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Commentaires de Ushiwaka avatar
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Trier par : Date | Support | Nom | Note
85 commentaires
Kingdom Hearts II play2
Ushiwaka

le 29/01/2010
Edité le 15/01/2011
7
+ C’est beau
+ Très fidèle visuellement à l’univers disney
+ La variété des environnements visités
+ Système de combat jouissif
+ Certains combats vraiment dantesques
+ Les fusions (au cas où le jeu serait pas déjà suffisamment bourrin)
+ Les musiques de Y.Shimomura
+ Les phases de shoot très funs!
+ La customisation du vaisseau
+ La montée en puissance sur la fin
+ Ils ont compris qu’avec le Stick droit ont pouvait permettre au joueur de gérer la caméra!

- Se refaire une seconde fois tous les mondes c’est lourd
- Mondes Disney surtout là pour faire de la figuration
- Des mondes à la construction peu inspirée
- Croix, Croix, Croix, Croix, Croix, Croix, Croix, Croix, Croix, Triangle, Croix, Croix….


Dragon Quest VIII: L'odyssée du Roi Maudit play2
Ushiwaka

le 29/01/2010
8
Une grande aventure pour peu qu'on ne soit pas allergique aux habitudes de la série (système de combat simple, scénario basique, design Toriyama, ect.). Son excellente réalisation mettant très bien en valeur la beauté et l'immensité de ce monde, de plus l'humour est très présent, les personnages sont attachants et j'ai pris beaucoup de plaisir à suivre cette fine équipe dans leur épopée. (Et merci pour l'orchestration des musiques et le soin apporté à la forme des menus pour les version européenne et américaine, très appréciable).
Final Fantasy X-2 play2
Ushiwaka

le 29/01/2010
Edité le 29/01/2010
5
+ La réalisation
+ Le système de combat
+ La mini jupe de Rikku

- L’ambiance abominable
- Les musiques
- Le scénario
- Lol avoir la vrai fin sans soluce
- L’intro traumatisante

A acheter à 2€ dans une brocante pour tâter du système de combat ou pour vous moquer joyeusement si vous êtes détracteur du 10ème épisode de la série.
Shadow Hearts: Covenant play2
Ushiwaka

le 28/01/2010
Edité le 29/03/2010
8
Je n’ai malheureusement que peu joué à Shadow Hearts premier du nom mais ceci ne m’a pas empêché de savourer ce second épisode. Un jeu a l’ambiance très particulière, des couleurs ternes, des monstres au design parfois étrange ou des donjons pas toujours très gai comme des grottes, des souterrains ou une prison, je n’irais pas jusqu’à la qualifier glauque (de ce que j’y est joué, le premier avait l’air de l’être beaucoup plus) mais en tout cas ça change, c’est mature. La bande son est bonne aussi avec notamment quelques thèmes de combats vraiment excellents, surtout vers la fin du CD1/CD2 (Hardcore To The Brain, Battle with The Fallen Angel). Un très bon RPG également sur les autres points, bien rythmé, système de combats excellent, casting varié, quêtes annexes intéressantes, plutôt long (fini en une quarantaine d’heures dont surement 15 à me prendre la tête dans le Sanctuaire du Chien et 5 parce que j‘avais pas de bol au coffres de la chance xD), ect.
Dommage que le jeu soit un peu trop facile sur la quête principal, j’ai battu pas mal de boss sans avoir besoin de restaurer PV/PM avant le combat, une des raison je pense, les boss attaques rarement 2 fois dans un « tour » ce qui simplifie grandement la tache. Mais évidement certains combats annexes offrent un bon challenge très agréable.
Un excellent RPG, un de mes meilleurs sur ps2

Persona 4 play2
Ushiwaka

le 14/01/2010
Edité le 17/01/2010
7
J’ai eu la chance (ou malchance je sais pas) de faire cet épisode avant de toucher à P3, ce Persona 4 fut donc une agréable surprise pour moi, un RPG que le cadre scolaire rendait très original (impression réfuté une fois P3 entamé, évidement) et au scénario de base intriguant. Histoire mené façon enquête policière, elle sait tenir en haleine le joueur même si à la longue la progression basée sur une disparition puis sauvetage, disparition puis sauvetage, ect. m’a gavé. J'ai également trouvé ce scénario, bien moins originale et intéressant que P3.

