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298 commentaires
Stranger of Paradise: Final Fantasy Origin ps5
Bao

le 28/09/2024
5_5
J'ai débuté le jeu sur un coup de tête, et ça a été une expérience assez brouillonne du début à la fin.La partie narrative est certainement ce qui plombe le plus le jeu. Le titre part du postulat de départ que le joueur a fait et terminé Final Fantasy premier du nom (FFO en est une sorte de spin off) et va multiplier les références et les twists par rapport à ça, malheureusement l'histoire est très décousue, même en faisant l'effort de mettre bout à bout les morceaux d'infos trouvés ici et là on a l'impression de suivre une série à qui il manque un épisode sur deux. Jack le grognon et sa petite bande de suiveurs aux personnalités bien lisses sont les victimes malheureuses de ce bordel narratif, c'est difficile de s'attacher à eux et à la fin on ne retient que les quelques passages wtf et les memes. Gros gâchis.

Le focus du développeur s'est surtout porté sur le gameplay. Stranger of Paradise n'est pas un A-RPG Final Fantasy fait par Team Ninja, mais un A-RPG Team Ninja avec un skin Final Fantasy. Une nuance importante qui se ressent dès la mission tuto, le jeu est plutôt rude à approcher entre les nombreuses mécaniques à assimiler et le fait qu'on sert de serpillère aux ennemis dès qu'on fait un faux pas. Le système de combat est à la fois assez technique et bourrin, Jack peut manier toutes les armes et tous les styles de combats (inspirées de FF bien sûr) et changer à tout moment et créer des combinaisons surpuissantes, le jeu encourage d'ailleurs à faire ça, et l'ensemble est assez bien foutu... à condition de serrer les dents les premières heures, et d'accepter le fait qu'on va passer notre temps dans des couloirs pendant toute l'aventure. Chose qui ne m'a pas trop dérangé d'autant plus que ça, chaque niveau est un hommage à un épisode de la série niveau visuel/musique donc les environnements se renouvellent bien même si le mix techno-fantasy est d'assez mauvais goût, par contre le manque de renouvellement des ennemis est flagrant surtout pour un bestiaire aussi large que celui de FF. Toujours les mêmes Bombo/squelettes/chauve-souris reskinnés d'un niveau à l'autre, brrr, passé la moitié de l'aventure ma seule motivation c'était les hommages à la série et les combats de boss (et le nawak de l'histoire, dans une certaine mesure).

Ce qui est bien moins foutu c'est le système d'équipement, une sorte de croisement horrible gacha game x MMO, le jeu va chier 3 tonnes d'armes/armures/accessoires à chaque mission avec des stats et des bonus dans tous les sens et des services à côté pour manipuler tout ça. C'est repoussant à souhaits, il n'y aucune satisfaction à trouver/équiper du stuff, d'autant plus qu'en mode de difficulté normal on a du mal à percevoir les bénéfices d'un équipement optimisé. On appuie sur équiper automatiquement et on passe à autre chose, ca pourrait ne pas être là que mon expérience serait similaire vu que ya peu d'intérêt à interagir avec (©Luckra 2024). Et il y a encore moins de plaisir à trouver du stuff que, à l'image du bestiaire, il y a finalement assez peu de sets d'armes et d'armures... ce qui est dommage car le jeu à un système de transmog. Ce système a surtout l'air d'avoir une finalité quand on s'attaque aux modes de difficultés supérieurs (si j'en crois mes visités sur le reddit du jeu), mais penser un système juste pour le post-game... c'est très radical comme choix ?

Bref sans non plus être une mauvaise expérience, ça a surtout été une expérience sans grande saveur, ce qui est dommage pour un jeu anniversaire.
Stranger of Sword City psv
Bao

le 30/05/2016
5_5
J'ai fini l'histoire principale, le premier donjon bonus (le Black Palace), et quand ma rencontre avec un des superboss bonus a été synonyme de lol, grind more, j'ai répondu fuck you.

Le jeu à une plastique magnifique, l'OST s'en sort pas trop mal non plus, en revanche on peut pas en dire de même de l'histoire qui est juste...euh, bof. Au moins l'ambiance est plutôt pas mal. L'idée d'avoir liée l'obtention des skills spéciaux à l'avancée scénaristique est assez stupide : il faut périodiquement faire un choix entre une des trois divinités (un choix = un skill), ce qui aura une influence sur la fin, évidemment il y a un sacré contraste niveau puissance des skills et on se retrouve coincé entre une préférence scénaristique et un choix niveau gameplay. Un conseil : votez Light Veil. Niveau gameplay d'ailleurs j'ai été en terrain plus ou moins conquis vu que j'avais fait Demon Gaze et Operation Abyss avant, faut juste tenir les premières heures à cause des trop faibles moyens dont on dispose. Passé la moitié du jeu j'ai appliqué stricto-sensu la même stratégie dans tous les combats et ça passait comme une lettre à la poste car j'avais fait les 'bons' choix niveaux skills et peut être aussi car le jeu est bien bizarrement équilibré, avec notamment le trophée de la classe la plus pétée revenant au Ninja.

