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175 commentaires
Dark Souls - Artorias of the Abyss play3
Herbrand

le 12/01/2017
10
Un DLC excellent à l'image du jeu originel.

+ Riche en contenu
+ Combat de boss top
+ Lore ultra intéressante qui complète bien celle précédemment en place, et centrée sur un personnage énigmatique et emblématique du jeu
Dark Souls II: Scholar of the First Sin play4
Herbrand

le 18/12/2020
7
Dark Souls 2 est décidément l’épisode que j’aime le moins dans la série.

Il a pourtant des qualités bien à lui : c’est l’épisode qui offre le plus de possibilités de build, avec ses stats supplémentaires, et le New Game Plus apporte vraiment de la nouveauté comparé à la première partie. Majula a son charme et ses nombreux embranchements font conserver l’impression d’un monde interconnecté. La lore est différentes des autres Souls mais possède sa propre richesse.

Néanmoins, comme d’autres l’ont dit avant moi, Dark Souls 2 privilégie la quantité à la qualité.

C’est en particulier vrai pour les combats de boss, que je considère comme l’une des principales forces de la série. Plutôt que d’élaborer la conception des patterns, From Software a opté pour une augmentation artificielle de la difficulté en nous mettant face à de multiples ennemis à la fois. Ainsi, la plupart des boss apparaissent en groupe (soit plusieurs réplications du même boss, soit des minions qui l’accompagne). Je pensais que les DLC feraient exception mais pour ce que j’en ai vu c’est exactement identique. Dommage, car cela ruine en grande partie l’expérience du joueur.
Dark Souls II: Scholar of the First Sin pc
Herbrand

le 29/05/2015
7
Dès les premiers instants, on retrouve le gameplay si efficace de la série Souls dans une version légèrement revue, les nombreuses possibilités de build et la pléthore d'armes disponibles. J'étais néanmoins sceptique après la première dizaine d'heures de jeu : les tableaux avec leur propre univers de Demon's Souls et le monde interconnecté de Dark Souls laissent place à un mélange de ces deux genres qui semble avoir hérité davantage des défauts que des qualités de ceux-ci. On arpente ainsi ce qui semble être une succession de niveaux qui n'ont ni le charme des tableaux ni le savant level design des opus susmentionnés respectifs. Les boss fights semblent également, à première vue, avoir perdu leur caractère épique et leur difficulté. Pire encore, cette édition all-in-one nommée Scholar of the First Sin inclut quelques adaptations qui tendent à restreindre la liberté du joueur (e.g. l'emplacement de monstres dans certaines zones bien plus puissants que dans l'édition originale ou encore la présence de statue qui ne peuvent disparaitre qu'en utilisant un objet rare). DaS2 souffre ainsi d'une comparaison négative avec ses prédécesseurs. La lore, elle aussi, donne à la fois une impression de déjà vu et d'un certain vide.

Fort heureusement, la seconde moitié du jeu remonte progressivement la qualité globale du titre pour atteindre un niveau qui égale, si ce n'est parfois surpasse, celle de ses prédécesseurs. Le puzzle de l'histoire commence à se constituer et finit par émerveiller, entre les clins d'oeil au passé et certaines rencontres ou évènements surprenants. La qualité artistique des différentes zones et l'intensité des boss fights croît exponentiellement au fur et à mesure de l'avancement pour atteindre un niveau tel qu'elles feront vibrer tout habitué de la série. Les limitations posées au début du jeu (uniquement dans cette édition) disparaissent également petit à petit.

Plus irrégulier dans sa qualité, Dark Souls 2 n'en reste pas moins une oeuvre et une expérience aussi (sur)prenantes que ses aînés. Incontournable.
Dark Souls III play4
Herbrand

le 24/12/2016
10
"You'll never get your first Dark Souls experience back"

Tel est le titre d'un billet récemment lu faisant état du statut particulier de Dark Souls 3, dernière incarnation de la série. Le premier Dark Souls apportait une expérience unique dans notre carrière de joueur : la sensation de se perdre dans un monde qui nous dépasse, truffé de dangers qui peuvent surgir n'importe quand. De nombreux moments de notre périple resteront gravés longtemps dans notre mémoire : Blightown et son poison, la première rencontre avec le Capra Demon, New Londo, Orstein et Smough, et bien d'autres. Tous ces sentiments enfouis conduisent nécessairement à l'impatience de pouvoir retrouver cette expérience, mais paradoxalement à ne jamais complètement retrouver la surprise de la première rencontre.

