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Ōkami
> Fiche complète du jeu
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Editeur : Capcom
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Ōkami
> Articles > Review
Ōkami![]() ![]() ![]() ![]() ![]() "Eh les mecs, j’ai pensé à un concept révolutionnaire. On va faire un jeu original avec un loup qui sera en fait la réincarnation de la déesse du soleil, qui saura peindre, utiliser une épée, sauver le monde et le plus fort, c’est qu’on fera un style graphique unique qui ressemblera à une estampe." Dis comme ça, on se demande vraiment qu’elle était la marque du saké utilisé pendant les phases de brain storming d’Okami par les développeurs du studio Clover. Et pourtant ce grand jeu à tout pour séduire, preuve s’il en est que l’on est pas obligé de sortir une énième suite extra classique pour faire un bon produit. Voyons ça plus en détails.
![]() SynopsisCent ans auparavant, le grand guerrier Izanagi décima le méchant dragon Orochi qui s’apprêtait à dévorer son amour grâce à l’aide inespérée d’un magnifique loup au pelage blanc du nom de Shiranui. L’honorable animal ne s’en tira malheureusement pas, alors le village entier honora sa mémoire en construisant une statue. Au commencement de notre aventure, la déesse du soleil Amaterasu Omikami alarmée par de graves perturbations dans le monde s’incarne dans la statue de pierre et prend la forme d’une louve pour restaurer équilibre et paix autour d’elle.
Loin de partir seule dans cette longue quête. Elle sera accompagnée par Issun, un jeune artiste à la taille minuscule et au potentiel comique fort compensant sans problème le mutisme de notre héroïne, ainsi que par la bénédiction des kamis. Ces 13 divinités à retrouver vont lui conférer autant de techniques de peintures nécessaires à la bonne avancée de l’aventure. Enfin notre déesse saura vite s’armer d’instruments divins : miroirs, rosaires (fonctionnant comme des fouets) et épées.
DéveloppementOkami fait très fort en intégrant une bonne quantité de culture japonaise. Aussi, aucun personnage n’est réellement choisi au hasard et le fan aura l’occasion de découvrir que presque chaque nom utilisé dans le jeu renvoie à une légende ou à une divinité japonaise. Pour ne reprendre que le début de l’aventure, Susano le descendant d’Isanagi est le frère d’Amaterasu dans la mythologie japonaise. Banni du monde des dieux, il se marie avec une jeune fille qu’il sauva des griffes d’un dragon nommé Yamata no Orochi, étrange coïncidence. Les références mythologiques sont d’autant renforcées par l’omniprésence de la culture shintô. Trois des quatre principaux préceptes de la plus vieille religion du japon servent ainsi de piliers au jeu. L’importance de la famille et le respect des différents festivals sont des thèmes récurrents mais le plus flagrant reste la place toute particulière laissée à la nature. Le shintoïsme prône la vénération des choses naturelles car même leurs plus petits et insignifiants représentants sont proches des divinités. Aussi on va passer le plus clair de notre temps à rétablir l’équilibre naturel en redonnant vie aux plantes, à manger aux animaux et de la lumière aux lieux. Bien entendu, la majorité des divinités apparaissant dans le jeu, à commencer par Amaterasu, appartiennent à ce culte.
Plongeant amèrement dans la mythologie japonaise, Okami lui emprunte une bonne part de sa tragédie pour son scénario. Aussi, ne vous laissez pas avoir par le graphisme coloré, notre déesse a vraiment fort à faire dans ce monde recouvert de ténèbres. Nombreux sont les personnages principaux à mourir des mains des trois démons que vous aurez à combattre. Le jeu s’adresse à tout le monde, le fan de culture japonaise sera séduit par les références, l’adulte par le scénario sombre et passionnant alors que l’enfant qui sommeil en vous appréciera le dernier point : l’humour omniprésent. A la manière de Midona dans le dernier Zelda, Issun vous fera souvent sourire par ses monologues égoïstes et très portées sur la critique de notre héroïne, incapable de répondre mais assez prompte à mordre. Autre élément comique fort, les personnages secondaires sont généralement bouffons au possible, multipliant situations incohérentes (le moineau qui veut s’immoler par le feu pour faire revenir l’eau de la fontaine) et design improbables (le papi bambou).
