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88 commentaires
Pokémon Conquest nds
bruninho87

le 30/05/2014
8_5

Oh. Je me suis amusé comme un petit fou. On garde le côté collection, on ajoute un soupçon de tactical-stratégie et on se lance à l’aventure. Vraiment sympa, même si l’histoire n’est pas la plus aboutie de toute l’histoire du jeu vidéo et que le côté tactique est assez simplifié, les fans adorent. J’adore.

De plus, un post-game est tout à fait faisable avec plein de défis à relever.


Pokémon Émeraude gba
bruninho87

le 30/05/2014
8_5
Battle Frontier. What else.
Pokémon HeartGold nds
bruninho87

le 30/05/2014
Edité le 18/09/2014
8_5

Un remake encore une fois superbement réussi. Une vraie réussite. Surtout avec la plus grande durée de vie tout Pokémon confondu, on ne peut vraiment pas passer à côté. En plus, tu as droit à un tamagotchi.


Pokémon Rubis gba
bruninho87

le 30/05/2014
8_5

Une très belle generation, la 3ème ; l’une de mes préférées.

Avec de belles nouveautés qui augmentent le réalisme et le côté stratégique dans Pokémon avec l’apparition des natures, de très loin une bonne idée, vraiment excellente.

Avec un tout nouveau Pokédex où nous atteignons la barre des 386 Pokémon différents. Cette aventure rocambolesques n’est pas forcément super intéressante. Cependant, sur celui-ci on ne s’ennui pas.

Même si la nouveauté des combats en Duo est apparue, ce n’est pas forcément super intéressant, mais ça reste tout de même agréable.

Bref que du bon.


Pokémon Saphir gba
bruninho87

le 30/05/2014
8_5

Une très belle generation, la 3ème ; l’une de mes préférées.

Avec de belles nouveautés qui augmentent le réalisme et le côté stratégique dans Pokémon avec l’apparition des natures, de très loin une bonne idée, vraiment excellente.

Avec un tout nouveau Pokédex où nous atteignons la barre des 386 Pokémon différents. Cette aventure rocambolesques n’est pas forcément super intéressante. Cependant, sur celui-ci on ne s’ennui pas.

Même si la nouveauté des combats en Duo est apparue, ce n’est pas forcément super intéressant, mais ça reste tout de même agréable.

Bref que du bon.


Pokemon SoulSilver nds
bruninho87

le 30/05/2014
Edité le 18/09/2014
8_5

Un remake encore une fois superbement réussi. Une vraie réussite. Surtout avec la plus grande durée de vie tout Pokémon confondu, on ne peut vraiment pas passer à côté. En plus, tu as droit à un tamagotchi.


South Park: Le Bâton de la Vérité play3
bruninho87

le 02/05/2014
8_5
https://www.legendra.com/blogs/blog_ticket.php?bid=108&tid=2221
Child of Light play4
bruninho87

le 13/09/2014
8

Ubisoft nous propose une aventure féérique et merveilleuse. On incarne une jeune fille au nom d’Aurora. Un malheur s’embattant sur la jeune fille, nous voilà propulsé dans – justement – ce monde enchanteur.

Ce monde enchanteur, nous le parcourons de la plus belle des manières. Arrivé à un moment du jeu (très tôt), nous recevons le don de voler ; rêve de la jeune fille. De ce fait, ce monde s’explore à tous les niveaux. De haut en bas, de gauche à droite ; pour trouver monts et merveilles. L’histoire est contée comme si nous lisions une poésie. Au premier abord, cela peut déplaire, mais à terme, cela donne une petite note de légèreté, de liberté et d’immersion dans l’univers de Lemuria. D’ailleurs, dans ce monde de Lemuria, nous ne serons pas seul bien longtemps. Nous trouvons sur notre chemin différents personnages, de villages différents avec leur capacité qui leurs sont propres. De plus, ces derniers interviennent pas mal de fois dans les phases de dialogues et chacun avec son caractère bien défini. Très plaisant.

Hors la phase d’exploration avec des phases d’énigmes, afin de pouvoir avancer, qui au final à tout de même ces limites tant cela est simple. Les phases de combats sont également très simplistes pour un RPG. Ces phases – au tour par tour – avec une sorte de barre ATB permet de placer ces différentes stratégies. Vaut-il mieux attaquer ou se défendre ? Car oui, lorsque l’ennemi nous attaque pendant la préparation de notre attaque, cela interrompt instantanément cette dernière et nous perdons un tour ; bêtement. D’ailleurs, notre petit Igniculus n’est pas là que pour faire joli, il nous sera également utile en pressant la touche L2 et en le plaçant sur l’ennemi de notre choix afin de le ralentir. Bien évidemment, tout cela est bien expliqué pendant le jeu.

Ce qu’il faut vraiment prendre en compte dans Child of Light, c’est vraiment la DA qui est vraiment magnifique couplé à une BO excellente. Ce monde envoutant est d’une réussite qu’on se dit qu’il est dommage que le jeu ne dure qu’environ une dizaine d’heures.

Néanmoins, nous pouvons être sûrs qu’Ubisoft sait faire des RPG. Espérons-le qu’ils en fassent plusieurs avec une plus grande durée de vie.