C'est inévitable.

Dark Souls était unique parce qu'il apparaissait comme du sang neuf dans notre ludothèque, une aventure encore jamais vécue. Toute suite présente et à venir souffrira inéluctablement du défaut de la redite, du sentiment de déjà-vu, de la prévisibilité. Nous avons appris à maîtriser le challenge, nous sommes plus forts de notre premier périple en Lordran. Pas étonnant dès lors que, malgré l'excitation d'avoir enfin entre les mains ce troisième opus tant attendu, un certain désenchantement puisse survenir.

Et pourtant, ça ne serait pas rendre justice à l'oeuvre vidéoludique qu'est Dark Souls 3. Fort de l'expérience des réalisations précédentes, From Software nous livre l'épisode le plus abouti à bien des égards. On citera, sans exhaustivité aucune, une sensation manette en main proche de la perfection, l'apparition de nouveaux éléments qui apportent une nouvelle variété dans les combats, un level design vertical exceptionnel, une direction artistique très réussie, un online bien plus modulable grâce aux Covenants à équiper et, surtout, ce que je considère comme le meilleur ensemble de boss de la série. Je ne compte plus le nombre de fois où je suis sorti victorieux d'un combat en ayant encore les mains qui tremblent. Son scénario fait également honneur à Dark Souls premier du nom en se présentant clairement comme une suite à celui-ci, avec une lore de qualité comme on la connait dans la série.

On pourrait reprocher au nouveau bébé de From Software un manque de cohésion dans le level design horizontal. Les différentes zones semblent ainsi être isolées, bien que les différents panoramas suggèrent fortement que tout fait partie d'un monde connecté. L'effet de bord de ce choix est qu'on n'éprouvera pas la sensation d'être perdu dans un coin misérable de ce monde avec une arme brisée, sans objet de soin ni poudre réparatrice. Mais quel joueur aguerri sortirait encore de Firelink Shrine sans une petite réserve d'objet et l'un ou l'autre Miracle pour se soigner ? Nous avons déjà dompté Lordran ; nous sommes préparés à tout.

Dark Souls 3 sera souvent présenté comme une synthèse, un best of de la série. Il l'est. Néanmoins, le limiter à cette vision n'est pas rendre honneur à ce qu'il est réellement, tel qu'on peut l'apercevoir, à mon humble avis, quand on le considère dans son individualité.

Après de longues rétrospectives et prises de recul, mon constat est clair : Dark Souls 3 est le meilleur Souls auquel j'ai joué.
Dark Souls III pc
Herbrand

le 07/06/2016
10
"You'll never get your first Dark Souls experience back"

Tel est le titre d'un billet récemment lu faisant état du statut particulier de Dark Souls 3, dernière incarnation de la série. Le premier Dark Souls apportait une expérience unique dans notre carrière de joueur : la sensation de se perdre dans un monde qui nous dépasse, truffé de dangers qui peuvent surgir n'importe quand. De nombreux moments de notre périple resteront gravés longtemps dans notre mémoire : Blightown et son poison, la première rencontre avec le Capra Demon, New Londo, Orstein et Smough, et bien d'autres. Tous ces sentiments enfouis conduisent nécessairement à l'impatience de pouvoir retrouver cette expérience, mais paradoxalement à ne jamais complètement retrouver la surprise de la première rencontre.

C'est inévitable.

Dark Souls était unique parce qu'il apparaissait comme du sang neuf dans notre ludothèque, une aventure encore jamais vécue. Toute suite présente et à venir souffrira inéluctablement du défaut de la redite, du sentiment de déjà-vu, de la prévisibilité. Nous avons appris à maîtriser le challenge, nous sommes plus forts de notre premier périple en Lordran. Pas étonnant dès lors que, malgré l'excitation d'avoir enfin entre les mains ce troisième opus tant attendu, un certain désenchantement puisse survenir.

