manque frappant d'information sur comment faire avancer le scénario. Surtout au début du jeu encore, on se retrouve à avancer au pif en espérant que parler à quelqu'un fera avancer l'histoire, en espérant ne pas se retrouver dans une zone où tous les ennemis ont 20 niveaux de plus que nous

Bref, une expérience correcte mais frustrante.
Schwarztraum

le 17/03/2024
6_5

Un petit jeu vraiment sympa, mais non sans défaut!


Avec une ambiance sonore à mi-chemin entre la 8-bit et les jeux DS, FFT4HoL s'identifie comme une aventure classique et sans prise de tête, dotée d'un système de jobs solide, de personnages mignons et d'un monde sympathique, mais avec beaucoup (trop) de grind et une gestion de l'inventaire absolument fastidieuse...

On prend du plaisir à se renforcer tout de même, car le jeu a un super système de combat et cette ambiance FF qui ne se trouve nulle part ailleurs...mais il faut du courage car il y a beaucoup de backtracking, de phases ennuyeuses où l'on switch sans cesse d'équipe, des boss ridiculement pétés et qui se recyclent vers la fin.


Popolon

le 22/08/2015
7

Volonté de Square Enix de faire un RPG à l'ancienne avec une technique actuelle (enfin de la DS quoi), 4HoL remplit parfaitement son contrat, on y retrouve du coup l'ambiance un peu naïves des premiers FF (même l'histoire lorgne vers celle de FF I) ainsi que les mécaniques de jobs de FF III et V par exemple.

J'ai passé un chouette moment sur ce jeu, disposant d'un certain charme et d'un environnement technique efficace : graphismes pastels très agréables (qui auraient peut-être mérité une plus grande résolution) et musiques aux sonorités chiptunes très sympas. Mon seul regret, c'est le temps que j'ai passé sur le dernier boss ; j'ai eu un mal de chien à lui faire la peau ! Les tours annexes m'ont paru assez coriaces également, je ne recherche pas vraiment les défis de ce genre dans un RPG, un peu de challenge certes mais faut que ça reste agréable et pas frustrant.

A faire entre 2 RPGs de plus grande envergure.


dandyboh

le 06/01/2014
7_5
Un très bon jeu, un très bon RPG, un très bon Final Fantasy. Alors bien sûr, il faut aimer le classicisme, puisqu'on a là un jeu à l'ancienne, avec des systèmes de combats au tour par tour, des stats habituelles, une histoire classique, un déroulement mi-linéaire, des quêtes annexes, un système de jobs, et même des musiques aux sonorités 8-bits. Seules les graphismes sont d'époque, et sont d'ailleurs splendides, tout en 3D et dans des tons pastels, avec une vue qui donne une superbe impression de profondeurs aux villages et à la carte du monde. Alors, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ? Pas tout à fait...

Les menus sont assez fastidieux à naviguer, notamment les allers et venues entre le coffre, les magasins et le menu "équiper", qui fatiguent assez rapidement... La carte du monde est plutôt petite, et l'on est obligé, à mi-parcours, de revenir dans chacune des villes et surtout, dans chacun des donjons qui jouxtent les villes. Les quêtes annexes à bases de donjons à cent étages sont rébarbatifs au possible, et les mini-jeux, bien qu'amusant au premier abord, vous lasseront au bout d'une quinzaine de minutes. Le système d'amélioration des équipements et des couronnes (jobs) à bases de pierres précieuses n'est pas vraiment passionnant et la limitation de l'équipement et des sorts / capacités de chaque personnage pourrait rapidement vous faire perdre patience.

Sans ces défauts, malheureusement difficiles à oublier et à pardonner, le jeu aurait pu être un sans-faute. Un bon jeu au final, et surtout, une patte graphique remarquable, entachés ça et là par des petits détails énervants, malheureusement. Malgré tout, j'ai pris plaisir à parcourir ce jeu et cette quête pour sauver le monde, et ce Final Fantasy restera à mes yeux un très bon RPG de la DS.
Golden Leaf

le 31/10/2013
Edité le 01/05/2014
7
Un de mes favoris au fil de ces dernières années : les différentes reviews que j'ai pu lire font l'effort d'insister sur le caractère volontairement classique de l'ensemble et permettent donc de se faire une idée correcte de ce jeu. Toutefois, beaucoup des lourdeurs des véritables jeux anciens (par rapport à un FFIII ou un FFIV NES/SNES) ont été éliminées : les donjons ne sont plus interminables et, si le levelling m'a été nécessaire, il est relativement efficace, en fait.
Celles et ceux qui y trouveront leur compte l'y trouveront... à fond !