Le jeu repose sur une philosophie risques<>récompenses, dans le fond la formule est bien trouvée, dans la forme l'application est assez contrastée. Par exemple va pour la notion de mort permanente des personnages (ça va avec la philosophie de jeu après tout, on a rien sans rien) mais dans ce cas pourquoi le leveling des persos en réserve est si lent ? Tu crois que ça me fait plaisir, le jeu, de laisser de côté mon perso construit avec amour pour une roue de secours à moitié dégonflée ? Allez hop reset. D'ailleurs pourquoi le changement de classe est si peu encouragé, alors que c'est un système vraiment riche ? C'est plus frustrant qu'autre chose surtout quand on voit le potentiel de certaines mécaniques, qui s'enlisent dans un farm abrutissant, j'ai eu l'impression de faire que ça. En plus SoSC à le "malheur" d'être sorti après Demon Gaze, il veut se la jouer vieille école mais passe plus pour un vieux con figé dans le passé quand on le compare à son comparse qui fait les choses bien mieux, avec tout autant de défi et bien moins de grind (et je dis ça en ayant apprécié sans plus Demon Gaze). J'étais vraiment chaud patate au tout début et mon intérêt s'est vraiment fait grignoter petits bouts par petits bouts tout le long de l'aventure. Je peux pas non plus dire que ce soit un mauvais jeu, le terme me venant plus à l'esprit est gâchis.
Super Neptunia RPG play4
Bao

le 08/03/2020
5_5
Neptunia RPG c'est le cas typique du jeu avec de bonnes idées, mais dont l'expérience est gâchée par une exécution hasardeuse et un gros manque de finition.

J'ai pris relativement vite l'ascendant sur le titre, qui donne lui même les armes pour le casser; notamment le système des faiblesses élémentaires. Du coup il n'y a jamais vraiment eu cette impression de vraiment exploiter/profiter du gameplay et de ce mélange d'inspiration Valkyrie Profile (combat / explo) x FF9 (pour l'apprentissage des compétences). Mais le format du jeu, avec son fast-forward pendant les combats et ses donjons courts, est propice aux cessions courtes et ça compense. Le jeu est joli, même si parfois pas très lisible - ce qui est embêtant quand on a un aspect plateforme, ce qui est finalement le plus agaçant c'est ce cumul de petites tares techniques (les écrans noirs, les ralentissements quand on active une quête, les doublages qui sautent, les bugs graphiques, les animations un peu miteuses, etc) qui viennent en complément d'un manque d'ergonomie assez frustrant autant dans les combats qu'en dehors. L'histoire est con-con mais son petit coté meta, l'alchimie entre les personnages et le nombre de vannes/références du JV à la seconde, fait que ça se suit sans trop sourciller. J'aurais aimé que ça se poursuive dans les quêtes annexes, du kill/fedex dans la forme la plus brute et bête qui soit, dans un univers ou les dialogues de NPC se résument à des "...".

Bref c'était pas spécialement mauvais, mais pas vraiment bon non plus. Moyen, quoi.
The Legend of Zelda: Skyward Sword wii
Bao

le 16/12/2011
Edité le 18/05/2013
5_5
A tout seigneur tout honneur autant parler du motion gaming censé être le fer de lance de cet épisode, qui il faut l'avouer est bien pensé et brille d'inventivité, notamment la maitrise de l'épée presque instinctive. Il aura donc fallut attendre 5 ans et la mort de la console pour en arriver à ce stade ? Reste quand même des imprécisions agaçantes et une caméra lente et chiante à gérer. Graphiquement "Monet dans ta télé" ça fait plus cache misère qu'autre chose, mais ça propose quand même quelques plans agréables à l’œil, sans plus. Pareil pour la musique, qui fait son office sans briller hormis quelques pistes, si on fait exception de la harpe, dont son utilisation est aussi nulle que les musiques l'accompagnant sont horribles. Et pour l'histoire ça se laisse suivre, ça m'en touche une sans faire vibrer l'autre, notamment à cause du manque d'intensité, et des longueurs qui s'invitent régulièrement.