Fallout 4 xboxone
bruninho87

le 09/02/2016
8
Un très bon Fallout avec son habitude plein de contenu nous permettant de voyager ici et là dans un univers toujours plus réussi. Dommage qu'une certaine lassitude puisse se faire ressentir après avoir terminé l'histoire principale et plusieurs quêtes annexes.
Fallout 4 play4
bruninho87

le 01/06/2016
8
Nettement au-dessous de son aîné, tous les points et domaines sont - selon moi - bien mieux que le 3.

Dommage, néanmoins que la "fin" soit si prévisible et décevante. Néanmoins, cela n'enlève en rien la qualité de cet opus. Un must-have.
Pokémon Donjon Mystère: Equipe de Secours Bleue nds
bruninho87

le 30/05/2014
8

Les Pokémon parlent. Les Pokémon sont des héros. On incarne un Pokémon qui était humain autrefois. On arrive dans un monde où les Pokémon vivent et sauvent d’autre Pokémon via des quêtes qu’ils reçoivent par courrier-Bekipan.

Un Donjon-RPG excellent, avec une bonne durée de vie, un post-game plus que nécessaire pour compléter son DEX (amis-sauveteurs) et une difficulté bien dosé. Vraiment excellent.


Pokémon Donjon Mystère: Equipe de Secours Rouge gba
bruninho87

le 30/05/2014
8

Les Pokémon parlent. Les Pokémon sont des héros. On incarne un Pokémon qui était humain autrefois. On arrive dans un monde où les Pokémon vivent et sauvent d’autre Pokémon via des quêtes qu’ils reçoivent par courrier-Bekipan.

Un Donjon-RPG excellent, avec une bonne durée de vie, un post-game plus que nécessaire pour compléter son DEX (amis-sauveteurs) et une difficulté bien dosé. Vraiment excellent.


The Legend of Zelda: A Link Between Worlds 3ds
bruninho87

le 16/02/2015
8

22 ans plus tard, Nintendo fait frémir les afficionados de la saga Zelda. En effet, The Legend of Zelda: A Link Between Worlds ressemble de très près à The Legend of Zelda: A Link to the Past ; un jeu qui aura révolutionné le genre avec son monde libre et son efficacité à satisfaire la majorité des joueurs dans le monde. Néanmoins, retentez l’aventure aux temps modernes fera-t-il encore mouche auprès des gamers ?

Ô Hyrule !

Réveillé par le jeune Guly, fils de forgeron du Village Cocorico, notre jeune Link doit se rendre promptement au boulot et ce - encore une fois - en retard. Les « oreilles tirées » et gronder par le forgeron dit « Le Patron », ils se rendent tous les deux vite compte que le capitaine de la Garde Royale a oublié son épée récemment forgée. Ni une, ni deux, Le Patron ordonna à Link de se dépêcher de rattraper le capitaine afin de lui remettre son dû.

C’est alors que Link constata que le Capitaine court un grave danger, face à un dénommé Yuga. Ce dernier qui transforma, sous les yeux de Link, le Capitaine en un tableau.

Link, téméraire, décide d’utiliser l’épée qu’il devait ramener afin d’affronter Yuga. En effet, le Royaume est face à un ennemi redoutable car il finit par transformer les 7 descendants des Sages en de fabuleux tableaux pour sa collection personnelle.

Link, armé de « sa nouvelle » épée, part à l’aventure afin de sauver les 7 descendants.


Une nouvelle aventure dans un monde que l’on connaît déjà. Effectivement, la map est, à peu de chose près, à l’identique de celle que nous avions connu sur A Link to the Past. L’effet s’en ressent car, Pad à la main, les sensations reviennent, la Nostalgie nous submerge et cette musique ; du pain béni.

L’aventure (re)commence.

Retour aux sources

Comme avec son aîné, le joueur est lancé dans le bain de manière impromptue et devra tâter en vaquant ici et là. De cette manière, le joueur explorera, à son rythme, le monde qui s’offre à lui. Le scénario ne déroge pas à la règle, il est toujours aussi anecdotique, donnant juste une raison « valable » au joueur d’avancer à travers les différents donjons du jeu. A Link Between Worlds est divisé en deux parties, la première étant très courte. D’ailleurs, c’est dans la deuxième partie que le gameplay se verra accroître significativement. Contrairement à Link to the past où le voyage à travers le temps était de rigueur, ici nous auront droit à un gameplay entre la 2D et la 3D où les moindres recoins dissimuleront - peut-être - un secret que le joueur devra découvrir.

De ce fait, le monde d’Hyrule gagne nettement en possibilité et en superficie. Les murs, en général étant là pour imposer une Direction Artistique et un Level-Design pour limiter les zones, nous permettra, du coup, de gagner en exploration et donc, en richesse.

Par ailleurs, la grande richesse de ce nouvel opus survient lors des premières minutes où nous comprenons que le monde est libre d’exploration malgré qu’il faille, au préalable, débloquer palmes et gants de force pour réellement profiter à 100% d’Hyrule.

Outre ces deux objets à débloquer, le reste de l’équipement mythique à la série est disponible de suite – en location initialement – via le shop de Lavio ; personnage sans aucun scrupule à habiter chez nous.


