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88 commentaires
Baldur's Gate: Dark Alliance play2
bruninho87

le 27/05/2014
7
Un pur H&S comme on les aime. Le jeu était assez jolie pour l'époque sans être à l'apogée de la puissance de la console PS2. Néanmoins, j'ai passé de très bons moments en aillant joué exclusivement en CO-OP. Malgré tout, il reste très dirigiste et à un, on peut vite s'en lasser.
Blood Brothers ios
bruninho87

le 16/08/2013
7
Un jeu sympathique pour les trajets au boulot ou les pause toilettes

Facile à prendre en main, peut-être un peu linéaire, mais les events nous permettent de nous donner des objectifs à atteindre. Ceci étant il est gratuit !
Digimon Story: Cyber Sleuth play4
bruninho87

le 21/07/2016
7
Bien que je sois un fervent admirateur de la concurrence, à savoir Pokémon, j’ai eu carrément une grosse envie de me jeter dans l’aventure Digimon Story : Cyber Sleuth sorti dernièrement sur PS4 (et PS Vita). Même si j’avoue à mon grand regret, je n’ai jamais forcément aimé les jeux de la franchise Digimon sur plusieurs points : inutilement long, concept d’évolution étrange, exp mal foutu, phase de grind à effectuer obligatoire. Bien évidemment, tous ces points ne sont pas des paroles en l’air, mais des points négatifs sur les quelques jeux sur NDS que j’ai fait par le passé.

Parenthèses fermées.

Ce que je peux d’ores et déjà révéler c’est qu’un des gros points négatifs fût effacé. En effet, plus de grosses phases de grind à effectuer pour poutrer les adversaires. Sans parler de la petite technique en utilise un Digimon en particulier avec des objets en particulier, le fait d’utiliser cette petite technique, ça m’a permis de faire quelques petites phases de level up afin d’être suffisamment à nouveau pour suivre l’aventure. Ces phases restent tout de même importante à faire, mais ne prendront plus autant de temps. Pourquoi sont-elles importantes ? Tout simplement parce que la courbe de difficulté est très mal fichue. On peut facilement se balader par moment, et d’un moment à l’autre, le boss devient juste très difficile à battre. Fort heureusement, donc, que cette petite technique est possible à faire. Outre le fait que le jeu soit, du coup, moins rébarbatif et chronophage, le jeu est vraiment beau à mes yeux. Les Digimon rendent très bien à l’écran et pour les évolutions Mega, Ultime, … sont vraiment Badass !
En outre, on peut déplorer quand même les longueurs sur les dialogues, que notre héros soit un héros muet et que l’intérêt des quêtes soient un peu inintéressantes ; j’ai quand même pris beaucoup de plaisir pendant ces 50 heures !

Digimon petit monstre …
Inazuma Eleven 2: Tempête de Feu nds
bruninho87

le 21/08/2013
Edité le 21/08/2013
7
Inazuma Eleven 2 : Tempête de Feu est un jeu RPG-Football. Ce jeu aura été une assez grande surprise pour moi, de manière positive.

A l’époque où je me suis procuré le jeu, c’était un vrai coup de chance. Oui… un coup de chance !
Je souhaitais commencé un nouveau jeu, assez originale et surtout dans la gamme RPG.

J’ai un peu cherché, ici et là, et je suis tombé sur une News ou Previews (je ne sais plus…) sur le jeu. Quoiqu’il en soit, je suis resté assez enthousiaste à la vue des images, vidéos et autre bande-annonce.
Donc, pas une, pas deux, j’ai commandé la version Tempête de Feu (car ça claque) et après quelques jours, le voici entre mes mains.

Parlons un peu du jeu.

Le scénario est assez sympathique, je dois dire. Ce dernier ne m’a pas du tout ennuyé, avec toujours l’envi de continuer et de connaître la suite. J’ai d’ailleurs, par la suite, su que la trame suivait l’Anime (ou vice-versa), donc la narration est assez bonne en soi.

