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88 commentaires
Pokémon Méga Donjon Mystère 3ds
bruninho87

le 08/03/2016
9
Fini Pokémon Méga Donjon Mystère est c'est une réelle réussite.

Je me rappelle surtout lors du précédent opus où les dialogues à rallonge et la suppression des pommes étaient les points les plus fâcheux, je peux dores et déjà dire que la concepteur ont écouté les fans et autant vous dire, c'est peut-être le meilleur opus Pokémon DM jamais sorti jusqu'à présent.

Une petite dose de difficulté bien amené, le scénario vraiment bon et un super système de "capture". Je conseille fortement pour ceux qui aiment Pokémon et les Donjons Mystères.
Final Fantasy Explorers 3ds
bruninho87

le 02/03/2016
5
Trop de fan service, tuent le fan service.

Malgré que je sois un fan inconditionnel de la licence Final Fantasy, j’en sors quand même déçu de ce spin-off. L’idée de pouvoir explorer différents lieux, en enfilant costumes de différents Final Fantasy avec un job au choix et son attirail en main, ç’avait de la gueule. Sur le papier seulement.

Un framerate plus qu’énervant, une qualité graphique plus que médiocre sur 3DS (d’ailleurs pas de 3D, est-ce un opus NDS ?!), et un système plus que répétitif : Va ici, va là-bas, fais ci, fais ça, sans un réel intérêt scénaristique, malheureusement je lâche l’affaire. ET LA CAMERA DE MERDE !

Les 10 premières heures étaient bonnes : Surprise, nouveau jeu FF en main, base de gameplay en place. Après, c’est la même chose mais en moins surprenant. Bref, dommage.
Inazuma Eleven GO Chrono Stones: Tonnerre 3ds
bruninho87

le 18/05/2015
7_5

Un énième Inazuma Eleven arrivé dans nos contrées et ce – toujours – après quelques années par rapport à nos amis nippons. Habitué de ce système d’être la dernier roue du carrosse en terme de jeux vidéo, tout comme un certain Youkai Watch dont je mets ma main à couper qu’on le verra en 2016 aux USA/Europe.

Quoiqu’il en soit, comme lors du dernier opus, nous incarnons le jeune Arion Sherwind à travers différents lieux déjà connus par les plus afficionados d’entre-nous. Entre le collège Raimon, l’hôpital ou la célèbre rivière, rien ne nous sera étranger, sauf jusqu’au moment où notre premier voyage temporel survient ! Oui, cet opus rend hommage aux voyages temporels donc notre fine équipe devra prendre part à des voyages à travers l’Histoire (nipponne surtout) afin de redorer le blason du football car un groupe de vilains individus veut éradiquer le football à tout prix afin que quiconque ne sache pas/plus que le football a existé. Raison pour laquelle, les méchants interviennent dans différentes époques du passé. De plus, pour faire face à ce groupe de radicaux, nous devrons former le « 11 Ultime » et pour se faire, un simple Mixi Max (fusion de deux personnages) avec un joueur de notre équipe et un personnage célèbre de l’Histoire. Dit ainsi, cela paraît farfelu et absurde, mais ce point est tout à fait légitime et bien pensé dans le scénario de ce Inazuma Eleven Go 2 Chrono Stone !

En plus, d’avoir une histoire – pour une fois – plus poussée et intéressante, il est recommandé de ne pas avoir vue l’Anime au préalable (comme moi). C’est un conseil purement réfléchi car j’ai eu l’impression que cette histoire - qui bonne soit-elle - m’est parue quelconque, alors que paradoxalement je l’avais adoré lors de mon visionnage de l’Anime. Ainsi, vous ne pourrez qu’être conquis, et ce à travers les différentes chapitres, mais surtout à travers les différentes époques de l’Histoire permettant de donner un certain cachet à ce 5ème opus.

Outre cet aspect purement annexe, il est à souligner (fortement) le peu de nouveauté dans le gameplay. On peut mettre en exergue le simple fait que la sensation, durant les matchs, reste la même avec une pointe de difficulté en plus par rapport à ses ainés. En effet, j’ai dû, à quelques reprises, utiliser mes techniques spéciales les plus puissantes en combinant mon esprit guerrier pour pouvoir marquer. Je pense que les gardiens se sont vus renforcer afin de donner un peu plus de challenge, ou peut-être pour obliger le joueur à utiliser la combinaison de : Esprit Guerrier (en armure) + Mixi Max = joueur quasi invincible, contrairement au joueur lambda sans transformation. Cela n’est que de la pure supposition. C’est d’ailleurs une des nouveautés majeures de ce nouvel Inazuma Eleven : les Mixi Max. Sans compter par la transformation en Armure de l’Esprit Guerrier du personnage. Soit énormément de transformations sur notre joueur donnant ainsi le sentiment de devoir utiliser les mêmes personnages (ceux qui ont un EG + Mixi Max) pour se mettre toutes les chances de notre côté pour gagner les matchs. De ce fait, les quelques joueurs secondaires qu’on aura soit recruter, soit faisant parti du club (Samgunk, Adé, etc..) ne seront finalement jamais sélectionnés par nos soins car n’ont aucune transformation. Par ailleurs, on pourra aussi compter sur deux petites nouveautés en match : les K.O. gardiens et la barre de progression.

Le K.O. survient lorsqu’on tir frénétiquement au but et que le gardien adverse arrête tous nos tirs. Raison pour laquelle une jauge de « K.O. » se remplit au fur-et-à-mesure. Bien évidemment, plus notre tir est puissant (stat de tir + technique spéciale utilisée), la jauge se remplira plus rapidement arrivant ainsi au point culminant de K.O. Ce point culminant nous permettra lors de notre prochain tir de marquer à coup sûr, un fait intéressant si nous avons de mauvais attaquant en point.

