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Commentaires de bruninho87 avatar
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Trier par : Date | Support | Nom | Note
88 commentaires
Odin Sphere Leifthrasir play4
bruninho87

le 06/12/2016
5
Juste non. Trop répétitif, aucun intérêt en 2016. Malgré la beauté indéniable, il était sûrement bien à l'époque, voire même avant-gardiste. Aujourd'hui, nous attendons, j'attends d'un jeu qu'il me prenne par les tripes et me donne envie d'avancer pour comprendre, connaître l'univers et l'apprivoiser, me donne envie de m'investir ; malheureusement, Odin Sphere ne me correspond pas. Dommage.
Grand Kingdom play4
bruninho87

le 06/12/2016
3
Il y avait vraiment de la matière et de bonnes idées... sur le papier uniquement. En effet, la redondance, le manque de rythme et la demande d'investissement conséquent pour du grind ont eu raison de moi. Dommage.
Final Fantasy Type-0 HD play4
bruninho87

le 06/12/2016
3_5
Pas besoin de faire un pavé pour comprendre la non-plaisance de ce jeu. Trop de personnages, mauvais techniquement et mal pensé. On dirait vraiment que c'est un spin-off ou une mauvais blague de SE. M'enfin à essayer tout de même pour les plus curieux.
Dragon Quest Heroes: Le Crépuscule de l'Arbre du Monde play4
bruninho87

le 06/12/2016
5_5
Il y a de bonnes idées, voire de très bonnes même. Le vrai hic du jeu selon moi - hormis le fait qu'il faille un tant soit peu être fan de la série des DQ - j'ai trouvé que le jeu était inutilement difficilement par moment et qu'il faille farmer des quêtes répétitives pour rien. Et c'est bien dommage.

A part ça, c'est plaisant, c'est jouissif ce sentiment de puissance aux fils des missions. Et on peut se le dire, il n'est pas dégueu graphiquement.
Deception IV: The Nightmare Princess play4
bruninho87

le 06/12/2016
2_5
Juste pour pouvoir mettre ma note, mais j'ai détesté. Pourquoi? Fade, sans goût et vraiment redondant.
The Technomancer play4
bruninho87

le 03/10/2016
5
J'aime pas les allers-retours pendant 80% du jeu.
Fire Emblem Fates: Conquête 3ds
bruninho87

le 21/07/2016
6
Je me souviens encore de mes premiers instants sur Fire Emblem Awakening. Une vraie perle vidéoludique, de grands moments de combat, des fusions entre personnages, des stratégies de dingue à mettre en place, le fait qu’ils leur manquaient des pieds, …, bref plein de beaux souvenirs.

J’avoue que pour ce nouveau FE, je m’attendais à retrouver tout ça, ces ressentis, ce plaisir 3DS en main,… mais, MAIS,… je suis déçu.

Déçu car finalement les nouveautés ne sont pas au rendez-vous. Enfin si, mais elles sont minimes à mes yeux. Ok, maintenant ils ont des pieds. Ok, le scénario est meilleur. Mais, c’est tout.

J’ai donc eu beaucoup de mal à le terminer malgré qu’il ne m’ait pris uniquement 25 heures à voir le bout. De plus, je n’ai eu l’occasion d’avoir un seul enfant ; celui du héros. Je ne peux même pas continuer ma partie pour essayer d’en obtenir d’autres ; et j’en vois même plus l’intérêt.

En somme, je suis déçu, mais je pense qu’avec Awakening, j’ai eu l’effet de surprise, que je n’aurais plus jamais sur FE (je pense). Néanmoins, le jeu à d’énormes qualités et fait sûrement parti des meilleurs T-RPG sur 3DS. A faire pour les fans !
Digimon Story: Cyber Sleuth play4
bruninho87

le 21/07/2016
7
Bien que je sois un fervent admirateur de la concurrence, à savoir Pokémon, j’ai eu carrément une grosse envie de me jeter dans l’aventure Digimon Story : Cyber Sleuth sorti dernièrement sur PS4 (et PS Vita). Même si j’avoue à mon grand regret, je n’ai jamais forcément aimé les jeux de la franchise Digimon sur plusieurs points : inutilement long, concept d’évolution étrange, exp mal foutu, phase de grind à effectuer obligatoire. Bien évidemment, tous ces points ne sont pas des paroles en l’air, mais des points négatifs sur les quelques jeux sur NDS que j’ai fait par le passé.

