Commentaires RPG - Legendra RPG

Bark

le 09/03/2010

Tout prends vie avec les personnages, s'éparpille dans tout les sens du temps et se rassemble au travers des cinématiques de ff VIII. Un de ces rpg qui font un monde.

Final Fantasy X play2

Bark

le 09/03/2010

Une histoire ou la religion et le péché côtoient des personnages qui donnent foi en l'amour. Assez fabuleusement mis en image dans un univers ou les morts et nombre de choses prennent des dimensions enchanteresses pour expliquer et servir un beau sens du monde. Une bande son remarquable et un gameplay vivant. Un système d'évolution par sphérier qui pourrait convertir certains amateurs de rpg occidentaux en échange d'un peu plus de linéarité...

Tales of Symphonia

Bark

le 09/03/2010

Un long et grisant périple longé de thèmes abordé avec sérieux et maturité. Une aventure se développant avec autant de gravité que de légéreté en fonction des moments. Parmi les meilleurs si ce n'est le meilleur gameplay que j'ai pu expérimenter en rpg.

Darksiders

Bark

le 19/10/2010
Edité le 20/10/2010

Un vrai monument ce jeu.

On à beau le voir associé partout au terme de patchwork-gameplay, c'est avant tout la prestation artistique qui en impose et donne une forte identité au titre grâce à:

-Un chara-design travaillé.
-Des doublages mémorables (avec des voix aux crédits notamment de MGS et TOV).
-Un texte prenant, le choix du langage colle parfaitement aux persos millénaires, à l'univers biblique, donne de vraies personnalités aux créatures sans avoir à faire leur CV, et les répliques ainsi que le nombre de persos sont à 100 000 lieues de GOW ou DMC .
-Une mise en scène cinématographique typé SOTC, GOW, DMC et autres.
-Un scénario comportant ses mystères et surprises et offrant quelques pistes de réflexion sur l'équilibre et les libertés.
- Un background indubitablement inspiré de la bible, mais suffisamment remagné et partiellement utilisé pour que le mythe se crée une part de réalité tout en ne perdant pas sa magie.
-Une musqiue qui n'est malheureusement mise en avant que vers la fin. Le reste du temps on entends que des début de pistes bien prenants.

Côté gameplay on prend le monde ouvert, les donjons, les chekpoints des Zelda 3D en plus simple (il faut quand même attendre le dernier donjon pour trouver une énigme un peu plus coriace malgré tout les principes de portails, ralentissement du temps, grappins, boomerangs, mondes parralléles du jeu).
Monde, donc, dans lequel on se déplace en cheval bien sur, mais aussi par téléporteurs.
Téléporteurs ou nous attends Vulgrim, un marchands d'âmes nous offrants des coups devilmaycrayesques pour trucider ce qui se mettra sur notre chemin.
On trouve aussi des slots d'armes pour capacités pouvant affecter la mana (wrath) utilisé pour les compétences, mais aussi le chaos (utilisé pour la forme démoniaque), les âmes récoltés, l'XP des armes, le leech de vie et autres joyeusetés.
Les compétences (au nombre de 4 et similaires à quelques unes de Fable) quand à elles sont directement offensives ou défensives.
War peut aussi, entre autres, ralentir le temps pour des énigmes, achever à la god of war, utiliser un grappin ou des portails, lancer des voitures, flotter grâce à ses ailes...
Certains des bosses sont épiques grace au système de focus à la Zelda, à Ruine (le cheval), aux armes et QTE.
Des phases de shoot à la Panzer Dragon et Lost planet viennent aussi rythmer le tout.
Des coffres contenants des pièces d'armure sont aussi à récupérer tout au long du jeu
J'en passe mais on ne s'ennuie pas et le pire c'est qu'on à l'impression que le tout est sous exploité.

