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Digimon World 3 play
Bahamut-Omega

le 10/09/2015
5

J’ai finis (une seconde partie sur) Digimon World 2003 sur Ps en 158 heures. Pour justifier ce temps j’ai déverrouillé les quatre évolutions de niveau Méga/Ultimate les plus puissantes et les cinq armes épiques.

Normalement un RPG au tour par tour sur la saga Digimon aurait dû recevoir une bonne note de ma part étant fan des deux, mais malheureusement ce n’est pas le cas.

Ce n’est pas à cause du scénario, pour une adaptation d’une série anime je n’attends pas grand-chose.
Idem pour l’OST qui rempli bien son rôle, sans être un chef d’œuvre du genre.

Les digimons présents dans le jeu ont bien étés choisis. On retrouve des digimons des trois premières saisons, un aperçut de la quatrième et quelques inédits aux jeux. De quoi satisfaire les fans de la saga.

Ce n’est ni la faute à la réalisation. Sans être bluffant, ses décors en 2D sont assez jolis et diversifiés (mais qui peuvent peiner à s’afficher si la console ou le CD se font vieux). Ou à la 3D des combats, qui représente fidèlement les digimons et leurs techniques phares. La lenteur des combats dû aux animations un peu trop longues ne m’a pas spécialement gêné (en même temps, c’est un peu le mal de beaucoup de RPG au tour par tour de cette génération de jeux surtout si on l’a compare à la précédente).

Non le problème vient surtout du gameplay.En théorie, celui peut sembler intéressant. En effet, au début du jeu on doit choisir entre plusieurs trios de digimon au niveau Disciple/Child qui ont chacun un domaine de prédilection. Ces Disciples peuvent être équipés d’armes, armures et accessoires à la façon de héros de RPG, mais peuvent surtout débloquer des évolutions (digivolution en français) sur trois niveaux de puissance (Champion/Adult puis Ultime/Perfect et pour finir Méga/Ultimate). Ces évolutions donnent un boost de stats mais surtout permettent l’apprentissage de techniques et magies. Les digimons Disciple peuvent « s’équiper » de trois évolutions et se partager des techniques et magies.
Pour résumer, même si les combats sont du un contre un, on peut choisir entre neuf digimons en combat (douze en fait, mais les trois formes Disciple deviennent vite sans intérêt en combat). Et selon les évolutions choisis on peut soit faire exceller un digimon dans un domaine, ou le rendre polyvalent. Additionné à la difficulté assez élevé du jeu, les combats peuvent être très intéressants…

Oui mais voilà, pour exploiter toutes ces évolutions et en débloquer des nouvelles, il faut faire du leveling… Quand on débloque une évolution, on ne reçoit qu’un boost de statistique, à part ça elle est entièrement vierge. Chaque évolution ont 99 lv, enfin en théorie car passer un certains seuil, l’expérience requise est multipliée par cinq, les évolutions ont en réalité un lv maximal entre 99 et 255. Bien sûr, tout comme les jeux Pokemon qui ne nous obligent pas à avoir toutes les bêbêtes pour finir le jeu, ici on peut se contenter que de quelques évolutions.
Mais comme je le disais, la difficulté est assez élevée et sans exploiter ce système d’évolution, qui à la base est assez intéressant, on peut très vite se retrouver bloquer, ou à devoir utiliser des tonnes d’objets de soin en combat (qui coûtent assez cher et donc demande à farmer de l’argent) ou abuser de quelques accessoires un peu cheatés.
Dans tout les cas, on se retrouve à farmer très souvent pour progresser dans l’histoire.
Dommage que le choix du leveling ait été choisis, débloqué des évolutions, déjà entrainées, à travers des mini-quêtes ou mini-jeux par exemple, aurait largement été mieux que ça…


Digimon World Re:Digitize psp
Bahamut-Omega

le 21/08/2015
7_5

J'ai finis Digimon World Re: Digitize sur PsP en 45 heures. 97 en prospérité.

Suite spirituelle de Digimon World sortit en 1999 sur Ps. Le jeu reprend le gameplay de ce dernier, où l'on doit s'occuper de son digimon comme un tamagochi, en le nourrissant, le dresser, l'entrainer, le cajoler ou le gronder. Le tout pour le faire évoluer sur des critères très précis et pouvoir explorer Files Island, et persuader des digimons de migrer vers l'unique ville de l'île; avant que le cycle de la vie fasse son œuvre et que notre compagnon rendent l'âme avant de se réincarner en bébé digimon.

Dans les nouveautés, déjà on a la possibilité d'avoir plus de digimons dont le stade d'évolution dit "Méga" ("Ultimate" en VO). Il y a aussi une plus grande variété dans les digimons Disciples/Child, donc plus de facilité à varier les stades d'évolutions suivants. Et surtout, les critères d'obtentions de Numemon ou Sukamon (les digimons "merdiques") plus compliqués à avoir.

Autre changement, les stades d'évolutions ont moins d'impacts sur l'issue même d'un combat, c'est moins fidèle aux animes, mais plus proche d'un RPG. Bien sur on a tout intérêt à faire évoluer un digimon. Les stats du digimon augmentent fortement mais aussi son espérance de vie et il a la possibilité de maitriser des techniques bien plus forte. Mais contrairement à DW sur Ps, être en Ultime/Perfect ne nous assure pas la victoire sur des Champions/Adult par exemple.

Concernant la réalisation, c’est très joli. Les environnements sont variés et assez détaillés. Mais malheureusement le choix de la 3D fait qu’ils sont assez vastes. Et vu le nombre d’aller-retour que l’on doit faire, surtout lors de l’entrainement d’un digimon (toilette, couchette, champ, magasin, salle de sport,…), j’en ai regretté la très belle 2D de l’époque permettant des déplacements bien plus rapides.

Dans les défauts, j’ai eu l’impression que le recrutement des digimons est en partie très inutile. Bien sur certains servent à ouvrir ou améliorer des infrastructures, mais une bonne partie d’en eux ne servent pas à grand-chose. Je n’ai pas retrouvé cette « proximité » et ce lien avec les digimons de DW. Cet aspect du jeu a probablement été mis en retrait à cause du scénario, chose qu’il n’y avait pas vraiment dans DW. Mais malheureusement pour moi, je n’ai pas vraiment été captivé par ce scénario dans DWRD

Et pour finir avec les choses qui fâchent, à l’instar de Digimon World 2003 sur Ps ou Digimon Adventure sur PsP, il y a un pic de difficulté à la toute fin du jeu, cette fois-ci causé, en partie, par la difficulté à apprendre des techniques de combats de niveaux avancés, surtout si l’on varie souvent de type de digimon. J’ai dû faire pas mal de cycle uniquement pour l’apprentissage des techniques, ce qui m’a pris une bonne douzaine d’heure de jeu pour ce farming.

