Commentaires RPG - Legendra RPG

Hikadey

le 28/11/2011
Edité le 28/11/2011

Un des meilleurs RPG de la création, ni plus ni moins. Earthbound s'affranchit de tous les codes et clichés des J-RPG pour nous offrir une aventure mémorable dans un monde contemporain.
Le jeu à première vue ne paye pas de mine :
Les graphismes ont l'air sorti du début de la SNES (à l'époque il y avait FFVI et Tales of phantasia quand même), le système de jeu parait dépassé et les premières musiques qu'on entend ne font pas vraiment envie. Pourtant à partir du moment qu'on se force à regarder plus loin et qu'on se prend à l'ambiance on est prit dans un monde dont on ne ressortira pas indemne.
Un gigantesque ovni (y en a même dans le jeu) qui parodie l'Amérique, la société de consommation et le jeu vidéo en lui même.
Le scénario tient sur un post-it (bien qu'il y ait suffisamment de sous-entendu pour donner de longues heures de masturbation intellectuelle aux fans) mais le jeu a l'objet d'un excellent travail d'écriture que ce soit au niveau des PNJ où des objets à examiner : tout est écrit à la perfection.
Les personnages, sans être très développés, sont tous attachants grâce à quelques petits ajouts ça et là qui les rends vivants.
Le jeu au niveau technique ne paye pas de mine mais il a fait l'objet d'une direction artistique énorme et est plus abouti sur ce points là que d'autres jeux plus poussés techniquement :

Le style graphique est atypique et se démarque de la plupart des productions SNES très typées "jap" qui se ressemblent à peu près toutes de loin.
Le monde est immense. Il n'y a pas beaucoup de villes, mais elles regorgent de détails et disposent chacune de leur ambiance et de leur style graphique (à contrario de FF VI par exemple qui recyclait les mêmes tiles et musiques à chaque fois)
L'OST est immense, très avant gardiste, avec un réel travail sur le son qui sied très bien à l'ambiance (on est pas en reste de morceaux plus classiques plutôt beaux)

Dans les défauts, on peut souligner le côté trop réaliste du jeu :
L'inventaire limité (fini les sacs à distorsion spatiale où l'on pouvait ranger 500 fioles de panacée)
Ou encore le côté old-school des combats, C/C de Dragon Quest même si je trouve qu'Earthbound apporte quelques éléments qui rendent cela bien plus digérable que Draque:
-Les ennemis sont visibles sur la carte, même si ils sont quasiment impossibles à éviter du fait de leur vitesse le principal problème des RPG est viré.
-Le système de "roulette" ajoute une dimension stratégique qu'il n'y a pas dans Draque (bref on ne bourrine plus le bouton A)
-Même les combats ont fait l'objet d'un travail d'écriture énorme, il n'y a qu'à voir les actions des ennemis où les états des héros. C'est peu de chose mais ça rend le combat attrayant et ça installe une ambiance de fou :
Le combat final... ou comment avec une vue à la première personne et très peu d'animation faire ressentir un flot d'émotions.

Un jeu qui n'a pas eu le succès qu'il méritait en son temps et continue de vivre... malgré tous les obstacles sur sa route... grâce à ses fans et depuis 17ans maintenant.
Un grand jeu que chacun se devrait d'au moins essayer.
Un des meilleurs RPG de la création, ni plus ni moins. Earthbound s'affranchit de tous les codes et clichés des J-RPG pour nous offrir une aventure mémorable dans un monde contemporain.
Le jeu à première vue ne paye pas de mine :
Les graphismes ont l'air sorti du début de la SNES (à l'époque il y avait FFVI et Tales of phantasia quand même), le système de jeu parait dépassé et les premières musiques qu'on entend ne font pas vraiment envie. Pourtant à partir du moment qu'on se force à regarder plus loin et qu'on se prend à l'ambiance on est prit dans un monde dont on ne ressortira pas indemne.
Un gigantesque ovni (y en a même dans le jeu) qui parodie l'Amérique, la société de consommation et le jeu vidéo en lui même.
Le scénario tient sur un post-it (bien qu'il y ait suffisamment de sous-entendu pour donner de longues heures de masturbation intellectuelle aux fans) mais le jeu a l'objet d'un excellent travail d'écriture que ce soit au niveau des PNJ où des objets à examiner : tout est écrit à la perfection.
Les personnages, sans être très développés, sont tous attachants grâce à quelques petits ajouts ça et là qui les rends vivants.
Le jeu au niveau technique ne paye pas de mine mais il a fait l'objet d'une direction artistique énorme et est plus abouti sur ce points là que d'autres jeux plus poussés techniquement :