En ce qui concerne le portage, je n'ai pas rencontré de ralentissements ou d'horreurs graphiques sans tout à fait atteindre le minimum recommandé.
Le key-mapping des compétences, de prime abord foireux (il s'agit de maintenir maj enfoncé et d'appuyer sur 1,2,3,4; on perd donc des possibilités de mouvement) se révèle plus pertinent lorsque combiné à la souris (2em fonction pour chaque bouton donc).
Souris qui gère bien mieux la caméra que le joystick manette.
Manette toujours préférable à mon gout.

Vivement le 2.

NieR

Bark

le 10/06/2010
Edité le 10/06/2010

Nier c'est vraiment beaucoup de choses,

-Des références simplement hallucinantes dans leur densité,
-Un gameplay agréable qui dépasse de loin le simple A-RPG et transcende tout les genres, et nombre d'expériences.
-Un scénario du feu de dieu
-Un background frais, original, immersif.
-Un vrai rythme qui ne retombe pas, même dans les quêtes annexes.
-Une OST qui porte le jeu et transporte
-Une durée de vie justifiable
-Une vision de la vie mature
-Des graphismes que j'ai personnellement trouvé beaux dans leur genre, appuyant bien l'univers, côté défaut je n'ai pas noté de pixelisation ou autre bug de collision, j'ai vu de l'aliasing une fois.

-Une alchimie du tout qui prend et propulse par son vent épique le jeu au rang de mythique.

Et oui, parce que ca fait beaucoup de bonnes choses.

Tales of Vesperia xb360

Bark

le 29/08/2009
Edité le 29/08/2009

Ce jeu à une âme, il y a une sorte de cohésion entre tout son univers que j'avais trouvée dans Symphonia, avec le système de saynétes, le travail sur les persos, les graphismes et le background, la musique même tout donne une impression réelle de vie.

J'approuve le commentaire d'Elincia pour le gameplay, c'est vraiment de la weed, on peu aussi faire un genre de parrallele avec ff12 et ses gambits pour l'utilisation auto des objets et la possibilité de choisir les sorts ou attaques utilisées même si c'est beaucoup plus dynamique et beaucoup moins vaste. Je pense que ce genre d'IA c'est le plus agréable dans un rpg.

Après la bande son j'ai rien trouvé de transcendant même si c'est bon, je remarque surtout la musique d'intro et ses paroles.

Pour les graphisme je trouve le mix 3d/cell shading/animation de toute beauté. Qui plus est ça permet de garder les expressions des personnages, sans dépenser autant dans les moyens employé et dans le temps de prod que certains autres jeux.

Le scénario, et les persos, ainsi que le point de vue duquel le jeu est traité différent beaucoup de Symphonia (je ne peux pas m'empêcher de les comparer, non parce que l'un est mieux que l'autre mais parce que ce sont des différences qui m'ont semblé flagrantes).
Dans ToV on a l'impression de vivre non pas un conte mais une vrai vie. C'est probablement ce que plusieurs personnes lui on trouvé de mature mais je crois que c'est surtout une manière de se placer pour faire une histoire, il n'y a pas cet aspect tragique assumé qu'on peut trouver dans tales of Symphonia, et même si de grands codes du rpg pointent, un personnage se charge de les ridiculiser.

On note aussi que les thèmes abordés dont la justice (à quel point peut on être juste en étant juste?) sont vraiment divers et s'appliquent au jour le jour.
Il y a non un manque mais une absence d'appuis sur le passé des personnages, même si parfois ils en font mention, les décisions et les réflexions sont faites dans le présent avec ce que l'on pourrait nommer des réflexions d'adultes. Même si au début on peux penser à un genre de quête initiatique sans but précis. L'aventure est résolument tournée vers l'avenir. Et le rythme la soutient.
Dans le background (pour moi tout ces petits rien qui forment l'univers) l'aer est vraiment intéressant même si ce n'est pas la première fois que l'on vois quelque chose de comparable.

Je met 4,5 parce qu'il m'as semblé relever des incohérences ou des manques ( à vérifier).