Dans l’ensemble j’ai trouvé que c’était un bon jeu, en ce qui me concerne il souffre surtout de la comparaison avec le premier DW. Pour la partie principale du jeu, le dressage du digimon partenaire, ça reste très plaisant à jouer, pourvus qu’on aime ce genre de jeu et la saga.


Digimon World: Next Order play4
Bahamut-Omega

le 11/06/2017
6_5
J'ai finis la partie "scénarisée" de Digimon World: Next Order sur Ps4 en 46 heures.

Je suis passé par tous les états avec ce jeu.

D'abord la joie de retrouver un opus de cette saga. Dans Next Order, comme dans World premier du nom ou Re: Digitize, il faut s'occuper des digimons comme des "tamagotchi". Les rendre plus forts afin de partir à l'exploration et repeupler une ville du digital-world. Le jeu n'est pas aussi exigeant que l'était World (1), mais il est aussi moins archaïque. Par exemple les conditions d'évolutions se dévoilent petit à petit lors de l'éducation. Et grâce à certaines fonctionnalités de la ville, on peut bloquer certaines évolutions non-voulues ou voir leurs avancées.

Mais j'ai eu peur en voyant (après achats...) qu'une des nouveautés du jeu c'était qu'on devait gérer deux digimons en même temps. Je me suis imaginé les nombreux allers-retours pour les amener aux toilettes, les coacher un à un à l'entrainement, en nourrir un pendant que l'autre continue son exercice,...
Puis j'ai été rassuré de voir que tout a était prévu pour cette nouveauté. En effet, l'ergonomie des menus et quelques facilités de gameplay font que le jeu est finalement jouable. Et avec un peu d'éducation on peut facilement "synchroniser" le duo de digimon. Ouf pari réussi !

Et enfin un peu déçut du post-game très orienté sur le farming.
Bien sur, son lot de digimon plus forts que le dernier boss nous défient (mais où étaient-ils quand le Digital-world était en danger ?!). Là passe encore, cela nous pousse à exploiter pleinement le gameplay pour entrainer de puissant digimons.
Mais il y a aussi sont lot de farming à matériaux pour le développement de la ville, la récupération de toutes les cartes à collectionner ou d'une colossale somme d'argent. Bref très artificiel tout ça. Et c'est bien dommage, j'aurai aimé finir sur une touche positive.

Dans l'ensemble le jeu reste sympa à faire et "fait le job". Certes il est moins exigeant que World, mais aussi moins archaïque, un mal pour un bien.
Disgaea 3: Absence of Justice play3
Bahamut-Omega

le 25/08/2015
7

J'ai finis le scénario de Disgaea 3 Absence of Justice sur Ps3 en 44 heures (dont une bonne moitié consacrée au farming).

Et bien c’était une agréable surprise de (re-)découvrir cette saga à travers ce troisième opus cette fois-ci traduis en français. J'ai pu profiter pleinement de cette ambiance délirante et unique (aux jeux NIS) et rien que pour ça le jeu valait le coup d'être acheté, ça faisait très longtemps que je n'avais pas autan ris devant un jeu.

Mais l'autre force du jeu, malgré l'absence de grande nouveauté par rapport à l'opus précédent, c'est la richesse de son gameplay. Déjà, de part l'ambiance générale du jeu, c'est très différent de ce que proposent d'autres T-RPG, avec des gameplay bien plus sérieux et réalistes. Mais j'ai étais surpris par le nombre incroyable d'actions possibles que l'on a pendant, mais aussi avant, les missions. Mission qui durant le scénario sont assez diversifiés. Même si l’objectif est systématiquement de tuer tous les ennemis, les situations peuvent être tantôt gaguesque où un simple lancer de tonneaux explosif bien placé peut éliminer tout nuisible, tantôt sembler dramatique avec des ennemis qui sont placés sur une demi douzaine de case à bonus qui faut détruire astucieusement. En fait le scénario, et ces quelques pics de difficulté pour nous obliger à nous servir de l’Item World ou du système de Réincarnation, est presque un immense tutoriel en vue de nous préparer à l’immense post-game.

Post-game que je n’ai pas eu le courage de tenter… Car explorer l’Item World, cet enchainement de map assez similaire à difficulté croissante au sein d’un objet, en vu (entre autre) d’améliorer ces statistiques, est assez ennuyant. De même que faire du leveling pour explorer de nouvelles zones et récupérer des objets encore plus puissants. Le tout pour vaincre des boss lv 2000, 5000 ou 9999 avec des statistiques à millions de points.

Mis à part cet aspect du gameplay que je n’ai pas aimé mais qui peut-être considéré comme un atout, voire le fer de lance de la saga Disgaea et d’autres jeux NIS. La réalisation du jeu est décevante. Ce n’est ni plus ni moins qu’un portage Ps3 non HD de ce que proposait Disgaea 2 sur Ps2, et encore la réalisation sur ce dernier n’était pas son point fort non plus.
Heureusement la touche artistique, la bande son et l’excellent doublage original japonais (au choix avec un doublage US) font passer la pilule bien plus facilement.

Et pour finir, j’ai trouvé l’ergonomie des menus où la gestion de la caméra assez archaïque. Notamment proposer de masquer les couleurs des géopierres avec le joystick droit, mais de ne pas pouvoir bouger la caméra avec ce même joystick.

Mais dans l’ensemble j’ai apprécié jouer à Disgaea 3. Malheureusement ne pas faire le post-game me laisse une désagréable impression de ne pas avoir finis le jeu, tout comme sur Final Fantasy X (version PAL) et ces quêtes à farming bête et méchant sans grand intérêt.


Disgaea 4: A Promise Unforgotten play3
Bahamut-Omega

le 08/05/2016
8

J'ai finis le scénario de Disgaea 4: A Promise Unforgotten sur Ps3 en 30 heures, avec la fin de "Vulcano".

Pas grand chose à dire sur le jeu, du moins rien de plus que Disgaea 3: Absence of Justice. Si ce n'est que j'ai mieux apprécier le scénario et le casting. Donc un point en plus dans la note.


