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Commentaires de Elincia avatar
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Trier par : Date | Support | Nom | Note
82 commentaires
Pokémon Argent gbc
Elincia

le 07/07/2009
8
C'est du Pokémon, c'est de la collec.

Gotta catch them all!
Pokémon Cristal gbc
Elincia

le 07/07/2009
8
Un excellent jeu, regroupant tout les atouts des version or et argent, beaucoup d'heure passées à récolter ces satanés pokémons^^
Pokémon Or gbc
Elincia

le 07/07/2009
8
En tant que fanboy de Oh-Oh, je me doit de mettre une bonne note à ce jeu...

Sinon, c'est du pokémon... j'adore tous les attraper^^
Shadow Hearts: Covenant play2
Elincia

le 12/12/2012
Edité le 12/12/2012
8
Je vais commencer par la fin en disant que l'ending est assez génial. Sinon Covenant est à des lieues de son ainé dans pas mal de domaines : gameplay largement amélioré ; scénario, univers et background plus denses et travaillés ; graphiquement bien moins à la rue, bref, presque du tout bon. Toutefois il garde quelques points communs avec Shadow Hearts premier du nom, notamment l'humour toujours aussi percutant ou le voyage initiatique à travers l'Asie et l'Europe, dépaysant comme jamais. Maintenant on note une bonne flopée de personnages qui ne servent à rien. Pour tout dire, outre le triangle amoureux et les deux principaux antagonistes, le reste est à jeter. On se consolera avec les très nombreuses quêtes annexes de qualité.

Sur le plan sonore, on a connu des doublages anglais plus convaincants, mais l'on s'en contentera. La bande-son est atteinte du même syndrome : ni mémorable, ni passable, elle fait son job d'accompagnement comme on lui demande. A savoir toutefois que Covenant change du tout au tout par rapport à son grand frère lorsqu'il s'agit d'ambiance. Le côté mystique et sombre qui était consciencieusement cultivé dans Shadow Hearts premier du nom ne se retrouve pas ici. En effet, soit l'humour prend la part belle, soit plus rarement on se retrouve pris au piège dans une atmosphère sérieuse, à la limite du mélodramatique parfois et qui tranche sans transition avec les phases plutôt bon enfant. Heureusement Shadow Hearts Covenant prend tout de même le soin d'éviter les pires clichés afin de livrer des thématiques plutôt originales qui tournent autour de l'effacement de soi, de l'héritage immatériel laissé après la mort, de la perte de mémoire, etc. En bref, Shadow Hearts 2 est un excellent RPG, mangez-en.
Skies of Arcadia Legends gc
Elincia

le 09/05/2010
8
+La piraterie
+Les techniques complétement classes et démentes par moment (Alpha stooooooooorm)
+La base
+L'ambiance bon enfant, le monde coloré
+Très bon scénario qui nous emporte aux confins du monde et même au delà
+Emouvant
+Finish de dingue
+Ramirez
+Y'a de quoi s'occuper pendant très longtemps
+Une OST renversante avec notamment un battle theme très réussi qui nous fait facilement oublier leur mollesse
+Une aventure très rythmée où l'on ne peut s'ennuyer

+-Gameplay correct mais sans plus

-Caméra parfois capricieuse
-Les combats en bateaux trop longs et mous
Suikoden Tierkreis nds
Elincia

le 16/12/2009
8
+les musiques
+le chateau et les 108 étoiles (je découvre suiko)
+le scénario
+ambiance
+C'est beau *-*

-10 d'xp à chaque battle
-les zones de fin de jeu (désert, et ruroblabla)
The Legend of Zelda: The Minish Cap gba
Elincia

le 07/07/2009
8
Décidément, Big N nous gâte avec ses bons opus sur console portable.

En voilà un de plus toujours aussi enchanteur. Un opus certes un peu moins mature que les autres mais toujours plaisant.
J'ai bien aimé les minish et leur background.

La console GBA SP dorée aussi
Transistor pc
Elincia

le 04/06/2014
8
Cloudbank est un simulacre de société. Ville fluorescente futuriste hyperconnectée qui s’adapte au bon désir de sa population (la météo du jour est dictée par un sondage public), elle est l’effigie du techno-mondain. Paradis artificiel, œuvre trop carrée pour être honnête, la cité contrefaite de Transistor brasse les influences dans un mensonge charmant. Place d’art et de culture aux relents architecturaux vénitiens et habitée par l’intellect des Lumières – la touche pop-jazzy des flashs en plus – Cloudbank est resplendissante. Peu importe que le ciel ne soit qu’une toile vierge sur laquelle viennent s’appliquer les désirs colorés des citoyens. Le ton est modestement acidulé, fluorescent sans être tape à l’œil. Les teintes luminescentes se fondent harmonieusement dans les bâtisses de pierres polies, aux pieds desquelles se déroulent d’innombrables tapis rouges jusqu’aux quais donnant sur l’horizon azuréen. Il fait bon vivre à Cloudbank. Jusqu’à ce que le Process s’invite et joue sa danse macabre.