Le level-design des donjons est super bon, les situations se renouvellent sans cesse en instaurant de nouvelles mécaniques à exploiter, après 25 ans je dirais que c'est normal, la maitrise à ce niveau est bien là. A l'inverse les zones ouvertes sont navrantes, manque d'inspirations et sont sans aucunes cohérences entre elle, on avance de point de sauvegarde en point de sauvegarde jusqu'à arriver au donjon, et basta. Et le pire c'est que ce sont elles qu'on va devoir bouffer 2 ou 3 avec des variantes, au prix d'incessants aller-retours et d'un remplissage pour du remplissage. Et dans l'ensemble, c'est juste dommage que tout soit trop évident et bien trop facile, au point même que j'ai parfois eu l'impression d'être pris pour un débile à constamment avoir des zooms sur les choses à exploiter ou des indices gros comme une maison AVANT de résoudre une énigme (MAIS TGGGGGGGG FAYYYY). Le bestiaire est également d'une pauvreté affligeante, a la limite de ce qu'on verrait dans un Final Fantasy : X variations d'un même mob, la couleur qui change, mais pas le pattern. Même les boss sont pitoyables, autant dans leur design que dans la résistance qu'ils offriront.

Mais le point sur lequel je trouve ce Zelda impardonnable, c'est son univers et son histoire, qui s'est quand même bien développé ces dernières années. SS narre le plus naturellement tout un tas de trucs jamais relatés ou existant, j'ai eu l'impression d'être dans un spin-off. On me parle du pire ennemi de l'humanité (dont on a jamais entendu parler avant, again) qui a juste pour motivation d'être le maitre du monde, et qui dans l'épilogue enferme la saga dans une histoire de réincarnations et de haine éternelle, justification facile de la "genèse" de tout, sans parler d'un joli petit tas d'incohérences (je renvois sur le blog de Iwant et sur la partie en spoiler, tiens). Bref, C'EST N-U-L. Et tant qu'on parle de nul on englobe dedans le casting (sauf Zelda, cette version est ma préférée) avec le worst character ever, Ghirahim, le worst sidekick ever, Fay, qui fera regretter Navi tellement elle est chiante, plate et omniprésente, l'insistance sur les mimiques de Link qui le fait plus passer pour un demeuré qu'autre chose, le ciel qui est juste un vide ennuyant à mourir et longuet à parcourir, un système d'endurance qui fait plus chier qu'autre chose, la casse de bouclier qui fait qu'on ne s'en servira jamais, le crafting d'items anecdotique et dispensable qui remplace les habituelles sidequest d'upgrade, et des mini-jeux frustrants et énervants. A l'inverse il y a la seule ile-village du jeu que j'ai trouvée pas mal du tout et ses habitants attachants, la quête des cristaux de gratitude y étant rattaché aidant.

Bref il a été déçu, il n'a pa été accroché, toute cette attente pour ça. Cette "genèse" insulte tout le développement de l'univers Zelda fait jusqu'à présent, et même si on peut accorder à cet épisode de vouloir prendre un virage à 90° et briser certains codes de la saga, il y a bien trop de sorties de route pour que ce soit vraiment réussi. Je crois même que je préfère encore Wind Waker à Skyward Sword, oh dieu.
Wild ARMs 4 play2
Bao

le 16/02/2010
Edité le 19/05/2013
5_5
Pas terrible, surtout après WA3. L'univers bâtard (comme le dit si bien Feid)est sans aucune cohésion, un peu à l'image des perso. Et puis il était moooou comme jeu. Restera les ziks, et le système de combat (les balbutiements de l'HEX System !) pour sauver un peu le tout, mais bof quand même.
Atelier Shallie: Alchemists of the Dusk Sea play3
Bao

le 16/08/2016
5
Le plus décevant de la trilogie Dusk à mon goût. L'alchimie est pas en cause, ni le système de combat. Le premier est l'achèvement du système Dusk, encore plus intuitif et riche que les précédents, le second c'est celui de Mana Khemia avec quelques variations mais qui est tout aussi sympa, d'autant plus que le jeu offre largement de quoi se faire les nerfs avec. Avoir supprimer le calendrier j'ai trouvé ça sympa au début, la liberté offerte par l'absence de délais à respecter est appréciable surtout en ce qui concerne l'alchimie, mais plus le jeu a défilé et plus je l'ai regretté à cause de la suppression du "cadre" managérial et narratif qui y était lié. Et aussi car le système des Life Tasks censé venir compenser la suppression du calendrier est un bordel sans nom, aux conditions de déblocages parfois aussi relou que les récompenses qu'elles offrent sont ridicules. Bref, un truc pas spécialement entrainant. Pourquoi ne pas avoir gardé et étoffé le système de tâches de Escha & Logy, bien plus intelligent et méritant ? Quand à la mécanique de Motivation, à part ennuyer le joueur je cherche encore son utilité...