Parenthèses fermées.

Ce que je peux d’ores et déjà révéler c’est qu’un des gros points négatifs fût effacé. En effet, plus de grosses phases de grind à effectuer pour poutrer les adversaires. Sans parler de la petite technique en utilise un Digimon en particulier avec des objets en particulier, le fait d’utiliser cette petite technique, ça m’a permis de faire quelques petites phases de level up afin d’être suffisamment à nouveau pour suivre l’aventure. Ces phases restent tout de même importante à faire, mais ne prendront plus autant de temps. Pourquoi sont-elles importantes ? Tout simplement parce que la courbe de difficulté est très mal fichue. On peut facilement se balader par moment, et d’un moment à l’autre, le boss devient juste très difficile à battre. Fort heureusement, donc, que cette petite technique est possible à faire. Outre le fait que le jeu soit, du coup, moins rébarbatif et chronophage, le jeu est vraiment beau à mes yeux. Les Digimon rendent très bien à l’écran et pour les évolutions Mega, Ultime, … sont vraiment Badass !
En outre, on peut déplorer quand même les longueurs sur les dialogues, que notre héros soit un héros muet et que l’intérêt des quêtes soient un peu inintéressantes ; j’ai quand même pris beaucoup de plaisir pendant ces 50 heures !

Digimon petit monstre …
Fallout 4 play4
bruninho87

le 01/06/2016
8
Nettement au-dessous de son aîné, tous les points et domaines sont - selon moi - bien mieux que le 3.

Dommage, néanmoins que la "fin" soit si prévisible et décevante. Néanmoins, cela n'enlève en rien la qualité de cet opus. Un must-have.
Persona 4 Golden psv
bruninho87

le 23/05/2016
9_5
Mon Dieu. Ce sont les deux premiers mots qui me sont venus à l’esprit lorsque j’ai pu contempler le “True Ending” du jeu. Même si j’avais dû un peu regarder sur le net afin de pouvoir justement débloquer la possibilité d’y accéder, car ma première fin était malheureusement une « Mauvaise » fin où j’opte pour liquider le soi-disant méchant de l’histoire. Fort heureusement que le jeu propose justement avant toutes ces situations la possibilité de sauvegarder la partie en précisant bien qu’il s’agit d’un moment crucial !

En passant outre le fait que j’ai dû me reprendre une deuxième fois sur ma sauvegarde pour choper le vrai méchant, le jeu nous proposera un NG+ qui sera nécessaire afin de combattre le plus gros boss du jeu (oui je l’ai lu quelque part sur le net). Cependant, il est fort difficile pour moi de me refaire une 50aine d’heures de jeu sur Persona 4 – même si j’ai adoré – supplémentaires. En effet, ce petit remake de Persona 4 sorti par le passé sur PS2 et remasterisé, remanié, avec ajout de quelques options confortables pour le joueur, le jeu nous fera plonger à minima pendant une bonne 40 aine d’heures aisément. Entre les innombrables dialogues, les S-Ling, le leveling, la recherche d’aboutissement de quelques quêtes annexes, etc il faudra être accrocher aujourd’hui pour tenir aussi longtemps. D’ailleurs, ça me fait aussi dire qu’à mon humble avis un jeune joueur d’aujourd’hui (16/20 ans) aura beaucoup de mal à apprécier à sa juste valeur ce jeu qui est de loin l’un des meilleurs RPG jamais crée. Pas que le jeu soit difficile (car on peut ajuster la difficulté), mais pour sa longue durée de vie, sa complexité sur certains aspects du jeu, le fait qu’il soit qu’en anglais, et sa pseudo lourdeur par son manque de dynamisme par rapport à un jeu lambda de 2016. Et il serait donc à tort détester ou peut-être juste non-approuvé par le gamer un peu plus jeune qui est née avec une PS2 et non une Atari. Bien évidemment, j’extrapole beaucoup, mais je pense ne pas être loin du faux ; sans compter qu’un RPG est moins apprécié par les plus jeune par rapport à un FPS.

Quoiqu’il en soit en passant outre cette aspect de possible lourdeur pour un joueur d’aujourd’hui, ce jeu a très peu de défaut, voire aucun. Selon moi, son histoire, son enquête, ses personnages, son système de fusion/persona, l’ambiance font de ce jeu un des meilleurs RPG jamais crée et auxquelles j’ai joué.