En ce qui concerne la barre de progression (uniquement en match scénarisé), nous devrons usé de nos techniques spécial, faire des passes, tirer, en d’autres termes effectuer plein d’actions afin de remplir cette barre qui permettra de déclencher un évènement scénarisé en match. Bien sûr, si nous ne réussissons pas à remplir la barre dans le temps imparti, nous sommes déclaré perdant du match et devrons recommencer le dite match.

Comme à l’accoutumé dans les Inazuma Eleven, le scénario principal terminé, nous aurons droit de continuer d’y jouer dans le Post-Game du jeu. Sur ce nouvel opus, pas mal de choses s’offrent à nous.

Pour commencer, tous les joueurs pourront avoir un Esprit Guerrier que nous pourrons acheter à un personnage se trouvant dans la Tour. Encore faut-il avoir des Jetons Spirituels (monnaie d’échange) pour acquérir un Esprit Guerrier sur le personnage souhaité.

D’ailleurs, plusieurs personnes seront disposées à nous proposer des lignées de matchs amicaux – en plus de celui qui se trouve à la Rivière - nous permettant de dropper plusieurs items intéressants, dont les Jetons Spirituels. Sans compter l’incontournable chasse au recrutement des joueurs secrets, des joueurs difficiles à recruter et plein de secrets que je vous laisse le soin de découvrir par vous-même.

En somme, nous avons dans ce nouvel opus eu droit à une histoire intéressante et plus mature. Comme indiqué plus haut, évitez de faire la même erreur que moi : ne regardez pas l’Anime avant de jouer au jeu, sinon ça prendra un gros coup sur l’intérêt du soft. Par ailleurs, malgré le peu de réel nouveauté, les ingrédients primordiaux sont toujours d’actualité et c’est ce qui a fait le succès de la série. Donc, n’hésitez pas un seul instant et rejoignez le club de RAIMON !


Inazuma Eleven GO Chrono Stones: Brasier 3ds
bruninho87

le 18/05/2015
7_5

Un énième Inazuma Eleven arrivé dans nos contrées et ce – toujours – après quelques années par rapport à nos amis nippons. Habitué de ce système d’être la dernier roue du carrosse en terme de jeux vidéo, tout comme un certain Youkai Watch dont je mets ma main à couper qu’on le verra en 2016 aux USA/Europe.

Quoiqu’il en soit, comme lors du dernier opus, nous incarnons le jeune Arion Sherwind à travers différents lieux déjà connus par les plus afficionados d’entre-nous. Entre le collège Raimon, l’hôpital ou la célèbre rivière, rien ne nous sera étranger, sauf jusqu’au moment où notre premier voyage temporel survient ! Oui, cet opus rend hommage aux voyages temporels donc notre fine équipe devra prendre part à des voyages à travers l’Histoire (nipponne surtout) afin de redorer le blason du football car un groupe de vilains individus veut éradiquer le football à tout prix afin que quiconque ne sache pas/plus que le football a existé. Raison pour laquelle, les méchants interviennent dans différentes époques du passé. De plus, pour faire face à ce groupe de radicaux, nous devrons former le « 11 Ultime » et pour se faire, un simple Mixi Max (fusion de deux personnages) avec un joueur de notre équipe et un personnage célèbre de l’Histoire. Dit ainsi, cela paraît farfelu et absurde, mais ce point est tout à fait légitime et bien pensé dans le scénario de ce Inazuma Eleven Go 2 Chrono Stone !

En plus, d’avoir une histoire – pour une fois – plus poussée et intéressante, il est recommandé de ne pas avoir vue l’Anime au préalable (comme moi). C’est un conseil purement réfléchi car j’ai eu l’impression que cette histoire - qui bonne soit-elle - m’est parue quelconque, alors que paradoxalement je l’avais adoré lors de mon visionnage de l’Anime. Ainsi, vous ne pourrez qu’être conquis, et ce à travers les différentes chapitres, mais surtout à travers les différentes époques de l’Histoire permettant de donner un certain cachet à ce 5ème opus.

Outre cet aspect purement annexe, il est à souligner (fortement) le peu de nouveauté dans le gameplay. On peut mettre en exergue le simple fait que la sensation, durant les matchs, reste la même avec une pointe de difficulté en plus par rapport à ses ainés. En effet, j’ai dû, à quelques reprises, utiliser mes techniques spéciales les plus puissantes en combinant mon esprit guerrier pour pouvoir marquer. Je pense que les gardiens se sont vus renforcer afin de donner un peu plus de challenge, ou peut-être pour obliger le joueur à utiliser la combinaison de : Esprit Guerrier (en armure) + Mixi Max = joueur quasi invincible, contrairement au joueur lambda sans transformation. Cela n’est que de la pure supposition. C’est d’ailleurs une des nouveautés majeures de ce nouvel Inazuma Eleven : les Mixi Max. Sans compter par la transformation en Armure de l’Esprit Guerrier du personnage. Soit énormément de transformations sur notre joueur donnant ainsi le sentiment de devoir utiliser les mêmes personnages (ceux qui ont un EG + Mixi Max) pour se mettre toutes les chances de notre côté pour gagner les matchs. De ce fait, les quelques joueurs secondaires qu’on aura soit recruter, soit faisant parti du club (Samgunk, Adé, etc..) ne seront finalement jamais sélectionnés par nos soins car n’ont aucune transformation. Par ailleurs, on pourra aussi compter sur deux petites nouveautés en match : les K.O. gardiens et la barre de progression.

Le K.O. survient lorsqu’on tir frénétiquement au but et que le gardien adverse arrête tous nos tirs. Raison pour laquelle une jauge de « K.O. » se remplit au fur-et-à-mesure. Bien évidemment, plus notre tir est puissant (stat de tir + technique spéciale utilisée), la jauge se remplira plus rapidement arrivant ainsi au point culminant de K.O. Ce point culminant nous permettra lors de notre prochain tir de marquer à coup sûr, un fait intéressant si nous avons de mauvais attaquant en point.