Et pourtant, ça ne serait pas rendre justice à l'oeuvre vidéoludique qu'est Dark Souls 3. Fort de l'expérience des réalisations précédentes, From Software nous livre l'épisode le plus abouti à bien des égards. On citera, sans exhaustivité aucune, une sensation manette en main proche de la perfection, l'apparition de nouveaux éléments qui apportent une nouvelle variété dans les combats, un level design vertical exceptionnel, une direction artistique très réussie, un online bien plus modulable grâce aux Covenants à équiper et, surtout, ce que je considère comme le meilleur ensemble de boss de la série. Je ne compte plus le nombre de fois où je suis sorti victorieux d'un combat en ayant encore les mains qui tremblent. Son scénario fait également honneur à Dark Souls premier du nom en se présentant clairement comme une suite à celui-ci, avec une lore de qualité comme on la connait dans la série.

On pourrait reprocher au nouveau bébé de From Software un manque de cohésion dans le level design horizontal. Les différentes zones semblent ainsi être isolées, bien que les différents panoramas suggèrent fortement que tout fait partie d'un monde connecté. L'effet de bord de ce choix est qu'on n'éprouvera pas la sensation d'être perdu dans un coin misérable de ce monde avec une arme brisée, sans objet de soin ni poudre réparatrice. Mais quel joueur aguerri sortirait encore de Firelink Shrine sans une petite réserve d'objet et l'un ou l'autre Miracle pour se soigner ? Nous avons déjà dompté Lordran ; nous sommes préparés à tout.

Dark Souls 3 sera souvent présenté comme une synthèse, un best of de la série. Il l'est. Néanmoins, le limiter à cette vision n'est pas rendre honneur à ce qu'il est réellement, tel qu'on peut l'apercevoir, à mon humble avis, quand on le considère dans son individualité.

Après de longues rétrospectives et prises de recul, mon constat est clair : Dark Souls 3 est le meilleur Souls auquel j'ai joué.
Dark Souls III: Ashes of Ariandel play4
Herbrand

le 30/12/2016
7
+ Nouvelles armes très sympas et plutôt originales
+ Zone très vaste
+ Paysages enneigés
+ Boss de fin challenging

- Un peu faible en contenu
- Boss optionnel quelconque
Dark Souls III: The Ringed City play4
Herbrand

le 07/04/2017
10
Voici donc la tant attendue conclusion à la grande série qui aura transcendé ceux qui auront osé s'y frotter. Loin d'être un simple DLC indépendant, The Ringed City n'est ni plus ni moins que l'apothéose de toute la trilogie, dans tous ses aspects.

+ Les zones proposées sont le summum du sadisme qu'a pu proposer la série Souls. Loin d'être de pâles copies du passé, de nombreux pièges originaux et oppressant vous attendent. Ils vous mèneront inéluctablement au fameux « You Died » ... de nombreuses fois.

+ Quatre boss vous barreront la route, dont deux vous feront confondre Nameless King avec Iudex Gundyr, tandis qu'un troisième utilise les fonctionnalités en ligne de façon très originale.

+ La direction artistique est juste incroyable. La meilleure qu'on ait vu dans toute la série, avec de très nombreux détails à découvrir et des panoramas à couper le souffle.

+ La lore n'est pas en reste et apporte une véritable conclusion à Dark Souls (au sens large). Comme toujours, n'attendez aucune information explicite : tout est laissé à vos interprétations et spéculations. Je me suis en tout cas beaucoup plu à lire et réfléchir sur les différentes théories proposées par les joueurs, notamment sur Reddit.

+ Beaucoup de clins d'oeil, notamment une scène avec un certain NPC qui m'a bien fait rire.

+ Outre les qualités ci-dessus, ce dernier DLC est plutôt long : j'ai mis 11h pour arriver au bout la première fois, et 2h lors de mon second run (en ligne droite et en connaissant les bosses donc). A titre de comparaison, j'avais terminé Ariandel en 8h la première fois et en moins d'une heure les suivantes.

- Le seul véritable défaut de ce DLC est que le chemin à suivre est, au final, très linéaire. On est loin des Grand Archives ou du Undead Settlement. Néanmoins, cela paraît avoir peu d'importance compte tenu de toutes les qualités de ce contenu.

