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Trier par : Date | Support | Nom | Note
82 commentaires
The Legend of Zelda: Link's Awakening DX gbc
Elincia

le 07/07/2009
10
Un BGE.

Ce jeu est juste énorme. C'est mon premier Zelda et je dois dire que je n'ai pas été déçu. A l'époque j'étais "gosse" et je me retrouvais plongé dans un univers enchanteur où l'on doit sauver une princesse. Quoi de mieux pour faire réver un enfant. Il tue les monstres vaillamment et se fraye un chemin jusqu'au grand méchant...

Sublime...
The Legend of Zelda: Majora's Mask n64
Elincia

le 07/07/2009
7
Un zelda qui sort des sentiers battus par son ainé OoT.

Longtemps il a été assasiné par la critique mais malgré ça, sans attendre le niveau d'OoT il reste un bon Zelda et on prend plaisir à y jouer...

Un épisode Unique en son genre en tout cas...
The Legend of Zelda: Ocarina of Time n64
Elincia

le 07/07/2009
Edité le 10/08/2011
9
Un magnifique Zelda. Le meilleur même je dirais.

Une OST sublime signé Koji Kondo, un univers grandiose, un gameplay génial, des donjons à la pelle ainsi que des énigmes à nous faire tourner la tête. Tel sont les ingrédient de ce jeu de génie.

Thank you Miyamoto^^
The Legend of Zelda: Ocarina of Time Master Quest gc
Elincia

le 07/07/2009
Edité le 22/04/2010
9
La même que OoT en mieux (normal c'est un remake )

Vraiment sympa comme remix^^
The Legend of Zelda: Oracle of Ages gbc
Elincia

le 07/07/2009
9
Un jeu que j'ai vraiment apprécié sur ma petite GB color.

J'ai vraiment apprécié les voyages dans le temps. L'univers est singulier, vraiment sympa.
Jeter vous dessus si vous n'y avez pas joué^^
The Legend of Zelda: Oracle of Seasons gbc
Elincia

le 07/07/2009
7
L'exploration des saisons est sympa mais moins bien que l'explo des ages.

Il reste tout de même un Zelda bien sympa auquel j'ai pris plaisir à jouer^^.
The Legend of Zelda: Phantom Hourglass nds
Elincia

le 13/10/2009
5
Positifs :

-Enigmes parfois bien tordues et plutôt bien trouvées, ça oblige à se creuser un peu la tête c'est bien.
-Les trésors sous marins.
-L'ambiance.
-Les graphismes.
-Les dessins sur les cartes.
-Les voyages en bateau sympa au départ...

Négatifs :

-... mais super longs.
-Gameplay entièrement au stylet méga foireux.
-La bande son
-Le scénario (même si c'est un zelda, ils auraient pu faire mieux...)
-Le donjon qu'on se refait 450 fois.
-Sauvegarde désastreuses, j'ai dû refaire pas mal de trucs.
The Legend of Zelda: Skyward Sword wii
Elincia

le 17/11/2011
Les voies de la presse vidéo-ludique sont impénétrables.
The Legend of Zelda: The Minish Cap gba
Elincia

le 07/07/2009
8
Décidément, Big N nous gâte avec ses bons opus sur console portable.

En voilà un de plus toujours aussi enchanteur. Un opus certes un peu moins mature que les autres mais toujours plaisant.
J'ai bien aimé les minish et leur background.

La console GBA SP dorée aussi
The Legend of Zelda: The Wind Waker gc
Elincia

le 07/07/2009
9
Un total renouveau graphique pour cet opus. L'exploration maritime aussi est un gros plus de cette version GC.

Y'a du bon pour ce Zelda WindWaker.