Gameplay aux petits oignons

Habitué à la saga, le joueur ne sera pas étranger au gameplay de cet opus. La magie a opéré il y a 20 ans et celle-ci, opère toujours. Epée en main, place à l’aventure. La nouveauté sur ce jeu provient de la possibilité de se coller au mur – tel un tableau – comme expliqué (3D-2D). Intéressant et ingénieux, le monde sera d’autant plus vaste lorsque nous comprendrons toutes les petites subtilités à se « fondre » dans le décor.

D’ailleurs, les moult donjons que nous devrons explorer dont l’élimination du boss nous permettra de sauver l’un des descendants des 7 sages, nos méninges seront au rendez-vous afin de savoir comme il est possible d’y entrer et par la suite, d’avancer dans les différentes salles. Bien évidemment, pour des joueurs acclimatés à l’environnement Hyrulien, ça sera une promenade de santé tant la difficulté s’est vue modernisée (à la baisse).

Néanmoins, les puristes seront content de voir que les bases restent les mêmes. À savoir, l’exploration, la possibilité d’accéder aux donjons dans l’ordre qu’on le souhaite et cette OST exceptionnelle.

En somme, nous avons l’occasion sur ce nouvel opus de The Legend of Zelda de tâter à l’une des séries phares du globe modernisé à la sauce année 2013. La difficulté revue au goût du jour ravira les plus coriaces d’entre nous car – tenez-vous bien – nous pourrons recommencer une nouvelle partie en difficile après avoir terminé une première fois le jeu. Même si sa durée de vie est assez faible ; la dizaine d’heures à travers ce vieux-nouveaux Hyrule est un réel bonheur pour ce qui ne souhaite que suivre la ligne directive.


Final Fantasy XII play2
bruninho87

le 30/05/2014
7_5

Ma mémoire me faisant défaut sur cet opus qui à contrario de son aîné FFX dans lequel je me rappelle de beaucoup de détails, cela veut déjà en dire long sur le jeu. Ce FFXII dont les personnages principaux ont un charme de cacahuète avec une story-line assez pauvre par rapport à certains FF culte, il n’a pas forcément marqué les esprits (le début de la descente aux enfers… ?). Malgré tout un gameplay toujours aussi sympathique, un univers très fantastique à mon goût par rapport à FFX, un système de gambit assez réussi, il est fort dommage d’avoir raté le coche sur d’autres détails.


Inazuma Eleven GO Chrono Stones: Brasier 3ds
bruninho87

le 18/05/2015
7_5

Un énième Inazuma Eleven arrivé dans nos contrées et ce – toujours – après quelques années par rapport à nos amis nippons. Habitué de ce système d’être la dernier roue du carrosse en terme de jeux vidéo, tout comme un certain Youkai Watch dont je mets ma main à couper qu’on le verra en 2016 aux USA/Europe.

Quoiqu’il en soit, comme lors du dernier opus, nous incarnons le jeune Arion Sherwind à travers différents lieux déjà connus par les plus afficionados d’entre-nous. Entre le collège Raimon, l’hôpital ou la célèbre rivière, rien ne nous sera étranger, sauf jusqu’au moment où notre premier voyage temporel survient ! Oui, cet opus rend hommage aux voyages temporels donc notre fine équipe devra prendre part à des voyages à travers l’Histoire (nipponne surtout) afin de redorer le blason du football car un groupe de vilains individus veut éradiquer le football à tout prix afin que quiconque ne sache pas/plus que le football a existé. Raison pour laquelle, les méchants interviennent dans différentes époques du passé. De plus, pour faire face à ce groupe de radicaux, nous devrons former le « 11 Ultime » et pour se faire, un simple Mixi Max (fusion de deux personnages) avec un joueur de notre équipe et un personnage célèbre de l’Histoire. Dit ainsi, cela paraît farfelu et absurde, mais ce point est tout à fait légitime et bien pensé dans le scénario de ce Inazuma Eleven Go 2 Chrono Stone !

En plus, d’avoir une histoire – pour une fois – plus poussée et intéressante, il est recommandé de ne pas avoir vue l’Anime au préalable (comme moi). C’est un conseil purement réfléchi car j’ai eu l’impression que cette histoire - qui bonne soit-elle - m’est parue quelconque, alors que paradoxalement je l’avais adoré lors de mon visionnage de l’Anime. Ainsi, vous ne pourrez qu’être conquis, et ce à travers les différentes chapitres, mais surtout à travers les différentes époques de l’Histoire permettant de donner un certain cachet à ce 5ème opus.

Outre cet aspect purement annexe, il est à souligner (fortement) le peu de nouveauté dans le gameplay. On peut mettre en exergue le simple fait que la sensation, durant les matchs, reste la même avec une pointe de difficulté en plus par rapport à ses ainés. En effet, j’ai dû, à quelques reprises, utiliser mes techniques spéciales les plus puissantes en combinant mon esprit guerrier pour pouvoir marquer. Je pense que les gardiens se sont vus renforcer afin de donner un peu plus de challenge, ou peut-être pour obliger le joueur à utiliser la combinaison de : Esprit Guerrier (en armure) + Mixi Max = joueur quasi invincible, contrairement au joueur lambda sans transformation. Cela n’est que de la pure supposition. C’est d’ailleurs une des nouveautés majeures de ce nouvel Inazuma Eleven : les Mixi Max. Sans compter par la transformation en Armure de l’Esprit Guerrier du personnage. Soit énormément de transformations sur notre joueur donnant ainsi le sentiment de devoir utiliser les mêmes personnages (ceux qui ont un EG + Mixi Max) pour se mettre toutes les chances de notre côté pour gagner les matchs. De ce fait, les quelques joueurs secondaires qu’on aura soit recruter, soit faisant parti du club (Samgunk, Adé, etc..) ne seront finalement jamais sélectionnés par nos soins car n’ont aucune transformation. Par ailleurs, on pourra aussi compter sur deux petites nouveautés en match : les K.O. gardiens et la barre de progression.