En ce qui concerne la barre de progression (uniquement en match scénarisé), nous devrons usé de nos techniques spécial, faire des passes, tirer, en d’autres termes effectuer plein d’actions afin de remplir cette barre qui permettra de déclencher un évènement scénarisé en match. Bien sûr, si nous ne réussissons pas à remplir la barre dans le temps imparti, nous sommes déclaré perdant du match et devrons recommencer le dite match.

Comme à l’accoutumé dans les Inazuma Eleven, le scénario principal terminé, nous aurons droit de continuer d’y jouer dans le Post-Game du jeu. Sur ce nouvel opus, pas mal de choses s’offrent à nous.

Pour commencer, tous les joueurs pourront avoir un Esprit Guerrier que nous pourrons acheter à un personnage se trouvant dans la Tour. Encore faut-il avoir des Jetons Spirituels (monnaie d’échange) pour acquérir un Esprit Guerrier sur le personnage souhaité.

D’ailleurs, plusieurs personnes seront disposées à nous proposer des lignées de matchs amicaux – en plus de celui qui se trouve à la Rivière - nous permettant de dropper plusieurs items intéressants, dont les Jetons Spirituels. Sans compter l’incontournable chasse au recrutement des joueurs secrets, des joueurs difficiles à recruter et plein de secrets que je vous laisse le soin de découvrir par vous-même.

En somme, nous avons dans ce nouvel opus eu droit à une histoire intéressante et plus mature. Comme indiqué plus haut, évitez de faire la même erreur que moi : ne regardez pas l’Anime avant de jouer au jeu, sinon ça prendra un gros coup sur l’intérêt du soft. Par ailleurs, malgré le peu de réel nouveauté, les ingrédients primordiaux sont toujours d’actualité et c’est ce qui a fait le succès de la série. Donc, n’hésitez pas un seul instant et rejoignez le club de RAIMON !


The Legend of Zelda: A Link Between Worlds 3ds
bruninho87

le 16/02/2015
8

22 ans plus tard, Nintendo fait frémir les afficionados de la saga Zelda. En effet, The Legend of Zelda: A Link Between Worlds ressemble de très près à The Legend of Zelda: A Link to the Past ; un jeu qui aura révolutionné le genre avec son monde libre et son efficacité à satisfaire la majorité des joueurs dans le monde. Néanmoins, retentez l’aventure aux temps modernes fera-t-il encore mouche auprès des gamers ?

Ô Hyrule !

Réveillé par le jeune Guly, fils de forgeron du Village Cocorico, notre jeune Link doit se rendre promptement au boulot et ce - encore une fois - en retard. Les « oreilles tirées » et gronder par le forgeron dit « Le Patron », ils se rendent tous les deux vite compte que le capitaine de la Garde Royale a oublié son épée récemment forgée. Ni une, ni deux, Le Patron ordonna à Link de se dépêcher de rattraper le capitaine afin de lui remettre son dû.

C’est alors que Link constata que le Capitaine court un grave danger, face à un dénommé Yuga. Ce dernier qui transforma, sous les yeux de Link, le Capitaine en un tableau.

Link, téméraire, décide d’utiliser l’épée qu’il devait ramener afin d’affronter Yuga. En effet, le Royaume est face à un ennemi redoutable car il finit par transformer les 7 descendants des Sages en de fabuleux tableaux pour sa collection personnelle.

Link, armé de « sa nouvelle » épée, part à l’aventure afin de sauver les 7 descendants.


Une nouvelle aventure dans un monde que l’on connaît déjà. Effectivement, la map est, à peu de chose près, à l’identique de celle que nous avions connu sur A Link to the Past. L’effet s’en ressent car, Pad à la main, les sensations reviennent, la Nostalgie nous submerge et cette musique ; du pain béni.

L’aventure (re)commence.

Retour aux sources

Comme avec son aîné, le joueur est lancé dans le bain de manière impromptue et devra tâter en vaquant ici et là. De cette manière, le joueur explorera, à son rythme, le monde qui s’offre à lui. Le scénario ne déroge pas à la règle, il est toujours aussi anecdotique, donnant juste une raison « valable » au joueur d’avancer à travers les différents donjons du jeu. A Link Between Worlds est divisé en deux parties, la première étant très courte. D’ailleurs, c’est dans la deuxième partie que le gameplay se verra accroître significativement. Contrairement à Link to the past où le voyage à travers le temps était de rigueur, ici nous auront droit à un gameplay entre la 2D et la 3D où les moindres recoins dissimuleront - peut-être - un secret que le joueur devra découvrir.

De ce fait, le monde d’Hyrule gagne nettement en possibilité et en superficie. Les murs, en général étant là pour imposer une Direction Artistique et un Level-Design pour limiter les zones, nous permettra, du coup, de gagner en exploration et donc, en richesse.

Par ailleurs, la grande richesse de ce nouvel opus survient lors des premières minutes où nous comprenons que le monde est libre d’exploration malgré qu’il faille, au préalable, débloquer palmes et gants de force pour réellement profiter à 100% d’Hyrule.

Outre ces deux objets à débloquer, le reste de l’équipement mythique à la série est disponible de suite – en location initialement – via le shop de Lavio ; personnage sans aucun scrupule à habiter chez nous.


Gameplay aux petits oignons

Habitué à la saga, le joueur ne sera pas étranger au gameplay de cet opus. La magie a opéré il y a 20 ans et celle-ci, opère toujours. Epée en main, place à l’aventure. La nouveauté sur ce jeu provient de la possibilité de se coller au mur – tel un tableau – comme expliqué (3D-2D). Intéressant et ingénieux, le monde sera d’autant plus vaste lorsque nous comprendrons toutes les petites subtilités à se « fondre » dans le décor.