On aime le cell shading où on aime pas...
The Legend of Zelda: Twilight Princess wii
Elincia

le 07/07/2009
9
Mon coup de coeur sur wii^^

Une claque graphique et une jouabilité d'enfer avec la wiimote.
Un univers beaucoup plus Dark.
La caverne de l'Ordalie

Un Zelda à faire absoluement
Transistor pc
Elincia

le 04/06/2014
8
Cloudbank est un simulacre de société. Ville fluorescente futuriste hyperconnectée qui s’adapte au bon désir de sa population (la météo du jour est dictée par un sondage public), elle est l’effigie du techno-mondain. Paradis artificiel, œuvre trop carrée pour être honnête, la cité contrefaite de Transistor brasse les influences dans un mensonge charmant. Place d’art et de culture aux relents architecturaux vénitiens et habitée par l’intellect des Lumières – la touche pop-jazzy des flashs en plus – Cloudbank est resplendissante. Peu importe que le ciel ne soit qu’une toile vierge sur laquelle viennent s’appliquer les désirs colorés des citoyens. Le ton est modestement acidulé, fluorescent sans être tape à l’œil. Les teintes luminescentes se fondent harmonieusement dans les bâtisses de pierres polies, aux pieds desquelles se déroulent d’innombrables tapis rouges jusqu’aux quais donnant sur l’horizon azuréen. Il fait bon vivre à Cloudbank. Jusqu’à ce que le Process s’invite et joue sa danse macabre.

Il est à la fois l’ombre et le cancer de Cloudbank. Matérialisé sous la forme de robots artefacts et autres cyborgs humanoïdes qui constitueront les antagonistes, le Process est le vice caché de cette utopie. Il constitue la base mathématique qui permet de redessiner le monde ; qui a fait naitre Cloudbank en premier lieu. Programmé pour rester dans les coulisses, exécutant docilement les tâches qui lui sont incombées, le Process est propulsé sur le devant de la scène par la mafia locale. Habité par une volonté propre, il se met à coloniser Cloudbank. Dès lors deux univers entrent en conflit, celui de la rigueur machinale et de la neutralité éthérée, contre celui du brouhaha créatif et de la prise de risque artistique. Transistor narre de façon habile cette rencontre agressive entre l’obsession rationnelle et l’extravagance des sentiments. Les paysages altérés par le Process croisent un blanc inquiétant, vicié par les miasmes qui l’entourent, et la gloire passée d’une cité que l’on devine autrefois pleine de vie. Le Process infeste et s’immisce partout dans sa quête totalitaire de neutralité. Paradoxalement, le rendu visuel est on ne peut plus anarchique.

Dans cette apocalypse techno-urbaine, Red émerge en quête de réponses. Chanteuse à succès flamboyante, on l’agresse un soir de représentation. L’arme du crime, le Transistor, fait une victime : son amant. Ce dernier, dépouillé de son corps, se réincarne dans le Transistor. Red, privé de sa voix par ses assaillants, empoigne l’arme et se laisse guider par les errances vocales de son compagnon matériel. Sophistiquée, glamour, amoureuse, Red représente l’âme de Cloudbank. Elle en est à la fois le produit, l’ambassadrice et l’héroïne. La soudaineté des événements et sa brusque prise de pouvoir la condamnent cependant à l’hésitation. Laquelle se répercutera sur le joueur.

Catapulté dans le feu de l’action d’une cité en proie à la panique, il est difficile d’appréhender Transistor tant son gameplay n’est pas conventionnel. Vrai-faux jeu d’action parfois rigide, le titre de Supergiant Games mise surtout sur l’intellect de son interlocuteur qui doit constituer des builds d’aptitudes cohérents. Une fois en situation de combat, il s’agira de suspendre le temps, puis de calculer chacun de ses mouvements pour optimiser les dégâts qui s’effectueront en un clin d’œil une fois le temps rétabli. Comme si Cloudbank foudroyait les insectes qui l’incommodent.

Véritable lutte effrénée d’une ville rêveuse contre l’aliénation cartésienne, Transistor donne à voir l’affrontement persistant entre les deux faces d’une même pièce, celle de la psyché humaine. La narration nébuleuse, organisée en particules d’informations jointes timidement par le liant vaporeux qu’est Cloudbank, s’accorde avec la distorsion invasive du Process. Transistor est une métaphore filée tendre et onctueuse d’un dilemme millénaire.
Valkyrie Profile play
Elincia

le 29/11/2013
Edité le 29/11/2013
4
Franchement, VP partait avec quelques bonnes intentions. Notamment avec la mythologie nordique ou bien le gameplay plutôt original. Mais au final tout se casse méchamment la gueule. Les trois quarts du jeu sont très, très répétitifs. On recrute des personnages au pif qui ne sont même pas en accord avec nos directives de scénario (à savoir les meilleures âmes humaines, mais np de recruter un serial killer).