Dragon Age: Inquisition – Game of the Year Edition play4
Bahamut-Omega

le 28/02/2017
6
J'ai finis Dragon Age: Inquisition ~Game of the Year Edition~ sur Ps4 en 95 heures pour le jeu de base et ses trois extensions.

Premier opus de la saga en ce qui me concerne, je ne sais pas si ça sera le dernier j'ai quand même envi de connaître la suite, mais c'est mal partie quand même…

Le plus gros défaut de ce jeu à mon goût, c'est l'équilibre entre les phases de dialogues et de jeu. D'un coté les quêtes sans intérêts et avec des objectifs peu variés, et de l'autre des dialogues entre les nombreux personnages interminables et des rentrées dans le codex à n'en plus finir.
Si seulement les développeurs avaient trouvés la formule pour concilier les deux, pour rendre le scénario mieux rythmé et les phases de gameplay plus variées… Dommage, d'autres développeurs y sont arrivés.

Le choix aussi d'un avatar comme personnage principal est dommageable. Sachant qu'il participe à tous les dialogues et qu'il a un passé.
D'une, ça m'a semblé difficile de s'identifier à l'avatar.
De deux, la création du personnage étant assez limitée (sur console du moins) les nombreuses scènes sont gâchées par le manque d'expressions faciales et une démarche de gorille.
Proposer deux personnages par races (homme et femme) aurait été un bien meilleur choix à mon goût.

Il y a aussi le système de combat que je n'ai pas vraiment aimé. En difficulté normale, les combats sont longs. En facile, ils sont tout aussi longs mais plus ennuyants. Quand au mode "tactique", il n'a pas vraiment d'intérêt dans ces difficultés là, et est même moins lisible.
Il faut aussi attendre trop longtemps pour que les personnages aient de bonnes compétences.

Techniquement le jeu n'est pas terrible, même en édition "Game of the Year", aliasing, manque de stabilité de framerate, bugs graphiques et plantages fréquent.

Et pour finir avec les défauts, je trouve l'OST tout simplement absente du jeu. Ou plutôt de sa plus grande partie, c'est-à-dire les phases d'explorations et les combats normaux. À moins que le ventilateur de la console soit présent dans l'OST…
C'est dommage car Trevor Morris a signé d'excellentes pistes pour la partie scénarisée et les combats contre les boss.

Heureusement le jeu possède quelques qualités.
Son scénario plutôt intéressant, et son univers d'une richesse incroyable.
Coté personnage on a un peu de tout, mais les principaux sont plutôt réussis. Ils sont d'ailleurs très bien doublés en VO américaine.
Le jeu est plutôt bien réalisé, les décors sont détaillés, et surtout d'une très grande variété. C'est d'ailleurs le principal atout de ce jeu.

Je voulais lui mettre tout juste la moyenne, comme un autre Open-World plus récent, mais DAI possède au moins un univers riche ET développé dans le jeu.
Dragon Ball Z: Kakarot play4
Bahamut-Omega

le 26/01/2020
4_5
J'ai finis Dragon Ball Z: Kakarot en 36 heures (scénario hors DLC et la plupart des annexes).
Je voulais continuer un peu pour le platine, j'étais à quelques heures de jeu de l'obtenir, mais le jeu a planté, sauvegardes corrompues (les deux, l'automatique et la manuelle, allez savoir pourquoi) et automatiquement effacées. Voilà voilà… (D’où la note un peu sévère, mais quand on sort un jeu avec de tels bugs possibles il ne faut pas espérer mieux).

En dehors de cette malheureuse expérience de dernières minutes, le jeu souffre de pas mal de défauts en tout genre à mon sens.
Pourtant au début, j'étais optimiste. Le jeu est peut-être pauvre techniquement pour le support, mais la direction artistique en cel shading sauve le tout. Le jeu propose (au choix) le doublage original (bien sûr, le jeu n'a pas ressuscité les morts). Ainsi que l'OST originale ! Du moins en partie car des DLC semblent prévus pour la compléter (et oui, les défauts commence à arriver déjà...).

Le jeu propose de revivre l'histoire de DBZ, sans ses fillers (pas très grave). Déjà en soit c'est une bonne nouvelle vu que ça ne touche pas à Super.
Et de manière assez fidèle dans l'ensemble. Mais la mise en scène est assez sommaire en comparaison des jeux Naruto Shippuuden du même studio. Certaines scènes sont même gâchées par la mauvaise utilisation des OST. Ou certains moments importants sont tout simplement oubliés. La traduction française est assez catastrophique, il n’y a visiblement pas eu de relecture et contextualisation des dialogues.
Malgré tout, sur ce point ça reste une alternative sympa à la série de 291 épisodes qui traînent en longueur, ou à sa réadaptation discutable artistiquement. Mais c'est un peu décevant vu le passif du studio qui nous a habitués à mieux.

Le système de combat, est tout juste divertissant sur les premières heures de jeu.
Il n'est pas aussi nerveux que les jeux de combats DBZ, et sans aucune dimension tactique ou stratégique que sont censé proposer les bons Action-RPG. On a juste une petite gestion des techniques de combats et compétences de soutien.
Et un système de Level d'expérience censé permettre une gestion de la difficulté. Sauf que le farming d'expérience est très long et que les combats scénarisés donnent automatiquement de grosse quantité d'exp. Au final, jusqu'à l'End-game nous ne sommes pas vraiment maîtres de tout ça, si on veut diminuer la difficulté il faut farmer longtemps. Si on veut l’augmenter, il faut éviter de faire les quêtes annexes.

Concernant le semi Open-World, c’est beau, riche en détail et très fidèle à l’univers. Mais il n’y a rien à y faire (d’intéressant). Collecte de matériaux pour le farm ou le remplissage d’une encyclopédie. Et quêtes annexes de type «fedex» (collecte de matériaux et chasses aux ennemis lambda) qui ont le seul mérite d’être souvent proposées par des personnages de l’univers plutôt que des anonymes.
C’est pour moi un immense gâchis de voir un univers si vaste et si jolis être vide à ce point, et le plus gros défaut du jeu à mon avis.

Pire encore, le jeu a beau être assez vide, il faudra probablement compter sur des DLC, probablement payants vu le Season Pass proposé dans les e-shop, pour le meubler un peu. Comme ce n’était pas nécessaire dans le jeu de base.