Le K.O. survient lorsqu’on tir frénétiquement au but et que le gardien adverse arrête tous nos tirs. Raison pour laquelle une jauge de « K.O. » se remplit au fur-et-à-mesure. Bien évidemment, plus notre tir est puissant (stat de tir + technique spéciale utilisée), la jauge se remplira plus rapidement arrivant ainsi au point culminant de K.O. Ce point culminant nous permettra lors de notre prochain tir de marquer à coup sûr, un fait intéressant si nous avons de mauvais attaquant en point.

En ce qui concerne la barre de progression (uniquement en match scénarisé), nous devrons usé de nos techniques spécial, faire des passes, tirer, en d’autres termes effectuer plein d’actions afin de remplir cette barre qui permettra de déclencher un évènement scénarisé en match. Bien sûr, si nous ne réussissons pas à remplir la barre dans le temps imparti, nous sommes déclaré perdant du match et devrons recommencer le dite match.

Comme à l’accoutumé dans les Inazuma Eleven, le scénario principal terminé, nous aurons droit de continuer d’y jouer dans le Post-Game du jeu. Sur ce nouvel opus, pas mal de choses s’offrent à nous.

Pour commencer, tous les joueurs pourront avoir un Esprit Guerrier que nous pourrons acheter à un personnage se trouvant dans la Tour. Encore faut-il avoir des Jetons Spirituels (monnaie d’échange) pour acquérir un Esprit Guerrier sur le personnage souhaité.

D’ailleurs, plusieurs personnes seront disposées à nous proposer des lignées de matchs amicaux – en plus de celui qui se trouve à la Rivière - nous permettant de dropper plusieurs items intéressants, dont les Jetons Spirituels. Sans compter l’incontournable chasse au recrutement des joueurs secrets, des joueurs difficiles à recruter et plein de secrets que je vous laisse le soin de découvrir par vous-même.

En somme, nous avons dans ce nouvel opus eu droit à une histoire intéressante et plus mature. Comme indiqué plus haut, évitez de faire la même erreur que moi : ne regardez pas l’Anime avant de jouer au jeu, sinon ça prendra un gros coup sur l’intérêt du soft. Par ailleurs, malgré le peu de réel nouveauté, les ingrédients primordiaux sont toujours d’actualité et c’est ce qui a fait le succès de la série. Donc, n’hésitez pas un seul instant et rejoignez le club de RAIMON !


Inazuma Eleven GO Chrono Stones: Tonnerre 3ds
bruninho87

le 18/05/2015
7_5

Un énième Inazuma Eleven arrivé dans nos contrées et ce – toujours – après quelques années par rapport à nos amis nippons. Habitué de ce système d’être la dernier roue du carrosse en terme de jeux vidéo, tout comme un certain Youkai Watch dont je mets ma main à couper qu’on le verra en 2016 aux USA/Europe.

Quoiqu’il en soit, comme lors du dernier opus, nous incarnons le jeune Arion Sherwind à travers différents lieux déjà connus par les plus afficionados d’entre-nous. Entre le collège Raimon, l’hôpital ou la célèbre rivière, rien ne nous sera étranger, sauf jusqu’au moment où notre premier voyage temporel survient ! Oui, cet opus rend hommage aux voyages temporels donc notre fine équipe devra prendre part à des voyages à travers l’Histoire (nipponne surtout) afin de redorer le blason du football car un groupe de vilains individus veut éradiquer le football à tout prix afin que quiconque ne sache pas/plus que le football a existé. Raison pour laquelle, les méchants interviennent dans différentes époques du passé. De plus, pour faire face à ce groupe de radicaux, nous devrons former le « 11 Ultime » et pour se faire, un simple Mixi Max (fusion de deux personnages) avec un joueur de notre équipe et un personnage célèbre de l’Histoire. Dit ainsi, cela paraît farfelu et absurde, mais ce point est tout à fait légitime et bien pensé dans le scénario de ce Inazuma Eleven Go 2 Chrono Stone !

En plus, d’avoir une histoire – pour une fois – plus poussée et intéressante, il est recommandé de ne pas avoir vue l’Anime au préalable (comme moi). C’est un conseil purement réfléchi car j’ai eu l’impression que cette histoire - qui bonne soit-elle - m’est parue quelconque, alors que paradoxalement je l’avais adoré lors de mon visionnage de l’Anime. Ainsi, vous ne pourrez qu’être conquis, et ce à travers les différentes chapitres, mais surtout à travers les différentes époques de l’Histoire permettant de donner un certain cachet à ce 5ème opus.

