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Commentaires de bruninho87 avatar
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Trier par : Date | Support | Nom | Note
88 commentaires
Pokémon: Version Noire 2 nds
bruninho87

le 30/05/2014
7

Je me suis fait avoir, mais pour un fan difficile de passer à côté. Ceci étant, il est nettement plus abouti et réussi que la version 1. Je me suis nettement plus amusé et quelques gadgets ont été incrémentés. Sympa.


Pokémon: Version Noire nds
bruninho87

le 30/05/2014
6_5

Histoire affligeante, une génération en demi-teinte. Dommage. J’ai lâché très vite prise.


Pokémon: Version Blanche nds
bruninho87

le 30/05/2014
6_5

Histoire affligeante, une génération en demi-teinte. Dommage. J’ai lâché très vite prise.


Suikoden Tierkreis nds
bruninho87

le 30/05/2014
Edité le 30/05/2014
9

Mon premier Suikoden et j’ai vraiment adoré. Je ne peux comparer par rapport aux versions précédentes, mais c’est du grand art. Recruter plus de 100 membres, une histoire qui tient la route, bref on passe un super moment.


Pokémon Conquest nds
bruninho87

le 30/05/2014
8_5

Oh. Je me suis amusé comme un petit fou. On garde le côté collection, on ajoute un soupçon de tactical-stratégie et on se lance à l’aventure. Vraiment sympa, même si l’histoire n’est pas la plus aboutie de toute l’histoire du jeu vidéo et que le côté tactique est assez simplifié, les fans adorent. J’adore.

De plus, un post-game est tout à fait faisable avec plein de défis à relever.


Pokémon Ranger: Sillages de lumière nds
bruninho87

le 30/05/2014
Edité le 30/05/2014
1
Je me suis fais avoir 3 fois.

Néanmoins, ca reste toujours pas la collection complète Pokémon
Pokémon Ranger: Nuit sur Almia nds
bruninho87

le 30/05/2014
2_5

Aucune nouveauté par rapport au précédent opus, hormis de nouveaux Pokémon….

Génial.


Pokémon Ranger nds
bruninho87

le 30/05/2014
5_5

Premier opus de cette saga Pokémon Ranger. A contrario aux jeux classiques Pokémon, ici nous sommes un Ranger Pokémon. Les Ranger ont pour métier de sauver les Pokémon de catastrophe ou autre.

Donc, sur cette saga, aucune capture n’est possible. On capture (avec l’aide du stylet où l’on encercle le Pokémon) pendant un laps de temps les Pokémon pour nous aider dans nos quêtes. Quand ce dernier a fini son boulot (couper un arbre, éteindre le feu,…), il retourne dans la nature.

C’est original, mais malheureusement vite redondant. De plus, la trame est très dirigiste et nous ne pouvons pas réellement nous balader à notre guise. Néanmoins, le concept de Pokédex est tout de même instaurer car certain Pokémon sont capturable uniquement à des endroits précis par exemple.

On s’amuse au début, mais on s’ennui assez vite.


Pokémon Platine nds
bruninho87

le 30/05/2014
7_5

Comme chaque “remake”, celle-ci ne change quasiment pas par rapport à Perle/Diamant. Néanmoins, me suis grandement amusé car c’est sur cette dernière dont je privilégiais les combats/échange Wifi.


Pokémon Diamant nds
bruninho87

le 30/05/2014
6_5

Une 4 en demi-teinte. Passage sur DS donc avec des améliorations graphiques à noter.

D’ailleurs, après la 1ère génération, celle-ci est à mon goût la plus réussie. Un bon bestiaire bien bourrin qui m’a permis réellement de me lancer dans la stratégie Pokémon, surtout grâce à la connectivité GTS, wifi.

Hors cela, Pokémon Perle/Diamant reste classique avec malheureusement une histoire moins intéressante.


Pokémon Perle nds
bruninho87

le 30/05/2014
6_5

Une 4 en demi-teinte. Passage sur DS donc avec des améliorations graphiques à noter.

D’ailleurs, après la 1ère génération, celle-ci est à mon goût la plus réussie. Un bon bestiaire bien bourrin qui m’a permis réellement de me lancer dans la stratégie Pokémon, surtout grâce à la connectivité GTS, wifi.