De plus, les histoires sont pour la plupart mal écrites, lacunaires, mal construites, pas émouvantes pour un sou. Il faut dire que le doublage US à vomir n'aide pas (coucou Lezard et Loki). Du coup on fait la machine à alterner entre phase de recrutement et donjon même pas lié en quoi que ce soit au scénario (ah si y'en a un, la tour de Lezard, allez). Mention spécial au dernier donjon qui pue du cul de la mort. Mais vraiment hein. Puis ils auraient du recruter des vrais scénaristes à tri-Ace sérieux. Au lieu de distiller les informations importantes sur toute la partie en construisant un réel background, avec de vrais dialogues qui importent pour le déroulement, on te fout une voix-off en fin de jeu en faisant un listing (genre avec tiret et tout) de comment s'organise le monde. Au final on a passé toute notre aventure à s'occuper de trucs triviaux. En plus le méchant a le charisme d'une moule d'Arcachon doublée d'une huître pas fraiche.



Franchement globalement, on sait pas trop pourquoi on continue à jouer si c'est pour enchainer connement des donjons et des recrutements sans vraiment de lien. Y'a que le passage avec Lezard qui a un semblant de cohérence, même si on sent que c'est quand même bien bâclé. Maintenant je me suis pas flagellé pendant une trentaine d'heures, le gameplay était sympathique, certains donjons bien retors comme il faut avec une direction artistique pas trop dégueu. Cependant ça fait maigre pour un RPG. Quand autour t'as pas un poil de background, de scénario digne de ce nom, de personnages avec un vrai charisme (non parce que Lenneth lolilol quoi) ou même d'univers qui tienne la route (tous les PNJ te parlent tout le temps de guerre, à part quelques vagues indications, t'en sais pas plus que ça), ça fait maigre.



Puis perso j'ai rien appris sur la mort. Pourtant j'ai une certaine sensibilité quand les jeux essaient de faire passer des messages. Mais là, rien, que dalle, c'est totalement vide de sens. Même l'OST, comme toujours avec Sakuraba, faut farfouiller pour trouver une ou deux bonnes pistes. VP me frustre d'autant plus que s'il était pas parti dans une mécanique très répétitive et vide de sens, il aurait pu développer quelque chose de très solide autour du peu de background qu'il laisse entrevoir. Peut-être que VP2 s'en charge.
World of Warcraft pc
Elincia

le 07/07/2009
4
Une belle daube commerciale...
Je suis de mauvaise foi je sais mais bon il a pas beaucoup de qualités ce jeu par rapport à ce qu'il se fait maintenant...
World of Warcraft: The Burning Crusade pc
Elincia

le 07/07/2009
4
Une belle daube commerciale...
Je suis de mauvaise foi je sais mais bon il a pas beaucoup de qualités ce jeu par rapport à ce qu'il se fait maintenant
Xenogears play
Elincia

le 27/11/2010
Edité le 27/11/2010
8
30h, c'est le temps qu'il a fallu pour que mon intérêt revienne en jouant à ce jeu. Malgré une ambiance saisissante et des persos attachants, pendant une bonne moitié du jeu, j'étais las. Las de ne rien comprendre et de ne trouver aucun élément scénaristique concret qui puisse faire renaître ma volonté en éclairant quelque peu cette histoire qui demeure alors très obscure. Mais finalement vient la fin du CD1. Et on exulte, on s'en prend plein la face, les révélations s'enchainent ainsi que les boss de fou. On continue avec le CD2 et alors là on en revient pas, la dose d'explications et de révélations nous explose le cerveau. C'est puissant. Et un brillant finish s'offre à nous, on oublie la pauvreté du début. Les scènes sont parfois émouvantes, toujours justes et pertinentes et peuvent prêter à réfléchir. Les dialogues sont bien choisis, notamment ceux des PNJ qui amplifient le backgound de façon considérable. Avec XG, on se triture l'esprit.