C'est donc une conclusion exceptionnelle pour une série qui l'est autant, indispensable à acquérir.
Dark Souls Remastered play4
Herbrand

le 15/07/2018
9
Je n'ai aucun doute que Dark Souls restera longtemps dans les mémoires comme un nouveau classique. L'univers sans pitié, la difficulté présente dès le début, les zones sans merci (Blightown et son poison, Anor Londo et ses archers, New Londo et ses fantômes, etc.) et surtout son world design exceptionel et interconnecté ... forment un tout mémorable. Pour l'avoir refait après de nombreuses heures sur Dark Souls 3, je ne peux m'empêcher de penser que les deux forment un tout et une continuité, non seulement dans la lore (évidemment) mais aussi dans le gameplay. Dark Souls est en quelque sorte la gemme brut, que l'on admire pour ce qu'elle est, tandis que Dark Souls 3 est une pierre raffinée, qu'on apprécie pour ce qu'elle est devenue. Lorsqu'on les met bout à bout, on se rend compte de l'intelligence de From Software dans l'évolution de sa série. Dans Dark Souls, pas de warp avant la deuxième partie du jeu, pas de respec, plein de raccourcis à débloquer, des forgerons dispersés ... arrivé sur Dark Souls 3, on a déjà traversé toutes ces épreuves et elles ne surprennent plus. Du coup, on nous fournit des facilités pour les contourner. Par contre, pour nous barrer la route, on place des boss bien plus redoutables que dans le premier opus, du online aggressif, et des mid-boss plus redoutables que le pire qu'on rencontre dans le premier épisode. J'apprécie également l'évolution de la série en terme de diversité des armes, en équilibre des infusions (upgrade paths), des builds et de l'interaction en ligne. C'est d'ailleurs sur ces aspects que l'on repère les légères imperfections de ce premier opus, lesquelles passaient pourtant inaperçue à l'époque de la découverte. Qu'importe. Que ce soit dans sa version originale ou dans son remaster, Dark Souls est un mythe à découvrir ... et le restera.
Darksiders: Warmastered Edition play4
Herbrand

le 04/06/2020
7
Imaginez un Zelda se déroulant dans un univers post-apocalyptique rempli d'anges et de démons qui veulent votre peau : voici Darksiders. On peut difficilement nier ce parallèle tant le déroulement du jeu et le gameplay sont similaires, y compris dans l'acquisition progressive d'outils. Même les combats de boss ont ce petit côté "énigme" bien familier de la série de Nintendo. Là où Darksiders se démarque c'est dans ses combats : War est bien plus agile que Link, ce qui donne un dynamisme accru et très appréciable. Le seul gros défaut vient du scénario, qui échoue malheureusement à créer du suspense, malgré une volonté claire d'esquisser une trame basée sur la trahison et la manipulation. Darksiders n'en reste pas moins un jeu plus que sympathique. A découvrir.
Darksiders: Warmastered Edition play4
Herbrand

le 18/05/2019
7
Imaginez un Zelda se déroulant dans un univers post-apocalyptique rempli d'anges et de démons qui veulent votre peau : voici Darksiders. On peut difficilement nier ce parallèle tant le déroulement du jeu et le gameplay sont similaires, y compris dans l'acquisition progressive d'outils. Même les combats de boss ont ce petit côté "énigme" bien familier de la série de Nintendo. Là où Darksiders se démarque c'est dans ses combats : War est bien plus agile que Link, ce qui donne un dynamisme accru et très appréciable. Le seul gros défaut vient du scénario, qui échoue malheureusement à créer du suspense, malgré une volonté claire d'esquisser une trame basée sur la trahison et la manipulation. Darksiders n'en reste pas moins un jeu plus que sympathique. A découvrir.
Demon's Souls play3
Herbrand

le 04/11/2012
7
Demon's Souls n'est pas un jeu d'une difficulté hors d'atteinte. Il se base simplement sur un principe différent, où la mort n'est pas synonyme de game over mais bien l'incarnation d'un apprentissage, d'un manque de connaissance et de pratique. Demon's Souls n'est pas un jeu où l'on s'engage fleur au fusil, mais où le moindre dommage reçu coûte cher et chaque pas effectué requiert un peu plus de prudence et génère une montée d'adrénaline supplémentaire. Ces éléments sont placés dans un équilibre et une maniabilité proche de la perfection et constituent un savant mélange qui se révèle, au final, particulièrement agréable à prendre en main. A chacun sa tactique, chacun son style ; mais prudence : la défaite et la mort ne sont jamais loin.

