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NieR
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NieR
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NieR![]() ![]() ![]() ![]() Inéluctable fatalité
![]() Drakengard est un jeu dont l'identité n'a laissé personne indifférent, que ce soit pour ses lacunes techniques prononcées ou pour son ambiance malsaine et dérangeante. Cavia réitère l'expérience cette fois-ci sur consoles HD avec Nier, et il est tout à fait légitime à la vue des quelques vidéos et captures d'écrans, de douter de la qualité du travail fourni par les développeurs et de leur progression depuis Drakengard. Mais attention, gare aux préjugés, car vous pourriez le regretter amèrement !
OVNI en approche. ![]() Quiétude d'un matin printanierImaginez-vous quelque part. De préférence dans un de ces endroits bucoliques que nous connaissons tous, un de ceux qui conviennent si bien au départ d'une aventure, quelle qu'elle soit. Dans cet endroit où calme et sérénité règnent en maîtres sur les vertes étendues champêtres, où rien ne saurait déranger la vie des pauvres mais paisibles paysans. Tel est le cadre initial aux pérégrinations de votre héros (que vous nommerez comme bon vous semblera).
Passé un court prologue pour le moins énigmatique se déroulant plus de 1300 années avant les évènements du jeu, le joueur se voit donc attribué les commandes d'un père prêt à tout pour sauver sa jeune fille, Yonah, d'une terrible maladie mortelle : la nécrose runique. Intriguant, ce début de jeu soulève bien des questions sans réponses et nous pousse à vouloir en savoir plus. Et il ne tiendra qu'à vous de savourer ce scénario extrêmement bien construit, véritable condensé d'émotions fortes. Les révélations s'enchaineront les unes après les autres, les découvertes se bousculeront, les retournements de situation bouleverseront littéralement le cours de l'histoire et les larmes couleront. Tragique, dramatique, inévitable, fatal, tel est le sort qui semble être réservé à tous les êtres de ce monde étroit en perdition. Et, malgré la lutte acharnée menée par nos héros, le malheur et la désillusion demeureront les seules issues possibles, même dans les moments les plus heureux. Pas de méchant en ce monde, ni de gentil, seulement des personnes ou entités luttant pour leur survie, pour que perdure leur volonté dans cet univers voué à l'extinction. La fin ne viendra d'ailleurs que partiellement clôturer l'œuvre, bien qu'époustouflante et accablante. En effet, afin de mieux comprendre le monde de Nier, de le cerner véritablement et de l'appréhender correctement, plusieurs "fins" sont disponibles. Il s'agit plus en réalité d'ajouts scénaristiques sur une certaine période du jeu, proche de la fin, qui permettent de voir le scénario d'un autre œil, de changer totalement sa vision des évènements alors qu'ils restent les mêmes. Répétitif ? Assurément, mais quasiment indispensable pour tout assimiler. D'autre part, les doublages extrêmement convaincants et la mise en scène du titre confèrent une puissance telle aux moments forts que chaque parole prononcée, chaque regard échangé, nous transcende et nous fait frissonner. Et rien de tout cela n'aurait été possible sans des personnages d'exception. Un casting où aucun protagoniste n'est lésé, où tous sont approfondis et ont parcouru des chemins douloureux qui expliquent leurs faits et gestes. Aucun choix inconsidéré de la part des développeurs n'a été fait, tout en finesse et avec précision. Les personnages arrivent ainsi à transmettre leurs émotions avec une telle aisance que cela en devient déconcertant. Autant dire qu'au final, l'ambiance qui résulte de cette alchimie presque parfaite est des plus singulières. On se retrouve plongé dans une histoire crue, dénuée de tabou, emplie de mélancolie et de tristesse, qui puise sa source dans des thèmes dérangeants comme la mort et la fatalité. Loin des clichés des RPG japonais habituels, Nier se veut mature et propose une expérience de jeu comme bien peu ont su le faire. Enrobage raté ?Moche, faible, indigne, voilà les principaux reproches fait au jeu lors de la campagne de communication. Et malheureusement on ne peut nier l'évidence, niveau technique, ce n'est vraiment pas du caviar ! Les bugs de collision sont monnaie courante et il ne sera pas rare de voir pixeliser le sol si l'on approche la caméra au plus près. Ainsi, vous aurez l'occasion de voir votre héros traverser des poteaux ou encore des ennemis dépasser des murs. Tout cela est vraiment très peu convaincant et fait penser à feu, notre bien aimée Playstation 2. Mais fort heureusement, dans la logique des choses dirais-je, aucune chute de framerate n'est à déplorer et les éléments du décor n'apparaissent pas au petit bonheur la chance comme dans un Magna Carta 2 pour rester sur le même support, ils sont bel et bien présent dès votre entrée dans la zone. Et enfin, on peut encore se consoler en se disant que la direction artistique prise par le jeu rattrape en partie ses lacunes techniques pour quiconque saura l'apprécier à sa juste valeur. Néanmoins, après un certain Final Fantasy XIII, le joueur aura le droit à une bonne douche froide.
