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146 commentaires
Atelier Rorona ~The Alchemist of Arland~ play3
Bahamut-Omega

le 27/01/2016
4_5
J'ai finis Atelier Rorona: the Alchemist of Arland sur Ps3 en 29 heures avec 9 des 14 fins du jeu. Mon second opus sur cette saga.

Et bien j'ai étais assez déçu du jeu pour la simple raison qu'Atelier Iris: Eternal Mana sur Ps2 le bats dans pratiquement tous les domaines. Entre autre les combats mous, et sans challenges. Et surtout un passage à la 3D assez raté...
L'Alchimie a aussi changé, d'un coté le système d'effet ajouté gagne de l'importance et de l'autre les synthèses dérivées ont disparut. Sachant qu'il y a peu d'intérêt à créer des objets avec des effets intéressants, vu que les combats contres les boss sont optionnels, je trouve ce système plus ennuyant qu'autre chose.
Et pour finir avec le coté négatif, il n'y a aucune re-jouabilité. La progression dans le jeu pour obtenir la vraie fin est très exigeante, presque impossible à obtenir lors d'une première partie, donc je trouve dommage de devoir quasiment tout recommencer à zéro car en NG+ seul l'argent possédé est conservé.

Mais le jeu est assez original sur la progression et je suis assez bon public de l'humour de la saga. Et puis il y a le dual audio et la traduction française (oui je grappille quelques bons points, j'ai un peu de mal à en trouver).
The Witcher 2 ~Assassins of Kings~ : Enhanced Edition xb360
Bahamut-Omega

le 08/01/2016
9
J'ai finis The Witcher 2: Assassins of Kings Enhanced Edition sur 360 en 35 heures environ sur la voie de Iorveth.

Pas grand chose à dire si ce n'est que c'est un BGE. Système de "+ et -" vu que l'essentiel a été dit.

+ Scénario, intensité, qualité d'écriture et des choix qui ont une réelle importance sur le jeu.
+ Nombreux personnages charismatiques, Geralt en tête, mais pas que.
+ Univers d'une richesse incroyable.
+ Gameplay riche.
+ Quêtes annexes d'une qualité exemplaire.
+ Réalisation au top niveau pour la 360.
+ Magnifique direction artistique.
+ OST sublime.
+ Doublage (anglais) de qualité.

- Geralt atteint son potentiel d'évolution maximal très vite, les choix dans l'évolution du personnage sont cornéliens.
- Ergonomie des menus.
- Univers peu immersif si on n'a pas joué au premier opus. Aucuns résumés des évènements du premier jeu (ou des livres) ne sont disponibles dans le jeu.
- Quelques plantages lors des temps de chargement ou lorsqu'on navigue dans les menus.
Final Fantasy Type-0 HD play4
Bahamut-Omega

le 30/12/2015
6_5

J'ai finis et platiné Final Fantasy Type-0 HD sur Ps4 (v 1.01) en 35 heures.

Bon je ne vais pas revenir sur le jeu lui même, j'ai déjà donné mon avis sur la version PsP.

Concernant le portage en lui même, à priori c'est juste filtre HD ajouté au jeu de base. Mais il y a deux ajouts majeurs (en dehors de la traduction française évidement).

Le choix de difficulté mais surtout un contrôle de la caméra. Aussi pourri soit-il (la caméra est hyper sensible) ça le rend bien plus agréable à faire (c'est dire si on reviens de loin).


Xenoblade Chronicles X wiiu
Bahamut-Omega

le 22/12/2015
8_5
J'ai finis le scénario de [b][i]Xenoblade Chronicles X[/i][/b] (ver 1.0.1E) en 139 heures, avec 73% d'exploration jusque là.

Incontestablement mon coup de cœur de cette année 2015, et même de ces dernières années. Et en plus, c’est mon 200ème RPG (portages et remakes compris) !

Dans l’ensemble, c’est exactement ce que je m’étais imaginé du jeu au moment où les premiers trailers commençaient à sortir. Mais j’ai été très agréablement surpris par son scénario bien plus ambitieux que prévus et son univers très riche. On est bien dans un jeu de Takahashi !

Un point qui fait plaisir à voir, c’est une réalisation enfin digne de ce nom pour un J-RPG sur console de salon en 2015.
Certes c’est perfectible, surtout sur la version physique du jeu, et même avec les 10 Gigas de pack. Et la modélisation des personnages assez rudimentaire (expression faciales surtout.)
Mais j’ai vite oublié tan le reste du jeu est fabuleux. Un immense Open-World avec une direction artistique sublime, level-design ingénieux, décors magnifiques et détaillés; et un bestiaire varié.
De plus le chara-design et le mecha-design sont assez réussis. Un régal d’explorer la planète Mira qui en plus subit les caprices de la météo et bien sur un cycle jour/nuit, agissant tout deux sur la faune locale.
L’exploration se fait en trois phases. D’abord à pied, ensuite en DOLL/SKELL (les mechas du jeu) sans le module de vol. Et pour finir avec le module de vol. Où comment découvrir trois fois un même univers; bref, que du bonheur. Mais il faut compter une trentaine d’heures de jeu pour pouvoir enfin jouer avec les mechas.

Concernant le système de combat, là aussi on a deux façons de combattre.
D’abord on ne peut combattre qu’avec nos personnages. Pour le coup c’est une reprise du système de combat de [b][i]Xenoblade Chronicles[/i][/b] sur Wii, mais en un peu plus nerveux et avec une difficulté plus élevée. Un système de classe à été rajoutés pour notre avatar ce qui détermine les catégories d’armes qu’il peut porter et les arts qu’il peut apprendre. Et cette fois-ci il y a deux armes différentes, une courte portée et une longue portée.
Et ensuite, on peut combattre avec nos DOLLs. L’armement du mechas peut être acheté en boutique et c’est à nous de choisir ce qu’on veut lui mettre (et on a le choix, l’armement est très variés), moyennement finance.

Et pour finir avec les points positifs, je parlerai de l’OST de Sawano qui est très particulière. Hors jeu, j’ai cru à une blague tan les styles et les genres (dont certains que je n’aime pas du tout) se mélangent, une impression de fourre tout monumental sans cohérences. Et puis finalement, dans le jeu, ça passe. Il faut dire que New Los Angeles et chaque île ont leur propre ambiance.
Un petit bémol tout de même, l’OST est souvent mal exploitée, notamment avec ces thèmes pop en plein dialogue. D’une c’est hors sujet, et de deux ça devient inaudible que ce soit la chanson mais surtout les dialogues.
Le doublage américain est de qualité pour l’entièreté du casting, ce qui est déjà plus rare pour un jeu japonais.
Les bruitages quand à eux sont bons, mais ceux liés à la météo sont trop discrets.