Le gameplay, le point fort du jeu, à mon goût. Le côté Olive et Tom remanié pour le rendre RPG est jouissif. Bien entendu, j’adore le Football et les RPG. En somme, l’excellence pour moi. Mais pas tant ! Oui, car le fait que les joueurs (personnages) apprennent au fur et à mesure des skills (défense-attaque) qui sont assez prenant dans sa globalité, on peut ressentir une certaine lassitude. Une lassitude due au fait que le jeu est très facile. Il suffira de toujours faire un peu de lvl up et le tour est joué. D’autant plus que certains joueurs que vous pourrez recruter par la suite sont totalement cheatés… Ceci étant, c’est tellement jouissif de tirer depuis le milieu de terrain ( *o* ) !!
Pour finir, un point qui m’avait totalement chagriné, voir même frustré, c’est que nous ne pouvons pas avoir plus de 100 joueurs dans notre effectif !!!

Il est vrai que si on compare à une vraie équipe de football, c’est déjà énorme. Mais à la sauce Pokémon, ou même Suikoden, on aime toujours en avoir plus et essayer les matchs (combats.. ?!) avec différents protagonistes !
En outre, la durée de vie est tout de même conséquente. Ce n’est pas exceptionnel, mais le jeu pourra vous tenir en haleine pendant quelques jours/semaines (ou plus, pour les adeptes des niveaux 100).
De plus, le PostGame+ vous permettra de toujours recruter plus de joueurs et dont même certains cachés.

En d’autre terne, un bon jeu sur lequel je me suis bien amusé et qui m’a surpris en bien. Tellement bien que j’attends assidument et avec une certaine hâte les suites qui sont déjà sortis au Japon, mais que nous, Occidentaux, devrons prendre notre mal en patience.
Inazuma Eleven 3 : Les Ogres attaquent ! nds
bruninho87

le 27/05/2014
7
https://www.legendra.com/rpg/fiche-rpg_id-5829-supports_id-95-rpg-inazuma_eleven_3___les_ogres_attaquent__.html#onglets_articles
Lightning Returns: Final Fantasy XIII play3
bruninho87

le 22/04/2014
Edité le 27/01/2015
7
Je vais faire court car la Review est en préparation et je vais éviter de prendre une page à moi tout seul.

En somme, le gameplay totalement remanié m'a, en général, assez déçu. Que se soit au niveau de la gestion du temps (fictive) car je suis arrivé au final avec 2 jours en me faisant royalement chié, un système de leveling (accomplissement de quêtes) saugrenue et un scénario d'une complexitude inégale qui part dans tous les sens sectaires inimaginables.

J'ai tout de même apprécié le système de costume ainsi que les combats nerveux et jouissif. Malheureusement, un bestiaire assez pauvre qu'on a vu et revu.
Pokémon Argent gbc
bruninho87

le 30/05/2014
7

Avec la possibilité dans ces versions de s’aventurer dans deux régions afin de récupérer 16 badges au total, l’aventure devient encore plus enrichissante avec des combats « plus » difficiles.

Même s’il s’avère que dans la Licence Pokémon, le jeu est en soit facile, l’apparition des IV (caractère caché de 0 à 31 sur chaque statistiques) permet d’avoir encore plus de différence dans les Pokémon qui au premier abord parait identique.

Ainsi, les combats contre les amis via le câble Link est devenu encore plus intense et plus stratégique. Hormis cela, cette version a eu d’énorme amélioration avec une aventure encore plus riche et plus grande. Malgré cela l’apparition de certain Pokémon a été pour moi un choc à l’époque, j’en ai même perdu mes repaires.


Pokémon Colosseum gc
bruninho87

le 30/05/2014
7

Premier jeu Pokémon GC et c’est étrange. Le jeu est étrange. On est à des millénaires de ce qu’on peut voir sur cartouche. Cependant, on s’amuse, on peut transférer nos petites bêtes sur GBA. Ca marque, mais j’ai un ressenti très dérangeant sur cet opus.


