06/07/2010
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Editeur : Atlus Disponible également en dématérialisé
01/11/2009
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Persona 3 Portable
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Persona 3 Portable
Memento Mori
Membre de la grande famille des Megaten, la série des Persona est née il y a de ça presque 15 ans sur PSX avec Megami IbunrokuPersona. Parcourant tranquillement son petit bonhomme de chemin depuis, la série a su s'assurer une notoriété et une fanbase de plus en plus importante au fil des ans, et a connu un véritable boom avec Persona 3, mélange improbable de dating-sim, de vie étudiante et de dungeon RPG. Jeu qui est d'ailleurs devenu un des emblèmes phares de Atlus, bien décidé à exploiter sa vache à lait, déclinée au fil des années sur plusieurs supports : un remake PS2 (Persona 3 FES), un manga, des versions mobiles... et désormais un remake PSP !
'Sup dude?
Petit rappel du plot de l'histoire : on incarne un lycéen (dont le nom est à définir) fraichement débarqué à Iwatodai, petite ville portuaire, afin d'y poursuivre sa scolarité au lycée Gekkoukan. C'est non sans mal qu'il arrive au dortoir censé l'accueillir pendant son cursus, voyage rythmé par la vision de choses bien étranges, et la rencontre avec un mystérieux garçonnet. Hallucinations ? Pas si sûr : quelques jours après, les évènements se réitèrent, mais de manière bien plus brutale. C'est l'heure de la première rencontre avec les «Shadows», créatures se nourrissant d'âmes humaines et résidentes de la «Dark Hour», mystérieuse 25ème heure arrivant après minuit, et surtout des «Personas», seul moyen de lutter contre elles ; de fil en aiguille, ces choses apparemment surréalistes deviendront un quotidien pour notre héros. Seul à disposer de la capacité de changer de Personas à volonté, il devient par la force des choses l'atout et le leader de la S.E.E.S (pour «Specialized Extracurricular Execution Squad»), un groupe d'utilisateurs de Personas, qui s'est donné pour mission d'empêcher les Shadows de nuire et de percer le secret du Tartarus, leur tanière, et trouver réponse à un nombre de questions toujours grandissant, le tout entre deux contrôles de maths et quelques déboires d'adolescents.
Première nouveauté dans P3P, on peut désormais incarner un MC (Main Character) de sexe féminin, au profil bien plus dynamique que son laconique homologue. On choisit donc son avatar, on sélectionne l'un des 5 modes de difficulté - 2 de plus dans cette version - et c'est (re)parti ! L'histoire reste globalement la même, mais subit bien évidemment quelques variations mineures suite à l'introduction du beau sexe comme personnage jouable, chaque MC disposant littéralement de "sa" propre histoire (celle du MC masculin restant la storyline officielle) ; on retrouve donc avec plaisir ce scénario prenant et cette ambiance atypique, comptant désormais quelques caméos pas bien méchants dans son déroulement. Rien ne change vraiment sur le fond, mais plutôt sur la forme. Réponse de Atlus face au "manque de place" sur l'UMD, le jeu épouse désormais la forme... d'un Visual Novel. Le jeu a été taillé en long, en large et en travers histoire de tout faire rentrer dans le petit CD. Exit la 3D (réservée au Tartarus) et les cinématiques animées, l'histoire ne devient qu'un enchainement continu de textes et de sprites. Que ce soit le scénario ou toutes ces petites scènes annexes, la mise en scène prend un sacré coup dans la tronche, et le tout devient soudainement bien plus plat, risible et parfois incompréhensible. On peut laisser le bénéfice du doute à Atlus pour cette histoire de place, mais qu'est-ce que cela aurait couté d'insérer en contrepartie quelques CGs par-ci par là pour imager ces moments forts et funs... comme dans un Visual Novel, en somme ?
[quote name='kanedo' timestamp='1295265110' post='268928'] Le dernier boss d'Oath in Felghana est dur ;; [/quote]
Make my day
Premier gros aspect du jeu, c'est tout ce côté social qui le caractérise. Une vie étudiante à mener pendant toute une année avec tout ce que ça implique d'études, d'activités et de potes, et garantie sans repas à base de produits premier prix. Un planning complètement gérable selon les désirs du joueur - exception faite de certains jours imposés pour le scénario ou divers events - seul à décider de si oui ou non il va jouer la carte du relationnel, travailler les attributs du personnage, arpenter le Tartarus ou tout simplement ne rien faire. Les Social Links sont bien évidemment de retour, ces liens que peut tisser le protagoniste avec divers personnages, chacun étant attaché à une arcane majeure du tarot (pourquoi, j'y reviendrais plus bas) : rien de nouveau du côté masculin et on retrouve ceux des versions antérieures, pour le meilleur et pour le pire. Mais ça bouge un peu du côté féminin : sur les 18 S-Link "potentiels" (les 4 autres se débloquant naturellement au fil du jeu), désormais tous ouvertement cités dès le moment où ils deviennent disponibles, 7 profitent de nouveaux représentants, incluant majoritairement les membres masculins de l'équipe (certains sont quand même assez paradoxaux vis-à-vis de leurs arcanes respectives ou du développement du personnage dans l'histoire...), les anciens disposant également de quelques modifications adéquates à notre rayonnante héroïne, et l'ensemble est globalement très sympathique. Et tout comme le MC masculin disposait et dispose encore de la capacité de draguer à tout va les personnages féminins, notre héroïne peut elle aussi faire tourner les têtes, mais uniquement du sexe opposé, ce qui est fort dommage... on ne peut pas tout avoir.