Maintenant je vais passer aux points négatifs du jeu…

À commencer par les personnages qui à l’exception d’Elma et de certains PNJ ont le charisme d’une huître. Mais ce qui ne leur rend pas justice, c’est la qualité de la mise en scène de leurs histoires personnelles. Autan celle du scénario, sans être exceptionnel, tien la route. Mais celle des quêtes liées aux personnages (jouables ou non jouables) est catastrophique. Un petit dialogue de début de mission, un objectif très banal à remplir et pour finir un autre petit dialogue pour finir la quête (parfois à peine audible à cause de la chanson, du moins lors des missions consacrées aux PJ).
Ce qui est dramatique, c’est que ça donne l’impression que le jeu est moins ambitieux et moins riche que [b][i]XBC[/i][/b] qui l’était déjà bien moins que les précédents [b][i]Xeno[/i][/b], (hors c’est tout le contraire) en plus d’être déjà bien moins rythmé de part son système de mission.

D’ailleurs en ce qui concerne le système de mission, il reprend se qu’il y a de pire dans la plupart des RPG récents. La présence de quêtes de farming (chasses aux monstres, collecte de matériaux,…) sans grands intérêts autre que de nous faire perdre du temps.
Le farming de manière général est trop présent dans le post game, c’est d’ailleurs une des rares choses qui reste à faire dans cette partie du jeu. Que ce soit la création d’Insert et d’équipement, ou la création d’un DOLL ultime.

D’autres choses qui viennent gâcher le jeu, c’est l’ergonomie des menus. En dehors de la carte tout le temps affiché sur le gamepad qui est une excellente idée pour un jeu où l’exploration est si importante, tout le reste est à revoir. Trop de menus doublons ou inutiles (celui de la gestion de l’équipe !) , trop de sous-menus qui mériterai d’être des menu à part entière. Une encyclopédie et un bestiaire qui manquent de données (vu le nombre de missions de chasses et cueillettes). Un sociogramme moins lisible que celui de [b][i]XBC[/i][/b]. Et j’en passe… Mais surtout, une police d’écriture ridiculement petite dans ces menus. Quel est l’intérêt de jouer à un jeu console de salon en étant à 2m maximum d’un écran TV ?

L’absence d’un mode New Game +, ou la possibilité de refaire les missions du scénario. Ainsi que la limitation à un slot de sauvegarde par profile Wii U, sont à déplorés.

Et pour terminer avec les défauts que j’ai pu relever, la localisation est moins réussite que celle de [b][i]XBC[/i][/b], entre l’absence du choix avec le doublage orignal en japonais, et la censure. Beau pas en arrière de la part de Nintendo qui donne l’impression de ne pas croire à son produit.

Malgré tout ces défauts qui en agaceront plus d’un j’imagine, en ce qui me concerne c’est presque anecdotique tan le reste du jeu est réussis à mon goût. Et puis… il y a des mechas xD
The Elder Scrolls IV: Oblivion - Edition 5ème anniversaire play3
Bahamut-Omega

le 13/11/2015
8

The Elder Scrolls IV : Oblivion Edition 5ème Anniversaire finis en 90 heures sur Ps3.

Avec la plupart des quêtes principales de finis (c'est marrant de voir tous les titres que notre persos peu cumuler dans l'aventure). Il me manque "que" les quêtes des deadras (moins développées que dans TES V) et quelques quêtes de récoltes d'objets rares.

Ayant joué à TES V avant, la comparaison est assez rude sur certains points, que ce soit l'ergonomie des menus, la modélisation des visages (et leurs couleurs !), la spontanéité des discussions entre pnj, ou la maniabilité du personnage moins réaliste (et une vue à la troisième personne totalement ratée, heureusement optionnelle).

Mais un fois que je me suis habitué à tout ça, j'ai pris plaisir à découvrir Cyrodiil et le jeu lui même. L'univers des TES est incroyablement riche faut dire, la moindre quête peu prendre des dimensions épiques ici.

En ayant la version Ps3, je m'attendais à ce que ce soit truffé de bug. Finalement pas tan que ça, je n'ai eu que 4 plantages en 90 heures de jeu. À par ça, je n'ai eu que des problèmes de marqueurs de quêtes, parfois absents, parfois de la mauvaise couleur. Le doublage allemand qui remplaçait le français (pour deux personnages dans tout le jeu visiblement). Sur ce point là jeu reste parfaitement jouable sur cette version, même si la version PC est bien sur à privilégier.

Par contre, cette version souffre de quelques chutes de framerate quand l'écran est chargé. La mission finale du scénario est bien gâchée par ça. Et il arrivait souvent que certains dialogues n'étaient pas traduis en français ni doublé.
Sur ces points, cette version 5ième Anniversaire est assez ratée, elle ne semble rien améliorer par rapport à la version GoTY. A défaut d'avoir du contenue inédit, la correction de ces défauts n’aurait pas été de trop.


Metal Max Returns snes
Bahamut-Omega

le 01/11/2015
8

J'ai finis Metal Max Returns sur SNES en 33 heures. Les 8 tanks obtenus, les 16 primes vaincus, bazooka laser complété, et boss final "vaincu".

J'ai apprécié ce jeu, avec son univers post-apocalyptique. Pas de royaume à défendre, pas ami(e) à sauver, de destiné farfelue à suivre, d'artefact magique à trouver ou de démon à vaincre... non là le monde est déjà détruit. Il reste quelques villages et une poignée d'habitants, des vestiges de civilisations modernes, grottes et des paysages dévastés. Ça change un peu !

On contrôle donc un héros anonyme (bon Max, c'est dans le titre du jeu, mais on a le choix), fils de mécano, qui veut devenir chasseurs de primes et partir à l'aventure.

Et là, on n’a pas vraiment de ligne directrice. D'abord trouver un tank, moyen de locomotion et arme principale dans ce monde sans foi ni lois, puis trouver le moyen d’ouvrir une frontière, et après se débrouiller seul en parlant aux pnj. C’est assez original, on a presque l’impression d’être dans un open-world.

À noter que malgré l’univers post-apocalyptique, et quelques scènes tragiques, l’ambiance du jeu est assez comique et casse pas mal les codes du J-RPG standard. Un peu comme Earthbound.

La réalisation, c’est très correcte pour un jeu portage d’un jeu NES sur SNES. C’est surtout dans les détails des animations de combat que le jeu impressionne (modélisation des armes, certains effets comme les impacts, ricochets, esquive, explosion,…) et par le monster-design très orignal et mecha-design très réaliste.

L’ambiance sonore quand à elle est moins réussite, OST assez courte et peu diversifiés, peu de thème sont réellement marquants à mon goût.

Mais les bruitages sont très réussis.

Concernant le gameplay, avant d’apprécier le jeu il faut s’habituer à l’ergonomie très lourde des menus; reste du support original.

