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88 commentaires
Angry Birds Epic ios
bruninho87

le 18/07/2014
6

Angry Birds, un doux nom d’une licence qui a vu le jour au moment du boom des jeux sur mobile. Un premier jeu où le lancer d’oiseaux sur des cochons prenait gentiment sa place de leader incontestable de la plateforme iOS. Depuis, énormément de mise-à-jour, de nouveaux thèmes, de « spin-of » a vu le jour afin que les non-initiés ne s’en déplaisent pas et pénètrent dans le cercle fermé des « aficionados » d’Angry Birds.

Ce spin-of d’Angry Birds, appelé Angry Birds Epic, prend les ingrédients d’un simple RPG au tour-par-tour sans révolutionner le genre, au premier abord, mais il n’en n’est rien. Cette petite perle, gratuite au téléchargement (avec toujours les mêmes micro-achats), est un jeu purement addictif. En ne prenant que des sessions de 15-20 minutes afin de ne pas s’en lasser, le jeu sans aucune prétention particulière permettra à tout le monde d’y trouver son compte.

Le scénario très connu de la franchise où les gentils oiseaux doivent sauver des œufs des méchants-pas-beaux cochons est l’atout phare de la série ; facile à comprendre, addictif et totalement bien pensé. Dans Angry Birds Epics, on prend les mêmes et on recommence. Ainsi en ne bousculant pas les fans, on ne perdra pas nos repères et nous savons dès les premières secondes de jeux quel sera notre objectif principal : sauver les multitudes d’œufs kidnappés par la bande de porcelets.

Cependant, aucune ligne de dialogues n’est présente. Il y aura ceux qui aimeront et apprécieront les cut-scene à la sauce Angry Birds et ceux qui déchanteront très vite par la répétitivité de l’opus.

Comme expliqué plus haut, les combats sont joués au tour-par-tour et deux chois s’offrent à nous :

- Attaquer un des cochons (pointer un de nos oiseaux et glisser sur le cochon adverse)

- Effet de support défensif selon notre oiseau (sur soi : double-cliquer sur l’oiseau, sur un autre oiseau : pointer et glisser)

Très simple, addictif et intelligent. Cependant, de nombreux combats seront, au fil de l’épopée, très longs, voire carrément insoutenable. Pour un jeu sur support smartphone où en général, un joueur lambda voudra consacrer que quelques minutes par jour pourra vite déchanter lorsqu’il réalisera que des combats sans une bonne préparation pourra durer plus de 10 minutes. En d’autres termes, il faudra qu’un joueur, souhaitant se lancer dans l’aventure, devra se consacrer nettement plus qu’un simple Candy Crush ou un jeu d’Angry Birds « premier du nom ». Cependant, Rovio a su trouver la parade en intégrant l’option combat automatique ; nos oiseaux effectueront les attaques et supports de défenses sans que nous n’ayons besoin d’agir. Sympa pour du grind lorsque nous voulons également vaquer à d’autres activités.

Par ailleurs, ce jeu totalement gratuit n’incite pas aux joueurs d’effectuer des micros-achats afin de peaufiner plus rapidement son équipe ; aucun publicité agressive ou incitation suggestive. De plus, nous pouvons également féliciter « l’idée » d’avoir intégré l’option publicité (gain d’argent pour la maison) avec bonus pour le joueur. C’est-à-dire qu’avant – presque – chaque combat, nous pouvons visionner une vidéo de quelques secondes pour obtenir un bonus d’attaque et de santé non négligeable avant un combat tendu.

En conclusion, un jeu qui pourra plaire à tout le monde, surtout pour les joueurs occasionnels qui ne connaissent pas forcément toutes les subtilités d’un RPG complexe, avec son côté addictif, fun et bien réussi.

Bravo Rovio, société qui n’aura cessé de me surprendre.


Atelier Rorona ~The Alchemist of Arland~ play3
bruninho87

le 30/09/2013
7
Mon tout premier Atelier et ce fût avec Rorona que j’ai eu l’occasion de tester ce style de RPG qui se veut atypique.