D’ailleurs, les moult donjons que nous devrons explorer dont l’élimination du boss nous permettra de sauver l’un des descendants des 7 sages, nos méninges seront au rendez-vous afin de savoir comme il est possible d’y entrer et par la suite, d’avancer dans les différentes salles. Bien évidemment, pour des joueurs acclimatés à l’environnement Hyrulien, ça sera une promenade de santé tant la difficulté s’est vue modernisée (à la baisse).

Néanmoins, les puristes seront content de voir que les bases restent les mêmes. À savoir, l’exploration, la possibilité d’accéder aux donjons dans l’ordre qu’on le souhaite et cette OST exceptionnelle.

En somme, nous avons l’occasion sur ce nouvel opus de The Legend of Zelda de tâter à l’une des séries phares du globe modernisé à la sauce année 2013. La difficulté revue au goût du jour ravira les plus coriaces d’entre nous car – tenez-vous bien – nous pourrons recommencer une nouvelle partie en difficile après avoir terminé une première fois le jeu. Même si sa durée de vie est assez faible ; la dizaine d’heures à travers ce vieux-nouveaux Hyrule est un réel bonheur pour ce qui ne souhaite que suivre la ligne directive.


Bravely Default 3ds
bruninho87

le 02/10/2014
6
Tiz Arrior, jeune garçon du village Norende, est le seul survivant lors de la destruction de son village dont il ne restera qu'un gouffre béant. Sauvé par des chevaliers de Caldisla, ils firent reposer Tiz quelques temps dans l’auberge du coin. Notre très cher Tiz veut à tout prix retourner à son village natal afin de voir de ces propres yeux les dégâts et surtout savoir si éventuellement un villageois – autre que lui – aurait survécu ; mais, non...
Peu après, il rencontra Agnès Oblige, la vestale du cristal du vent qui a fui son temple suite aux persécutions des anticristalistes et l'engloutissement du cristal sur lequel elle veillait. Tiz et Agnès commencèrent leur périple afin de comprendre ce phénomène.

Une introduction très sympathique avec des animations léchées passant en revue les 4 protagonistes principaux de notre épopée. Je trouve cela dommage qu’on nous présente – de manière brève – ces personnages. J’aurais souhaité – comme dans la majorité des RPG – découvrir les personnages (= avoir la surprise) au fil de l’eau. Cependant, je comprends la démarche de nous les présenter dès le début, car nous les réunirons très rapidement.
D’ailleurs, leur rencontre est très mal amenée et on pêche à comprendre la symbiose qui ressort(ira) du groupe. D’autant plus que les personnages sont peu attachants (voire agaçants) et n’ont pas réellement de charmes permettant de les trouver sympathique à la longue. Même s’ils ont, tous les 4, un caractère différent, dont on a souvent l’occasion de voir dans les divers JRPG ; ils sont, néanmoins, trop stéréotypés (la timide, l’obsédé, le brave et l’extravagante). Afin de toute de même soulever un point positif de ces personnages, la symbiose du groupe grandit, pas à pas, lors de notre aventure et on finira (peut-être) par s’attacher à eux.

En ce qui concerne l’histoire, il n’y aura rien de vraiment nouveau, ambitieux ou même avant-gardiste. Nous nous contenterons « d’essayer » de sauver le monde suite à un désastre survenu dans leur petit monde et suivrons « naïvement » les différentes étapes du scénario. Cependant, à préciser qu’à partir d’un moment, on tombera dans une sorte de matrice assez rocambolesque qui cassera le rythme et fera installer une certaine lassitude.

En d’autres termes, nous pourrons, tout de même, apprécier l’histoire par son classicisme à l’extrême, mais ça ne sera aucunement grâce aux personnages que nous devrons, malheureusement, nous coltiner tout au long de l’aventure.

Ceci étant et fort heureusement, Bravely Default prétend également d’autres points positifs qui rendront l’expérience très satisfaisante.
Premièrement, l’OST est très belle, on s’enivre rapidement des belles notes musicales à travers le monde dans un décor magnifique (style d’artwork figé) en ce qui concerne les différentes villes et villages que nous visiterons (malgré leurs tailles de lilliputien). Cependant, il faut souligner que le level-design des grottes/déserts/forêts hostiles est en deçà par rapport au reste, voire au même niveau du chara-design des plus bâclés pour un jeu sur 3DS sorti en 2013, voulant, sans équivoque, rappeler les jeux des années 90’. On peut pardonner.
Deuxièmement, le gameplay est sûrement LE point fort du jeu. Square Enix a rendu certains aspects pénibles de nombreux JRPG, en un aspect addictif et plaisant :
Fini les longues heures de grind pour avoir le niveau requis. Ici, place à l’activation du « Combat Automatique » - en ayant au préalable choisi d’utiliser 4x4 Brave avec les attaques les plus dévastatrices – les combats seront pliés en quelques secondes. (ou avance rapide X4 des combats).
Fini l’impression qu’à chaque pas, un combat aléatoire surgit. Ici, place à la configuration d’apparition d’ennemis ; allant de -100% à +100%.
Fini la linéarité des choix d’attaque. Ici, place à un total de 24 jobs à choix dont le personnage se voit attribué 2 jobs à la fois (le principal et le soutien). Donc, 576 possibilités si mon calcul est correct.
Fini l’aspect aller-retour. Ici, place à … Ah non, ça il y a toujours…
Il ne faut pas se leurrer, les aller-retours seront nombreux, mais le fait de pouvoir plier rapidement les combats et de déterminer l’apparition des ennemis rendent le jeu très agréable, ne permettant pas ainsi que la lassitude s’installe.

