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5 commentaires
Shalom msx
Van_Burace

le 24/08/2011
Tu l'as fini, chapeau. Et finir la trilogie, chapeau bas.
J'aimerais bien le commencer prochainement, alors une question : est-il long ?
The Maze of Galious msx
Van_Burace

le 26/10/2010
Edité le 26/10/2010
8
Mon premier jeu vidéo, c'était sur MSX. C'était Knightmare (Majou densetsu), un shoot à scrolling vertical, où on contrôlait Popolon qui allait sauver sa belle, Aphrodite.
The maze of Galious, c'est la suite (Knightmare II), mais cette fois-ci, on a le droit à un action-RPG inspiré par le premier Zelda.
Après avoir lu le billet de Popolon ci-dessous, j'ai décidé de le tenter via un émulateur.

Un jeu qui brille par sa difficulté, mais aussi par la simplicité de son principe. On explore d'écran en écran, de plate-forme en plate-forme, on récupère des objets, on slash des ennemis parce que c'est le seul moyen pour remettre sa vie à fond, et enfin on arrive dans l'antre d'un boss, souvent labyrinthique. Le tuer permet de gagner un niveau (augmentation de la barre de vie) et une clef pour se faire le boss suivant. Mention spéciale pour le design des boss d'ailleurs. Dans le premier Knightmare, ils étaient aussi très réussis. Pour des jeux du milieu des années 80, c'est impressionnant.
Au final, la seule chose qu'on puisse reprocher au jeu, c'est sa difficulté pour progresser (on est souvent bloqué, et vers la fin, c'est quasiment insoluble).
Un grand classique qui apporte ce qu'on était venu chercher : de la nostalgie et du plaisir.

Star Ocean: The Second Story play
Van_Burace

le 11/12/2010
Edité le 29/04/2012
9
Comme tout Star Ocean, il met du temps à démarrer. Les deux premières heures sont d'une grande passivité et on se paie pas mal de lecture pas forcément intéressante. Et une fois que l'aventure s'amorce, ça reste très classique et pépère, mais surtout très court, si on aborde le jeu en droite ligne.
Par contre, la dernière phase du jeu, celle jusqu'au boss de fin, se déroule sur un rythme frénétique. Très plaisant.
La grande force du jeu, ce sont ses à-côtés et les possibilités de développement de talents qui sont offertes au joueur. C'est bien simple, quelle que soit l'orientation que l'on fait prendre à ses persos, elle sera tôt ou tard profitable pour aider le joueur à progresser. On peut alors avancer dans le jeu en cherchant à se faire plein d'argent en vendant ses œuvres (peintures, romans en touchant des royalties, etc.), en se créant soi-même son équipement plutôt qu'aller l'acheter ou le trouver, en grugeant comme un voyou par quelques moyens malhonnêtes (faux actes de propriété pour acheter moins cher dans les boutiques ou dormir à l'œil dans les auberges, voire bien plus fumeux)... Je m'arrête là, mais l'univers des possibles est bien plus étendu (la compétence collective « orchestre » complètement abusée, le fait qu'un personnage n'ayant pas un talent inné puisse le développer à force de patience et d'exercice, etc.).
On pourrait aussi parler des conséquences des Private Actions, des deux embranchements du scénario selon que l'on joue avec Claude ou Rena (un principe assez peu développé, les différences sont minimes en définitive, il faut bien l'avouer) et du donjon secret pour les téméraires.

En bref, un excellent jeu, qui peut être abordé de multiples manières.
Breath of Fire III play
Van_Burace

le 20/10/2010
5
Un jeu qui a connu de bonnes et de moins bonnes critiques dans la presse spécialisée, allant du « Hit » au petit jeu sans prétention pour passer le temps, faute de mieux. Et côté passe-temps, pas de doute, on est servi : un jeu très long… mais en partie à cause de sa mollesse ! « Que c'est mou ! » écrivait Joypad (je crois). Et c'est pour moi son principal défaut : un cruel handicap. D'autant plus que les combats sont très fréquents.

Dommage car ce Breath of Fire dispose pourtant de qualités : un scénario beaucoup moins bateau qu'il n'y paraît (ne pas se fier à l'ambiance du début), un système de gènes sans gêne (oh, oh) et de quoi s'occuper en dehors de la quête principale (pêche et observation des ennemis en combat pour apprendre de nouveaux talents).

Vraiment, sans cette maudite lenteur, j'aurais pu retenir un jeu attachant. Mais 10 ans plus tard, j'y repense avec dégoût.

Une note bof, donc.
Dragon Quest V snes
Van_Burace

le 11/12/2010
Edité le 11/12/2010
9
Sans conteste, un pilier du RPG japonais.
Dragon Quest V offre un scénario puissant avec son lot de surprises et ses idées originales (je me rappelle à la maison hantée du début, surprenant), la possibilité de capturer des monstres pour les faire combattre et évoluer à ses côtés, le choix de son épouse (qui influence par la suite les compétences de ses enfants) et l'intrigue mettant en scène des protagonistes de trois générations (merci Phantasy Star III ?).
Vraiment emballé par ce jeu, du début à la fin, j'ai eu beaucoup de mal à décrocher. Dans la foulée, j'avais entamé le 6e opus, mais sans pouvoir aller au bout : je ne retrouvais plus le panache et l'ambiance du 5e... du moins sur la dizaine d'heures écoulée. Ce n'est que partie remise.
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