Personnellement, même si je « maitrise » l’anglais, j’aurais nettement apprécié de manière plus confortable un jeu en français ainsi qu’un univers un peu plus vaste et non pas qu’on se limite à 6-7 zones. Mais ces derniers points sont que du pinaillement car n’entache en rien sa qualité indéniable.

Il est d’ailleurs très difficile de conclure et d’expliquer pourquoi il est génial car tellement de choses ont été bien pensées, bien amenées et bien maitrisées, sans oublier qu’il s’agit du remake qui donne une d’autant plus une meilleure convivialité au soft sous certains aspects. Donc pour conclure, je vais simplement dire :

« ACHETEZ-LE » !
Yo-Kai Watch 3ds
bruninho87

le 19/05/2016
7
Terminé Yokai Watch (histoire principale uniquement) en 18 heures.

Le faux-frère caché de la licence Pokémon se révèle être un jeu plaisant pour les plus jeunes et un peu moins pour les adultes. En effet, nous sommes littéralement projeter dans une petite ville paisible où tout le monde semble heureux. Notre héros – dont on peut lui donner le nom qu’on veut – papote avec ses amis sur la chasse d’insectes. Donc, dans un élan de compétition (et surtout pour garder la tête haute face à nos amis), nous nous rendons dans une montagne sacrée où un arbre majestueux y siège.

En arrivant face à l’arbre, nous apercevons une petite machine de Gashapon dont nous nous ne gênons pas d’utiliser. Contre toute attente, un petit fantôme au nom de Whisper surgit et nous explique qu’il est un Yokai et que, justement, ces Yokai vivent « avec nous » depuis des millénaires. Ni une, ni deux, il se prend pour notre valet et nous donne la Yokai Watch ! En route pour la chasse aux Pokém… aux Yokai !



Malgré le fait que Yokai Watch ait été vendu en Europe – et sûrement aux USA aussi – comme un concurrent à Pokémon, il n’en est vraiment rien. En effet, le gameplay, l’histoire, le scénario, ou tout autre aspect ne ressemble en rien à Pokémon. Enfin si l’aspect collection et « les attraper ».

Ce qui est intéressant ici, même si le jeu est clairement destiné aux plus jeunes, c’est d’avoir inventé un bon nombre de Yokai (qui veut dire « esprit », « fantôme », « apparition étrange ») du folklore japonais. Étant moi-même un fervent admirateur de la culture nippone, j’ai apprécié de voir quelques « vrais » Yokai caricaturés au sein du jeu. Même si certains noms sont tirés par les cheveux, le chara-design est en général réussi, même si on ressent un grand manque d’inspiration entre-eux (changement de couleur pour certains). En outre, l’histoire principale se fait assez rapidement et n’est pas redondante du tout (une dizaine d’heures pour moi) et le jeu bénéficie d’un post-game comme un certain Inazuma Eleven. Cependant, il est recommander de faire un peu de leveling par moment, mais aucun Boss ne posera de problème. De plus, n’hésitez pas à utiliser l’avance rapide en combat afin de leveler nettement plus rapidement (je n’ai su que cette fonction au milieu de jeu…).

En conclusion, cette première aventure m’a bien plu, mais n’est clairement pas le jeu de l’année. J’ai apprécié traverser cette grande ville – et ses égouts – en compagnie du très cher Whisper. Je vais continuer d’essayer de tous les chopper, mais c’est clairement pour peaufiner un maximum mon aventure. Hâte de découvrir le deuxième (double) opus.
Nights of Azure play4
bruninho87

le 13/05/2016
5

La boucle est bouclée pour Nights of Azure. En effet, ce jeu sorti sur PS3-PS Vita et porté sur PS4, nous fait incarner Arnice, jeune agent de Curia qui se rend sur une île où un être maléfique nommé « Nightlord » sévira et détruira le monde lorsque la lune rouge sera pleine.

Dans un format A-RPG qui fait un peu penser à Ni No Kuni, les combos de la chère Arnice n’ont rien de surprenants et ne sont vraiment pas avare de diversité. En effet, Arnice pour débloquer un total de 4 armes (épée, double dague, hache et arc) chacune d’entre-elle sera plus ou moins efficace contre les boss, même si on finira souvent par utiliser l’épée qui selon moi est la plus efficace en terme rapidité-force, l’arc sera utile pour tirer au loin et laisser les familier près des ennemis.