En toute harmonieEt vient enfin le moment de parler de l'OST. Cette bande son qui confère son identité au jeu, qui lui donne un cachet unique, une façon de se démarquer des productions actuelles en quelque sorte. Ici, point de thème de combat en rock progressif façon Sakuraba ou bien de pistes nerveuses. Tout se fait en douceur, en essayant d'immerger le joueur dans cette ambiance si particulière et de rester dans cette mélancolie qui sied à merveille au jeu. Et pour ce faire, Emi Evans, chanteuse de nationalité anglaise, interprète quelques chansons (au nombre de 18) sur les airs mélodieux du compositeur Keiichi Okabe, accompagnée bien souvent par des chœurs. Rien de bien surprenant jusqu'ici si ce n'est le nombre de pistes chantées. Mais voilà, la belle diva innove et choisit d'interpréter ses chansons dans des langues inventées, sorties directement de son imaginaire, bien qu'inspirées en partie des langues latines européennes. Saluons tout de même l'originalité de cette prouesse et la qualité du rendu, déroutant en premier lieu, puis jouissif lorsque l'on a saisi qu'il faut faire tomber les œillères qui s'étaient formées suite à l'accumulation des standards du RPG.
Beat them all or not ?Ce fut un grand débat durant longtemps mais Nier s'avère être un A-RPG pur et dur, et mature qui plus est. Certes, le cœur du gameplay fait véritablement penser à du Beat Them All comme le sont les Devil May Cry and Co, mais le constat est là, tous les électrons qui gravitent autour font de Nier ce qu'il est, explications...
Explosives et sanglantes sont les deux mots qui qualifieraient le mieux les phases de combat tant elles peuvent se révéler être d'une violence inouïe. Il ne sera pas rare qu'une bonne partie des murs de la pièce soient repeints avec les gerbes de sang qui émanent des ennemis. Mais le gameplay est bien loin de se limiter à cela, et pour cause, il revêt un aspect Shoot Them Up non négligeable. Cette fois ci en 3D (mais aussi avec certains passages en 2D), les adversaires vous envoient des projectiles de toutes part et il vous incombe alors de les éviter en usant de vos talents d'acrobate afin de ne pas finir anéanti. Ces feux d'artifices redoubleront d'intensité lors de vos affrontements contre les boss, véritables joutes épiques lorsqu'il s'agira des plus imposants d'entre eux. D'entrée de jeu, le gigantisme de ces adversaires évoque les combats menés corps et âme dans les donjons d'un The Legend Of Zelda Ocarina of Time. Mais lorsqu'en plus on découvre que ces échauffourées sont découpées en plusieurs étapes, le rapprochement est très vite fait avec la saga du petit bonhomme vert. On participe alors à des combats d'une rare intensité et qui comportent une part de stratégie certaine. Il n'est pas impossible que certains d'entre vous ressentent des sensations similaires à celles transmises dans Shadow of The Colossus. Quant au reste, Nier ne se targue pas (loin de là) de posséder un système innovant, il adopte donc en conséquence un simple système de niveau avec points d'expérience et les statistiques qui suivent, ainsi qu'un procédé d'amélioration de l'équipement des plus basiques qu'il soit. Comme quoi, il faut croire que le jeu qui prétendra bouleverser tous les codes du RPG n'est pas encore de ce monde. Un léger côté MMOSi Nier ne peut se féliciter de posséder une très longue durée de vie en ligne droite si l'on a pour but de voir uniquement la fin normale, il peut se vanter de posséder un contenu optionnel conséquent qui saura ravir les aficionados d'annexes en tous genres. Cependant, celui-ci peut se révéler à la fois laborieux, ennuyeux ou bien au contraire extrêmement intéressant. En effet certaines quêtes, outre nous faire ramasser trois champignons et collecter deux peaux de vaches ne servent pour ainsi dire à rien et n'ont aucun intérêt si ce n'est un motif pécuniaire. En revanche, certaines annexes ont le mérite de raconter une histoire et de nous faire interagir avec les habitants des cités, elles en viendront peut-être même à vous émouvoir.
Par ailleurs, des "distractions" comme la pêche - au maniement laborieux au départ - ou le jardinage viendront égayer vos journées pour peu que l'on aime les passe-temps façon Harvest Moon. Pour finir et sans désépaissir le mystère qui règne autour de lui, Weiss, le livre volant qui vous accompagnera tout au long du jeu servira d'inventaire "couteau-suisse". En effet comme l'avait tenté Avalon Code (mais de bien piètre façon), on retrouvera nombre de fonctionnalités au sein de cet ouvrage. Subtil moyen pour faire un petit peu de lecture. ![]() Nier, c'est avant tout une ambiance de folie servie sur un plateau d'argent par une bande son de maître qui colle parfaitement au jeu et ne semble pas pouvoir s'en dissocier ; un torrent d'émotions ininterrompu qui débite un flot surpuissant de tristesse. La fatalité semble s'abattre sur les protagonistes comme elle s'abat sur le joueur. Une enclume qui viendrait s'effondrer là où la douleur nous consume déjà. Vu de cette façon là, le gameplay du jeu paraît n'être qu'un simple outil. Mais pourtant Nier arrive à en tirer une partie de son identité si puissante et unique. Il suffira alors de passer outre une technique médiocre pour découvrir un jeu qui recèle en lui quelque chose d'inexplicable et de singulier.
