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Commentaires de Yahiko avatar
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Trier par : Date | Support | Nom | Note
231 commentaires
Tengai Makyou: Dai-yon no Mokushiroku - The Apocalypse IV sat
Yahiko

le 29/01/2010
9
Le meilleur RPG de la Saturn et assurément l'un des meilleurs de l'ère 32 bits. Un jeu immense, une ambiance unique et une plastique en 2d irréprochable. Passionnant de la première à la dernière minute.
The Legend of Zelda: Breath of the Wild nxn
Yahiko

le 27/11/2018
9
Immense.

Immense jeu, immense plaisir, immense aventure. J'ai adoré. Il ne m'a manqué qu'une chose : quelques donjons dignes de la série même si le parti pris est cohérent, logique et parfaitement adapté à l'univers créé.

Une vraie révolution pour la série, qui n'en finit pas de me plaire au fil des âges et des générations de console. Un épisode définitivement légendaire au même titre que ses glorieux aînés.
The Legend of Zelda: Link's Awakening gb
Yahiko

le 29/01/2010
Edité le 14/04/2012
9
Un Zelda original puisque ne faisant pas apparaître Ganon le grand méchant de la série et ne se déroulant dans les contrées d'Hyrule mais sur l'ile Cocorico. Ce Zelda GB es un classique du genre grâce à un Gameplay parfait (incorporant notamment la notion du saut) et un univers et des quêtes très variés pour la série.
The Legend of Zelda: Link's Awakening DX gbc
Yahiko

le 11/11/2011
Edité le 14/04/2012
9
Toujours aussi bon. La couleur apporte un peu de vie à un univers déja très appréciable. Incontournable.
The Legend of Zelda: Link's Awakening Switch nxn
Yahiko

le 23/11/2019
9
Le matériau de base était si exceptionnel que ça ne pouvait pas donner quelque chose de mauvais. Et alors que les premières images du jeu et le choix du rendu graphique m’avaient refroidi, une fois le jeu en mains ce fut vite balayé et la magie a bien opéré. Je n’ai pas décroché. Link’s Awakening est un immense jeu et ce remake nous le rappelle à chaque minute. Si on regrettera des chutes de framerate honteuses et incompréhensibles on saluera un gameplay bien plus fluide grâce à la ré-attribution permanente de certains objets clés aux différentes touches du pad. Pour le reste c’est comme le jeu de base. Et c’est génial.
The Legend of Zelda: Skyward Sword wii
Yahiko

le 10/05/2012
Edité le 10/05/2012
9
Zelda est une de mes séries fétiches. Une des rares (la seule ?) série qui ne m'ait jamais réellement déçu sur console de salon, malgré une tendance à baisser en qualité avec les deux épisodes GC. Tendance que je pensais se confirmer avec Skyward Sword, la faute à des screens/vidéos peu convaincants, à une histoire de genèse et de timeline abracadabrantesque et des retours de joueurs très mitigés. Bien heureusement je me suis trompé et assez largement. Et au final je suis assez stupéfait de lire tellement de critiques et de notes aussi basses.

J'ai très peu de choses à reprocher à cet épisode tant il m'a fait prendre mon pied. Le jeu m'a happé par son ambiance colorée et enchanteresse. Car Skyward Sword a une vraie identité grâce à son style graphique auquel j'ai totalement adhéré (et que je trouvais pourtant assez générique sur les previews). Avec en plus le retour en grande pompe de la musique symphonique, j'ai parfois eu l'impression d'avoir 12 ans et de découvrir A Link to the Past. Grisant.

Niveau gameplay j'ai été totalement servi également par le motion gaming (la vraie révolution de cet opus). Le maniement à la Wiimote m'a donné d'excellentes sensations. Je l'ai surtout trouvé parfaitement en adéquation avec le level design, qui est pour moi l'autre immense réussite de Skyward Sword avec l'ambiance. Oui le ciel est vide, et c'est le seul bémol que j'adresserai au jeu, mais le reste est fantastique. Les différentes zones de jeu sont parfaitement construites et ont le mérite de faire la part belle à l'exploration, ce qui est fait pour me plaire. Quant aux donjons, c'est un régal d'y progressé en motion gaming.