Parlons-en des familiers qui sont dans un premier temps des démons que nous pourrons « apprivoiser ». J’ai mis expressément les guillemets car lorsque nous tuons un ennemi, il se peut qu’il laisse un sorte de symbole à ramasser nous permettant de l’invoquer contre une somme de « blood blue » et nous aider dans notre quête où nous pouvons invoquer un maximum de 4 familiers à la fois. Malheureusement à l’instar d’un Digimon, Pokémon ou même Ni No Kuni, nous aurons l’occasion d’obtenir uniquement 21 familiers différents. Diversité zéro, encore une fois.

Néanmoins, la combinaison des phases de combats entre nos combos et les familiers donnent l’impression d’être dans des combats dynamiques où au final on finit par se rendre compte que ces combats peuvent devenir rébarbatifs. Fort heureusement que le jeu soit court, car même le fond de l’univers ne permet pas de donner un poil plus d’intérêt à ce jeu, et les rares personne que nous croiserons sont finalement plus agaçantes qu’intéressantes.

A prendre ce jeu avec des pincettes et en échange de peu de sous.


Dragon Age: Inquisition play4
bruninho87

le 03/05/2016
9

Dragon Age Inquisition en 35 heures.

Une aventure palpitante avec des moments épiques. Comme tous RPG, nous avons rapidement la possibilité de vaquer à d’autres activités au lieu de suivre pleinement l’histoire principale. Par ailleurs, il est vivement recommandé de faire justement d’autres activités car :

  • Ca permet de lever ses personnages et c’est long.
  • Prendre connaissances à travers les milliers de codex dans quel univers nous sommes
  • Faire connaissance avec pas mal de PNJ
  • Recruter d’autres compagnons
  • Visiter des lieux magnifiquement modélisés (d’autre un point, c’est vrai).

Ce que je veux dire par là, c’est qu’en ayant justement dosé cette justesse entre histoire principale et activités annexes, l’immersion est totale. D’autant plus que les personnages que nous pourrons recruter sont plus que sympathiques et lors de nos épopées, certains se laissent à quelques phases de dialogues hilarantes donnant un poil « d’humanité » et d’immersion avec notre équipe.

Pour conclure, j’ai vraiment apprécié cette aventure – autant même que sur Origins, pour dire – et que je suis assez triste de devoir quitter cette belle équipe que je mettais composé. Malgré qu’on puisse continuer la partie pour terminer les quêtes annexes (peut-être même un post-game qui s’ouvre et des DLC sympathiques), je me dois de tirer ma révérence et partir vers d’autre horizon (jeux).


Pokémon Méga Donjon Mystère 3ds
bruninho87

le 08/03/2016
9
Fini Pokémon Méga Donjon Mystère est c'est une réelle réussite.

Je me rappelle surtout lors du précédent opus où les dialogues à rallonge et la suppression des pommes étaient les points les plus fâcheux, je peux dores et déjà dire que la concepteur ont écouté les fans et autant vous dire, c'est peut-être le meilleur opus Pokémon DM jamais sorti jusqu'à présent.

Une petite dose de difficulté bien amené, le scénario vraiment bon et un super système de "capture". Je conseille fortement pour ceux qui aiment Pokémon et les Donjons Mystères.
Final Fantasy Explorers 3ds
bruninho87

le 02/03/2016
5
Trop de fan service, tuent le fan service.

Malgré que je sois un fan inconditionnel de la licence Final Fantasy, j’en sors quand même déçu de ce spin-off. L’idée de pouvoir explorer différents lieux, en enfilant costumes de différents Final Fantasy avec un job au choix et son attirail en main, ç’avait de la gueule. Sur le papier seulement.

Un framerate plus qu’énervant, une qualité graphique plus que médiocre sur 3DS (d’ailleurs pas de 3D, est-ce un opus NDS ?!), et un système plus que répétitif : Va ici, va là-bas, fais ci, fais ça, sans un réel intérêt scénaristique, malheureusement je lâche l’affaire. ET LA CAMERA DE MERDE !

