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Suikoden play
Bahamut-Omega

le 28/12/2011
Edité le 19/05/2013
7_5
Il y a quelques jours j'ai aussi finis Suikoden avec les 108 étoiles, sur SNES euh Ps1... (oui on peut se tromper en voyant des images, heureusement que ça bouge un peu dans le jeu).
Le jeu est très facile et assez court (25-30 heures).
L'histoire est assez sympatique sans casser trois pattes à un canard. L'originalité vien surtout du gameplay, à savoir rassembler 108 persos.
Le fait de battre certains boss en duel est sympa, mais trop rare pour être marquant.
Quand au fait de combatre une armé entière est bien vu, mais au final ça s'avère être encore du "pierre-feuille-ciseaux" sans indice cette fois, donc plus aléatoire.
Les menus sont assez archaïque aussi, pas très pratique, heureuse ce défaut est corrigé dans les fururs opus.
L'OST elle est de qualité.

Super Robot Taisen OG: The Moon Dwellers play4
Bahamut-Omega

le 03/09/2016
7_5

J'ai finis Super Robot Taisen OG the Moon Dwellers sur Ps4. En difficulté normal pour mon premier run sur le jeu.

Un opus du même genre que SRT OG Gaiden sur Ps2, se déroulant entre deux évènements majeurs. À savoir la fin de la guerre contre les renégats de l'Alliance Zovork et le début de celle contre l'Empire Ze Balmary.

Ici dans OG MD, de nouveaux renégats de Zovork font leur apparition, il s'agit du Gleiknr leur principal fabricant d'armes et d'équipements en tout genre, avec leur mercenaires mécontent que l'on ait vaincu dans l'opus précédent leur principal source de revenue à savoir Zezernan et ces idées de conquêtes.
De plus le Gleiknr semble soutenir nos nouveaux ennemis, les Guardisword (les ennemis de SRT GC) et les Fury (les ennemis de SRT J).
Et comme si cela ne suffisait pas, on doit aussi faire face à des alliés de Dark Brain, le grand méchant que l'on a vaincu dans OG Gaiden.

Malgré ce point de départ scénaristique, qui n'est pas plus mauvais que ça, je regrette juste la mise à l'écart de la trame principale de l'univers, pour se concentrer sur le développement d'un ennemi que l'on a déjà vu, et que l'on pensait définitivement vaincu.
De plus le gameplay perd un peu de son coté "épique" car on début le jeu avec la plupart des unités finale du précédents opus, mais bridées. La traditionnelle partie du jeu où l'on récupère petit à petit de nouveaux robots plus puissants pour vaincre les ennemis, est très discrète à cause du casting réduit.
La toute fin du jeu reste tout de même très agréable à découvrir.

Dans le gameplay, pas de grands changements par rapport aux opus précédents sur Ps3.
Si ce n'est que le système d’Ability est un peu plus utile, grâce à la présence d'un magasin pour en acheter et d'une monnaie parallèle qui lui est exclusive.
On peut aussi faire des Maximum Break avec n'importe quels personnages, tan qu'on leurs achètent une compétence assez couteuse. Ce n'est donc plus réservé qu'à une poignée de chef d'équipe.
Mais le principal équilibrage, c'est l'augmentation de la difficulté du mode normal. Sans améliorer ces robots, on remarque vite que les ennemis ont des stats plus élevés que dans la moyenne des SRT.
Les SR (Special Requirement, des objectifs secondaires dans les missions) sont plus dur à remplir, ce maintenir en difficulté hard est un peu plus dur que d'habitude.
Pour palier à cette petite augmentation de difficulté, un mode Beginner existe. Dans ce mode il n'y a qu'un seul itinéraire de mission possible et remplir des SR ne permet pas le passage en mode Hard, mais donne plus d'argent.
Pour les hardcore gamer en T-RPG, le jeu en mode normal ou hard restera assez facile tout de même. Seule la récupération de tout les SR en mode Extra-Hard pourra leur donner un peu de fil à retordre.

Concernant la réalisation, ça n'a pas bougé depuis les opus de 2012 et 2014. Certains y verront un défaut vu que depuis on est passé sur Ps4 mais les animations de combat restent magnifiques, on vit un vrai anime (et je ne parle pas d'un Naruto ou Dragon Ball Super…) . Par contre les petites animations 3D et les maps urbaines ne sont toujours pas terribles. Il y a même deux ou trois map urbaines de nuit totalement illisible.

Et pour finir, je parlerai de la particularité de la version Sud-Est asiatique Ps4, à savoir la traduction en anglais, ou plutôt en "engrish", car oui ce n'est pas génial. C'est suffisant pour comprendre ce qui se passe mais les habitués à la langue de Shakespeare auront de temps en temps les yeux qui saignent. Le gros défaut vient surtout de l'absence d'un travail d'adaptation, beaucoup de termes techniques restent en japonais, ce qui donne des dialogues encore plus lourd à lire qu'ils ne le sont déjà.

À l'exception de ces quelques défauts, cet opus est plutôt bon, surtout pour découvrir la saga. Le fait que ce soit un épisode intermédiaire est une bonne chose pour ça. Mais personnellement je reste un peu sur ma faim, j'espère que l'opus suivant sera un peu plus épique, avec l'adaptation de SRT Alpha 3 (entre autre).


Tales of Berseria play4
Bahamut-Omega

le 10/02/2017
7_5
J'ai finis Tales of Berseria sur Ps4 en 55 heures.

Plutôt une bonne surprise après les déceptions (surtout "après coups") des opus précédents.
Sans être le Tales of, ou encore moins le J-RPG du siècle, il corrige les principaux défauts de Tales of Zestiria à savoir, une meilleure caméra de combat, un système de capacité bien plus simple (dans le style de Final Fantasy IX) et surtout, que les boss n'ont plus autant de privilèges absurdes (frame d'invulnérabilité ou charge des sortilèges accélérée quand on leurs tape dessus).

Concernant les autres qualités du jeu, j'ai trouvé son casting très sympa, coté protagoniste comme antagonistes. D'autan plus que le dual audio est présent pour aider à leurs appréciations.

Mais j'ai surtout aimé son univers partagé avec Zestiria, ça reste assez rare dans les Tales of quand ça arrive, et ce n'est pas déplaisant à mon goût. Je n'irai pas jusqu'à dire que l'univers est très riche, mais j'ai apprécié les nombreuses références à Zestiria, ça le rend plus "vivant".

Cependant, ça reste un Tales of, avec leurs lots de défauts identiques d'un épisode à l'autre…

La réalisation bien sur, le combo "natif Ps3 + Namco Bandai" ne donne jamais de bon résultats sur Ps4. Décors vides, visages inexpressifs, mise en scène minimaliste. Il y a un petit mieux par rapport à Zestiria, mais rien de transcendant.