Un menu unique pour parler aux pnj, exécuter une action, vérifier ces équipements,…

Mais il existe un sous menu, le BS-Con (une sorte d’ordi portable) où l’on a accès à toutes les informations possibles. Description d’objets et équipements, cartes du monde, GPS pour les tanks obtenus,… Finalement on a accès à pas mal d’informations, encore faut-il faire l’effort de parcourir ce menu salvateur.

Une fois qu’on s’est habitué à tout ça, on peu profiter des deux systèmes de combat que propose le jeu.

D’abord les combats à pieds où l’on contrôle nos persos comme dans un Final Fantasy ou un Dragon Quest. C’est assez classique mais la difficulté de base fait que les combats sont un minimum passionnant.

Puis le combat à bord de tanks. Pas grand-chose ne change, on reste dans du tour par tour, mais évidement à bord de tank on est bien plus puissant, résistant, mais aussi moins mobile (impossible, en temps normal, de prendre un ennemi par surprise). Et on n’a pas accès à tous les lieux à bord des tanks.

Ces derniers peuvent être personnalisés, que se soit avec des armes, des options, moteurs, ou des programmes informatiques. Plus les tanks sont équipés, plus ils sont lourds et plus il faut sacrifier des tôles de blindages (les PV). À nous de faire attention à ne pas suréquiper les tanks (ne serais-ce qu’en récupérant un de leurs équipements en donjon, sans forcément les installer), au risque de les rendre très fragiles. Ces équipements peuvent être aussi améliorés dans certaines villes (puissances, stock de munitions, résistances, précisions, esquives,…).

De quoi se créer des tanks parés à toute situations, d’autan plus que le jeu est assez difficile, il faut souvent revoir sa copie et changer d’équipements en fonctions des ennemis.

En ce qui me concerne ça a été une expériences très agréable, que je recommande à tous les fans de RPG de cette ère. Même si la concurrence est très rude, et qu’il y a mieux à faire en priorité sur ce support.


Tales of Zestiria play4
Bahamut-Omega

le 29/10/2015
6_5

Je viens de finir Tales of Zestiria et son DLC, sur Ps4 en 59 heures.

Eh bien dans l'ensemble c'était assez agréable (qui l'eut crut ? vu le bashing autour du jeu).
Bien sur ça reste un Tales of, à quelque chose près, on prend la même chose et on recommence. Si la saga ne vous dis rien, ou vous a souvent déçut, inutile d'espérer grand chose de cet opus.

D’autan plus que le jeu n’est pas vraiment séduisant concernant la réalisation (oui autan commencer par ce qui fâche). On est plus sur un jeu Ps2 en moitié de vie (porté HD quand même) plutôt qu’un jeu Ps3 en fin de vie.
Décors vaste, mais vide avec quelques éléments sortis d’une ère révolue (l’herbe, le feuillage des arbres, les fleurs,… en 2D dans un environnement 3D !). Mise en scène archaïque, même s’il y a des progrès par rapport aux autres opus. Personnages inexpressifs. Level-design générique. Le tout légèrement masqué par uns style artistique très "manga" et de sublimes cinématiques mieux réussites que certains animes populaires du moment. Mais tout ça ne change rien pour les habitué de la saga, c’est à peu près la même chose pour tout les épisodes 3D sur console de salon.
Là où c’est nettement plus embêtant, surtout pour un jeu de 2015, c’est que la réalisation n’est pas du tout maitrisée. Chute de framerate et distance d’affichage des décors honteuse (tout deux corrigés en partie sur Ps4 cela dit) et gros problèmes de caméra en combat. Pas là peine de proposer des zones plus vastes et toujours aussi vide, ou une transition directe entre les phases d’explorations et de combats si c’est pour proposer ce résultat honteux.

Mais pour le reste, ce Tales of est dans le haut du panier à mon goût.
L’histoire est très classique. Une ère du chaos, un orphelin à la destiné incroyable, une princesse au bon cœur, une religion bafouée, des politiciens véreux, une guerre entre royaumes, des séraphins à retrouver, un seigneur des calamités, un monde à sauver. Bref on change quelques termes mais on retrouve la même chose que dans les autres Tales of.
Mais les personnages principaux sont un peu moins stéréotypés que d’habitude, mieux développés et assez mature. Du moins quand la situation l’exige, encore une fois c’est un Tales of, l’humour est omniprésent. Et une fois n’est pas coutume, pas de boulet dans l’équipe ! Pas de perso indécis qui ne savent pas pourquoi ils participent à l’aventure, pas de chouineurs, pas d’écervelés,… bref une bouffée d’air frais pour la saga de ce coté-là.
Dommage que la traduction française soit basée sur la traduction américaine qui s’est permis quelques adaptations discutables en plus de l’habituel censure. Dommage sur certains points l’épisode se voulait à peine plus mature que d’habitude.

Concernant l’ambiance sonore, j’ai été un peu déçu de l’OST. Non pas par la prestation de Sakuraba, égale à elle-même, c'est-à-dire insipide pour son travail sur les Tales of (mais d’un meilleur niveau que sur les derniers opus). Mais par le très petit nombre de pistes de Shiina ou de collaboration entre les deux compositeurs. Et ces quelques pistes (moins d’une vingtaine) sont malheureusement très peu exploitées dans le jeu. Les scènes où ces pistes sont utilisés n’en sont que plus épique, mais c’est très dommage d’avoir ce déséquilibre dans les musiques du jeu quand il est question d’une centaine de musiques et d’une collaboration entre deux artistes.
Par contre, pour une fois dans un opus inédit, on a enfin le choix entre le doublage original et le doublage américain. Il était temps !

Quand au gameplay, en commençant par le système de combat. Même si il est grandement gâché par la caméra absolument horrible dans les zones étroites, il reste vraiment intéressant, un beau mix entre ceux des Destiny, Graces F et les Xillia. Avec comme nouveauté l’Armatisation/Kamui : Sorey et Rose peuvent fusionner avec les séraphins laissant place à une entité très puissante basé sur un élément. Les humains, les séraphins, l’Armatision ayant chacun leurs points forts et leurs points faibles. La difficulté est assez bien dosée en plus, on a le choix entre quatre modes, puis s’ajoutent deux autres modes par la suite.
Par contre, dans les nouveautés du gameplay, j’ai trouvé le système de capacité et de fusion d’équipements très mal expliqués (les persos eux même le reconnaissent dans les saynètes) et de toute façon peu utile dans le cadre d’une partie "normale" (à voir dans les difficulté très élevée ou dans le cadre d’un quelconque challenge).

En résumé, c’est un Tales of de plus tout de qui a de plus. Avec les habituels défauts et qualités de la saga. Les fans ou les habitués seront encore en terrain connus. Pour les autres pourront passer leur chemin… encore une fois. Ou tester la saga avec un épisode en accord avec sa génération, Phantasia par exemple.


The Last Remnant xb360
Bahamut-Omega

le 30/09/2015
7
The Last Remnant finis en 70 heures environ, sur 360 (600 G, 20/22 Succès).