Ça sera un sévère 4,5/10 pour l’instant.
6 ou 6,5/10 si des patchs sortent et corrigent des bugs, et si des DLC gratuits permettent de meubler un peu le jeu et corriger certaines scènes du scénario.
Bref je vous conseille vivement d’attendre de super promotions et d’acheter le Season Pass, ou une éventuelle version complète dans quelques mois. Car en l’état, le jeu est très décevant.
Dragon Quest V play2
Bahamut-Omega

le 25/07/2015
6_5
Faire ce jeu m'a permis de confirmer une chose, cette saga n'est pas faite pour moi...
Les consoles évoluent (tan bien que mal maintenant) mais les DraQue sont restés à l'époque de cette bonne vieille NES/Famicom.

Ici on a encore droit à un scénario minimaliste, un gameplay très archaïque, des musiques certes jolies dans l'ensemble, mais peu nombreuses. Et une réalisation dépassée au style reconnaissable de Toriyama, faisant ainsi mieux passé la pilule.

Mais je reconnais que derrière se scénario minimaliste, ce cache un petit lot de scènes très touchantes, dont il est malheureusement difficile de détaillé plus au risque de gâcher le peu d'originalité du jeu. Et rien que pour ça, je ne regrette pas d'avoir choisis ce DraQue pour laisser une troisième (et dernière ?) chance à cette saga.

Par contre, quelque chose m'a encore plus déçus que le concept même de la saga, c'est le système de capture de monstres dans cet opus. On doit avoir quoi ? 1% de chance de capturer un monstre à la fin d'un combat ? À croire que ce n'est qu'une partie optionnelle du gameplay du jeu réservée aux fans purs et durs visant les 100%. Mais non, car on a quelques passages dans le jeu avec seulement le héros et ces potentiels monstres capturés. Assez difficiles si on est seul ou avec de vrais bras cassés. Ou inversement, ça peut être trop facile si par chance on a de très bons monstres à fort potentiel.
Enfin ça me semble vraiment très mauvais comme concept. Et quand s'additionne d'autre choix de gameplay liés à cette volonté de rester à l'âge de fer jeuvidéoludique, comme le menu principal s'ouvrant avec la touche "valider", l’absence de mini-map pour se repérer sur la world-map, l'impossibilité de revenir à l'écran titre, ou de faire une sauvegarde rapide. Avec en plus une réalisation et des bruitages dépassés pour un jeu vendu sur Ps2, vous l'aurez compris, ces 30-40 heures sur ce jeu n'ont pas été très agréable en ce qui me concerne.
Dragon Quest XI : Les Combattants de la Destinée play4
Bahamut-Omega

le 04/10/2018
4
J'ai finis et platiné Dragon Quest XI sur Ps4, en 88 heures.

Mon troisième DraQue.
Le premier étant DQ VIII sur Ps2, à cette époque je découvrais la saga et je n'avais pas aimé, j'avais d'autres attentes probablement. Mais en dehors de ça, je n'en ai pas de souvenir.
Et le second étant DQ V sur Ps2 (avec fan-trad US), que l'on m'a vivement conseillé comme étant "le meilleur DQ" (ce point peut-être sujet a débat bien sur, mais ce n'est pas la question). Cette fois-ci, en connaissant la saga, j'ai plutôt bien aimé le jeu mais sans plus. Sauf que je n'avais pas idée à quel point ce jeu pouvait être génial, comparé à DQ XI du moins…

Clairement, je n'ai pas du tout aimé ce onzième. Et ça sera probablement le dernier que je ferai.

Le plus gros défaut à mon sens, c'est la narration. Certes DQ n'a jamais été une saga avec des scénarii originaux et des narrations audacieuses, mais par exemple, le V avait une histoire simple bien raconté à mon sens.
Ici on a une histoire simple, mais raconté avec les pieds.
Dès les premières heures, je n'ai pas compris les choix imposés au héros (auquel je ne m'identifie pas du tout, alors qu'il est muet). Comme par exemple (sans spoils majeurs), on doit aller chercher le trésor de notre nouvel ami, ou vite aller voir si les habitants de notre village natal sont seins et saufs. Mais le jeu nous impose cet ordre…
Pire encore dans la dernière partie du jeu, où se système de "héros muet" montre qu'il n'a jamais été aussi mal exploité (même dans Tales of Xillia 2 c'est mieux fait), ou que la qualité d'écriture est vraiment nullissime, voire les deux.

Le ton utilisé par l'adaptation occidentale est assez enfantin, tandis que sur la version japonaise c'est plutôt neutre. Ça m'a donné l'impression d'être pris pour un débile tout le long du jeu, et les problèmes d'écriture évoqués n'ont rien arrangés.
Ce n'est même pas cohérent avec la PEGI, ou les autres organismes de censure, qui considère toujours que ce jeu est pour un public adolescent… Ah quoi bon infantilisé le jeu alors sachant que ça ne passera pas ?

Le doublage US et certes très bien interprété (en dehors des techniques d'hypertonicité où c'est assez ridicule). Mais ça ne colle pas du tout à la direction artistique. Il reste la possibilité d'éteindre les voix grâce au menu options, mais la mise en scène, même minimaliste, fait en sorte que c'est encore plus ridicule à mes yeux de voir des personnages parler dans le vide.

L'OST est très peu variée et assez quelconque. Seule la dernière partie du jeu gagne en variété et qualité, mais c'est trop tard.
Heureusement il reste la direction artistique, qui fait l'identité de la saga, pour sauver le jeu.

Techniquement le jeu est très correcte, même sur "old" Ps4. J'ai eu quelques ralentissements ou temps de chargement en pleine exploration, mais ça venait surement de ma console vieillissante, le jeu étant fluide dans l'ensemble.

Concernant le gameplay, là aussi je trouve que c'est assez mitigé.
J'ai bien compris que ce qui faisait l'identité de la saga, c'est la simplicité. Afin de proposer une expérience similaire aux RPG de la NES sur support actuel. Mais ici avec DQ XI, c'est plutôt "archaïque" que "simple", et les quelques nouvelles idées sont mal pensées ou mal exploités:
_ Un mode "combat libre" avec une gestion des déplacements, qui ne sert à rien à part casser le rythme des affrontements! Heureusement, un tour dans les options permet de passer en "mode classique". Mais on perd en lisibilité car la caméra reste fixe. "Rythme ou lisibilité, il faut choisir."
_ L'Hpertonicité, qui n'est ni plus ni moins qu'un système de Transe, à peine plus permissif, comme dans Final Fantasy IX (une des pires idées de merde de la saga, et je dis ça, FF IX est mon jeu préféré pourtant).
_ Chevaucher des monstres pendant l'exploration, c'est sympa oui. Mais vu la pauvreté du Level-design, ça devient vite agaçant.
_ L'utilisation de Transforge (forge portative) est assez lourde. Gourmande en matériaux et demande de trouver les recettes, le tout pour obtenir des équipements pas vraiment meilleurs que ceux que l'on peut trouver en explorant. Aussi, la capacité de forge dépend du Level du héros, donc même si on a assez de matériaux et une bonne recette, c'est quasiment impossible de créer un bon équipement plus tôt que prévu.
_ La carte, certes détaillée et utile, mais avec des sous-menus et donc peu ergonomique.
_ La possibilité de choisir les "quêtes Draconienne", le mode difficile d'une certains façon dès la première partie. Mais impossible de jongler entre les difficultés au cours d'une partie, ou du moins d'augmenter la difficulté au besoin.