L'OST, du Sakuraba sans l'aide de Shiina cette fois-ci (même pour 4 ou 5 pistes). Donc une OST au rabais en partie déjà entendu dans d'autres jeux sur lesquels il a "travaillé".

Et une histoire qui reste dans la même veine que les autres opus (sans atteindre le néant absolue de Graces F ou Xillia 2 rassurez-vous). Je doute que quelqu'un se lançant dans un Tales of s'attende à trouver du Drakenguard, mais le scénario Berseria n'est pas aussi "sombre" que l'on veut nous le faire croire. Mais ce qui m'a un peu ennuyé, c'est que certaines informations optionnelles pouvant être trouvées en explorant gâchent certains scènes importantes…

Mais bon, un Tales of sans ces "critères" ne serait pas un Tales of, c'est comme ça qu'on les aime (ou pas).
The Legend of Zelda: Breath of the Wild nxn
Bahamut-Omega

le 07/06/2018
7_5
J'ai finis The Legend of Zelda: Breath of the Wild (v.1.5.0. sans les extensions) sur Switch en 95 heures.
Les 120 Sanctuaires de finis, toutes les quêtes principales de faites. 4 quêtes annexes à finir. Et 77 noix Korogus sur... 900.

Appréciant les Open-World (OW) et les Zelda, j'ai plutôt bien aimé ce jeu. Ça a été la douche froide tout de même sur quelques points, mais j'y reviendrai plus tard.

Tout d'abord j'ai été scotché par la direction artistique et la grandeur d'Hyrule, ainsi que la "verticalité" des lieux. Pratiquement tout est escaladable, tant que l'on a de l'endurance. Ça change un peu de TES V: Skyrim où le pauvre avatar a du mal à enjamber le moindre muret sur son passage.
Comme souvent à Hyrule, les régions sont très variées ce qui donne à cette OW une ambiance particulière. Peut-être même plus crédible que le monde d'Horizon: Zero Dawn.
Impressionné par les effets de la météo. Quand il pleut l'eau ruisselle, donc l'escalade est déconseillée. Quand il y a une tempête, il ne vaut mieux porter des armes métalliques. Quand il y a du vent, il faut faire attention avec le feu (ou pas). Et bien d'autres choses.
Bref c'est très détaillé et l'immersion est garantie.

BotW met l'accent sur l'exploration. Une fois passé le didacticiel, on peut théoriquement aller n'importe où. Et le but sera d'ouvrir l'œil pour chercher un chemin vers les Tours qui permettent de dévoiler la carte. Trouver des Sanctuaires qui permettent d'augmenter la vie ou l'endurance de Link. Les Korugus, petits êtres des forêts qui nous donnent une "noix" si on les trouve et/ou si on réussi leurs épreuves. Ou certains objectifs de missions.

Au début du jeu la liberté d'exploration reste théorique, car partir à la recherche des Tours ou aller affronter Ganon sans préparation relève du suicide. Il vaut mieux se concentrer sur les premières missions principales, le temps que l'inventaire se "remplisse" un peu, et faire quelques Sanctuaires.

Concertant le gameplay, plus d'équipements uniques à récupérer. Link possède maintenant quelques pouvoirs grâce à la tablette Sheikah comme les bombes, un aimant,…
Et peut récupérer des armes variées (épée courte/massue, épée/masse à deux mains, lance, boomerang, baguette magique, arc moyenne et longue portée, et bouclier).
Le système de donjon a été revu. Seulement 5, dont 4 "optionnels". Ces derniers sont très courts mais sont "vivants". On doit interagir avec eux pour déplacer des salles ou activer/désactiver des mécanismes pour progresser. L'idée est plutôt bonne je trouve.
Les Sanctuaires eux sont bien plus nombreux, mais très courts et assez facile dans l'ensemble. C'est grâce à eux que Link peut devenir plus fort.
Pour se déplacer, Link peut se téléporter grâce aux Sanctuaires ou aux Tours. Il peut aussi compter sur la paravoile (un deltaplane). Et bien sur, des chevaux qu'il doit capturer au préalable.
Touts ces choix restent cohérent avec celui de l'OW, et inédits dans la saga ce qui est une bonne chose.

Mais le jeu a, à mon sens, quelques défauts majeurs…
Comme le manque de personnages intéressants et charismatiques, ainsi que la narration quasi inexistante.
Dans les quêtes principales on nous présente bien quelques personnages mais qui ont une implication finalement très limitée dans la trame principale.
Les personnages secondaires eux sont inintéressants au possible. Je retiendrai seulement le barde Piaf et le maçon qui part construire un village, les seuls personnages que l'on revoit souvent et proposent des quêtes un minimum narrées.
Les quêtes elles mêmes sont assez peu nombreuses pour le genre, heureusement dans un sens car elles sont vraiment peu captivantes (une norme des jeux récents malheureusement).
Et même si on joue rarement à un Zelda pour l'originalité du scénario, ici il y a trop peu de scènes pour être intéressé par celui-ci, et surtout se sentir impliquer dedans.

J'ai beau aimer l'exploration, une fois les objectifs principaux de fait et lieux principaux de découvert une petite source de motivation ne serait pas de trop. Autre que la chasse aux 900 Korogus.

Le concept liberté totale semble être poussé à l'extrême. Le joueur peut se balader librement sans être réellement contraint d'aider les PNJ (vu leurs importances et le peu d'intérêt des quêtes annexes). Encore faut-il trouver une source de motivation pour explorer, ou plutôt continuer à explorer après avoir trouvé les Sanctuaires.
Un parti pris audacieux sur ce jeu, mais qui ne peut pas plaire à tout le monde.

D'autres points m'ont un peu gêné, mais à moindre mesure.
Le bestiaire très peu variés par rapport à la taille du monde. Mais surtout des boss totalement anecdotiques, avec des combats très confus qui plus est.
La forme ultime du dernier, bien que très facile, sauve un peu la mise grâce à la mise en scène réussite. Ainsi que les minis-boss que l'on retrouve un peu partout dans le monde, qui sont des clins d'œil à des boss historiques de la saga.

Dernière chose qui m'a agacé, l'ergonomie des menus. J'ai l'air de chercher la petite bête, mais vu le nombre de fois où l'on ouvre les menus dans ce jeu, ça a forcément une incidence sur mon jugement.
Raccourcis pas si intuitif que ça à mon goût. Regroupement de menus pas pratique, comme le menu d'option et de sauvegarde liés à celui de l'inventaire (composée lui-même de nombreux sous-menus). La carte qui n'est pas liée à celui des quêtes. Ou la cuisine/alchimie qui n'a pas son propre menus (ni de récapitulatif des recettes trouvées).