Je risque de ne pas être très original et rejoindre l'avis général sur cette version du jeu :

+ Le Système de combat, qui montre que le tour par tour est intemporelle et peut (encore) proposer des combats épiques.

+ OST, rien est à jeter, que se soit les thèmes d'ambiances ou les nombreux thèmes combats.

+ Durée de vie et contenu colossale.

+/- Scénario assez banal dans un univers pourtant assez riche. Personnages stéréotypés et peu charismatiques à mon goût.

+/- Pas mal d'éléments manquables, dommage qu'il n'y ait pas de mode NG+ dans cette version, car la replay value est bien là, surtout si l'on joue sans guide en première partie.

+/- La réalisation, c'est très jolie. Les décors sont sublimes et variés.
Mais malheureusement le jeu souffre d'énormes problèmes de chute de framerate lors des combats, et de lenteurs a affichés les textures. Sans parler de la démarche des personnages dans certaines scènes me rappelant une scène du film l'Aventure c'est l'aventure, ainsi que certaines expressions faciales ratées.

+/- Pas encore de Dual-Audio. Mais le doublage US est assez convainquant pour une partie des personnages.

- Aucun tutoriels pour nous guider dans ce jeu au gameplay incroyablement riche.
Sans FAQ ou guide il faut presque faire une partie uniquement consacrée à l'apprentissage du gameplay et à la progression dans le scénario, et une autre pour bien faire progresser ses personnages en vu du contenue annexe souvent très difficile.

- Système de chef complètement débile dans cette version. Non seulement il faut déverrouiller les chefs à travers des quêtes annexes, ensuite il faut débourser une conquête somme pour les recruter, pour finalement être limité dans leur intégration dans les équipes.
Earthbound snes
Bahamut-Omega

le 26/09/2015
9
Finis Earthbound sur SNES, en 30-40 heures environ.

Conquis par l'originalité de ce jeu. Ce n'est pas tout les jours que l'on joue à une parodie de J-RPG faisant par la même occasion une critique humoristique sur la société actuelle. Où l'inverse ça marche aussi.
Mais même sans aller jusque là, c'est assez rare de trouver un J-RPG de cette époque se passant dans un univers contemporain, ça change pas mal de la med-fan.

Coté réalisation, c'est assez archaïque pour un jeu de cette période, mais la touche artistique unique masque pas mal ce défaut.
L'OST, en accord avec le jeu, est très spéciale, difficile de la décrire en faite. Si je l'avais écouté en dehors du jeu j'aurai détesté la moitié des pistes je pense. Mais dans le jeu ça colle parfaitement à l'ambiance et c'est même assez sympa.

Coté gameplay, tout est très archaïque façon DraQue. Mais dans le système de combat j'ai apprécier quelque chose d'assez original dans le calcul des dommages, les dégâts sont progressifs, nous laissant parfois le temps de soigner in-extremis un personnage, ou de terminer le combat, avant son K.O. Ça donne un peu de dynamisme au combat, tout en restant dans un système de tour par tour.

Mais le gros défaut du jeu à mes yeux, qui tien plus d'un choix artistique que d'un défaut technique je pense, c'est d'avoir choisi de parodier DraQue. L'ergonomie de menus est juste horriblement archaïque...
Digimon World 3 play
Bahamut-Omega

le 10/09/2015
5

J’ai finis (une seconde partie sur) Digimon World 2003 sur Ps en 158 heures. Pour justifier ce temps j’ai déverrouillé les quatre évolutions de niveau Méga/Ultimate les plus puissantes et les cinq armes épiques.

Normalement un RPG au tour par tour sur la saga Digimon aurait dû recevoir une bonne note de ma part étant fan des deux, mais malheureusement ce n’est pas le cas.

Ce n’est pas à cause du scénario, pour une adaptation d’une série anime je n’attends pas grand-chose.
Idem pour l’OST qui rempli bien son rôle, sans être un chef d’œuvre du genre.

Les digimons présents dans le jeu ont bien étés choisis. On retrouve des digimons des trois premières saisons, un aperçut de la quatrième et quelques inédits aux jeux. De quoi satisfaire les fans de la saga.

Ce n’est ni la faute à la réalisation. Sans être bluffant, ses décors en 2D sont assez jolis et diversifiés (mais qui peuvent peiner à s’afficher si la console ou le CD se font vieux). Ou à la 3D des combats, qui représente fidèlement les digimons et leurs techniques phares. La lenteur des combats dû aux animations un peu trop longues ne m’a pas spécialement gêné (en même temps, c’est un peu le mal de beaucoup de RPG au tour par tour de cette génération de jeux surtout si on l’a compare à la précédente).

Non le problème vient surtout du gameplay.En théorie, celui peut sembler intéressant. En effet, au début du jeu on doit choisir entre plusieurs trios de digimon au niveau Disciple/Child qui ont chacun un domaine de prédilection. Ces Disciples peuvent être équipés d’armes, armures et accessoires à la façon de héros de RPG, mais peuvent surtout débloquer des évolutions (digivolution en français) sur trois niveaux de puissance (Champion/Adult puis Ultime/Perfect et pour finir Méga/Ultimate). Ces évolutions donnent un boost de stats mais surtout permettent l’apprentissage de techniques et magies. Les digimons Disciple peuvent « s’équiper » de trois évolutions et se partager des techniques et magies.
Pour résumer, même si les combats sont du un contre un, on peut choisir entre neuf digimons en combat (douze en fait, mais les trois formes Disciple deviennent vite sans intérêt en combat). Et selon les évolutions choisis on peut soit faire exceller un digimon dans un domaine, ou le rendre polyvalent. Additionné à la difficulté assez élevé du jeu, les combats peuvent être très intéressants…

Oui mais voilà, pour exploiter toutes ces évolutions et en débloquer des nouvelles, il faut faire du leveling… Quand on débloque une évolution, on ne reçoit qu’un boost de statistique, à part ça elle est entièrement vierge. Chaque évolution ont 99 lv, enfin en théorie car passer un certains seuil, l’expérience requise est multipliée par cinq, les évolutions ont en réalité un lv maximal entre 99 et 255. Bien sûr, tout comme les jeux Pokemon qui ne nous obligent pas à avoir toutes les bêbêtes pour finir le jeu, ici on peut se contenter que de quelques évolutions.
Mais comme je le disais, la difficulté est assez élevée et sans exploiter ce système d’évolution, qui à la base est assez intéressant, on peut très vite se retrouver bloquer, ou à devoir utiliser des tonnes d’objets de soin en combat (qui coûtent assez cher et donc demande à farmer de l’argent) ou abuser de quelques accessoires un peu cheatés.
Dans tout les cas, on se retrouve à farmer très souvent pour progresser dans l’histoire.
Dommage que le choix du leveling ait été choisis, débloqué des évolutions, déjà entrainées, à travers des mini-quêtes ou mini-jeux par exemple, aurait largement été mieux que ça…


Zone of the Enders: the Fist of Mars gba
Bahamut-Omega

le 02/09/2015
6

J'ai finis Zone of the Enders: the Fist of Mars sur GBA en 15-20 heures environ.