Quasiment impeccable dans son gameplay, Demon's souls va pêcher au niveau du background, et plus particulièrement de son scénario. Alors que le titre disposait d'un potentiel énorme, il s'est contenté d'un scénario minimaliste justifiant un périple dans des donjons à l'ambiance pourtant très envoûtante. De surcroît, l'interaction avec le monde extérieur se limite à une poignée de NPC peu bavards.

En dépit de ce défaut, Demon's Souls reste une expérience unique qu'il incombe à tout joueur de s'y essayer.

+ Une autre vision du jeu vidéo
+ Gameplay très libre, varié et techniquement presque parfait
+ Une ambiance sombre, prenante et stressante

- Scénario minimaliste
- Peu de dialogue et d'interaction
- Certains boss rendus faciles par des glitches pouvant se déclencher sans volonté du joueur
Digimon World play
Herbrand

le 01/07/2013
5
Un RPG dispensable aujourd'hui qui aura au moins eu le mérite de nous amuser dans notre jeunesse.

+ Système d'évolution intéressant
+ Recrutements variés
+ Impression de découverte
- Scénario inintéressant
- Gameplay type "tamagochi" qui freine fortement la progression
- Bug dans la version française
Digimon World 3 play
Herbrand

le 16/04/2013
3
Un RPG tour à tour dans l'univers des Digimon. Le gameplay rappelle assez celui de Pokémon si ce n'est qu'au lieu de capturer de nouvelles créatures, on doit débloquer des évolutions de nos digimons qui peuvent ensuite s'en équiper et les changer à souhait. Bien que ce système soit intéressant, il est entravé par des combats mous au possible. Comme on s'y attend dans ce genre de jeu, le scénario n'est pas terrible non plus même si l'on prend plaisir à retrouver certaines figures.
Disgaea: Hour of Darkness play2
Herbrand

le 16/04/2013
5
Voici un T-RPG avec un humour et un univers complètement dingue ; j'ai été conquis dès les premières minutes. Une grosse part du gameplay est malheureusement contrainte par du grinding intensif tout au long de l'aventure, qui sera finalement obligatoire pour en voir le bout.
Dissidia Final Fantasy: Opera Omnia ios
Herbrand

le 21/08/2018
5
Opera Omnia est un jeu iOS fan service plutôt sympathique, qui apporte l'avantage concurrentiel de ne pas bloquer les personnages FF derrière un système gacha désespérant (coucou Brave Exvius). Ici, plaisir immédiat : on peut chopper ses héros préférés pour former un trio du tonnerre, partir à l'aventure au gré du scénario minimaliste et principalement composé de saynètes. Même si les clins d'oeil et l'aspect cross-over sont sympas, ça ne vole pas trois pattes à un canard. Reste le gameplay, qui consiste en un tour par tour s'appuyant sur le système de double jauge HP/Brave bien connue des jeux Dissidia, mais avec en plus des boss qui possèdent leur propre particularité.

In fine, tout ça donne un jeu sympathique et plaisant à jouer lorsqu'on a rien d'autre que son mobile sous la main. Le plus gros carton rouge est que beaucoup de personnages sont à débloquer via des missions ponctuelles accessibles pendant 2 semaines. Déconnectez-vous un moi et vous êtes certains de rater un voire deux persos. Il ne vous reste dès lors plus qu'à attendre qu'ils réapparaissent à nouveau... dans plusieurs mois.
Dragon Quest IV: L'épopée des Elus nds
Herbrand

le 09/08/2012
Edité le 25/10/2012
5
Sympathique mais peut-être trop classique, ce remake de Dragon Quest IV constitue une bonne introduction à la série et son univers. Bien qu'il ne surprendra ni dans son gameplay ni son scénario, il reste très agréable à jouer.
Dragon Quest V nds
Herbrand

le 15/07/2012
Edité le 25/10/2012
6
Assurément classique, Dragon Quest V brille cependant par son rythme agréable tout au long du jeu. Cet épisode propose un gameplay amélioré par rapport à son aîné (e.g., les captures de monstres) et plusieurs moments inoubliables. Les personnages attachants renforcent le scénario quelque peu banal.
Dragon Quest XI : Les Combattants de la Destinée play4
Herbrand

le 11/12/2018
6
Le dernier rejeton de la saga Dragon Quest propose une aventure plutôt rythmée et agréable à parcourir. Tous les ingrédients traditionnels sont présents et mis au goût du jour au travers d'une réalisation et de mécaniques contemporaines. Force est de constater que Square Enix est parvenu à mettre à jour la formule tout en préservant son classicisme. Peu de prise de risque in fine, ce à quoi il fallait s'attendre dans une série aussi conservatrice. Sans élever le niveau, DQ11 constitue un épisode honnête avec les forces et faiblesses héritées de ses prédécesseurs. Plus largement et malgré ses tares, il constitue peut-être aujourd'hui l'une des meilleures opportunités, pour les plus jeunes joueurs, de s'initier à l'art du RPG.