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NieR
> Xbox 360
> 1 info :
NieR
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![]() le 28/04/2021 ![]() ![]() ![]() |
Nier est LA surprise de cette année pour moi. Je m'attendais à faire un jeu sympatique, en fait, Nier est l'un des plus grands RPG de ce début de millénaire. 1. En matière de scénar, c'est le top du top, la crème de la crème. C'est profond, fort en emotion, et pas trop mal traduit pour une fois (quoique des fois...) 2. C'est fun. Tres fun. Plus que tout ce que j'ai pu voir encore en matière de RPG, Action-RPG. Le gameplay est très riche et les emprunts aux divers genres extrêmement bien exploités. 3. C'est beau, très beau. Bien modélisé, bien designé, bien animé. Un peu moins bien texturé. Mais finalement, ça dépasse allègrement 90% des autres productions RPG sur PS3. C'était le point qui me faisait peur, et finalement j'ai pris une belle claque ! (et je suis peut être le seul, je sais, j'ai peut être de la merde dans les yeux) 4. Le son envoi du steak. l'une des meilleur OST à ce jour tout simplement. micros défauts qui n'en sont pas vraiment : - les sous quêtes un peu moisies. Il suffit de pas les faire... - la gestion bizarre des boutons O et X... on utilise O pour lancer la discussion ou activer qqch dans un dongeon, puis il faut faire X pour valider ou O pour annuler. On finit souvent par s'emmêler les pinceaux. Mais bon, c'est vraiment pas grand chose. Je viens de finir la quete principale. Le jeu va entrer dans mon petit top 10 ![]() Edit : je viens de finir la fin B... le jeu gagne deux place dans mon top 10. ça décape sec. je repars pour la fin numero 3 ! Edit : voila, cette fois c'est vraiment fini ! une vrai tuerie ce jeu ! Nier est LA surprise de cette année pour moi. Je m'attendais à faire un jeu sympatique, en fait, Nier est l'un des plus grands RPG de ce début de millénaire. 1. En matière de scénar, c'est le top du top, la crème de la crème. C'est profond, fort en emotion, et pas trop mal traduit pour une fois (quoique des fois...) 2. C'est fun. Tres fun. Plus que tout ce que j'ai pu voir encore en matière de RPG, Action-RPG. Le gameplay est très riche et les emprunts aux divers genres extrêmement bien exploités. 3. C'est beau, très beau. Bien modélisé, bien designé, bien animé. Un peu moins bien texturé. Mais finalement, ça dépasse allègrement 90% des autres productions RPG sur PS3. C'était le point qui me faisait peur, et finalement j'ai pris une belle claque ! (et je suis peut être le seul, je sais, j'ai peut être de la merde dans les yeux) 4. Le son envoi du steak. l'une des meilleur OST à ce jour tout simplement. micros défauts qui n'en sont pas vraiment : - les sous quêtes un peu moisies. Il suffit de pas les faire... - la gestion bizarre des boutons O et X... on utilise O pour lancer la discussion ou activer qqch dans un dongeon, puis il faut faire X pour valider ou O pour annuler. On finit souvent par s'emmêler les pinceaux. Mais bon, c'est vraiment pas grand chose. Je viens de finir la quete principale. Le jeu va entrer dans mon petit top 10 ![]() Edit : je viens de finir la fin B... le jeu gagne deux place dans mon top 10. ça décape sec. je repars pour la fin numero 3 ! Edit : voila, cette fois c'est vraiment fini ! une vrai tuerie ce jeu ! |
![]() le 10/06/2017 ![]() ![]() ![]() |
(petit spoil dans l'avis) Et voilà, j'en ai terminé pour l'instant avec le premier Nier avec toutes ses fins. Et c'est malgré certains atouts indéniables du jeu (OST, thématiques...), que je ressors assez déçu du titre, dû à l'incompréhension de certains choix de réalisation. Je pourrais évoquer rapidement la durée artificielle qu'impose le jeu à nous retaper plusieurs fois la moitié du jeu pour avoir des fins différentes à la fin, un concept, qui, dans ses débuts paraissaient assez enchanteurs grâce à quelques ajouts mais qui finalement sur la longueur ne sont que peu exploités. Tout m'a semblé se passer trop rapidement, J'ai pas eu le temps de m'attacher énormément aux personnages, qui se révèlent inutilement tortueux (#Kainé, que j'aime bien malgré tout) sur bien des aspects. A un tel point, que les seules scènes du jeu qui auraient pu me faire tomber une larme, sont les points de vue des ombres, qui ont un intérêt dans le récit bien plus simple et précis. On a ensuite un gameplay qui ne se renouvelle pas comme je l'espérais même s'il est ingénieux et cool. L 'intrigue, elle, n'est pas mauvaise, mais n'a rien d’exceptionnelle. On a le droit à un déroulement très classique, qui pousse le joueur à aller à plusieurs endroits du jeu pour récupérer des objets pour faire avancer le scénario, avec une conclusion made in J-RPG jouant la carte de la pseudo-révélation. (petit spoil dans l'avis) Et voilà, j'en ai terminé pour l'instant avec le premier Nier avec toutes ses fins. Et c'est malgré certains atouts indéniables du jeu (OST, thématiques...), que je ressors assez déçu du titre, dû à l'incompréhension de certains choix de réalisation. Je pourrais évoquer rapidement la durée artificielle qu'impose le jeu à nous retaper plusieurs fois la moitié du jeu pour avoir des fins différentes à la fin, un concept, qui, dans ses débuts paraissaient assez enchanteurs grâce à quelques ajouts mais qui finalement sur la longueur ne sont que peu exploités. Tout m'a semblé se passer trop rapidement, J'ai pas eu le temps de m'attacher énormément aux personnages, qui se révèlent inutilement tortueux (#Kainé, que j'aime bien malgré tout) sur bien des aspects. A un tel point, que les seules scènes du jeu qui auraient pu me faire tomber une larme, sont les points de vue des ombres, qui ont un intérêt dans le récit bien plus simple et précis. On a ensuite un gameplay qui ne se renouvelle pas comme je l'espérais même s'il est ingénieux et cool. L 'intrigue, elle, n'est pas mauvaise, mais n'a rien d’exceptionnelle. On a le droit à un déroulement très classique, qui pousse le joueur à aller à plusieurs endroits du jeu pour récupérer des objets pour faire avancer le scénario, avec une conclusion made in J-RPG jouant la carte de la pseudo-révélation. |