C'était sympa mais sans plus. Le gros point fort du jeu vient surtout de son univers Zone of the Enders très riche et de ses personnages "Evangelionesque" . Le scénario se laisse suivre, mais est gâché par la traduction française calamiteuse.

Le gameplay est assez pauvre, à quelques exceptions, c'est un peu le Super Robot Taisen des années 90 du pauvre, la difficulté en moins. Pas de map ni de robot à l'échelle et donc une gestion très minimaliste du terrain, la faute au grande variation de taille des robots. Une gestion du moral/spirit assez rudimentaire, quand on tue un ennemi on gagne 5 points, plus on a de points plus on peu exécuter des attaques puissantes.

En terme de gestion hors combat on peu juste améliorer avec de l'argent les LEV (les robots produits en séries). Ainsi qu'un équilibrage entre force et précision, et défense et esquive pour les LEV et les OF (les robots uniques).

En combat, dans les choses inédites au jeu, on a la possibilité d'activer ou de désactiver des phases de visées et d'esquives. Si l'on choisis de faire sans, ce sont des statistiques qui sont pris en compte (façon SRT). Et avec les scènes, c'est notre dextérité qui détermine l'issue de l'affrontement.

Et durant les mission, on peut parfois essayer d'atteindre un terminal pour télécharger de nouvelles armes pour les OF qui seront dispo après la mission, ce qui complique légèrement l'objectif de mission. Ou choisir de s'en passer et éviter les risques.

En résumé, c'est un jeu assez court mais qui ravira plus les fans de Zone of the Enders pour le complément scénaristique qu'il apporte, que de T-RPG.


Disgaea 3: Absence of Justice play3
Bahamut-Omega

le 25/08/2015
7

J'ai finis le scénario de Disgaea 3 Absence of Justice sur Ps3 en 44 heures (dont une bonne moitié consacrée au farming).

Et bien c’était une agréable surprise de (re-)découvrir cette saga à travers ce troisième opus cette fois-ci traduis en français. J'ai pu profiter pleinement de cette ambiance délirante et unique (aux jeux NIS) et rien que pour ça le jeu valait le coup d'être acheté, ça faisait très longtemps que je n'avais pas autan ris devant un jeu.

Mais l'autre force du jeu, malgré l'absence de grande nouveauté par rapport à l'opus précédent, c'est la richesse de son gameplay. Déjà, de part l'ambiance générale du jeu, c'est très différent de ce que proposent d'autres T-RPG, avec des gameplay bien plus sérieux et réalistes. Mais j'ai étais surpris par le nombre incroyable d'actions possibles que l'on a pendant, mais aussi avant, les missions. Mission qui durant le scénario sont assez diversifiés. Même si l’objectif est systématiquement de tuer tous les ennemis, les situations peuvent être tantôt gaguesque où un simple lancer de tonneaux explosif bien placé peut éliminer tout nuisible, tantôt sembler dramatique avec des ennemis qui sont placés sur une demi douzaine de case à bonus qui faut détruire astucieusement. En fait le scénario, et ces quelques pics de difficulté pour nous obliger à nous servir de l’Item World ou du système de Réincarnation, est presque un immense tutoriel en vue de nous préparer à l’immense post-game.

Post-game que je n’ai pas eu le courage de tenter… Car explorer l’Item World, cet enchainement de map assez similaire à difficulté croissante au sein d’un objet, en vu (entre autre) d’améliorer ces statistiques, est assez ennuyant. De même que faire du leveling pour explorer de nouvelles zones et récupérer des objets encore plus puissants. Le tout pour vaincre des boss lv 2000, 5000 ou 9999 avec des statistiques à millions de points.

Mis à part cet aspect du gameplay que je n’ai pas aimé mais qui peut-être considéré comme un atout, voire le fer de lance de la saga Disgaea et d’autres jeux NIS. La réalisation du jeu est décevante. Ce n’est ni plus ni moins qu’un portage Ps3 non HD de ce que proposait Disgaea 2 sur Ps2, et encore la réalisation sur ce dernier n’était pas son point fort non plus.
Heureusement la touche artistique, la bande son et l’excellent doublage original japonais (au choix avec un doublage US) font passer la pilule bien plus facilement.

Et pour finir, j’ai trouvé l’ergonomie des menus où la gestion de la caméra assez archaïque. Notamment proposer de masquer les couleurs des géopierres avec le joystick droit, mais de ne pas pouvoir bouger la caméra avec ce même joystick.

Mais dans l’ensemble j’ai apprécié jouer à Disgaea 3. Malheureusement ne pas faire le post-game me laisse une désagréable impression de ne pas avoir finis le jeu, tout comme sur Final Fantasy X (version PAL) et ces quêtes à farming bête et méchant sans grand intérêt.


Digimon World Re:Digitize psp
Bahamut-Omega

le 21/08/2015
7_5

J'ai finis Digimon World Re: Digitize sur PsP en 45 heures. 97 en prospérité.

Suite spirituelle de Digimon World sortit en 1999 sur Ps. Le jeu reprend le gameplay de ce dernier, où l'on doit s'occuper de son digimon comme un tamagochi, en le nourrissant, le dresser, l'entrainer, le cajoler ou le gronder. Le tout pour le faire évoluer sur des critères très précis et pouvoir explorer Files Island, et persuader des digimons de migrer vers l'unique ville de l'île; avant que le cycle de la vie fasse son œuvre et que notre compagnon rendent l'âme avant de se réincarner en bébé digimon.

Dans les nouveautés, déjà on a la possibilité d'avoir plus de digimons dont le stade d'évolution dit "Méga" ("Ultimate" en VO). Il y a aussi une plus grande variété dans les digimons Disciples/Child, donc plus de facilité à varier les stades d'évolutions suivants. Et surtout, les critères d'obtentions de Numemon ou Sukamon (les digimons "merdiques") plus compliqués à avoir.

Autre changement, les stades d'évolutions ont moins d'impacts sur l'issue même d'un combat, c'est moins fidèle aux animes, mais plus proche d'un RPG. Bien sur on a tout intérêt à faire évoluer un digimon. Les stats du digimon augmentent fortement mais aussi son espérance de vie et il a la possibilité de maitriser des techniques bien plus forte. Mais contrairement à DW sur Ps, être en Ultime/Perfect ne nous assure pas la victoire sur des Champions/Adult par exemple.

Concernant la réalisation, c’est très joli. Les environnements sont variés et assez détaillés. Mais malheureusement le choix de la 3D fait qu’ils sont assez vastes. Et vu le nombre d’aller-retour que l’on doit faire, surtout lors de l’entrainement d’un digimon (toilette, couchette, champ, magasin, salle de sport,…), j’en ai regretté la très belle 2D de l’époque permettant des déplacements bien plus rapides.