De plus, les développeurs ont voulu privilégier, en outre, un aspect social grâce à la communication Internet (ou local) afin de pouvoir avoir cette sensation d’accomplissement en « CO-OP », qui donnera une certaine cohérence lorsqu’on aura compris ce qui se passe réellement dans Bravely Default. Bien entendu ce n’est pas réellement un mode de coopération avec une fenêtre spliter en deux, mais plutôt de l’entraide.
Entre l’envoi de nos données et la réception des données des amis (code ami + internet), nous pourrons profiter des personnages plus avancés afin de nous faciliter la tâche lors de combats ardus (très vrai en Difficile), et cela grâce au « Mentorat ». Le personnage reçu (prenons exemple avec un niv.14 en classe Moine) sera le mentor d’un de nos joyeux lurons, il aura directement un niveau 14 (max.) fictif à terme mais réel dans le jeu dans la classe Moine ; très utile et pratique, en donnant cette sensation de puissance rapidement pour l’utilisation de tous les skills, mais malheureusement facilitant grandement le challenge. Par ailleurs, les personnages amis pourront aussi nous aider lors des combats en utilisant le bouton assistance afin que nous utilisions le pouvoir de ce dite personnage « overabused » ; heureusement seule une utilisation par personnage nous sera donnée. Concept donc pratique, voire cheaté qui sera très apprécié par les joueurs adhérant à la facilité des jeux vidéo afin d’avancer le plus rapidement possible ; les puristes, quant à eux, n’utiliseront certainement pas ce système gâchant l’aspect de stratégie lors des combats.
Pour finir, lors de nos réceptions « d’amis » via Internet (hors code ami), le nombre quotidien de nouveaux amis intégreront notre village. Ce village (Norende) en pleine reconstruction. Cette reconstruction se verra importante au fil du jeu car nous permettra de débloquer des capacités spéciales pour nos combattants.

En conclusion, Bravely Default a su trouvé les paramètres afin que le joueur ne soit pas lassé sur les « tares » se trouvant dans la plupart des JRPG. Tout en donnant ce sentiment d’alchimie entre le Old-School, ses notes musicales enivrantes dans son environnement somptueux, Bravely Default pourra transcender la plupart d’entre nous. Cependant, il faudra être courageux afin de ne pas être déçu de son histoire lors de sa seconde partie (à partir du chapitre 5) ; tout en faisant attention afin d’avoir la « True Ending » (que je n’ai pas eu) afin d’obtenir le vrai fin de mot de l’histoire.
Inazuma Eleven 3: Foudre Céleste 3ds
bruninho87

le 30/05/2014
6_5

Ah Inazuma. Une licence que j’affectionne tout particulièrement. Avec une idée de marketing tel un Pokémon, ici nous sommes sur la « 3ème génération » où nos amis sont en Coupe du Monde junior.

Néanmoins, s’il faudrait choisir, il faudrait opter pour la version Ogre, plus aboutit, plus complète avec un petit bonus sympa en plus.


Pokémon X 3ds
bruninho87

le 30/05/2014
9
J’avoue que X/Y ont de loin fait un grand bon en avant sur différents aspects.

Il est vrai que le scénario n’est toujours pas à la hauteur de grand titre RPG, néanmoins, je peux souligner les + de cette nouvelle génération :
  • Graphiquement (c’est beau, rien à dire. Les combats sont prenants ont a presque l’impression qu’ils soient dynamique). Les villes sont assez bien foutu, même si la ville principale est un tant soit peu, chiante à parcourir.
  • GTS (de grosse amélioration, il est plus simple de faire des échanges ; car il y a une fonction qui permet de savoir si les Pokémons qu’on recherche – même hors pokédex – sont susceptible d’être échangéscar on peut filtrer avec notre liste de Pokémon que nous possédons.
  • Menu Pokémon et Pokédex (toujours aussi ergonomique et le petit plus qui est apparu est la Box de région sur le menu (stat) du Pokémon. Ce qui permet de savoir si le Pokémon a été généré sur une « cartouche » Coréenne, japonaise, anglaise, etc.. -> D’ailleurs, dès lors qu’on reçoit un Pokémon d’une autre version régionale, on a également accès à son Pokédex dans cette dite langue). Ca permet de favoriser le masudage, si vous connaissez le concept.
  • Parc Safari (belle nouveauté pour compléter son Pokédex – des Pokémons sont uniquement attrapables dans le Parc. De plus, les Pokémons dans le Parc ont de meilleurs chances d’êtres shinys).
  • Le Système de Perfectionnement Virtuel (Les EV’s dans les anciennes générations étaient plus contraignantes. Il fallait faire des rencontres dans les hautes herbes – et avoir la chance de trouver à chaque fois le Pokémon qui donnaient les EV’s adéquats – ou recharger les combats de certains dresseur – époque de DPP de mémoire. Le système permet, grâce à un mini-jeu rapide, de monter les Evs de son Pokémon et comme par le passé en combinant le Pokérus, il est d’autant plus rapide de faire les Ev’s de sa bête. Pour les stratèges comme moi, c’est une évolution juste énorme et un gain de temps conséquent.)
  • Les méga-évolutions (nouveautés qui m’avaient un peu refroidi aux premiers abords, je dois dire qu’on y prend goût assez rapidement. D’autant plus qu’à l’heure actuel, uniquement une dizaine de bête ont cette option – ils doivent porter l’objet adéquat – j’espère et je pense, qu’ils continueront dans ce sens avec des mise à jour et rajouter de nouvelles méga-évolutions, surtout pour des Pokémons tels qu’Insolourdo, Canarticho, etc.. dont nous attendons une évolution depuis longtemps.)
  • Le nouveau type fée (qui dit nouveau type, dit nouveau métagame à revoir. A l’époque des premières générations où le type Psy était roi, ils ajoutent le type Ténèbre et où par la suite le type Dragon était des dieux vivants ; ce type Fée remet en cause tout le métagame et la manière dont on jouera nos Pokémons. C’est sincèrement une des meilleurs nouveautés sur cette génération.)
  • Personnaliser son personnage (il est vrai que c’est un détail, mais un détail qui permet au moins de nous différencier dans ce vaste monde, surtout lorsqu’on joue en ligne contre d’autres dresseurs. Donc, vous aurez le choix de coiffure, couleur de cheveux et de vêtements afin de personnaliser votre héro selon vos envies.)
  • Social (il est plus simple d’échanger les Pokémons – hors GTS (lorsque vous êtes sur le menu, tous vos amis s’affiche – code ami, tous vos copains – les personnes avec qui vous avez combattu ou fais des échanges GTS par exemple et les rencontres – personnes connectés se trouvant au même endroit que vous. Vous n’aurez qu’à cliquer sur leur avatar afin de leur envoyer des aura, demander de faire un échange ou de faire un combat. Bref que du bon.)
  • Echange miracle (petit plus également. Vous avez un Pokémon dont vous souhaitez vous en débarasser pour XY raisons ; maintenant au lieu de le libérer, effectuer plutôt un échange miracle, car cela fera peut-être plaisir et sera utile à quelqu’un d’autres et en échange vous recevrez un désirable de ce dresseur. Il peut arriver de recevoir des vraiment bons – 5IVs max, Pokémon qu’on n’avait pas, shiny.., légendaire, Pokémon déjà EV ; en gros de tout alors que peut-être vous aurez envoyé un simple Chetiflor tout banal.)