![]() le 12/02/2017 ![]() ![]() ![]() |
Nier est un jeu déroutant, une sorte d'OVNI difficile à classer, c'est certes un A-RPG, mais il emprunte parfois une esthétique proche du survival-horror, des phases ressemblant à un livre dont vous êtes le héros, des passages façon jeu de platforme, etc …. Ce jeu m'a fait penser à Galerians, au premier Prince of Persia, à EarthBound, à Invaders, même si il n'a rien à voir avec aucun de ces jeux ![]() + La bande son, certainement le point le plus réussi du jeu, elle donne son ambiance si étrange et dérangeante au jeu. + Le système de combat assez nerveux et expéditif, qui prend un coté épique contre les boss + Les différentes villes du jeu, la ville de façade en particulier, mais aussi le Manoir, Aire et les autres qui ont toutes un design unique et original + La direction artistique en général + Le côté atypique du jeu, loin des normes +/- : Le héros avec sa gueule de gueux assez laid, loin de l'adolescent tout mignon habituel. Mais qui se révèle un peu basique : je veux sauver ma fille, et je défoncerais tout sur ma route, point. +/- : La deuxième fin qui rajoute des éléments à l'histoire mais renforce le côté répétitif. Les autres fins qui demandent trop d'efforts pour ce qu'elles apportent. +/- : La technique pas folle il faut l'avouer. +/- : Jeu assez court pour la première fin, moins de 20h pour la deuxième fin qui demande de refaire la deuxième moitié du jeu - : La première moitié du jeu assez molle et peu intéressante - : La répétitivité des donjons que l'on traverse minimum deux fois, et beaucoup plus pour voir toutes les fins. Heureusement le héros court assez vite ![]() - : Le scénario assez confus au final - : Les quêtes annexes, pas vraiment intéressantes. Nier est un jeu atypique et unique, qui assurément va vous marquer, mais qui n'est pas parfaitement maitrisé. C'est une expérience à tenter si vous aimez les jeux qui sortent des sentiers battus ![]() Nier est un jeu déroutant, une sorte d'OVNI difficile à classer, c'est certes un A-RPG, mais il emprunte parfois une esthétique proche du survival-horror, des phases ressemblant à un livre dont vous êtes le héros, des passages façon jeu de platforme, etc …. Ce jeu m'a fait penser à Galerians, au premier Prince of Persia, à EarthBound, à Invaders, même si il n'a rien à voir avec aucun de ces jeux :D + La bande son, certainement le point le plus réussi du jeu, elle donne son ambiance si étrange et dérangeante au jeu. + Le système de combat assez nerveux et expéditif, qui prend un coté épique contre les boss + Les différentes villes du jeu, la ville de façade en particulier, mais aussi le Manoir, Aire et les autres qui ont toutes un design unique et original + La direction artistique en général + Le côté atypique du jeu, loin des normes +/- : Le héros avec sa gueule de gueux assez laid, loin de l'adolescent tout mignon habituel. Mais qui se révèle un peu basique : je veux sauver ma fille, et je défoncerais tout sur ma route, point. +/- : La deuxième fin qui rajoute des éléments à l'histoire mais renforce le côté répétitif. Les autres fins qui demandent trop d'efforts pour ce qu'elles apportent. +/- : La technique pas folle il faut l'avouer. +/- : Jeu assez court pour la première fin, moins de 20h pour la deuxième fin qui demande de refaire la deuxième moitié du jeu - : La première moitié du jeu assez molle et peu intéressante - : La répétitivité des donjons que l'on traverse minimum deux fois, et beaucoup plus pour voir toutes les fins. Heureusement le héros court assez vite :) - : Le scénario assez confus au final - : Les quêtes annexes, pas vraiment intéressantes. Nier est un jeu atypique et unique, qui assurément va vous marquer, mais qui n'est pas parfaitement maitrisé. C'est une expérience à tenter si vous aimez les jeux qui sortent des sentiers battus :) |
![]() le 12/03/2016 ![]() ![]() ![]() |
Nier est une très bonne surprise ! Critiqué pour sa technique, certes il n'exploite pas a fond la console mais je m'en moque complètement après mon aventure. J'ai adore les 16h nécessaires pour compléter le jeu et je pense faire le new game+, ce qui est rare chez moi. Dans ce jeu les musiques sont merveilleuses, aucunes n'est a jeter tout simplement, ambiance sonore divine, ajoutez a cela un histoire touchante, avec un héros charismatique et des alliés qui ne sont pas en reste (j'ai kiffé littéralement Kainé et Émile dans sa deuxième forme) et vous obtenez une base très solide pour en faire un très bon jeu Concernant le gameplay on est en présence d'un A-RPG bourrin avec plein de sang (c'est la classe) avec des phases de plateforme et d'esquive de boulettes a la manière d'un manic shooter Vraiment excellent ![]() Nier est une très bonne surprise ! Critiqué pour sa technique, certes il n'exploite pas a fond la console mais je m'en moque complètement après mon aventure. J'ai adore les 16h nécessaires pour compléter le jeu et je pense faire le new game+, ce qui est rare chez moi. Dans ce jeu les musiques sont merveilleuses, aucunes n'est a jeter tout simplement, ambiance sonore divine, ajoutez a cela un histoire touchante, avec un héros charismatique et des alliés qui ne sont pas en reste (j'ai kiffé littéralement Kainé et Émile dans sa deuxième forme) et vous obtenez une base très solide pour en faire un très bon jeu Concernant le gameplay on est en présence d'un A-RPG bourrin avec plein de sang (c'est la classe) avec des phases de plateforme et d'esquive de boulettes a la manière d'un manic shooter Vraiment excellent :) |