Hors cela, Pokémon Perle/Diamant reste classique avec malheureusement une histoire moins intéressante.


Inazuma Eleven 3 : Les Ogres attaquent ! nds
bruninho87

le 27/05/2014
7
https://www.legendra.com/rpg/fiche-rpg_id-5829-supports_id-95-rpg-inazuma_eleven_3___les_ogres_attaquent__.html#onglets_articles
Inazuma Eleven 2: Tempête de Feu nds
bruninho87

le 21/08/2013
Edité le 21/08/2013
7
Inazuma Eleven 2 : Tempête de Feu est un jeu RPG-Football. Ce jeu aura été une assez grande surprise pour moi, de manière positive.

A l’époque où je me suis procuré le jeu, c’était un vrai coup de chance. Oui… un coup de chance !
Je souhaitais commencé un nouveau jeu, assez originale et surtout dans la gamme RPG.

J’ai un peu cherché, ici et là, et je suis tombé sur une News ou Previews (je ne sais plus…) sur le jeu. Quoiqu’il en soit, je suis resté assez enthousiaste à la vue des images, vidéos et autre bande-annonce.
Donc, pas une, pas deux, j’ai commandé la version Tempête de Feu (car ça claque) et après quelques jours, le voici entre mes mains.

Parlons un peu du jeu.

Le scénario est assez sympathique, je dois dire. Ce dernier ne m’a pas du tout ennuyé, avec toujours l’envi de continuer et de connaître la suite. J’ai d’ailleurs, par la suite, su que la trame suivait l’Anime (ou vice-versa), donc la narration est assez bonne en soi.

Le gameplay, le point fort du jeu, à mon goût. Le côté Olive et Tom remanié pour le rendre RPG est jouissif. Bien entendu, j’adore le Football et les RPG. En somme, l’excellence pour moi. Mais pas tant ! Oui, car le fait que les joueurs (personnages) apprennent au fur et à mesure des skills (défense-attaque) qui sont assez prenant dans sa globalité, on peut ressentir une certaine lassitude. Une lassitude due au fait que le jeu est très facile. Il suffira de toujours faire un peu de lvl up et le tour est joué. D’autant plus que certains joueurs que vous pourrez recruter par la suite sont totalement cheatés… Ceci étant, c’est tellement jouissif de tirer depuis le milieu de terrain ( *o* ) !!
Pour finir, un point qui m’avait totalement chagriné, voir même frustré, c’est que nous ne pouvons pas avoir plus de 100 joueurs dans notre effectif !!!

Il est vrai que si on compare à une vraie équipe de football, c’est déjà énorme. Mais à la sauce Pokémon, ou même Suikoden, on aime toujours en avoir plus et essayer les matchs (combats.. ?!) avec différents protagonistes !
En outre, la durée de vie est tout de même conséquente. Ce n’est pas exceptionnel, mais le jeu pourra vous tenir en haleine pendant quelques jours/semaines (ou plus, pour les adeptes des niveaux 100).
De plus, le PostGame+ vous permettra de toujours recruter plus de joueurs et dont même certains cachés.

En d’autre terne, un bon jeu sur lequel je me suis bien amusé et qui m’a surpris en bien. Tellement bien que j’attends assidument et avec une certaine hâte les suites qui sont déjà sortis au Japon, mais que nous, Occidentaux, devrons prendre notre mal en patience.
Final Fantasy VIII pc
bruninho87

le 27/05/2014
9_5

Après FF9, FF8 fait parti de mes jeux préférés. Ce jeu dont j’ai eu l’occasion de jouer sur PC était une aubaine de réussite où à l’époque, hormis quelques RPG, je ne m’y connaissais pas encore tout à fait énormémeent. Par ailleurs, entre Pokémon et FF, ils étaient les seuls licences pour laquelle je donnais corps et âme afin de me procurer le nouvel opus.

Ce Final Fantasy 8 est une belle réussite dans mes souvenirs. Entre un bestiaire génialissime et un scénario plus que rythmé, j’ai eu passé de nombreuses heures pleines d’entrain et d’envi. Cependant, ma mémoire me faisant défaut, je ne me rappelle pas de la totalité des éléments positifs/négatifs de ce soft. Néanmoins, il reste de loin nettement meilleur que ce que Squix nous propose depuis FF12.