D’un point de vu ambiance et scénario, Okami se veut à la fois complet et diversifié de manière à convaincre tout le monde. GameplayUn peu à la Zelda, chaque nouvelle zone se découpe en deux phases. La première introduit le donjon, nous obligeant à trouver différentes personnes disparues, objets et autres pouvoirs nécessaires à l’ouverture et à l’avancée dans l’antre du boss. Et la seconde, bien entendu, c’est le donjon lui-même se terminant donc par le grand méchant. A l’inverse d’un Zelda-like, la première partie est ici dix fois plus longue que la deuxième, c’est d’ailleurs ce qui permet à l’ambiance et au scénario de se développer autant. D’une intensité rare et souvent très originaux avec des passages mémorables comme la course contre le parchemin ou la préparation du repas des démons, les donjons ont quand même un gros défaut, ils sont trop courts.
Mais venons-en à la peinture, probablement l’ajout d’Okami lui conférant un maximum de fraicheur. En pressant la touche R1, le jeu se met dans une sorte de pause et un pinceau apparait à l’écran. En traçant des traits pour relier différents éléments ensemble ou tout simplement en dessinant des formes prédéfinies, vous pourrez faire réagir votre environnement à vos moindres désirs. Ca va de la reconstruction d’un élément de décor détruit à l’utilisation d’une source de feu pour débloquer un passage. Tout ce qui dans un autre jeu aurait demandé des passages exaspérant dans son inventaire pour sélectionner le bon objet demande simplement ici de connaître quelques formes simples. Grâce à ce procédé, les phases de plates-formes et les énigmes sont aussi nombreuses et diversifiées que traitées avec grand soin, sans lourdeur. Les combats se déclenchent en passant sur les ennemis. Une sorte d’arène se forme et la bataille commence sans coupure avec l’exploration. Trois armes s’offrent à vous, les rosaires sont très rapides et bénéficient d’une bonne portée, les épées sont très lentes mais totalement dévastatrices et enfin les miroirs représentent un peu le juste milieu. A vrai dire, on finira tous par utiliser exclusivement les trop efficaces épées. Un peu plus d'égalisation n'aurait pas fait de mal. Outre les coups basiques, vous aurez là encore la possibilité d'utiliser le pinceau. Pour comparer à nouveau le jeu à un Zelda-like, ici presque tous les ennemis ont un ou deux points faibles particuliers mais nul besoin d'utiliser un objet spécifique, c'est tout simplement le bon dessin qui vous sauvera. Coup d'épée de lumière sur un adversaire figé, utilisation du pouvoir du vent sur ceux qui se protègent par une ombrelle ou encore exploitation du temps orageux contre un sabreur qui aime un peu trop lever son arme. Tout est bon pour mettre la cible en difficulté avant de la rouer de coups de façon plus conventionnelle.
S'il fallait trouver un ou deux défauts au gameplay pour contenter tout le monde au milieu de toute cette qualité. On pourrait éventuellement citer un peu de redondance. Les combats dans une même zone ont la fâcheuse tendance à se ressembler or il est plus que conseillé d’en enchaîner un minimum pour maintenir les finances de la louve. Dans le même ordre d’idée, on pourra trouver un peu ennuyant le fait d'avoir à re-combattre plusieurs fois les mêmes boss. Aussi ce n’est pas moins de trois batailles que l'on livrera contre un Orochi étrangement semblable et de plus en plus faible face à notre équipement. D’ailleurs, Clover n’aurait pas perdu grand-chose à nous proposer une difficulté un poil plus relevée, les jeux faciles sont à la mode et c’est dommage. Vous avez aimé Zelda mais vous trouvez que la série peine un peu à se renouveler. Vous aimez l'originalité ajoutée à une maîtrise parfaite du jeux d'aventure ? Okami est fait pour vous. TechniqueSi vous n’aviez jamais entendu parler du graphisme d’Okami alors c’est erreur réparé grâce à ce test. Comme vous l’aurez probablement remarqué avec les screenshots, le parti pris des développeurs est de faire ressembler leur jeu à une estampe. Pour ceux qui n’auraient aucune idée de ce à quoi peut bien ressembler ce genre de tableaux et qui n’ont jamais visité le jardin de Monet, je vous mets une image ci-dessous.