Autre point qui m'a réjouit, mais sur lequel je suis apparement un des seuls, c'est l'intelligente variété des situations. J'ai beaucoup lu que le jeu était répétitif. Je ne suis absolument pas d'accord. Certes on retourne trois fois dans les mêmes contrées, mais c'est soit pour y découvrir de nouvelles zones, avec parfois une ambiance bien différente, soit dans des situations de jeu totalement différentes. A aucun momen, absolument aucun, je n'ai trouvé le jeu redondant, les seules phases un peu longuettes étant celles à dos d'oiseau dans un ciel bien vide. Mais celles-ci représentent assez peu de temps de jeu au final. En tout cas pas assez pour me gâcher le plaisir de l'exploration de la terre ferme !

Même si ce n'est pas ce que je recherche dans un Zelda, j'ai même trouvé certains scènes de scénario excellentes. Certainement grâce au casting plutôt réussi et à une bonne qualité de mise en scène, certaines cinématiques mettant en avant la relation entre Zelda et Link sont mémorables et à la hauteur de ce qu'Ocarina of Time avait pu proposer.

En me faisant redécouvrir des sensations d'enfance Skyward Sword m'a conquis. Et plus que ça encore. Grâce à son gameplay, son ambiance et son level design infaillibles, il est mon opus préféré depuis Ocarina of Time et fait partie des quatre ou cinq épisodes Zelda que je considère comme intouchable. Son univers me manque déja.
The Witcher 2 ~Assassins of Kings~ : Enhanced Edition xb360
Yahiko

le 04/09/2012
Edité le 04/09/2012
9
Après la claque initiale d'une fantastique intro les premières heures refroidissent vite l'enthousiasme. TW2 apparait comme très austère, la faute à un gameplay rigide et une interface peu ergonomique. D'autant que techniquement le soft déçoit. Les textures sont magnifiques mais le hardware poussiéreux de la 360 crache ses tripes plus qu'il ne peut. Clipping, bugs d'affichage framerate à la ramasse, si les plans statiques sont impressionnants, en mouvement le jeu manque cruellement de fluidité. Le rendu visuel en prend pour son grade.
Et puis le novice de la série, comme moi, se retrouvera vite submergé par des références historiques, culturelles qu'il ne maîtrisera pas, lors d'un prologue globalement convaincant. Berf TW2 commence plutôt mal...

Mais il se rattrape rapidement de manière magistrale. Si les difficultés techniques évoquées gâchent la première approche, elles n'altèrent en rien l'ambiance unique et fantastique du soft. Si bien qu'on se retrouve vite happé dans cet univers Dark Fantasy incroyable de cohérence, de richesse et d'attraction. Le travail énorme sur les environnements rattrape tout, chaque lieu est habité, chaque ville est chargée d'histoire, de vécu, de légendes en tout genre. Chaque site est en plus accompagné par des thèmes d'ambiance des plus réussis. L'Ost de TW2 est plutôt discrète mais reste toujours dans le bon ton (Vergen by Night *_*). Les quêtes annexes, qui deviennent quasi aussi importantes que la principale renforce cette attractivité. En plus d'y récupérer monnaies, expériences et équipements de qualité on y apprend sur les légendes des régions visitées en rencontrant des personnages haut en couleur, au langage souvent cru et aux intentions pas toujours très nobles. Chaque dialogue, chaque rencontre, étoffent un peu plus un background aussi riche que passionnant. Aucune concession n'est faite pour que l'immersion soit totale.

Clairement après un début poussif on a vite fait de reprendre ses marques dans cet univers, surtout que le jeu nous propose un casting d'une rare qualité. Geralt, Letho, Triss, Iorveth, Vernon Roche et tous les autres protagonistes bénéficient d'un travail remarquable. Si les plans et les phases de dialogue sont souvent un peu rigides, la personnalité exacerbée des acteurs donne de la valeur à toutes ces scènes et à un script passionnant, qui ne cessera de monter en intensité jusqu'à devenir magistral dans les dernières heures de jeu. Dans ce domaine le jeu détonne surtout par le ton qu'il emploie et le traitement des évènements qui l'émaillent. Aucun manichéisme, aucune concession, il ne cesse de mettre le joueur devant des choix à faire ayant un impact direct sur la suite des évènements. L'absence de liberté dans l'exploration est compensée par celle laissée au joueur dans ses choix de progression. Ca en devient génial dans le cadre d'une replay value dantesque lorsqu'un choix nous permet de renouveler 70% de l'aventure. Sans bouleverser l'intrigue de fond, cette deuxième quête permet de vivre les évènements d'un point de vue différent. Ce qui a pour conséquence de largement compenser la durée de vie plutôt faible de l'aventure.