L’équipe est agréable à suivre, grâce notamment au développement des relations entre le héros et les personnages via les S Link, à passer du temps avec les différents protagonistes, finalement pour la plupart, biens travaillés, on se prend d’affection pour eux, c’est un système vraiment bien fichu et un des gros points forts du titre.
Pour le reste les musiques tuent et sont bien dans l’ambiance (certaines pistes de donjons sont vraiment hypnotiques malgré leurs apparente répétitivités...), les donjons, divers et extravagants, sympa à parcourir, le système de combat vraiment génial, la durée de vie assez monumentale et les graphismes plutôt bons.

Un jeu qui je trouve, souffre de la comparaison avec son aîné, surtout en terme d'ambiance et de scénario.
Wild ARMs 5 play2
Ushiwaka

le 13/01/2010
Edité le 18/08/2010
7
Un bon jeu qui possède pas mal d'atouts, des personnages pleins de vie (le trio de héros qui n'est pas sans rappeler celui de Skies of Arcadia), une bande son quelques fois western excellente, une grande mappemonde à explorer, une bonne réalisation, un charadesign magnifique (Avriiiiiiiiiil), des combats et donjons fun, une ambiance western/SF rafraichissante....

Ōkami play2
Ushiwaka

le 06/12/2009
Edité le 27/05/2010
10
+ LES MUSIQUES
+ La patte graphique rappelant Viewtiful Joe mais dans une toute autre ambiance
+ Un jeu visuellement exceptionnel et intemporel
+ L’ambiance Japonaise
+ La richesse du gameplay
+ La grande variété des situations
+ L’apport du pinceau
+ Les boss
+ Un Zelda like, c’est tellement rare
+ Une grande aventure tout simplement

- Trop facile?
- Les mêmes boss que l'on combat à plusieurs reprises

Un véritable tour de force de la part de Clover, je vois difficilement comment je pourrais ne pas lui mettre la note ultime…
Mon jeu favori sur ps2, au coté d'un certain Shadow of the Colossus…
Final Fantasy X play2
Ushiwaka

le 06/12/2009
Edité le 06/12/2009
9
+ Les graphismes comme toujours avec les ff numérotés
+ L’ambiance unique
+ Le travail sur l’univers/ le monde
+ Le scénario
+ La très grande présence de l’histoire durant toute l’aventure
+ De nombreuses scènes fortes
+ Les combats tactiques ( exit ATB )
+ On peut jouer les invocations
+ On peut jouer tous les persos durant un même combat
+ Le spherier
+ Certaines musiques, le nombre de pistes marquantes n’est cependant pas aussi important que d’autres épisodes
+ Tidus, quoi qu’on en dise, évolue de manière très intéressante tout au long du jeu
+ La classe d’Auron
+ Le décolleté de Lulu

- Une World Map peut être?
- Très linéaire
- Quêtes annexes peu intéressantes
- Seymour O_O’

Un de mes épisodes favoris avec le 9, le 7 et le 6
Final Fantasy XII play2
Ushiwaka

le 06/12/2009
Edité le 24/11/2010
9
+ Ivalice plus vaste que jamais, une liberté grisante
+ D'un cohérence esthétique rare et d'une qualité technique impressionnante
+ Direction artistique à tomber, je ne compte plus le nombre d'environnements qui m'ont éblouis (Archadès, le Tombeau de Raithwall, Gilvégane.....que c'est beau, mais que c'est beau)
+ La richesse et le souci du détail
+ Bande son épique, d'ambiance & de qualité
+ Intrigue politique intéressante
+ Peu de cut scène mais des cut scènes toujours de grande classe, ceci grâce à l'écriture & la mise en scène pleine de retenue et de sous entendus
+ Un casting charismatique, aussi bien du côté de Rabanastre que d'Archadia, mention spéciale à Balthier et ses répliques souvent très fines
+ Un bon compromis exploration/scénarisation pendant la première moitié du jeu
+ Système de jeu réussi sur certains points (concept, permis, ect.)

