Commentaires RPG - Legendra RPG

Zak Blayde

le 20/04/2010
Edité le 30/03/2011

Une superbe expérience. Un jeu classique mais très riche, les personnages sont très développés et plein de scènes très bien mises en scène nous font les aimer comme peu de jeux y parviennent. Superbe design, superbes décors, superbe OST... Il y a aussi plein de quêtes annexes, dommage qu'elles soient surtout concentrées sur la fin. La localisation française manque un peu de finition avec quelques coquilles et autres bugs.

Mana Khemia ~Alchemists of Al-Revis~ play2

Zak Blayde

le 27/01/2010
Edité le 30/03/2011

Le meilleur Gust que j'ai fait. Système génialissime, difficulté mieux dosée que dans les autres jeux trop faciles. L'humour est géant, surtout avec Flay et Muppy. Graphiquement, c'est du sans faute, les musiques sont chouettes également, bonne durée de vie... Rien à redire.

Mass Effect xb360

Zak Blayde

le 10/02/2008
Edité le 30/03/2011

Un jeu merveilleusement réussi, avec un background extrêmement riche comme ne se le permettent plus beaucoup de jeux (Elder Scrolls encore !). La mise en scène est incroyablement prenante, les combats géniaux. Je regrette la qualité des voix fr encore variable bien que largement meilleure que majorité des productions, le retard d'affichage des textures qui fera mal vieillir le jeu, et surtout la durée de vie bien trop courte.
J'espère que la suite améliorera tout ça et restera dans la même veine pour les qualités précitées.

Ōkami

Zak Blayde

le 04/11/2011

Graphismes sublimes avec cette pâte graphique unique. L'histoire est prenante même si les dialogues sont parfois longuets. Le gameplay est sans faille malgré quelques rares problèmes de caméra. Les combats sont parfois épiques mais j'ai regretté la redondance de certains boss (3 fois Orochi, 3 ou 4 fois la reine araignée...). L'univers est grand, magique à parcourir. Et l'aventure est de longue haleine avec plus de quarante heures au bas mot pour finir l'aventure.

Suikoden III play2

Zak Blayde

le 13/09/2008
Edité le 30/03/2011

Malgré un passage à la 3D catastrophique, le jeu reste fidèle à ses deux opus précédents : des personnages attachants et profonds, une histoire prenante, un gameplay réussi, que de bonnes choses pour une des sagas les plus incontournables qui soient dans le monde du RPG japonais.

Suikoden V play2

Zak Blayde

le 01/09/2009
Edité le 27/08/2010

Un très bon Suikoden.

Les graphismes sont bons excepté l'animation des personnages hors combat. Les musiques sont toujours bonnes mais moins prenantes (au niveau émotionnel) que dans les premiers épisodes. L'histoire est très bonne, comme d'habitude, peut-être moins épique que dans les deux premiers épisodes. Le gameplay est très bon mais certaines choses dans l'interface sont très frustrantes (ne pas voir le niveau de l'arme au choix des personnages notamment). Les batailles stratégiques sont très bonnes.

Pour conclure j'ai autant aimé que le 3 à peu de choses près.

The Legend of Zelda: Link's Awakening

Zak Blayde

le 01/08/2007
Edité le 30/03/2011

Super jeu ! Dans mon enfance, probablement mon préféré !

Atelier Iris 2: The Azoth of Destiny play2

Zak Blayde

le 12/12/2008

Atelier Iris 2 est encore meilleur qu'Atelier Iris ! Le gameplay est génial, autant dans les combats que dans l'alchimie, les graphismes enchanteurs (avec des artworks bien plus jolis que ceux quasi amateurs du premier), les musiques sont toujours aussi bonnes et le scénario est un petit peu moins bateau.

Ce qui m'a surpris c'est que malgré le fait que c'est une suite, le gameplay change beaucoup comparé au premier épisode, surtout dans l'alchimie

Vraiment à jouer !

Atelier Iris: Eternal Mana play2

Zak Blayde

le 11/07/2008
Edité le 30/03/2011

Un jeu génial, ultra complet, et à l'humour tordant. Le scénario est très classique mais le gameplay rattrape le tout.