Mais à côté de ses immenses qualités, TW2 souffre de pas mal de défauts. C'en est même assez paradoxal d'adorer à ce point un jeu aussi "imparfait". Le principal concerne le gameplay dans sa globalité.
Déjà Geralt est assez rigide à diriger en combat, le temps d'adaptation pour le manier est plutôt conséquent. Heureusement la difficulté est parfaitement dosée, et en Normal le jeu offre un challenge réel tout en restant accessible. Ce calibrage parfait a surtout le mérite de nous obliger à utiliser tout le panel d'actions du sorceleur (Epée, pièges, magie, bombes, dagues) et par conséquent de rendre les affrontements intéressants, car malgré ce maniement du héros pas toujours aisé et assez basique les situations de combat impose souvent de la jouer fine plutôt que de rentrer dedans sans réfléchir.
Ensuite, le système d'évolution du personnage n'est pas très convaincant et plutôt austère, que ce soit dans le gain de l'expérience où de la répartition de celle-ci dans l'arbre de compétence. Encore une fois c'est assez simpliste. Dommage car TW2 était tout à fait le genre de jeux qui aurait mérité un système d'évolution plus poussé. Toujours dans le côté simpliste, certaines phases de jeu bien poussives ("follow him", QTE, l'infiltration etc...) dénotent le manque d'expérience de CD Projekt dans le domaine du développement, malgré une volonté évidente de vouloir diversifier les phases de jeu.

Malgré des défauts certains, The Witcher 2 se pose comme une référence du jeu. En bousculant les codes du Rpg, il permet de vivre une expérience unique. Un jeu singulier et immersif à souhait qui constitue l'expérience vidéoludique la plus excitante de ces dernières années. J'attends la suite avec impatience et prie pour que le 1er épisode soit adapté sur console.
The Witcher 3: Wild Hunt - Blood and Wine play4
Yahiko

le 27/11/2018
9
J'avais gardé Blood and Wine pour la soif et pour le plaisir de retrouver Geralt une dernière fois. Je suis forcément un peu triste d'en avoir fini avec ses aventures, qui auront marqué cette décennie vidéoludique, mais aussi un peu soulagé d'en avoir terminé avec ce Blood and Wine, qui m'a enchanté mais aussi un peu lassé sur les dernières heures. Un sentiment ressenti pour la première fois depuis que j'ai lancé The Witcher 3.

Je l'avais déjà évoqué dans mon avis sur le jeu : sur la longueur le manque d'expérience de CD Projekt se fait ressentir dans le gameplay et dans la diversité des situations proposées. Pas forcément dérangeant sur le jeu de base qui exploite l'open world à merveille pour s'en sortir j'ai trouvé ce constat plus frappant et plus problématique sur Blood and Wine. Le jeu est généreux, extrêmement même compte tenu de son statut de DLC, mais malgré des efforts pour apporter un peu de variété aux situations, il paye, après 150 heures de jeu, des objectifs de mission redondants et toujours similaires. Un exemple parmi d'autres : la quête de la guerre des vins de Belgaard se perd en longueur, avec une quinzaine d'objectifs de mission qui s'enchaînent à l'identique avant d'en voir le dénouement. C'est la première fois que j'ai ce ressenti en jouant à TW3. Et alors que je l'ai joué roleplay pendant toute l'aventure j'ai, cette fois, fini par user du fast travel pour gagner du temps.

Pour autant, hormis le Gwynt que j'ai délaissé depuis longtemps, j'ai tout fait : toutes les missions secondaires, toutes les chasses au trésor, tous les crafts d'équipement de sorceleur de grand maître (). Parce que si je pinaille sur cette petite redondance de fin de jeu, j'ai encore pris énormément de plaisir à découvrir Toussaint en large et en travers, mais surtout à suivre la quête principale et ses personnages charismatiques à souhait. C'est ce que CD Projekt sait faire de mieux : conter une histoire, la scénariser et la mettre en scène. A ce niveau là c'est encore du caviar que propose Blood and Wine et finalement j'aurais presque préféré me retrouver devant un jeu moins vaste, moins généreux mais plus story driven (comme Hearts of Stone en somme), le jeu de base proposant déjà tout ce qui pouvait être proposé en terme d'exploration et d'open world.

