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Commentaires de Yahiko avatar
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231 commentaires
Grandia II dc
Yahiko

le 22/11/2010
6
GRandia 2 est un Rpg plutôt bien calibré reposant sur un système de combat hyper dynamique et vraiment intéressant. Le jeu reste tout de même une semi-déception du fait qu'il perde le côté magique et insouciant du premier.
Growlanser play
Yahiko

le 07/11/2010
Edité le 07/05/2014
8_5
Finir Growlanser se mérite. L'assistance d'un ami japonais aura été obligatoire tant ce jeu nécessite une maîtrise de la langue. Porté par le design fantastique d'Urushihara Growlanser est un jeu unique aussi bien en terme de gameplay que de progression dans l'aventure. Une expérience réellement à part, dont on ne parle que trop, le jeu n'ayant certainement pas la notoriété qu'il mérite et qu'une sortie Us aurait pu lui conférer. A faire de toute urgence pour les japonisant.
Gulliver Boy pcecd
Yahiko

le 30/11/2010
5

Un petit Rpg de la PcE, sympathique grâce à son humour omniprésent et quelques bonnes idées mais qui manque cruellement de profondeur et de consistance. Il y a tellement mieux à faire sur la console.


Illusion of Time snes
Yahiko

le 09/11/2010
5
Illusion of time c'est un jeu bourré de bonnes idées, mais alourdi par des défauts rédhibitoires. IoT n'a rien de magique, il ne transcende, le design est moisi et le déroulement est souvent bien mou. Il y a bien mieux à faire comme A-Rpg sur 16 bits.
Kaze no Densetsu Xanadu pcecd
Yahiko

le 07/02/2010
8
Un des meilleurs A-Rpg de sa génération. Dépassé par sa suite, Xanadu I, reste un jeu formidable à la forte personnalité grâce à son ambiance et son charme propre aux jeux Falcom. a faire pour les japonisant !
Kaze no Densetsu Xanadu II pcecd
Yahiko

le 29/01/2010
Edité le 25/12/2014
8_5
Le meilleur jeu de la PC engine. Peut-être le meilleur jeu de Falcom. Une ambiance heroic-fantasy dantesque, un gameplay intuitif et une esthétique impeccable pour un jeu de cette génération. Legend of Xanadu 2 m'a fait passer certains de mes meilleurs moments devant une console. C'est un jeu dont on ne parle que trop peu et qui mérite d'être découvert par tout fan de Rpg.
Kingdom Hearts II play2
Yahiko

le 07/01/2020
9_5

La sortie de Kingdom Hearts 3 a généré une certaine hype à me replonger dans cette série que j’ai très vite délaissée à l’époque de sa sortie et qui a, depuis, tant évolué. Comme point d’orgue de cette découverte : Kingdom Hearts 2 et l’envie de découvrir un jeu à la très grande renommée.

J’ai beaucoup reproché au premier épisode ses problèmes de game design et la progression dans ses mondes souvent chaotiques. Pour d’autres raisons j’ai d’abord commencé par faire le même reproche à cet épisode. KH2 commence par régler les problèmes évoqués du 1er en en créant d’autre. Plus de problème de progression hasardeuse, simplement je me suis senti très à l’étroit durant les premières heures. Les premiers niveaux sont petits, on n’a pas loisir d’aller où l’on veut (on nous empêche souvent de prendre un chemin qui n’est pas le bon) et on est coupé par des cut scenes tous les trois pas. Heureusement la qualité de celles-ci est plus que jamais au rendez-vous. Mais quand même. En me lançant dans un JRPG je m’attends forcément à une aventure linéaire et story driven, ce n’est pas le problème, mais j’ai eu la frustration sensation d’évoluer dans un environnement étriqué pendant quelques heures. D’autant que le gameplay apparait d’entrée comme le plus fun et le plus agréable de la série jusqu’ici et que j’ai parfois ressenti une petite frustration de ne pas plus jouer.

Pour autant ça n’a jamais été lourd. Et une fois ces quelques heures passées ça n’a été que du bonheur. Kingdom Hearts 2 est un jeu incroyable. Certainement un des tous meilleurs A-RPG jamais créés. La forme, déjà, est irréprochable. Artistiquement le jeu est magnifique, Shimomura est une nouvelle fois divine (le thème de Riku bordel…) et le rendu graphique est superbe (certaines textures de Port Royal sont à tomber pour de la PS2), c’est un vrai plaisir d’évoluer dans chaque monde. Et puis le gameplay est addictif au possible. J’ai joué en expert, j’ai d’abord regretté de ne pas être passé en critical tout de suite, car pas mal de situations peuvent, d’abord, se résoudre en bourrinant. Puis j’ai finalement trouvé que c’était le bon équilibre pour une première partie. La fin est plus complexe. Sans jamais être vraiment difficile les affrontements poussent quand même à approfondir le système qui se révèle bien plus riche et technique que de prime abord. Et les annexes post game, que je viens de commencer, poussent encore d’un cran la technicité et certains affrontements sont juste kiffant. A posteriori je trouve le jeu parfaitement calibré et la montée en puissance vraiment bien maitrisée.