Les 10 premières heures étaient bonnes : Surprise, nouveau jeu FF en main, base de gameplay en place. Après, c’est la même chose mais en moins surprenant. Bref, dommage.
Fallout 4 xboxone
bruninho87

le 09/02/2016
8
Un très bon Fallout avec son habitude plein de contenu nous permettant de voyager ici et là dans un univers toujours plus réussi. Dommage qu'une certaine lassitude puisse se faire ressentir après avoir terminé l'histoire principale et plusieurs quêtes annexes.
Chrono Trigger nds
bruninho87

le 21/08/2015
9
Je ne vais pas m'étaler sur une centaine de lignes, mais juste dire que j'ai terminé - réellement - Chrono Trigger (version NDS) et franchement c'est un petit bijou. Avant-gardiste pour son époque, n'a pas du tout mal vieilli pour y avoir jouer en 2015. Un must-have, un jeu cultissime.
Inazuma Eleven GO Chrono Stones: Tonnerre 3ds
bruninho87

le 18/05/2015
7_5

Un énième Inazuma Eleven arrivé dans nos contrées et ce – toujours – après quelques années par rapport à nos amis nippons. Habitué de ce système d’être la dernier roue du carrosse en terme de jeux vidéo, tout comme un certain Youkai Watch dont je mets ma main à couper qu’on le verra en 2016 aux USA/Europe.

Quoiqu’il en soit, comme lors du dernier opus, nous incarnons le jeune Arion Sherwind à travers différents lieux déjà connus par les plus afficionados d’entre-nous. Entre le collège Raimon, l’hôpital ou la célèbre rivière, rien ne nous sera étranger, sauf jusqu’au moment où notre premier voyage temporel survient ! Oui, cet opus rend hommage aux voyages temporels donc notre fine équipe devra prendre part à des voyages à travers l’Histoire (nipponne surtout) afin de redorer le blason du football car un groupe de vilains individus veut éradiquer le football à tout prix afin que quiconque ne sache pas/plus que le football a existé. Raison pour laquelle, les méchants interviennent dans différentes époques du passé. De plus, pour faire face à ce groupe de radicaux, nous devrons former le « 11 Ultime » et pour se faire, un simple Mixi Max (fusion de deux personnages) avec un joueur de notre équipe et un personnage célèbre de l’Histoire. Dit ainsi, cela paraît farfelu et absurde, mais ce point est tout à fait légitime et bien pensé dans le scénario de ce Inazuma Eleven Go 2 Chrono Stone !

En plus, d’avoir une histoire – pour une fois – plus poussée et intéressante, il est recommandé de ne pas avoir vue l’Anime au préalable (comme moi). C’est un conseil purement réfléchi car j’ai eu l’impression que cette histoire - qui bonne soit-elle - m’est parue quelconque, alors que paradoxalement je l’avais adoré lors de mon visionnage de l’Anime. Ainsi, vous ne pourrez qu’être conquis, et ce à travers les différentes chapitres, mais surtout à travers les différentes époques de l’Histoire permettant de donner un certain cachet à ce 5ème opus.

Outre cet aspect purement annexe, il est à souligner (fortement) le peu de nouveauté dans le gameplay. On peut mettre en exergue le simple fait que la sensation, durant les matchs, reste la même avec une pointe de difficulté en plus par rapport à ses ainés. En effet, j’ai dû, à quelques reprises, utiliser mes techniques spéciales les plus puissantes en combinant mon esprit guerrier pour pouvoir marquer. Je pense que les gardiens se sont vus renforcer afin de donner un peu plus de challenge, ou peut-être pour obliger le joueur à utiliser la combinaison de : Esprit Guerrier (en armure) + Mixi Max = joueur quasi invincible, contrairement au joueur lambda sans transformation. Cela n’est que de la pure supposition. C’est d’ailleurs une des nouveautés majeures de ce nouvel Inazuma Eleven : les Mixi Max. Sans compter par la transformation en Armure de l’Esprit Guerrier du personnage. Soit énormément de transformations sur notre joueur donnant ainsi le sentiment de devoir utiliser les mêmes personnages (ceux qui ont un EG + Mixi Max) pour se mettre toutes les chances de notre côté pour gagner les matchs. De ce fait, les quelques joueurs secondaires qu’on aura soit recruter, soit faisant parti du club (Samgunk, Adé, etc..) ne seront finalement jamais sélectionnés par nos soins car n’ont aucune transformation. Par ailleurs, on pourra aussi compter sur deux petites nouveautés en match : les K.O. gardiens et la barre de progression.

Le K.O. survient lorsqu’on tir frénétiquement au but et que le gardien adverse arrête tous nos tirs. Raison pour laquelle une jauge de « K.O. » se remplit au fur-et-à-mesure. Bien évidemment, plus notre tir est puissant (stat de tir + technique spéciale utilisée), la jauge se remplira plus rapidement arrivant ainsi au point culminant de K.O. Ce point culminant nous permettra lors de notre prochain tir de marquer à coup sûr, un fait intéressant si nous avons de mauvais attaquant en point.