Du reste c'est un must have ou une raison pour investir dans une 360 (ou une ps3... )
Ce jeu à une âme, il y a une sorte de cohésion entre tout son univers que j'avais trouvée dans Symphonia, avec le système de saynétes, le travail sur les persos, les graphismes et le background, la musique même tout donne une impression réelle de vie.

J'approuve le commentaire d'Elincia pour le gameplay, c'est vraiment de la weed, on peu aussi faire un genre de parrallele avec ff12 et ses gambits pour l'utilisation auto des objets et la possibilité de choisir les sorts ou attaques utilisées même si c'est beaucoup plus dynamique et beaucoup moins vaste. Je pense que ce genre d'IA c'est le plus agréable dans un rpg.

Après la bande son j'ai rien trouvé de transcendant même si c'est bon, je remarque surtout la musique d'intro et ses paroles.

Pour les graphisme je trouve le mix 3d/cell shading/animation de toute beauté. Qui plus est ça permet de garder les expressions des personnages, sans dépenser autant dans les moyens employé et dans le temps de prod que certains autres jeux.

Le scénario, et les persos, ainsi que le point de vue duquel le jeu est traité différent beaucoup de Symphonia (je ne peux pas m'empêcher de les comparer, non parce que l'un est mieux que l'autre mais parce que ce sont des différences qui m'ont semblé flagrantes).
Dans ToV on a l'impression de vivre non pas un conte mais une vrai vie. C'est probablement ce que plusieurs personnes lui on trouvé de mature mais je crois que c'est surtout une manière de se placer pour faire une histoire, il n'y a pas cet aspect tragique assumé qu'on peut trouver dans tales of Symphonia, et même si de grands codes du rpg pointent, un personnage se charge de les ridiculiser.

[spoiler]Je pense au laïus de alexei[/spoiler]

On note aussi que les thèmes abordés dont la justice (à quel point peut on être juste en étant juste?) sont vraiment divers et s'appliquent au jour le jour.
Il y a non un manque mais une absence d'appuis sur le passé des personnages, même si parfois ils en font mention, les décisions et les réflexions sont faites dans le présent avec ce que l'on pourrait nommer des réflexions d'adultes. Même si au début on peux penser à un genre de quête initiatique sans but précis. L'aventure est résolument tournée vers l'avenir. Et le rythme la soutient.
Dans le background (pour moi tout ces petits rien qui forment l'univers) l'aer est vraiment intéressant même si ce n'est pas la première fois que l'on vois quelque chose de comparable.

Je met 4,5 parce qu'il m'as semblé relever des incohérences ou des manques ( à vérifier).

Du reste c'est un must have ou une raison pour investir dans une 360 (ou une ps3... )

Baten Kaitos: Les Ailes éternelles et l'Océan perdu

Bark

le 21/03/2010

Un rpg qui fait passer de bon moments excepté les longueurs du cd 1.
En outre il a pour lui une bonne OST, des retournement de situations dans le cd2 plus que motivants, et surtout le rôle que l'on nous donne à jouer dans ce jeu en tant qu'être à part entière. Ce qui donne une évolution dans l'histoire particulière.
Les choix en matière de couleurs et certaines animations des combats me rebutaient un peu mais au final on ne peux qu'admettre que le jeu et vraiment travaillé de ce côté la.
Les personnages sont suffisamment travaillé même si comme pour une grande partie de Baten Kaitos leur potentiel n'est révélé que tard.
Il vaux le coup.