Le style graphique est atypique et se démarque de la plupart des productions SNES très typées "jap" qui se ressemblent à peu près toutes de loin.
Le monde est immense. Il n'y a pas beaucoup de villes, mais elles regorgent de détails et disposent chacune de leur ambiance et de leur style graphique (à contrario de FF VI par exemple qui recyclait les mêmes tiles et musiques à chaque fois)
L'OST est immense, très avant gardiste, avec un réel travail sur le son qui sied très bien à l'ambiance (on est pas en reste de morceaux plus classiques plutôt beaux)

Dans les défauts, on peut souligner le côté trop réaliste du jeu :
L'inventaire limité (fini les sacs à distorsion spatiale où l'on pouvait ranger 500 fioles de panacée)
Ou encore le côté old-school des combats, C/C de Dragon Quest même si je trouve qu'Earthbound apporte quelques éléments qui rendent cela bien plus digérable que Draque:
-Les ennemis sont visibles sur la carte, même si ils sont quasiment impossibles à éviter du fait de leur vitesse le principal problème des RPG est viré.
-Le système de "roulette" ajoute une dimension stratégique qu'il n'y a pas dans Draque (bref on ne bourrine plus le bouton A)
-Même les combats ont fait l'objet d'un travail d'écriture énorme, il n'y a qu'à voir les actions des ennemis où les états des héros. C'est peu de chose mais ça rend le combat attrayant et ça installe une ambiance de fou :
Le combat final... ou comment avec une vue à la première personne et très peu d'animation faire ressentir un flot d'émotions.

Un jeu qui n'a pas eu le succès qu'il méritait en son temps et continue de vivre... malgré tous les obstacles sur sa route... grâce à ses fans et depuis 17ans maintenant.
Un grand jeu que chacun se devrait d'au moins essayer.

Final Fantasy VII play

Hikadey

le 12/03/2012

Critique entièrement subjective (malgré des bribes d'"objectivité" sur la fin)

Premier FF terminé, l'ironie du sort a voulu que ce soit le premier FF que (quasi) tous les européens ont fini alors que j'avais déjà entamé FFIII/IV/VI. Un jeu vraiment excellent.
Je remercie tout d'abord l'internet pour m'avoir fait partir avec un gros à priori sur le jeu : "C'est overhypé, c'est moche, la traduction est horrible etc..." donc je n'attendais pas grand chose du jeu et il a donc su me surprendre :
L'histoire s'est avéré vraiment excellente et la première partie à Midgard (la meilleure du jeu) est digne d'un récit cinématographique dans sa narration. La suite perd évidemment en intensité mais la découverte prime sur le reste et le plaisir s'avère intact.
Je me suis surpris à attacher aux personnages (exception faite d'un seul*) Cloud que j'imaginais de part la propagande "Advent Children/FFVII compilation" comme un gros émo-punk comme on en vomi dans les mangas s'est avéré être un très bon protagoniste. Relativement "sobre" dans son rôle d'émo (Il se plaint pas souvent, juste schizo) il a permis de me canaliser à travers dans le jeu (je répondais sérieusement aux questions, sentiment renforcé par le duo Aeris/Tifa qu'on peut se faire au Gold saucer) et donc ainsi m'impliquer dedans contrairement à FFVI qui ne m'avait jamais vraiment passionné faute de "vrai" personnage principal.
On en arrive donc sur le point qui m'a permis de faire le jeu d'une traite, là où les autres m'avaient saoulé au point de lâcher : Le système de combat (plus précisément de matérias).
Je pense qu'on peut dire qu'il s'agit du système le plus "attrayant" et le "meilleur" (dans le fond) crée par Square. Il montre des failles failles bien sûr : Tous les persos peuvent être des tanks et des combi nons prévus par les devs' peuvent tuer les ennemis en un tour, MAIS QUEL PLAISIR !
Pour la première fois dans un FF, pas besoin de leveller... Pas cet horrible farming qui m'vait achevé dans les autres. Purement et simplement de la stratégie, de la gestion astucieuse et on peut vaincre avec plus ou moins d'aisance tous les boss et utiliser TOUS LES PERSOS (là où dans la plupart des RPG on vire ceux qui ne frappent pas fort, même s'ils sont beaux)
PS : Oups Cait sith...
Je remercie également Square d'avoir diminué la fréquence des combats, ou tout de moins de nous permettre de fuir plus aisément... Ca fait tellement du bien.
Bref, une très bonne découverte dont les points plus hauts se cristallisent à la fin du CD1/début du CD2 où l'émotion et les twists sont à leur paroxysme.