Je crois avoir fait le tour sur les principales nouveautés de cette génération. Donc, je vous conseille grandement – si vous vous en foutez comme moi du scénario, mais que vous êtes toujours fasciné par ce monde, de son côté stratégique et de collection.
Pokémon Y 3ds
bruninho87

le 15/01/2014
9
J’avoue que X/Y ont de loin fait un grand bon en avant sur différents aspects.

Il est vrai que le scénario n’est toujours pas à la hauteur de grand titre RPG, néanmoins, je peux souligner les + de cette nouvelle génération :
  • Graphiquement (c’est beau, rien à dire. Les combats sont prenants ont a presque l’impression qu’ils soient dynamique). Les villes sont assez bien foutu, même si la ville principale est un tant soit peu, chiante à parcourir.
  • GTS (de grosse amélioration, il est plus simple de faire des échanges ; car il y a une fonction qui permet de savoir si les Pokémons qu’on recherche – même hors pokédex – sont susceptible d’être échangéscar on peut filtrer avec notre liste de Pokémon que nous possédons.
  • Menu Pokémon et Pokédex (toujours aussi ergonomique et le petit plus qui est apparu est la Box de région sur le menu (stat) du Pokémon. Ce qui permet de savoir si le Pokémon a été généré sur une « cartouche » Coréenne, japonaise, anglaise, etc.. -> D’ailleurs, dès lors qu’on reçoit un Pokémon d’une autre version régionale, on a également accès à son Pokédex dans cette dite langue). Ca permet de favoriser le masudage, si vous connaissez le concept.
  • Parc Safari (belle nouveauté pour compléter son Pokédex – des Pokémons sont uniquement attrapables dans le Parc. De plus, les Pokémons dans le Parc ont de meilleurs chances d’êtres shinys).
  • Le Système de Perfectionnement Virtuel (Les EV’s dans les anciennes générations étaient plus contraignantes. Il fallait faire des rencontres dans les hautes herbes – et avoir la chance de trouver à chaque fois le Pokémon qui donnaient les EV’s adéquats – ou recharger les combats de certains dresseur – époque de DPP de mémoire. Le système permet, grâce à un mini-jeu rapide, de monter les Evs de son Pokémon et comme par le passé en combinant le Pokérus, il est d’autant plus rapide de faire les Ev’s de sa bête. Pour les stratèges comme moi, c’est une évolution juste énorme et un gain de temps conséquent.)
  • Les méga-évolutions (nouveautés qui m’avaient un peu refroidi aux premiers abords, je dois dire qu’on y prend goût assez rapidement. D’autant plus qu’à l’heure actuel, uniquement une dizaine de bête ont cette option – ils doivent porter l’objet adéquat – j’espère et je pense, qu’ils continueront dans ce sens avec des mise à jour et rajouter de nouvelles méga-évolutions, surtout pour des Pokémons tels qu’Insolourdo, Canarticho, etc.. dont nous attendons une évolution depuis longtemps.)
  • Le nouveau type fée (qui dit nouveau type, dit nouveau métagame à revoir. A l’époque des premières générations où le type Psy était roi, ils ajoutent le type Ténèbre et où par la suite le type Dragon était des dieux vivants ; ce type Fée remet en cause tout le métagame et la manière dont on jouera nos Pokémons. C’est sincèrement une des meilleurs nouveautés sur cette génération.)
  • Personnaliser son personnage (il est vrai que c’est un détail, mais un détail qui permet au moins de nous différencier dans ce vaste monde, surtout lorsqu’on joue en ligne contre d’autres dresseurs. Donc, vous aurez le choix de coiffure, couleur de cheveux et de vêtements afin de personnaliser votre héro selon vos envies.)
  • Social (il est plus simple d’échanger les Pokémons – hors GTS (lorsque vous êtes sur le menu, tous vos amis s’affiche – code ami, tous vos copains – les personnes avec qui vous avez combattu ou fais des échanges GTS par exemple et les rencontres – personnes connectés se trouvant au même endroit que vous. Vous n’aurez qu’à cliquer sur leur avatar afin de leur envoyer des aura, demander de faire un échange ou de faire un combat. Bref que du bon.)
  • Echange miracle (petit plus également. Vous avez un Pokémon dont vous souhaitez vous en débarasser pour XY raisons ; maintenant au lieu de le libérer, effectuer plutôt un échange miracle, car cela fera peut-être plaisir et sera utile à quelqu’un d’autres et en échange vous recevrez un désirable de ce dresseur. Il peut arriver de recevoir des vraiment bons – 5IVs max, Pokémon qu’on n’avait pas, shiny.., légendaire, Pokémon déjà EV ; en gros de tout alors que peut-être vous aurez envoyé un simple Chetiflor tout banal.)