Heureusement il reste les bases du gameplay, du RPG au tour par tour solide et simple. Le tout dans une direction artistique sublime (et loin d'être aseptisé comme dans beaucoup de jeux actuellement).
Mais les nombreuses fausses bonnes idées de gameplay, ou tentatives de modernisation de la saga ont tout gâchés. Avec en plus une narration désastreuse et enfantine, c'est arrivé à me dégoûter définitivement de la saga alors que je n'avais aucune attente particulière sur ce point.
Dragon's Dogma: Dark Arisen play3
Bahamut-Omega

le 04/02/2014
Edité le 04/02/2014
8
J'ai finis la quête principale de Dragon's Dogma Dark Arisen en 65 heures environ en normal au lv 63.
Dans l'ensemble j'ai bien apprécié le jeu, et pourtant je ne suis pas fan du style occidental dans les RPG.

+ L'histoire, tout par d'une simple chasse au dragon tout ce qu'il y a de plus banal (coucou Skyrim, t'as cru que je parlais de toi ?) une dimension plus "psychologique" y a été ajouté, et se n'est pas déplaisant à mon goût. Ça ne vole pas bien haut, mais ça à le mérite de rendre l'histoire un minimum intéressante.
+ Le système de Pion, pourquoi s'embêter à engager des mercenaires pas commodes moyennement finance alors qu'il suffisait de se créer son propre ami/esclave. On peut même recruter ceux de nos amis (gratuitement quelque soit le niveau) ou ceux d’inconnus avec des "points de faille" si ils ont un niveau plus élevé.
+ Le système de classe, 9 classes pour notre avatar, 6 pour notre pions, chacune avec leurs spécificités. D'ailleurs il est impossible de vaincre certains monstres sans archers ou avec seulement des mages par exemple. Faut varier ces équipes, les classes servent donc à quelque chose.
+ Les combats contre les boss, un peu plus et on se croirait dans Shadow of the Colossus. Les combats sont juste épiques. Chaque boss ont leurs points faibles qu’il faut soit atteindre et y grimpant dessus, soit en utilisant les spécificités de nos classes.
+ L’OST, des pistes vraiment majestueuse, surtout les thèmes de boss, qui s’intensifie au fil de l’affrontement.
+ Choix entre le doublages US et Jap. J'ai directement opté pour le doublage japonais, vraiment très réussis que ce soit pour les persos principaux ou les anonymes, même si on pourrait croire qu'il est moins adaptés au style occidental du jeu. La voix du dragon est juste parfaite.
+ Techniquement c’est vraiment pas mal, malgré quelques ralentissement quand il y a beaucoup de monde à l’écran et quelques bug de collision. On est loin d’un TES avec des plantages toutes les demi-heures ou des quêtes buguées impossibles à finir. Les jeux de d’ombres et de lumières sont réussis.
+ La durée de vie, colossale comme veut le genre. 40 heures pour l’histoire, plus du double pour le 100%.

- L’IA non programmable, c’est couillon de faire un système de jeu où l’IA est primordial, pour finalement ne pouvoir leur donné que trois ordres…
Cela dit je n’ai pas eu à me plaindre du comportement de mon pion principal et ceux de mes alliés, mais on sent que c’est très limité par rapport à l’importance que ça a.
- Gransys est très petit pour un pays, et assez vide. Une ville, un village de pêcher, une église paumé au milieu d’une forêt, voici les attractions culturelles de Gransys. On y ajoute quelques campements de soldats et de bandits, et on a résumé tout les lieux de vie du pays. Après il faut reconnaître que les donjons assez nombreux en comparaison sont assez variés.
- Les quêtes. Certains "scénarisées" n’ont aucune influence sur la quête principale, je pense aux quêtes de Mercedes, Madelaine ou Alienore. Et d’autres sont limités dans le temps. Sans compter les nombreuses quêtes de chasses ou cueillettes répétitives et sans intérêts.
- La partie finale du jeu, la plupart des quêtes "intéressantes" sont annulées une fois atteins. Mais surtout Gransys est bien moins agréable à parcourir, à se niveau là, j’ai eu envi de rusher vers la fin. Un conseil, explorez bien Gransys avant la mission "le combat final" qui ne l’est pas vraiment…
- Système de sauvegarde. Toutes les sauvegardes "automatiques" ne le sont pas réellement. Celles qui porte cette mention sont juste celles des auberges et pierre de faille. Les autres sont considérés comme des "manuelles" même si elles se font automatiquement, comprenez-vous ?

Malgré ces défauts, je l’ai trouvé très agréable à faire, plus qu’un TES Skyrim aux bugs faisant partie du gameplay tellement ils sont fréquents, aux donjons répétitifs et au système de classe imparfait.
Drakengard 3 play3
Bahamut-Omega

le 06/01/2019
7

Il y a quelques jours j'ai finis Drakengard 3 sur Ps3, en une trentaine d'heures à la louche (sans DLC), avec le platine.

Toujours aussi frustrant d'y jouer à cette saga.

Je vais commencer par les choses qui fâchent, ceux qui se voient le plus. La réalisation date de l'ère précédente. Mais surtout, techniquement c'est honteux. Le patch correctif semble corriger les plantages, mais pas plus. Ralentissement, aliasing, clipping, IA à la ramasse,... bref tout y passe.
La direction artistique sauve un peu le tout, avec en tête le chara-design.

Concernant le gameplay, c'est mieux que le premier opus. Bon en même temps, c'était difficile de faire pire hein? Mais ça à beau être mieux jouable, ce n'est pas plus captivant. Un coté A-RPG assez quelconque et rudimentaire. Avec quelques phases à dos de dragon (pour les boss notamment) et quelques phases de plateforme nullissime qui agaceront aussi l'héroïne. Ainsi que deux-trois missions typées Rail-shooter, là aussi assez basique.