Hélas ici aussi, cette nouvelle interface typée Visual Novel fait des dégâts. Exit la relative liberté dans Iwatodai : désormais, le petit monde dans lequel évolue le joueur ne devient qu'une succession de cartes fixes parsemées d'éléments cliquables, avec en plus la possibilité, via le bouton carré de se rendre instantanément dans un lieu voulu. Cet aspect du jeu gagne énormément en fluidité mais très vite, on se surprend à se désintéresser totalement de l'univers à cause de cette maudite interface qui est tout sauf motivante, on évite NPCs et consorts, et une routine presque mécanique s'installe en tapotant la touche carré, entre les S-Links et les quelques lieux présentant un tant soit peu d'intérêt. Le petit côté "vie de tous les jours" qui caractérisait cette partie du jeu perd du coup un peu de sa superbe.
Tartarace Tartarus
Le Tartarus est lui aussi de retour et n'échappe pas à la refonte, dans la forme et dans le fond. Atteindre le sommet du Tartarus reste le défi principal du jeu, ce qui va impliquer explorations et affrontements tout le long de l'année dans cette tour hostile aux intérieurs improbables et malsains. C'est d'ailleurs le seul endroit du jeu ou le joueur est libre de ses mouvements dans P3P. Globalement, l'architecture du Tartarus reste la même : des étages aléatoires, une séparation par blocs (qui se marque par un changement de musique et de style des décors) avec un déblocage des étages au fur et à mesure du scénario, des trésors, et les terminaux, histoire de fuir et/ou retourner au rez de chaussée pour sauvegarder sa progression. Vous vous étonnez de ne pas avoir droit à un heal complet en revenant au lobby ? Normal. Désormais, il faut débourser pour soigner, en marchandant avec une horloge (probablement suisse, vu les sommes demandées). Une des nombreuses mécaniques héritées de Persona 4.
En combat changement de règles, avec un alignement total sur celles du petit frère, le vice étant poussé jusqu'à reprendre les éléments de l'interface (comme l'icône de «One More» ou l'image de «All-Out Attack»). Première modification et pas des moindres, il est désormais possible de manipuler manuellement ses coéquipiers, quelque chose de vraiment bienvenue, surtout quand on se remémore parfois avec effroi les caprices d'une IA parfois douteuse. Ajout également des «Co-op actions», où un allié peut se joindre à vous dans une attaque combinée ou prendre un coup mortel à votre place (actions qui dépendent désormais du niveau de l'arcane Fool, représentative de la S.E.E.S, et non pas des S-Links individuels), de la commande «Guard», qui permet de se défendre et d'éviter de voir une faiblesse exploitée - le fameux «weak point», et du système de «Double Down» : auparavant exploiter le «weak point» faisait perdre un tour à la cible et le clouait au sol (le «down»), désormais il se contente de chuter («down» toujours) et se relèvera lors de son tour, à moins d'être ré-attaqué juste derrière, conséquence de quoi il sera assommé, et perdra donc son tour. Petite modification pour le «One More» (tour supplémentaire) qui maintenant se déclenche dès le moment où une seule cible voit sa faiblesse exploitée (et ça marche dans les deux sens !) ; bourrer le mou au sort de zone devient très efficace. Pas de changements en ce qui concerne la dévastatrice «All-Out Attack» qui se déclenche une fois tous les ennemis à terre, et l'inusable «Shuffle Time» en conclusion du combat, toujours soumis à quelques conditions pour apparaitre, bon moyen de gagner pécule, Personas et divers bonus. Le système de combat, assez bancal à l'origine, en ressort donc grandi.
Le hic (car il y a un hic), il tourne plutôt autour de l'approche du Tartarus, qui subit elle aussi les modifications P4tiennes. Genre avec la fatigue : variable majeure des volets PS2, elle pouvait tomber après un certain temps lors de l'exploration, transformant les membres du groupe (simples humains, après tout) en loques, obligeant un retour au lobby voir à carrément quitter le Tartarus pour y revenir en pleine forme plus tard. Une variable qui ajoutait un sel tout particulier à la gestion de l'escalade de la tour. Et bien le système de fatigue intra-Tartarus disparait, purement et simplement. Les personnages ne deviendront fatigués qu'une fois sortis, et jamais très longtemps - et cerise sûr le gâteau, il y a également eu l'ajout d'un item pour "soigner" la fatigue. A se demander pourquoi avoir gardé cette mécanique si c'est pour la plomber de la sorte. L'ascension se trouve également facilitée, car il est désormais possible après avoir quitté un étage... de reprendre la progression depuis le même étage ! Une modification qui va plutôt de paire avec le fait qu'on soit avec un jeu sur console portable, mais qui cogne allègrement dans le défi proposé. Le Tartarus devient une balade de santé presque insultante de simplicité, d'autant plus qu'il a gardé ses richesses abondantes, qui s'additionnent à un Shuffle Time déjà bien généreux. Il suffit désormais de venir ponctuellement au Tartarus pour régler ses petites affaires sans jamais être vraiment inquiété par l'horloge ou un manque de moyens, on est bien loin des périples parfois bien hardos s'étalant sur des jours et des jours, pendant lesquels on veillait avec rigueur sur nos SP, nos items, et surtout le moindre mouvement des Shadows (tant mieux, diront certains).