Point de vue réalisation, depuis les mises à jour c'est très correcte.
Bien sur la direction artistique masque le manque de technicité et de moyens, comme souvent dans les jeux japonais, mais c'est anecdotique à mon sens. L'important c'est que se soit jolis et stable la plupart du temps en "mode salon".
Musicalement, comme dans la plupart des OW, on a surtout droit à des musiques d'ambiances assez discrètes. Je retiens surtout le thème du donjon final qui regroupe plusieurs thèmes emblématiques de la saga. Les Zelda nous ont habitués à des OST plus marquantes, mais ça reste cohérent avec le choix de l'OW.
Et maintenant on a enfin le choix du doublage, plus obligé de se farcir la VF immonde, même pour quelques rares scènes.

Pour conclure (enfin!) The Legend of Zelda: Breath of the Wild est à mon sens un grand jeu, innovant sur de nombreux points, concernant la saga elle-même ou l'Open-World en général. Mais avec quelques petits défauts dérangeants et le partie pris de l'extrême liberté qui ne m'a pas entièrement séduit.
The Longest 5 Minutes nxn
Bahamut-Omega

le 23/02/2018
7_5

J'ai finis The Longest 5 Minutes sur Switch en une douzaine d'heure.

Le RPG qui nous fait commencer par l'affrontement contre le boss final, mais avec un héros qui ne se souvient plus de rien dès le début du combat...
Dans se combat, exceptionnellement en mode RPG-Textuel, Flash Back notre héros amnésique doit retrouver ses souvenirs. Et il y parvient au fil du combat grâce à ces coéquipiers désespérés par la situation, et même grâce au dernier boss lui même, qui trouve la situation assez cocasse.

Les souvenirs en question sont ni plus ni moins que les différents chapitres de l'aventure du héros, et même de sa vie.
Dans la forme (mécanique de jeu, comme direction artistique) ça ressemble au J-RPG de l'ère NES, si ce n'est la découpe en chapitre avec un objectif principal et parfois des objectifs secondaires, qui donnent de l'expérience "réelle".
Les combats sont aussi très classiques: du Dragon Quest dans le style et du Mother sur l'aspect visuel (uniquement). Mais réglé en difficulté "extrêmement facile"…

Et oui, le gameplay est finalement assez classique, en plus d'être linéaire.
L'originalité est (uniquement) dans la narration donc. Et c'est déjà pas mal, on a le contre-pied des jeux comme jeux comme Dragon Quest ou Bravely Default qui font du vieux avec un aspect neuf sur des supports actuels.

Techniquement c'est aussi un peu décevant. Aucun reproches à faire sur le choix la direction artistique, mais elle est un peu sommaire il faut l'avouer.
Sur Switch, j'ai aussi eu plusieurs plantages, sans raison apparente. Sur une douzaine d'heures de jeu assez linéaire, ça passe difficilement.
Plus qu'à espérer des mises à jour, avec tant qu'à y être d'autres modes de difficultés.Par contre l'OST est géniale, mention spéciale au thème de boss, énergique et épique.

Au final, tant que l'on n'a pas trop d'attentes sur l'originalité de gameplay, ce jeu mérite d'être fait, la narration le rend assez unique.
Mais il vaut peut-être mieux attendre une éventuelle mise à jour, ou des baisses de prix.


Tokyo Mirage Sessions #FE wiiu
Bahamut-Omega

le 23/11/2016
7_5

J'ai finis Tokyo Mirage Sessions #FE sur Wii U en 54 heures.

Et bien c'était une plutôt bonne surprise pour ma part. Mais il faut dire que je n'avais aucune attente particulière sur ce jeu, je l'avais acheté juste pour avoir un autre RPG sur Wii U...

Contrairement à Kingdom Heart (mais c'était une époque lointaine où l'information ne circulait moins vite), je savais que TMS#FE n'était un "vrai" cross-over entre deux sagas mais plutôt un jeu hybride piochant à droite et à gauche des idées ou autres références, donc pas de déception sur ce point là.
Mais surtout, ce jeu m'a permis de découvrir l'excellent système de combat à la Megaten et donner encore plus envie de m'intéresser à cette grande saga (du moins les Persona, pour les autres je verrai plus tard).
Et dans les autres bonnes surprises, ça a été l'ambiance générale à prendre au second degré. Ce n'est pas tout les jours où l'on doit aider des Idols à combattre des ennemis qui volent la culture (populaire) tout en les faisant progresser dans leurs carrières de jeunes artistes du show-biz japonais. Je ne dis pas que je serai ravi de voir ce jeu décliner en série, mais un petit ovni délirant comme ça, ma foi ça ne fait pas de mal.

Pour le reste, le jeu déçoit quand même sur pas mal de points. En grande partie la réalisation, après un Xenoblade Chronicles X, ça fait un peu mal. Et il déçoit aussi sur l'OST qui est très passe-partout. C'est assez fâcheux pour un jeu ce passant dans le milieu artistique (même populaire).

Mais bon, c'est un peu le mal de très nombreux J-RPG de cette époque. L'originalité du jeu et son système de combat le sauve. Quand on possède une Wii U, ce jeu doit être fait à mon avis.


World of Final Fantasy play4
Bahamut-Omega

le 19/02/2017
7_5
J'ai finis World of Final Fantasy ~Day One Edition~ (v1.02) sur Ps4, en 68 heures (42 pour le scénario, le reste pour le post-game et les trophées).

Dans l'ensemble j'ai été très satisfait par ce jeu, qui tient ces promesses avec du "bon" fan-service et un gameplay simple à prendre en main et efficace. Et arrive même à surprendre avec un scénario assez émouvant sur la fin.

Dommage qu'il y ait pas mal de petits défauts, qui bout-à-bout, pèsent sur la balance. Par exemple:

_ La trop grande facilité du jeu, qui ne permet pas réellement d'exploiter le gameplay.
_ Beaucoup de monstres "doublons" malgré que le bestiaire de la saga est loin d'être entièrement exploité.
_ Pas assez de "Sauveurs" utilisable en combat, d'autan plus que parmi ceux qui sont présent dans le jeu, un bon nombre font juste de la figuration.
_ Une OST très décevante, avec des thèmes exclusifs très transparents et des Remix plus que discutable.
_ Une VO disponible gratuitement seulement pour l’édition "Day One".
_ Une partie des quêtes annexes sans grands intérêts.
_ Et des mini jeux assez lourdingue.

Une dernière chose m'a un peu ennuyé, mais là c'est complètement subjectif, c'est que je ne suis pas fan du chara-design de Nomura à la base, mais je déteste tout particulièrement le design "chibi / SD" qui a été choisis pour les Sauveurs.

Mais bon, ce jeu est plus riche qu'il en a l'air. Et je me suis bien amusé, bien plus que sur les épisodes récents de la saga principale. J'espère en voir un autre opus allant encore plus loin dans "ce" fan service plutôt bon.
Xenoblade Chronicles 2 - Torna: The Golden Country nxn
Bahamut-Omega

le 11/10/2018
7_5
J'ai finis Xenoblade Chronicles 2: Torna ~ the Golden Country sur Switch en 23 heures.