Après bien sûr, le jeu n'est pas sans défaut. Les graphismes agressent les yeux, et le processeur sonore de la console est vraiment à la ramasse (allez voir les futures productions). Malgré ces deux "objectifs" défauts se sont avérés être un plus pour moi. Dans le sens où j'ai été impressionné de voir l'émotion passer à travers de vulgaires polygones SD tout ça à l'aide de quelques mimiques ; ainsi que de voir Uematsu arriver à faire des thèmes très marquant avec les daibles sons disponibles (mais l'OST globale est très inférieure à FFVI)

Un autre défaut est la baisse de rythme évidente du scénario au milieu du CD2 (mega matérias). On ne sait plus si ce qu'on fait sert à quelque chose, pourquoi on va là et là et ce n'est pas la traduction qui est en faute puisque cette partie est carrément occultée de certains résumés du jeu.
Heureusement ça revient sur la fin.
Autre reproche sont les points noirs assez choquant. Pourtant tout est présent dans le jeu, mais certaines ficelles pourtant essentielles à la compréhensions sont cachés dans des endroits que seul un mordu du jeu/de l'exploration penserait à fouiller... Vu que le scénario commence in media res ça donne une touche de réalisme, mais cela couplé à la traduction parfois hasardeuse rend le jeu difficilement compréhensible à 100% (sans internet)

Au final un jeu qui m'aura beaucoup marqué (première fois que je pleure sur un JV) rien que par le fait que je l'ai fait d'une traite en trois mois à l'heure où je lâche tous les jeux que je commence. Quelques frustrations également dû à des spoils supplémentaires non calculés en cours de route (Parce que tout le monde connait la scène culte du jeu) mais une très bonne impression au final.

Le plus gros défaut finalement est tout le tapage médiatique autour et les hordes de haters/fanboys. Jouez-y comme s'il s'agissait d'un FF commun et c'est là qu'on voit ce que le jeu a à offrir.

PS : Critique purement subjective, mais un jeu pareil... Que peut-on apporter de plus aujourd'hui dessus sinon son avis personnel ?
Critique entièrement subjective (malgré des bribes d'"objectivité" sur la fin)