+- Un renversement dans la continuité de la série

- Baisse de rythme flagrante passé un certain stade
- Obtention des gambits trop étalée, de plus le système manque de finesse, de possibilités
- Eons & Impulsions sans grande utilité
- Si Vaan, par l'intermédiaire de certaines conversations, justifie sa place dans l'équipe, Penelo, elle, ne sert vraiment à rien
Mana Khemia ~Alchemists of Al-Revis~ play2
Ushiwaka

le 05/09/2009
8
+ L'ambiance, le cadre scolaire
+ Les graphismes en combat
+ Les combats eux même, dynamiques et jouissifs
+ L'alchimie et le grow book, un système excellent et très addictif
+ Le charadesign, les artworks
+ L'équipe, des personnages loufoques qui offrent de nombreuses scène très drôles
+ De très bonnes musiques que je réécoute avec plaisir
+ Les doublages Jap

- Quelques ralentissements
- Le scénario qui commence quand le jeu ce termine
- Certains éléments de décor en exploration très flous assez vilains
- Devoir attendre le matin une fois bien enfoncé dans un donjon, les monstres étant trop balèzes la nuit

Des défauts qui restent mineurs face aux qualités du titre, un très bon jeu
Tales of Graces f play3
Ushiwaka

le 06/06/2013
Edité le 06/06/2013
5
Autant attaquer directement avec le principal problème de cet épisode selon moi: le casting est affligeant. Toujours les mêmes liens sociaux autours de l'amitié artificielle et de la bienséance absurde, la relation Asbel/Richard est à ce titre d’une non authenticité assez folle, alors qu'elle est un fil conducteur pour toute l'aventure. Les même stéréotypes de base, l'amie d'enfance du héros qui forcement est mage blanc, et qui secrètement l'aime mais lui ne capte quedal car il est aveuglé par ses idéaux de justice factices. Au secours.
Mais ToGf va encore plus loin, et certains événements se permettent de traîner en longueur et transforment une des forces de la série en faiblesse, à savoir les nombreux dialogues entre les membres du groupes, notamment via les saynètes, sensés tisser le relationnel. J'en prendrai pour exemple le sauvetage d'un personnage pour contrer sa mort « imminente mais qui forcement ne se produira pas puisque on est dans un pur J-RPG convenu ». Incroyable, on ballade notre camarade pendant facilement 3 heures, accompagné de ses gémissements pour bien nous montrer qu'il souffre, et des ondes positives du groupes à travers un nombre incalculable de « tiens bon » et « on te sauvera » parce que hey, on est des gens biens. Et ça, dans les cut scènes (à la mise en scène d’un autre âge), et dans les saynètes. Au secours.
Je crois que les rares moments où j'ai apprécié les dialogues entre les personnages, c'est lors des fins de combats, où le groupe se permet une petite mise en scène humoristique jouant sur les traits de caractères typiques du casting, très sympathique, malheureusement ces scènes sont clairement hors scénario.
Voilà, des reproches que l'on pourrait faire à d'autres épisodes, mais qui dans mon cas, étaient compensés par le plaisir prit dans l'exploration, la découverte et un certain sentiment de liberté à travers la map. Ce que ce Tales détruit méthodiquement en introduisant le concept de map qui n'en est pas une puisque c'est un couloir te menant de la ville/donjon A à la ville/donjon B. Avant de passer à la map listing de lieux, façon voyage rapide. Et qui l'enfonce encore plus dans le pur story driven sans avoir plus d'envergure que ces prédécesseurs du point de vue de l'histoire justement.

Heureusement le système de combat est l'alcool qui permet d'oublier le gâchis de temps que représente l'élaboration de ce script. Même si très simplement on pourrait résumer ça à la transformation des TP en CC ou points d'actions rechargeables. C'est un apports non négligeable qui offre plus de fluidité aux combos, qui permet de passer outre les comportements d'économes pendant les combats normaux ou encore qui met sur un pied d'égalité les personnages magie/physique. Globalement les combats gagnent je trouve en technicité et en timing avec une intéressante gestion des phases d'attaques/rechargements/esquives. A côté de ça le nouveau système de compétences attaché aux titres est suffisamment généreux pour rendre l'impression de progression des personnages quasi continue, et forcement très addictive.