Il n'en reste pas moins que Blood and Wine est un must have qu'il faut découvrir et qu'il conclue merveilleusement bien cette trilogie dans la trilogie. Après 150 heures à ses commandes, Geralt de Riv va me manquer c'est certain. J'y reviendrai certainement dans quelques années, comme je reviens régulièrement sur les jeux qui ont marqué ma vie de gamer. Merci pour tout CD Projekt, c'était dantesque.
The Witcher 3: Wild Hunt - Hearts of Stone play4
Yahiko

le 11/09/2017
9
Une extension de qualité et un plaisir immense de retrouver Géralt plus d'un an après avoir bouclé l'aventure principale.
Une extension qui nous fait découvrir une partie de Velen inexplorable dans le jeu de base mais attenante à celle disponible et qui nous replonge avec joie dans cet univers fabuleux. L'extension mise beaucoup moins sur l'Open World que l'aventure originale et se retrouve beaucoup plus story driven. Et ce n'est pas un mal en soit. CDProject se concentre ainsi sur ce qu'ils savent faire de mieux : une histoire bien narrée, parfaitement rythmée et bénéficiant d'un casting de haute volée.
Bref, Hearts of Stone est une jolie petite friandise qui conclue à merveille les aventures de Geralt dans les Royaumes du Nord. Direction le duché de Toussaint désormais.
Baten Kaitos Origins gc
Yahiko

le 25/02/2019
8_5
Baten Kaitos Origins est une grande et belle aventure marquée par un deuxième disque d'une rare intensité scénaristique. Encore trop statique et trop rigide dans sa mise en scène, il se rattrape par des dialogues et un rythme beaucoup plus percutants que son aîné. Il est surtout un jeu extrêmement intelligent, profond, d'une rare sensibilité. Toujours aussi soigné artistiquement, BKO est un JRPG majeur, qui, en plus de se révéler passionnant apporte un autre éclairage sur le premier opus, plaçant le diptyque à un très haut niveau dans l'histoire de ce genre. Un must do.
Baten Kaitos: Les Ailes éternelles et l'Océan perdu gc
Yahiko

le 26/08/2014
8_5

La première nécessité pour se donner les moyens d’apprécier Baten Kaitos c’est de couper les doublages. Ceci fait on peut se lancer et se laisser embarquer... Et Baten Kaitos a commencé par m’embarquer. Comment ne pas l’être devant une telle direction artistique ? C’est si bon de se rappeler que quand Sakuraba ne bosse pas en pilotage automatique pour Namco il est ce compositeur de génie capable de composer des OST aussi puissantes. Celle de Baten Kaitos vole haut, très haut, à la hauteur magistrale d’un Star Ocean 3. Et puis il y a le visuel. Magnifique en tout point si on ne nous avait pas servi ce chara design d’un goût plus que douteux. Heureusement le plaisir des yeux est ailleurs : les décors sont magnifiques, l’univers est merveilleux et donne au titre une touche onirique rarement atteinte. Le jeu a plus de 10 ans et il n’a pas vieilli, il m’apparait clairement que la 3d pré calculée est le style qui a le mieux vieilli de cette génération. Style que Baten Kaitos sublime avec ses éléments de décor en mouvement.

D’ailleurs la filiation entre ces jeux et Baten Kaitos est évidente. Il leur emprunte beaucoup, principalement Chrono Cross (logique…). Dans le style graphique et l’exploration donc, mais pas que. Dans l’ambiance également : lumineuse, exotique. Les lieux et ce qu’ils dégagent rappellent furieusement ceux de son glorieux aîné, une dose de mysticisme et de poésie en moins. La filiation entre CC et BK est également évidente dans la construction du jeu et le déroulement de l’histoire. Comme CC, Baten Kaitos peut aussi se découper en deux phases. Dans la première, le jeu prend son temps, l’histoire est présente mais occupe peu de place, elle pose ses bases et se met en place tranquillement avec un brin de mystère. Elle est surtout prétexte à la découverte et à la contemplation extatique de l’univers du jeu. C’est cette partie-là que j’ai préférée, très nettement.