Alors forcément, le jeu n’est pas dans la droite lignée de ce qui se fait actuellement où l’amélioration graphique constante passe par le full 3D HD bourré d’effets à faire suer le chipset interne des consoles. Et pourtant, le rendu est aussi unique que magnifique. C’est certainement, à sa façon, le plus beau jeu de l’année. Le plus bluffant restant la densité du décor pourtant très détaillé rendant le tout presque naturel. Et puis le travail sur les ombres est un vrai sans fautes, on a vraiment l’impression que de subtiles coups d’encre noire ont été déposés sur une toile.
Enfin les combats et les utilisations récurrentes du pinceau sont de bonnes occasions de vous régaler à nouveau les yeux. L’animation est superbe, chaque coup est réalisé à la perfection et on s’étonne même de finir par trouver naturelle la façon dont la louve se bat à l’épée. Chaque attaque est suivie d’une débauche d’effets lumineux suivant la trajectoire du coup, dynamisant l’action à l’écran et subliment les scènes. De même, les différentes techniques de pinceaux possèdent toutes une petite animation. Que ce soit un déluge de feu, une épaisse fumée bleue ou une liane vous agrippant pour vous projeter vers les cieux... tout est incroyablement détaillé. Rien que poser le pinceau sur la terre vous fait pousser une végétation abondante alors que la louve elle-même se déplace en étant suivie d’une ribambelle de fleurs.
Enfin, l’OST est une pure merveille et je pèse mes mots. Composée de pas moins de cinq CD, les pistes se suivent et ne se ressemblent pas. Là encore, on sent le ton unique que les développeurs ont voulu donner à l’œuvre. Le style musical purement asiatique rappelle ce que nous autres européens avons surtout pu découvrir dans les films de samouraï. Si à la première écoute, on aura l’impression d’entendre principalement des instruments à vent, il en est tout autrement. La majorité de l’orchestration au synthé reproduit les sons de petits instruments japonais à corde, traditionnellement joués par des femmes avec leurs bijoux. Par exemple, on est enclin à penser que l’opening du jeu est joué à la flute alors qu’il s’agit bien d’un instrument à corde. Enfin le compositeur est un vrai maître et mélange sans mal les ambiances tristes aux scènes les plus joyeuses. Pour s’en donner une bonne idée, je ne saurais que trop recommander deux des musiques du CD3, "giving kushinada a ride" pour le côté dramatique et "Seiankyou commoners' quarter " pour son contraire. Pour ne bien sur citer que deux pistes parmi toutes celles qui s’écoutent en boucle sans problèmes.
(Merci à Seph pour ces détails musicaux) ![]() Okami est avant tout une aventure unique issue d’un studio brillant, un des rares encore capables de sortir un jeu novateur. Si le gameplay aurait tendance à en faire le Zelda de la Play, les très nombreux ajouts empêchent totalement l’utilisation du mot plagiat, l’élève dépassant peut être même le maître. Que ce soit par l’utilisation du pinceau remplaçant le trop lourd inventaire de la majorité des A-RPG, l’ambiance fabuleuse d’une histoire se déroulant dans un monde riche empreint de référence mythologique ou les graphismes magnifiques au style si particulier. Encore un "must have" pour la console de Sony avec ce jeu passionnant qui vous collera littéralement à la manette pour une quarantaine d’heures de pur bonheur.