Une des bonnes surprises de l'année, et pourtant je n'y croyais pas trop au départ.
Pour faire court, on retrouve l'expérience XBC2 mais avec quelques corrections, et pas des moindres.

Déjà, il n'y a plus de système de Gatcha/Loterie avec les Lames.
On a trois Pilotes avec deux Lames chacun, point barre et c'est mieux comme ça. L'IA arrive maintenant à suivre, chaque persos ont leur rôle et le font bien.
Le système de combat a été remanié, les Lames sont contrôlable maintenant. Et les combos de Lames lâchent un orbe à chaque fois, les combats sont donc bien moins longs.

Le casting est mieux développé et un peu plus mature (tout en restant dans les codes du "nekketsu" bien sur).
Et l'histoire est un peu plus sombre, et un peu mieux rythmé.

Il manque encore quelques trucs utiles, comme un encyclopédie ou un bestiaire.
Lors de la première partie, il manquerai aussi le choix d'une difficulté élevé et la possibilité de retirer des levels comme dans le NG+ de XBC2. C'était deux options de confort assez pratique.
Il y a aussi quelques petites maladresses d'écritures, comme nous obliger à faire quelques quêtes qui étaient présentés comme optionnelles au départ. Probablement pour rallonger la durée de vie de l'extension, ou nous forcer à aimer les PNJ.

Mais bon, ces défauts m'ont semblé presque anecdotique par rapport aux améliorations inespérés de cet extension par rapport au jeu de base.
Atelier Iris: Eternal Mana play2
Bahamut-Omega

le 06/07/2015
7
Je viens de finir Atelier Iris: Eternal Mana, version NTSC-US traduite en français par Atelier Traduction (un grand merci à eux pour leur très bon boulot) en 31 heures.

Avec son air de Grandia, l'histoire ne casse pas trois pattes à un canard mais pourrait se laisser suivre si le rythme de l'histoire n'était pas si mauvais. En effet le jeu nous impose énormément aller-retour pour quelques broutilles, c’est assez énervant à la longue.

Le gameplay est simple est efficace. Le système de combat est au tour par tour à trois personnages jouables, avec une gestion des formations, des placements et de délais de compétences.

Hors combat, on a droit à trois formes de synthèse d'objet.
La première, celle des objets de mana, utilisable uniquement par le héros, y compris en combat. Il suffit qu'il ait trouvé l’objet et les Esprit de Mana, puis d’avoir assez de Mana requis pour fabriquer l'objet.
Les synthèses d'objets au magasin, réalisable par un pnj, qui nous demande de lui trouver des matériaux pour créer des objets (utilisables par n’importe qui en combat) ou équipement.
Et la forge, en associant certains objets aux équipements pour leur donner de nouveaux attributs. Ce système m’a semblé très anecdotique par rapport au deux autres cela dit.
La plupart des quêtes annexes sont liés à la seconde forme de synthèse. C’est assez fun au départ, car malgré la tache rébarbative, chacun des objets créés donnent droit à des dialogues souvent comiques. Mais à la longue je trouve que cela devient assez ennuyant, ça reste du farming pur et dur après tout.

Concernant la réalisation, certes ça ne reflète pas du tout les capacités d'une Ps2, mais ça a le mérite d'avoir très bien vieillis et d'être assez jolis.

L’ambiance sonore par contre est très réussite, les musiques sont belles, variées (trois compositeurs en même temps) et collent bien à l’ambiance du jeu.
Et en plus chose assez rare en 2004, le dual-audio est disponible, nous permettant de choisir entre le doublage américain, mais surtout le doublage original en japonais qui est très réussis.

Atelier Iris: Eternal Mana est un jeu agréable à jouer, suffisamment bon pour me donner envie de tester d’autres jeux Gust, mais loin d’être mémorable.


Dai-3-Ji Super Robot Taisen Z: Jigoku-Hen play3
Bahamut-Omega

le 10/05/2014
7
Finis ma seconde partie SRT Z III-1 sur Ps3, 105 heures de jeux (59 h + 46 h).

Un peu déçu du jeu, les raisons principales sont:

La qualité des animations très inégales.
Dans l'ensemble ça ressemble à un simple portage HD des SRT Z II (sur PsP). C'est jolie, mais sans plus. Certaines (rares) animations sont sublimes, on est pas loin des séquences dans les animes, comme avec le Zeta Gundam, Nu Gundam, Shin Getter ou encore Chouginga Gurren Lagann. Mais beaucoup ont ratés l'étape du portage HD, certaines sont même honteuses comme celle du Dancougar Nova, sortie tout droit de SRT L sur NDS...
De plus avant chaque animation, sur Ps3 on a un temps de chargement de 4 à 5 secondes...
Dans l'ensemble c'est une immense régression par rapport à SRT OGs2/DP ou même Masou Kishin III, c'est très dommage pour le premier SRT "classique" sur console HD.

Autre défaut majeur, sur 24 séries présentent dans le jeu, seulement une moitié est réellement utilisés, et certaines séries utilisés sont très courtes. Le reste du casting fait de la figuration.
On a aussi beaucoup de mission sans intérêt, 61 missions dans une partie (une centaine au total, trois partie pour les 100%) c'est beaucoup trop long.

L'OST aussi est décevante, les thèmes originaux restent sympa et dans l'esprit de la saga.
Mais les thèmes des séries ont pris un sacré coup de vieux sur Ps3.
Heureusement un mode "Custom BGM" est disponible, nous permettant d'attribuer une musique extérieure comme musique de combat. Ce mode à ces limites, notamment avec les chansons de Basara qui restent muettes... Et surtout le musiques que l'on possède n'ont pas toutes un volume identiques (et bonjour pour les régler avec des freewares).

Sinon l'histoire, bien qu'en deux parties (et liés aux précédents épisodes) est assez intéressante, même si c'est à base de dimension parallèle et prison temporelle pour justifier la présence ou non présence de certaines séries. L'univers du jeu est cohérent.

Le point fort du jeu est son gameplay qui a évolué.
Le système de duo est de retour, mais cette fois ci, les membres d'une équipe ne peuvent plus se séparer pendant la bataille (ce qui évite plein d'abus, comme avoir 50 robots lors d'une mission en fin de jeu).
En contre partie, le duo bénéficie d'une jauge de tension qui une fois remplis lui permet, soit d'utiliser un "Maximum Break" (une double attaque sans limite de porté) , soit divers multiplicateurs de bonus.

Le jeu est sympathique à faire une fois. Deux ou trois fois ça l'est déjà moins...
Vivement le grand final, en espérant qu'il n'y ai moins de missions "bouche trou" et que les animations soient digne d'une Ps3.
Disgaea 3: Absence of Justice play3
Bahamut-Omega

le 25/08/2015
7

J'ai finis le scénario de Disgaea 3 Absence of Justice sur Ps3 en 44 heures (dont une bonne moitié consacrée au farming).