Fallout: New Vegas play3
Ushiwaka

le 14/04/2013
8
Après une tentative sur le 3 stoppé après environ 15h tant je m'y ennuyais, j'ai voulu me lancer dans New Vegas. Et il faut avouer que le début laisse franchement perplexe, c'est poussif et pas intéressant. Mais passé les premières heures (disons l'arrivée à Nipton), il dévoile ses qualités et quelles qualités....On découvre les factions qui influeront sur l'ensemble de l'aventure, et les principales présentent toutes un visage non manichéen, des aspects positifs qui permettraient à Vegas d'obtenir une certaine prospérité une unité ou des perspectives à long terme. Mais également des noirceurs plus ou moins explicites qui pourrait s'avérer terriblement néfaste pour la région, à contrario, les clans moins "influents" sont souvent très agréable, mais proposent des perspectives sur le long terme limitées. Bref tout ça pour dire que le choix d'alignement a été dans mon cas assez terrible tant aucun ne me convenait vraiment, je me demande même si il y a une "bonne fin", désespèrent. A côté de ça et si on creuse un minimum, certaines quêtes annexes sont extrêmement bien écrites, elles offrent différentes alternatives pour les terminer, et sont une excellente carotte pour l'exploration (l'abri 11 et l'abri 22 :0), tout comme la recherche des compagnons qui sont plus que de simples avatar ou la recherche de lieux singuliers. Habituellement effrayé par la formule "Elder Scroll" je trouve qu'elle passe plutôt bien avec NV, la carte n'est pas immense et on ne se retrouve pas noyé sous une montagne de quêtes.
Le système de jeu n'est pas en reste, un peu "bâtard" et encore balbutiant, le Vats reste bien plus qu'une option puisque avec certaines aptitudes notamment, on peut terminer le jeu en utilisant presque pas l'aspect purement FPS (et surement inversement). Et je ne parle pas des possibilités de façonner de façon très poussée son personnage les compétences, la liste massive d’aptitudes, la réputation par ville, etc.
Pas loin du BGE, cependant tout comme Alpha Protocol finalement, Fallout NV impressionne pour ses qualités narrative autant qu'il déçoit côté finition. C'est buggé jusqu'à la moelle et je ne compte plus les fois où j'ai dû recharger à cause d'un freeze ou de lag qui rendaient le jeu injouable. De plus, que le moteur graphique soit à la ramasse et que certaines textures soit digne d'une 64, je m'en moque. En revanche, si certains lieux sont charmant, je trouve globalement la direction artistique assez plate voir parfois insipide. Et ça nuit vraiment aux autres qualités du titres car si Caesar est assurément un personnage à la personnalité intéressante, sa tête et ses expressions faciales de pnj lambda lui font énormément perdre en charisme. Un exemple un peu à l'image du jeu pour moi. Heureusement, il y a le Vault Boy et une fois l'armure furtive chinoise récupéré, mon personnage dégageait quelque chose d'unique, le petit côté ninja envoyé du futur par une mystérieuse force communiste surement.
Final Fantasy XIII-2 play3
Ushiwaka

le 10/04/2012
Edité le 10/04/2012
6
FFXIII-2 c'est avant tout Square qui écoute les critiques du XIII, donc on fait réapparaître les annexes, les pnjs, la liberté de progression, ect.
A partir de là on corriges quelques défauts du système de combat et d'ergonomie.
On pond un scénario WTF qui justifie tout comme bon lui semble en s'assurant d'un minimum de lien avec l'original,
On ajoute 5 nouveaux lieux (histoire de se dire qu'on a pas claqué des montagnes de flouze dans le moteur du XIII pour rien) et 4 nouveaux personnages, le tout réutilisé par la magie du voyage temporel (oui oui, même les persos, tant qu'à faire).
On accompagne l'image d'une bande son éclectique voir parfois hors de propos (quoi que frapper des flans sur du métal, c'est conceptuel, volatility, do it! do it! do it! do it!).
Et on agrémente le tout avec des idées prises ça et là, des dialogues à choix multiples, des QTE, et surtout des DLC, peut être même un XIII-3, il faut bien payer les vacances prolongés de l'équipe de versus XIII.