Il est à la fois l’ombre et le cancer de Cloudbank. Matérialisé sous la forme de robots artefacts et autres cyborgs humanoïdes qui constitueront les antagonistes, le Process est le vice caché de cette utopie. Il constitue la base mathématique qui permet de redessiner le monde ; qui a fait naitre Cloudbank en premier lieu. Programmé pour rester dans les coulisses, exécutant docilement les tâches qui lui sont incombées, le Process est propulsé sur le devant de la scène par la mafia locale. Habité par une volonté propre, il se met à coloniser Cloudbank. Dès lors deux univers entrent en conflit, celui de la rigueur machinale et de la neutralité éthérée, contre celui du brouhaha créatif et de la prise de risque artistique. Transistor narre de façon habile cette rencontre agressive entre l’obsession rationnelle et l’extravagance des sentiments. Les paysages altérés par le Process croisent un blanc inquiétant, vicié par les miasmes qui l’entourent, et la gloire passée d’une cité que l’on devine autrefois pleine de vie. Le Process infeste et s’immisce partout dans sa quête totalitaire de neutralité. Paradoxalement, le rendu visuel est on ne peut plus anarchique.

Dans cette apocalypse techno-urbaine, Red émerge en quête de réponses. Chanteuse à succès flamboyante, on l’agresse un soir de représentation. L’arme du crime, le Transistor, fait une victime : son amant. Ce dernier, dépouillé de son corps, se réincarne dans le Transistor. Red, privé de sa voix par ses assaillants, empoigne l’arme et se laisse guider par les errances vocales de son compagnon matériel. Sophistiquée, glamour, amoureuse, Red représente l’âme de Cloudbank. Elle en est à la fois le produit, l’ambassadrice et l’héroïne. La soudaineté des événements et sa brusque prise de pouvoir la condamnent cependant à l’hésitation. Laquelle se répercutera sur le joueur.

Catapulté dans le feu de l’action d’une cité en proie à la panique, il est difficile d’appréhender Transistor tant son gameplay n’est pas conventionnel. Vrai-faux jeu d’action parfois rigide, le titre de Supergiant Games mise surtout sur l’intellect de son interlocuteur qui doit constituer des builds d’aptitudes cohérents. Une fois en situation de combat, il s’agira de suspendre le temps, puis de calculer chacun de ses mouvements pour optimiser les dégâts qui s’effectueront en un clin d’œil une fois le temps rétabli. Comme si Cloudbank foudroyait les insectes qui l’incommodent.

Véritable lutte effrénée d’une ville rêveuse contre l’aliénation cartésienne, Transistor donne à voir l’affrontement persistant entre les deux faces d’une même pièce, celle de la psyché humaine. La narration nébuleuse, organisée en particules d’informations jointes timidement par le liant vaporeux qu’est Cloudbank, s’accorde avec la distorsion invasive du Process. Transistor est une métaphore filée tendre et onctueuse d’un dilemme millénaire.
Xenogears play
Elincia

le 27/11/2010
Edité le 27/11/2010
8
30h, c'est le temps qu'il a fallu pour que mon intérêt revienne en jouant à ce jeu. Malgré une ambiance saisissante et des persos attachants, pendant une bonne moitié du jeu, j'étais las. Las de ne rien comprendre et de ne trouver aucun élément scénaristique concret qui puisse faire renaître ma volonté en éclairant quelque peu cette histoire qui demeure alors très obscure. Mais finalement vient la fin du CD1. Et on exulte, on s'en prend plein la face, les révélations s'enchainent ainsi que les boss de fou. On continue avec le CD2 et alors là on en revient pas, la dose d'explications et de révélations nous explose le cerveau. C'est puissant. Et un brillant finish s'offre à nous, on oublie la pauvreté du début. Les scènes sont parfois émouvantes, toujours justes et pertinentes et peuvent prêter à réfléchir. Les dialogues sont bien choisis, notamment ceux des PNJ qui amplifient le backgound de façon considérable. Avec XG, on se triture l'esprit.

Mais au delà de ça, l'intérêt ludique à proprement parler semble plutôt absent. A noter, un gameplay que j'ai trouvé peu passionnant, il en va de même que les combats, rébarbatifs (surtout sur une 60aine d'heures). XG accuse quelque part son âge : le level design est quelque fois affligeant, la maniabilité rude et la caméra atroce. Il aurait fallu faire comprendre aux développeurs que XG n'était pas un jeu de plateforme contrairement à ce que laisse penser certaines phases de jeu.

