Ultima IV: Quest of the Avatar > Fiche complète du jeu

Ultima IV: Quest of the Avatar

Informations Générales

Plate-forme :

Genre :

Nombre de joueur(s) : 1

Appartient au(x) groupe(s) : Ultima,

Aussi sur :

Aussi appelé : Ultima 4: Seija heno Michi

Nom original : ウルティマ４アバタールの伝説

Développeur(s) : ORIGIN Systems,

Chara-designer(s) : ???,

Compositeur(s) : ???,

Remake/portage de

Remaké/porté en

Jeu(x) en relation / Add-ons

Classé Top#762 Legendra

Dans le top 10 de 1 membre

6 membres l'ont fini

11 membres le possèdent

europe ??/??/1990

Editeur : Sega

Ultima IV: Quest of the Avatar > 4 galeries :

Ultima IV: Quest of the Avatar

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Ultima IV: Quest of the Avatar > Commentaires :

Ultima IV: Quest of the Avatar

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3 commentaires

sarbabilim le 29/04/2011	Ultima IV est sorti en 1985 et à l'époque, ce fut ce qui se faisait de mieux en matière de RPG. C'est déjà le premier à offrir une introduction digne de ce nom, avec quelques images et textes avant de créer son perso selon les réponses aux questions de la voyante. C'est pas grand chose mais ca aide à se plonger dans le jeu, son univers et sa magie. Le monde est vaste, avec des villes, donjons,... Et pour une fois, cet univers de jeu a une âme, les choses ont une raison d'être, il n'y a pas de grand méchant mais une quête philosophique de longue haleine à accomplir. Même aujourd'hui l'histoire d'Ultima IV reste rarement égalée. Ce jeu est vraiment une bonne surprise comparé aux dongeon crawlers de l'époque (wizardry, bard's tale,...), même si le gameplay reste simple et moins développé. Dans chaque ville on rencontre des PNJ qui donnent des infos et indices sur la quête, les objets à trouver, les emplacements des lieux de méditation pour parfaire son personnage. Si le démarrage est plutôt facile, les choses se corsent une fois dans les donjons, et encore plus à la fin dans l'abysse stygienne. Un point négatif notamment : la gestion de groupe dans les salles des donjons, avec un écran tactique et des déplacements pénibles. Sinon pour la remarque d'Aron ci-dessous, la nourriture n'est pas un problème du tout, c'est juste que les jeux de l'époque géraient souvent ce paramètre et qu'on n'en a plus l'habitude aujourd'hui. Il suffit de se faire un petit stock de temps en temps, surtout au début, et ensuite, on a plus d'argent et on achète un gros paquet de bouffe pour tenir jusqu'à la fin du jeu. C'est surtout les Ultima I, II et III qui étaient plus pénibles sur ce paramètre. En tout cas un jeu que je recommande chaudement aux nostalgiques qui peuvent se passer de graphismes périmés.
franck.mail le 15/05/2009	Bien résumé. Il fallait aussi acheter de la bouffe, qui était consommée à chaque pas... Combien de fois j'ai entendu le son strident suivi de l'affichage "starving... Step North... Starving... Step south... starving.... " etc etc... avec le HP des gugusses qui baisse en même temps. Chiant quand même, mais il n'y avait que ça!
oldfan le 02/05/2006	Un jeu qui était techniquement assez moyen sauf l'intro dotée de très belles images pour la master system. En revanche l'intérêt de jeu était là avec une véritable quête de la perfection dans huit disciplines philosophiques majeures. Une fois remplie cette quête de l'avatar (comme son nom l'indique) il vous fallait affronter la "great stygian abyss" pour terminer le jeu. Cette même abyss donna ensuite son nom à l'un des précurseurs du FPS sur PC ( en 92 ou 93). Le jeu lui-même est un classic rpg avec profusion de villes, châteaux et village, une map immense, possibilité de naviguer par mer, et des combats en équipe sur une carte cadrillées, où l'on avanceait les persons pour les emmener au contact... un peu de tactic donc, mais quand même rien à voir avec du Shining Force. A essayer avec beaucoup d'indulgence. Un jeu très long où les donjons sont immenses.

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