![]() le 27/02/2015 ![]() ![]() Edité le 06/03/2015 ![]() |
NieR est un jeu intriguant, qualifié de chef d'oeuvre par certains, traité de jeu surcoté par d'autres ou bien simplement raillé pour sa technique jugée défectueuse. Les jeux qui divisent, ça me plait, alors autant dire que quand je l'ai vu à 9€ en rayon il y a peu, je me suis jeté sur l'occasion. Sinon, le level-design est acceptable mais parfois répétitif, le bestiaire manque un poil de variété quand même, au rayon des choses perfectibles. NieR est un jeu intriguant, qualifié de chef d'oeuvre par certains, traité de jeu surcoté par d'autres ou bien simplement raillé pour sa technique jugée défectueuse. Les jeux qui divisent, ça me plait, alors autant dire que quand je l'ai vu à 9€ en rayon il y a peu, je me suis jeté sur l'occasion. Sinon, le level-design est acceptable mais parfois répétitif, le bestiaire manque un poil de variété quand même, au rayon des choses perfectibles. |
![]() le 15/08/2014 ![]() ![]() Edité le 02/01/2015 ![]() |
Je sors du jeu avec une impression contrastée, et même un peu déçu que la deuxième partie ne tienne pas les promesses de la première. La bande-son est un véritable véhicule émotionnel, et pourtant je la trouve maladroitement exploitée. Le monde exploré est plutôt réduit et la technique imprécise, mais ça ne me dérange aucunement (en même temps, ce n'est que mon deuxième jeu de cette génération de consoles après Tales of Vesperia). Pas mal de temps de chargement par contre. Le gameplay est d'une richesse limitée, mais ça se joue/bastonne sans déplaisir. J'ai bien aimé l'ambiance, mais le changement d'atmosphère me semble pas assez rendu entre les deux parties. Avec les infos dont je dispose avec ces deux fins, l'histoire sous-jacente m'apparaît très confusément (l'idée centrale me rappelle le manga Nausicaä). Le point noir, c'est qu'à mon goût elle n'infuse pas assez le scénario finalement anecdotique (I. on cherche à butter les ombres partout. II. on rassemble les 5 fragments). Quant aux personnages, ils sont peu nombreux mais plutôt marquants. Dommage que les PNJ ne soient pas plus développés. Un point gênant également, la mise en scène surdramatisée (j'ai joué en doublage US), interdisant l'émotion. Je sors du jeu avec une impression contrastée, et même un peu déçu que la deuxième partie ne tienne pas les promesses de la première. La bande-son est un véritable véhicule émotionnel, et pourtant je la trouve maladroitement exploitée. Le monde exploré est plutôt réduit et la technique imprécise, mais ça ne me dérange aucunement (en même temps, ce n'est que mon deuxième jeu de cette génération de consoles après Tales of Vesperia). Pas mal de temps de chargement par contre. Le gameplay est d'une richesse limitée, mais ça se joue/bastonne sans déplaisir. J'ai bien aimé l'ambiance, mais le changement d'atmosphère me semble pas assez rendu entre les deux parties. Avec les infos dont je dispose avec ces deux fins, l'histoire sous-jacente m'apparaît très confusément (l'idée centrale me rappelle le manga Nausicaä). Le point noir, c'est qu'à mon goût elle n'infuse pas assez le scénario finalement anecdotique (I. on cherche à butter les ombres partout. II. on rassemble les 5 fragments). Quant aux personnages, ils sont peu nombreux mais plutôt marquants. Dommage que les PNJ ne soient pas plus développés. Un point gênant également, la mise en scène surdramatisée (j'ai joué en doublage US), interdisant l'émotion. |
![]() le 11/07/2012 ![]() ![]() Edité le 14/08/2014 ![]() |
Le jeu a certes des qualités indiscutables, comme une narration et une ambiance plutôt bonnes, et des musiques excellentes, mais ces qualités sont noyées par des défauts très handicapants. En effet, si le jeu n'est pas aussi moche que le disent les critiques en général (il est juste faible graphiquement, mais pas désagréable à l'oeil), le système de combat très basique (et ce, même malgré les diverses armes et sont à notre disposition), les allers-retours incessants et la multiplication des scènes lacrymales vers la fin du jeu qui nous ennuyent plus qu'autre chose, gâchent clairement l'expérience. Dommage, car il y avait du potentiel. Peut-être pour une éventuelle suite, même si, Cavia n'étant plus, elle parait compromise... Le jeu a certes des qualités indiscutables, comme une narration et une ambiance plutôt bonnes, et des musiques excellentes, mais ces qualités sont noyées par des défauts très handicapants. En effet, si le jeu n'est pas aussi moche que le disent les critiques en général (il est juste faible graphiquement, mais pas désagréable à l'oeil), le système de combat très basique (et ce, même malgré les diverses armes et sont à notre disposition), les allers-retours incessants et la multiplication des scènes lacrymales vers la fin du jeu qui nous ennuyent plus qu'autre chose, gâchent clairement l'expérience. Dommage, car il y avait du potentiel. Peut-être pour une éventuelle suite, même si, Cavia n'étant plus, elle parait compromise... |