Premier FF terminé, l'ironie du sort a voulu que ce soit le premier FF que (quasi) tous les européens ont fini alors que j'avais déjà entamé FFIII/IV/VI. Un jeu vraiment excellent.
Je remercie tout d'abord l'internet pour m'avoir fait partir avec un gros à priori sur le jeu : "C'est overhypé, c'est moche, la traduction est horrible etc..." donc je n'attendais pas grand chose du jeu et il a donc su me surprendre :
L'histoire s'est avéré vraiment excellente et la première partie à Midgard (la meilleure du jeu) est digne d'un récit cinématographique dans sa narration. La suite perd évidemment en intensité mais la découverte prime sur le reste et le plaisir s'avère intact.
Je me suis surpris à attacher aux personnages (exception faite d'un seul*) Cloud que j'imaginais de part la propagande "Advent Children/FFVII compilation" comme un gros émo-punk comme on en vomi dans les mangas s'est avéré être un très bon protagoniste. Relativement "sobre" dans son rôle d'émo (Il se plaint pas souvent, juste schizo) il a permis de me canaliser à travers dans le jeu (je répondais sérieusement aux questions, sentiment renforcé par le duo Aeris/Tifa qu'on peut se faire au Gold saucer) et donc ainsi m'impliquer dedans contrairement à FFVI qui ne m'avait jamais vraiment passionné faute de "vrai" personnage principal.
On en arrive donc sur le point qui m'a permis de faire le jeu d'une traite, là où les autres m'avaient saoulé au point de lâcher : Le système de combat (plus précisément de matérias).
Je pense qu'on peut dire qu'il s'agit du système le plus "attrayant" et le "meilleur" (dans le fond) crée par Square. Il montre des failles failles bien sûr : Tous les persos peuvent être des tanks et des combi nons prévus par les devs' peuvent tuer les ennemis en un tour, MAIS QUEL PLAISIR !
Pour la première fois dans un FF, pas besoin de leveller... Pas cet horrible farming qui m'vait achevé dans les autres. Purement et simplement de la stratégie, de la gestion astucieuse et on peut vaincre avec plus ou moins d'aisance tous les boss et utiliser TOUS LES PERSOS (là où dans la plupart des RPG on vire ceux qui ne frappent pas fort, même s'ils sont beaux)
PS : Oups Cait sith...
Je remercie également Square d'avoir diminué la fréquence des combats, ou tout de moins de nous permettre de fuir plus aisément... Ca fait tellement du bien.
Bref, une très bonne découverte dont les points plus hauts se cristallisent à la fin du CD1/début du CD2 où l'émotion et les twists sont à leur paroxysme.

Après bien sûr, le jeu n'est pas sans défaut. Les graphismes agressent les yeux, et le processeur sonore de la console est vraiment à la ramasse (allez voir les futures productions). Malgré ces deux "objectifs" défauts se sont avérés être un plus pour moi. Dans le sens où j'ai été impressionné de voir l'émotion passer à travers de vulgaires polygones SD tout ça à l'aide de quelques mimiques ; ainsi que de voir Uematsu arriver à faire des thèmes très marquant avec les daibles sons disponibles (mais l'OST globale est très inférieure à FFVI)

Un autre défaut est la baisse de rythme évidente du scénario au milieu du CD2 (mega matérias). On ne sait plus si ce qu'on fait sert à quelque chose, pourquoi on va là et là et ce n'est pas la traduction qui est en faute puisque cette partie est carrément occultée de certains résumés du jeu.
Heureusement ça revient sur la fin.
Autre reproche sont les points noirs assez choquant. Pourtant tout est présent dans le jeu, mais certaines ficelles pourtant essentielles à la compréhensions sont cachés dans des endroits que seul un mordu du jeu/de l'exploration penserait à fouiller... Vu que le scénario commence in media res ça donne une touche de réalisme, mais cela couplé à la traduction parfois hasardeuse rend le jeu difficilement compréhensible à 100% (sans internet)

Au final un jeu qui m'aura beaucoup marqué (première fois que je pleure sur un JV) rien que par le fait que je l'ai fait d'une traite en trois mois à l'heure où je lâche tous les jeux que je commence. Quelques frustrations également dû à des spoils supplémentaires non calculés en cours de route (Parce que tout le monde connait la scène culte du jeu) mais une très bonne impression au final.

Le plus gros défaut finalement est tout le tapage médiatique autour et les hordes de haters/fanboys. Jouez-y comme s'il s'agissait d'un FF commun et c'est là qu'on voit ce que le jeu a à offrir.

PS : Critique purement subjective, mais un jeu pareil... Que peut-on apporter de plus aujourd'hui dessus sinon son avis personnel ?