Pokémon Or gbc
bruninho87

le 30/05/2014
7

Avec la possibilité dans ces versions de s’aventurer dans deux régions afin de récupérer 16 badges au total, l’aventure devient encore plus enrichissante avec des combats « plus » difficiles.

Même s’il s’avère que dans la Licence Pokémon, le jeu est en soit facile, l’apparition des IV (caractère caché de 0 à 31 sur chaque statistiques) permet d’avoir encore plus de différence dans les Pokémon qui au premier abord parait identique.

Ainsi, les combats contre les amis via le câble Link est devenu encore plus intense et plus stratégique. Hormis cela, cette version a eu d’énorme amélioration avec une aventure encore plus riche et plus grande. Malgré cela l’apparition de certain Pokémon a été pour moi un choc à l’époque, j’en ai même perdu mes repaires.


Pokémon XD : Le Souffle des Ténèbres gc
bruninho87

le 30/05/2014
7

Sympa, mieux que son prédécesseur. Mais, pour un jeu GameCube, j’ai été déçu pour sa qualité graphique ; surtout quand on voit ce qu’ils ont réussis à faire sur N64 avec Pokémon Stadium.


Pokémon: Version Blanche 2 nds
bruninho87

le 30/05/2014
7

Je me suis fait avoir, mais pour un fan difficile de passer à côté. Ceci étant, il est nettement plus abouti et réussi que la version 1. Je me suis nettement plus amusé et quelques gadgets ont été incrémentés. Sympa.


Pokémon: Version Noire 2 nds
bruninho87

le 30/05/2014
7

Je me suis fait avoir, mais pour un fan difficile de passer à côté. Ceci étant, il est nettement plus abouti et réussi que la version 1. Je me suis nettement plus amusé et quelques gadgets ont été incrémentés. Sympa.


Shin Megami Tensei ios
bruninho87

le 19/09/2014
7
Shin Megami Tensei, un “doux” nom résonnant dans ce vaste monde qu’est le chaos où sentiment de malaise, d’inconfort et d’allusion biblique se ressentent comme si l’expérience d’un jeu devenait l’expérience d’une vie. SMT est l’un des jeux pour lequel le cœur, l’esprit et une certaine dose de courage sont les ingrédients majeurs pour profiter pleinement d’un univers aussi riche et particulier.


18 mars 2014, nos amis américains et nous (européens) avons le plaisir de pouvoir connaître cette série ou de la redécouvrir dans ce qui se fait de plus en plus de nos jours : une version smartphone (tout de même 2 ans après le Japon). Ce soft reprenant exactement les caractéristiques de la version GBA, sortie en 2003 au Japon (remake de la version Super Famicom de 1992), a été édité sur la sphère iOS pour la modique somme de 8.- CHF, tout en rendant cette version totalement jouable, ergonomique et traduite (en anglais) sur notre outil du quotidien.


L’introduction émet déjà les premières bases d’un soft atypique : un rêve, des voix de l’au-delà, des fantômes, (…), des démons. Nous sommes tout de suite jetés dans le bain dans cet univers, dans le flou total et sans aucun point de repère. Par où commencer, par où aller ? Nous tâtons, pas à pas, ce petit quartier Tokyoïte en l’an 199X. Il semble qu’une guerre « biblique » se met en place ; des personnes disparaissent, d’autres prétextent que ce sont des démons qui assassinent les gens. Maman me met en garde et m’interdit d’aller au parc. Bref, il se fait tard, je vais me coucher… Ce rêve semble si réel et il s’avère que c’est la triste réalité. Une poignée de personnes reçoivent un programme permettant de « dompter » des démons afin de sauver ce monde du « chaos ». Une voie s’offrira à nous et à nous de l’amener à terme. Il n’en est pas plus manichéen qu’un autre jeu, nous aurons la possibilité et ce, selon nos choix de suivre une voie bien distincte qui engendrera quelques différences.