Des démons et des hommes
La Velvet Room occasionne aussi quelques changements en son sein. Igor et son beau nez sont toujours présents, et désormais le choix de l'assistant se pose (pour le MC féminin uniquement) entre Elizabeth, déjà assistante dans P3 et P3 FES, et Theodore, le frangin nouvellement introduit. Pas de grand changement quant à l'utilité de la Velvet Room, qui va principalement servir à la fusion des Personas ; c'est là que l'importance des S.Links prend tout son sens, car plus un lien est fort, plus le bonus lors de la fusion des Personas de l'arcane associée est important, et le rang maximum permet de débloquer la persona la plus puissante de l'arcane en question. Le compendium démoniaque ne bouge pas vraiment, certaines personas profitent d'une cure graphique, et on notera une mise à jour avec ce passage sur PSP avec l'apparition de pas moins de... 4 nouvelles personas relativement inutiles. Voir 5 si on compte la version féminine de Orpheus. Bien minable, surtout quand on connait le monde qui se bouscule au portillon. Et pourquoi il n'y a pas eu une mise à jour du niveau de P4 cette fois-ci hmmm ?
Il est toujours possible de réaliser des quêtes diverses et variées pour le compte de l'assistant(e) d'Igor, avec soustraction et rajout : bye-bye les quêtes de Fusions Skills (désormais réduits à des objets, adieu le spam d'Armaggedon), et bonjour les quêtes pour retrouver les gens perdus. Quelques péquenauds se paument dans le Tartarus, le MC est prévenu par l'assistant(e) d'Igor et dispose d'une poignée de jours pour les sauver, sous peine de quoi ils rejoindront les rangs des "Losts" lors de la prochaine pleine lune, ces gens ayant perdu leurs âmes. Bien entendu ce n'est pas obligatoire, mais les récompenses sont acceptables, et il serait bête de perdre un S-Link de cette manière.
Quand au rayon des objets/services, on retrouve toutes les intégrations déjà faites avec P3 FES (comme le magasin d'antiquités) avec en plus quelques nouveaux items ; d'ailleurs désormais les MC ont un type d'arme fixe : naginatas pour la MC, épées pour le MC. Enfin dernier point, l'insertion des Skills Cards, qui s'obtiennent des manières les plus diverses (achats, quêtes, ou level up de Personas, en plus des «Hearts Items» toujours présents), et qui feront la joie des feignants et des perfectionnistes qui s'épargneront des heures de "noise control" (une opération qui consiste à valider/dévalider une fusion jusqu'à ce que la Persona hérite des skills voulus). Elles permettent d'intégrer n'importe quelle capacité au build d'une Persona pour peu d'en avoir la carte ; un rajout intéressant à la base, qui prend une dimension presque abusée avec une nouvelle fonction prenant place à Naganaki Shrine, et qui permet de littéralement dupliquer ces fameuses cartes, moyennant juste 5 jours d'attente entre chaque opération. Ça en plus du "Register Exploit" (on sauvegarde le profil d'une Persona avant un level up, on fait le level up et on obtient carte/objet, on se débarrasse de la Persona pour la racheter ensuite... au level inférieur, et recommencer), et c'est un peu la porte ouverte à toutes les fenêtres : vous rêviez d'un set de personas customisées à l'extrême, dotées de skill -dyne, de Victory Cry et autres Growth 3, comme moi ? C'est désormais possible.
Poorsona 3 Portable
Techniquement, le jeu souffre de son passage sur PSP. Le style est toujours aussi efficace, mais perd un peu de son charme avec ce passage en 2D pour les phases hors-tartarus. Quand aux phases 3D, downgrade graphique au programme et un effet d'aliasing persistant pour accompagner le joueur ; pas vraiment méchant en soi d'autant plus qu'on s'y habitue assez vite, mais persistant tout du long. Le jeu propose l'installation et c'est quelque chose de bienvenue, car les chargements sont assez fréquents. A noter l'apparition de quelques nouveaux face sprites, histoire de donner un visage à certains NPCs que l'on croisera durant l'aventure.
Quand au rayon sonore, la qualité est bonne. C'est un vrai bonheur de retrouver l'atypique mélange des genre composé par Shoji Meguro, un festival musical funky et punchy qui sonne toujours très bon aux oreilles. Du moins si on joue avec monsieur. Madame elle profite d'une petite mise à jour musicale histoire de marquer la différence, une dizaine de nouvelles pistes apparaissent en remplacement d'autres, et ce même Meguro qui a brillé quelques années auparavant ne parait pas bien inspiré : certaines sont agréables, mais cet ensemble surfant sur la vague J-Pop (quelque peu amorcée avec Persona 4) varie du très moyen au viol auditif, et arrive difficilement à la cheville des pistes originelles (et là je pense tout de suite à Wiping All Out, thème de combat bien fade du MC féminin, surtout à côté du surpuissant Mass Destruction...). Bof donc.