Mais au delà de ça, l'intérêt ludique à proprement parler semble plutôt absent. A noter, un gameplay que j'ai trouvé peu passionnant, il en va de même que les combats, rébarbatifs (surtout sur une 60aine d'heures). XG accuse quelque part son âge : le level design est quelque fois affligeant, la maniabilité rude et la caméra atroce. Il aurait fallu faire comprendre aux développeurs que XG n'était pas un jeu de plateforme contrairement à ce que laisse penser certaines phases de jeu.

Mais bilan plus que positif au final. En effet on oubliera pas l'OST qui contient quelques perles. Et puis finalement XG c'est quand même une bonne grosse aventure qui donne toute sa puissance sur la fin et on ne regrette pas d'avoir persévéré.
Ys Origin pc
Elincia

le 08/05/2013
7
Un Ys plutôt sympa, dans la moyenne. Les combats sont assez nerveux pour qu'on puisse se défouler, les musiques assez rythmées pour que l'on n'ait pas envie de décrocher. Quelques bémols cependant. Le fait de faire le jeu entier dans une tour a quelque chose de très oppressant à la longue, on aurait préféré un peu plus de liberté et de pouvoir dasher à foison dans de longues plaines. Ensuite, qu'est-ce que Falcom peut être chiant à livrer le meilleur de son jeu seulement après l'avoir déjà torché deux fois. C'est fastidieux et regrettable. Il faudrait que le développeur arrête de tomber dans ces mauvais travers et puisse offrir au joueur lambda la meilleure expérience possible dés le premier run, comme dans son Ys Seven. On retrouvait déjà cet écueil de la retenue dans Trails in the Sky. Mais globalement l'expérience reste satisfaisante et divertissante, assez pour y passer une petite dizaine d'heures.
Ys Seven psp
Elincia

le 17/09/2010
9
Sans vouloir répéter ce qui a déjà été dit, Ys Seven c'est de l'action nerveuse jouissive au possible et parfaitement calibrée (notamment une difficulté que j'ai trouvé très bien ajustée). On est magnifiquement accompagné tout du long par une OST de dingue qui pulse bien et donne un souffle épique à l'aventure. Sans elle le jeu ne serait pas ce qu'il est, clairement. C'est donc du pur concentré de fun avec des Boss au delà de l'imaginaire (le boss de fin est sans doute un des meilleurs boss que j'ai affronté). Les donjons sont par la plupart bien étudiés et on résout tranquillement ses énigmes sans réellement se prendre la tête, ce qui n'est pas plus mal. Les décors et la 3D sont également plutôt réussis pour de la PSP. D'autre part, le scénario se laisse étonnamment bien suivre bien que tombant dans les clichés du J-RPG habituel. Une fin plutôt sympa en perspective.
On notera cependant une première heure de jeu très lassante ainsi qu'une ou deux périodes du jeu en deçà de la qualité générale du titre. Mais ce n'est rien par rapport aux purs moments de folie que l'on passe avec ce jeu entre les mains.

Must have de la PSP, clairement.
Ys VI: The Ark of Napishtim pc
Elincia

le 22/12/2013
Edité le 22/12/2013
6
Un Ys sympathique, qui a le mérité d'être plug and play. Après on reste sur notre faim en ce qui concerne le challenge, les musiques ou même les boss, mais c'est pas prise de tête et on s'amuse pendant quelques heures.
Ys: Memories of Celceta psv
Elincia

le 02/02/2014
8
Ys qui se la joue Classical-RPG d'envergure en tentant de densifier et d'enrichir l'expérience. Ça se constate à tous les niveaux. Le scénario est long par rapport à la norme Ys, parfois inutilement. Il est prévisible, cliché, lacunaire, autant de tares qui habituellement sont formulées à l'encontre des Legend of Heroes, la seconde saga fétiche de Falcom. La narration sans envergure ni réel bon goût agace presque à chaque cut-scene, autant que le casting peut taper sur les nerfs. Maintenant, une fois lâché dans la gigantesque et passionnante forêt de Celceta, c'est que du bonheur. L'exploration est tout aussi engageante qu'agréable : on déambule dans la multitude de corridors qui se croisent et s'entremêlent sans fin sur le rythme corsé des riffs toujours aussi savoureux de la Sound Team JDK. On dézingue, on défouraille, on annihile, le gameplay est une véritable explosion de violence et d'esthétisme bourrin. C'est jouissif, décapant, c'est Ys. Un digne héritier de Seven.
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