Un début totalement atypique – pour ma part – en termes de RPG. Pas de place ici pour un jeune luron de 16 ans qui sauvera son monde en brandissant son épée contre les méchants pas beau. Dans ce SMT, nous et des compagnons de route – rencontrés dans un rêve – nous aideront dans notre périple, dans notre destiné entre la purification du monde ou la destruction de celle-ci. 3 groupes de personnages que nous croiserons lors de notre épopée : Gotô et ses sbires qui invoquent des démons pour un nouveau monde, l’armée américaine voulant arrêter Gotô et instaurer sa propre dictature, et la Résistance qui veut apaiser les tensions entre ces deux derniers ; des choix s’imposeront et définira notre alignement sur le monde. Entres démons croisant notre chemin, l’exploration avant-après 30ans dans Tokyo au scénario totalement déjanté, on ne peut être insensible au « charme » que SMT opère sur le joueur.

Malheureusement, celui-ci datant depuis environ 20 ans, nous savons pertinemment que celui-ci demandera du courage aux joueurs les plus aguerris afin d’en venir à bout. Cependant, je n’en ferais pas parti. Je suis arrivé à un stade du jeu où il me faut faire du grind, du gain d’argents pour justement « revival » mes personnages (les démons n’augmentant pas de niveau en combat), entre l’attente d’avoir un niveau requis pour avoir des démons plus puissants ; je suis contraint de stopper – pour le moment – mon périple.

Bien entendu, j’y ai joué assez pour me donner un avis assez précis sur l’opus et 3 points sont importants à être cités. Premièrement, le jeu – malgré qu’il soit difficile – est très austère. Je veux dire par là, qu’on a une certaine impression d’un Doom-Like (vue à la première personne) lorsque nous sommes dans un bâtiment avec comme des déplacements limités (haut-bas-droit-gauche : comme un Dungeon) avec des levels-design terne-fade qui donnent son cachet tout de même en donnant ce côté apocalyptique. Deuxièmement, malgré son âge avancé, j’ai été plus que surpris sur le chara-design des démons ; ils sont vraiment réussis et c’est assez étonnant de voir ce contraste entre l’environnement et le chara-design des démons. Pour finir, un gameplay simple mais efficace : combat au tour par tour (avec possibilité d’auto-battle), « création » de démons en fusionnant 2 démons minimum entre eux (avoir un niveau requis) et une phase d’exploration assez complexe car les indications ne sont pas toujours évidentes.

Un bon jeu « rudimentaire » avec son univers très particulier qui permettra d’avoir des bonnes bases pour continuer d’autres jeux de la saga SMT, pour les joueurs qui n’auront pas froids aux yeux et qui apprécient les scénarios noirs.
Tales of Graces f play3
bruninho87

le 04/06/2014
7
La licence « Tales Of » fait partie des incontournables des J-RPG. Néanmoins, Tales of Graces f avec son portage chaotique de la Wii (2009) à la PS3 (2010) ne s’est pas fait que des amis. Cette licence qui ne sort que quelques ops en Occident où le fan meurtri doit prendre son mal en patience sans être sûr de voir, un jour, dans la langue de Molière le prochain « Tales Of » sorti au Japon.
Donc, que nous réserve cet opus qui prend sa place de manière maladroite et ce, pour la première fois, sur PS3 dans nos contrées. Concurrence à Final Fantasy ? Une réelle concurrence ?