Final Fantasy IX play
bruninho87

le 06/05/2014
10
Le must du jeu vidéo. Le Final Fantasy le plus abouti à mes yeux.
Je ne vais pas épiloguer sur les différentes qualités du jeu indéniable car celles-ci ont déjà été toutes citées.
Quoiqu'il en soit, tout le monde se doit d'essayer au moins de rentrer dans le monde de Djidane pour en ressortir avec une bonne impression sur un bon Final Fantasy.
Kingdom Hearts play2
bruninho87

le 02/12/2014
7_5
Sortie en 2002 sur PS2, Kingdom Hearts est, depuis lors, une licence connue et reconnue à travers le globe. Cette licence met en symbiose deux univers très distinct et totalement à l’antipode dont on n’aurait jamais pu se douter qu’il collerait si parfaitement bien ensemble : l’Heroic Fantasy et l’univers Disney. D’ailleurs, la version « Final Mix » s’est vu appelé ainsi au Japon lors de SA deuxième, car américains et européens ont eu droit à quelques ajouts (scènes, boss, etc.) lors de la sortie du jeu ; premier du nom.


Disney World
Sora, jeune garçon téméraire, vit dans une île paisible – appelée « Île du Destin » - avec ces amis d’enfances Kairi et Riku. Tous les 3 ne savent pas et n’arrivent pas à expliquer pourquoi ils se sont retrouvés seuls et sans parents. Le rêve de ces jeunes enfants est de pouvoir, un jour, partir de cette île à la découverte d’autres terres lointaines. De ce fait, ils se mettent à construire un radeau afin de pouvoir quitter leur île.
En parallèle de l’histoire de ces jeunes bambins, nous nous retrouvons dans le monde de Disney, et plus précisément au Château Disney où Dingo – Chevalier servant – et Donald – mage de la garde royale – apprennent via une lettre déposée sur un trône que Mickey – Roi du Royaume – est parti en quête.
Pourquoi ? L’histoire tourne, justement, autour de cette aventure à la recherche de Mickey, dans un premier temps.
Dingo et Donald partent, donc, à la recherche de leur très cher ami et Roi, Mickey.
C’est alors, sur l’île où habite Sora, une attaque a été déclenchée par des êtres « ombrés », plus communément appelé les « Sans-Cœur ».
Sora, ayant reçu par une force divine la fameuse Keyblade et n’ayant plus traces de ces amis, est littéralement transporter dans un autre monde : le monde de Traverse où plusieurs mondes Disney y sont connectés.
Dingo et Donald, croisant le chemin du jeune Sora, décident tous les trois de s’allier afin de résoudre les différentes énigmes qui leurs incombent afin de sauver le monde ! (Original !)

Le scénario et l’alchimie de deux différents univers sont sûrement les points forts de la série et plus spécifiquement de cet opus ; le seul auquel j’ai joué d’ailleurs. La symbiose totale entre Dingo, Donald et Sora est parfaite et ne dénigrent aucunement l’un ou l’autre univers. Cependant, l’intégration de quelques personnages de Square Enix, à savoir : Squall, Cloud et autres protagonistes de la saga Final Fantasy, est totalement ratée et je ne comprends pas leur intérêt ou l’atout majeur dans le scénario et encore moins dans le jeu. Il est tout de même important de souligner leur présence qui permet – à mon humble avis – de renforcer l’univers Heroic Fantasy de Sora (des humains). Par ailleurs, malgré que ce soit un point majeur du jeu, j’ai eu souvent l’impression d’accomplir certaines tâches – liées au scénario - sans forcément connaître/comprendre la logique de ces actions afin de déclencher la suite des évènements, tout en tournant en rond quelques fois et ce, pas mal de temps, pour des séquences hors-sujet (faire un aller-retour d’un endroit à un autre sans aucune raison apparente, par exemple).
Quoi qu’il en soit, le scénario est plaisant à suivre, malgré ces incohérences, on appréciera de suivre les aventures en croisant nos personnages Disney préférés.