En ce qui concerne la barre de progression (uniquement en match scénarisé), nous devrons usé de nos techniques spécial, faire des passes, tirer, en d’autres termes effectuer plein d’actions afin de remplir cette barre qui permettra de déclencher un évènement scénarisé en match. Bien sûr, si nous ne réussissons pas à remplir la barre dans le temps imparti, nous sommes déclaré perdant du match et devrons recommencer le dite match.

Comme à l’accoutumé dans les Inazuma Eleven, le scénario principal terminé, nous aurons droit de continuer d’y jouer dans le Post-Game du jeu. Sur ce nouvel opus, pas mal de choses s’offrent à nous.

Pour commencer, tous les joueurs pourront avoir un Esprit Guerrier que nous pourrons acheter à un personnage se trouvant dans la Tour. Encore faut-il avoir des Jetons Spirituels (monnaie d’échange) pour acquérir un Esprit Guerrier sur le personnage souhaité.

D’ailleurs, plusieurs personnes seront disposées à nous proposer des lignées de matchs amicaux – en plus de celui qui se trouve à la Rivière - nous permettant de dropper plusieurs items intéressants, dont les Jetons Spirituels. Sans compter l’incontournable chasse au recrutement des joueurs secrets, des joueurs difficiles à recruter et plein de secrets que je vous laisse le soin de découvrir par vous-même.

En somme, nous avons dans ce nouvel opus eu droit à une histoire intéressante et plus mature. Comme indiqué plus haut, évitez de faire la même erreur que moi : ne regardez pas l’Anime avant de jouer au jeu, sinon ça prendra un gros coup sur l’intérêt du soft. Par ailleurs, malgré le peu de réel nouveauté, les ingrédients primordiaux sont toujours d’actualité et c’est ce qui a fait le succès de la série. Donc, n’hésitez pas un seul instant et rejoignez le club de RAIMON !


Inazuma Eleven GO Chrono Stones: Brasier 3ds
bruninho87

le 18/05/2015
7_5

Un énième Inazuma Eleven arrivé dans nos contrées et ce – toujours – après quelques années par rapport à nos amis nippons. Habitué de ce système d’être la dernier roue du carrosse en terme de jeux vidéo, tout comme un certain Youkai Watch dont je mets ma main à couper qu’on le verra en 2016 aux USA/Europe.

Quoiqu’il en soit, comme lors du dernier opus, nous incarnons le jeune Arion Sherwind à travers différents lieux déjà connus par les plus afficionados d’entre-nous. Entre le collège Raimon, l’hôpital ou la célèbre rivière, rien ne nous sera étranger, sauf jusqu’au moment où notre premier voyage temporel survient ! Oui, cet opus rend hommage aux voyages temporels donc notre fine équipe devra prendre part à des voyages à travers l’Histoire (nipponne surtout) afin de redorer le blason du football car un groupe de vilains individus veut éradiquer le football à tout prix afin que quiconque ne sache pas/plus que le football a existé. Raison pour laquelle, les méchants interviennent dans différentes époques du passé. De plus, pour faire face à ce groupe de radicaux, nous devrons former le « 11 Ultime » et pour se faire, un simple Mixi Max (fusion de deux personnages) avec un joueur de notre équipe et un personnage célèbre de l’Histoire. Dit ainsi, cela paraît farfelu et absurde, mais ce point est tout à fait légitime et bien pensé dans le scénario de ce Inazuma Eleven Go 2 Chrono Stone !

En plus, d’avoir une histoire – pour une fois – plus poussée et intéressante, il est recommandé de ne pas avoir vue l’Anime au préalable (comme moi). C’est un conseil purement réfléchi car j’ai eu l’impression que cette histoire - qui bonne soit-elle - m’est parue quelconque, alors que paradoxalement je l’avais adoré lors de mon visionnage de l’Anime. Ainsi, vous ne pourrez qu’être conquis, et ce à travers les différentes chapitres, mais surtout à travers les différentes époques de l’Histoire permettant de donner un certain cachet à ce 5ème opus.