Pour ceux/celles qui ne connaissent pas, les jeux Atelier ont des critères bien précis. Au revoir, la liberté, le temps d’exploration et de leveling. Ici, avec un temps imparti imposé, vous aurez 3 ans de jeux afin de sauver votre atelier d’alchimiste. Pour cela tous les 3 mois, vous aurez une mission donnée par Sterk, dans laquelle vous serez obligé d’accomplir pour éviter un Game Over.

Pendant vos phases d’accomplissement de mission, vous pouvez tout de même explorer différents secteurs afin de récolter différents objets qui vous permettront de synthétiser des objets. Lors des mixtures, le menu est harmonieux et les objets à confectionner sont simples, attention tout de même à votre niveau d’alchimiste et les niveaux/effets des ingrédients, car au fil de l’aventure, il vous faudra crafter les meilleurs objets possible, afin d’éviter inexorablement le Game Over.

Hormis les phases « d’exploration » pour gagner un peu d’expérience d’aventure (différents du niveau d’alchimiste), pour la récolte d’objet, le bestiaire à disposition est très (trop ?) sobre et manque cruellement de charme. Les level design sont pauvres, on pourrait croire qu’on joue sur PS2.

En outre, les phases de dialogues avec différents PNJ et personnages jouables (que vous débloquerez au fil de l’aventure), sont parfois drôles. On rigole quelques fois, même si par moment ça frise la perversité lesbienne, c’est assez ambigu. De plus, le personnage principal manque cruellement de charme, tellement elle est nunuche.
D’ailleurs, les personnages jouables qui vous escorteront lorsque vous sortirez de la ville, se doivent d’être payer, et afin d’éviter le surcoût et que ses derniers soient plus efficaces en combat, vous pourrez effectuer les différentes missions de récolte ou de mixtures qui vous proposent, ainsi vous augmenterez votre niveau d’amitié. De plus, vous pourrez également effectuer des missions de ville afin d’augmenter votre pourcentage de confiance des citoyens de la ville.

Vous l’aurez compris, lorsque vous finirez votre 3 années de missions et que vous sauver l’atelier, vous aurez droit à différentes fins, car le jeu en propose 14 différentes au totales.
Donc, si vous le souhaitez, vous devrez accomplir certaines quêtes (degré d’amitié, degré de confiance, résultats de missions, etc…) pour obtenir certaines fins. Malheureusement, le New Game + vous permettra uniquement de garder l’argent accumulé lors de votre dernière partie, ainsi que les différentes mixtures obtenues, mais vos niveaux (alchimiste et aventure) seront au niveau 1.

En somme, ce jeu vous pouvez le finir en 10 heures en ligne droite ou en 50 heures pour une seule partie, vous pouvez l’entreprendre de la manière que vous le souhaitez sans problème. C’est ce seul côté où l’on peut parler de liberté. Certains seront refroidis par le concept de temps imparti, car on ne peut se le cacher c’est assez stressant de ne pas pouvoir faire vraiment ce que l’on veut.

Je ne sais pas si c’est le meilleur Atelier, néanmoins, j’ai grandement apprécié le concept.
Baldur's Gate: Dark Alliance play2
bruninho87

le 27/05/2014
7
Un pur H&S comme on les aime. Le jeu était assez jolie pour l'époque sans être à l'apogée de la puissance de la console PS2. Néanmoins, j'ai passé de très bons moments en aillant joué exclusivement en CO-OP. Malgré tout, il reste très dirigiste et à un, on peut vite s'en lasser.
Blood Brothers ios
bruninho87

le 16/08/2013
7
Un jeu sympathique pour les trajets au boulot ou les pause toilettes

Facile à prendre en main, peut-être un peu linéaire, mais les events nous permettent de nous donner des objectifs à atteindre. Ceci étant il est gratuit !
Borderlands play3
bruninho87

le 27/05/2014
8_5

Un must have sur PS3. Ce jeu m’avait fait de l’œil au moment de sa sortie. N’ayant lu aucune critique preview ou autres articles le concernant, j’ai été soumis par la loi du « je tente le coup, il a l’air de péter ». Je n’ai vraiment pas été déçu de cette acquisition à l’époque.