Crisis Core: Final Fantasy VII psp

Bark

le 18/06/2010
Edité le 18/06/2010

Ce FF laisse un gout étrange en terme de qualité. Un peu comme si on avais amputé un Chrono Trigger d'un petit orteil en fait.
Toutes consoles confondues jusqu'à ce jour aucun autre jeu ne m'as autant impressionné graphiquement.
L'OST détonne et saisi, emporte et ramène, dans l'ensemble elle s'avère très bonne.
Le gameplay dynamique et permissif joue sa part d'entertainement avec les fusions de Matéria.
Petit bémol pour les quêtes annexes qui auraient put être mieux organisées et moins nombreuses pour atteindre les 100%.
Mais le vrai ennui n'est pas la. On à l'impression que certains personnages souffrent du carcan de la préquelle. Certains jusqu'à ce prendre pour des livres audios...
Le scénario en général, même si d'autre part il exploite bien d'autres mécanismes liés à la préquelle (l'histoire de Zack et Aerith, la descente aux enfer de Sépiroth) manque de dimension et d'étendues comme Avalanche a su les apporter dans FFVII.
Cependant, l'aspect un peu "perdu" que donne l'enchainement des événements à Zack contribue à l'attachement qu'on lui porte et par la même à celui qu'il porte à Cissnei.
Je serais curieux de revoir la même équipe sur un FF à part entière.
En attendant, il donne bien envie de se remettre au VII.

Deus Ex: Human Revolution play3

Bark

le 02/08/2012
Edité le 02/08/2012

Deus Ex: HR est le dernier né d'une saga assez reconnue et pour ma part ma première expérience de cette dernière (si l'on excepte une tentative avortée sur le 1). Mais en y jouant je n’ai pas pu m’empêcher de penser qu'il aurait aussi bien pu être le fils désavoué d'un Kojima ou d'un Bioware. Et finalement c'est peut être parce qu'il ne s'affirme pas comme tel qu'il ne parvient pas à l'excellence. Explications:

Plutôt plus:

+L'ambiance
+Les dialogues et le système de persuasion.
+La plupart des protagonistes.
+Les thèmes du transhumanisme de la confiance et du libre-arbitre assez largement abordé et discutés.
+Le sound design.
+ Le level design.
+Les quêtes annexes bien intégrées.
+Certaines cinématiques.
+Certaines armes assez sympas lorsqu'upgradés.
+Le background.

Plutôt moins:

-Les Boss trop facilement bourinnables et pas très impliqués.
-Une bonne partie de la narration ou même de la progression passant par des ebooks ou des mails dans les ordinateurs piratés, ça s'avère assez usant à la longue.
-La réutilisation répétée du level design.
-Le hacking ne se diversifie pas assez au fur et à mesure.
-Petitesse de l'inventaire par rapport au nombre d'armes dispos.
-Niveau scénar & réflexions MGS4 est déjà passé par là.
-Le système de skills à débloquer est intéressant mais tant qu'à faire on l'aurait apprécié un peu plus axé sur l'offensif non létal (manque de cac imo).
-Quelques coups de mou dans le scénario ou de "Deus Ex Machina".
-Des pavés, des pavés partout (beaucoup de modélisations sont basées sur des rectangles, s'en est parfois perturbant...).

Bref, au final Deus Ex: HR s'avère un bon jeu mais un jeu imparfait auquel il aurait juste manqué la souplesse ou le coup de lèche d'autres productions pour figurer au panthéon.

Dragon's Dogma play3

Bark

le 20/07/2012
Edité le 20/07/2012

Fin du premier playthrough, prés de 100h après avoir inséré la galette, le verdict:

Graphismes, Scénario:

+ Les Jeux d'ombres et de lumière: une harpie surgissant hors de la nuit pour vous emmener en l'air, les fantômes s’évanouissant au petit matin,...
+ L'univers, juste ultra beau et immersif: "Tiens une ombre, c'est un oiseau? Ah, non, c'est un griffon. Fight!"
+ L'animation: proche des cinématiques/cutscenes de RE5.
+ A l'exception de nos Pions, tout les PNJs de premier et second plans sont travaillés, ont l'air d'avoir une âme, un but. Rafraichissant pour un Open W-RPG- like. Pas mal de quêtes sont en relation avec eux.
+ Les Boss : Chimères, Liches, Dragons, Griffons, Cokatrices, Géants, Golems... Univers D&D, grimpette à la SoTC et plus encore.

- Système de save.
- Pas vu le Kraken.
- Traduction parfois injuste.
- Déplacements parfois un peu lents (1 ou 2 portails de plus auraient peut-être eu leur place au premier playthrough), bien que dans les fait ils est quasiment toujours possible de se téléporter à la capitale.