C'est d'un point de vue narratif que ça a été le plus insatisfaisant. C'était le signe sous lequel était placé la trilogie Dusk, à son tour Atelier Shallie a a rajouté quelques questions sur la pile des mystères de cet univers (que sait réellement Keithgriff, l'histoire des Linca, l'origine de la sécheresse, l'histoire des anciens alchimistes, etc), et au final ce qui n'est pas effleuré ou torché est passé sous silence, sans parler de la True End qui sert d'épilogue laissant clairement sur sa faim. Ce qui est d'autant plus dommage car en terme d'environnements Shallie est le meilleur des trois avec son paysage "océan après sécheresse". La division de l'histoire en deux offre plus de substance que dans Atelier Escha & Logy car chaque fille a véritablement ses enjeux / sa propre histoire, mais ça reste quand même assez anecdotique en terme de traitement et d'impact sur l'histoire et, de plus, la manière dont le jeu cherche à vendre la relation entre ces deux personnages semble toujours très artificielle du début à la fin. Quand au reste du casting, il arrive à être encore plus transparent que précédemment, les anciens sur le retour servent juste de faire-valoir et les nouveaux manque cruellement de profondeur.
Crystal Project nxn
Bao

le 15/04/2024
5
Crystal Project, c'est un jeu que je range dans la catégorie très particulière des jeux "que j'aurais voulu vraiment aimer".

Tous les ingrédients dedans me plaisent et sont de qualité, c'est un jeu bichonné par son créateur, mais la façon dont sont utilisés et cuisinés ces ingrédients est beaucoup trop déséquilibrée à mon goût.

Il y a un parti pris radical et assumé de faire un jeu non linéaire dont l'exploration est le focus principal, mais sans fournir les bons outils de navigation pour aller avec. Une carte qu'il faut compléter nous même, juste la possibilité de mettre des symboles dessus, et c'est tout. Même pas un journal ou la possibilité de mettre des indications textuelles. Par dessus ça il y a un aspect plateforme très prononcé, pas facile à prendre en main avec un choix de vue+caméra fixe, et qui peut être capricieux voir sacrément punitif lors de certain passages. Le monde de Crystal Project est IMMENSE, mais genre vraiment, blindé de secrets et de zones cachées, malheureusement le jeu se perd dans ce gigantisme et passé un énième moment à frotter des murs, tenter en vain de sauter par-ci par-là pour progresser et ouvrir des coffres dont le contenu me dit que j'aurais du venir par ici 15 heures plus tôt, j'ai fini par dégainer un guide ne serait-ce que pour avoir un fil rouge.

Les combats suivent la même direction, même si le système de classe semble bien rôdé et que les affrontements sont parfaitement lisibles, à partir du milieu du jeu la difficulté des combats ne fait que grimper pour finir par se transformer en une compétition de tuer vite avant d'être tué vite. Et même si les ennemis sont visibles sur la carte, ils sont généralement bien plus rapides et c'est difficile de les éviter. Forcement sous cet angle, ça limite les choix de personnalisation... d'autant plus que le niveau max est bloqué à 60 (parce que ?). Heureusement il y a quelques "options" planquées dans les menus pour assouplir un peu tout ça, mais qui s'activent de façon définitive avec en prime un petit message que je n'ai pas pu m'empêcher de percevoir comme un rictus moqueur du créateur.

Donc ouais, j'aurais vraiment voulu aimer ce jeu, malheureusement trop bancal à mon goût.
Final Fantasy IV nds
Bao

le 29/10/2011
5
Clairement le moins bon remake de FF4 (et sans encore avoir fait la version PSP), qui a juste son re-travail musical pour lui. Pour tout le reste, quelques ajouts sympa mais anecdotiques (j'ai toujours eu un faible pour les cartes à compléter !) comparés aux pertes (deg que le donjon bonus ai tout simplement disparu dans cette version), une difficulté revue à la hausse qui offre un peu de défi et surtout une fréquence de combat un peu haute, mais c'est vraiment contre la refonte graphique que je peste : cette 3D est juste moche, les perso ont une tronche de poupées difformes, et le doublage est la cerise sur le gâteau du ridicule, pour encore moins prendre au sérieux une histoire qui accuse méchamment son âge et des personnages qui s'usent toujours un peu plus, remake après remake.
Final Fantasy Tactics Advance gba
Bao

le 07/01/2010
Edité le 07/01/2010
5
Mwais.

Joli et mignonnet, avec une histoire assez enfantine, presque semblable à un conte, avec ces 4 enfants "perdus" dans ce monde ou tout leur sourit, dur est le retour à la réalité... Dommage par contre que ça soit si saccadé et étalé sur la longueur, on perd énormément en intensité. Le système de combat est assez simple et sommaire, mais dispose d'un très grand nombre de classes et de situations, en plus du systèmes de Lois, pour maintenir l'intérêt. On a aussi pas mal de quêtes annexes (300 !!) pour s'occuper. La musique pue, aussi.

C'est pas trop ça, quoi...
Guild Wars: Eye of the North pc
Bao

le 19/02/2010
5
Une extension naze. Un cadre qui aurait pu être sympa (nouvelles races, nouveau monde), mais expédié à la vitesse du son dans son cadre scénaristique. Abandon total du principe de stratégie au profit du bourrinisme le plus sauvage, le jeu aidant notamment grâce à ses skills abusés (Ursan !). Et ayant hait les titres avec Nightfall, ici j'ai été plus que servi, avec carrément une obligation à farm (!) pour accéder aux shops (!!) voir même aux groupes de joueurs (!!!). Reste les donjons, bon principe.
Légendes Pokémon: Arceus nxn
Bao

le 13/02/2022
5
LPA est une tentative intéressante de donner un coup de neuf à une licence qui n'avance que par à-coups depuis son commencement, mais il ne faut pas trop forcer pour craquer le vernis et en voir les limites.