Bastion

Zak Blayde

le 08/02/2012
Edité le 08/02/2012

Un jeu superbe graphiquement (la direction artistique fait moins "Flash" en jeu que sur les screenshots), avec un gameplay simple mais addictif, une narration originale et superbement orchestrée, un univers original et onirique, une très belle bande-son enivrante et parfois mélancolique, ainsi qu'une fin réussie et des possibilités de NG+ pour faire durer l'expérience, un peu courte au demeurant. Seule son ambition limitée fait que je ne luis mets pas 5/5, mais franchement, ne passez pas à coté.

Castlevania: Aria of Sorrow gba

Zak Blayde

le 27/08/2010

Un très bon Castlevania, dans le top 3 de mes préférés aux cotés de Symphony of the Night et Portrait of Ruin. Gameplay géant, jeu tout simplement prenant. A faire !

Castlevania: Portrait of Ruin nds

Zak Blayde

le 11/08/2011

Des artworks qui changent radicalement de ce qu'on voit habituellement dans la sage. Je n'ai pas aimé du tout. Hormis ce point là le jeu s'avère très bon, dans la lignée des Castlevania post SOTN mais supérieur à Order of Ecclesia sur plusieurs domaines, notamment le level design qui était trop linéaire dans cet épisode.

Le changement de personnage est intéressant, certains ennemis craignent plutôt la magie, d'autres les dégâts physiques, on peut facilement passer de l'un à l'autre et cela donne des perspectives intéressantes pour le combat même s'il n'est pas toujours nécessaire de les utiliser.

Un bon épisode bien carré en somme.

Dragon Force sat

Zak Blayde

le 27/08/2010

Un jeu génial, avec des batailles épiques, une bande-son de folie, des graphismes sublimes...

Earthbound snes

Zak Blayde

le 06/03/2011

Earthbound a été une grande expérience, totalement délirante, sans précédent pour moi, avec notamment le village Saturn, Moonside, le dernier niveau et le boss de fin complètement génial !
OST excellente, univers généreux et drôle, coté old school appréciable...

Fallout: New Vegas

Zak Blayde

le 20/02/2011
Edité le 22/02/2011

Même si j'avais été déçu par Fallout 3, j'y avais passé quelques heures agréables. Et j'attendais donc beaucoup de New Vegas, apprenant que l'équipe du premier travaillait dessus au sein de Bethesda. Et le jeu fut à la hauteur de mes attentes. La qualité d'écriture est au rendez-vous, les personnages mémorables, les choix proposés succulents...

Le gameplay du VATS est toujours sympa et le mode Hardcore apporte une dose d'immersion bien appréciable. Quelques gros défauts d'IA sonnent vraiment faux par contre, comme lorsqu'on vole les clés des poches de son propriétaire puis en rentrant et sortant sans se cacher dans le bureau auparavant fermé sous les yeux du "volé".

L'ambiance est bonne, même si je me rends compte que je suis moins happé par le coté humoristique de Fallout que par la noirceur d'un STALKER au final.

Le gros défaut est l'affreuse optimisation complètement à coté de la plaque du titre, très instable, surtout au vu des graphismes qui commencent à être vieillots.

J'ai eu le sentiment sur la fin que je n'avais pas réellement eu ce que je voulais, ayant été contraint de supprimer la RNC en choisissant l'indépendance. Mais j'ai pris mon pied sur ces quelques dizaines d'heures.

Mana Khemia 2 ~Fall of Alchemy~ play2

Zak Blayde

le 01/08/2011
Edité le 10/09/2011

Mana Khemia 2 réutilise avec brio la recette du premier épisode, offrant cette fois l'originalité de pouvoir voir la même année scolaire sous le regard de 2 étudiants différents, chacun avec une équipe et dans un Workshop différents.

L'humour, les situations et les personnages sont à mon sens moins fous que dans le premier épisode, mais globalement, on se marre ! Le nombre de recette est tout bonnement hallucinant. A chaque chapitre on passe un temps fou à fabriquer des objets, à compléter un grow book qui fonctionne différemment de celui du premier épisode.

Le jeu réutilise pas mal d'éléments du premier, son bestiaire, certaines techniques de combats. Ces derniers deviennent assez vite complètement épiques avec un enchaînement d'effets visuels qui traversent l'écran de part en part. Les boss de fin du jeu mettent un peu la pression, et c'est un pur plaisir.40h de jeu pour le premier run, tout à fait respectable.