La durée de vie de ce soft est plus que conséquente. En solo, on s’amuse déjà assez bien à effectuer les différentes quêtes malgré qu’elles soient en général assez similaires et qu’on nous demandera énormément d’aller-retour. Néanmoins, lorsqu’on se lance dans l’aventure en CO-OP Online, on s’amuse comme des petits fous, entre le farm pour essayer de choper une monstre arme (dont il y a des milliers de différentes DIABLO-LIKE) et le fait de pouvoir dézinguer des ennemis à coup de laser ou de lance-roquette, on ne voit vraiment pas le temps passé. Une belle acquisition pour quiconque aimerait se lancer sur un RPG à la première personne Shooter.


Bravely Default 3ds
bruninho87

le 02/10/2014
6
Tiz Arrior, jeune garçon du village Norende, est le seul survivant lors de la destruction de son village dont il ne restera qu'un gouffre béant. Sauvé par des chevaliers de Caldisla, ils firent reposer Tiz quelques temps dans l’auberge du coin. Notre très cher Tiz veut à tout prix retourner à son village natal afin de voir de ces propres yeux les dégâts et surtout savoir si éventuellement un villageois – autre que lui – aurait survécu ; mais, non...
Peu après, il rencontra Agnès Oblige, la vestale du cristal du vent qui a fui son temple suite aux persécutions des anticristalistes et l'engloutissement du cristal sur lequel elle veillait. Tiz et Agnès commencèrent leur périple afin de comprendre ce phénomène.

Une introduction très sympathique avec des animations léchées passant en revue les 4 protagonistes principaux de notre épopée. Je trouve cela dommage qu’on nous présente – de manière brève – ces personnages. J’aurais souhaité – comme dans la majorité des RPG – découvrir les personnages (= avoir la surprise) au fil de l’eau. Cependant, je comprends la démarche de nous les présenter dès le début, car nous les réunirons très rapidement.
D’ailleurs, leur rencontre est très mal amenée et on pêche à comprendre la symbiose qui ressort(ira) du groupe. D’autant plus que les personnages sont peu attachants (voire agaçants) et n’ont pas réellement de charmes permettant de les trouver sympathique à la longue. Même s’ils ont, tous les 4, un caractère différent, dont on a souvent l’occasion de voir dans les divers JRPG ; ils sont, néanmoins, trop stéréotypés (la timide, l’obsédé, le brave et l’extravagante). Afin de toute de même soulever un point positif de ces personnages, la symbiose du groupe grandit, pas à pas, lors de notre aventure et on finira (peut-être) par s’attacher à eux.

En ce qui concerne l’histoire, il n’y aura rien de vraiment nouveau, ambitieux ou même avant-gardiste. Nous nous contenterons « d’essayer » de sauver le monde suite à un désastre survenu dans leur petit monde et suivrons « naïvement » les différentes étapes du scénario. Cependant, à préciser qu’à partir d’un moment, on tombera dans une sorte de matrice assez rocambolesque qui cassera le rythme et fera installer une certaine lassitude.

En d’autres termes, nous pourrons, tout de même, apprécier l’histoire par son classicisme à l’extrême, mais ça ne sera aucunement grâce aux personnages que nous devrons, malheureusement, nous coltiner tout au long de l’aventure.