La nouvelle approche de la formule combat / exploration, sur laquelle on a collé du craft et du semi-monde ouvert marche plutôt bien et est addictive, tout s'enchaine bien du début à la fin, mais passé les premières heures on voit que le jeu aime bien se mettre des bâtons dans les roues : entre les idées qui se contredisent (les failles), qui manquent de polish (les boss, les nouvelles mécaniques en combat), qui ne fonctionnent tout simplement pas (toute la partie aquatique), l'épopée cumule les petits agacements tout le long. Et je ne parle pas de celles qui sont une régression ; voir l'outil communautaire réduit à peau de zob fait mal, et c'est l'incompréhension de voir un système de boites autant à chier, encore plus dans un jeu qui se focalise autant sur la capture et la gestion des pokémons (il manque aussi un équivalent à la pension, tiens). L'ergonomie en générale est pas ouf, d'ailleurs.

Outre le fait LP: Arceus est dégueulasse techniquement, et bordel que la liste des tares est longue, il manque surtout de vie : sorte de Terres Sauvages v2.0, Hisui est pas très joli ni très impressionnant à visiter, le sound design laisse à désirer, les bestioles errent au pif sur la carte, n'attendant que de se faire capturer ou combattre. Je trouve d'ailleurs que c'est est le plus gros échec du jeu : ce premier Pokédex de l'histoire va se construire à grands coups de capturer X fois, utiliser X fois une capacité, etc, on étudie la nature en lui tapant sur la gueule et en faisant grimper des jauges. Le niveau 0 du gamedesign quoi, "heureusement" la plupart des objectifs se font naturellement durant l'aventure, mais avoir un bilan comptable à remplir comme objectif principal rend difficile l'exercice d'immersion. C'est dommage que Game Freak n'ai pas cherché à mieux imbriquer cet aspect prétendument zoologique à la progression, aux quêtes annexes par exemple, qui elles aussi ne volent pas bien haut. Du coup on en vient vite à se contrefoutre de l'évolution du village, censé refléter la naissance des liens entre pokémons et humains, car tout n'est qu'objectifs chiffrés. Et on s'en coutrefout aussi car tous les NPC se ressemblent, sont cons comme des balais et n'ont aucunes animations. Une connerie qu'on retrouve dans l'histoire, très bavarde pour ne rien dire, et qui montre encore une fois que le studio n'a toujours pas saisi la nuance entre enfantin et infantile.

Ah oui et toutes les formes spécifiques à Hisui sont moches.

LP: Arceus fait un peine à voir, il ressemble plus à une espèce de prototype qui fonctionne de façon hasardeuse (et jamais vraiment en bien), mais j'ai vite fait grimper le compteur d'heures et il a fallut les dernières heures du post-game pour que je sois vraiment lassé. Donc c'était pas si mal, j'imagine ? Et peut être qu'il va être la première pierre vers une évolution de la série, en tout il en pose de bonnes bases. Je l'espère en tout cas, et l'espoir il faut au moins ça tant que Game Freak restera aux manettes et que le mastodonte commercial Pokémon dictera tout, sans opposition aucune.
Luminous Arc nds
Bao

le 16/02/2010
Edité le 19/05/2013
5
Classique mais sympathique, manquant clairement de défi, un peu neuneu sur les bords mais disposant de perso. attachants. Ca se laisse suivre et jouer agréablement, sans plus.
Maneater ps5
Bao

le 04/11/2023
5
Typiquement le genre jeu qui fait original sur le papier - à savoir une simulation de requin tueur avec un zeste de RPG, sur fond d'histoire façon série-Z - mais qui montre très vite ses limites manettes en main.

Maneater est un titre qui dès la première heure nous enferme dans la répétitivité (et il ne faut que ~12-13h pour le finir), la boucle de gameplay et le contenu assez bateau faisant vite comprendre que ça va être toujours la même chose. Reste l'originalité des combats aquatiques, et le côté jouissif de jouer un caïd des mers. Enfin ça c'est surtout vrai dans la deuxième moitié du jeu, car la première on passe pas mal de temps à fuir et se faire victimiser. Dommage aussi que le DLC soit payant, un DLC dont le contenu nawak aurait du faire parti partiellement ou totalement du jeu de base, au moins pour lui apporter la variation de contenu qui lui fait défaut. Bref bien dommage, pour moi c'est un jeu qui passe à côté de son potentiel.
Persona psp
Bao