Outre cet aspect purement annexe, il est à souligner (fortement) le peu de nouveauté dans le gameplay. On peut mettre en exergue le simple fait que la sensation, durant les matchs, reste la même avec une pointe de difficulté en plus par rapport à ses ainés. En effet, j’ai dû, à quelques reprises, utiliser mes techniques spéciales les plus puissantes en combinant mon esprit guerrier pour pouvoir marquer. Je pense que les gardiens se sont vus renforcer afin de donner un peu plus de challenge, ou peut-être pour obliger le joueur à utiliser la combinaison de : Esprit Guerrier (en armure) + Mixi Max = joueur quasi invincible, contrairement au joueur lambda sans transformation. Cela n’est que de la pure supposition. C’est d’ailleurs une des nouveautés majeures de ce nouvel Inazuma Eleven : les Mixi Max. Sans compter par la transformation en Armure de l’Esprit Guerrier du personnage. Soit énormément de transformations sur notre joueur donnant ainsi le sentiment de devoir utiliser les mêmes personnages (ceux qui ont un EG + Mixi Max) pour se mettre toutes les chances de notre côté pour gagner les matchs. De ce fait, les quelques joueurs secondaires qu’on aura soit recruter, soit faisant parti du club (Samgunk, Adé, etc..) ne seront finalement jamais sélectionnés par nos soins car n’ont aucune transformation. Par ailleurs, on pourra aussi compter sur deux petites nouveautés en match : les K.O. gardiens et la barre de progression.

Le K.O. survient lorsqu’on tir frénétiquement au but et que le gardien adverse arrête tous nos tirs. Raison pour laquelle une jauge de « K.O. » se remplit au fur-et-à-mesure. Bien évidemment, plus notre tir est puissant (stat de tir + technique spéciale utilisée), la jauge se remplira plus rapidement arrivant ainsi au point culminant de K.O. Ce point culminant nous permettra lors de notre prochain tir de marquer à coup sûr, un fait intéressant si nous avons de mauvais attaquant en point.

En ce qui concerne la barre de progression (uniquement en match scénarisé), nous devrons usé de nos techniques spécial, faire des passes, tirer, en d’autres termes effectuer plein d’actions afin de remplir cette barre qui permettra de déclencher un évènement scénarisé en match. Bien sûr, si nous ne réussissons pas à remplir la barre dans le temps imparti, nous sommes déclaré perdant du match et devrons recommencer le dite match.

Comme à l’accoutumé dans les Inazuma Eleven, le scénario principal terminé, nous aurons droit de continuer d’y jouer dans le Post-Game du jeu. Sur ce nouvel opus, pas mal de choses s’offrent à nous.

Pour commencer, tous les joueurs pourront avoir un Esprit Guerrier que nous pourrons acheter à un personnage se trouvant dans la Tour. Encore faut-il avoir des Jetons Spirituels (monnaie d’échange) pour acquérir un Esprit Guerrier sur le personnage souhaité.

D’ailleurs, plusieurs personnes seront disposées à nous proposer des lignées de matchs amicaux – en plus de celui qui se trouve à la Rivière - nous permettant de dropper plusieurs items intéressants, dont les Jetons Spirituels. Sans compter l’incontournable chasse au recrutement des joueurs secrets, des joueurs difficiles à recruter et plein de secrets que je vous laisse le soin de découvrir par vous-même.

En somme, nous avons dans ce nouvel opus eu droit à une histoire intéressante et plus mature. Comme indiqué plus haut, évitez de faire la même erreur que moi : ne regardez pas l’Anime avant de jouer au jeu, sinon ça prendra un gros coup sur l’intérêt du soft. Par ailleurs, malgré le peu de réel nouveauté, les ingrédients primordiaux sont toujours d’actualité et c’est ce qui a fait le succès de la série. Donc, n’hésitez pas un seul instant et rejoignez le club de RAIMON !


Kingdom Hearts play2
bruninho87

le 02/12/2014
7_5
Sortie en 2002 sur PS2, Kingdom Hearts est, depuis lors, une licence connue et reconnue à travers le globe. Cette licence met en symbiose deux univers très distinct et totalement à l’antipode dont on n’aurait jamais pu se douter qu’il collerait si parfaitement bien ensemble : l’Heroic Fantasy et l’univers Disney. D’ailleurs, la version « Final Mix » s’est vu appelé ainsi au Japon lors de SA deuxième, car américains et européens ont eu droit à quelques ajouts (scènes, boss, etc.) lors de la sortie du jeu ; premier du nom.


Disney World
Sora, jeune garçon téméraire, vit dans une île paisible – appelée « Île du Destin » - avec ces amis d’enfances Kairi et Riku. Tous les 3 ne savent pas et n’arrivent pas à expliquer pourquoi ils se sont retrouvés seuls et sans parents. Le rêve de ces jeunes enfants est de pouvoir, un jour, partir de cette île à la découverte d’autres terres lointaines. De ce fait, ils se mettent à construire un radeau afin de pouvoir quitter leur île.
En parallèle de l’histoire de ces jeunes bambins, nous nous retrouvons dans le monde de Disney, et plus précisément au Château Disney où Dingo – Chevalier servant – et Donald – mage de la garde royale – apprennent via une lettre déposée sur un trône que Mickey – Roi du Royaume – est parti en quête.
Pourquoi ? L’histoire tourne, justement, autour de cette aventure à la recherche de Mickey, dans un premier temps.
Dingo et Donald partent, donc, à la recherche de leur très cher ami et Roi, Mickey.
C’est alors, sur l’île où habite Sora, une attaque a été déclenchée par des êtres « ombrés », plus communément appelé les « Sans-Cœur ».
Sora, ayant reçu par une force divine la fameuse Keyblade et n’ayant plus traces de ces amis, est littéralement transporter dans un autre monde : le monde de Traverse où plusieurs mondes Disney y sont connectés.
Dingo et Donald, croisant le chemin du jeune Sora, décident tous les trois de s’allier afin de résoudre les différentes énigmes qui leurs incombent afin de sauver le monde ! (Original !)