Sinon il faut avouer que j'ai apprécier, l'aventure se parcourt sans retenue, contrairement au précédant où trouver le courage d'allumer la console était en soit une épreuve. Mais mon plus gros problème vient du fait que malgré une progression à mon goût moins calamiteuse, j'y ai finalement joué pour les mêmes raisons que le XIII, à savoir les fights et la beauté technique (moindre tout de même).
Le scénario, ce n'est peut être que moi, mais j'ai trouvé ça terriblement confus, avec l'impression d'avoir à faire à un plot de base plutôt simple parfois inutilement complexifié ou pas suffisamment expliqué (sans parler que certaines justifications sont expédiées comme jamais).
Le casting enfin, qui, même si il propose un antagoniste très charismatique, offre des personnages assez creux, dont la personnalité et les dialogues sont construits autour d'une motivation, point.
Dark Souls play3
Ushiwaka

le 22/01/2012
9
Le jeu bug, il lag, le système pas parfait, les collisions sont parfois foireuses, ect.
Ok, qu'importe, tous ces défauts sont peu de choses face une aventure aussi marquante, pour faire court, c'est de loin le meilleur A-RPG auquel j'ai pu toucher.
Si le gros du système de jeu, des mécaniques -aussi bien pour venir à bout des ennemis que des boss- est hérité de son prédécesseur, le monde "ouvert" fait ici toute la différence, il est le coeur de ce qui rend l'expérience Dark Souls plus intense encore, plus immersive.

Une de mes meilleures expériences sur cette génération.
Demon's Souls play3
Ushiwaka

le 14/06/2011
Edité le 05/09/2011
8
A la manière d'un Vagrant Story, c'est un des rares RPG que j'ai adoré avant tout pour son gameplay.
Extrêmement bien foutus, les affrontements se rapportent souvent à du 1 contre 1 où la mémorisation des paternes de l'adversaire est primordiale, de plus le placement des ennemis et pièges est immuable, la progression par l'échec est donc de mise. Le principe de soul est également très addictif, et rend l'exploration encore plus palpitante, que ce soit pour récupérer ses points d'expériences perdus lors de sa dernière défaite, où pour poutrer le boss et récupérer son corps perdu également lors d'une méchante rouste.
La construction des niveaux tout comme le soin apporté à leur ambiance des plus noire force le respect, chaque monde est à la fois unique dans son esthétique, mais aussi dans son architecture, ce qui rend la première exploration de chacun d’eux assez marquante, et c'est sans parler des boss qui clôturent chaque niveaux. Je crois me souvenir pendant encore un moment de ces châteaux, de ces mines et de ces marrais, somptueux... (je pesterai peut être contre l'absence de musiques -sauf lors des affrontements de boss- même s'il m'est difficile d'imaginer DS avec)
Ajoutons à ça un système d'évolution, d'équipement, d'influence de nos actions sur la difficulté, j'en passe...et on obtient le jeu qui se rapproche, aujourd'hui, le plus de l'idée que je me fais de l'A-RPG. Théoriquement c'est parfait. Evidement dans l'application, quelques problèmes de caméra, de lock, de "sauts" (lol les phases de plate forme) & d'errance d'IA sont à noter. Et mourir -ou réussir par la triche- à cause des lacunes du titre, y a rien de pire, surtout dans Demon's Souls.
A la manière d'un Vagrant Story, c'est un des rares RPG que j'ai adoré avant tout pour son gameplay.
Extrêmement bien foutus, les affrontements se rapportent souvent à du 1 contre 1 où la mémorisation des paternes de l'adversaire est primordiale, de plus le placement des ennemis et pièges est immuable, la progression par l'échec est donc de mise. Le principe de soul est également très addictif, et rend l'exploration encore plus palpitante, que ce soit pour récupérer ses points d'expériences perdus lors de sa dernière défaite, où pour poutrer le boss et récupérer son corps perdu également lors d'une méchante rouste.
La construction des niveaux tout comme le soin apporté à leur ambiance des plus noire force le respect, chaque monde est à la fois unique dans son esthétique, mais aussi dans son architecture, ce qui rend la première exploration de chacun d’eux assez marquante, et c'est sans parler des boss qui clôturent chaque niveaux. Je crois me souvenir pendant encore un moment de ces châteaux, de ces mines et de ces marrais, somptueux... (je pesterai peut être contre l'absence de musiques -sauf lors des affrontements de boss- même s'il m'est difficile d'imaginer DS avec)
Ajoutons à ça un système d'évolution, d'équipement, d'influence de nos actions sur la difficulté, j'en passe...et on obtient le jeu qui se rapproche, aujourd'hui, le plus de l'idée que je me fais de l'A-RPG. Théoriquement c'est parfait. Evidement dans l'application, quelques problèmes de caméra, de lock, de "sauts" (lol les phases de plate forme) & d'errance d'IA sont à noter. Et mourir -ou réussir par la triche- à cause des lacunes du titre, y a rien de pire, surtout dans Demon's Souls.
Bloodborne play4
Ushiwaka