le 20/01/2014
Edité le 20/01/2014
5
Univers et ambiance captivantes, histoire et personnages en soit très sympathiques, et le "plaisir" de découvrir les bases du gameplay de la série. Et ben bordel on en a fait du chemin, car ce premier Persona est un concentré d'extrêmes et pas forcement dans le bon sens : personnages trop utiles ou pas assez (j'ai récupéré Ayase dans le run SEBEC, youhou...), donjons trop simples ou trop chiantissimes, le système de race/classe/résistance propre du démon est totalement pourri et transforme les combats en loterie, l'évolution des personnages est mal pensée, et pas mal de petites options liées à l'ergonomie qui manquent (je pense par exemple aux combats avec initiative des démons, ou on doit A CHAQUE FOIS retourner dans les menus pour refaire la formation...) rendent vraiment l'ensemble indigeste. Par contre le système de dialogue et d'invocation/fusion est relativement bien foutu. L'OST est sympa sans plus également, et on a quand même une jolie perte par rapport aux pistes originales. Je vais pas non plu dire que je me suis "forcé" à finir le jeu mais dans l'idée c'est ça, passé un cap je me contentais de spammer les Megidolaon histoire d'en finir le plus vite possible.

Bref un départ de licence correct en 1996, mais en 2009 il accuse méchamment son âge.
Star Ocean: First Departure psp
Bao

le 26/12/2013
Edité le 27/12/2013
5
C'était lambda. Personnages lambda, univers lambda, musiques lambda mais-pas-trop qui s'envolent dès le jeu coupé, bizarrement équilibré dans sa globalité, plein d'allez-retours, histoire anecdotique qui part dans tous les sens avec ce principe étrange de proposer un "choix" de personnages sans que ça ai une véritable importance sur le déroulement du jeu. Par contre le système de combat est pas mal du tout, et le système de personnalisation via les skills, pas forcement très clair et facile à assimiler, permet de vite faire le grosbill en puissance à force d'expérimentations. Au final la grande surprise ça a surtout été de voir que certains éléments, pas forcement les meilleurs, sont trainés depuis le début de la série (et je dis ça en prenant bien en compte les modifications SNES <> PSP). Mais bon, au moins ça se laisse jouer sans forcer, du début à la fin.
The Caligula Effect: Overdose play4
Bao

le 25/03/2020
5
Après m'être tapé la version Vita qui était quand même bien nulle, essayons le remaster PS4 (curiosité morbide, toussa).

Ça ressemble toujours à un jeu PS2 (et encore), c'est toujours aussi mal mis en scène, c'est pas plus joli mais au moins pas mal de problèmes techniques ont été réglés. La courbe de difficulté a été revue en mieux tout comme le système de combat, mais les faiblesses structurelles les plus importantes sont toujours présentes, notamment cette "quête" consistant à découvrir tous les NPC du jeu à travers un système vraiment à chier de missions qui se ressemblent toutes, ou des donjons beaucoup trop faibles, beaucoup trop longs et beaucoup trop radins en bons trucs. On a aussi droit à de nouveaux personnages et une nouvelle sous-intrigue dans l'intrigue, le fait de pouvoir choisir le sexe de son personnage dont l'influence se limite à quelques choix de dialogues, et surtout de pouvoir s'incruster dans le groupe des méchants : ça permet de donne plus de substance à des antagonistes qui étaient juste des clowns jusqu'à présent, mais en parallèle ça propose un récit - et surtout une fin qui arrivent à être plus claqués que l'histoire de base.

Bref c'est mieux que sur Vita mais c'est difficile à conseiller quand même.
The Legend of Heroes: Trails of Cold Steel IV play4
Bao

le 18/12/2020
5
C'était décevant. Vraiment décevant, c'est le premier Kiseki avec lequel j'ai fait plusieurs pauses (dont une d'une semaine entière), alors que jusqu'à présent j'ai saigné chaque épisode.

C'était long, terriblement long surtout pour brasser autant d'air ; j'ai souvent reproché à la série d'utiliser les mêmes ficelles de narration, sauf qu'ici ce ne sont plus des ficelles mais des grosses cordes de navire et chaque nouvelle scène nous montre qu'elles sont sacrément usées. Les actes 1 et 2 sont inintéressants au possible, entre chasse aux Pokémons pour réunir un casting décidément bien trop gros et moments "big damn heroes" pour insérer un maximum de seconds couteaux, tout est prétexte à rallonger le jeu, et à donner un rythme encore plus cassé à l'aventure. Les actes 3 et 4 s'en sortent un peu mieux, même s'il y a toujours plus de donjons peu intéressants dans l'équation. Le plus triste c'est surtout que je n'ai jamais vraiment eu l'impression d'être en plein dans l'ambiance d'apocalypse vendue par le titre, ultime conséquence de ce qui s'est passé dans Zemuria toutes ces années, tellement le jeu se disperse, tellement la cohérence du titre est mise à mal au profit du fanservice, et tellement Falcom s'évertue à recycler ; on cherche quand même à nous vendre une guerre mondiale qu'on ne veut pas nous montrer (car les territoires de l'est n'ont pas été développés pour le jeu, on reste dans le déjà vu de l'ouest), une guerre qui avance en fonction des besoins scénaristiques de Rean et sa bande plutôt que l'inverse. Le coup de grâce est venu avec la révélation autour de l'antagoniste, j'ai trouvé le twist incroyablement nul, le sous entendu l'accompagnant a achevé le peu de suspens du titre. Genre dès la moitié du jeu, le reste était déjà tout tracé.