+ Le monde DQ sublimé par une réalisation d'aujourd'hui
+ Un système classique mais efficace
+ Rythme agréable
+ Casting plutôt sympa
+ Grande durée de vie (45 heures pour le jeu normal en ligne droite ; post-game très fourni)

- L'histoire et la narration banales (normal, c'est un DQ)
- Redondance entre les différents actes
- Très peu de variété dans la bande son (les 2-3 mêmes pistes reviennent en boucle)
Dragon's Crown psv
Herbrand

le 11/06/2014
Edité le 11/06/2014
5
En tant que fan du bon vieux Golden Axe, c'est avec plaisir que j'ai goûté à une version plus moderne. Dragon's Crown propose un gameplay alliant mécaniques d'antan et dynamisme d'aujourd'hui, supporté par une direction artistique et musicale géniale. Si le mode solo est déjà extrêmement plaisant, la véritable jouissance survient lors du déblocage online. La quasi-absence de scénario et l'inutilité de la touche RPG noircisse quelque peu le tableau, mais n'entrave en rien le plaisir réel de jeu. Plus qu'aux RPGistes chevronnés, ce soft s'adresse avant-tout aux amateurs de beat'em all rétro en quête d'une version plus contemporaine de leurs titres favoris.

+ Un beat'em all à l'ancienne remis au goût du jour
+ 6 classes au gameplay totalement différent
+ Direction artistique et musicale
+ Mode online

- Quête principale très courte, surtout si l'on joue en ligne
- Niveaux pas très nombreux, ce qui accentue l'aspect répétitif
- Scénario minimaliste
- Touche RPG dispensable, dont le seul propos semble de favoriser le loot et le grinding
Dragon's Dogma: Dark Arisen play3
Herbrand

le 22/07/2013
Edité le 23/07/2013
3
Avant toute autre chose, je précise que je n'ai passé que 18 heures sur Dragon's Dogma: Dark Arisen, soit juste assez pour terminer la quête principale d'une traite en faisant juste une ou deux quêtes annexes mineures. Je ne suis donc pas en mesure d'évaluer toute l'étendue du jeu, de son post-game et de ses annexes, en particulier les quêtes spécifiques à cette version.

En tant qu'open world, DD déçoit énormément. La carte n'est non seulement pas très grande, mais le sentiment de liberté est d'autant plus atténué que l'exploration est rapidement limitée par le niveau des ennemis rencontrés. De plus, les villes et villages sont peu nombreux et très peu peuplés, ce qui empêche une véritable immersion. Le scénario n'aide pas non plus à éprouver une véritable passion pour le titre de Capcom, se révélant particulièrement vide en dehors des quelques dernières scènes.

Les défauts susmentionnés auraient pu être comblés par un excellent gameplay. Le dynamisme et les sensations offertes par le système de combat, ponctués par la présence de 3 acolytes et un système de classes très flexibles, sont très appréciables. Les combats contre les boss diffusent un sentiment épique, bien que les problèmes de caméra et une certaine rigidité de la commande "Saisir" saccageront quelque peu ce sentiment. Le système de pions reste intéressant, de même que la personnalisation de l'IA.

En revanche, Capcom donne l'impression d'avoir tout fait pour tenter d'irriter le joueur au cours de son aventure : une seule sauvegarde, nombreux aller-retour sans téléportation libre, points de vie maximaux qui diminuent lorsqu'on prend des coups, quêtes annexes qui deviennent inaccessibles une fois passé un chapitre donné du scénario, l'IA complètement à la ramasse et l'interface pénible à utiliser sont autant d'éléments parmi d'autres qui empêchent DD d'être un jeu réellement appréciable.

Dragon's Dogma est, au final, une belle tentative dont les nombreux défauts montrent l'inexpérience de Capcom dans ce domaine.
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