Et bien c’était une agréable surprise de (re-)découvrir cette saga à travers ce troisième opus cette fois-ci traduis en français. J'ai pu profiter pleinement de cette ambiance délirante et unique (aux jeux NIS) et rien que pour ça le jeu valait le coup d'être acheté, ça faisait très longtemps que je n'avais pas autan ris devant un jeu.

Mais l'autre force du jeu, malgré l'absence de grande nouveauté par rapport à l'opus précédent, c'est la richesse de son gameplay. Déjà, de part l'ambiance générale du jeu, c'est très différent de ce que proposent d'autres T-RPG, avec des gameplay bien plus sérieux et réalistes. Mais j'ai étais surpris par le nombre incroyable d'actions possibles que l'on a pendant, mais aussi avant, les missions. Mission qui durant le scénario sont assez diversifiés. Même si l’objectif est systématiquement de tuer tous les ennemis, les situations peuvent être tantôt gaguesque où un simple lancer de tonneaux explosif bien placé peut éliminer tout nuisible, tantôt sembler dramatique avec des ennemis qui sont placés sur une demi douzaine de case à bonus qui faut détruire astucieusement. En fait le scénario, et ces quelques pics de difficulté pour nous obliger à nous servir de l’Item World ou du système de Réincarnation, est presque un immense tutoriel en vue de nous préparer à l’immense post-game.

Post-game que je n’ai pas eu le courage de tenter… Car explorer l’Item World, cet enchainement de map assez similaire à difficulté croissante au sein d’un objet, en vu (entre autre) d’améliorer ces statistiques, est assez ennuyant. De même que faire du leveling pour explorer de nouvelles zones et récupérer des objets encore plus puissants. Le tout pour vaincre des boss lv 2000, 5000 ou 9999 avec des statistiques à millions de points.

Mis à part cet aspect du gameplay que je n’ai pas aimé mais qui peut-être considéré comme un atout, voire le fer de lance de la saga Disgaea et d’autres jeux NIS. La réalisation du jeu est décevante. Ce n’est ni plus ni moins qu’un portage Ps3 non HD de ce que proposait Disgaea 2 sur Ps2, et encore la réalisation sur ce dernier n’était pas son point fort non plus.
Heureusement la touche artistique, la bande son et l’excellent doublage original japonais (au choix avec un doublage US) font passer la pilule bien plus facilement.

Et pour finir, j’ai trouvé l’ergonomie des menus où la gestion de la caméra assez archaïque. Notamment proposer de masquer les couleurs des géopierres avec le joystick droit, mais de ne pas pouvoir bouger la caméra avec ce même joystick.

Mais dans l’ensemble j’ai apprécié jouer à Disgaea 3. Malheureusement ne pas faire le post-game me laisse une désagréable impression de ne pas avoir finis le jeu, tout comme sur Final Fantasy X (version PAL) et ces quêtes à farming bête et méchant sans grand intérêt.


Drakengard 3 play3
Bahamut-Omega

le 06/01/2019
7

Il y a quelques jours j'ai finis Drakengard 3 sur Ps3, en une trentaine d'heures à la louche (sans DLC), avec le platine.

Toujours aussi frustrant d'y jouer à cette saga.

Je vais commencer par les choses qui fâchent, ceux qui se voient le plus. La réalisation date de l'ère précédente. Mais surtout, techniquement c'est honteux. Le patch correctif semble corriger les plantages, mais pas plus. Ralentissement, aliasing, clipping, IA à la ramasse,... bref tout y passe.
La direction artistique sauve un peu le tout, avec en tête le chara-design.

Concernant le gameplay, c'est mieux que le premier opus. Bon en même temps, c'était difficile de faire pire hein? Mais ça à beau être mieux jouable, ce n'est pas plus captivant. Un coté A-RPG assez quelconque et rudimentaire. Avec quelques phases à dos de dragon (pour les boss notamment) et quelques phases de plateforme nullissime qui agaceront aussi l'héroïne. Ainsi que deux-trois missions typées Rail-shooter, là aussi assez basique.

Si tout ça ne vous a pas découragé, sachez que le jeu à quand même quelques points d'intérêts.
La richesse de son univers (lié à Drakengard (1) mais aussi NieR et NieR Automata) et son ambiance assez unique, surtout ces temps-ci, comparativement à d'autres J-RPG.

L'ambiance est moins glauque et pesante que le premier opus. Elle reste très violente et malsaine mais beaucoup plus drôle. Les punch-line du groupe improbable font mouches, encore faut-il aimer l'humour noir, burlesque, et grivois.
Bémol sur la mise en scène qui décline au chapitre 2, mais reste tout de même très correcte, encore une fois si on compare avec d'autre J-RPG.

Le pitch de départ du jeu étant: Zero une "invoqueuse", grossière, impudique et violente; veut tuer ces cinq sœurs invoqueuses qui, elles, sont considérées comme des déesses vivantes, après avoir vaincus grâces à leurs pouvoirs les despotes qui gouvernaient le monde.
Zero est accompagnée d'un tout jeune dragon (de 7 ans d'âge mental aussi) nommé Mikhail, qui est gentil, naïf et pas encore propre. Ce duo improbable sera rejoint par Dito, jeune homme psychopathe. Decadus un intello sado-masochiste (surtout masochiste). Octa un vieux pervers. Et Cent le beau gosse débile profond. Ces 4 hommes aideront Zero tout en assouvissant leurs phantasmes plus ou moins variés, mais tournant autour du sexe et des massacres.
Bien sur il y a une "vraie" raison au voyage de Zero, mais on ne l'apprend qu'à la toute fin du jeu, une fois que les pièces du puzzle se mettent en place.
Puzzle qui restera incomplet, car Yoko Taro oblige, le jeu lui-même ne se suffit pas entièrement. Il faut lire certaines nouvelles pour avoir la compilation des différentes fins du jeu, ajoutant quelques infos au passage. Cette "Dérivation E" servira de base à Drakengard (1).

Dans les autres points positifs, il y a l'ambiance sonore absolument somptueuse grâce à Emi Evans et groupe MONACA composé entre autre de Keiichi Okabe. Deux noms que l'on retrouve dans les OST très identifiable de la saga NieR.
Au niveau du doublage, la version US est exceptionnelle. Tant mieux car même si le doublage original est disponible, il faut payer pour en profiter, je m'en suis donc passé.

Pour résumer, à mon sens, on joue à Drakengard 3 pour Yoko Taro et son univers unique. Mais pas pour trouver un bon "jeu".


Fire Emblem: Path of Radiance gc
Bahamut-Omega

le 15/06/2013
7
Mon premier FE. Globalement j'en suis assez satisfait mais quelques détails me chiffonne.