Et tant qu'on est dans les déceptions, il ne faut pas oublier la disparition de "The Answer" pour cause de manque de place (again), le chapitre supplémentaire apporté par Persona 3 FES, dungeon RPG pur et dur qui apportait des révélations sur les personnages en plus d'une conclusion à l'histoire ; un peu dommage en soit, car cette partie était vraiment intéressante, d'autant plus que l'adapter pour la MC ne posait pas vraiment de problèmes. Il est "remplacé" par la Vision Quest, maigre compensation qui se débloque naturellement au cours du jeu, consistant en des ré-affrontements des boss de la storyline boostés aux hormones pour l'occasion, en plus de quelques défis, de quoi occuper pendant quelques heures supplémentaires.
Autant l'avouer, j'ai pris du plaisir à me relancer dans cette aventure une nouvelle fois, avec cependant un petit gout amer dans la bouche tout le long. P3P reste un bon jeu, pas indispensable si on a touché aux opus PS2, mais certainement pas une version "ultime", bien que Atlus avait toutes les armes pour le faire. Un portage décevant, facile et limite paresseux qui fait moyennement honneur au nom duquel il hérite. Le jeu gagne considérablement en confort et en accessibilité (voir trop ?), mais perd en expérience de jeu et en charisme. Pour ceux n'ayant pas encore touché à l'univers de Persona 3, Persona 3 FES reste la version de référence. Pour les autres, ceux ne disposant pas de PS2 et les irréductibles fans, cela reste quand même une expérience intéressante et une nouvelle occasion de revivre une nouvelle fois les péripéties de la S.E.E.S., pour peu d'être un tantinet tolérant.
Excellent tout simplement, le meilleur portage de P3 car le jeu original ou FES pour moi sont vraiment des plaies c'est incroyable, tout ça à cause du système de combat c'est un des seul défauts et pourtant il est beaucoup trop pesant pour moi sur les deux opus PS2. Le fait qu'on soit dans un tour par tour mais qu'on ne dirige que le héros est franchement une des pires idée, car l'IA des alliées est catastrophique tu peut compter que sur toi meme, je comprend pas l'intérêt de mettre une équipe de personnage dans un tour par tour mais d'un joué que un. Puis aussi second truc chiant sur PS2 la santeé, tu fais 5 combats tu es fatiguée c'est surmontable mais à cause de ça je pense que c'est quasi impossible des faire toutes les socials link en partant de zéro.
Bref donc la version PSP améliore tout ça parfaitement même si désormais on se promène plus dans des zones en 3D mais on a une petites interface Visual Novel qui change rien au jeu franchement, de nouvelles musiques pour l'héroïne, pas mal de nouveau social links vraiment cool, par contre toujours des personnages principaux pas ouf ( à part Mitsuru et Aegis ) mais les perso masculins sont plus approfondis désormais avec les Socials Links de l'héroïne. Donc en grand la meilleur version même si il n'y a pas The Awnser de FES j'ai aucune idée si c'est une grosse perte mais pour ma part c'est la version la plus aboutis même si rien non plus de transcendant ça reste la meilleur version ( pour ma part ).
Excellent tout simplement, le meilleur portage de P3 car le jeu original ou FES pour moi sont vraiment des plaies c'est incroyable, tout ça à cause du système de combat c'est un des seul défauts et pourtant il est beaucoup trop pesant pour moi sur les deux opus PS2. Le fait qu'on soit dans un tour par tour mais qu'on ne dirige que le héros est franchement une des pires idée, car l'IA des alliées est catastrophique tu peut compter que sur toi meme, je comprend pas l'intérêt de mettre une équipe de personnage dans un tour par tour mais d'un joué que un. Puis aussi second truc chiant sur PS2 la santeé, tu fais 5 combats tu es fatiguée c'est surmontable mais à cause de ça je pense que c'est quasi impossible des faire toutes les socials link en partant de zéro.
Bref donc la version PSP améliore tout ça parfaitement même si désormais on se promène plus dans des zones en 3D mais on a une petites interface Visual Novel qui change rien au jeu franchement, de nouvelles musiques pour l'héroïne, pas mal de nouveau social links vraiment cool, par contre toujours des personnages principaux pas ouf ( à part Mitsuru et Aegis ) mais les perso masculins sont plus approfondis désormais avec les Socials Links de l'héroïne. Donc en grand la meilleur version même si il n'y a pas The Awnser de FES j'ai aucune idée si c'est une grosse perte mais pour ma part c'est la version la plus aboutis même si rien non plus de transcendant ça reste la meilleur version ( pour ma part ).
Persona 3 - je juge le jeu en lui-même et pas particulièrement le portage - , c'est toute l'âme d'une série animée bien japonaise dans un format RPG.
Le concept est brillant - associer D-RPG et Visual Novel dans l'univers d'un lycée japonais - , et on sent très vite que le côté expérimental des précédents épisodes est arrivé à maturité dans ce 3e opus. Les codes sont donc ceux de l'animation japonaise, on reste en terrain tout à fait connu. On regrettera peut-être que le côté psychédélique ne soit pas poussé plus loin, mais il y d'autres épisodes pour ça. La réalisation est parfaitement aboutie, et la mise en scène impressionnante. Les personnages sont (presque) tous bien développés et attachants, les doublages réussis, et l'OST hors-norme et pourtant superbe.