Dans les défauts, j’ai eu l’impression que le recrutement des digimons est en partie très inutile. Bien sur certains servent à ouvrir ou améliorer des infrastructures, mais une bonne partie d’en eux ne servent pas à grand-chose. Je n’ai pas retrouvé cette « proximité » et ce lien avec les digimons de DW. Cet aspect du jeu a probablement été mis en retrait à cause du scénario, chose qu’il n’y avait pas vraiment dans DW. Mais malheureusement pour moi, je n’ai pas vraiment été captivé par ce scénario dans DWRD

Et pour finir avec les choses qui fâchent, à l’instar de Digimon World 2003 sur Ps ou Digimon Adventure sur PsP, il y a un pic de difficulté à la toute fin du jeu, cette fois-ci causé, en partie, par la difficulté à apprendre des techniques de combats de niveaux avancés, surtout si l’on varie souvent de type de digimon. J’ai dû faire pas mal de cycle uniquement pour l’apprentissage des techniques, ce qui m’a pris une bonne douzaine d’heure de jeu pour ce farming.

Dans l’ensemble j’ai trouvé que c’était un bon jeu, en ce qui me concerne il souffre surtout de la comparaison avec le premier DW. Pour la partie principale du jeu, le dressage du digimon partenaire, ça reste très plaisant à jouer, pourvus qu’on aime ce genre de jeu et la saga.


Super Robot Taisen OE psp
Bahamut-Omega

le 28/07/2015
4_5

J'ai finis Super Robot Taisen Operation Extend en 303 heures. Et oui il porte bien son nom ce jeu, et encore, j'ai abrégé sur la fin...

Je vais commencer par les (quelques) qualités de cet opus.
Premièrement une partie du gameplay est vraiment sympa et assez originale par rapport aux autres opus de la saga. C'est un hybride entre le gameplay de SRT Neo sur Wii et de SRT A Portable sur PsP. Sans rentrer trop dans les détails, pas de damier, possibilité d'utiliser les seishin (des magies) pendant les contre-attaques, possibilité d'augmenter les statistiques des unités en étant à coté d'alliés, etc,...
Concernant les nouveautés, contrairement à SRT Neo où, en pleine bataille, on avait accès à toutes les unités que l'on possédait, sans pouvoir toute les sortir en même temps. Ici, comme dans les autres SRT, on nous demande choisir une équipe, n'excédant jamais 12 unités. Mais comme dans SRT Neo, en combat, on ne peut en choisir qu'un certain nombre (8 si la limite st de 12 par exemple). 4 unités resteront toujours dans le vaisseau, afin de pouvoir faire un roulement entre les unités endommagées et les opérationnelles.
Autre nouveauté, certaines unités "real-robot" (en terme de gameplay il faut comprendre, des unités plus doués pour l'agilité et la précision, que la résistance et la force) peuvent être sortie en groupe (prédéfini). Seul le leader peut attaquer et subir des dégâts, mais si il est détruit, un coéquipier prend de suite le relais. Le gros avantage de ces groupes c'est que les membres du groupe se partagent leurs magies et peuvent faire quelques enchainements d'attaques. Rendant ainsi ces real-robot bien plus intéressants et encore rentable en fin de jeu.
Et pour finir avec les nouveautés majeures du jeu, les missions importantes sont en plusieurs parties (2 ou 3). Et donc, les robots utilisés en première partie ne peuvent pas être utilisés pendant la seconde. Du moins en théorie, car une astuce (qui s'avère être une vraie bénédiction) permet d'éviter cette contrainte.

Maintenant au tour des défauts, et il y en a, à mes yeux...
À commencer par le format même du jeu, en démat' uniquement et en 8 parties. Ce jeu est clairement conçus pour être jouer "à la japonaise", c'est à dire quelques minutes quotidiennement dans les transports en communs. Cela se traduit donc par l'absence d'un scénario développés et beaucoup de missions de remplissages où il ne se passe pas grand chose. D’ailleurs on peut recommencer à volonté une mission une fois fini.
La réalisation aussi n'est pas le point fort du jeu. Cette 3D utilisé est archaïque et assez moche pour le coup. Et dire qu'au même moment un SRT en 2D était prévus sur... 3DS ! Ils ont eu la flemme de réorganiser les équipes de développement du coup on a eu droit à ce choix de consoles aberrant pour deux jeux. Heureusement la mise en scène des combats est plutôt sympa.

Mais ce qui m'a le plus exaspéré, c'est un choix liés au format du jeu afin d'allonger artificiellement la durée de vie :
_ Quand on est entre 1 et 4 lv inférieur à celui de l'ennemi, il a des malus de 5% sur les stats de nos unités. Jusque là rien de grave, mais vous commencez sûrement à flairer l'embrouille majeure du jeu.
_ Quand on est entre 5 et 9 lv inférieur à celui de l'ennemi, il y a des malus entre 25 et 35% sur nos stats. De suite, c'est plus embêtant. Ça correspond à peu près à un mode difficile des autres opus, si ce n'est que d'habitude ce sont les ennemis qui sont plus fort et non nos unités plus faible. Le jeu étant très long à la base, il ne vaut mieux pas être dans cette tranche de lv à mon avis.
_ Et pour finir, quand on est plus de 9 lv inférieur à celui de l'ennemi, les malus sont entre 100 et 200%... autan dire que l'unité n'a plus aucune chance de toucher, ni de survivre à un assaut d'un seul ennemi.
Le jeu récompense donc le farming et puni le joueur qui veut exploiter le reste du gameplay et utilise des tactiques élaborées. Certes vous allez me dire qu'il n'est pas nécessaire de jouer avec toutes les unités à disposition, mais le "scénario" du jeu nous en impose très souvent, et elles ne doivent pas être vaincus au risque d'un Game Over. Donc sans soluce ou sans entraide, impossible de savoir les unités à privilégier et celles que l'on peut oublier ou laisser sur le banc de touche passé un moment. Et pour couronner le tout, contrairement à d'autres T-RPG, plus l'écart entre niveau est grand, moins les ennemis lâchent de l’expérience une fois vaincu....

Malgré sont casting très vaste capable de toucher un grand nombre de fan de mecha, cette obligation de faire du farming est une véritable plaie en plus d'être une aberration pour un RPG. C'est très dommage, le reste du gameplay était vraiment sympathique.


Dragon Quest V play2
Bahamut-Omega

le 25/07/2015
6_5
Faire ce jeu m'a permis de confirmer une chose, cette saga n'est pas faite pour moi...
Les consoles évoluent (tan bien que mal maintenant) mais les DraQue sont restés à l'époque de cette bonne vieille NES/Famicom.