Le scénario et l’alchimie de deux différents univers sont sûrement les points forts de la série et plus spécifiquement de cet opus ; le seul auquel j’ai joué d’ailleurs. La symbiose totale entre Dingo, Donald et Sora est parfaite et ne dénigrent aucunement l’un ou l’autre univers. Cependant, l’intégration de quelques personnages de Square Enix, à savoir : Squall, Cloud et autres protagonistes de la saga Final Fantasy, est totalement ratée et je ne comprends pas leur intérêt ou l’atout majeur dans le scénario et encore moins dans le jeu. Il est tout de même important de souligner leur présence qui permet – à mon humble avis – de renforcer l’univers Heroic Fantasy de Sora (des humains). Par ailleurs, malgré que ce soit un point majeur du jeu, j’ai eu souvent l’impression d’accomplir certaines tâches – liées au scénario - sans forcément connaître/comprendre la logique de ces actions afin de déclencher la suite des évènements, tout en tournant en rond quelques fois et ce, pas mal de temps, pour des séquences hors-sujet (faire un aller-retour d’un endroit à un autre sans aucune raison apparente, par exemple).
Quoi qu’il en soit, le scénario est plaisant à suivre, malgré ces incohérences, on appréciera de suivre les aventures en croisant nos personnages Disney préférés.


X à répétition
Kingdom Hearts est clairement un jeu axé Action-RPG. C’est-à-dire, que les combats se déroulent en temps réel, les ennemis apparaissant directement sur la carte et nous devons spammer les différents boutons pour lancer nos attaques physiques et magiques. En effet, Kingdom Hearts n’est pas avare de stratégie et de cohérence dans les combats. Malgré que certains ennemis soient faibles à un type de magie en particulier et/ou aux attaques physiques, nous finirons par utiliser indéniablement les attaques physiques en tapant sur le bouton X frénétiquement, voire dans certains combats utiliser quelques magie de soin ou des potions pour revigorer les troupes et c’est tout. Le reste mis à disposition est là pour embellir et faire croire aux joueurs qu’on peut affronter des ennemis de différentes manières ; invocation de Bambi ou l’utilisation de magie. Néanmoins, les compétences spéciales des personnages sont importantes voire nécessaires à un certain stade du jeu. D’ailleurs, utiliser un sort magique, dans un combat en temps réel, est long et maladroit car : cliquer sur magie -> choisir la magie (haut/bas) -> sélection de l’ennemi ; on a le temps de se faire frapper 2-3 fois. Donc, j’ai finis par opter par l’utilisation naïve du bouton X sur attaque et les roulades avec CARRE ; stratégie 0 pointé.

Ce n’est malheureusement pas la seule tare au niveau du gameplay. On peut noter et vite s’apercevoir que la caméra nous fera défaut tout au long de l’aventure. Celle-ci partira, souvent, dans tous les sens lors de nos différents combats, des murs ou des objets nous barreront le chemin car la caméra aura voulu (sans qu’on le veuille) changer de trajectoire ; sans parler des phases de « plateformes » totalement inintéressantes avec une caméra abjecte où on restera 1 minute à bien positionner la caméra pour effectuer un saut banal.

Cependant, malgré ces défauts, on apprécie - et j’ai vraiment apprécié - les différents combats de boss dont pour la plupart sont épique ou plutôt enchanteur de voir les méchants des mondes Disney. En outre, sans conteste et sans aucune once de remord, le combat contre Chernobog fût pour moi le meilleur moment en terme de Boss-Fight sur ce Kingdom Hearts : Final Mix.


Passage à la HD
Graphiquement ce passage à la HD est réussi, même si le point de comparaison ne peut être fait car n’ayant jamais essayé la version PS2. En d’autres termes, le jeu est beau et est en total harmonie à l’univers enfantin de Disney. Cet univers chatoyant est dénoté par une musique quelconque. Le jeu commençait fort bien avec son Opening de qualité et sa musique du Menu Principal, le reste n’est pas totalement à jeter, mais ne restera pas dans les annales de ce que Square Enix a déjà su proposer par le passé. D’ailleurs, si je devrais citer une seule musique – hors les deux citées – je pense que je ne me mouillerais pas en désignant la musique « A Night in the Bald Mountain » ; musique de combat contre le boss Chernobog.