L’autre point fort de ce second épisode restera la partie scriptée. L’histoire en elle-même est passionnante et vient apporter de nombreuses réponses laissées en suspend lors des épisodes précédents avec des climax incroyables mid game et sur la fin. Elle est servie par deux paramètres maîtrisés de main de maître à mes yeux : la mise en scène fabuleuse et l’alchimie parfaite entre tous les univers et toutes les influences. Le jeu est bourré de symboliques. Pour les supporter et les illustrer Nomura a trouvé la formule magique. Il a ingéré tout le background de tous les univers Disney et Final Fantasy représentés dans le jeu et les a mélangés pour former un ensemble d’une rare cohérence afin de servir son propos. C’est le tour de force de cet épisode et de Nomura. D’autant que le niveau de détails est remarquable et qu’en plus d’enrichir ses thématiques il satisfait parfaitement le fan service (un mini-exemple parmi tant d’autres : la façon dont Aerith se penche sur Cloud lors de leur rencontre <3 ).

Bref, Kingdom Hearts 2 est bien devenu à mes yeux le très grand A-RPG que sa réputation laissait espérer : beau, riche, intelligent, détaillé et parfaitement calibré. Allez zou Top10.


Kingdom Hearts III play4
Yahiko

le 03/06/2020
9
Depuis l’annonce de sa sortie, Kingdom Hearts 3 me hype, sans que je ne sache trop pourquoi. Alors que j’ai abandonné la série après 10h de jeu sur le premier épisode et qu’aucun autre des épisodes ne m’a jamais donné envie d’y retourner cet ultime opus de l’arc Xehanort sera parvenu à me faire reprendre la série où je l’avais laissé : à zéro. Reprendre Kingdom Hearts du début aujourd’hui est un gros investissement. C’est beaucoup de temps à passer et beaucoup de réflexion à mener pour bien assimiler tous les pans du scénario et tous les thèmes traités. C’est dans l’ensemble une histoire assez fabuleuse à suivre et à réfléchir mais aussi pas mal de moments pas très intéressants, frustrants voir un peu lourds à vivre. Mais jamais inutiles. Clairement j’aurais été déçu que le jeu ne soit pas à la hauteur de cet investissement. Mais un peu plus de 250 heures plus tard je peux quand même annoncer que Kingdom Hearts est une des séries les plus fascinantes du JRPG et que ce troisième épisode en est un des principaux contributeurs tant il excelle.

Il y a une constante depuis le premier épisode : la série est au top de la technologie et pousse la quintessence de chaque machine sur laquelle elle s’est développée. Pas d’exception ici. Kingdom Hearts 3 est magnifique. La modélisation des personnages dans l’esprit dessin animé est exemplaire, quelque soit le rendu voulu par l’univers Disney visité et les paysages sont à tomber. Evidemment Shimomura sublime le tout avec une bande son fabuleuse et le rendu artistique global est à tomber. Chaque monde est un enchantement pour les sens avec un niveau de détail et de profondeur que la série n’avait jamais proposé. En tête de liste celui des Pirates des Caraïbes qui est d’une beauté rare ou celui de Toy Story qui est d’une redoutable ingéniosité. Si on sent que parfois la PS4 crache ses tripes, Sora s’y meut avec une fluidité inégalée, que ce soit en combat ou en exploration.

Et l’exploration est justement l’aspect novateur et grisant de cet épisode. C’est simple, aucun épisode de la série n’avait bénéficié d’un tel level design. C’est vaste, vertical (parfois vertigineux) et bourré de détails. L’univers de Disney est mieux mis en avant que jamais et l’esprit conte de fées que le premier épisode avait mis en avant, avec beaucoup d’innocence et d’insouciance resurgit ici. KH3 est certainement l’épisode qui se rapproche le plus du premier sur cet aspect. Dream Drop Distance avait amorcé la tendance, le 3 enfonce le clou. Les joueurs qui avaient adoré l’ambiance Disney très marquée, à travers les mondes et les petites histoires du premier devraient se régaler. KH3 est un jeu ou on joue, beaucoup. Bien plus que la majorité des autres épisodes de la série où on se retrouve souvent coupé par de nombreuses cut-scene qui donne, certes, un aspect très rythmé à l’histoire mais qui pouvaient aussi donner l’impression d’une progression hachée. J’ai adoré KH2 mais j’ai aussi été frustré au début du jeu par la sensation d’être coupé tous les deux pas par l’histoire. En quelque sorte KH3 boucle la boucle avec KH1 et la proposition à l’origine de la série en faisant tout beaucoup mieux, technologie et expérience de près de 20 ans aidant.