Je crois avoir fait le tour sur les principales nouveautés de cette génération. Donc, je vous conseille grandement – si vous vous en foutez comme moi du scénario, mais que vous êtes toujours fasciné par ce monde, de son côté stratégique et de collection.
Fire Emblem: Awakening 3ds
bruninho87

le 29/08/2013
9

Voilà, enfin terminé l'histoire principale du jeu, et mon dieu, quel jeu splendide!

C'est tellement encore frais que je ne saurais par où commencer.
Donc, commençons par les côtés positifs de cet opus.

Premièrement, le gameplay. Le gameplay est totalement jouissif ; rapide, fluide, très bien pensé. C'est-à-dire que le gameplay mis en place ne permet pas au joueur de s'ennuyer, d'autant plus qu'avec un minimum de jugeote, il est très facile de se sortir du pétrin, même si au fil des chapitre cela devient de plus en plus ardus, il n'est pas difficile.

Deuxièment, les possibilités, la diversité. Ce que je veux dire par là, que même en étant loin d'un Suikoden, d'un Pokémon ou d'un Ni No Kuni, Fire Emblem awakening nous offre une palette de personnages des plus sympathiques, drôles et charismatiques qui soient. D'autant plus que lors des phases de soutiens, il y a énormément de passages drôles avec certains personnages. De plus, les maps se limitent toujours à une quantité maximal de personnage à choisir, ce qui fait que vous pouvez effectuer différentes combinaisons des plus invraisemblables au plus cheatés.

Troisièmement, la nouveauté mariage/enfant. Cet opus nous offre l'occasion de pouvoir agrandir les affinités de certains personnages entre eux, dont certains au rang S, qui leur permettra de se marier et ainsi d'avoir une quête annexe pour recruter l'enfant de ses derniers. Un élément excellent, mais peut-être mal intégrer dans l'histoire car hormis la fille de Chrom, les autres ne sont d'aucune utilité, même s'ils sont plus forts que leur propre géniteur.

Quatrièmement, les graphismes et la bande-son. Les décors en effet 3D réglable qui ne fait pas du tout mal aux yeux est un vrai régal, en y ajoutant le fait qu'on entende les voix des personnages permet une immersion des plus totales et les musiques sont d'une merveille, et totalement adaptés au fait du moment. Néanmoins, j'ai eu l'impression que les maps n'étaient pas autant variés que ça.

Maintenant, on va parler des points qui fâchent ou mal exploités.
Déçu par le scénario. Ce dernier est très (trop) banal au point qu'on n'y prête même plus attention. Ce qui n'enlève en rien le plaisir de jouer, car sur cet opus on ne jouera pas pour son histoire, mais bien évidemment le jeu en lui-même.
Par ailleurs, un autre point qui m'a fortement déçu, j'ai trouvé le jeu assez court. Je ne l'ai pas finis rapidement car je jouais sur deux parties en simultanés avec des niveaux de difficultés différentes, mais sur la partie en mode Normal, j'ai pu la boucler en même pas 20 heures. Ce qui est relativement court pour un RPG, et qui plus est, un de cette qualité.

En d'autres termes, je n'ai pas mis 10 pour les derniers points mentionnés, mais le jeu l'aurait totalement mérité. Je le conseille à tout le monde, même si vous n'êtes pas fan des T-RPG, car celui-ci vous donne l'occasion de jouer en mode Débutant, ce qui vous donnera la chance d'avoir toujours vos personnages même après la mort de ses derniers.


The Legend of Zelda: Ocarina of Time n64
bruninho87

le 30/05/2014
10

Le must have sur N64. Le meilleur des Zelda, le plus beau, le plus jouissif. Mon dieu quel jeu. Un oscar pour Ocarina of time, une étoile sur Hollywood Bvd pour Ocarina of time. Personne prendra sa place en tout cas, difficile.


Chrono Trigger nds
bruninho87

le 21/08/2015
9
Je ne vais pas m'étaler sur une centaine de lignes, mais juste dire que j'ai terminé - réellement - Chrono Trigger (version NDS) et franchement c'est un petit bijou. Avant-gardiste pour son époque, n'a pas du tout mal vieilli pour y avoir jouer en 2015. Un must-have, un jeu cultissime.
Hoshigami: Ruining Blue Earth Remix nds
bruninho87

le 12/11/2014
3
Le jeu, sorti en 2001 sur PS1 au Japon et aux États-Unis, a pu voir de nouveau le jour sous forme d’un remake en 2007-2008 sur Nintendo DS, avec cette fois-ci une version européenne en plus, pour notre plus grand « plaisir ». Ce remake portera un suffixe « Remix » afin que quiconque sache qu’il n’est qu’un simple remake d’une version antérieure dont l’amélioration est lilliputienne. En outre, en terme de remake, nous avons déjà pu « tâter » du bon et du nettement moins bon.

Alors qu’en est-il pour Hoshigami: Ruining Blue Earth Remix?


Memories

Notre héros et son mentor de longue date – Lemrey - s’entrainent nuit et jour afin que notre petit jeunot s’aguerrisse au combat. Ce qui arriva finalement car une guerre se déclencha entre le royaume de nos amis due à une attaque du royaume voisin. L’histoire ne me parait pas intéressante et de toute manière, je ne suis pas allé jusqu’au bout pour me permettre de donner un avis impartial.