Et puis il y a ce twist, qui met d’abord sur le cul puis qui laisse espérer d’un final en apothéose, et qui finalement fait entrer le jeu dans une autre phase, qu’il maîtrise moins.

A partir de là, le rythme du scénario s’intensifie, celui des dialogues aussi, les révélations s’enchaînent. Le constat semble plutôt alléchant, mais c’est un aspect que Baten Kaitos fait plutôt mal. Ou tout du moins sans la délicatesse dont il faisait preuve jusque-là. Et ça crée une sorte de décalage entre un univers précieux, délicat plein de poésie et un script un peu balourd. Pourtant l’intrigue est bien foutue et suffisamment consistante pour susciter l’intérêt et la curiosité, les thèmes sont abordés avec justesse et réserver les révélations pour la fin n’est pas en problème en soi. Sauf que dans ce dernier tiers Baten Kaitos manque trop souvent de finesse dans son écriture, comme dans ses dialogues, le charisme des persos en souffre. L’attachement aussi. Surtout, il est affreusement statique dans sa mise en scène –point sur lequel il parvient à être inférieur aux jeux que je citais plus haut malgré ses années de moins. Statisme qui galvaude largement le côté dramatique et émotionnel de certaines scènes qui auraient pu être bien plus fortes et poignantes.

Heureusement un élément ne cesse de s’étoffer au fil du jeu et vient atténuer cette déception : le gameplay. A la base j’aime bien tous les jeux qui touchent aux cartes et le côté aléatoire qui va avec donc je partais sur de bonnes bases pour apprécier le système de combat. Mieux ils n’ont cessé de s’améliorer au fil du jeu. L’évolution des personnages, du deck de cartes, les boss plus retords rendent petit à petit le système de plus en plus technique et tactique. La difficulté est toujours juste et bien équilibrée et certains boss fight m’ont vraiment excité. Seul petit bémol de cette évolution, les combats aléatoires sont de plus en plus long. Mais ça ne m’a pas gêné plus que ça, le côté aléatoire de la pioche obligeant à être tout le temps actif et attentif.

J’ai apprécié Baten Kaitos. C’est un excellent J-RPG, qui brille d’abord par sa direction artistique, très marquée et très personnelle, qui donne d’abord beaucoup de légèreté à l’aventure et qui rend la progression très fluide. Mais j’ai longtemps cru tenir un jeu encore plus grand, ce qu’il ne me semble pas être au final. La faute à un dernier tiers qui, en manquant de finesse, laisse en partie s’envoler l’esprit poétique qu’avait su insuffler le jeu jusque-là.

Edit : nouveau run en 2019 enchaîné après avoir bouclé Baten Kaitos Origins. L'enchaînement des deux mérite d'être fait et bonifie clairement l'expérience avec un nouvel angle de vue sur les événements et le background.


Final Fantasy IV snes
Yahiko

le 10/01/2009
Edité le 07/05/2014
8_5
Mon premier FF et mon premier classical RPG. Je me souviens d'un très bon jeu, au gameplay intuitif, à l'univers enchanteur, à l'ambiance sonore divine et aux combats hyper dynamique. FFIV c'est surtout un scénario tragique et une mécanique de jeu très rythmée. Une quête passionnante qui a certainement beaucoup vieilli mais qui aura marqué quiconque s'y est essayé.
Final Fantasy Tactics: The War of the Lions psp
Yahiko

le 10/09/2018
8_5
Un début poussif et une fin cheatée, FFT n’échappe pas à l’écueil des problèmes de calibrage plutôt récurrents des jeux de Matsuno. Pas forcément flagrant à l’époque de sa sortie (sauf pour la fin évidemment) quand on y joue en prenant le temps de découvrir tous les aspects et subtilités du jeu, il le devient forcément beaucoup plus pour un replay plus rushé. Entre les deux des heures de bonheur, principalement par l’histoire et la trame, passionnantes et bien écrites. Un autre aspect, cette fois positif, des jeux de Matsuno qui ne loupe pas, d’autant que le jeu a été l’objet d’une réécriture convaincante. Les dialogues font mouches, les persos ont de l’épaisseur, de la personnalité et du charisme, c’est passionnant à suivre. Côté gameplay, le système de jobs est toujours sympa et fait toujours son petit effet, même s’il met du temps à se dévoiler et certaines classes se montrent inutilement pléthoriques. Ça fait toujours du bien de se replonger dans ce genre de titre mythique, même si de tous les FF de l’ère Ps1 il est celui qui a le moins bien vieilli.
Final Fantasy VIII play
Yahiko

le 10/01/2009
Edité le 31/08/2014
8_5
Un jeu refait en 2014, que j'ai beaucoup plus apprécié qu'à sa sortie. Comme quoi...