Des enfants héros, c’est nouveau ?
Asbel, fils de souverain d’un petit village nommé Lhant, en soif d’aventure, brave et justicier dans l’âme, part sur les collines du nord de la ville, embarquant sur son passage, son petit frère Hubert, timide et peureux de nature, afin d’explorer cette zone dite dangereuse. Après un passage, simple mais non sans douleur – en combattant des mobs sur le chemin (office de tutoriel) – nos frères arrivent au pied de la falaise pour y contempler un majestueux et légendaire arbre fleuri.
C’est à, ce moment-là, qu’une fille apparaît de nulle part. Cette fille qui semble être amnésique suit nos deux jeunes frères en ville. Ces derniers finissant par sympathisés, notre héros principal – Asbel – baptisa la jeune fille d’un prénom ; Sophie, symbolisant les fleurs de la colline du Nord, l’endroit de sa découverte. Cheria, jeune fille - malade - du village de Lhant, amie d'enfance des deux frères et secrètement amoureuse de notre cher Asbel, finit par suivre également notre fine équipe par jalousie de voir Sophie marcher sur ces plates-bandes. Richard, prince de Windor, arriva peu après dans le village de Lhant, peu après ces évènements. Bien entendu et ce, malgré qu'Aston - père d'Asbel et Hubert - interdisent à ces enfants d'embêter ce jeune prince, toute l'escouade finit par se lier d’amitié avec ce dernier.
C'est alors que le réel drame survient.
Arrivé à Bartona, et en voulant passer de manière furtive au sein du château, nos amis finissent par se faire prendre par inadvertance par un monstre redoutable. Bien que, Sophie essaye, par un pouvoir venu d'ailleurs, de sauvé ces amis, cette dernière finit par périr. En voyant cette détresse et ce malheur, Asbel s'ordonna à rendre dans les ordres, au sein de l'Ecole des Chevaliers.
Et c'est ainsi que l'aventure commence réellement pour le joueur après 4 bonnes heures de jeu.

Scénario qui met beaucoup de temps à se lancer réellement. La première partie qui dure en moyenne 4 heures, ne proposant pas encore la totalité du gameplay jouissif que procure Tales of Graces f, rendant ce premier chapitre assez limité. D’autant plus, que cette partie, où les protagonistes ont 10-11 ans, est très molle et redondante au niveau des dialogues. Il faut avouer que j’ai eu du mal à m’immiscer pleinement dans l’histoire, tellement celle-ci est du déjà-vue, revue et encore vue. Malgré tout, l’histoire, à partir du chapitre 2, lorsque nos jeunes héros deviennent des « adultes » commence à devenir un peu plus intéressante, même si celle-ci n’est pas totalement ahurissante ; entre les guerres civiles, les trahisons, les amourettes et autres, nous passerons sur quasiment tous les stéréotypes d’un RPG à la sauce nippone.
Ceci étant, avec le temps et au fils des chapitres, on ne peut que s’attacher à ces personnages, même si leur caractère est encore une fois trop stéréotypé et rageant (pour nous joueur à la longue), cause de répétitivité des saynetes qui n’apportent pas grand chose et des cut-scene où chaque personnage réagira toujours de manière identique (justicier, âme d’humanitaire, la folle du groupe, l’amnésique qui ne pige pas grand chose,…)
En outre, nous pouvons, tout de même, nous satisfaire de ce portage HD qui inclut une partie bonus (d’où la mention « f » dans le titre ; futur) et sa version française (Wii : uniquement en japonais).


L’un des meilleurs gameplay
Ce Tales of Graces f nous offre l’un des meilleurs gameplay dans le domaine du J-RPG. Nous avons sur ce soft tous les ingrédients qui rendent ce gameplay jouissif, addictif et riche ; avec des combats nerveux et dosé d’une justesse excellente, les effets pyrotechniques, rapides, tranchants, percutants (…) rendent tous les combats – et ce même contre les mobs – tellement riches, que même un leveling ne nous est pas lassant une minute. Entre le fait d’accumuler des titres qui permettront d’améliorer ses personnages (PC) et la rapidité des combats avec ses effets de lumières, couleurs jaillissantes en utilisant maintes et maintes Artes ; je n’ai jamais été autant épanoui par une telle efficacité et intelligence de gameplay lors des combats en tour par tour semi-réel. Mon dieu, quel pied ! Toutefois, les joueurs qui aiment peaufiner de manière plus détaillés les personnages se verront vite frustrés par la limite que proposent les différentes options du jeu.
En ce qui concerne les Titres, comme indiqué un peu plus les hauts qui se débloquent au fur et à mesure de l’avancée de l’histoire, lors de l’utilisation à outrance de chacune des Artes, l’atteinte d’un certains nombres de combats et plein d’autres à découvrir par soi-même, nous pouvons passer des heures et des heures (un cas qui ne m’était pas arrivé depuis fort longtemps) à effectuer des combats afin de fignoler ces petits compagnons de route en upgradant chacun de leurs Titres respectifs. Ces Titres permettront de gagner en caractéristiques, obtenir de nouvelles Artes (normal (A) ou spécial (E)) et divers bonus. D’ailleurs, et ce, pour gagner de manière plus rapide des PC-EXP-Gald, il convient d’exclusivement jouer en mode « Démoniaque » (déblocable après 200-300 combats en difficile) permettant de gagner des objets plus rares et beaucoup plus d’EXP-PC-Gald à contrario au mode facile.