Ceci étant et fort heureusement, Bravely Default prétend également d’autres points positifs qui rendront l’expérience très satisfaisante.
Premièrement, l’OST est très belle, on s’enivre rapidement des belles notes musicales à travers le monde dans un décor magnifique (style d’artwork figé) en ce qui concerne les différentes villes et villages que nous visiterons (malgré leurs tailles de lilliputien). Cependant, il faut souligner que le level-design des grottes/déserts/forêts hostiles est en deçà par rapport au reste, voire au même niveau du chara-design des plus bâclés pour un jeu sur 3DS sorti en 2013, voulant, sans équivoque, rappeler les jeux des années 90’. On peut pardonner.
Deuxièmement, le gameplay est sûrement LE point fort du jeu. Square Enix a rendu certains aspects pénibles de nombreux JRPG, en un aspect addictif et plaisant :
Fini les longues heures de grind pour avoir le niveau requis. Ici, place à l’activation du « Combat Automatique » - en ayant au préalable choisi d’utiliser 4x4 Brave avec les attaques les plus dévastatrices – les combats seront pliés en quelques secondes. (ou avance rapide X4 des combats).
Fini l’impression qu’à chaque pas, un combat aléatoire surgit. Ici, place à la configuration d’apparition d’ennemis ; allant de -100% à +100%.
Fini la linéarité des choix d’attaque. Ici, place à un total de 24 jobs à choix dont le personnage se voit attribué 2 jobs à la fois (le principal et le soutien). Donc, 576 possibilités si mon calcul est correct.
Fini l’aspect aller-retour. Ici, place à … Ah non, ça il y a toujours…
Il ne faut pas se leurrer, les aller-retours seront nombreux, mais le fait de pouvoir plier rapidement les combats et de déterminer l’apparition des ennemis rendent le jeu très agréable, ne permettant pas ainsi que la lassitude s’installe.

De plus, les développeurs ont voulu privilégier, en outre, un aspect social grâce à la communication Internet (ou local) afin de pouvoir avoir cette sensation d’accomplissement en « CO-OP », qui donnera une certaine cohérence lorsqu’on aura compris ce qui se passe réellement dans Bravely Default. Bien entendu ce n’est pas réellement un mode de coopération avec une fenêtre spliter en deux, mais plutôt de l’entraide.
Entre l’envoi de nos données et la réception des données des amis (code ami + internet), nous pourrons profiter des personnages plus avancés afin de nous faciliter la tâche lors de combats ardus (très vrai en Difficile), et cela grâce au « Mentorat ». Le personnage reçu (prenons exemple avec un niv.14 en classe Moine) sera le mentor d’un de nos joyeux lurons, il aura directement un niveau 14 (max.) fictif à terme mais réel dans le jeu dans la classe Moine ; très utile et pratique, en donnant cette sensation de puissance rapidement pour l’utilisation de tous les skills, mais malheureusement facilitant grandement le challenge. Par ailleurs, les personnages amis pourront aussi nous aider lors des combats en utilisant le bouton assistance afin que nous utilisions le pouvoir de ce dite personnage « overabused » ; heureusement seule une utilisation par personnage nous sera donnée. Concept donc pratique, voire cheaté qui sera très apprécié par les joueurs adhérant à la facilité des jeux vidéo afin d’avancer le plus rapidement possible ; les puristes, quant à eux, n’utiliseront certainement pas ce système gâchant l’aspect de stratégie lors des combats.
Pour finir, lors de nos réceptions « d’amis » via Internet (hors code ami), le nombre quotidien de nouveaux amis intégreront notre village. Ce village (Norende) en pleine reconstruction. Cette reconstruction se verra importante au fil du jeu car nous permettra de débloquer des capacités spéciales pour nos combattants.

En conclusion, Bravely Default a su trouvé les paramètres afin que le joueur ne soit pas lassé sur les « tares » se trouvant dans la plupart des JRPG. Tout en donnant ce sentiment d’alchimie entre le Old-School, ses notes musicales enivrantes dans son environnement somptueux, Bravely Default pourra transcender la plupart d’entre nous. Cependant, il faudra être courageux afin de ne pas être déçu de son histoire lors de sa seconde partie (à partir du chapitre 5) ; tout en faisant attention afin d’avoir la « True Ending » (que je n’ai pas eu) afin d’obtenir le vrai fin de mot de l’histoire.
Child of Light play4
bruninho87

le 13/09/2014
8

Ubisoft nous propose une aventure féérique et merveilleuse. On incarne une jeune fille au nom d’Aurora. Un malheur s’embattant sur la jeune fille, nous voilà propulsé dans – justement – ce monde enchanteur.