le 06/04/2015
8

Renommé et porté sur un nouveau support, même si l'âme fait place à un cœur sanglant, les artifices n’y font rien, la philosophie ne change pas : Bloodborne est un Souls. Un level design tortueux metroidvaniesque, des pièges à chaque coin de rue, un gameplay fin et exigent, des secrets par dizaine, une narration des plus obscures et j’en passe. Mais ne soyons pas non plus mauvaise langue ce quatrième opus apporte tout de même son lot d’ajustements. Premier et non des moindres : les combats se sont enfin extirpés des duels chevaleresques pour faire place à des danses sanglantes. Adieu les approches défensives qui disparaissent en même temps que les boucliers, suppression pure et simple de l’influence du poids de l’équipement pour permettre des esquives vives qu’importe notre attirail et augmentation générale du rythme des affrontements. Bloodborne se veut plus action et offensif et ça fonctionne, notamment face à des boss qui proposent des combats ultra rythmés face à des saloperies régulièrement foutrement véloces. Et second point la nouvelle direction artistique, là où les précédents lorgnaient vers la fantaisie noire cette nouvelle itération s’oriente vers une expérience plus horrifique. Bloodborne, c’est un peu découvrir les monstruosités qui se cache en dehors de la tour de Latria, si bien que la torche devient un compagnon de choix, pour sa fonction première évidement, afin d’éclairer les nombreuses zones où l’ombre règne, mais également pour le soutient chaleureux qu’offre sa flamme face à un bestiaire et des décors incroyablement malsains. Ironie amusante, le jeu exhibe quelques-uns des plus beaux panoramas et environnements de la série, grâce notamment à l’architecture fourmillant de détails et au travail sur les lumières et contrastes (avec toujours le petit « tu vois là-bas, t’y était tout à l’heure/t’y seras bientôt » que les développeurs adorent). Quelques instants de répit et d’émerveillement avant de replonger dans la noirceur.

Ceci m’amène à la dernière évolution et selon moi la plus marquante : Dark Souls introduisait le monde ouvert et une continuité logique entre les zones, Bloodborne peaufine cette logique à l’extrême. Tout d’abord en intégrant une unité de temps à l’aventure. Mais également en prônant une vraie cohérence entre les zones comme un pied de nez à la diversité à la limite de l’absurde de DSII : les enchainements sont fluides et l’idée de « sombrer dans un cauchemar » est palpables ; sans spoiler plus on progresse plus l’atmosphère devient surréaliste, génial. On regrettera tout de même, à l’instar de DSI la linéarité et la disparition des liaisons entre zones vers la fin du jeu.

Mais cette excellente amélioration n’arrive malheureusement pas sans sa grande régression. Si la catégorisation « action RPG » offrait un équilibre plus favorable au RPG dans les précédents, la tendance s’inverse avec ce Bloodborne, quitte à épurer le système à beaucoup de points de vue : moins de statistiques ; système de forge simplifié, bye les différents embranchements ; un set d’arme qui se contente d’un exemplaire de chaque type (katana, épée longue, etc.) ; et disparition quasi complète du système de loot d’équipement, seul reste des gemmes à attacher aux armes pour y incorporer divers effets. Un recentrage sur l’essentiel pas forcement néfaste, le système étant ainsi bien moins nébuleux que par le passé et d’un certain point de vue moins calamiteux (la forge des précédents sans guide, bonjour la prise de tête). Mais on ne peut que constater que ces choix limitent drastiquement la récompense de la créativité et la curiosité du joueur, ainsi que –je suppose, la rejouabilité du titre sur les traditionnel New game + de la série.