En conclusion, ce premier pas dans cette licence m’aura permis de comprendre cet engouement certain et d’apprécier ce titre à sa juste valeur. Malgré quelques défauts en termes de gameplay répétitif et de sa caméra capricieuse, je peux tout de même dire que la symbiose des deux univers avec un chara-design des personnages Disney parfaitement réalisé ne pourra que me faire continuer l’aventure sur d’autres opus de la série.
Kingdom Hearts: Final Mix play2
bruninho87

le 02/12/2014
7_5
Sortie en 2002 sur PS2, Kingdom Hearts est, depuis lors, une licence connue et reconnue à travers le globe. Cette licence met en symbiose deux univers très distinct et totalement à l’antipode dont on n’aurait jamais pu se douter qu’il collerait si parfaitement bien ensemble : l’Heroic Fantasy et l’univers Disney. D’ailleurs, la version « Final Mix » s’est vu appelé ainsi au Japon lors de SA deuxième, car américains et européens ont eu droit à quelques ajouts (scènes, boss, etc.) lors de la sortie du jeu ; premier du nom.


Disney World
Sora, jeune garçon téméraire, vit dans une île paisible – appelée « Île du Destin » - avec ces amis d’enfances Kairi et Riku. Tous les 3 ne savent pas et n’arrivent pas à expliquer pourquoi ils se sont retrouvés seuls et sans parents. Le rêve de ces jeunes enfants est de pouvoir, un jour, partir de cette île à la découverte d’autres terres lointaines. De ce fait, ils se mettent à construire un radeau afin de pouvoir quitter leur île.
En parallèle de l’histoire de ces jeunes bambins, nous nous retrouvons dans le monde de Disney, et plus précisément au Château Disney où Dingo – Chevalier servant – et Donald – mage de la garde royale – apprennent via une lettre déposée sur un trône que Mickey – Roi du Royaume – est parti en quête.
Pourquoi ? L’histoire tourne, justement, autour de cette aventure à la recherche de Mickey, dans un premier temps.
Dingo et Donald partent, donc, à la recherche de leur très cher ami et Roi, Mickey.
C’est alors, sur l’île où habite Sora, une attaque a été déclenchée par des êtres « ombrés », plus communément appelé les « Sans-Cœur ».
Sora, ayant reçu par une force divine la fameuse Keyblade et n’ayant plus traces de ces amis, est littéralement transporter dans un autre monde : le monde de Traverse où plusieurs mondes Disney y sont connectés.
Dingo et Donald, croisant le chemin du jeune Sora, décident tous les trois de s’allier afin de résoudre les différentes énigmes qui leurs incombent afin de sauver le monde ! (Original !)

Le scénario et l’alchimie de deux différents univers sont sûrement les points forts de la série et plus spécifiquement de cet opus ; le seul auquel j’ai joué d’ailleurs. La symbiose totale entre Dingo, Donald et Sora est parfaite et ne dénigrent aucunement l’un ou l’autre univers. Cependant, l’intégration de quelques personnages de Square Enix, à savoir : Squall, Cloud et autres protagonistes de la saga Final Fantasy, est totalement ratée et je ne comprends pas leur intérêt ou l’atout majeur dans le scénario et encore moins dans le jeu. Il est tout de même important de souligner leur présence qui permet – à mon humble avis – de renforcer l’univers Heroic Fantasy de Sora (des humains). Par ailleurs, malgré que ce soit un point majeur du jeu, j’ai eu souvent l’impression d’accomplir certaines tâches – liées au scénario - sans forcément connaître/comprendre la logique de ces actions afin de déclencher la suite des évènements, tout en tournant en rond quelques fois et ce, pas mal de temps, pour des séquences hors-sujet (faire un aller-retour d’un endroit à un autre sans aucune raison apparente, par exemple).
Quoi qu’il en soit, le scénario est plaisant à suivre, malgré ces incohérences, on appréciera de suivre les aventures en croisant nos personnages Disney préférés.


X à répétition
Kingdom Hearts est clairement un jeu axé Action-RPG. C’est-à-dire, que les combats se déroulent en temps réel, les ennemis apparaissant directement sur la carte et nous devons spammer les différents boutons pour lancer nos attaques physiques et magiques. En effet, Kingdom Hearts n’est pas avare de stratégie et de cohérence dans les combats. Malgré que certains ennemis soient faibles à un type de magie en particulier et/ou aux attaques physiques, nous finirons par utiliser indéniablement les attaques physiques en tapant sur le bouton X frénétiquement, voire dans certains combats utiliser quelques magie de soin ou des potions pour revigorer les troupes et c’est tout. Le reste mis à disposition est là pour embellir et faire croire aux joueurs qu’on peut affronter des ennemis de différentes manières ; invocation de Bambi ou l’utilisation de magie. Néanmoins, les compétences spéciales des personnages sont importantes voire nécessaires à un certain stade du jeu. D’ailleurs, utiliser un sort magique, dans un combat en temps réel, est long et maladroit car : cliquer sur magie -> choisir la magie (haut/bas) -> sélection de l’ennemi ; on a le temps de se faire frapper 2-3 fois. Donc, j’ai finis par opter par l’utilisation naïve du bouton X sur attaque et les roulades avec CARRE ; stratégie 0 pointé.

Ce n’est malheureusement pas la seule tare au niveau du gameplay. On peut noter et vite s’apercevoir que la caméra nous fera défaut tout au long de l’aventure. Celle-ci partira, souvent, dans tous les sens lors de nos différents combats, des murs ou des objets nous barreront le chemin car la caméra aura voulu (sans qu’on le veuille) changer de trajectoire ; sans parler des phases de « plateformes » totalement inintéressantes avec une caméra abjecte où on restera 1 minute à bien positionner la caméra pour effectuer un saut banal.