Hors le contexte des duels et des titres, nous aurons l’occasion de parcourir le menu de nombreuses fois pour diverses raisons et très de façon régulière, car même si les Titres rendront plus forts nos héros de Tales of Graces f, il ne faut pas oublier que dans un RPG, l’équipement est également très important. De ce fait, le Mixeur qui accroîtra en capacité, à fortiori de son utilisation, nous permettant de nous sauver les fesses en y insérant des ingrédients clés, nous pourrons passer auprès de n’importe quel marchand afin de synthétiser différents objets pour gagner en puissance et en efficacité.
De plus, en synthétisant une arme ou une armure avec un fragment, ce dernier se verra croître en caractéristique (symbole +1, +2,…) selon la prédominance (on en compte un 50aine de différents) ; tout en sachant qu’à la revente, elle permette de nous faire gagner un bon pactole car quelques fragments en particulier nous feront gagner 150% du prix de base de l’équipement. D’ailleurs, après avoir insérer un fragment sur votre équipement, celui-ci sera « à point » après un certain nombre de combats lorsque le message suivant apparaîtra : « L’armure de Cheria est trempée » ; ainsi vous pourrez re-passer par la case synthétiser pour obtenir une gemme qui donnera également un bonus à nos compagnons de route.

Les Saynettes ou la vie
Hormis, les phases de combats, on se retrouve dans un scénario très dirigiste dans des pseudos couloirs à sens unique. Aucune map en open-world nous est offerte afin de profiter pleinement de cet univers, ce qui est très regrettable ; même si cela permet d’avoir un rythme nettement plus soutenu. D’ailleurs, il est impossible pour quiconque de se perdre, car les chemins sont restreint à des routes d’un point A à un point B et nous pouvons, en appuyant sur L1 connaître la prochaine étape de notre expédition. Bien évidemment, il n’est pas obligatoire d’aller rusher sur la suite de l’histoire, on peut tout à fait privilégier de faire du leveling aux alentours de la ville où nous nous trouvons. D’ailleurs, il nous faudra arriver au chapitre 8 afin de pouvoir profiter et ce, de manière exhaustive de toutes les zones de la carte grâce à un moyen de transport aérien. Avant cela, nous sommes cloîtrés dans certaines zones restreintes pour X ou Y raisons.

Pendant, nos phases d’exploration, nous aurons la chance de pouvoir visionner sous un format Visual-Novel des centaines de Saynettes (courte scène de dialogues) en appuyant sur Select lorsque cela nous est proposé. Par moment, ces Saynettes peuvent nous faire esquisser un sourire, mais en général, celles-ci sont souvent redondantes, et surtout inutiles, entre les : débilités de Sophie, les allusions douteuses de Pascal, le côté rebelle-chieur d’Hubert, (…), il faudra être patient et savoir savourer ces moments de « légèretés » à la sauce nippone-friendly-sexy-sociopathe. Néanmoins, on ne peut reprocher aux développeurs d’avoir essayé de donner un certain charisme/vie – certes particulier – à nos différents protagonistes.