![]() le 20/03/2012 ![]() ![]() ![]() |
Nier est l'un de ces jeux qui ne vous font pas regretter l'achat d'une console next-gen. Lancez le jeu, et vous pénétrerez dans un monde qui est bien plus noir que vous n'auriez pu l'imaginer, au premier abord. De plus, vous avez de quoi vous occuper. Entre les quêtes, les succès et même le scénario en général. Il est difficile de trouver le jeu pauvre en contenu. Les personnages ont tous une personnalité très forte et leurs univers créatifs est vraiment bien conçu. Faut quand même avouer qu'il est sacrément moche le bougre de héros..heureusement qu'un eye patch vient corriger le tir en cours de route ![]() Par contre, ce qui fait la force du jeu, en fait également une faiblesse. Le refaire une 2ème fois, pour avoir accès à du contenu supplémentaire et un fin différente du premier run, je veux bien. Mais le refaire trois ou quatre fois...GOD DAMMIT ! C'est d'ailleurs pour cette raison que le jeu perd 0,5 points à la note finale que je lui avais attribué au bout du 2ème run. Mais tout de même, Nier, c'est un jeu qui vaut carrément le détour ! Nier est l'un de ces jeux qui ne vous font pas regretter l'achat d'une console next-gen. Lancez le jeu, et vous pénétrerez dans un monde qui est bien plus noir que vous n'auriez pu l'imaginer, au premier abord. De plus, vous avez de quoi vous occuper. Entre les quêtes, les succès et même le scénario en général. Il est difficile de trouver le jeu pauvre en contenu. Les personnages ont tous une personnalité très forte et leurs univers créatifs est vraiment bien conçu. Faut quand même avouer qu'il est sacrément moche le bougre de héros..heureusement qu'un eye patch vient corriger le tir en cours de route ;) Par contre, ce qui fait la force du jeu, en fait également une faiblesse. Le refaire une 2ème fois, pour avoir accès à du contenu supplémentaire et un fin différente du premier run, je veux bien. Mais le refaire trois ou quatre fois...GOD DAMMIT ! C'est d'ailleurs pour cette raison que le jeu perd 0,5 points à la note finale que je lui avais attribué au bout du 2ème run. Mais tout de même, Nier, c'est un jeu qui vaut carrément le détour ! |
![]() le 21/11/2011 ![]() ![]() Edité le 15/06/2014 ![]() |
Si mes premières heures sur le jeu auront été assez douloureuses, je resors plutôt enthousiasmé de l'expérience. NieR c'est d'abord le contraste entre la pauvreté du game design et l'orgie auditive que nous propose l'ost. C'en est d'abord choquant, limite repoussant, le premier contact avec l'univers du jeu et ce village dénaturé de toute considération artistique est assez brutal. Puis petit à petit la puissance de la bande son fait son oeuvre, instaurant au jeu une ambiance mystique rarement atteinte. A tel point que NieR semble tirer sa force de ses paradoxes, bourré de défauts il arrive à captiver de manière parfois assez inexpliquable et il finit par se dégager du soft une atmosphère unique qui donne au jeu un caractère intriguant et captivant. Pourtant le jeu souffre de lacunes importantes, sur le plan technique (ça saute aux yeux), artistique (le level design est parfois d'une laideur sans nom) mais surtout dans sa mécanique et son déroulement. Le jeu est d'une redondance parfois ulcérante (la bibliothèque où l'on doit revenir 50 fois me sort par les yeux) et chaque lieu est revisité deux à trois fois rien que dans le premier run. Heureusement le gameplay, à la croisée des genres, est bien senti et se retrouve sublimé par des boss fights impressionnants qui cassent la monotonie des lieux et qui apportent au jeu du dynamisme dans sa mise en scène. Car le script de NieR, baigné dans les paradoxes du jeu, est souvent flou et comporte beaucoup de zones d'ombre, mais à côté de cela la narration est toujours juste, les dialogues font mouche et la mise en scène est toujours de bon ton (avec quelques plans évocateurs sur l'arrière train de Kaine, histoire de satisfaire le fan service). Et si le scénario garde sa part de mystère et qu'il ne se passe finalement pas énormément de choses, on n'est jamais noyé dans les cut scene inutiles -ce qui n'est pas pour me déplaire- et les deux climax de l'aventure (mid game et en final) sont assez bien amenés. Ces temps fort de la narration ont aussi pour intérêt de mettre en exergue le côté humain des personnages et encore une fois leur traitement est extrêmement juste et ne tombe jamais dans l'excès de sentimentalisme. Nier n'est pas le jeu ultime, il donne parfois l'impression d'être inachevé, mais il m'a semblé être vecteur d'une grande sincérité, et jouit surtout d'une grande justesse dans le traitement des émotions. Ce n'est pas si commun et ça rend l'expérience unique et par conséquent marquante. Si mes premières heures sur le jeu auront été assez douloureuses, je resors plutôt enthousiasmé de l'expérience. NieR c'est d'abord le contraste entre la pauvreté du game design et l'orgie auditive que nous propose l'ost. C'en est d'abord choquant, limite repoussant, le premier contact avec l'univers du jeu et ce village dénaturé de toute considération artistique est assez brutal. Puis petit à petit la puissance de la bande son fait son oeuvre, instaurant au jeu une ambiance mystique rarement