Restait bien Ouroboros, qui se réveille dans la dernière ligne droite et qui arrive avec toujours plus de questions mystères sur la nature du continent de Zemuria. Ca m'a réveillé. Les bondings events restent également passables, et restent le seul moment ou chaque personnage peut enfin être lui même et ne plus hurler le même discours à base de Class VII, d'amour et d'amitié. Cold Steel IV a également été la preuve finale, si il en fallait encore, que le studio a créé un monstre qu'il n'a jamais maitrisé avec l'aspect harem du titre : alors que personnages masculins de l'équipe et npc sont autorisés à avoir des relations voir à envisager l'avenir en belle compagnie, les filles de l'équipe restent dans les rayons du supermarché à waifus et il y a juste à se servir. On a même un compteur avec des cœurs. Et la manière dont le titre va "sceller" le destin amoureux de Rean se passe de commentaires, c'est à la fois triste et hilarant. CS IV c'était aussi une sorte de "call back" à tous les opus précédent, que ce soit les personnages (Estelle ), les évènements passés, les références à ceci-cela, et ça c'est difficile de pas y être réceptif. Je me suis tapé tous les jeux, les dramas CD et les mangas, donc ce côté rétrospectif était très, très plaisant même si parfois bien envahissant. Dans le même ordre d'idée, les futures aventures de certains personnages m'intéressent également, à la vue de ce qui s'est passé dans CS IV.

Le gameplay bah c'est le 3 mais avec toujours plus de plus, des quartz toujours plus puissants et des gros chiffres. Voilà. Même chose niveau technique / graphismes. Et fuck le jeu de Pom!. La bande-son était sympa sans plus, c'est presque insultant de dire ça quand on voit ce que la série a envoyé durant toutes ces années. Il y a des musiques d'ambiances / de villes très jolies (comme celle-ci, garantie sans spoil), mais niveau musiques de combats ou accompagnement de l'action c'était... meh.

Je vais pas non plus dire que mon intérêt pour la série vient de mourir, mais en tout cas il vient d'en prendre un sacré coup. Tout ce qui tourne autour d'Ouroboros m'intrigue toujours autant, donc je vais continuer à suivre ça. Mais avec désormais moins de zèle.
Toukiden: The Age of Demons psv
Bao

le 30/03/2014
Edité le 30/03/2014
5
Pour résumer, on va dire que Toukiden c'est une copie de Monster Hunter qui en accentue violemment les défauts et qui en corrige d'autre de belle manière, en plaçant tout ça dans un très joli monde d'inspiration Japon féodal. Le système de combat est rapide, nerveux, violent et sans broutilles inutilement chronophages pour venir casser les bonbons.et le rythme. On ne dispose "que" de six types d'armes, librement interchangeables au QG et chacune a vraiment son lot de subtilités à maitriser et c'est assez jouissif de martyriser les ennemis de la manière la plus classe possible. La direction artistique est sublime et les décors très fouillés. Voilà ça c'était pour les bons points, tout le reste du jeu appartient au domaine du "moyen/nul". Moyen comme un scénario qui sert de fil rouge mais qui motive pas plus que ça (pareil pour les personnages), moyen comme la bande son de l'ami Sakamoto, et nul comme la proportion du jeu à vous faire bouffer du farming jusqu'à en vomir par tous les trous.

La balance investissement/récompense est ridicule, il y une très longue liste d'objets qui sont concentrés dans six petits environnements et un bestiaire extrêmement limité (mention spéciale aux boss dont chaque partie cassée abrite trois objets minimum, avec bien sûr un seul récupérable aléatoirement). Plus ridicule encore il y a les Mitama, ces âmes de personnages historiques/folkloriques qui servent de base au bon système de customisation du jeu, mais qui demande au préalable d'êtres récupérées sur les cadavres des boss. Et ben les Mitama, exception du scénario qui en file à tout péter 10 inscrites dans son déroulement, il faut farmer-farmer-farmer jusqu'à l'indigestion. En 70 heures j'en ai récupéré 61 sur 201, mon record c'est d'avoir fait 33 fois la même mission (par acharnement) pour avoir une Mitama précise pour mon build. Un élément central du jeu et du gameplay qui est uniquement conditionné au facteur chance, bravo. Farming qui va bien sûr de paire avec la lassitude de se taper constamment les mêmes monstres sur les mêmes cartes, le seul effort fait par le développeur pour "diversifier" la chose c'est d'avoir foutu des clones recolorés... mais qui gardent le même comportement. Et quand on finit le jeu, on a accès aux Ex-Maps qui sont exactement les mêmes que les précédentes mais avec de nouvelles listes d'objets. Enfin le pompon revient au mode online qui est tout simplement mort car le développeur à eu la très bonne idée de laisser les NPC accessibles au joueur dans ce mode.