Gameplay:

+ Les Skills : pléthores et déléctables, elles sont combinables entre les classes.
+ Versatilité: pouvoir jouer la moitié des classes sans foirer son perso, pouvoir expérimenter l'autre moitié via son pawn.
+ Synergie des quêtes: on ira pas looter pour looter, les quêtes sont groupables.
+ Possibilité de pouvoir recombattre tout les Boss au même endroit à haut niveau, parfois plusieurs à la fois même.
+ Dressage/Choix des Skills/Évolution des Pawn(kemon)s.

- Chutes de framerate à haut niveau pour certaines classes.

Durée de vie:

Ne vous fiez pas au durées de vies annoncées autour de 40h. On passe à côté d'énormément de contenu si l'on ne termine pas un max de quêtes, gameplay comme storyline. Ce jeu m'à réconcilié avec l'Open World.

Bande son:

J-pop matinée de médieval, épique.

Apparemment une suite est en projet... The best is yet to come.

Eternal Sonata play3

Bark

le 04/03/2011
Edité le 04/03/2011

Trusty Bell, aussi connu sous le nom d'Eternal Sonata porte bien ses deux titres. Éternel et sûr comme l'éternel retour de Nietzche et enchanteur comme le son d'un beffroi ou d'une sonate.
Mais pour le meilleur comme pour le pire il ne se résume pas à cela. ES est avant tout une histoire de forme.

Commençons par la structure du récit: le rêve d'un malade devient notre réalité. Ce petit monde a ses problèmes, ses tracas et nous en suivons le flux. Au cœur d'un univers poétique chaque protagoniste suis l'intrigue politique en essayant de résoudre ses propres problèmes, Chopin plus que les autres.
Ainsi le récit et superposé à une thèse philosophique, quoi de plus impliquant pour le joueur me direz-vous?
Le problème c'est la synchro, tantôt la thèse est passée à la moulinette façon fromage rapé, tantôt le récit est étalé comme de la confiture que l'on servirais à un enfant. On se retrouve avec Chopin qui rèpète 20 fois la même conclusion sous des angles différents pour être sur que l'on comprenne et à se balader en compagnie de Beat et Salsa qui nous font des... blagues, si ont veux leur donner un nom. Malgrès un manque de punch dans certaines mise en scènes (là ou d'autres sont très réussies cependant) l'ensemble reste suffisamment cohérent.

Comme on peut s'y attendre la musique joue un rôle important dans ES, cependant pour peu que l'on ais fait quelques Tales of, une bonne partie de l'OST sentira le réchauffé. Ce qui n'empêche pas Sakuraba d'avoir créé pour le jeu quelques véritables masterpieces.

Côté Gameplay on récupère un peu des titres pré-cités en séquençant au tour par tour, on enchaine les combos et on utilise intelligement l'ombre et le lumière pour modifier ses skills. Sympa mais ça manque de profondeur (ça aurait pu être sympathique de pouvoir influer sur la la lumière plus dynamiquement) et ça peu lasser. Heureusement en contrepartie le jeu n'est pas trop exigeant et ne requiert qu'un peu de leveling et d'utilisation d'items.

Et finalement les graphismes, c'est léché, détaillé, beau. L'animation des personnages et du paysage est omniprésente. Pour un premier pas next-gen, c'est grand. Il ne manque qu'un peu du punch des scènes d'actions de blockbusters.

40h parfois un peu frustrantes à cause du gameplay ou fastidieuses à cause du level-design de certains donjons dont l'annexe qui est vraiment dispensable. Mais une bonne fin et un ressentit final qui vaut vraiment le coup.

Trusty Bell, aussi connu sous le nom d'Eternal Sonata porte bien ses deux titres. Éternel et sûr comme l'éternel retour de Nietzche et enchanteur comme le son d'un beffroi ou d'une sonate.
Mais pour le meilleur comme pour le pire il ne se résume pas à cela. ES est avant tout une histoire de forme.