X à répétition
Kingdom Hearts est clairement un jeu axé Action-RPG. C’est-à-dire, que les combats se déroulent en temps réel, les ennemis apparaissant directement sur la carte et nous devons spammer les différents boutons pour lancer nos attaques physiques et magiques. En effet, Kingdom Hearts n’est pas avare de stratégie et de cohérence dans les combats. Malgré que certains ennemis soient faibles à un type de magie en particulier et/ou aux attaques physiques, nous finirons par utiliser indéniablement les attaques physiques en tapant sur le bouton X frénétiquement, voire dans certains combats utiliser quelques magie de soin ou des potions pour revigorer les troupes et c’est tout. Le reste mis à disposition est là pour embellir et faire croire aux joueurs qu’on peut affronter des ennemis de différentes manières ; invocation de Bambi ou l’utilisation de magie. Néanmoins, les compétences spéciales des personnages sont importantes voire nécessaires à un certain stade du jeu. D’ailleurs, utiliser un sort magique, dans un combat en temps réel, est long et maladroit car : cliquer sur magie -> choisir la magie (haut/bas) -> sélection de l’ennemi ; on a le temps de se faire frapper 2-3 fois. Donc, j’ai finis par opter par l’utilisation naïve du bouton X sur attaque et les roulades avec CARRE ; stratégie 0 pointé.

Ce n’est malheureusement pas la seule tare au niveau du gameplay. On peut noter et vite s’apercevoir que la caméra nous fera défaut tout au long de l’aventure. Celle-ci partira, souvent, dans tous les sens lors de nos différents combats, des murs ou des objets nous barreront le chemin car la caméra aura voulu (sans qu’on le veuille) changer de trajectoire ; sans parler des phases de « plateformes » totalement inintéressantes avec une caméra abjecte où on restera 1 minute à bien positionner la caméra pour effectuer un saut banal.

Cependant, malgré ces défauts, on apprécie - et j’ai vraiment apprécié - les différents combats de boss dont pour la plupart sont épique ou plutôt enchanteur de voir les méchants des mondes Disney. En outre, sans conteste et sans aucune once de remord, le combat contre Chernobog fût pour moi le meilleur moment en terme de Boss-Fight sur ce Kingdom Hearts : Final Mix.


Passage à la HD
Graphiquement ce passage à la HD est réussi, même si le point de comparaison ne peut être fait car n’ayant jamais essayé la version PS2. En d’autres termes, le jeu est beau et est en total harmonie à l’univers enfantin de Disney. Cet univers chatoyant est dénoté par une musique quelconque. Le jeu commençait fort bien avec son Opening de qualité et sa musique du Menu Principal, le reste n’est pas totalement à jeter, mais ne restera pas dans les annales de ce que Square Enix a déjà su proposer par le passé. D’ailleurs, si je devrais citer une seule musique – hors les deux citées – je pense que je ne me mouillerais pas en désignant la musique « A Night in the Bald Mountain » ; musique de combat contre le boss Chernobog.


En conclusion, ce premier pas dans cette licence m’aura permis de comprendre cet engouement certain et d’apprécier ce titre à sa juste valeur. Malgré quelques défauts en termes de gameplay répétitif et de sa caméra capricieuse, je peux tout de même dire que la symbiose des deux univers avec un chara-design des personnages Disney parfaitement réalisé ne pourra que me faire continuer l’aventure sur d’autres opus de la série.
Kingdom Hearts: Final Mix play2
bruninho87

le 02/12/2014
7_5
Sortie en 2002 sur PS2, Kingdom Hearts est, depuis lors, une licence connue et reconnue à travers le globe. Cette licence met en symbiose deux univers très distinct et totalement à l’antipode dont on n’aurait jamais pu se douter qu’il collerait si parfaitement bien ensemble : l’Heroic Fantasy et l’univers Disney. D’ailleurs, la version « Final Mix » s’est vu appelé ainsi au Japon lors de SA deuxième, car américains et européens ont eu droit à quelques ajouts (scènes, boss, etc.) lors de la sortie du jeu ; premier du nom.