Si tout ça ne vous a pas découragé, sachez que le jeu à quand même quelques points d'intérêts.
La richesse de son univers (lié à Drakengard (1) mais aussi NieR et NieR Automata) et son ambiance assez unique, surtout ces temps-ci, comparativement à d'autres J-RPG.

L'ambiance est moins glauque et pesante que le premier opus. Elle reste très violente et malsaine mais beaucoup plus drôle. Les punch-line du groupe improbable font mouches, encore faut-il aimer l'humour noir, burlesque, et grivois.
Bémol sur la mise en scène qui décline au chapitre 2, mais reste tout de même très correcte, encore une fois si on compare avec d'autre J-RPG.

Le pitch de départ du jeu étant: Zero une "invoqueuse", grossière, impudique et violente; veut tuer ces cinq sœurs invoqueuses qui, elles, sont considérées comme des déesses vivantes, après avoir vaincus grâces à leurs pouvoirs les despotes qui gouvernaient le monde.
Zero est accompagnée d'un tout jeune dragon (de 7 ans d'âge mental aussi) nommé Mikhail, qui est gentil, naïf et pas encore propre. Ce duo improbable sera rejoint par Dito, jeune homme psychopathe. Decadus un intello sado-masochiste (surtout masochiste). Octa un vieux pervers. Et Cent le beau gosse débile profond. Ces 4 hommes aideront Zero tout en assouvissant leurs phantasmes plus ou moins variés, mais tournant autour du sexe et des massacres.
Bien sur il y a une "vraie" raison au voyage de Zero, mais on ne l'apprend qu'à la toute fin du jeu, une fois que les pièces du puzzle se mettent en place.
Puzzle qui restera incomplet, car Yoko Taro oblige, le jeu lui-même ne se suffit pas entièrement. Il faut lire certaines nouvelles pour avoir la compilation des différentes fins du jeu, ajoutant quelques infos au passage. Cette "Dérivation E" servira de base à Drakengard (1).

Dans les autres points positifs, il y a l'ambiance sonore absolument somptueuse grâce à Emi Evans et groupe MONACA composé entre autre de Keiichi Okabe. Deux noms que l'on retrouve dans les OST très identifiable de la saga NieR.
Au niveau du doublage, la version US est exceptionnelle. Tant mieux car même si le doublage original est disponible, il faut payer pour en profiter, je m'en suis donc passé.

Pour résumer, à mon sens, on joue à Drakengard 3 pour Yoko Taro et son univers unique. Mais pas pour trouver un bon "jeu".


Earthbound snes
Bahamut-Omega

le 26/09/2015
9
Finis Earthbound sur SNES, en 30-40 heures environ.

Conquis par l'originalité de ce jeu. Ce n'est pas tout les jours que l'on joue à une parodie de J-RPG faisant par la même occasion une critique humoristique sur la société actuelle. Où l'inverse ça marche aussi.
Mais même sans aller jusque là, c'est assez rare de trouver un J-RPG de cette époque se passant dans un univers contemporain, ça change pas mal de la med-fan.

Coté réalisation, c'est assez archaïque pour un jeu de cette période, mais la touche artistique unique masque pas mal ce défaut.
L'OST, en accord avec le jeu, est très spéciale, difficile de la décrire en faite. Si je l'avais écouté en dehors du jeu j'aurai détesté la moitié des pistes je pense. Mais dans le jeu ça colle parfaitement à l'ambiance et c'est même assez sympa.

Coté gameplay, tout est très archaïque façon DraQue. Mais dans le système de combat j'ai apprécier quelque chose d'assez original dans le calcul des dommages, les dégâts sont progressifs, nous laissant parfois le temps de soigner in-extremis un personnage, ou de terminer le combat, avant son K.O. Ça donne un peu de dynamisme au combat, tout en restant dans un système de tour par tour.

Mais le gros défaut du jeu à mes yeux, qui tien plus d'un choix artistique que d'un défaut technique je pense, c'est d'avoir choisi de parodier DraQue. L'ergonomie de menus est juste horriblement archaïque...
Edge Of Eternity play4
Bahamut-Omega

le 21/02/2022
4_5

De mon coté j'ai finis Edge of Eternity sur Ps4 en 50 heures.

En deux mots: trop ambitieux.

J'ai ressenti de la part des développeurs une volonté de bien faire. De proposer un univers riche, aux airs de Star Ocean mais un peu plus mature et avec des dialogues moins mièvres que dans les "vrais" J-RPG (car il est français, cocorico... ou pas). Le gameplay est assez solide en plus, le système de combat ressemble à celui de Wild ARMs 5 avec un (presque) système de matéria à la FF VII pour les armes.

Mais voilà, techniquement ça ne suit pas du tout (sur Ps4 en tout cas). D'habitude je ne suis pas hyper regardant sur ça, mais y'a des limites.

Une cinquantaine de plantages (faites la moyenne par heure, c'est vite fait). Décors qui mettent une plombe à s'afficher, il m'est arriver de faire des kilomètres sans que le sol ne s'affiche à l'écran. 3D dépassées, mise en scène honteuse, doublage et synchro-labiale qui ne se lancent pas, carte illisible, menus qui buguent, etc...

Additionné à ça quelques faiblesses scénaristiques, au début le scénario part un peu dans tout les sens pour finir par être assez bâclée sur la fin. Fin qui laisse une porte ouverte, mais débouchera t'elle sur quelque chose? Ca...

4.5/10 pour le potentiel de l'œuvre. Mais croisez les doigts pour des patchs correctifs ou un remaster...


Eternal Sonata play3
Bahamut-Omega

le 14/11/2013
Edité le 14/11/2013
8_5

Finis ma première partie à Eternal Sonata sur Ps3 (3 fois sur 360 avant ça).
Bon je ne vais pas revenir sur ce que j'ai dis pour la version 360, je vais juste parler des modifications:

+ Les nouvelles scènes. Elles permettent de clarifier certains points ambigus sur la version 360 (la fin notament). Lunivers est mieux développé du coup.

+ L'augmentation de la difficulté. La difficulté de base correspond au NG+ de la version 360, mais sans les bonus. Le je ne se résume plus à du bourrinage de touche.

+ Les donjons supplémentaires, ça augmente la durée de vie.

+ Les personnages supplémentaire...

- ... mais qui arrivent trop tard.