Le gameplay est assez classique avec des persos avec des classe et des triangles des armes et des magies respecter. Mais ça se traduit bien souvent par du "tout ou rien".
La mort définitive des personnages en cas de défaite est une bonne idée rendant les missions assez stressante. Mais la difficulté est mal dosé et les "coups critiques" très injuste.
En étant bien équipé, en tenant compte des triangles des armes et magies et des éventuels renforts ennemis, un ennemis peut nous one-shooter un perso. Et malheureusement ça arrive très souvent. Nous on ne doit rien laisser au hasard, mais l’ennemi le peut si il est difficulté...

Sinon l'histoire est assez sympa, très classique mais se laisse suivre.
Ike, le héros, est assez naïf (ou inculte ?) au début du jeu, mais sera bien entouré au fil de l'aventure et en sortira grandi. Le reste du casting est aussi très banal en terme de psychologie mais possèdent un chara-design très réussis. Les ennemis sont plus intéressants à mes yeux.

Les graphismes sont assez passable concernant la 3D, mais sublime sur les artworks.
L'OST est sympa mais peu marquante.
Pandora's Tower: Until I Return To Your Side wii
Bahamut-Omega

le 14/06/2012
Edité le 14/06/2012
7
J'ai bien aimé son histoire, assez originale, même si l'histoire d'amour entre les 2 héros prend pas mal de place et est un peu saoulante. La mise en scène n'est pas folichone. Un peu de blabla, un donjon, un boss, et rebelote... tout le contraire de The Last Story où j'avais trouvé l'histoire peu originale, très prévisible mais bien rythmé et mise en scène.

Concernant le gameplay, les donjons chronométrés me rappelle Zelda Majora's Mask. Mais ça reste plus cool tout de même. Les donjons sont courts et truffés de raccourcis à débloquer (échelle à déplier, baricade à détruire,...). Bref faut vraiment le vouloir pour être hors temps.

Sinon les caméras fixes dans des salles exigus et le manque de précisions de la chaines sont les gros défauts du jeu, rendant les simples monstres bien plus redoutables que les boss, bien gros, dans une grande salle circulaire et où la caméra et fixée sur eux. La musique quand à elle est très réussite, mais vraiment peu diversifiées...

La durée de vie est assez courte lors d'une seule partie (25 heures en "prenant mon temps") mais il existe plusieurs fins, donc au final elle doit sûrement être honorable.

3,5/5 pour moi, comme The Last Story.
Star Ocean: The Last Hope xb360
Bahamut-Omega

le 04/04/2014
Edité le 04/04/2014
7
J'ai finis Star Ocean the Last Hope en 50 heures (sans post game).

Une expérience assez sympathique, même si ça aurait pu être largement mieux, vu le potentiel de l'univers du jeu.

L'histoire est très banale mais a le mérite d'être un bon prologue à la saga et d'être réellement dans le style "Space Opera".
Dommage que les personnages soient si naïf et stéréotypés. Et qu'on ait une équipe imposée contrairement au 1 et au 2 (je n'ai pas joué au Blue Sphere ni au 3). Il n'y a pas non plus de méchants charismatiques. Ce sont les plus gros défauts du jeu pour moi.

Le système de combat est génial, un des meilleurs de sa Gen. Compétences, magies, combos, mode "furie", attaques éclairs, style de combat varié,.. tout est là pour donner des combats intenses.
Le reste du gameplay est moins réussis. Tout ce qui tourne autour de la création d'objets est moins réussis que dans SO2. Et les quêtes annexes sont très ennuyantes.
La durée de vie est assez colossale, une cinquantaine d'heures pour le scénario, 10-20 heures pour le post game, et plusieurs centaines pour les 100%.

Techniquement c'est très réussis, les décors sont beaux et fourmillent de détails.
Le chara design est assez spécial, mais je le trouve assez réussis.
Par contre le changement de disques que l'on doit effectuer pour voyager entre les planètes est très agaçant, surtout à cause des nombreuses quêtes annexes et pour la création d'objets.

L'OST, et bien c'est du Sakuraba, à quelques exceptions, toutes ses OST se ressemblent. Ici quelques pistes sont sympa mais le reste est très banal.
Le doublage US imposé est une catastrophe. Il est très mal joué et les voix ne correspondent même pas au personnages.
Super Neptunia RPG play4
Bahamut-Omega

le 10/07/2019
7
J'ai finis Super Neptunia RPG sur Ps4 en 19 heures.

C'est mon tout premier Neptunia. Je connaissais la série que de nom, mais jusque là elle ne m'avais jamais intéressé ni séduit.

Et c'est une bonne surprise. Déjà pour son humour, Neptune se prend réellement pour héroïne de J-RPG à l'ancienne, et casse le quatrième mur très souvent sans s'en apercevoir. Le jeu est bourré de référence à d'autres jeux plus ou moins connus. Et le scénario se permet même une critique, dans la légèreté, sur l'industrie du jeux vidéo et des modes des joueurs.

Le gameplay est très inspiré de Valkyrie Profile pour son système de combat et d'exploration, et Final Fantasy IX pour son système d'apprentissage de compétence. Le manque d'originalité peut-être dérangeant au début, mais finalement je m'y suis fait car ça marche bien.

Dommage que quelques bugs viennent gâcher la fêtes. Des bugs sonores principalement, une musique qui commence lors d'un écran de chargement, puis recommence dès qu'il est fini. Des phrases qui sont dites deux fois de suite (lors des lv-up ou des sauts). Quelques bug graphiques comme des personnages qui ne disparaissent pas quand ils sont KO, ou une carte qui n'est pas centrée sur la salle que l'on visite. Ou le menu de gestion qui mets du temps à s'afficher.Rien qui ne dérange à la progression dans le jeu, mais qui gâchent un peu le plaisir tout le long du jeu.

L'autre défaut majeur, c'est son extrême facilité vers la fin. Plutôt un problème d'équilibrage que d'IA ennemi.

Au début, une fois l'équipe complète, il y a un petit pic de difficulté qui demande de maîtriser un minimum le système de combat. En prenant le temps de s'équiper de compétence adéquates pour chaque type espèce de monstres rencontrées dans une zone. Mais au bout d'un moment, on devient tellement fort que même en mitraillant n'importe quelle commande d'attaque avec le mode turbo, on peut s'en sortir. J'ai passé le dernier boss comme ça...

J'ai quand même trouvé le jeu plaisant à faire, grâce à son scénario, ces personnages, son humour et sa direction artistique.
Le bug (sur Ps4) seront peut-être corrigés. Reste plus que le problème de la facilité.

7/10 pour l'instant.
Super Robot Taisen GC gc
Bahamut-Omega

le 20/07/2017
7
J'ai re-finis Super Robot Taisen GC, sur la NGC. Cette fois-ci dans les conditions réelles.