Disney World
Sora, jeune garçon téméraire, vit dans une île paisible – appelée « Île du Destin » - avec ces amis d’enfances Kairi et Riku. Tous les 3 ne savent pas et n’arrivent pas à expliquer pourquoi ils se sont retrouvés seuls et sans parents. Le rêve de ces jeunes enfants est de pouvoir, un jour, partir de cette île à la découverte d’autres terres lointaines. De ce fait, ils se mettent à construire un radeau afin de pouvoir quitter leur île.
En parallèle de l’histoire de ces jeunes bambins, nous nous retrouvons dans le monde de Disney, et plus précisément au Château Disney où Dingo – Chevalier servant – et Donald – mage de la garde royale – apprennent via une lettre déposée sur un trône que Mickey – Roi du Royaume – est parti en quête.
Pourquoi ? L’histoire tourne, justement, autour de cette aventure à la recherche de Mickey, dans un premier temps.
Dingo et Donald partent, donc, à la recherche de leur très cher ami et Roi, Mickey.
C’est alors, sur l’île où habite Sora, une attaque a été déclenchée par des êtres « ombrés », plus communément appelé les « Sans-Cœur ».
Sora, ayant reçu par une force divine la fameuse Keyblade et n’ayant plus traces de ces amis, est littéralement transporter dans un autre monde : le monde de Traverse où plusieurs mondes Disney y sont connectés.
Dingo et Donald, croisant le chemin du jeune Sora, décident tous les trois de s’allier afin de résoudre les différentes énigmes qui leurs incombent afin de sauver le monde ! (Original !)

Le scénario et l’alchimie de deux différents univers sont sûrement les points forts de la série et plus spécifiquement de cet opus ; le seul auquel j’ai joué d’ailleurs. La symbiose totale entre Dingo, Donald et Sora est parfaite et ne dénigrent aucunement l’un ou l’autre univers. Cependant, l’intégration de quelques personnages de Square Enix, à savoir : Squall, Cloud et autres protagonistes de la saga Final Fantasy, est totalement ratée et je ne comprends pas leur intérêt ou l’atout majeur dans le scénario et encore moins dans le jeu. Il est tout de même important de souligner leur présence qui permet – à mon humble avis – de renforcer l’univers Heroic Fantasy de Sora (des humains). Par ailleurs, malgré que ce soit un point majeur du jeu, j’ai eu souvent l’impression d’accomplir certaines tâches – liées au scénario - sans forcément connaître/comprendre la logique de ces actions afin de déclencher la suite des évènements, tout en tournant en rond quelques fois et ce, pas mal de temps, pour des séquences hors-sujet (faire un aller-retour d’un endroit à un autre sans aucune raison apparente, par exemple).
Quoi qu’il en soit, le scénario est plaisant à suivre, malgré ces incohérences, on appréciera de suivre les aventures en croisant nos personnages Disney préférés.


X à répétition
Kingdom Hearts est clairement un jeu axé Action-RPG. C’est-à-dire, que les combats se déroulent en temps réel, les ennemis apparaissant directement sur la carte et nous devons spammer les différents boutons pour lancer nos attaques physiques et magiques. En effet, Kingdom Hearts n’est pas avare de stratégie et de cohérence dans les combats. Malgré que certains ennemis soient faibles à un type de magie en particulier et/ou aux attaques physiques, nous finirons par utiliser indéniablement les attaques physiques en tapant sur le bouton X frénétiquement, voire dans certains combats utiliser quelques magie de soin ou des potions pour revigorer les troupes et c’est tout. Le reste mis à disposition est là pour embellir et faire croire aux joueurs qu’on peut affronter des ennemis de différentes manières ; invocation de Bambi ou l’utilisation de magie. Néanmoins, les compétences spéciales des personnages sont importantes voire nécessaires à un certain stade du jeu. D’ailleurs, utiliser un sort magique, dans un combat en temps réel, est long et maladroit car : cliquer sur magie -> choisir la magie (haut/bas) -> sélection de l’ennemi ; on a le temps de se faire frapper 2-3 fois. Donc, j’ai finis par opter par l’utilisation naïve du bouton X sur attaque et les roulades avec CARRE ; stratégie 0 pointé.