Pokémon: Version Blanche nds

Hikadey

le 28/11/2011

Un Pokémon tout juste sympathique. Le seul qui ne m'aura pas fait rêver pendant 100heures de jeu ou même fait mourir d'impatience... d'ailleurs je ne l'ai pas acheté. La formule Pokémon me lasse (trop) aujourd'hui.
Pourtant l'aventure était sympathique, un aspect nostalgique et de découverte appréciable, comme un Pokémon quoi. Un scénario plus abouti que les autres (malgré la Team ridicule) ainsi qu'une difficulté revue à la hausse et de très bonnes musiques dans l'ensemble (la reprise du Love theme de Mother 3 est magnifique).
Mais bon, à côté pleins de petites coquilles...
Le scénario se veut plus développé mais il s'avère au final comme tous les autres (sauf sur la fin) CaD la Team qui se contente de faire des petits coups inutiles à travers le pays. PIRE, ça formate complètement la région qui en devient ultra-linéaire et nuit à l'aspect aventure pourtant présent dans les autres jeux.
Les personnages se veulent plus travaillés (N) mais sont tous bien stéréotypés au final.
Après des Pokémon pas toujours inspirés (les plus beaux ne sont accessibles qu'à la toute fin évidemment) une refonte graphique appréciable, malgré des défauts et un système de combat toujours aussi bon

J'ai arrêté une fois les crédits passés. J'ai essayé de visiter plus loin dans le jeu mais rien de passionnant. Par contre suis-je le seul à être choqué de voir qu'un 1/4 d'Unys (la région qui se veut totalement indépendante) se tape des Crysacier niveau 60. Si c'est pour ça, autant ne pas insérer de Pokémon d'autres Gen.

J'aimerais dire : Vivement une amélioration pour le prochain mais il faudra encore se taper la version grise et le remake de R/S/E

Solatorobo: Red The Hunter nds

Hikadey

le 28/11/2011

Solatorobo, ou mon coup de coeur de l'année

Un jeu qui ne payait pas vraiment de mine au premier abord, qui je pensais, allait être une simple distraction et qui est devenu vraiment addictif. Aujourd'hui j'en suis un fanboy et VRP.

L'univers et les personnages sont vraiment le gros point fort du jeu (après il faut aimer les furries)
C'est original, c'est frais, coloré. Les personnages sont tous attachants et travaillés (malgré des stéréotypes) et les dialogues sont vraiment plaisant à lire. Le scénario est très cliché et prévisible mais se laisse suivre, la seconde partie relève tout de même le niveau.
A noter aussi la présence de nombreuses quêtes, toutes scénarisées et succulentes !
Le jeu est très beau graphiquement (mis à part les persos pixélisés) et les musiques sont sympathiques sans être mémorables (même s'il y a 2/3 tueries)

Du tout bon en somme et j'ai vraiment accroché sur ça, mais il y a pleins de pleins de petit "à côté" qui empêchent d'en faire une tuerie.

-Déjà le jeu est très peu ludique, si les dialogues sont très plaisant à lire, ils occupent 70% du jeu (il n'y a qu'à voir certaines quêtes où les seules actions que l'on fera consisteront à se déplacer)
-Le gameplay est limité (A;A;A;A !) et même si certaines ajouts arrivent dans la seconde partie la monotonie revient très vite.
Le jeu est incroyablement simple et linéaire. A peine a-t-on fait un pas qu'un personnage parle pour nous indiquer la marche à suivre "tiens, il y a un interrupteur ici ! On devrait appuyer dessus". On pourrait se rattraper sur les ennemis mais ils sont tellement simples qu'il faudra s'abstenir de customiser son mecha pour avoir quelques game over (ce que j'ai fait) ça rend l'aspect RPG complètement inutile.
-Ensuite le jeu est plutôt court et notre monde assez petit au final...

Bref un jeu qu'il vaut mieux dévorer dans le fond que dans la forme. Je suis tombé amoureux des personnages et de l'univers

Vivement la suite qui sera dévoilée à l'E3 2012 en espérant que tous ces petits défauts sont gommés !
Solatorobo, ou mon coup de coeur de l'année :neko:
Un jeu qui ne payait pas vraiment de mine au premier abord, qui je pensais, allait être une simple distraction et qui est devenu vraiment addictif. Aujourd'hui j'en suis un fanboy et VRP.