Ce n’est pas un remake !
Avec une seule année pour nous pondre le passage de la Wii à la PS3, il ne faut évidemment pas nous attendre à voir un remake avec une refonte totale graphique et, malheureusement cela est vrai. Malgré que l’incorporation de quelques scènes animées, ne dépassant pas les 5 minutes dans la totalité du jeu, le reste est à l’identique à la version Wii (très beau sur cette console). Ayant déjà un level-design coloré mais très pauvre dans le contenu à l’époque de la Wii, le passage à la PS3 est un simple portage HD ; le jeu se veut nettement plus lisse. On dénote un certain aliasing/ralentissement lors de certains combats où il pleut de coup spéciaux simultanés de tous les personnages sur le terrain.
On aurait, tout de même, souhaité qu’avec ce passage sur une console plus puissante, le bestiaire soit plus travaillé, un level-design revu – en y incorporant d’autres éléments - et une vie au sein des villages/villes (toujours aussi pauvre en PNJ), mais les développeurs ont préféré laisser quasiment tel quel en lissant uniquement le jeu et en y ajoutant un nouveau donjon en fin de jeu en tant qu’unique bonus pour ceux qui aurait déjà tenté l’aventure sur Wii permettant de connaître plus sur les personnages (pas testé personnellement). En outre, l’OST de ce soft que ce soir sur Wii/PS3 reste la même. Une OST qui n’offre pas une touche enchanteresse permettant de nous plonger totalement dans l’univers. Malgré que cette OST soit, tout de même, sympa à l’oreille au début et agaçante au final ; elles ne resteront vraiment pas dans les annales des musiques cultes vidéoludiques.

Ce portage sur HD n’est pas forcément le plus réussi de l’histoire du jeu vidéo ; néanmoins, nous, Occidentaux, serons satisfaits de pouvoir tenter l’aventure et ce, en français, avec un bonus d’un donjon (qui allonge la durée de vie) au passage. D’ailleurs, cet opus est dans l’ensemble un must have sur différents aspects – surtout en terme du gameplay addictif et riche avec un rythme endiablé. Ce « Tales of » est un atout de choix pour tous les possesseurs de la PS3 et fan des JRPG.

Points positifs :
Combat dynamique et addictif
Jeu très coloré
Upgrade des titres

Points négatifs :
Trop de dialogues / Saynettes
Bestiaire pas terrible
Artistiquement mauvais
Scénario qui tire trop sur la longueur


Yo-Kai Watch 3ds
bruninho87

le 19/05/2016
7
Terminé Yokai Watch (histoire principale uniquement) en 18 heures.

Le faux-frère caché de la licence Pokémon se révèle être un jeu plaisant pour les plus jeunes et un peu moins pour les adultes. En effet, nous sommes littéralement projeter dans une petite ville paisible où tout le monde semble heureux. Notre héros – dont on peut lui donner le nom qu’on veut – papote avec ses amis sur la chasse d’insectes. Donc, dans un élan de compétition (et surtout pour garder la tête haute face à nos amis), nous nous rendons dans une montagne sacrée où un arbre majestueux y siège.

En arrivant face à l’arbre, nous apercevons une petite machine de Gashapon dont nous nous ne gênons pas d’utiliser. Contre toute attente, un petit fantôme au nom de Whisper surgit et nous explique qu’il est un Yokai et que, justement, ces Yokai vivent « avec nous » depuis des millénaires. Ni une, ni deux, il se prend pour notre valet et nous donne la Yokai Watch ! En route pour la chasse aux Pokém… aux Yokai !



Malgré le fait que Yokai Watch ait été vendu en Europe – et sûrement aux USA aussi – comme un concurrent à Pokémon, il n’en est vraiment rien. En effet, le gameplay, l’histoire, le scénario, ou tout autre aspect ne ressemble en rien à Pokémon. Enfin si l’aspect collection et « les attraper ».