Côté gameplay, on reste sur du simple mais efficace. Mention spéciale à la navigation de cette version PSP qui demeure intuitive malgré les faiblesses techniques de la machine, et qui renforce le côté Visual novel : un choix qui n'est pas forcément déplaisant si le genre ne rebute pas en lui-même. La partie donjon est bien pensée et pas trop répétitive avec le jeu des faiblesses. Il y a surtout pas mal d'idées distillées à droite à gauche, qu'on ne pourra pas lister et qu'on ne remarque pas toujours au premier abord d'ailleurs, qui ajoute une grande diversité au soft.
Le problème vient pour moi du fait que, pour donner de l'espace à toutes ces bonnes idées, on a considérablement allongé le jeu. Trop sans doute. Certes on en a pour son argent en termes de durée de vie, mais à trop tirer sur la corde, on épuise le filon et ce qui était novateur devient répétitif. Beaucoup de ces bonnes idées restent optionnelles et ne sont pas nécessaires à l'avancement du jeu - je n'ai pas eu à fusionner un seul persona pour le terminer en mode hard par exemple - , mais celui-ci reposant sur un système de calendrier à suivre, pas de raccourci possible. Ce qui n'est pas un petit défaut, quand l'étirement du soft vient éroder le rythme que le scénario, pourtant très bon sur la fin, tente péniblement de donner sur les trois premiers quarts du soft.
Un excellent soft donc, brillant et abouti, plein de bonnes idées... mais répétitif et un peu longuet en fin de compte. Dommage que, malgré toute la bonne volonté du soft, on finit par s'ennuyer sur la longueur.
+ Le concept, parfaitement développé, entre Visual novel et D-RPG + La réalisation et la mise en scène + Le scénario et l'univers japanime + L'OST autant que les doublages, japonais comme américains + Ultra-complet et proposant une belle diversité
- Durée de vie excessive et manque de rythme - Aigis et Koro-chan... un robot et un chien, c'est un peu too-much x) Persona 3 - je juge le jeu en lui-même et pas particulièrement le portage - , c'est toute l'âme d'une série animée bien japonaise dans un format RPG.
Le concept est brillant - associer D-RPG et Visual Novel dans l'univers d'un lycée japonais - , et on sent très vite que le côté expérimental des précédents épisodes est arrivé à maturité dans ce 3e opus. Les codes sont donc ceux de l'animation japonaise, on reste en terrain tout à fait connu. On regrettera peut-être que le côté psychédélique ne soit pas poussé plus loin, mais il y d'autres épisodes pour ça. La réalisation est parfaitement aboutie, et la mise en scène impressionnante. Les personnages sont (presque) tous bien développés et attachants, les doublages réussis, et l'OST hors-norme et pourtant superbe.
Côté gameplay, on reste sur du simple mais efficace. Mention spéciale à la navigation de cette version PSP qui demeure intuitive malgré les faiblesses techniques de la machine, et qui renforce le côté Visual novel : un choix qui n'est pas forcément déplaisant si le genre ne rebute pas en lui-même. La partie donjon est bien pensée et pas trop répétitive avec le jeu des faiblesses. Il y a surtout pas mal d'idées distillées à droite à gauche, qu'on ne pourra pas lister et qu'on ne remarque pas toujours au premier abord d'ailleurs, qui ajoute une grande diversité au soft.
Le problème vient pour moi du fait que, pour donner de l'espace à toutes ces bonnes idées, on a considérablement allongé le jeu. Trop sans doute. Certes on en a pour son argent en termes de durée de vie, mais à trop tirer sur la corde, on épuise le filon et ce qui était novateur devient répétitif. Beaucoup de ces bonnes idées restent optionnelles et ne sont pas nécessaires à l'avancement du jeu - je n'ai pas eu à fusionner un seul persona pour le terminer en mode hard par exemple - , mais celui-ci reposant sur un système de calendrier à suivre, pas de raccourci possible. Ce qui n'est pas un petit défaut, quand l'étirement du soft vient éroder le rythme que le scénario, pourtant très bon sur la fin, tente péniblement de donner sur les trois premiers quarts du soft.
Un excellent soft donc, brillant et abouti, plein de bonnes idées... mais répétitif et un peu longuet en fin de compte. Dommage que, malgré toute la bonne volonté du soft, on finit par s'ennuyer sur la longueur.
+ Le concept, parfaitement développé, entre Visual novel et D-RPG + La réalisation et la mise en scène + Le scénario et l'univers japanime + L'OST autant que les doublages, japonais comme américains + Ultra-complet et proposant une belle diversité
- Durée de vie excessive et manque de rythme - Aigis et Koro-chan... un robot et un chien, c'est un peu too-much x)
++ Possibilité d'incarner une fille! ++ Contrôle des alliés (Plus d'erreurs à la con! Enfin moins!) + OST, les nouvelles pistes pour le personnage féminin sont vraiment agréables + Le côté Point and click rend le jeu plus rapide (plus d'aller-retour entre les différents lieux) + Nouveaux Social Links (Akihiko <3)
- Les changements restent au final mineurs - La nouvelle intro du jeu - Partiellement doublé (Social Link)
L'édition EU propose le jeu, un poster A3 qui reprend l'artwork présent sur la fiche du jeu SC (la miniature à gauche!), des cartes et un livret d'illustrations. Ce que je regrette c'est que cette édition ne propose pas la jaquette P3P, puisqu'elle est basée sur P3. Je chipote, mais j'y tiens!