Cependant, malgré ces défauts, on apprécie - et j’ai vraiment apprécié - les différents combats de boss dont pour la plupart sont épique ou plutôt enchanteur de voir les méchants des mondes Disney. En outre, sans conteste et sans aucune once de remord, le combat contre Chernobog fût pour moi le meilleur moment en terme de Boss-Fight sur ce Kingdom Hearts : Final Mix.


Passage à la HD
Graphiquement ce passage à la HD est réussi, même si le point de comparaison ne peut être fait car n’ayant jamais essayé la version PS2. En d’autres termes, le jeu est beau et est en total harmonie à l’univers enfantin de Disney. Cet univers chatoyant est dénoté par une musique quelconque. Le jeu commençait fort bien avec son Opening de qualité et sa musique du Menu Principal, le reste n’est pas totalement à jeter, mais ne restera pas dans les annales de ce que Square Enix a déjà su proposer par le passé. D’ailleurs, si je devrais citer une seule musique – hors les deux citées – je pense que je ne me mouillerais pas en désignant la musique « A Night in the Bald Mountain » ; musique de combat contre le boss Chernobog.


En conclusion, ce premier pas dans cette licence m’aura permis de comprendre cet engouement certain et d’apprécier ce titre à sa juste valeur. Malgré quelques défauts en termes de gameplay répétitif et de sa caméra capricieuse, je peux tout de même dire que la symbiose des deux univers avec un chara-design des personnages Disney parfaitement réalisé ne pourra que me faire continuer l’aventure sur d’autres opus de la série.
Pokémon Platine nds
bruninho87

le 30/05/2014
7_5

Comme chaque “remake”, celle-ci ne change quasiment pas par rapport à Perle/Diamant. Néanmoins, me suis grandement amusé car c’est sur cette dernière dont je privilégiais les combats/échange Wifi.


Atelier Rorona ~The Alchemist of Arland~ play3
bruninho87

le 30/09/2013
7
Mon tout premier Atelier et ce fût avec Rorona que j’ai eu l’occasion de tester ce style de RPG qui se veut atypique.

Pour ceux/celles qui ne connaissent pas, les jeux Atelier ont des critères bien précis. Au revoir, la liberté, le temps d’exploration et de leveling. Ici, avec un temps imparti imposé, vous aurez 3 ans de jeux afin de sauver votre atelier d’alchimiste. Pour cela tous les 3 mois, vous aurez une mission donnée par Sterk, dans laquelle vous serez obligé d’accomplir pour éviter un Game Over.

Pendant vos phases d’accomplissement de mission, vous pouvez tout de même explorer différents secteurs afin de récolter différents objets qui vous permettront de synthétiser des objets. Lors des mixtures, le menu est harmonieux et les objets à confectionner sont simples, attention tout de même à votre niveau d’alchimiste et les niveaux/effets des ingrédients, car au fil de l’aventure, il vous faudra crafter les meilleurs objets possible, afin d’éviter inexorablement le Game Over.

Hormis les phases « d’exploration » pour gagner un peu d’expérience d’aventure (différents du niveau d’alchimiste), pour la récolte d’objet, le bestiaire à disposition est très (trop ?) sobre et manque cruellement de charme. Les level design sont pauvres, on pourrait croire qu’on joue sur PS2.

En outre, les phases de dialogues avec différents PNJ et personnages jouables (que vous débloquerez au fil de l’aventure), sont parfois drôles. On rigole quelques fois, même si par moment ça frise la perversité lesbienne, c’est assez ambigu. De plus, le personnage principal manque cruellement de charme, tellement elle est nunuche.
D’ailleurs, les personnages jouables qui vous escorteront lorsque vous sortirez de la ville, se doivent d’être payer, et afin d’éviter le surcoût et que ses derniers soient plus efficaces en combat, vous pourrez effectuer les différentes missions de récolte ou de mixtures qui vous proposent, ainsi vous augmenterez votre niveau d’amitié. De plus, vous pourrez également effectuer des missions de ville afin d’augmenter votre pourcentage de confiance des citoyens de la ville.

Vous l’aurez compris, lorsque vous finirez votre 3 années de missions et que vous sauver l’atelier, vous aurez droit à différentes fins, car le jeu en propose 14 différentes au totales.
Donc, si vous le souhaitez, vous devrez accomplir certaines quêtes (degré d’amitié, degré de confiance, résultats de missions, etc…) pour obtenir certaines fins. Malheureusement, le New Game + vous permettra uniquement de garder l’argent accumulé lors de votre dernière partie, ainsi que les différentes mixtures obtenues, mais vos niveaux (alchimiste et aventure) seront au niveau 1.

En somme, ce jeu vous pouvez le finir en 10 heures en ligne droite ou en 50 heures pour une seule partie, vous pouvez l’entreprendre de la manière que vous le souhaitez sans problème. C’est ce seul côté où l’on peut parler de liberté. Certains seront refroidis par le concept de temps imparti, car on ne peut se le cacher c’est assez stressant de ne pas pouvoir faire vraiment ce que l’on veut.

Je ne sais pas si c’est le meilleur Atelier, néanmoins, j’ai grandement apprécié le concept.
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