Bref deux ans après la défection de MH vers les consoles Nintendo, les copies se suivent et se ressemblent, sans jamais vraiment réussir à dépasser la licence de Capcom. Et dieu sait qu'elle est perfectible sur bien des points...
Valkyria Chronicles 2 psp
Bao

le 13/08/2012
5
Point final à l'aventure Valkyria Chronicles 2 et environ 85h au compteur (j'ai quand même tapé le A sur toutes les missions!), j'arrête aux portes d'un NG+ qui amène encore plus de farm débile et de maps creuses, j'ai vraiment plus la patience. Toute façon je doute qu'il ai quelque chose de plus a offrir à ce stade, c'était déjà plus ou moins le cas passé la moitié du jeu....

Cette foutue ambiance "high school jap" qui sert de fond au jeu m'est très vite sortie par les yeux, le casting principal est aussi mauvais qu'il est stéréotypé, le secondaire trop peu creusé pour être intéressant (avec en plus ces impératifs totalement cons pour débloquer les mini-histoires...), la sous-exploitation de l'univers du jeu est désolante et pourtant il y avait matière à faire autant dans le fond (Gallia qui se reconstruit, les pays frontaliers, etc) que la forme (les Darcsens, les motivations des rebelles, la dualité étudiant/soldat), au final non le jeu préfère respecter le cahier des charges d'un bon animé high school avec tournoi inter-classes, fête de l'école, piscine et j'en passe, en se réveillant parfois pour rappeler via un pathos outrancier qu'il y a une guerre civile qui ronge le continent, que les méchants sont méchants et que ohlala il y a des morts tous les jours. En résultat un récit rasoir, manquant totalement de rythme et pas engageant pour un sou. Il est ou le type qui a écrit le scenario épique et soutenu (même si un peu niais) de Valkyria Chronicles premier du nom ?

Après vient la partie gameplay qui marche toujours aussi bien, c'est bien plus rapide et nerveux, la technique du jeu est au poil et le jeu est super beau, j'ai été agréablement surpris de la multitudes de classes présentes même si il faut bien avouer que la balance des pouvoirs est totalement craquée (hey, Fencer !), et surtout étonné de la maniéré plutôt maligne de contourner les limitations de la PSP en créant ce système de zones morcelées, qui est plutôt tactique. Là ou ça coince plus c'est avec la construction du jeu, qui OBLIGE à se taper constamment plein de missions random pour débloquer les mission scénario, missions random qui se déroulent sur les 8 mêmes maps avec les 4 mêmes objectifs, et ce PENDANT TOUT LE JEU. Une redondance monstrueusement agaçante, d'autant plus que l'IA, aussi stupide que prévisible, rajoute une grosse couche à cette répétitivité grandissante. Résultat on fait toujours la même chose sur les mêmes cartes, les affrontements sont plats et manquent de saveur, on est clairement aux antipodes de VC1 premier du nom qui proposait un level-design bien léché qui faisait la part belle à la stratégie.

Bien sur il y aurait pu y avoir une carotte pour motiver le joueur dans ces batailles, mais la encore Sega rate le coche, en ayant la très bonne idée d'implanter un chiantissime système de drop ÉVIDEMMENT aléatoire. Faire évoluer ses jobs passe par ces drops, accéder a de l'équipement aussi, à noter que dans le cas de l'équipement on ne sait jamais quels matériaux on peut avoir sur une carte. Sachant qu'en plus des missions random pour faire avancer le scénario il y a également une énorme quantité de missions secondaires toutes aussi mornes que les principales, c'est génial. Vraiment.

Bref je ressors de l'aventure VC2 avec un goût vraiment amer dans la bouche, celui de la déception. Sega avait vraiment le filon à exploiter mais ne l'a fait que partiellement, préférant bourrer avec bien plus de quantité que de qualité.
Zone of the Enders: the Fist of Mars gba
Bao

le 16/02/2010
Edité le 25/08/2010
5
J'avais touché à cet épisode car c'était indiqué "Tactical" et surtout "Zone of the Enders" ! J'avais vite déchanté, pourtant l'histoire était sympa, mais il était affreusement mou dans sa mise en scène et ses affrontements (chiants et long au début, et ça vire au shoot'em'up passé un cap de l'histoire, quand on récupère ZE unité). Mais les méchas quoi !
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