Ce n’est malheureusement pas la seule tare au niveau du gameplay. On peut noter et vite s’apercevoir que la caméra nous fera défaut tout au long de l’aventure. Celle-ci partira, souvent, dans tous les sens lors de nos différents combats, des murs ou des objets nous barreront le chemin car la caméra aura voulu (sans qu’on le veuille) changer de trajectoire ; sans parler des phases de « plateformes » totalement inintéressantes avec une caméra abjecte où on restera 1 minute à bien positionner la caméra pour effectuer un saut banal.

Cependant, malgré ces défauts, on apprécie - et j’ai vraiment apprécié - les différents combats de boss dont pour la plupart sont épique ou plutôt enchanteur de voir les méchants des mondes Disney. En outre, sans conteste et sans aucune once de remord, le combat contre Chernobog fût pour moi le meilleur moment en terme de Boss-Fight sur ce Kingdom Hearts : Final Mix.


Passage à la HD
Graphiquement ce passage à la HD est réussi, même si le point de comparaison ne peut être fait car n’ayant jamais essayé la version PS2. En d’autres termes, le jeu est beau et est en total harmonie à l’univers enfantin de Disney. Cet univers chatoyant est dénoté par une musique quelconque. Le jeu commençait fort bien avec son Opening de qualité et sa musique du Menu Principal, le reste n’est pas totalement à jeter, mais ne restera pas dans les annales de ce que Square Enix a déjà su proposer par le passé. D’ailleurs, si je devrais citer une seule musique – hors les deux citées – je pense que je ne me mouillerais pas en désignant la musique « A Night in the Bald Mountain » ; musique de combat contre le boss Chernobog.


En conclusion, ce premier pas dans cette licence m’aura permis de comprendre cet engouement certain et d’apprécier ce titre à sa juste valeur. Malgré quelques défauts en termes de gameplay répétitif et de sa caméra capricieuse, je peux tout de même dire que la symbiose des deux univers avec un chara-design des personnages Disney parfaitement réalisé ne pourra que me faire continuer l’aventure sur d’autres opus de la série.
Final Fantasy XII play2
bruninho87

le 30/05/2014
7_5

Ma mémoire me faisant défaut sur cet opus qui à contrario de son aîné FFX dans lequel je me rappelle de beaucoup de détails, cela veut déjà en dire long sur le jeu. Ce FFXII dont les personnages principaux ont un charme de cacahuète avec une story-line assez pauvre par rapport à certains FF culte, il n’a pas forcément marqué les esprits (le début de la descente aux enfers… ?). Malgré tout un gameplay toujours aussi sympathique, un univers très fantastique à mon goût par rapport à FFX, un système de gambit assez réussi, il est fort dommage d’avoir raté le coche sur d’autres détails.


Final Fantasy X-2 play2
bruninho87

le 30/05/2014
6

Ayant adoré FFX, je ne peux que reprocher la daube que Squix nous a concocté sur ce FFX-2. Malgré le retour fort sympathique des jobs dont une certaine logique dans nos choix permettent de facilité grandement le jeu et le dynamisme des combats, le reste est a jeté.

Même si nous avons ce sentiment de liberté car nous pouvons gaiement se balader dans les différents lieux, la trame principale perd considérablement en rythme. On reproche quelques fois que les FF soient parfois trop dirigistes mais une liberté totale n’est pas forcément une bonne idée ; comme on dit fausse-bonne idée.

Même si j’ai passé un bon moment, j’ai regretté la différence de plaisir du gameplay, de la story-line, du charme des personnages de l’opus original. Néanmoins, il n’est pas désagréable de se lancer dans l’aventure.


Final Fantasy X play2
bruninho87

le 27/05/2014
10

Après FF9, j’ai énormément d’affection pour cet opus FF10. Entre un gameplay addictif, un sphérier plus qu’intéressant, des invocations sublimes pour la PS2 et un jeu de Blitzball où l’on doit également chercher des partenaires de jeu afin de se composer une équipe de « tueur », ce jeu est la plus grande réussite de la PS2 tout jeu confondu à mon goût. De plus, il n’est pas étonnant que je me sois procurer également le jeu HD sur PS3 ; que de souvenirs, de bons moments. Tous fans de RPG se doit d’y jouer et de l’apprécier à sa juste valeur.


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