FFVIII était de loin l'épisode qui m'avait le plus déçu, après les deux coups de maître qu'étaient les 6ème et 7ème épisodes. Des années plus tard, mon avis a largement évolué. Le jeu a quelques carences par rapport aux deux autres épisodes Psx mais pas tant que ça. Je regrette toujours le manque de travail sur les persos secondaires et quelques lieux visités un peu vide et manquant de personnalité. Pour le reste c'est quand même du haut de gamme. Les persos principaux sont excellents, le rythme est toujours soutenu et les thèmes sont abordés avec bien plus de justesse que ce que j'avais en mémoire. Avec beaucoup de recul et un œil neuf, FFVIII est vraiment un grand Rpg.
Final Fantasy VIII play3
Yahiko

le 27/11/2018
8_5
Il y a de ces jeux qu'on refait et pour lequel on finit par être déçu et puis il y a ceux qui prennent du caractère et de l'ampleur avec l'âge. C'est le cas de ce FF8 qui m'avait laissé sur ma faim à l'époque et que je retrouve plus intéressant et profond que jamais. Restent les problématiques de gameplay et de rythme du second CD, mais l'histoire est incroyablement plus riche et plus mature que ce qu'elle m'avait laissé comme souvenir.
Front Mission 3 play
Yahiko

le 30/01/2010
Edité le 07/05/2014
8_5
Un jeu dont on ne parle que trop. Car FM3 est un vrai must du tactical. Gameplay profond, univers parfaitement maîtrisé et scénario en béton. Front Mission 3 c'est le haut du pavé du Tactical. Un très grand jeu.
Growlanser play
Yahiko

le 07/11/2010
Edité le 07/05/2014
8_5
Finir Growlanser se mérite. L'assistance d'un ami japonais aura été obligatoire tant ce jeu nécessite une maîtrise de la langue. Porté par le design fantastique d'Urushihara Growlanser est un jeu unique aussi bien en terme de gameplay que de progression dans l'aventure. Une expérience réellement à part, dont on ne parle que trop, le jeu n'ayant certainement pas la notoriété qu'il mérite et qu'une sortie Us aurait pu lui conférer. A faire de toute urgence pour les japonisant.
Kaze no Densetsu Xanadu II pcecd
Yahiko

le 29/01/2010
Edité le 25/12/2014
8_5
Le meilleur jeu de la PC engine. Peut-être le meilleur jeu de Falcom. Une ambiance heroic-fantasy dantesque, un gameplay intuitif et une esthétique impeccable pour un jeu de cette génération. Legend of Xanadu 2 m'a fait passer certains de mes meilleurs moments devant une console. C'est un jeu dont on ne parle que trop peu et qui mérite d'être découvert par tout fan de Rpg.
Lunar: Silver Star Story Complete play
Yahiko

le 11/11/2011
Edité le 07/05/2014
8_5
Le même que sur Saturn mais en Anglais !
Pas de graphismes tonitruants, pas de gameplay alambiqué, ni de scénario grandiloquant. Lunar c'est la victoire du fond sur la forme. La victoire du plaisir sur la profondeur. Car Lunar est un jeu enthousiasmant, parfois drôle, parfois émouvant, il joue avec les sentiments du joueur. La quête pour devenir Dragonmaster et récupérer l"équipement est passionnante et on avance dans ce jeu avec le plus grand plaisir.
Lunar: The Silver Star Story sat
Yahiko

le 29/01/2010
Edité le 07/05/2014
8_5
Pas de graphismes tonitruants, pas de gameplay alambiqué, ni de scénario grandiloquant. Lunar c'est la victoire du fond sur la forme. La victoire du plaisir sur la profondeur. Car Lunar est un jeu enthousiasmant, parfois drôle, parfois émouvant, il joue avec les sentiments du joueur. La quête pour devenir Dragonmaster et récupérer l"équipement est passionnante et on avance avec dans ce jeu avec le plus grand plaisir.
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