Commençons par la structure du récit: le rêve d'un malade devient notre réalité. Ce petit monde a ses problèmes, ses tracas et nous en suivons le flux. Au cœur d'un univers poétique chaque protagoniste suis l'intrigue politique en essayant de résoudre ses propres problèmes, Chopin plus que les autres.
Ainsi le récit et superposé à une thèse philosophique, quoi de plus impliquant pour le joueur me direz-vous?
Le problème c'est la synchro, tantôt la thèse est passée à la moulinette façon fromage rapé, tantôt le récit est étalé comme de la confiture que l'on servirais à un enfant. On se retrouve avec Chopin qui rèpète 20 fois la même conclusion sous des angles différents pour être sur que l'on comprenne et à se balader en compagnie de Beat et Salsa qui nous font des... blagues, si ont veux leur donner un nom. Malgrès un manque de punch dans certaines mise en scènes (là ou d'autres sont très réussies cependant) l'ensemble reste suffisamment cohérent.

Comme on peut s'y attendre la musique joue un rôle important dans ES, cependant pour peu que l'on ais fait quelques Tales of, une bonne partie de l'OST sentira le réchauffé. Ce qui n'empêche pas Sakuraba d'avoir créé pour le jeu quelques véritables masterpieces.

Côté Gameplay on récupère un peu des titres pré-cités en séquençant au tour par tour, on enchaine les combos et on utilise intelligement l'ombre et le lumière pour modifier ses skills. Sympa mais ça manque de profondeur (ça aurait pu être sympathique de pouvoir influer sur la la lumière plus dynamiquement) et ça peu lasser. Heureusement en contrepartie le jeu n'est pas trop exigeant et ne requiert qu'un peu de leveling et d'utilisation d'items.

Et finalement les graphismes, c'est léché, détaillé, beau. L'animation des personnages et du paysage est omniprésente. Pour un premier pas next-gen, c'est grand. Il ne manque qu'un peu du punch des scènes d'actions de blockbusters.

40h parfois un peu frustrantes à cause du gameplay ou fastidieuses à cause du level-design de certains donjons dont l'annexe qui est vraiment dispensable. Mais une bonne fin et un ressentit final qui vaut vraiment le coup.

Final Fantasy XIII xb360

Bark

le 15/04/2010
Edité le 15/04/2010

Un bon FF de plus.

Les graphismes... on n'en parle plus.

Le gameplay en revanche me donne l'effet d'un tiraillement entre ancien et alignement avec d'autres prods plus dynamiques. Le tout perd un peu en finesse par rapport au X (l'ia gére pour nous) mais gagne quelques aspects plus "actifs" on en viens alors parfois à regretter de ne pouvoir gérer les déplacements. Ayant vu plusieurs fois le game over succéder les mots "éviter certains ennemis" peut-être Square Enix montre t'il une optique de simplification vis à vis du casual gaming. Ou alors ça viens simplement de moi...

Le système de craft est vraiment...

et pas dans le bon sens du "hasard".

Le cristarium reste classique et efficace.

En ce qui concerne le background et le scénario, ils m'ont laissé de bons souvenirs. Mais la première minute du jeu est assez représentative, on est sur des rails mais pas dans un tunnel. On à l'impression que le monde tourne mais sans nous. Des sujets intéressants même si connus, et une absence de manichéisme chez les humains servent les relations entre personnages. Leurs sentiments/raisonnements/réactions sont très bien retranscrites. Ce qui laisse un peu moins de place à l'aspect contemplatif du tragique ou du magique que dans d'autres épisodes. Malgré tout le jeu à pour lui un bon ending, quelques personnages saisissants et certains endroits très bien réalisés en général même s'ils manquent de personnages à rencontrer pour leur donner vie.

La majorité du contenu pour aficionados ne fais pas vraiment partie du jeu puisque c'est en sidequest qu'on le retrouve et que l'accès n'y est facilité qu'après la fin en terme de développement des persos.