Ce monde enchanteur, nous le parcourons de la plus belle des manières. Arrivé à un moment du jeu (très tôt), nous recevons le don de voler ; rêve de la jeune fille. De ce fait, ce monde s’explore à tous les niveaux. De haut en bas, de gauche à droite ; pour trouver monts et merveilles. L’histoire est contée comme si nous lisions une poésie. Au premier abord, cela peut déplaire, mais à terme, cela donne une petite note de légèreté, de liberté et d’immersion dans l’univers de Lemuria. D’ailleurs, dans ce monde de Lemuria, nous ne serons pas seul bien longtemps. Nous trouvons sur notre chemin différents personnages, de villages différents avec leur capacité qui leurs sont propres. De plus, ces derniers interviennent pas mal de fois dans les phases de dialogues et chacun avec son caractère bien défini. Très plaisant.

Hors la phase d’exploration avec des phases d’énigmes, afin de pouvoir avancer, qui au final à tout de même ces limites tant cela est simple. Les phases de combats sont également très simplistes pour un RPG. Ces phases – au tour par tour – avec une sorte de barre ATB permet de placer ces différentes stratégies. Vaut-il mieux attaquer ou se défendre ? Car oui, lorsque l’ennemi nous attaque pendant la préparation de notre attaque, cela interrompt instantanément cette dernière et nous perdons un tour ; bêtement. D’ailleurs, notre petit Igniculus n’est pas là que pour faire joli, il nous sera également utile en pressant la touche L2 et en le plaçant sur l’ennemi de notre choix afin de le ralentir. Bien évidemment, tout cela est bien expliqué pendant le jeu.

Ce qu’il faut vraiment prendre en compte dans Child of Light, c’est vraiment la DA qui est vraiment magnifique couplé à une BO excellente. Ce monde envoutant est d’une réussite qu’on se dit qu’il est dommage que le jeu ne dure qu’environ une dizaine d’heures.

Néanmoins, nous pouvons être sûrs qu’Ubisoft sait faire des RPG. Espérons-le qu’ils en fassent plusieurs avec une plus grande durée de vie.


Chrono Trigger nds
bruninho87

le 21/08/2015
9
Je ne vais pas m'étaler sur une centaine de lignes, mais juste dire que j'ai terminé - réellement - Chrono Trigger (version NDS) et franchement c'est un petit bijou. Avant-gardiste pour son époque, n'a pas du tout mal vieilli pour y avoir jouer en 2015. Un must-have, un jeu cultissime.
Deception IV: The Nightmare Princess play4
bruninho87

le 06/12/2016
2_5
Juste pour pouvoir mettre ma note, mais j'ai détesté. Pourquoi? Fade, sans goût et vraiment redondant.
Digimon Story: Cyber Sleuth play4
bruninho87

le 21/07/2016
7
Bien que je sois un fervent admirateur de la concurrence, à savoir Pokémon, j’ai eu carrément une grosse envie de me jeter dans l’aventure Digimon Story : Cyber Sleuth sorti dernièrement sur PS4 (et PS Vita). Même si j’avoue à mon grand regret, je n’ai jamais forcément aimé les jeux de la franchise Digimon sur plusieurs points : inutilement long, concept d’évolution étrange, exp mal foutu, phase de grind à effectuer obligatoire. Bien évidemment, tous ces points ne sont pas des paroles en l’air, mais des points négatifs sur les quelques jeux sur NDS que j’ai fait par le passé.

Parenthèses fermées.