atteinte. A tel point que NieR semble tirer sa force de ses paradoxes, bourré de défauts il arrive à captiver de manière parfois assez inexpliquable et il finit par se dégager du soft une atmosphère unique qui donne au jeu un caractère intriguant et captivant. Pourtant le jeu souffre de lacunes importantes, sur le plan technique (ça saute aux yeux), artistique (le level design est parfois d'une laideur sans nom) mais surtout dans sa mécanique et son déroulement. Le jeu est d'une redondance parfois ulcérante (la bibliothèque où l'on doit revenir 50 fois me sort par les yeux) et chaque lieu est revisité deux à trois fois rien que dans le premier run. Heureusement le gameplay, à la croisée des genres, est bien senti et se retrouve sublimé par des boss fights impressionnants qui cassent la monotonie des lieux et qui apportent au jeu du dynamisme dans sa mise en scène. Car le script de NieR, baigné dans les paradoxes du jeu, est souvent flou et comporte beaucoup de zones d'ombre, mais à côté de cela la narration est toujours juste, les dialogues font mouche et la mise en scène est toujours de bon ton (avec quelques plans évocateurs sur l'arrière train de Kaine, histoire de satisfaire le fan service). Et si le scénario garde sa part de mystère et qu'il ne se passe finalement pas énormément de choses, on n'est jamais noyé dans les cut scene inutiles -ce qui n'est pas pour me déplaire- et les deux climax de l'aventure (mid game et en final) sont assez bien amenés. Ces temps fort de la narration ont aussi pour intérêt de mettre en exergue le côté humain des personnages et encore une fois leur traitement est extrêmement juste et ne tombe jamais dans l'excès de sentimentalisme. Nier n'est pas le jeu ultime, il donne parfois l'impression d'être inachevé, mais il m'a semblé être vecteur d'une grande sincérité, et jouit surtout d'une grande justesse dans le traitement des émotions. Ce n'est pas si commun et ça rend l'expérience unique et par conséquent marquante. |
![]() le 27/09/2011 ![]() ![]() Edité le 27/09/2011 ![]() |
J'ai été à la fois charmé et deçu. Charmé tout d'abord par l'ambiance et le scénario : un J-RPG où on ne cherche pas à sauver le monde, ça fait du bien de temps en temps. Ici, on se contente de jouer un père à la recherche d'un remède pour sa fille, et la majeure partie du scénario s'articule autour de ça. Le scénario se déroule simplement, en maintenant une dose de mystère aboutissant à quelques révélations bien surprenantes sur la fin. La plus grande qualité concernant le scénario est les personnages : les persos jouables sont peu nombreux, mais tous sont vraiment marquants, que ce soit par leur apparence ou leur caractère, ils sont originaux, extrêmement attachants (y compris le perso principal, même s'il est moche, au moins c'est pas un ado de 17 ans là) et débarassés de tout cliché, comme quoi c'est possible dans un J-RPG, bien qu'on pourrait avoir tendance à l'oublier ces temps-ci. J'ai surkiffé le gameplay : il est quelque peu basique de prime abord mais terriblement addictif, il s'agit d'un système semblable à un BTA, auquel est associé un système de pouvoir assez fun à utiliser, et varié, la plupart des sorts sachant se révéler utile assez souvent. De plus l'esquive joue un rôle important, on est sans arrêt en train de faire des roulades entre 2 coups, du moins en mode difficile. D'ailleurs j'en profite pour faire une remarque à propos de ce mode (je l'ai commencé direct comme ça), je l'ai trouvé extrêmement dur au début, même les ennemis de base sont très coriaces et il faut faire vraiment attention à ce qu'on fait, bien maîtriser l'esquive sinon on morfle. Après avoir assimilé ce fait, j'ai persévéré mais certains seront sûrement rebutés par une telle difficulté dès le début. Cependant ça a tendance à s'améliorer au fil du jeu, bien que les combats restent assez difficiles, et que certains boss (dans le style de Bayonetta, très longs à tuer avec différentes phases et un design bien foutu) donnent du fil à retordre. Mais le gameplay ne se limite pas à ça, bien que ce soit assez ponctuel, il se révèle varié en une multitude de situations : certaines phases sont clairement inspirées de hack'n'slash, danmaku, aventure, énigmes Zelda-esques, et même un peu de survival horror... La magnifique OST qui nous accompagne tout le long du jeu rend le voyage marquant et agréable même dans les temps morts, la plupart des thèmes sont chantés sans que ça devienne lourd et elle constitue indéniablement une des grandes qualités de ce titre. Maintenant je vais passer aux défauts qui sont tout de même bien présents : tout d'abord, le plus évident, les graphismes. Hormis le fait que ce soit en HD, on dirait vraiment un jeu PS2, c'est très pauvre techniquement, les décors sont vides. Ca ne gâche pas le jeu mais c'est quand même dommage. D'ailleurs, ce défaut, comme la majorité des autres, semblent liés à des contraintes budgétaires : on a souvent l'impression que les développeurs étaient limités et faisaient avec les moyens du bord. Cela se traduit notamment par un recyclage de zone à la DMC4, avec des niveaux dans lesquels on repasse dans la 2ème moitié du jeu, ainsi qu'une durée de vie plutôt faible pour un RPG - ce que je n'ai d'ailleurs pas vraiment considéré comme un défaut, étant donné que je préfère largement un jeu court et passionant qu'un jeu inutilement long. Il semble cependant que le new game + ait un intérêt ici, puisqu'il apporte d'autres révélations