Ici on a encore droit à un scénario minimaliste, un gameplay très archaïque, des musiques certes jolies dans l'ensemble, mais peu nombreuses. Et une réalisation dépassée au style reconnaissable de Toriyama, faisant ainsi mieux passé la pilule.

Mais je reconnais que derrière se scénario minimaliste, ce cache un petit lot de scènes très touchantes, dont il est malheureusement difficile de détaillé plus au risque de gâcher le peu d'originalité du jeu. Et rien que pour ça, je ne regrette pas d'avoir choisis ce DraQue pour laisser une troisième (et dernière ?) chance à cette saga.

Par contre, quelque chose m'a encore plus déçus que le concept même de la saga, c'est le système de capture de monstres dans cet opus. On doit avoir quoi ? 1% de chance de capturer un monstre à la fin d'un combat ? À croire que ce n'est qu'une partie optionnelle du gameplay du jeu réservée aux fans purs et durs visant les 100%. Mais non, car on a quelques passages dans le jeu avec seulement le héros et ces potentiels monstres capturés. Assez difficiles si on est seul ou avec de vrais bras cassés. Ou inversement, ça peut être trop facile si par chance on a de très bons monstres à fort potentiel.
Enfin ça me semble vraiment très mauvais comme concept. Et quand s'additionne d'autre choix de gameplay liés à cette volonté de rester à l'âge de fer jeuvidéoludique, comme le menu principal s'ouvrant avec la touche "valider", l’absence de mini-map pour se repérer sur la world-map, l'impossibilité de revenir à l'écran titre, ou de faire une sauvegarde rapide. Avec en plus une réalisation et des bruitages dépassés pour un jeu vendu sur Ps2, vous l'aurez compris, ces 30-40 heures sur ce jeu n'ont pas été très agréable en ce qui me concerne.
Front Mission 4 play2
Bahamut-Omega

le 16/07/2015
8_5

Finis Front Mission IV sur Ps2 en 40 heures tout rond.
Rien à dire, Allesthar en avait magnifiquement bien parlé dans son Test à l'époque. Je le rejoins à 100%.

Un 8,5/10 quand même en ce qui me concerne.


Atelier Iris: Eternal Mana play2
Bahamut-Omega

le 06/07/2015
7
Je viens de finir Atelier Iris: Eternal Mana, version NTSC-US traduite en français par Atelier Traduction (un grand merci à eux pour leur très bon boulot) en 31 heures.

Avec son air de Grandia, l'histoire ne casse pas trois pattes à un canard mais pourrait se laisser suivre si le rythme de l'histoire n'était pas si mauvais. En effet le jeu nous impose énormément aller-retour pour quelques broutilles, c’est assez énervant à la longue.

Le gameplay est simple est efficace. Le système de combat est au tour par tour à trois personnages jouables, avec une gestion des formations, des placements et de délais de compétences.

Hors combat, on a droit à trois formes de synthèse d'objet.
La première, celle des objets de mana, utilisable uniquement par le héros, y compris en combat. Il suffit qu'il ait trouvé l’objet et les Esprit de Mana, puis d’avoir assez de Mana requis pour fabriquer l'objet.
Les synthèses d'objets au magasin, réalisable par un pnj, qui nous demande de lui trouver des matériaux pour créer des objets (utilisables par n’importe qui en combat) ou équipement.
Et la forge, en associant certains objets aux équipements pour leur donner de nouveaux attributs. Ce système m’a semblé très anecdotique par rapport au deux autres cela dit.
La plupart des quêtes annexes sont liés à la seconde forme de synthèse. C’est assez fun au départ, car malgré la tache rébarbative, chacun des objets créés donnent droit à des dialogues souvent comiques. Mais à la longue je trouve que cela devient assez ennuyant, ça reste du farming pur et dur après tout.

Concernant la réalisation, certes ça ne reflète pas du tout les capacités d'une Ps2, mais ça a le mérite d'avoir très bien vieillis et d'être assez jolis.

L’ambiance sonore par contre est très réussite, les musiques sont belles, variées (trois compositeurs en même temps) et collent bien à l’ambiance du jeu.
Et en plus chose assez rare en 2004, le dual-audio est disponible, nous permettant de choisir entre le doublage américain, mais surtout le doublage original en japonais qui est très réussis.

Atelier Iris: Eternal Mana est un jeu agréable à jouer, suffisamment bon pour me donner envie de tester d’autres jeux Gust, mais loin d’être mémorable.


Dark Souls II: Scholar of the First Sin play3
Bahamut-Omega

le 26/06/2015
7_5
J'ai finis le "scénario" de Dark Souls II: Scholar of the First Sin version Ps3 en 130 heures, en prenant mon temps.

Dans l'ensemble j'ai été très satisfait de cet opus, même si la comparaison avec la version complète du premier opus est assez rude, du moins concernant le jeu en solo.

On a de nombreuses zones, certes très variées, mais aussi très courtes, avec peu de secrets, et qui s'enchainent sans réelle logique façon J-RPG standard.
Ensuite, le placement des ennemis est parfois étrange, comme mettre des soldats géants dans des souterrains où théoriquement ils ne peuvent pas utiliser leurs épées géantes tan c’est étroit, tout en y arrivant en profitant de bugs de collisions.
Les boss m’ont semblait moins charismatiques, moins forts et parfois ils sont même recyclés.
Et pour finir on a droit à un immense pic de difficultés concernant tous les boss et zones purement optionnelles, par rapport au reste du jeu (notamment celles des DLC où la coopération est incitée sans qu’elle ne soit facilitée).

Mais le gameplay a été bien amélioré dans son ensemble.
Que ce soit la gestion du leveling, avec des statistiques tous potentiellement utiles. Pyromancie liée à la Sorcellerie, ce qui l’a rend moins abusée. Un mode carcasse, plus pénalisant et donc des morts encore plus punitives. Ambidextrie possible. Farming possible, mais limités afin d’éviter les abus. Le Soul Memory qui empêche les invasions de joueurs avec un trop grand écart de level (même si ce n’est pas la panacée pour les amateurs de challenges low-lv). Et les Serments plus variés.

Concernant la réalisation, c’est beau, il y a un net progrès depuis DkS I, les environnements sont jolis et détaillés. Cependant on est loin du résultat promis à je ne sais plus quel conférence en 2013. Mais c’est souvent comme ça avec les jeux consoles et malheureusement pas exclusifs à DkS II. La Framerate est bien plus stable il peut y avoir quelques ralentissements assez rares dans certaines circonstances un peu chargées à l’écran, mais on est loin du Hameau du Crépuscule de DkS I par exemple.
Il y a malgré tout quelques bugs d’affichages, avec par exemple des coups ennemis ou des effets de lumières capable de traversés les murs.

L’OST est très belle, bien qu’un peu moins marquante que celle du premier opus. Mais Sakuraba a su prouver qu’il était capable d’autre choses que ces habituelles fourre-tout comme il le fait souvent pour les Tales of. Et le doublage original en anglais est toujours excellent.