L'univers et les personnages sont vraiment le gros point fort du jeu (après il faut aimer les furries)
C'est original, c'est frais, coloré. Les personnages sont tous attachants et travaillés (malgré des stéréotypes) et les dialogues sont vraiment plaisant à lire. Le scénario est très cliché et prévisible mais se laisse suivre, la seconde partie relève tout de même le niveau.
A noter aussi la présence de nombreuses quêtes, toutes scénarisées et succulentes !
Le jeu est très beau graphiquement (mis à part les persos pixélisés) et les musiques sont sympathiques sans être mémorables (même s'il y a 2/3 tueries)

Du tout bon en somme et j'ai vraiment accroché sur ça, mais il y a pleins de pleins de petit "à côté" qui empêchent d'en faire une tuerie.

-Déjà le jeu est très peu ludique, si les dialogues sont très plaisant à lire, ils occupent 70% du jeu (il n'y a qu'à voir certaines quêtes où les seules actions que l'on fera consisteront à se déplacer)
-Le gameplay est limité (A;A;A;A !) et même si certaines ajouts arrivent dans la seconde partie la monotonie revient très vite.
Le jeu est incroyablement simple et linéaire. A peine a-t-on fait un pas qu'un personnage parle pour nous indiquer la marche à suivre "tiens, il y a un interrupteur ici ! On devrait appuyer dessus". On pourrait se rattraper sur les ennemis mais ils sont tellement simples qu'il faudra s'abstenir de customiser son mecha pour avoir quelques game over (ce que j'ai fait) ça rend l'aspect RPG complètement inutile.
-Ensuite le jeu est plutôt court et notre monde assez petit au final...

Bref un jeu qu'il vaut mieux dévorer dans le fond que dans la forme. Je suis tombé amoureux des personnages et de l'univers :wub:

Vivement la suite qui sera dévoilée à l'E3 2012 en espérant que tous ces petits défauts sont gommés !

The Legend of Zelda: A Link to the Past snes

Hikadey

le 08/01/2012

Un très bon Zelda assurément. Le premier qui pose véritablement les bases de la série et que tous les autres reprendront et amélioreront.
C'est bien là le problème.
Si le jeu n'a pas vieilli graphiquement ni musicalement (sauf la musique des donjons BIEN inférieure à Zelda 2) et qu'il est toujours au top sur le gameplay, le jeu peine à émerveiller si on a fait les autres Zelda.
On prend beaucoup de plaisir à explorer les deux cartes du monde et les possibilités sont énormes tant elles sont riches mais passé cela ce n'est que DONJON-DONJON-DONJON aux énigmes qui (d'ailleurs) ne poseront aucun problème à ceux qui ont fait les Zelda suivant :
Allume les torches et court jusqu'à la sortie sinon ça s'éteint
Pousse un bloc et ouvre la porte.
On dit que le scénario n'est pas important dans un Zelda, mais si ! Les personnages en tout cas. Aurait-on pu apprécier autant Link's awakening et Ocarina of time sans ses persos secondaires attachant et émouvant ? Je ne pense pas. En ce sens A link to the past est un peu vide et on ne se sent pas vraiment présent dans la quête.
Cette solitude aurait pu être utilisé pour instaurer un sentiment de danger ou d'exploration, mais vu que les donjons sont affichés sur la carte et qu'un rapide tour au village nous aidera à savoir où aller, ce sentiment n'est pas.
Je comprends donc tout à fait l'impact qu'il a eut à l'époque mais pour ceux ayant joué aux autres volets, l'émerveillement ne sera pas le même.
Passé ça, le jeu est quand même très bon et addictif. S'il y a un Zelda à faire pour commencer c'est celui là, puisqu'il caractérise bien la série ! :ok:

Les + :
Recette Zelda
Réalisation
Musique
Durée de vie énorme (50h et +) et un monde regorgeant de secrets.

Les - :
Les autres ont tout amélioré
La musique des donjons.

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