++ Possibilité d'incarner une fille! ++ Contrôle des alliés (Plus d'erreurs à la con! Enfin moins!) + OST, les nouvelles pistes pour le personnage féminin sont vraiment agréables + Le côté Point and click rend le jeu plus rapide (plus d'aller-retour entre les différents lieux) + Nouveaux Social Links (Akihiko <3)
- Les changements restent au final mineurs - La nouvelle intro du jeu - Partiellement doublé (Social Link)
L'édition EU propose le jeu, un poster A3 qui reprend l'artwork présent sur la fiche du jeu SC (la miniature à gauche!), des cartes et un livret d'illustrations. Ce que je regrette c'est que cette édition ne propose pas la jaquette P3P, puisqu'elle est basée sur P3. Je chipote, mais j'y tiens!
Après avoir terminé Persona 3 FES, je me suis attelé à reprendre Persona 3 Portable. J'avais commencé par celui-là et n'avait pas accroché malgré la possibilité d'incarner une fille, ce qui en tant que membre de sexe féminin, jouait beaucoup mieux en ma faveur. Persona 3 Portable n'est pas un mauvais jeu : il est cependant beaucoup plus accès pour ceux qui ont déjà fait Persona 3 et qui veulent passer du bon temps : le gameplay est d'ailleurs bien pensé pour la PSP, les déplacements sont relativement bien plus intuitifs durant les scènes de jour. Pour le reste, la pauvreté de l'animation et l'absence de cuts-scènes est vraiment préjudiciable en matière d'immersion. Même en ayant l'habitude des VN, Atlus aurait pu faire l'effort de ponctuer les évènements de CG, histoire de garantir une certaine immersion face aux moments clés de l'aventure. Enfin bon, le jeu reste un bon divertissement et c'est sympa de pouvoir tenter d'autres relations avec les personnages masculins.
Après avoir terminé Persona 3 FES, je me suis attelé à reprendre Persona 3 Portable. J'avais commencé par celui-là et n'avait pas accroché malgré la possibilité d'incarner une fille, ce qui en tant que membre de sexe féminin, jouait beaucoup mieux en ma faveur. Persona 3 Portable n'est pas un mauvais jeu : il est cependant beaucoup plus accès pour ceux qui ont déjà fait Persona 3 et qui veulent passer du bon temps : le gameplay est d'ailleurs bien pensé pour la PSP, les déplacements sont relativement bien plus intuitifs durant les scènes de jour. Pour le reste, la pauvreté de l'animation et l'absence de cuts-scènes est vraiment préjudiciable en matière d'immersion. Même en ayant l'habitude des VN, Atlus aurait pu faire l'effort de ponctuer les évènements de CG, histoire de garantir une certaine immersion face aux moments clés de l'aventure. Enfin bon, le jeu reste un bon divertissement et c'est sympa de pouvoir tenter d'autres relations avec les personnages masculins.
J'ai fini Persona 3 Portable ! Pour le moins que l'on puisse dire c'est qu'il a une très bonne durée de vie (95h pour moi) Qu'il est doté d'un scénario plutôt sympa, et surtout qu'il est doté d'un charadesign au petits oignons !
J'ai beaucoup aimé suivre les séances de drague successives de mon perso sur les perso féminin ! Chaque fin de SLINK étant une petite victoire en soit
Ce qui fait la force de ce jeu, c'est la cohérence de son univers, son gameplay ultra huilé, sa bande son, le charadesign, tout est bon !
Je ne regrette pas le temps que j'y ai passé dessus !
Warning pour les bons pères de famille et les adultes aigris de tout poil ! Ne pas hésiter a forcer un peu au début, car l'univers du collège n'est pas forcément une entame idéale pour une personne en pleine vie active.
Mon premier Persona Mon premier Shin Megami Tensei
C'est bon ! Maintenant j'aime cet univers !
Et bien voilà !
J'ai fini Persona 3 Portable ! Pour le moins que l'on puisse dire c'est qu'il a une très bonne durée de vie (95h pour moi) Qu'il est doté d'un scénario plutôt sympa, et surtout qu'il est doté d'un charadesign au petits oignons !
J'ai beaucoup aimé suivre les séances de drague successives de mon perso sur les perso féminin ! Chaque fin de SLINK étant une petite victoire en soit :)
Ce qui fait la force de ce jeu, c'est la cohérence de son univers, son gameplay ultra huilé, sa bande son, le charadesign, tout est bon ! :boss:
Je ne regrette pas le temps que j'y ai passé dessus !
Warning pour les bons pères de famille et les adultes aigris de tout poil ! Ne pas hésiter a forcer un peu au début, car l'univers du collège n'est pas forcément une entame idéale pour une personne en pleine vie active.