Le scenario de Raze est moins drôle que l'autre, je conseille de faire Ulrika d'abord. Le mini-jeu du magasin est sans doute la seule feature en retrait dans le jeu, c'est en fait assez inutile et peu amusant.

Might & Magic VIII: Day of the Destroyer

Zak Blayde

le 02/03/2016

Might & Magic 8 conclut la trilogie entamée avec Might & Magic 6. Reprenant avec brio cet univers et cette esthétique développés également dans Heroes of Might & Magic 3 et ses extensions, le jeu de New World Computing innove peu mais exploite néanmoins sans rougir la fresque entamée.

Le long des trois épisodes, on a vu le gameplay se perfectionner légèrement, ajoutant par exemple dans l'épisode 7 la possibilité de se déplacer en mode tour par tour. Ici, c'est essentiellement dans de nouvelles races et talents liés qu'on notera une différence. Mais si l'on peut jouer un minotaure, un dragon, un vampire ou un troll, on ne peut plus jouer de nain. Chacune de ces nouvelles races dispose donc de quelques talents (une par niveau de compétence) utilisables depuis le livre de sorts.

L'interface change également, notifiant de façon fort agréable quels sorts sont activés (sorts d'exploration et de buff).

C'est enfin dans la partie de l'univers exploré qu'on remarquera la différence. Dès le départ, il nous est donné l'opportunité d'évoluer au milieu d'elfes noirs, de skaven, de vampires, de créatures marécageuses et autres démons et horreurs. Comme dans l'épisode 7, on a au cours de l'histoire à choisir entre quelques camps, ce qui ne changera que les quêtes associées qui opposent ces différentes factions. Malgré l'aspect véritablement connoté des créatures du jeu, on ne peut noter aucun réel manichéisme.

Cette fantasy assez atypique est au contraire pleine de camps aux intérêts divergents et aux actions rarement innocentes. Si l'épisode 6 préfigurait réellement Heroes 3, tandis que Might & Magic 7 sortait la même année, Might & Magic 8 fait véritablement penser à l'ambiance incarnée par Armageddon's Blade. On retrouve aussi quelques personnages mythiques, et des quêtes comme celles de l'Arcomage.

Le jeu surprend et intéresse beaucoup au départ, mais après avoir joué aux épisodes précédents, on peut être frappé d'un peu de lassitude à partir de la moitié du jeu. On passe beaucoup de temps à aller d'une région à l'autre pour résoudre des quêtes et trouver des entraineurs, on débloque les mêmes sorts (avec les jouissifs Vol ou Portail de Rappel), on découvre certains bugs (le coffre sensé conserver vos objets mais qui se reset comme les autres après un an en temps du jeu), et on finit, en tout cas pour ma part, à foncer à travers les derniers niveaux sous l'effet du sort d'invisibilité, pour ne pas avoir à frénétiquement enfoncer la touche d'attaque ou de sort rapide face à des hordes et des hordes d'ennemis.

La version française se trouve extrêmement mal faite, avec de nombreux textes se chevauchant, ce qui donne vraiment l'impression d'une localisation parfaitement amateur (des amateurs peuvent se trouver plus professionnels en vérité).

Néanmoins, malgré quelque redondance, je conseille à tous les fans de Might & Magic, et a forciori des épisodes 6 et 7, de jouer à Day of the Destroyer, tellement il flaire bon la nostalgie et fait néanmoins preuve de quelque originalité en terme d'univers et d'ambiance. Les musiques du jeu, toujours composées par Rob King, Steve Baca & Paul Romero, sont magnifiques et façonnent également à merveille cette atmosphère unique.
Might & Magic 8 conclut la trilogie entamée avec Might & Magic 6. Reprenant avec brio cet univers et cette esthétique développés également dans Heroes of Might & Magic 3 et ses extensions, le jeu de New World Computing innove peu mais exploite néanmoins sans rougir la fresque entamée.

Le long des trois épisodes, on a vu le gameplay se perfectionner légèrement, ajoutant par exemple dans l'épisode 7 la possibilité de se déplacer en mode tour par tour. Ici, c'est essentiellement dans de nouvelles races et talents liés qu'on notera une différence. Mais si l'on peut jouer un minotaure, un dragon, un vampire ou un troll, on ne peut plus jouer de nain. Chacune de ces nouvelles races dispose donc de quelques talents (une par niveau de compétence) utilisables depuis le livre de sorts.