Pour résumer, Boodborne c’est comme avant, jusque dans la technique à l’ouest (inutile d’évoquer les temps de chargement, j’ai doublé ma consommation de clope électronique depuis que je m’y suis mis), voir même un peu moins bien qu’avant quand on pense à une partie de la richesse qu’il a sacrifié. Mais, et c’est ce que je préfère retenir, c’est également un titre qui avec son changement de rythme et d’atmosphère propose une expérience d’une intensité rare, même pour un habitué de la série. Quoi qu'il en soit si vous êtes néophyte, cet épisode est surement le moins abrupt pour se lancer, et si vous appréciez la série...ben vous êtes surement déjà dessus.


Tactics Ogre: Let Us Cling Together psp
Ushiwaka

le 06/05/2011
9
+ Le superbe travail de Tsubasa sur les portraits *-*
+ Iwata/Sakimoto ue nouvelle fois.
+ Gameplay, extrêmement fourni et libre.
+ Ergonomie au top.
+ Le chariot et le world.
+ Difficulté globalement bonne en annexe et durant les missions de sauvetage.
+ Scénario pas renversant mais prenant, riche et surtout offrant des embranchements biens divergeants.
+ Casting développé, charismatique et intéressant.
+ Les Warren reports.
+ Traduction anglaise ultime.
- Zoom de base moche et imposé pendant les événements scénaristiques.
- Difficulté trop basse lors de la plupart des missions principales du fait qu'elles ont souvent pour objectif de poutrer le leader, mais aussi à cause du non alignement du niveau des ennemis par rapport à notre équipe, genre après pas mal de quêtes annexes lors du dernier chapitre, la fin est une formalité.
Bref un très bon jeu, que je n'ai pas autant kiffé que d'autres productions estampillées Matsuno, simplement pour une question d'affinité avec le genre.
+ Le superbe travail de Tsubasa sur les portraits *-*
+ Iwata/Sakimoto ue nouvelle fois.
+ Gameplay, extrêmement fourni et libre.
+ Ergonomie au top.
+ Le chariot et le world.
+ Difficulté globalement bonne en annexe et durant les missions de sauvetage.
+ Scénario pas renversant mais prenant, riche et surtout offrant des embranchements biens divergeants.
+ Casting développé, charismatique et intéressant.
+ Les Warren reports.
+ Traduction anglaise ultime.

- Zoom de base moche et imposé pendant les événements scénaristiques.
- Difficulté trop basse lors de la plupart des missions principales du fait qu'elles ont souvent pour objectif de poutrer le leader, mais aussi à cause du non alignement du niveau des ennemis par rapport à notre équipe, genre après pas mal de quêtes annexes lors du dernier chapitre, la fin est une formalité.

Bref un très bon jeu, que je n'ai pas autant kiffé que d'autres productions estampillées Matsuno, simplement pour une question d'affinité avec le genre.
Kingdom Hearts: Birth by Sleep psp
Ushiwaka

le 19/02/2011
7
Très bon KH, le plus abouti de ceux que j'ai terminé (COM pas fini, 358/2 days pas touché)
Déjà ce qui saute aux yeux, la réalisation, impressionnante en combat (le cpu en accéléré) avec des effets graphiques de partout et une vitesse parfois même difficile à suivre, on sent que squix maitrise le support et ce n’est pas le premier jeu à nous le prouver (à noter que sans l'installation des données sur carte mémoire, les chargements sont à pleurer). Si la mise en scène n'est pas aussi explosive que celle du second, il possède d'après moi le meilleur gameplay de la série, grâce notamment à plusieurs styles de jeu différents, plus de customisation et des qte moins dirigistes, un tout extrêmement jouissif à jouer.
Côté mondes, à part le colisée qui, en plus de nous être refourgué encore une fois, est complètement naze, le reste s'en tire bien. Et, si ils sont toujours un peu trop petits à mon goût -d’autant plus quand on y revient à 3 fois- j'ai constaté avec plaisir un petit retour des phases de plate forme, un peu disparues après COM, dans le second épisode. Les mondes Disney sont d'ailleurs toujours aussi mal intégrés à la trame générale, globalement, je dirais que les 3/4 des événements du jeu sont inintéressants et n'apportent rien (qui a dit KH2). Ok c'est cool de caser le mot ami dans la moitié des cut scènes, encore faudrait il que le relationnel entre les persos -et les persos- ai de la consistance, bref, frustrant. Reste les événements de la nécropole des Keyblade, l'épilogue & la fin secrète, très intéressants pour la mythologie KH.
Pour le reste, Shimomura offre un très bon ost, des pistes reprises dont on connait la qualité et de nouvelles musiques également très réussies.
Crisis Core: Final Fantasy VII psp
Ushiwaka