Mon premier Persona Mon premier Shin Megami Tensei
Je connaissais la série sans jamais avoir jouer a un seul de ses épisodes alors j'ai profiter de l'occasion de la sortie du portage de la version PS2 sur PSP pour sauter le pas et dire que je ne le regrette pas est un euphémisme. J'ai trouver un grand jeu, palpitant, avec un excellent casting, un très bon scénario (certes ça traine en longueur par certains moments mais ça ne m'a pas gêné) et surtout un concept de RPG qui mixe le dungeon rpg avec du visual novel vraiment génial. Je me suis vraiment accroché à ma petite bande de lycéen et la quitter à la fin du jeu fut bien dur...J'ai adoré gérer les relation qu'entretenait mon personnage avec son entourage . Quand au gameplay le principe de se battre via des invocations de Démons est lui aussi génial, j'ai vraiment été pris dans l'aspect collection de ces derniers en essayant de tous les avoir (ce fut peine perdue tellement ils sont nombreux) et j'avais même mes petits chouchou ^^
Également grandement apprécier le contraste du jeu entre ambiance sombre, démoniaque (tout le côté DRPG) et l'ambiance plus relaxe, cool (les phases de visual novel) même si c'est plus complexe que ça.
Petit mot sur l'OST qui est elle aussi excellente, je ne suis pas un grand amateur de JPOP mais ça s'adapte bien au contexte et aux diverses situation finalement.
Une vraie réussite sur tout les plans et un gros coup de cœur que ce Persona 3 Portable (oui je sais que les scénes animés ont été coupés et les déplacement supprimé par rapport à la version PS2 mais je préfère avoir le jeu entièrement doublé et en .VO. en plus, faute de place sur l'UMD je m'en contente amplement).
Je connaissais la série sans jamais avoir jouer a un seul de ses épisodes alors j'ai profiter de l'occasion de la sortie du portage de la version PS2 sur PSP pour sauter le pas et dire que je ne le regrette pas est un euphémisme. J'ai trouver un grand jeu, palpitant, avec un excellent casting, un très bon scénario (certes ça traine en longueur par certains moments mais ça ne m'a pas gêné) et surtout un concept de RPG qui mixe le dungeon rpg avec du visual novel vraiment génial. Je me suis vraiment accroché à ma petite bande de lycéen et la quitter à la fin du jeu fut bien dur...J'ai adoré gérer les relation qu'entretenait mon personnage avec son entourage . Quand au gameplay le principe de se battre via des invocations de Démons est lui aussi génial, j'ai vraiment été pris dans l'aspect collection de ces derniers en essayant de tous les avoir (ce fut peine perdue tellement ils sont nombreux) et j'avais même mes petits chouchou ^^
Également grandement apprécier le contraste du jeu entre ambiance sombre, démoniaque (tout le côté DRPG) et l'ambiance plus relaxe, cool (les phases de visual novel) même si c'est plus complexe que ça.
Petit mot sur l'OST qui est elle aussi excellente, je ne suis pas un grand amateur de JPOP mais ça s'adapte bien au contexte et aux diverses situation finalement.
Une vraie réussite sur tout les plans et un gros coup de cœur que ce Persona 3 Portable (oui je sais que les scénes animés ont été coupés et les déplacement supprimé par rapport à la version PS2 mais je préfère avoir le jeu entièrement doublé et en .VO. en plus, faute de place sur l'UMD je m'en contente amplement).
Ayant adoré l'épisode sur ps2, j'attendais beaucoup ce jeu et au final je dois dire que je suis u n petit peu mitigée. Si vous avez déjà joué à Persona 3 FES, la seule raison qui devrait vous pousser à acheter ce jeu est évidement l'ajout de l'héroïne, car il permet effectivement de redécouvrir le jeu sous un nouvel angle. Autrement, tous les changements ne sont pas forcément des améliorations.
Il y a également de nombreux changement apportés qui facilitent assez le jeu. Par exemple on ne plus tomber de fatigue dans le donjon. On peut aussi désormais contrôler tout les personnages pendant les combats, ce qui est certes beaucoup plus sympa mais rend le jeu beaucoup plus simple. Il y a également l'ajout de la fonction pour se déplacer d'un point à un autre très rapidement en appuyant sur carré, donc là encore bonne initiative. Après le plus grand changement est sans doute le système de navigation point & click, car nous voyons désormais les personnages plus que par le biais des artworks (renforçant presque l'impression du dating sim). Les déplacements normaux ne se font plus que dans les donjons. Les journées sont donc beaucoup plus rapides, mais ne plus voir les animations à l'écran est assez regrettable, car quelques scènes comiques sont beaucoup moins drôle. J'ajouterais à cela la suppression des cut-scène animées, qui certes n'étaient pas nombreuses dans l'épisode initial mais que j'appréciais assez. De plus, un gros point noir du jeu est aussi la suppression de l'épisode The Answer, qui était un des intérêts principaux de Persona FES.
C'est tout de même un très bon jeu, mais je recommanderai plutôt son ancienne version (plutôt dommage pour un remake donc).
Ayant adoré l'épisode sur ps2, j'attendais beaucoup ce jeu et au final je dois dire que je suis u n petit peu mitigée. Si vous avez déjà joué à Persona 3 FES, la seule raison qui devrait vous pousser à acheter ce jeu est évidement l'ajout de l'héroïne, car il permet effectivement de redécouvrir le jeu sous un nouvel angle. Autrement, tous les changements ne sont pas forcément des améliorations.