L'OST m'as d'abord semblé un remix du X, assez bon même si déjà vu... Sans cette horreur de Leona Lewis. C'est comme mettre de la sauce barbec' sur des sushis, je n'y ais point gouté.

Un bon FF de plus.

Fire Emblem gba

Bark

le 13/02/2011
Edité le 13/02/2011

Après PoR et DoR j’appréhendais un peu le retour en arrière technique et historique. Mais non, la plupart des mécanismes sont déjà bien en place, on ne s'ennuie pas face à la difficulté.. La musique est aussi efficace que possible sur le support (avec un thème principal qui fait date). Le chara-design et le caractère des protagonistes sont au top. Seules les premières heures de jeu sont un peu molles. Même en faisant abstraction de l'initiation au jeu, l'histoire de Lyn est assez pauvre comparée à la suite. Suite où l'on retrouve le mélange de complots, vengeances et relations tragiques-épiques qui font la marque de la série.

A quand un nouvel opus sur console de salon?

Star Ocean: Till the End of Time Director's Cut play2

Bark

le 02/08/2009

La progression scénaristique est très bien agencée, même si le début se traine un peu, mais je crois que c'est pour rendre leur réalité aux choses, celle la même que l'on peut perdre lorsque l'on observe l'immensité de l'univers via le hublot d'un vaisseau. La portée de l'intrigue et les rebondissement de fin sont intéressant.
Le gameplay, est appréciable pour peu qu'on essaye pas de low leveler... Moins nerveux qu'un ToS mais aussi différent dans l'aproche. C'est souvent la profusion à l'écran à HL mais on ne s'en plein pas. En revanche heuresement que les ia ne sont que deux, on à parfos envie de leur mettre des claques. Seulement quand on arrive à se synchroniser avec elles et à comprendre leurs enchainements on aprécie le teamplay.
Côté graphisme et animation, les cinématique sont louables, mais l'animation des persos lors de dialogues est excessive dans les mouvement et inssufisante pour les visages.
Les personnages auraient pus faire preuve de plus de charisme et moins de niaiserie.
Sinon un bon jeu, pas un hit mais un bon jeu.

Tales of the Abyss play2

Bark

le 23/07/2010
Edité le 23/07/2010

Tales of the Abyss, ou comment trancher avec la série.

+++Les personnages (Tear, "Colonel" Jade Curtis, Anise, Guy, Van, Arietta et Ion en particulier).
++Le Gameplay qui va crescendo.
+L'argumentation en général des thèmes, en particulier à propos de la fatalité.
+Le scénario tant qu'on ne touche pas aux fonons et aux répétitions.
+Les graphismes en général.

--Les redondances et autres répétitions ou lapalissades dans les dialogues.
--La map buggé à mort.
-Le background pas aussi entrainant et poétique que les autres tales.
-Le déroulement des événements, la quête en général qui ne s'avère pas très entrainante mais plutôt répétitive et alourdie par pléthore de considérations techniques.

En somme on regrettera surtout que ce Tales of aie troqué la poésie rythmé de Symphonia contre des lourdeurs scénaristiques.
Heureusement ses bons côtés compensent largement et en font un bon jeu.

The Last Story wii

Bark

le 20/07/2012

Sakaguchi signe là un peu plus qu'une lettre d'adieu classique et bourrée de références aux jeu vidéo. Il propose de nouvelles portes à explorer à l'avenir pour le J-RPG en ouvrant par exemple le schéma narratif à une histoire plus courte et plus "live". Il parvient à combiner la densité de son histoire avec l'ouverture oxygénante et légère jusque là plutôt caractéristique des productions occidentales. Ces mêmes mécaniques légéres se retrouvent dans le gameplay, la technique et la musique. Donnant un tout plus proche d'un ode au nouveau départ qu'à la fin d'une suite d'histoires.