- La difficulté est assez inégale. Les chapitres 1 et 2 sont assez facile, le 3 plus difficile sur la fin, le 4 est le plus dur de tous, faut à une équipe sans attaquant. Et à partir du 5 c'est bien plus facile, surtout si l'on a battus un boss optionnel qui donne un des meilleurs accessoires du jeu.

- Les photos de Piccolo ne servent plus à rien, à part les photos de dragons verts du chapitre 2, elles ne rapportent plus rien à la vente, et les monstres sont très radin. Faut vraiment faire le plein d'objets de soin à ce moment là, surtout en prévision du chapitre 4...

- Les jolies photos lors des mini biographies de Chopin, remplacées par des tableaux assez moches.

La version Ps3 est bien la meilleures version du jeu malgré les quelques nouveaux défauts.


Eternal Sonata xb360
Bahamut-Omega

le 23/01/2013
Edité le 19/05/2013
7_5
Tout a déjà été dit sur le jeu. C'est vrai qu'il possède pas mal de défaut que l'on retrouve dans pas mal de jeu aussi. Mais il possède des qualités uniques et rien que pour ça il mérite d'être fait. Pour une fois je vais me tester au système du "+ & -"

+ L'univers (level design et chara design) , coloré, détaillé, bref: magnifique. On est dans le rêve de Chopin, tout est beau, lui compris.

+ L'OST, du grand Sakuraba. Et bien sur les quelques compositions de Chopin que l'on entend dans le jeu, dommage qu'il y en ait pas plus même.

+ Le choix avec les doublages US et Jap, tout le monde est content comme ça.

+ Le système de combat dynamique et évolutif. Chaque persos ont leurs style de combats, sauf les jumelles qui partagent le même (logique, compréhensible du moins)

+/- New Game + plus intéressent à faire qu'une première partie. La difficulté est augmenté, quêtes annexes supplémentaires, téléportation possible au chapitre 6, possibilité de choisir le niveau du système de combat,... dommage d'attendre le NG+ pour bénéficier de ça.

+/- La légère biographie de Chopin qui coupe l'aventure de temps à autre. C'est bien d'en apprendre plus sur le bonhomme tout en écoutant quelques unes de ces œuvres , mais c'est assez embêtant quand sa coupe l'histoire.

+/- La fin, il faut vraiment être fan du jeu pour la comprendre et l'apprécier pleinement. Les autres resteront sur leur fin et pesteront contre ça.

+/- La présence des donjons, ils permettent d'éviter un syndrome FF XIII mais ne sont pas tout le temps justifiés.

- La mise en scène très molle, les dialogues longuet.

- Les personnages (protagonistes et antagonistes) très peu développés

- L'histoire assez basique et niaise. Une histoire de tension entre deux royaumes, l'un diriger par un prince au grand cœur et l'autre par un jeune comte maléfique. On a du mal a voir le lien entre Chopin, Polka et le reste de l'histoire.

- Univers peu développé.

- Très court et linéaire, 25-35 heures pour une première partie.

- Facile lors d'une première partie ou à la fin de manière générale.

Malgré tout ces défauts ou semi-défauts je garde un excellent souvenir de ce jeu unique en son genre. A tel point que je compte rempiler avec une version Ps3, plus complète (oui car j'ai joué sur 360 malheureusement).
Final Fantasy II: Anniversary Edition psp
Bahamut-Omega

le 23/11/2012
Edité le 19/05/2013
7_5
Je viens de finir Final Fantasy II 20th Anniversary Edition sur PsP en 26 heures, plus 8 heures sur le mode Renaissance soit 34 heures au total.

Et bien ma foi c'était bien sympa <img src=" /> . Le jeu ne m'avais pas marqué plus que ça sur GBA pourtant. Les graphisme 2D retravaillé sont sublime et l'OST réussite.
L'histoire est très banale, mais existante contrairement au 1° opus. Je me suis vraiment attaché aux héros, sufisament pour vouloir les aider à vaincre l'Empereur de Palamecia.
J'ai trouvé son système de combat avec la maîtrise des armes assez sympatique. Mais j'ai trouvé domage le fait de devoir choisir en l'amélioration des armes ou la magie. D'autan plus que pendant une bonne moitié, il est difficile régénérer ces PM. Du coup on économise les magies pour le boss du donjon, et on ne les améliorent pas. Il faut donc prendre le temps, hors donjon, de les booster pour éviter les mauvaises surprises en fin de jeu.
D'ailleur j'ai trouvé le jeu assez facile, malgrès la hausse de difficulté une fois arriver au Chateau de Palamecia (dû à certains groupes d'ennemis bien abuser).

Bref j'ai vraiment aimé rejouer à ce jeu, un bon petit RPG old school <img src=" />
Final Fantasy IX play
Bahamut-Omega

le 28/12/2011
Edité le 27/08/2014
10
C'est pour moi le meilleur Final Fantasy existant à ce jour et le meilleur RPG (et même jeu vidéo tout court) auquel j'ai joué jusque là.

Sur l'aspect technique je n'ai jamais rien vu de plus beau sur Ps1, les graphismes sont somptueux.

Musicalement c'est sublime, un vrai plaisir pour les oreilles.

Au niveau du gameplay, c'est très classique, pas tellement innovant, un retours aux sources quoi. Mais j'ai apprécié le système d'apprentissage de compétence et fait que l'on puisse, à nouveau, jouer avec 4 persos en combats. J'ai apprécier aussi que les persos ne soit plus polyvalent et qu'il aient un "Job" attitré (voleur, mage noir, mage blanc/invoqueur, chevalier, ninja, chevalier dragon et mage bleu).

La durée de vie est conséquente , l'histoire elle même peut être bouclé en une 40aine d'heures mais il existe de nombreuse quête annexes permettant d'augmenter la durée de vie de 10-20 heures.

Concernant le scénario, bien que le début puisse paraître niait, notre héros Djidane, doit enlever la princesse d'Alexendrie pour l'arracher des griffes de sa mère qui visiblement est en train de perdre la tête, aveuglé par le pouvoir. Mais plus on avance dans l'histoire, plus elle devient intense et bourré de réflexion sur la vie, la mort et la peur.

Les personnages sont tous très bien travaillés, sauf 3 de nos héros, surtout un en particulier qui ne sert qu'à détendre l'atmosphère. C'est là un des seuls défauts du jeu avec le système de "transe" ("fury") à mes yeux.