À l'époque je l'avais plutôt bien aimé pour son originalité dans le gameplay. Mais là, la mayonnaise à moins pris.

Avant de parler de ça, il y a déjà deux trucs qui m'ont un peu agacé dès le début.
Déjà ce qui saute aux yeux, l'utilisation de la 3D... Mais pourquoi ? En 2004 ce n'était déjà pas terrible mais vu les moyens et l'expérience dans le domaine du studio Banpresto, c'était excusable. Mais en 2017, ça pique les yeux quand même un peu.
Ainsi que l'exploitation des scénarii des séries Gundam de la OYW. Pendant un bon tiers du jeu, j'ai eu l'impression d'être dans un jeu Gundam, plus qu'un SRT. J'adore la licence Gundam, à l'époque c'est ce qui m'avait plu dans le jeu, mais là c'était trop.

Concernant les nouveautés de gameplay, il y a du bon, du sans grand intérêt et du discutable:
Premièrement, les robots ont maintenant jusqu'à quatre barres de vie. Celle de leurs corps, qui sont les vrais PV, une fois à 0 le robot est détruit. Mais ici, la tête, les bras et les jambes ont aussi des PV. Une fois endommagés ou détruits, le robot subit des malus sur la visée, la puissance ou les déplacements plus ou moins important selon les dégâts. À priori ça semble assez intéressant d'un point de tactique… mais non. Vu la facilité du jeu, et le nombre incroyable d'ennemis que l'on affronte à chaque mission, s'intéresser à ces "PV secondaires" n'est qu'une perte de temps.

Deuxièmement, on peut maintenant capturer certains robots ennemis (des Real, n'espérez pas pouvoir piloter le Kikaiju des série de Go Nagai ou autre), quand on leur détruit la tête, les bras et les jambes sans détruire le corps. Mais là aussi, à moins d'être fan des jeux de "collection" à la Pokemon, ou d'être très fan de certains pilotes secondaires au point de vouloir les intégrer dans une équipe finale avec un "bon" robot; les capturer est une perte de temps.

Et dernièrement, enfin une bonne nouvelle, les "Ace Skill". Maintenant les pilotes débloquent des bonus au fur et à mesure des actions qu'ils font. En utilisant une cinquantaine de Spirit Command (des magies en quelque sorte), ils voient leur consommation de SP (les PM donc) réduite de 10%. Les pilotes peuvent aussi récupérer leur traditionnels bonus de moral de départ en vainquant des ennemis, et bien d'autres bonus du genre. Ça ne casse pas trois patte à un canard, mais ça rend leurs évolutions plus crédible je trouve.

Dit comme ça le jeu semble très moyen. Mais il reste un atout majeur dans sa manche: son casting !
Du Gundam bien sur, mais cette fois-ci, ceux de la OYW qui sont rarement au centre du scénario dans les opus "récents". Le retour de L-Gaim que l'on n'avait pas vu depuis très longtemps. Troisième apparition de Layzner, qui décidément n'est présent qu'à des opus très particuliers. Les J9 au complet (à l'époque du moins). Daiohja, son unique apparition jusque-là. Raijin-oh sa toute première apparition (et il reste encore assez rare). Et d'autres animes qui ne sont pas souvent exploités dans les SRT comme Dragonar, Daltanius, Shin vs Neo Getter, Mazinkaizer, Trider G7 ou encore les OAV Dancouga.
Chose rare dans les opus plus récent, et qui est un énorme point positif, quasiment tout le casting est exploité ici. Seul Zeta Gundam et Gundam CCA font de la figuration.

Pour moi, rien que ces points rendent cet épisode sympathique à faire. Mais il se démarque aussi par son OST. Pas sur la qualité même des musiques, là c'est identique aux autres opus. Mais sur les choix des pistes proposées qui sont plus variées et assez rarement utilisées dans les SRT.

Le bon fanboy de la saga que je se satisfais pleinement des ces derniers points.
Mais c'est une petite déception par rapport aux souvenirs que j'en avais. Cette fois-ci ces particularités de gameplay m'ont plus saoulé qu'autre choses, alors que les éléments fondamentaux de la saga m'ont séduit.
Tales of Xillia play3
Bahamut-Omega

le 20/08/2013
Edité le 20/11/2014
7
Un Tales of que j'ai vraiment bien aimé entrant à la quatrième place dans mon Top 5 de la saga. Les raisons ?

Déjà une histoire très sympa, moins niaise que la plupart des opus, riche en rebondissement, assez bien rythmé à mon goût et toujours drôles dans les moments plus calme. Dommage que ce soit toujours les mêmes thèmes repris d'un épisode à l'autre.
Faire deux scénarii, un pour Jude et un pour Milla (à la manière d'un Star Ocean 2 entre autre) est sympa, mais un peu sous développé. En effet la différence entre les 2 scenarii se fait principalement dans quelques scènes. Car on a seulement droit à deux passages avec donjons où les 2 persos sont séparés.

Les personnages principaux sont géniaux, les gentils comme les méchants. Un des meilleurs casting de la saga. Le chara design est très réussis, l'alliance des deux chara-designers est excellente.
Détails dérangeants tout de même, Jude est un étudiant en médecine à 15 ans, même si c'est un petit génie et qu'il est assez mûr, c'est peu crédible. Et Ellize a plus un âge mental de 8 ou 9 ans que de 12 ans, elle reste cependant très touchante et attachante.

Le système de combat est parfait, en solo du moins. Le système de liaison est une bonne idée. Les artes liées sont variés et spectaculaires, les capacités de liaison ont toutes leurs utilités selon le type d'ennemis que l'on affronte. Les personnages ont tous un style de combat bien différents, il y en a pour tout les goûts. En ce qui me concerne c'est le meilleur système de combat de la série mélangeant stratégie et action.

Concernant les annexes, ici on parle "d'évènements" et non de "quêtes". Car tout simplement les 3/4 du temps ce sont seulement des scènes à voir. Ces dernière sont même assez intéressantes pour découvrir des informations sur les personnages et l'univers du jeu, à tel point qu'on a tout intérêt à tenter de les voir au risque de louper des choses intéressantes, un comble pour de l'annexe.
Les quelques quêtes sont par contre peu intéressantes, globalement ça se limite à la collecte de matériaux et la chasse aux ennemis.

La durée de vie est très correcte, il faut compter 40 heures pour l'histoire, une dizaine de plus pour les annexes. Et le double pour le NG+ et trophées, voir bien plus pour le 100%.