Borderlands

Bark

le 08/06/2010

De bons moment à 2 ou le gameplay prend toute son ampleur.
En solo je me suis racroché à l'arbre des compétences, à l'univers barré, et au loot. Malgrès cela l'ennui à parfois pointé le bout de son nez lorsque le scénario se faisait longuet et que je ne pouvais que me résoudre aux quètes annexes dignes de mmo pour leveler.
Des graphismes saisissant même en low, qui ne compensent cependant pas l'abscence d'une bonne bande son (exception faite de la musique d'intro).

Borderlands 2

Bark

le 01/11/2012
Edité le 01/11/2012

Le premier Borderlands m'a été ce que le Hack'n'Slash parait en général au RPG, l'originalité en plus. Comme une amante dont on s'entiche un peu honteusement mais qui sait quand même se faire apprécier, s'il péchait par son histoire, il se rattrapait tout de même par son gameplay. Ce deuxième opus, c'est un peu la deuxième partie de la relation, l'histoire commence à s'envoler et le gameplay commence à lasser. But the show must go on.

Et parfois on en fait trop : L'idée du Bazillions of Guns! apporte certes pas mal de diversité de gameplay et de replay value mais dans les faits on aimerais avoir un peu plus les Guns qui nous conviennent et un peu moins ces looted-solded ou ces armes qui nous prennent 10 kills pour percer le mystère de leur fonctionnement, parfois loufoque (première fois que j'ai perdu l'envie d'ouvrir des coffres dans un RPG). Par ailleurs, des problèmes de level-scaling lorsqu'on accompli les quêtes annexes vous laisse toujours 4 ou 5 niveaux au dessus du requis quêtes storyline.

Mais on essaie aussi de nouvelles choses : Nouveaux persos, nouvelles compétences et plus de flexibilité dans les spés ; meilleur rythme pour l'histoire, meilleure répartition des quêtes (grâce au téléporteurs notamment) ; environement & bestiaire plus variés ; fonctions des diverses armes un peu changées (1/2 des fusils d'assauts remplacé par des Gatlings dégueulasses, sérieux?) ; système de bonus encourageant le replay.

Ainsi donc, Borderlands 2 -comme beaucoup de suites récentes- annonce la fin des jours d'Halcyon pour cette idylle licence et je commence à me dire: "A quoi bon?". Il sera peut-être bientôt temps d'aller voir si l'herbe n'est pas plus verte ailleurs. En fait, la seule raison qui pourrait me pousser à remettre la main dessus une troisième fois, ce serait la perspective d'un VS-multi bien aguichant.

Tales of Xillia play3

Bark

le 09/11/2013
Edité le 09/11/2013

Tales of Sandbox? Tales of Américain? Ce qui est sur c'est que Xillia laisse plus un goût de fast-food que de filet-mignon :

Au registre du hamburger fait maison :

++ Combats toujours plus funs avec les liaisons entre persos et Milla (enfin un vrai bon mage noir au càc).
+ Personnages relativement fouillés.
+ Annexes
+ Déplacements rapides
+ Chargements inexistants
+ Muzèt, the calm but crazy bitch.

Petit morceau d'on-sait-pas-trop-ce-que-c'est :

+/- L'IA limitant le micro-management (pour nous supplanter à terme?)

Côté graisse de cuisson :

--- Environnements pauvres, plats et plus vides que certains MMO. Sans le côté grandiose façon Xenoblade. ou recherché façons TLS.
--- Maps d'explo Copiées/Collées.
--- Difficulté inexistante.
--- Densité inégale de la narration, de la mise en scène et des scènes d'animation (quasi rien sur les 25 premières heures).
-- Système de progression avec une fausse liberté.
-- Narration parfois bêtement dirigiste.
-- Parfois moche.
- Roster ou ennemis déséquilibrés.
- Radotages intempestifs des persos (ouin-ouin, prends moi dans l'équipe!)
- Objets/Equipements/Nourriture trop accessibles et OP.
- Parfois carrément moche.
- Les seules prises de risque musicales sont balayées par les environnements.

Bref, Tales of de la crise, il reste un assez bon RPG (pour un Tales moyen).

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