Il a en plus le mérite de nous rappeler que la grande affaire de ces trente dernières années reste... la lutte de la Lumière contre les Ténèbres qui tentent de s'insinuer dans nos coeurs !
Magus

le 17/05/2013
Edité le 17/05/2013
8
+ Graphismes sublimes sur le plan artistique : uniques et enchanteurs
+ Beaucoup de personnalité dans le design
+ Gameplay Old-School mais mis au goût du jour pour rendre le tout plus dynamique
+ Système de job parfait, encore une fois amélioré, de nombreux nouveaux jobs
+ Difficulté très bien gérée
+ Musiques qui frappent là où il faut, elles font appelle à notre nostalgie tout en étant très efficaces de nos jours.
+ 4 Personnages attachants et amusants qui se séparent et se retrouvent le long de l'aventure
+ Petite perle de la DS

- Personnages très peu développés
- Scénario archi convenu
christy

le 30/07/2012
Edité le 12/03/2014
9
un jeu qui ne plaira malheureusement pas aux fans de graphs 3d HD new gen!!!! tres bon jeu par contre pour qui saura faire abstraction des graphismes du jeu ( quoique perso je le trouve magnifique ) qui ont un caché peinture vraiment irresistible .idem pour les personnes de gout et qui ont une sensibilité artistique , ceux la peuvent l'acheter les yeux fermés .le gameplay est relativement simple mais complet et enfin au tour par tour...ce qui n'est pas un mal quand on voit le nombre d'action rpg qui sortent de nos jours....les musiques , malgré le son que beaucoups qualifieront de " midi " sonnent pour ma part tres bien , elles resteront en memoire longtemps apres votre partie
heavenly

le 27/04/2012
Edité le 06/10/2013
6_5
Un bon RPG à la sauce old school. Efficasse mais peu être un peu trop classique dans son déroulement. La musique très retro rappel sans arret les premier final fantasy (I, II et III) et la nostalgie fonctionne à merveille pour ce titre !
Le style graphiques rend aussi le tout trés attachant (tout comme les perso en SD !). Dommage qu'il n'y ait cependant pas plus de nouveautés ainsi qu'une scénarisation plus poussée (genre ff IV; V et VI !!).
Magnus

le 31/01/2011
7
Quelle merveilleuse idée de la part de Matrix Studio que d'avoir fait un titre Old-School avec un minimum de challenge ! Je regrette cependant le manque de profondeur du scénario et la simplicité du jeux qui viennent à quelques endroits gâcher l'expérience de jeux. Relativement au dernier point mentionné, je crois que ce qui m'a déçu le plus c'est le fait qu'on ne puisse pas choisir nos cibles. En supposant que j'aie 2 persos muet, un guerrier et un mage, et que je veule donné à mon mage un Echo Herb dans l'inventaire de mon guerrier... Et bien je ne pourrai pas, celui-ci va le consommer sans qu'on puisse lui dire que c'est pour le mage!

J'ai été aussi déçu par le nombre trop grand de couronnes inintéressantes et par les séparations trop fréquentes des héros. J'ai aussi trouvé que c'était graphiquement moche Oo... Ils auraient pu faire mieux, même si cette certaine laideur était volontaire.

Bref, un bon jeux somme toute! Mais un 3.5 car le scénario était très ordinaire (on dirait qu'ils se sont inspiré de Final Fantasy 1 pour l'écrire... Voilà qui expliquerait le nom du boss final hm), les personnages vides, la simplicité excessive et les graphiques qui laissent à désirer.
Yahiko

le 29/12/2010
Edité le 29/12/2010
7_5
FF : 4 Heroes of Light se pose comme l'un des tous meilleurs Classical de la DS. Aussi simple qu'il est efficace, le jeu propose une aventure old school bon enfant réveillant certaines notions d'aventure et d'exploration bien rafraîchissantes. Avec sa direction artistique marquée par un style graphique très personnel FF Gaiden s'érige en opposition des blockbusters HD de consoles de salon, avec une certaine réussite.

Sa simplicité est donc son principal trait de caractère et il est évident que cela ne plaira pas à tout le monde, les amoureux de scénarios alambiqués, de personnages tourmentés ou de gameplay ultra fouillé peuvent passer leur chemin : le script tient sur un timbre post et le gameplay est tout ce qu'il y a de plus classique avec un système de job simpliste et intuitif. Néanmoins le découpage de l'histoire, avec ces 4 héros qui ne cessent de se retrouver et de se séparer offre des situations cocasses qui auront pour intérêt de donner un certain rythme malgré le manque de profondeur de l'histoire.

FF Gaiden fait tout avec un impeccable bon goût et est certainement le spin off "FF" que j'ai le plus apprécié depuis FFTactics.
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