Final Fantasy Type-0 psp
Bahamut-Omega

le 22/06/2014
Edité le 29/06/2014
6
Fini Final Fantasy Type-0 sur PsP en 37 heures. Du moins le scénario car les 100% c'est une autre histoire.

Dans l'ensemble c'était sympa.

J'ai surtout apprécié l'histoire qui m'a captivé de bout en bout. Le thème de la guerre assez crédible au coté fantastique des premiers FF et de la "Fabula Nova Crystallis" (enfin ce qui l'en reste) ont formés un univers très intéressants.
Le dernier chapitre est assez en retrait par rapport au reste de l'aventure, c'est qui donne cette fausse impression d'arrivé comme un cheveux sur la soupe, à l'instar du big boss de FF IX qui en avait choqué plus d'un, les moins attentifs surtout .
Les héros sont nombreux et cool; caricaturaux pour la plupart ça tranche pas mal avec le fait qu'ils soient soldats. Mais en dehors de Rem et Machina, les douze autres n'ont pas de réels impact sur l’histoire (en dehors de leurs actions sur le terrain en tan que soldat d'élite bien sur).

Le système de combats aussi est bien, déjà pour un A-RPG (ou du moins un RPG avec de l’action pour être précis), avoir 14 personnages avec des styles et techniques différents c'est génial. La plupart sont même facilement contrôlable. On peut varier pas mal notre façon de jouer pendant les missions.
Missions qui sont assez longues et difficiles, il n'est pas rare de la commencer en sous-level par rapport au lv conseillé tan les ennemis sont radins en exp et nos persos nombreux (pas de partage d'exp...). Et il n'est pas rare non plus de les finir in extremis avec un "survivant" (renforçant au passage le coté « réaliste » de ces missions commando d’élite) ; les boss n'étant pas le challenge le plus difficile dans le jeu, du moins dans une première partie.

Mais le reste du gameplay est moins réussis à mon goût.
Déjà le contenue NG+ présent durant le NG, que ce soit des sub missions à très haut lv ou des monstres lv 99 sur la world map gênant un peu l’exploration. Mais aussi le fait que tout le scénario ne soit pas complètement dévoilé dans une première partie.
D'habitude j’aime assez les NG+, mais là c’est assez frustrant de louper tan de choses en première partie. De plus les bonus du NG+ peuvent sembler conséquent, mais dans ce cas précis non. Et les scènes inédites en NG+ ou NG++ ne répondent pas aux questions laissés en suspens.

Ensuite, le système de dialogue et de quêtes liés à l’académie, nous forçant à faire énormément d’aller-retour pour pas grand-chose.
Le fait qu’il faille faire tan de lv up sans que les gains soient redistribués aux membres dans la réserve, faut aimer le farming pour viser les 100%...
Et pour finir, le fait qu’il soit sur PsP, la gestion de la caméra est horrible. Le stick droit manquant se fait ressentir. Contrôler la caméra avec la croix directionnelle (à gauche donc) sachant que l’on contrôle les persos avec le stick (à gauche…) est un calvaire.

Sinon techniquement c’est très réussi, la PsP est bien exploitée. Les cinématiques sont sublimes.

L’OST est agréable à l’écoute sans être somptueuse. Quelques thèmes sortent du lot tout de même.

Malgré quelques choix étranges dans la construction du jeu, j’ai beaucoup aimé faire cette première partie et suivre l’histoire.
Final Fantasy Type-0 HD play4
Bahamut-Omega

le 30/12/2015
6_5

J'ai finis et platiné Final Fantasy Type-0 HD sur Ps4 (v 1.01) en 35 heures.

Bon je ne vais pas revenir sur le jeu lui même, j'ai déjà donné mon avis sur la version PsP.

Concernant le portage en lui même, à priori c'est juste filtre HD ajouté au jeu de base. Mais il y a deux ajouts majeurs (en dehors de la traduction française évidement).

Le choix de difficulté mais surtout un contrôle de la caméra. Aussi pourri soit-il (la caméra est hyper sensible) ça le rend bien plus agréable à faire (c'est dire si on reviens de loin).


Final Fantasy XII play2
Bahamut-Omega

le 31/08/2012
Edité le 25/10/2014
7_5

J'ai trouvé que les gros points forts de ce jeu sont l'univers d'une richesse incroyable, la qualité des dialogues, ainsi qu'une partie du gameplay. J'ai apprécier le système de combat avec les gambit (ordres précis pour les IA) , même si vers la fin du jeu, le joueur n'a pas grand chose à faire à cause de la polyvalence des persos.

Les persos sont très réussis, sauf Penelo qui ne sert qu'à se faire enlever comme Peach dans Mario, ou de narratrice pour l'épilogue (sont plus beau rôle du jeu, même sa tenue à changé pour l'occasion).

La réalisation est impeccable, l'OST est très réussite.
Et concernant le doublage US, c'est tout simplement un des meilleurs que j'ai pu entendre dans un jeux japonais.

J'ai moins apprécier le scénario, peu "fantastique" (pour un Final "Fantasy" c'est un comble). Mais bien écrit pour le coup.

Concernant le gameplay, je trouve que la sensation de liberté est fausse, certes on peut en théorie explorer pas mal de lieu dès le début, mais les ennemis qu'on y trouve sont tellement fort qu'il ne vaut mieux pas s'y aventurer.

La polyvalence des persos aide bien au début, mais rend le jeu bien ennuyant sur la fin. Je trouve assez stupide le fait que parmi un bonne dizaine d'armes différentes, seul les épées sont mise en valeur en fin de jeu.

La difficulté est assez bien dosé, ça peut être difficile si l'on est en sous équipement ou si l'on achète pas les Impulsions (attaques ultimes) rapidement (pour l'augmentation de PM surtout).

Les quêtes annexes sont peu nombreuses, les plus importantes sont celles en rapport avec la chasse, à part ça rien de bien utile, en fin de jeu c'est même ennuyant quand il n'y a que du farming à faire avant les boss optionnels ultimes.

Mais le gros défaut du jeu, est son système de coffre... de quoi avoir des envies de meurtre sur ses créateurs, surtout quand le jeu exige d'avoir un bon équipement pour ne pas trop trimer. Quel idée de mettre des contenus aléatoire, ou surtout des coffres qui disparaissent si on en ouvre un qui ne faut pas, comme celui de l'arme ultime.

Malgré tout ces défauts j'ai assez bien aimé le jeu, mieux que lors de ma première partie, même après Xenoblade Chronicle, qui dans le même genre (sauf pour le style scénaristique) l'enterre complètement.


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