Outre cet aspect purement annexe, il est à souligner (fortement) le peu de nouveauté dans le gameplay. On peut mettre en exergue le simple fait que la sensation, durant les matchs, reste la même avec une pointe de difficulté en plus par rapport à ses ainés. En effet, j’ai dû, à quelques reprises, utiliser mes techniques spéciales les plus puissantes en combinant mon esprit guerrier pour pouvoir marquer. Je pense que les gardiens se sont vus renforcer afin de donner un peu plus de challenge, ou peut-être pour obliger le joueur à utiliser la combinaison de : Esprit Guerrier (en armure) + Mixi Max = joueur quasi invincible, contrairement au joueur lambda sans transformation. Cela n’est que de la pure supposition. C’est d’ailleurs une des nouveautés majeures de ce nouvel Inazuma Eleven : les Mixi Max. Sans compter par la transformation en Armure de l’Esprit Guerrier du personnage. Soit énormément de transformations sur notre joueur donnant ainsi le sentiment de devoir utiliser les mêmes personnages (ceux qui ont un EG + Mixi Max) pour se mettre toutes les chances de notre côté pour gagner les matchs. De ce fait, les quelques joueurs secondaires qu’on aura soit recruter, soit faisant parti du club (Samgunk, Adé, etc..) ne seront finalement jamais sélectionnés par nos soins car n’ont aucune transformation. Par ailleurs, on pourra aussi compter sur deux petites nouveautés en match : les K.O. gardiens et la barre de progression.

Le K.O. survient lorsqu’on tir frénétiquement au but et que le gardien adverse arrête tous nos tirs. Raison pour laquelle une jauge de « K.O. » se remplit au fur-et-à-mesure. Bien évidemment, plus notre tir est puissant (stat de tir + technique spéciale utilisée), la jauge se remplira plus rapidement arrivant ainsi au point culminant de K.O. Ce point culminant nous permettra lors de notre prochain tir de marquer à coup sûr, un fait intéressant si nous avons de mauvais attaquant en point.

En ce qui concerne la barre de progression (uniquement en match scénarisé), nous devrons usé de nos techniques spécial, faire des passes, tirer, en d’autres termes effectuer plein d’actions afin de remplir cette barre qui permettra de déclencher un évènement scénarisé en match. Bien sûr, si nous ne réussissons pas à remplir la barre dans le temps imparti, nous sommes déclaré perdant du match et devrons recommencer le dite match.

Comme à l’accoutumé dans les Inazuma Eleven, le scénario principal terminé, nous aurons droit de continuer d’y jouer dans le Post-Game du jeu. Sur ce nouvel opus, pas mal de choses s’offrent à nous.

Pour commencer, tous les joueurs pourront avoir un Esprit Guerrier que nous pourrons acheter à un personnage se trouvant dans la Tour. Encore faut-il avoir des Jetons Spirituels (monnaie d’échange) pour acquérir un Esprit Guerrier sur le personnage souhaité.

D’ailleurs, plusieurs personnes seront disposées à nous proposer des lignées de matchs amicaux – en plus de celui qui se trouve à la Rivière - nous permettant de dropper plusieurs items intéressants, dont les Jetons Spirituels. Sans compter l’incontournable chasse au recrutement des joueurs secrets, des joueurs difficiles à recruter et plein de secrets que je vous laisse le soin de découvrir par vous-même.

En somme, nous avons dans ce nouvel opus eu droit à une histoire intéressante et plus mature. Comme indiqué plus haut, évitez de faire la même erreur que moi : ne regardez pas l’Anime avant de jouer au jeu, sinon ça prendra un gros coup sur l’intérêt du soft. Par ailleurs, malgré le peu de réel nouveauté, les ingrédients primordiaux sont toujours d’actualité et c’est ce qui a fait le succès de la série. Donc, n’hésitez pas un seul instant et rejoignez le club de RAIMON !


The Legend of Zelda: A Link Between Worlds 3ds
bruninho87

le 16/02/2015
8

22 ans plus tard, Nintendo fait frémir les afficionados de la saga Zelda. En effet, The Legend of Zelda: A Link Between Worlds ressemble de très près à The Legend of Zelda: A Link to the Past ; un jeu qui aura révolutionné le genre avec son monde libre et son efficacité à satisfaire la majorité des joueurs dans le monde. Néanmoins, retentez l’aventure aux temps modernes fera-t-il encore mouche auprès des gamers ?

Ô Hyrule !