le 06/12/2009
Edité le 06/12/2009
6
+ C’est beau, une claque sur psp
+ Les combats dynamiques et la part de « chance » dans ces derniers
+ Les materias
+ La fin
+ Musiques sympas (merci l’ost de FF7 qui aide pas mal pour les remix)

- Ajouts scénaristiques faciles
- Extrêmement linéaire
- Très court
- Zack, mon dieu mais quel personnalité de jeune débile t’on t-il créé? Désolé je n’imaginais pas du tout le personnage ainsi
- Genesis
- La relation Aeris/Zack et Zack/Cloud sous exploitée
- Les quêtes annexes répétitives

Si le jeu ne s’appelait pas FF7 il aurait mérité un bon 3,5 or en tant que complément à ce très grand jeu, il est loin de lui faire honneur.

Panzer Dragoon Saga sat
Ushiwaka

le 27/08/2013
Edité le 27/08/2013
8
Je crois que ce que je retiendrais avant tout de ce Panzer Dragoon, c'est sa bande son somptueuse. Cette OST couplée à l'aspect très vaste, désertique, et inhabité des lieux offre une atmosphère particulièrement onirique au tout. C'était déjà des qualités du premier et second épisode Zwei, elles le seront également pour le dernier Orta. Mais le changement d'orientation du gameplay de ce Saga offre au joueur une certaine illusion de liberté, la possibilité de se déplacer comme on le souhaite dans des étendus sans être dépendant de l'automatisme d'un rail shooter, un affranchissement qui sublime cette sensation de voyage à dos de dragon. Après il faut tout de même rester mesurer, le jeu reste très cloisonné, offrant un contenu annexe limité et un dirigisme jusque dans ses combats aléatoire, qui ne semble pas toujours être aléatoire justement. Quoi qu'il en soit le tableau serait quasi impeccable si il n'y avait pas indiqué sur la boîte (la jaquette scanné dans google image plutôt) 1998 et Sega Saturn, car bordel que la 3D a salement mal vieillit. Ça reste encore correct dans les décors vastes, limite impressionnant quand la morphologie du dragon est malléable, mais peu soutenable lors des phases à pied. Et si je trouve que ça dessert vraiment le titre, c'est que ça atténue sa force esthétique, la pixellisation rendant parfois les éléments vraiment trop abstraits.

Mais au delà de ce point imputable à son âge, le travail global sur la forme accomplit par la team Andromeda force le respect: des dialogues doublés en totalité, énormément de boss, attaques spéciales et cinématiques (intégralement au service de la narration soit dit en passant, et non un vaine recherche de la technique pour la technique). Autre aspect essentiel qui fait de ce PDS un rpg extrêmement atypique, son gameplay. Au delà de l'aspect purement visuel des affrontements en vol, chacun d'eux constitue une sorte de mini énigme à résoudre, aux "solutions" plutôt variées. De plus, nous épargnant les phases de leveling fastidieuses en optant pour une difficulté très faible, les combats conservent une certaine fraicheur tout au long de l'aventure.

Finalement je ne vois pas de point majeur à lui reprocher, Panzer Dragoon Saga est certes un titre simple et court, mais c'est en même temps ce qui lui permet d'offrir un renouvellement constant dans son gameplay ainsi qu'un enrobage extrêmement soigné du début à la fin. Et si il ne m'a pas émerveillé plus que ça, c'est surtout qu'il ne m'a pas pleinement convaincu côté scénario: une absence d’opposition manichéenne appréciable, une idée narrative à la toute fin de l'aventure excellente mais des premières heures assez plates et un casting, si on exclu Azel, plutôt transparent
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