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The Legend of Zelda: The Wind Waker

jojoweb

le 03/03/2009

J'ai toujours eu un problème avec l'individualisme forcené de la série (je préfère les jeux où l'on dirige un groupe), mais j'avais adoré Zelda 3, Zelda Link' awakening (Gameboy) et je m'étais fait aux épisodes suivants sur Nintendo 64.

Ce premier Zelda sur Gamecube, pour moi, est en-dessous de ce qui a été fait avant. Certes, les graphismes sont vraiment mignons et extrêmement plaisants. (re-)Certes, le gameplay est parfaitement maîtrisé, il est indéniable que les développeurs du jeu sont de très grands pros.

Seulement voilà, un certain nombre de quêtes sont franchement tordues, y compris des quêtes essentielles (surtout à la fin du jeu, je n'en dis pas davantage pour ne pas "spoiler"). La série des Zelda m'avait habitué à une difficulté plus rationelle. Il arrive que l'on doive "deviner" la suite à donner à notre aventure, quitte à faire trois fois le tour du monde (et il est franchement vaste). C'est la première fois que je vois ça. Que le jeu comporte des éléments de linéarité ET des quêtes secondaires, je veux bien, mais Zelda: the Wind waker, trop souvent, confond les deux. Chercher une aiguille dans une botte de foin, c'est un petit jeu que même nos ancêtres du moyen-âge ne trouvaient pas amusant

.

Le scénario, ensuite, est un des plus niais et des plus tiré par les cheveux qu'il m'ait été donné de voir. Les premières quêtes donnent déjà le ton d'un scénario qui ne volera jamais bien haut, mais le sommet de la nullité est atteinte lorsque l'on apprend, plus tard, l'histoire du monde dans lequel on évolue, et qui n'aurait pas demandée tellement plus d'effort pour être intéressante, voire profonde, mais qui se révèle totalement fadasse.

Un jeu pas mal dans la mesure où il repose sur une jouabilité/des mécaniques de jeu très solides et des graphismes vraiment agréables, mais dont la difficulté est parfois artificiellement alourdie par des omissions ou des "lâchages dans la nature", et dont le scénario n'est jamais vraiment un moteur. Finalement, les vrais régressions de la série résident dans ces deux derniers points, non pas sur un cell-shading jusque là inédit mais qui enchante plus que jamais nos mirettes.

J'ai toujours eu un problème avec l'individualisme forcené de la série (je préfère les jeux où l'on dirige un groupe), mais j'avais adoré Zelda 3, Zelda Link' awakening (Gameboy) et je m'étais fait aux épisodes suivants sur Nintendo 64.

Ce premier Zelda sur Gamecube, pour moi, est en-dessous de ce qui a été fait avant. Certes, les graphismes sont vraiment mignons et extrêmement plaisants. (re-)Certes, le gameplay est parfaitement maîtrisé, il est indéniable que les développeurs du jeu sont de très grands pros.

Seulement voilà, un certain nombre de quêtes sont franchement tordues, y compris des quêtes essentielles (surtout à la fin du jeu, je n'en dis pas davantage pour ne pas "spoiler"). La série des Zelda m'avait habitué à une difficulté plus rationelle. Il arrive que l'on doive "deviner" la suite à donner à notre aventure, quitte à faire trois fois le tour du monde (et il est franchement vaste). C'est la première fois que je vois ça. Que le jeu comporte des éléments de linéarité ET des quêtes secondaires, je veux bien, mais Zelda: the Wind waker, trop souvent, confond les deux. Chercher une aiguille dans une botte de foin, c'est un petit jeu que même nos ancêtres du moyen-âge ne trouvaient pas amusant :-.

Le scénario, ensuite, est un des plus niais et des plus tiré par les cheveux qu'il m'ait été donné de voir. Les premières quêtes donnent déjà le ton d'un scénario qui ne volera jamais bien haut, mais le sommet de la nullité est atteinte lorsque l'on apprend, plus tard, l'histoire du monde dans lequel on évolue, et qui n'aurait pas demandée tellement plus d'effort pour être intéressante, voire profonde, mais qui se révèle totalement fadasse.

Un jeu pas mal dans la mesure où il repose sur une jouabilité/des mécaniques de jeu très solides et des graphismes vraiment agréables, mais dont la difficulté est parfois artificiellement alourdie par des omissions ou des "lâchages dans la nature", et dont le scénario n'est jamais vraiment un moteur. Finalement, les vrais régressions de la série résident dans ces deux derniers points, non pas sur un cell-shading jusque là inédit mais qui enchante plus que jamais nos mirettes.

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