Pour autant l’histoire de KH3 n’est pas absente contrairement à ce que j’ai pu lire un peu partout depuis que je l’ai terminé. Je suis même assez surpris de cette critique tant à titre perso il représente ce que la série a proposé de mieux en terme d’équilibre gameplay/histoire. On pourra éventuellement ergoter sur le fait qu’il manque un climax en cours d’aventure comme le 2 avait su en proposer, mais sinon j’ai trouvé que la montée en puissance exponentielle du scénario était parfaitement amenée avec les différents fronts de l’histoire à suivre en parallèle, jusqu’à ce final en apothéose qui enchaîne les situations et les scènes choc en faisant le lien entre tous les épisodes de la saga.

Des dernières heures jouissives et d’une extrême générosité mettant en scène tous les protagonistes et antagonistes que l’on a pu rencontrer au cours de la série.Une générosité qui se retrouve à tous les aspects du jeu. En terme de contenu déjà : le jeu regorge de quêtes annexes, de collectables et autres mini-jeux. Tous ne laisseront pas un souvenir impérissable mais ceux qui aiment la complétion en auront pour leur content, que ce soit à bord du vaisseau Gummi ou via les entrées du Gummiphone. Extrême générosité également en terme de gameplay. A ce niveau KH3 représente une sorte de best of de tout ce que la série a proposé jusqu’ici. Il y a de tout et pour tout le monde. La grande majorité des systèmes et des features proposés jusqu’ici sont compilés pour offrir un système de combat plus édulcoré que jamais et parfaitement adapté à l’aspect exploration plus poussé. Pour autant c’est sur cet aspect que le jeu pêche légèrement. KH2 avait été un modèle d’équilibre et demandait, dans un niveau de difficulté avancé (expert en l’occurrence) une certaine maîtrise du système dans sa seconde partie : en particulier de l’esquive, de la parade et du contre. KH3, dans le même niveau de difficulté, n’oblige à aucune exigence de ce côté. C’est toujours très permissif et la totalité du jeu se traverse avec une assez grande facilité. Ca a quelques avantages : celui de choisir l’approche de combats que l’on préfère, celui de s’amuser tout de suite dès les premières minutes de jeu et à ce titre le début de KH3 est d’assez loin le meilleur de la série. Mais ça a un énorme inconvénient : celui de rendre aucun affrontement vraiment mémorable, en tout cas dans sa façon de l’aborder et de combattre. Et c’est vraiment dommageable dans un premier temps.

Heureusement dans un second temps le DLC Re:Mind est sorti et vient quelque peu corriger ce problème. Je n’ai pas spécialement envie de débattre sur le fait qu’on doive passer par un DLC pour avoir accès à ce type de contenu, chacun se fera son avis. A titre perso je me focaliserai donc sur le contenu lui-même, que j’ai savouré. Déjà il vient donner des indications indispensables sur la fin du jeu, le déroulement des dernières heures et donne l’explication sur la toute dernière image que l’on voit de Sora durant la fin. Il vient également apporter une ouverture incroyablement alléchante pour la suite. Car non, Kingdom Hearts n’est pas terminé. Evidemment on le savait en terminant. Car si l’épisode clôture magistralement l’arc Xehanort, en bon maître de l’ellipse et du teasing, Nomura a laissé en suspend des questions sans réponse. A la fois sur Xeahnort et la façon dont il s’est tourné vers les ténèbres (je ne peux croire qu’on n’ait pas plus d’explications rétrospectives à venir) mais aussi sur les toutes dernières scènes de la fin (la normale et la secrète) qui ouvrent sans se cacher sur une suite. Re:Mind va plus loin dans l’ouverture. Sans vouloir trop spoiler on comprend que Nomura n’en a pas terminé avec Versus XIII et qu’il a encore des choses à dire sur le sujet. Et c’est désormais terriblement excitant de fantasmer sur la façon dont tout ceci va se matérialiser. Ensuite il propose enfin, une fois l’histoire du DLC terminée, des combats dignes de ce nom et dignes du gameplay dans les épisodes Limitcut et Secret qui se débloquent à la suite. Et là on retrouve clairement les sensations qu’on avait connu dans le endgame de KH2 avec les treize data des membres de l’organisation à affronter dont certains sont complètement épiques (Xion <3) avant un ultime défi dans l’épisode secret. A mon sens le combat le plus dur de la série, un ton au-dessus la Volonté Persistante de KH2. Un combat frénétique qui demande une maîtrise ultime du rythme de l’esquive et de la parade et qui nécessite de connaitre par cœur chacun des nombreux assauts du boss. Un ultime challenge qui m’a demandé une bonne dizaine d’heures avant d’être relevé en Expert.