sur le scénario, qui comporte tout de même des zones d'ombre dans la 1ère partie, mais je ne l'ai pas encore recommencé donc je ne peux pas trop en dire sur ce sujet. Le système de quêtes n'est pas non plus des plus réussis, il s'agit de généralement de quêtes typées MMO. Toutefois, la pilule passe relativement bien étant données que la plupart d'entre elles ont un scénario suffisamment bien écrit pour donner envie de les faire. J'ai quand même arrêté de chercher à toutes les finir vers la moitié du jeu, car ça devient assez lassant à force. Le scénario bien qu'intéressant pourrait être plus dense, les persos sont le point d'intérêt principal mais on sent qu'il y a toute une intrigue derrière qui pourrait donner lieu à un scénario complexe, dommage que ce soit sous-exploité Je le recommande donc, malgré son côté assez cheapos, il se démarque suffisamment avec ses grandes qualités pour attirer l'attention d'un gamer averti, d'autant plus qu'il est trouvable pour un prix dérisoire au moment où je poste. J'ai été à la fois charmé et deçu. Charmé tout d'abord par l'ambiance et le scénario : un J-RPG où on ne cherche pas à sauver le monde, ça fait du bien de temps en temps. Ici, on se contente de jouer un père à la recherche d'un remède pour sa fille, et la majeure partie du scénario s'articule autour de ça. Le scénario se déroule simplement, en maintenant une dose de mystère aboutissant à quelques révélations bien surprenantes sur la fin. La plus grande qualité concernant le scénario est les personnages : les persos jouables sont peu nombreux, mais tous sont vraiment marquants, que ce soit par leur apparence ou leur caractère, ils sont originaux, extrêmement attachants (y compris le perso principal, même s'il est moche, au moins c'est pas un ado de 17 ans là) et débarassés de tout cliché, comme quoi c'est possible dans un J-RPG, bien qu'on pourrait avoir tendance à l'oublier ces temps-ci. J'ai surkiffé le gameplay : il est quelque peu basique de prime abord mais terriblement addictif, il s'agit d'un système semblable à un BTA, auquel est associé un système de pouvoir assez fun à utiliser, et varié, la plupart des sorts sachant se révéler utile assez souvent. De plus l'esquive joue un rôle important, on est sans arrêt en train de faire des roulades entre 2 coups, du moins en mode difficile. D'ailleurs j'en profite pour faire une remarque à propos de ce mode (je l'ai commencé direct comme ça), je l'ai trouvé extrêmement dur au début, même les ennemis de base sont très coriaces et il faut faire vraiment attention à ce qu'on fait, bien maîtriser l'esquive sinon on morfle. Après avoir assimilé ce fait, j'ai persévéré mais certains seront sûrement rebutés par une telle difficulté dès le début. Cependant ça a tendance à s'améliorer au fil du jeu, bien que les combats restent assez difficiles, et que certains boss (dans le style de Bayonetta, très longs à tuer avec différentes phases et un design bien foutu) donnent du fil à retordre. Mais le gameplay ne se limite pas à ça, bien que ce soit assez ponctuel, il se révèle varié en une multitude de situations : certaines phases sont clairement inspirées de hack'n'slash, danmaku, aventure, énigmes Zelda-esques, et même un peu de survival horror... La magnifique OST qui nous accompagne tout le long du jeu rend le voyage marquant et agréable même dans les temps morts, la plupart des thèmes sont chantés sans que ça devienne lourd et elle constitue indéniablement une des grandes qualités de ce titre. Maintenant je vais passer aux défauts qui sont tout de même bien présents : tout d'abord, le plus évident, les graphismes. Hormis le fait que ce soit en HD, on dirait vraiment un jeu PS2, c'est très pauvre techniquement, les décors sont vides. Ca ne gâche pas le jeu mais c'est quand même dommage. D'ailleurs, ce défaut, comme la majorité des autres, semblent liés à des contraintes budgétaires : on a souvent l'impression que les développeurs étaient limités et faisaient avec les moyens du bord. Cela se traduit notamment par un recyclage de zone à la DMC4, avec des niveaux dans lesquels on repasse dans la 2ème moitié du jeu, ainsi qu'une durée de vie plutôt faible pour un RPG - ce que je n'ai d'ailleurs pas vraiment considéré comme un défaut, étant donné que je préfère largement un jeu court et passionant qu'un jeu inutilement long. Il semble cependant que le new game + ait un intérêt ici, puisqu'il apporte d'autres révélations sur le scénario, qui comporte tout de même des zones d'ombre dans la 1ère partie, mais je ne l'ai pas encore recommencé donc je ne peux pas trop en dire sur ce sujet. Le système de quêtes n'est pas non plus des plus réussis, il s'agit de généralement de quêtes typées MMO. Toutefois, la pilule passe relativement bien étant données que la plupart d'entre elles ont un scénario suffisamment bien écrit pour donner envie de les faire. J'ai quand même arrêté de chercher à toutes les finir vers la moitié du jeu, car ça devient assez lassant à force. Le scénario bien qu'intéressant pourrait être plus dense, les persos sont le point d'intérêt principal mais on sent qu'il y a toute une intrigue derrière qui pourrait donner lieu à un scénario complexe, dommage que ce soit sous-exploité Je le recommande donc, malgré son côté assez cheapos, il se démarque suffisamment avec ses grandes qualités pour attirer l'attention d'un gamer averti, d'autant plus qu'il est trouvable pour un prix dérisoire au moment où je poste. |