L'interface change également, notifiant de façon fort agréable quels sorts sont activés (sorts d'exploration et de buff).

C'est enfin dans la partie de l'univers exploré qu'on remarquera la différence. Dès le départ, il nous est donné l'opportunité d'évoluer au milieu d'elfes noirs, de skaven, de vampires, de créatures marécageuses et autres démons et horreurs. Comme dans l'épisode 7, on a au cours de l'histoire à choisir entre quelques camps, ce qui ne changera que les quêtes associées qui opposent ces différentes factions. Malgré l'aspect véritablement connoté des créatures du jeu, on ne peut noter aucun réel manichéisme.

Cette fantasy assez atypique est au contraire pleine de camps aux intérêts divergents et aux actions rarement innocentes. Si l'épisode 6 préfigurait réellement Heroes 3, tandis que Might & Magic 7 sortait la même année, Might & Magic 8 fait véritablement penser à l'ambiance incarnée par Armageddon's Blade. On retrouve aussi quelques personnages mythiques, et des quêtes comme celles de l'Arcomage.

Le jeu surprend et intéresse beaucoup au départ, mais après avoir joué aux épisodes précédents, on peut être frappé d'un peu de lassitude à partir de la moitié du jeu. On passe beaucoup de temps à aller d'une région à l'autre pour résoudre des quêtes et trouver des entraineurs, on débloque les mêmes sorts (avec les jouissifs Vol ou Portail de Rappel), on découvre certains bugs (le coffre sensé conserver vos objets mais qui se reset comme les autres après un an en temps du jeu), et on finit, en tout cas pour ma part, à foncer à travers les derniers niveaux sous l'effet du sort d'invisibilité, pour ne pas avoir à frénétiquement enfoncer la touche d'attaque ou de sort rapide face à des hordes et des hordes d'ennemis.

La version française se trouve extrêmement mal faite, avec de nombreux textes se chevauchant, ce qui donne vraiment l'impression d'une localisation parfaitement amateur (des amateurs peuvent se trouver plus professionnels en vérité).

Néanmoins, malgré quelque redondance, je conseille à tous les fans de Might & Magic, et a forciori des épisodes 6 et 7, de jouer à Day of the Destroyer, tellement il flaire bon la nostalgie et fait néanmoins preuve de quelque originalité en terme d'univers et d'ambiance. Les musiques du jeu, toujours composées par Rob King, Steve Baca & Paul Romero, sont magnifiques et façonnent également à merveille cette atmosphère unique.

NieR

Zak Blayde

le 19/11/2010

J'ai énormément aimé Nier. Il possède des personnages très développés et crédibles, ce qui est rare (Lost Odyssey auparavant était du même niveau), et des moments plein d'émotion. Le scénario est bien ficelé avec en arrière-plan un riche background, peu développé dans le jeu, mais présent malgré tout.

Ma seule déception concerne la mécanique particulière du jeu qui oblige à refaire plusieurs fois plusieurs niveaux à l'identique pour dévoiler le reste de son contenu scénaristique. Il aurait été agréable que le gameplay à ce niveau soit mon redondant.

Le jeu est visuellement inégal mais est très agréable grâce à son coté ouvert.

Les combats sont funs, ceux des boss vraiment excellents. Au départ, j'avais peur de me lasser mais pas du tout !

Le gros défaut réside pour moi dans la petitesse de l'univers explorable, 3 villes, 2 plaines, un désert et quelques donjons. Etaler le scénario dans plus de lieux plutôt que de faire revenir aux même endroits aurait été fort appréciable.

Persona 3

Zak Blayde

le 13/09/2008
Edité le 30/03/2011

Un jeu vraiment original, avec un gameplay inédit, grâce à ses deux phases de jeu différentes et complémentaires. On regrettera seulement la monotonie du Tartarus. Le design, l'interface léchée, l'ambiance, l'ost, les voix, l'action, le dynamisme des combats... Tout concourt à un superbe jeu.

Persona 4

Zak Blayde

le 04/05/2009
Edité le 30/03/2011

Les qualités du 1 avec des améliorations de gameplay mais moins de bonnes musiques. Le résultat est mitigé pour moi car la lassitude a pointé le bout de son nez à la fin, preuve du manque de renouvellement du jeu par rapport à son prédécesseur. Si P5 n'évolue pas franchement, je n'y jouerais pas ! Même note que le 3 pour moi.

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