Ce que je peux d’ores et déjà révéler c’est qu’un des gros points négatifs fût effacé. En effet, plus de grosses phases de grind à effectuer pour poutrer les adversaires. Sans parler de la petite technique en utilise un Digimon en particulier avec des objets en particulier, le fait d’utiliser cette petite technique, ça m’a permis de faire quelques petites phases de level up afin d’être suffisamment à nouveau pour suivre l’aventure. Ces phases restent tout de même importante à faire, mais ne prendront plus autant de temps. Pourquoi sont-elles importantes ? Tout simplement parce que la courbe de difficulté est très mal fichue. On peut facilement se balader par moment, et d’un moment à l’autre, le boss devient juste très difficile à battre. Fort heureusement, donc, que cette petite technique est possible à faire. Outre le fait que le jeu soit, du coup, moins rébarbatif et chronophage, le jeu est vraiment beau à mes yeux. Les Digimon rendent très bien à l’écran et pour les évolutions Mega, Ultime, … sont vraiment Badass !
En outre, on peut déplorer quand même les longueurs sur les dialogues, que notre héros soit un héros muet et que l’intérêt des quêtes soient un peu inintéressantes ; j’ai quand même pris beaucoup de plaisir pendant ces 50 heures !

Digimon petit monstre …
Dragon Age: Inquisition play4
bruninho87

le 03/05/2016
9

Dragon Age Inquisition en 35 heures.

Une aventure palpitante avec des moments épiques. Comme tous RPG, nous avons rapidement la possibilité de vaquer à d’autres activités au lieu de suivre pleinement l’histoire principale. Par ailleurs, il est vivement recommandé de faire justement d’autres activités car :

  • Ca permet de lever ses personnages et c’est long.
  • Prendre connaissances à travers les milliers de codex dans quel univers nous sommes
  • Faire connaissance avec pas mal de PNJ
  • Recruter d’autres compagnons
  • Visiter des lieux magnifiquement modélisés (d’autre un point, c’est vrai).

Ce que je veux dire par là, c’est qu’en ayant justement dosé cette justesse entre histoire principale et activités annexes, l’immersion est totale. D’autant plus que les personnages que nous pourrons recruter sont plus que sympathiques et lors de nos épopées, certains se laissent à quelques phases de dialogues hilarantes donnant un poil « d’humanité » et d’immersion avec notre équipe.

Pour conclure, j’ai vraiment apprécié cette aventure – autant même que sur Origins, pour dire – et que je suis assez triste de devoir quitter cette belle équipe que je mettais composé. Malgré qu’on puisse continuer la partie pour terminer les quêtes annexes (peut-être même un post-game qui s’ouvre et des DLC sympathiques), je me dois de tirer ma révérence et partir vers d’autre horizon (jeux).


Dragon Age: Origins play3
bruninho87

le 27/05/2014
6_5

Un jeu que j’ai traîné en longueur à cause de différents petits défauts qui rendent le jeu assez redondant. Entre les bugs graphiques, sa trame très dirigiste et son scénario en dent-de-scie, j’ai dû m’accrocher afin d’atteindre le boss final et le vaincre. De plus, je ne me rappelle plus trop de la limite des levels qui à mon goût était nettement trop bas pour en profiter pleinement en ayant, en outre, un choix limité de compétence et d’une certaine liberté. Cependant, le jeu est meilleur que son cadet, mais dans le même style privilégier un bon Skyrim où dans ce dernier, vous trouverez les meilleurs ingrédients pour un RPG Medievial.


Dragon Quest Heroes: Le Crépuscule de l'Arbre du Monde play4
bruninho87

le 06/12/2016
5_5
Il y a de bonnes idées, voire de très bonnes même. Le vrai hic du jeu selon moi - hormis le fait qu'il faille un tant soit peu être fan de la série des DQ - j'ai trouvé que le jeu était inutilement difficilement par moment et qu'il faille farmer des quêtes répétitives pour rien. Et c'est bien dommage.

A part ça, c'est plaisant, c'est jouissif ce sentiment de puissance aux fils des missions. Et on peut se le dire, il n'est pas dégueu graphiquement.
Fallout 4 play4
bruninho87

le 01/06/2016
8
Nettement au-dessous de son aîné, tous les points et domaines sont - selon moi - bien mieux que le 3.