Il y a également de nombreux changement apportés qui facilitent assez le jeu. Par exemple on ne plus tomber de fatigue dans le donjon. On peut aussi désormais contrôler tout les personnages pendant les combats, ce qui est certes beaucoup plus sympa mais rend le jeu beaucoup plus simple. Il y a également l'ajout de la fonction pour se déplacer d'un point à un autre très rapidement en appuyant sur carré, donc là encore bonne initiative. Après le plus grand changement est sans doute le système de navigation point & click, car nous voyons désormais les personnages plus que par le biais des artworks (renforçant presque l'impression du dating sim). Les déplacements normaux ne se font plus que dans les donjons. Les journées sont donc beaucoup plus rapides, mais ne plus voir les animations à l'écran est assez regrettable, car quelques scènes comiques sont beaucoup moins drôle. J'ajouterais à cela la suppression des cut-scène animées, qui certes n'étaient pas nombreuses dans l'épisode initial mais que j'appréciais assez. De plus, un gros point noir du jeu est aussi la suppression de l'épisode The Answer, qui était un des intérêts principaux de Persona FES.
C'est tout de même un très bon jeu, mais je recommanderai plutôt son ancienne version (plutôt dommage pour un remake donc).
Ça y est!!! Fini!!! Enfin!!! Et sans faire exprès je le fini le 31/01, comme dans le jeu J'avais commencé Persona 3 sur PS2 et après une cinquantaine d'heures il est resté en attente, à jamais L'occasion de l'avoir sur PSP était une aubaine à ne pas manquer! De quoi rentabiliser les trajets en train Que dire si ce n'est que ce jeu est vraiment atypique ce qui peut en dérouter plus d'un, mais il mérite vraiment d'être fait! Le seul reproche que j'aurai à faire sur cette version PSP est l'absence de vidéos... je l'ai pris en dématérialisé donc la place n'était pas vraiment un problème... dommage
Ça y est!!! Fini!!! Enfin!!! Et sans faire exprès je le fini le 31/01, comme dans le jeu :D J'avais commencé Persona 3 sur PS2 et après une cinquantaine d'heures il est resté en attente, à jamais :( L'occasion de l'avoir sur PSP était une aubaine à ne pas manquer! De quoi rentabiliser les trajets en train :) Que dire si ce n'est que ce jeu est vraiment atypique ce qui peut en dérouter plus d'un, mais il mérite vraiment d'être fait! Le seul reproche que j'aurai à faire sur cette version PSP est l'absence de vidéos... je l'ai pris en dématérialisé donc la place n'était pas vraiment un problème... dommage
Le principe vraiment fun est le mix entre le visual Novel pour les phases de jour et le bon vieux D-RPG des familles où on gravit tous les étages 1 par 1 d'une immense tour la nuit. D'ailleurs les interactions du jour sont importantes car permettent de booster vos personas (aka vos pokémons ^^) que vous utilisez par la suite en combat!
Sinon y a un scénario très dilué dans le temps, qui avance beaucoup plus vite sur la fin d'aventure.
On joue vraiment pour les combats, la gestion des personas (qui peuvent être fusionées entre elles par exemple) et l'aspect VN, pour l'histoire du jeu, elle n'a à mon sens rien d'extraordinaire. Ca sert de pretexte au jeu, tout comme dans un Etrian Odyssey.
Je n'ai pas testé la version PS2, donc je ne compare pas les deux versions.
Sinon, il y a des personas cultes comme Mara, Best Persona Ever!
Très bon et long D-RPG
Le principe vraiment fun est le mix entre le visual Novel pour les phases de jour et le bon vieux D-RPG des familles où on gravit tous les étages 1 par 1 d'une immense tour la nuit. D'ailleurs les interactions du jour sont importantes car permettent de booster vos personas (aka vos pokémons ^^) que vous utilisez par la suite en combat!
Sinon y a un scénario très dilué dans le temps, qui avance beaucoup plus vite sur la fin d'aventure.
On joue vraiment pour les combats, la gestion des personas (qui peuvent être fusionées entre elles par exemple) et l'aspect VN, pour l'histoire du jeu, elle n'a à mon sens rien d'extraordinaire. Ca sert de pretexte au jeu, tout comme dans un Etrian Odyssey.
Je n'ai pas testé la version PS2, donc je ne compare pas les deux versions.
Sinon, il y a des personas cultes comme Mara, Best Persona Ever!
S'il n'était pas question de cet aspect visual novel qui gâche quelque peu l'immersion P3P serait à mes yeux la version ultime de ce RPG hors du commun. En plus du contenu d'origine, déjà excellent, on retrouve avec plaisir les ajouts de FES, à l’exception de The answer (mais était-il réellement indispensable?) et un nombre non-négligeable de nouveautés qui améliorent grandement le gameplay et prolongent l'aventure encore davantage. Une réussite incontestable,qui manquera sans doute d’intérêt pour les joueurs l'ayant terminé sur console, mais qui s'imposera comme l'un des tous meilleurs jeu de rôle sur PSP pour les autres.
S'il n'était pas question de cet aspect visual novel qui gâche quelque peu l'immersion P3P serait à mes yeux la version ultime de ce RPG hors du commun. En plus du contenu d'origine, déjà excellent, on retrouve avec plaisir les ajouts de FES, à l’exception de The answer (mais était-il réellement indispensable?) et un nombre non-négligeable de nouveautés qui améliorent grandement le gameplay et prolongent l'aventure encore davantage. Une réussite incontestable,qui manquera sans doute d’intérêt pour les joueurs l'ayant terminé sur console, mais qui s'imposera comme l'un des tous meilleurs jeu de rôle sur PSP pour les autres.