Ce qui est intéressant ici, même si le jeu est clairement destiné aux plus jeunes, c’est d’avoir inventé un bon nombre de Yokai (qui veut dire « esprit », « fantôme », « apparition étrange ») du folklore japonais. Étant moi-même un fervent admirateur de la culture nippone, j’ai apprécié de voir quelques « vrais » Yokai caricaturés au sein du jeu. Même si certains noms sont tirés par les cheveux, le chara-design est en général réussi, même si on ressent un grand manque d’inspiration entre-eux (changement de couleur pour certains). En outre, l’histoire principale se fait assez rapidement et n’est pas redondante du tout (une dizaine d’heures pour moi) et le jeu bénéficie d’un post-game comme un certain Inazuma Eleven. Cependant, il est recommander de faire un peu de leveling par moment, mais aucun Boss ne posera de problème. De plus, n’hésitez pas à utiliser l’avance rapide en combat afin de leveler nettement plus rapidement (je n’ai su que cette fonction au milieu de jeu…).

En conclusion, cette première aventure m’a bien plu, mais n’est clairement pas le jeu de l’année. J’ai apprécié traverser cette grande ville – et ses égouts – en compagnie du très cher Whisper. Je vais continuer d’essayer de tous les chopper, mais c’est clairement pour peaufiner un maximum mon aventure. Hâte de découvrir le deuxième (double) opus.
Dragon Age: Origins play3
bruninho87

le 27/05/2014
6_5

Un jeu que j’ai traîné en longueur à cause de différents petits défauts qui rendent le jeu assez redondant. Entre les bugs graphiques, sa trame très dirigiste et son scénario en dent-de-scie, j’ai dû m’accrocher afin d’atteindre le boss final et le vaincre. De plus, je ne me rappelle plus trop de la limite des levels qui à mon goût était nettement trop bas pour en profiter pleinement en ayant, en outre, un choix limité de compétence et d’une certaine liberté. Cependant, le jeu est meilleur que son cadet, mais dans le même style privilégier un bon Skyrim où dans ce dernier, vous trouverez les meilleurs ingrédients pour un RPG Medievial.


Final Fantasy XIII play3
bruninho87

le 30/05/2014
6_5

Mon dieu, je ne comprends pas comment à ce jour, j’ai pu avoir joué plus de 100 heures sur cet opus. Erreur de jeunesse peut-être. Ce FFXIII nous donne rapidement un sentiment de puissance tellement celui-ci est facile, avec un système de combat où des personnages sont totalement cheaté et dont certains sont tellement affligeant pour mon cerveau, je ne sais comment j’ai pu le finir. Néanmoins, la beauté des cinématiques en dit long, la PS3 nous démontre tout sa splendeur en proposant un FFXIII aussi beau, un début de trilogie néanmoins nettement plus réussi quand on compare à ce que Squix nous a proposé en 2013…


Inazuma Eleven 3: Foudre Céleste 3ds
bruninho87

le 30/05/2014
6_5

Ah Inazuma. Une licence que j’affectionne tout particulièrement. Avec une idée de marketing tel un Pokémon, ici nous sommes sur la « 3ème génération » où nos amis sont en Coupe du Monde junior.

Néanmoins, s’il faudrait choisir, il faudrait opter pour la version Ogre, plus aboutit, plus complète avec un petit bonus sympa en plus.


Pokémon Diamant nds
bruninho87

le 30/05/2014
6_5

Une 4 en demi-teinte. Passage sur DS donc avec des améliorations graphiques à noter.

D’ailleurs, après la 1ère génération, celle-ci est à mon goût la plus réussie. Un bon bestiaire bien bourrin qui m’a permis réellement de me lancer dans la stratégie Pokémon, surtout grâce à la connectivité GTS, wifi.

Hors cela, Pokémon Perle/Diamant reste classique avec malheureusement une histoire moins intéressante.


Pokémon Perle nds
bruninho87

le 30/05/2014
6_5

Une 4 en demi-teinte. Passage sur DS donc avec des améliorations graphiques à noter.

D’ailleurs, après la 1ère génération, celle-ci est à mon goût la plus réussie. Un bon bestiaire bien bourrin qui m’a permis réellement de me lancer dans la stratégie Pokémon, surtout grâce à la connectivité GTS, wifi.

Hors cela, Pokémon Perle/Diamant reste classique avec malheureusement une histoire moins intéressante.


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