Dommage, néanmoins que la "fin" soit si prévisible et décevante. Néanmoins, cela n'enlève en rien la qualité de cet opus. Un must-have.
Fallout 4 xboxone
bruninho87

le 09/02/2016
8
Un très bon Fallout avec son habitude plein de contenu nous permettant de voyager ici et là dans un univers toujours plus réussi. Dommage qu'une certaine lassitude puisse se faire ressentir après avoir terminé l'histoire principale et plusieurs quêtes annexes.
Final Fantasy Explorers 3ds
bruninho87

le 02/03/2016
5
Trop de fan service, tuent le fan service.

Malgré que je sois un fan inconditionnel de la licence Final Fantasy, j’en sors quand même déçu de ce spin-off. L’idée de pouvoir explorer différents lieux, en enfilant costumes de différents Final Fantasy avec un job au choix et son attirail en main, ç’avait de la gueule. Sur le papier seulement.

Un framerate plus qu’énervant, une qualité graphique plus que médiocre sur 3DS (d’ailleurs pas de 3D, est-ce un opus NDS ?!), et un système plus que répétitif : Va ici, va là-bas, fais ci, fais ça, sans un réel intérêt scénaristique, malheureusement je lâche l’affaire. ET LA CAMERA DE MERDE !

Les 10 premières heures étaient bonnes : Surprise, nouveau jeu FF en main, base de gameplay en place. Après, c’est la même chose mais en moins surprenant. Bref, dommage.
Final Fantasy IX play
bruninho87

le 06/05/2014
10
Le must du jeu vidéo. Le Final Fantasy le plus abouti à mes yeux.
Je ne vais pas épiloguer sur les différentes qualités du jeu indéniable car celles-ci ont déjà été toutes citées.
Quoiqu'il en soit, tout le monde se doit d'essayer au moins de rentrer dans le monde de Djidane pour en ressortir avec une bonne impression sur un bon Final Fantasy.
Final Fantasy Type-0 HD play4
bruninho87

le 06/12/2016
3_5
Pas besoin de faire un pavé pour comprendre la non-plaisance de ce jeu. Trop de personnages, mauvais techniquement et mal pensé. On dirait vraiment que c'est un spin-off ou une mauvais blague de SE. M'enfin à essayer tout de même pour les plus curieux.
Final Fantasy VIII pc
bruninho87

le 27/05/2014
9_5

Après FF9, FF8 fait parti de mes jeux préférés. Ce jeu dont j’ai eu l’occasion de jouer sur PC était une aubaine de réussite où à l’époque, hormis quelques RPG, je ne m’y connaissais pas encore tout à fait énormémeent. Par ailleurs, entre Pokémon et FF, ils étaient les seuls licences pour laquelle je donnais corps et âme afin de me procurer le nouvel opus.

Ce Final Fantasy 8 est une belle réussite dans mes souvenirs. Entre un bestiaire génialissime et un scénario plus que rythmé, j’ai eu passé de nombreuses heures pleines d’entrain et d’envi. Cependant, ma mémoire me faisant défaut, je ne me rappelle pas de la totalité des éléments positifs/négatifs de ce soft. Néanmoins, il reste de loin nettement meilleur que ce que Squix nous propose depuis FF12.


Final Fantasy X play2
bruninho87

le 27/05/2014
10

Après FF9, j’ai énormément d’affection pour cet opus FF10. Entre un gameplay addictif, un sphérier plus qu’intéressant, des invocations sublimes pour la PS2 et un jeu de Blitzball où l’on doit également chercher des partenaires de jeu afin de se composer une équipe de « tueur », ce jeu est la plus grande réussite de la PS2 tout jeu confondu à mon goût. De plus, il n’est pas étonnant que je me sois procurer également le jeu HD sur PS3 ; que de souvenirs, de bons moments. Tous fans de RPG se doit d’y jouer et de l’apprécier à sa juste valeur.


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