Kingdom Hearts 3 est donc une magnifique réussite. Il a été à l’origine de ma découverte de la série et de son histoire passionnante à suivre enrichissante à décrypter à travers les thèmes abordés, beaucoup plus sombres et matures que ce que le contexte du jeu pourrait laisser présager. Et il est une magnifique clôture d’un arc scénaristique étalé sur dix épisodes (et certainement plus pour répondre rétrospectivement à certaines questions). J’ai accueilli ses choix sur la progression et la construction de l’univers comme une vraie bouffée d’air frais après les centaines d’heures passées sur les épisodes précédents plus étriqués. J’ai adoré et j’ai déjà hâte de m’y replonger.
Kingdom Hearts III: Re:Mind play4
Yahiko

le 03/06/2020
8
Re:Mind vient donner des indications indispensables sur la fin du jeu, le déroulement des dernières heures et donne l’explication sur la toute dernière image que l’on voit de Sora durant la fin. Il vient également apporter une ouverture incroyablement alléchante pour la suite. Car non, Kingdom Hearts n’est pas terminé. Evidemment on le savait en terminant KH3. Car si l’épisode clôture magistralement l’arc Xehanort, en bon maître de l’ellipse et du teasing, Nomura a laissé en suspend des questions sans réponse. A la fois sur Xeahnort et la façon dont il s’est tourné vers les ténèbres (je ne peux croire qu’on n’ait pas plus d’explications rétrospectives à venir) mais aussi sur les toutes dernières scènes de la fin (la normale et la secrète) qui ouvrent sans se cacher sur une suite. Re:Mind va plus loin dans l’ouverture. Sans vouloir trop spoiler on comprend que Nomura n’en a pas terminé avec Versus XIII et qu’il a encore des choses à dire sur le sujet. Et c’est désormais terriblement excitant de fantasmer sur la façon dont tout ceci va se matérialiser. Ensuite il propose enfin, une fois l’histoire du DLC terminée, des combats dignes de ce nom et dignes du gameplay dans les épisodes Limitcut et Secret qui se débloquent à la suite. Et là on retrouve clairement les sensations qu’on avait connu dans le endgame de KH2 avec les treize data des membres de l’organisation à affronter dont certains sont complètement épiques (Xion <3) avant un ultime défi dans l’épisode secret. A mon sens le combat le plus dur de la série, un ton au-dessus la Volonté Persistante de KH2. Un combat frénétique qui demande une maîtrise ultime du rythme de l’esquive et de la parade et qui nécessite de connaitre par cœur chacun des nombreux assauts du boss. Un ultime challenge qui m’a demandé une bonne dizaine d’heures avant d’être relevé en Expert.
Knights in the Nightmare nds
Yahiko

le 04/02/2010
Edité le 07/05/2014
8
Un vrai grand jeu sur DS. Knights in the Nightmare est le genre d'expérience que j'aimerais vivre plus souvent de par son script fin et touchant, jouant avec les émotions comme peu de jeu savent le faire. Doté d'une ambiance graphique et sonore sombre et particulièremnt inspirée, d'un gameplay unique, Knight in the Nightmare est un soft à la personnalité exacerbée qui m'a transportée du début à la fin
La Légende de Thor md
Yahiko

le 02/12/2010
6
Un des bons jeux qui aura contribué à faire la réputation de la Megadrive dans le domaine. Un jeu coloré, charmant au gameplay innovant puisque mêlant habilement A-Rpg et Beat'em All. On regrettera juste une gestion des sauts pas toujours évidente. Un jeu vraiment agréable, qui vaut le coup malgré un léger manque d'envergure.
Landstalker: The Treasures of King Nole md
Yahiko

le 05/11/2010
8
Landstalker est un A-RPG mythique. le jeu propose un vrai challenge, notamment dû à sa vue isométrique pas toujours très pratique. Mais son gros point fort reste son level design fantastique pour l'époque. Je me souviendrai à vie de certains lieux (le lieu Saint du Lac ...!). Culte à bien des égard.
Langrisser III sat
Yahiko