Rigidité aiguë

Comme tout Tactical-RPG qui se respecte, nous pouvons placer un certain nombres de combattants lors de nos batailles – sur cet opus 7 maximum - dans un périmètre qui peut différer par sa taille, son environnement et le positionnement ennemi dans un classique « damier ». Entre les nivelés des maps et autres éléments naturels tels que les rivières ou les falaises, Hoshigami n’a rien à envier par rapport à un quelconque Tactical.

Cependant, ce dernier fait défaut sur plusieurs points rendant, malheureusement, le jeu très frustrant et peu avenant. Afin d’éviter de vous énumérer (bêtement) ces points, je vais, tout de même, expliquer pourquoi ils sont contraignants.

Tout d’abord, la lenteur des combats. Déjà, au début du jeu (et plus loin), on comprend que la mécanique rigide et la lenteur des phases d’actions, nous nous trouverons dans des combats interminables. Chaque combat peut durer 30 minutes voire plus selon le nombre d’ennemis à éliminer et la taille de la carte.
Prenons exemple d’une map où nos personnages sont placés en plein milieu et les ennemis dans chaque coin. Si nous daignons d’avancer de plusieurs cases – afin de préserver la consommation pour pouvoir attaquer et faire subir quelques dégâts –, les ennemis resteront, en général, sur leur position. Mise en place de stratégie annulée et vide d’intérêt.
Les ennemis préféreront attendre afin de pouvoir attaquer rapidement sans forcément bouger de leur position, ce qui nous met rapidement dans une position de faiblesse, tout en sachant qu’une mort est définitive.
GE-NI-AL.

Ensuite, la position initiale des ennemis est toujours plus avantageuse pour ces derniers pouvant nous attaquer sans aucun scrupule et sans que nous ayons le moyen de riposter. Je parle surtout des maps où nous nous trouvons en bas d’une falaise et les ennemis en haut de cette dite falaise. Souvent le même principe en nous désavantageant dès le début du combat.
GE-NI-AL.

Par ailleurs, l’ineptie totale concernant les pouvoirs magiques (pièces et sceaux) dont j’ai réellement rien compris à ce système. Lorsqu’on fusionne un sceau à une pièce, cette dernière augmente ces caractéristiques alors qu’à un autre moment, sans aucune raison apparente – pourtant en utilisant le même type de sceau (même nom) -, cela rajoutera des malus. Ok, rien compris.
GE-NI-AL.

Pour finir, un point totalement abrupte du jeu qui paradoxalement me semblait sympa : le système de points d’expérience. L’idée est de nous faire gagner des points d’expériences lors de chaque attaque réussie et/ou lorsque nous tuons un ennemi ; bon concept en soit. Sauf que les développeurs ont décidé d’ajouter un concept totalement stupide, dans le cas où malgré nos deux petits niveaux en plus par rapport à notre adversaire, nous gagnerons à peine 5-10 points d’expériences, alors que notre ennemi avec ces deux niveaux en deçà gagnera, à contrario, 50 points d’expériences. Stupidité absolue.
GE-NI-AL.


CON-clusion

En somme, ce Tactical-RPG - contenant de nombreuses tares - ne permettra pas à un joueur lambda d’apprécier ce style de RPG s’il aurait souhaité tenter l’aventure sur cet opus pour s’immerger dans le monde des Tactical. D’ailleurs, les « seniors » ne verront pas un intérêt quelconque sur ce jeu et préféreront plutôt tenter l’aventure sur d’autres Tactical-RPG plus ergonomiques, dynamiques et ayant de meilleurs idées.
Ce Hoshigami ne devra se trouver dans votre vidéothèque pour l’unique raison de la collection.
Pokémon Donjon Mystère: Explorateurs du Ciel nds
bruninho87

le 30/05/2014
6

Nouvelle histoire par rapport à Rouge et Bleu. Rien de nouveaux sinon. En tout cas, je m’en souviens pas.


Pokémon Donjon Mystère: Explorateurs de l'Ombre nds
bruninho87

le 30/05/2014
6

Nouvelle histoire par rapport à Rouge et Bleu. Rien de nouveaux sinon. En tout cas, je m’en souviens pas.


Pokémon Donjon Mystère: Explorateurs du Temps nds
bruninho87

le 30/05/2014
6

Nouvelle histoire par rapport à Rouge et Bleu. Rien de nouveaux sinon. En tout cas, je m’en souviens pas.


Pokémon Donjon Mystère: Equipe de Secours Bleue nds
bruninho87

le 30/05/2014
8

Les Pokémon parlent. Les Pokémon sont des héros. On incarne un Pokémon qui était humain autrefois. On arrive dans un monde où les Pokémon vivent et sauvent d’autre Pokémon via des quêtes qu’ils reçoivent par courrier-Bekipan.

Un Donjon-RPG excellent, avec une bonne durée de vie, un post-game plus que nécessaire pour compléter son DEX (amis-sauveteurs) et une difficulté bien dosé. Vraiment excellent.


Pokémon HeartGold nds
bruninho87

le 30/05/2014
Edité le 18/09/2014
8_5

Un remake encore une fois superbement réussi. Une vraie réussite. Surtout avec la plus grande durée de vie tout Pokémon confondu, on ne peut vraiment pas passer à côté. En plus, tu as droit à un tamagotchi.


Pokemon SoulSilver nds
bruninho87

le 30/05/2014
Edité le 18/09/2014
8_5

Un remake encore une fois superbement réussi. Une vraie réussite. Surtout avec la plus grande durée de vie tout Pokémon confondu, on ne peut vraiment pas passer à côté. En plus, tu as droit à un tamagotchi.


Pokémon: Version Blanche 2 nds
bruninho87

le 30/05/2014
7

Je me suis fait avoir, mais pour un fan difficile de passer à côté. Ceci étant, il est nettement plus abouti et réussi que la version 1. Je me suis nettement plus amusé et quelques gadgets ont été incrémentés. Sympa.


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