Mais bilan plus que positif au final. En effet on oubliera pas l'OST qui contient quelques perles. Et puis finalement XG c'est quand même une bonne grosse aventure qui donne toute sa puissance sur la fin et on ne regrette pas d'avoir persévéré.
Ys: Memories of Celceta psv
Elincia

le 02/02/2014
8
Ys qui se la joue Classical-RPG d'envergure en tentant de densifier et d'enrichir l'expérience. Ça se constate à tous les niveaux. Le scénario est long par rapport à la norme Ys, parfois inutilement. Il est prévisible, cliché, lacunaire, autant de tares qui habituellement sont formulées à l'encontre des Legend of Heroes, la seconde saga fétiche de Falcom. La narration sans envergure ni réel bon goût agace presque à chaque cut-scene, autant que le casting peut taper sur les nerfs. Maintenant, une fois lâché dans la gigantesque et passionnante forêt de Celceta, c'est que du bonheur. L'exploration est tout aussi engageante qu'agréable : on déambule dans la multitude de corridors qui se croisent et s'entremêlent sans fin sur le rythme corsé des riffs toujours aussi savoureux de la Sound Team JDK. On dézingue, on défouraille, on annihile, le gameplay est une véritable explosion de violence et d'esthétisme bourrin. C'est jouissif, décapant, c'est Ys. Un digne héritier de Seven.
Ys: The Oath in Felghana psp
Elincia

le 15/02/2011
8
Intense, addictif, entrainant, un bon défouloir bien hardu, c'était cool. Et les boss bien jouissifs aussi.
Fable: The Lost Chapters pc
Elincia

le 07/07/2009
7
Fable c'est du bon, mangez-en.
Final Fantasy VII: Dirge of Cerberus play2
Elincia

le 07/07/2009
7
Un excellent jeu de tir que voilà avec un scénario qui précise pas mal de choses, un gameplay très intéressant (la customisation de l'arme est vraiment sympa). On retrouve nos héros préférés ainsi qu'une ambiance plutôt dark.

J'avait hâte d'en savoir plus à propos de vincent, personnage quelque peu énigmatique dans le jeu original et j'ai été servi^^.
Final Fantasy XII play2
Elincia

le 07/07/2009
7
Hum comment dire, juste que ce jeu à été une petite déception pour moi. Le scénario ne me plait pas vraiment, l'univers non plus. Ceci dit le gameplay est vraiment bien travaillé et novateur.

Le gros point noir qui m'as géné c'est sans doute le fait que les quètes annexes se multiplient au fur et à mesure du cheminement du jeu et que lorsque l'on est un maniaque des choses bien faites comme moi, on s'éparpille et on oublie le scénario...

Un petit RPG sympa mais j'en attendais plus d'un FF.
Phantasy Star Universe xb360
Elincia

le 07/07/2009
Edité le 08/05/2010
7
Mon premier phantasy star et j'ai vraiment bien apprécié (pas le fouet!).

Je l'ai acheté totalement au hasard dans un magasin de jeux vidéos et puis finalement je suis vraiment pas déçu j'ai passé d'agréables heures dessus.

Le scénario est tranquille, il se laisse suivre. Le gameplay est bourrin comme il faut, on tape dans le tas... c'est un A-RPG quoi.

Là où ça péche un peu c'est les graphismes, mais c'est pas un critère super important pour moi.

Je me suis bien éclaté avec ce jeu!
Pokémon Bleu gb
Elincia

le 07/07/2009
Edité le 22/04/2010
7
Mon premier pokemon avec la version rouge, toujours aussi sympa le principe et puis à l'époque j'étais fanboy donc mettons une bonne note pour ne pas être de mauvaise foi...
Pokémon Jaune gb
Elincia

le 07/07/2009
Edité le 22/04/2010
7
La version Bleue et rouge sauf que Pikachu vous suit partout, j'ai pas vraiment trouvé cet ajout vital mais c'est plutôt sympa^^
Pokémon Rouge gb
Elincia

le 07/07/2009
Edité le 22/04/2010
7
La même que le bleu avec Dracaufeu à l'honneur...
The Legend of Zelda nes
Elincia

le 07/07/2009
7
L'ayant découvert sur GameCube avec le CD de l'édition collector, j'ai pu découvrir les origine de "The legend of Zelda" et ce fut un plaisir de me promener dans cet épisode NES.
La musique de Koji Kondo :drooling:

Je me suis sacrément bien amusé en tout cas. D'ailleurs je le refais sur mon portable^^.
The Legend of Zelda: Majora's Mask n64
Elincia

le 07/07/2009
7
Un zelda qui sort des sentiers battus par son ainé OoT.

Longtemps il a été assasiné par la critique mais malgré ça, sans attendre le niveau d'OoT il reste un bon Zelda et on prend plaisir à y jouer...

Un épisode Unique en son genre en tout cas...
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