Pour le reste du gameplay ce n'est pas la même histoire par contre. Déjà le système d'évolution des personnages n'est pas vraiment utile si l'on reste en difficulté normal ou modéré. Le pseudo-sphérier est assez long à remplir pour pas grand chose vu le manque de challenge.
Très peu de costume (hormis ceux des DLC payants ou de précommande) , pas de cuisine.
Le système de Titre a radicalement changé maintenant il est lié au magasin de Points pour le NG+ et aux trophées. Ce sont juste des objectifs à remplir pour obtenir les Points et trophées en question.
Concernant les donjons, je n'irai pas jusqu'à dire qu'ils sont inutiles, mais on a pas grand chose d'intéressants à faire à part casser du méchants, collecter des objets et atteindre l'objectif. Pas de chemin à créer, d'obstacle à contourner ou déplace, pas de zones cachées, bref le minimum syndical. Mais faut dire que le level-design et l'histoire ne se prête pas à nous faire passer des épreuves ou énigmes comme ça pouvait être le cas dans Tales of Symphonia par exemple.
Et le jeu est très linéaire, moins que Graces F tout de même, et assez facile en "normal" et "modéré" (oublié la difficulté "facile", même si vous êtes débutant sur la saga, "normal" suffit largement pour faire vos marques)

Là où c'est très décevant, c'est concernant les graphismes. Clairement c'est assez honteux pour un jeu Ps3 de 2011, encore plus quand on le découvre en 2013. Heureusement les séquences en anime et le chara-design sauve la mise.

L'OST non plus n'est pas mieux. Les évènements importants et thème de combats ont droit à quelques pistes sympa, mais sortie de ça c'est très banal, et parfois même ça ne correspond pas du tout au lieux. Pire encore certains endroits n'ont pas. Quand on sait que Motoi Sakuraba est capable de créer des OST comme celles de Baten Kaitos ou Dark Souls, c'est rageant de voir le travail qu'il fait sur les Tales of.

Quand au doublage, l'US n'est pas horrible mais c'est quand même aberrant pour une saga de J-RPG aussi populaire de ne pas avoir le choix avec le doublage original, plus adapté au style et donc plus réussis que l'US. Heureusement sur la version PAL ils n'ont pas touché à l'Opening.

Je vais mettre 7/10 car pour moi l'histoire, les persos, l'univers et le système de combat comptent plus que l'esthétique ou les détails du gameplay.
The Last Remnant xb360
Bahamut-Omega

le 30/09/2015
7
The Last Remnant finis en 70 heures environ, sur 360 (600 G, 20/22 Succès).

Je risque de ne pas être très original et rejoindre l'avis général sur cette version du jeu :

+ Le Système de combat, qui montre que le tour par tour est intemporelle et peut (encore) proposer des combats épiques.

+ OST, rien est à jeter, que se soit les thèmes d'ambiances ou les nombreux thèmes combats.

+ Durée de vie et contenu colossale.

+/- Scénario assez banal dans un univers pourtant assez riche. Personnages stéréotypés et peu charismatiques à mon goût.

+/- Pas mal d'éléments manquables, dommage qu'il n'y ait pas de mode NG+ dans cette version, car la replay value est bien là, surtout si l'on joue sans guide en première partie.

+/- La réalisation, c'est très jolie. Les décors sont sublimes et variés.
Mais malheureusement le jeu souffre d'énormes problèmes de chute de framerate lors des combats, et de lenteurs a affichés les textures. Sans parler de la démarche des personnages dans certaines scènes me rappelant une scène du film l'Aventure c'est l'aventure, ainsi que certaines expressions faciales ratées.

+/- Pas encore de Dual-Audio. Mais le doublage US est assez convainquant pour une partie des personnages.

- Aucun tutoriels pour nous guider dans ce jeu au gameplay incroyablement riche.
Sans FAQ ou guide il faut presque faire une partie uniquement consacrée à l'apprentissage du gameplay et à la progression dans le scénario, et une autre pour bien faire progresser ses personnages en vu du contenue annexe souvent très difficile.

- Système de chef complètement débile dans cette version. Non seulement il faut déverrouiller les chefs à travers des quêtes annexes, ensuite il faut débourser une conquête somme pour les recruter, pour finalement être limité dans leur intégration dans les équipes.
The Last Story wii
Bahamut-Omega

le 06/03/2012
Edité le 16/06/2012
7
J'aurrai aimé dire que c'est une "magnifique jeu", mais non, pour moi c'est juste un "bon jeu".

L'histoire est très banale, une guerre entre 2 peuple autrefois unies où nos héros sont biensûr impliqué dedans. En plus de ça l'histoire est bourrée de clichés, comme nos héros mercenaires qui sont plus braves que la pluspart des chevaliers de l'Empire. Mais surtout, elle est très prévisible, avec un peu d'expérience dans les RPG, et un minimum de déduction, on arrive à prévoir ce qui va ce passer. L'histoire est également courte, 25 heures en moyenne. 44 chapitres dont 5 d'optionnels.
Heureusement la mise en scène des évènements et la narration sont très réussites, celà relève le tout.
Concernant nos héros, ils sont certes sympatique et drôles, mais au début j'ai eu du mal à m'y attacher. Eux aussi sont très stéréotypés.
Mais sur la fin du jeu, ils resplendissent.

Le gameplay est le principal atout du jeu, dumoins son système de combat, un mélange d'A-RPG et d'Infiltration très réussis, où l'on a souvent le choix entre tenter une approche subtile ou foncer dans le tas. Le système de Halos, cousin de celui des FoF de Tales of the Abyss, une fois maitrisé, peu facilement changer la donne en combat (attributions de bonus et de malus).
Après le jeu est assez linéaire, on a droit à quelques chapitres où l'on est un peu libre dans la ville de Lazulis à part ça, un fois dans un donjon, on ne peut plus revenir en arrière. Mais l'on peut tout de même s'entrainer ou faire des achats de temps en temps. La pluspart des quêtes annexes se limitent à faire des courses, où trouver un PNJ dans la ville. Il y a quand même 5 chapitres optionnels et l'arène qui propose des boss optionnels.
Quand à la difficulté, globalement c'est facile, sauf certains boss bien craqués où l'on à pas le droit à l'erreur. Contre ces boss il n'y a qu'une stratégies à respectée, et le timing et serré.

Graphiquement c'est assez beau, mais depuis Xenoblade Chronicle on sait que la Wii peut faire mieux. Mais le chara-design est superbe.

Et musicalement dans l'ensemble c'est très beau, mais sans être exceptionnel, Uematsu nous as habitué à bien mieux.
J'ai quand même été agréablement surpris par la BGM d'un duel, vers la fin du jeu. Par contre la musique du dernier boss a des passages très irritants à mon goût, bien domage pour clôturer le jeu.
Par contre le doublage "so british" pour nos mercenaires, ça ne le fait pas du tout. Pour les nobles ça passe mieux, mais vu l'importance de la mise en scène, un doublage original n'aurrait pas été de trop, loin de là.

Bref, à mon humble avis, The Last Story est un bon jeu malgrés ces nombreux défauts, mais pas indispensable. Sauf si l'on a qu'une Wii et que l'on est en manque de RPG.
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