le 03/09/2010
7
Avec un Gameplay unique pour la série, Langrisser III commencera par déstabiliser, voir décevoir, les admirateurs de celle-ci. Puis une fois assimilié le jeu se laisse dévorer, notamment grâce à son script qui met en lumière quelques points noir du background de la série.
Langrisser IV sat
Yahiko

le 30/01/2010
9
Le meilleur épisode d'une de mes séries préférées. Le design toujours aussi sublime d'Urushihara, la 2d magnifique et des combats encore plus stratégiques grâce à la barre d'initiative. Un must du tactical.
Langrisser V ~The End of Legend~ sat
Yahiko

le 07/02/2010
8
Dernier d'une grande série, Langrisser V la clôture parfaitement. Bien que je garde une préférence pour l'épisode IV cet épisode n'en est pas moins un grand jeu dans la plus pure lignée de la série, riche et passionnant, avec un Urushihara meilleur que jamais.
Legacy of Kain: Blood Omen play
Yahiko

le 07/11/2010
6
Une petite surprise à l'époque pour un jeu qui ne m'attirait pas beaucoup (je ne suis pas fan des vampires). Une ambiance bien sombre parfaitement rendu, des dialogues soignées et un héros sadique et, je dois l'avouer, charismatique font de Blood Omen un des bons jeux de la Ps1. Gros bémol pour la réalisation avec des temps de chargement et des ralentissements infectes.
Legend of Mana play
Yahiko

le 03/09/2010
Edité le 07/11/2010
7
Onirique, magique, merveilleux, les superlatifs ne manquent pas pour qualifier l'ambiance unique qui se dégage de ce jeu. LoM met une fois de plus en exergue le talent immense de Yoko Shimomura avec une bande son magistrale. Malheureusement il m'a été difficile de m'impliquer à fond dans le jeu de par son déroulement tortueux, composé de missions souvent simplettes, et de par le manque de consistance du script. Un bel essai tout de même.
Light Crusader: Le Mystère de Green Rod md
Yahiko

le 05/12/2010
Edité le 06/12/2010
3
Bouh qu'il est vilain ce Light Crusader. Ambiance, design, durée de vie, gameplay à peu près tout est à jeter dans ce jeu. Reste des énigmes plutot agréables qui tentent de sauver les meubles. A oublier, il y a bien mieux sur Megadrive !
Little Big Adventure play
Yahiko

le 08/11/2010
Edité le 08/11/2010
7
Little Big Adventure est un ovni du Rpg. L'univers de Twinsen est juste unique en son genre. Porté par un humour, des mieux sentis et de tous les instants, le jeu se laisse dévorer de bout en bout. Et la maniabilité tant décriée, si elle existe bien, participe égalment au charme du jeu de par les situations cocasses qu'elle entraîne. Un vrai vent de fraîcheur.
Lost Odyssey xb360
Yahiko

le 07/05/2011
Edité le 03/01/2015
7

Lost Odyssey me laisse une sensation étrange. D'un côté la joie de retrouver un jeu m'ayant procuré pas mal de plaisir, de l'autre la désagréable sensation d'être passé à côté de quelquechose de bien plus grand.

LO est un jeu véhiculant une certaine vision du J-Rpg. Une vision peut-être vieille de 15 ans (à tel point que le jeu aurait pu sortir sur Ps1 qu'il n'en aurait pas été moins riche), mais une vision qui, finalement, correspond assez bien à mes attentes. Fondé sur des mécanismes classiques et plutôt efficaces, le jeu est d'une esthétique globale très réussie, à défaut de l'être totalement techniquement et fait preuve d'un bon goût général très appréciable : casting réussi, univers agréable, écriture des rêves vraiment classe et touchante, bonde son d'Uematsu grandiose... LO multiplie les bons points.

Malheureusement le jeu se retrouve terni par une narration très inégale et souffre d'un gros problème de rythme : 5-6 premières heures vraiment bonnes, apétissantes, puis... plus rien, ou presque jusqu'au 3ème Dvd. Soit 15-20 heures où il ne se passe rien qui ne donne de l'ampleur à l'intrigue principale avant un Dvd3 plus agréable où beaucoup d'éléments sont balancés d'un seul coup. Je ne suis pas spécialement fan des scénarios alambiqués mais j'aime quand le script apporte son lot d'évènements. Or LO en manque considérablement pendant une bonne partie de l'aventure et avec plus de consistance à ce niveau làLO avait de quoi figurer parmi les tous grands jeux de sa catégorie.

Reste un très bon Rpg plaisant à jouer, apportant son lot d'émotions et de plaisir mais qui aurait pu prendre une tout autre dimension en apportant plus de soin au rythme et à la narration


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