Quand au scénario, ça reste fidèle à l’esprit de la saga. A priori pas grand-chose à part une vidéo présentant brièvement l’univers du jeu et une vidéo de fin. Mais les discussions avec les PNJ et les descriptions des objets et équipements (encore faut-il les trouver ou prendre la peine de les acheter) nous donnent les éléments nécessaires à la compréhension de l’histoire. Un style qui ne plaira pas à tout le monde mais qui a le mérite d’être assez orignal, surtout pour un J-RPG; et ça a aussi l’avantage de ne pas casser le rythme du jeu.

En bref, j’y ai passé d’agréables heures dessus, et ça continuera avec un NG+ dans quelques temps, malgré la comparaison assez rude sur certains points où DkS I excellait.
Dai-3-Ji Super Robot Taisen Z: Tengoku-Hen play3
Bahamut-Omega

le 23/05/2015
7_5
J'ai finis ma seconde partie sur Dai 3 Ji Super Robot Taisen Z Tengoku Hen (SRT Z III-2) sur Ps3 en 126 heures au total (71 heures pour la première partie).

C'est toujours un peu triste de finir un univers à cette saga, d'autan plus que l'année dernière c'était au tour des Masou Kishin.
Le manque d'ambition des épisodes de cet univers depuis les seconds opus sur PsP gâchent un peu la fête. Un seul héros et robot au choix en début de jeux, peu de secrets, casting vaste mais finalement peu exploité avec pas mal de séries sans grande implication dans le scénario, et le manque de variétés des missions (ou trop de mission "de remplissage").
Ici dans cet épisode, on a eu droit à beaucoup de missions avec des ennemis originaux. C’est normal pour un épisode final, mais plus de variétés dans les robots ennemis et des antagonistes plus nombreux et développés n’auraient pas été de trop. Cela dit, on a toute les réponses aux questions laissées en suspens et l’histoire est agréable à suivre.

La réalisation aussi est décevante, comme pour SRT Z III-1, rien à voir avec les magnifiques OG2 de 2012, DP de 2013 ou dans un autre style MK III en 2013 et MK F en 2014. Là on a droit à l'équivalent d'un joli portage HD des opus sur PsP. La qualité des animations des robots varient beaucoup d’un robot à l’autre. Parfois c’est très réussis comme pour le Zeta Gundam ou Nu-Gundam, et parfois nullissime comme pour le Dancougar Nova.

Concernant l’OST, les pistes originales sont toujours très sympas et concordent bien à l’action ou au personnage et à son robot, même si la qualité sonore date.
Mais les adaptations des musiques des différentes séries sont honteuses pour un jeu en 2015. Heureusement un mode Custom BGM est disponible, et a même été amélioré depuis Z III-1. Mais il faut passer du temps à réarranger soit même ses propres musiques pour pouvoir en profiter dans le jeu.

Le gameplay (avec l’histoire et l’univers) sauvent la mise. Même si je regrette un peu le système de trio de Z premier du nom, le système de duo choisis ici est simple et efficace. Créer des équipes en faisant attention à la diversité des magies des pilotes et sans que les robots ne se gênent par rapport à leur(s) terrain(s) de prédilection est assez addictif.
La difficulté est assez bien dosée, en mode normal c’est à peine plus difficile que le précédent. Dommage qu’il n’y ait pas de mode Extra-Hard, même si le joueur peut facilement s’imposer des règles de jeux pour ce le créer artificiellement (ne pas acheter de compétences aux pilotes et ne pas améliorer les robots, entre autre).

J’ai bien aimé parcourir deux fois ce jeu, il me manque une demi-partie pour avoir le trophée de platine correspondant au 100% réels du jeu. Mais ça devient un peu lassant à la longue.
Dommage que cette saga se finissent dans cette période bien morose pour les jeux japonais sur console, le manque d’ambitions et d’investissement des développeurs sur ce jeu "de niche" c’est pas mal fait ressentir, on est loin de ce que proposé SRT Apha 3, épisode final du second univers SRT, dix ans plus tôt.
The Legend of Zelda: Majora's Mask 3D 3ds
Bahamut-Omega

le 20/02/2015
10
J'ai finis The Legend of Zelda Majora's Mask 3D en 35 heures environ. Avec les quêtes importantes de faites (les masques, équipements et fées égarées) , mais pas à 100%.

Excellent remake d'un de mes Zelda préférés. J'ai toujours hésité entre Ocarina of Time et Majora's Mask pour désigné mon favoris, maintenant grâce à ce remake je peux enfin désigner un vainqueur, Majora's Mask ! En effet la version 3DS gomme pour moi les quelques défauts de gameplay qu'avait la version N64, en plus de nettement améliorer les graphismes.

Malgré les graphismes plus colorés, l’ambiance pesante avant que l’on batte les boss des 4 temples est toujours au rendez-vous. Et on peut toujours se retrouver dans des situations stressantes, même en ayant déjà fait le jeu sur N64, comme par exemple commencer un donjon le matin du premier et se retrouver à 12 heures d la fin du compte à rebours à chercher une (foutue) fée égarée...

Beaucoup de changements on été effectués pour ce remake. Le principal, et le plus décrié, étant le système de sauvegarde. Plus moderne et adapté à une console portable. Certes cela permet des abus, mais comme dans tous jeux vidéo « récents » Est-on obliger d’abuser du système de sauvegarde ? D’autan plus que rien ne peut définitivement être loupé dans ce Zelda, contrairement à d’autres (jeux), plus linéaire.
Les tactiques pour vaincre les boss ont été changés, elles exploitent mieux le gameplay des transformations, rendant les combats plus épiques (mais pas forcément plus difficile).
Pour le reste ce sont des modifications mineures, comme des fées égarées à un autre emplacement dans les donjons, la quête d’un masque qui change d’endroit,…
Il y a surtout de nombreuses petites améliorations de gameplay, comme l’agenda qui devient plus fonctionnel et complet, la possibilité de voir les mélodies que l’on doit jouer, les capacités des transformations plus simples à contrôler,… Et quelques changements de nom de lieux et de masques plus fidèle à la version originale japonaise.
Les seuls changements qui m’ont un peu gênés, c’est d’abord l’échange entre le premier et second cadeau des grandes fées, rendant l’exploration de la zone nord (et de son donjon) plus facile. Et le combat contre un boss optionnel qui a été simplifié.

Donc dans l’ensemble j’ai été conquis par ce remake, il faut dire que la base est très solide. Cette version 3DS est pour moi une vraie amélioration du jeu, on gagne en confort sans nuire à l’ambiance. Il manque peut être une vrai vue subjective sur « old » 3DS, sans avoir recours à l’arc ou au grappin, mais ça reste du détail, l’arc s’obtenant rapidement dans cet opus.
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