Réveillé par le jeune Guly, fils de forgeron du Village Cocorico, notre jeune Link doit se rendre promptement au boulot et ce - encore une fois - en retard. Les « oreilles tirées » et gronder par le forgeron dit « Le Patron », ils se rendent tous les deux vite compte que le capitaine de la Garde Royale a oublié son épée récemment forgée. Ni une, ni deux, Le Patron ordonna à Link de se dépêcher de rattraper le capitaine afin de lui remettre son dû.

C’est alors que Link constata que le Capitaine court un grave danger, face à un dénommé Yuga. Ce dernier qui transforma, sous les yeux de Link, le Capitaine en un tableau.

Link, téméraire, décide d’utiliser l’épée qu’il devait ramener afin d’affronter Yuga. En effet, le Royaume est face à un ennemi redoutable car il finit par transformer les 7 descendants des Sages en de fabuleux tableaux pour sa collection personnelle.

Link, armé de « sa nouvelle » épée, part à l’aventure afin de sauver les 7 descendants.


Une nouvelle aventure dans un monde que l’on connaît déjà. Effectivement, la map est, à peu de chose près, à l’identique de celle que nous avions connu sur A Link to the Past. L’effet s’en ressent car, Pad à la main, les sensations reviennent, la Nostalgie nous submerge et cette musique ; du pain béni.

L’aventure (re)commence.

Retour aux sources

Comme avec son aîné, le joueur est lancé dans le bain de manière impromptue et devra tâter en vaquant ici et là. De cette manière, le joueur explorera, à son rythme, le monde qui s’offre à lui. Le scénario ne déroge pas à la règle, il est toujours aussi anecdotique, donnant juste une raison « valable » au joueur d’avancer à travers les différents donjons du jeu. A Link Between Worlds est divisé en deux parties, la première étant très courte. D’ailleurs, c’est dans la deuxième partie que le gameplay se verra accroître significativement. Contrairement à Link to the past où le voyage à travers le temps était de rigueur, ici nous auront droit à un gameplay entre la 2D et la 3D où les moindres recoins dissimuleront - peut-être - un secret que le joueur devra découvrir.

De ce fait, le monde d’Hyrule gagne nettement en possibilité et en superficie. Les murs, en général étant là pour imposer une Direction Artistique et un Level-Design pour limiter les zones, nous permettra, du coup, de gagner en exploration et donc, en richesse.

Par ailleurs, la grande richesse de ce nouvel opus survient lors des premières minutes où nous comprenons que le monde est libre d’exploration malgré qu’il faille, au préalable, débloquer palmes et gants de force pour réellement profiter à 100% d’Hyrule.

Outre ces deux objets à débloquer, le reste de l’équipement mythique à la série est disponible de suite – en location initialement – via le shop de Lavio ; personnage sans aucun scrupule à habiter chez nous.


Gameplay aux petits oignons

Habitué à la saga, le joueur ne sera pas étranger au gameplay de cet opus. La magie a opéré il y a 20 ans et celle-ci, opère toujours. Epée en main, place à l’aventure. La nouveauté sur ce jeu provient de la possibilité de se coller au mur – tel un tableau – comme expliqué (3D-2D). Intéressant et ingénieux, le monde sera d’autant plus vaste lorsque nous comprendrons toutes les petites subtilités à se « fondre » dans le décor.

D’ailleurs, les moult donjons que nous devrons explorer dont l’élimination du boss nous permettra de sauver l’un des descendants des 7 sages, nos méninges seront au rendez-vous afin de savoir comme il est possible d’y entrer et par la suite, d’avancer dans les différentes salles. Bien évidemment, pour des joueurs acclimatés à l’environnement Hyrulien, ça sera une promenade de santé tant la difficulté s’est vue modernisée (à la baisse).

Néanmoins, les puristes seront content de voir que les bases restent les mêmes. À savoir, l’exploration, la possibilité d’accéder aux donjons dans l’ordre qu’on le souhaite et cette OST exceptionnelle.

En somme, nous avons l’occasion sur ce nouvel opus de The Legend of Zelda de tâter à l’une des séries phares du globe modernisé à la sauce année 2013. La difficulté revue au goût du jour ravira les plus coriaces d’entre nous car – tenez-vous bien – nous pourrons recommencer une nouvelle partie en difficile après avoir terminé une première fois le jeu. Même si sa durée de vie est assez faible ; la dizaine d’heures à travers ce vieux-nouveaux Hyrule est un réel bonheur pour ce qui ne souhaite que suivre la ligne directive.


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