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Ōkami > Media > Vidéos > PlayStation 2 > 3 disponibles :
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![]() le 05/01/2014 ![]() ![]() ![]() |
Personnellement, je trouve ce jeu quasiment parfait. Je ne vois pas grand chose à lui reprocher, à part peut-être une relative facilité à parcourir le jeu (on gagne beaucoup d'argent qui ne nous sert pas à grand chose à part acheter des objets de soin à la fin, donc...). Artistiquement, c'est un chef d'oeuvre. Les graphismes sont magnfiques, et la bande-son est juste totalement sublime. Je n'avais rarement ressenti autant d'émotion grâce à une OST depuis Final Fantasy VI, je crois... La quête est de plus bien longue pour un jeu que l'on fait d'une traite (environ quarante-cinq heures), comparé à de nombreux RPG classiques de 40 heures dont la moitié de combats pour leveller. L'aspect RPG pour augmenter nos compétences est le bienvenue, et l'exploration est vraiment très intéressante. On visite des lieux variés, et l'histoire, qui s'inspire de nombreux mythes et légendes asiatiques, est vraiment très agréable à suivre. C'est pour moi le mélange parfait entre un Zelda et un Action-RPG plus commun, car le jeu se montre inventif sur tous les plans, même en terme de gameplay. C'est tout simplement une pure merveil, un véritable chef d'oeuvre qui mérite sa place au panthéon des jeux vidéo ! Personnellement, je trouve ce jeu quasiment parfait. Je ne vois pas grand chose à lui reprocher, à part peut-être une relative facilité à parcourir le jeu (on gagne beaucoup d'argent qui ne nous sert pas à grand chose à part acheter des objets de soin à la fin, donc...). Artistiquement, c'est un chef d'oeuvre. Les graphismes sont magnfiques, et la bande-son est juste totalement sublime. Je n'avais rarement ressenti autant d'émotion grâce à une OST depuis Final Fantasy VI, je crois... La quête est de plus bien longue pour un jeu que l'on fait d'une traite (environ quarante-cinq heures), comparé à de nombreux RPG classiques de 40 heures dont la moitié de combats pour leveller. L'aspect RPG pour augmenter nos compétences est le bienvenue, et l'exploration est vraiment très intéressante. On visite des lieux variés, et l'histoire, qui s'inspire de nombreux mythes et légendes asiatiques, est vraiment très agréable à suivre. C'est pour moi le mélange parfait entre un Zelda et un Action-RPG plus commun, car le jeu se montre inventif sur tous les plans, même en terme de gameplay. C'est tout simplement une pure merveil, un véritable chef d'oeuvre qui mérite sa place au panthéon des jeux vidéo ! |
![]() le 28/03/2012 ![]() ![]() ![]() |
Ce RPG est un joyau et un hymne aux voyages. Dès le début, le ton est donné. Vous incarnez la déesse du soleil « Amaterasu » réincarnée dans un loup. Accompagnée par un artiste lilliputien des plus atypique, vous vous lancez dans une quête pour retrouver vos pouvoirs de jadis et ainsi défaire le mal. Votre périple vous permettra de découvrir un Japon imprégné de mythologie dans lequel vous allez errer de quête en quêtes dans un bonheur in-interrompue. Que se soit vos rencontres avec les PNJ, les ennemis ou les divers lieux visités, le monde d'Okami est d'une richesse rare et des plus mystique. Le ton léger, saupoudré d'humour est vraiment un délice. Le mal omniprésent dans cette histoire sera là pour apporter une touche de noirceur dans un monde qui aurait pu être parfait. Comme si cela ne suffisait pas, il est impossible de rester de marbre devants les graphismes. Le jeu est une estampe animée qui ne demande qu'a être exploré afin de révéler des tableaux plus beaux les uns que les autres. Les musiques ne sont pas en restent et collent parfaitement à l'univers qui s'offre à nous et cela pour le plus grand bien de nos sens. Pour ce qui est de la Wiimote, celle ci permet de contrôler la peinture on ne peut mieux. On a vraiment l'impression que la manette avait été créé pour ce jeu. Elle répond bien et c'est avec grand plaisir que l'on dessine devants nous ces esquisses afin de déclencher nos pouvoirs divins. Comme vous l'avez compris, c'est un RPG d'exception à faire absolument. Ce RPG est un joyau et un hymne aux voyages. Dès le début, le ton est donné. Vous incarnez la déesse du soleil « Amaterasu » réincarnée dans un loup. Accompagnée par un artiste lilliputien des plus atypique, vous vous lancez dans une quête pour retrouver vos pouvoirs de jadis et ainsi défaire le mal. Votre périple vous permettra de découvrir un Japon imprégné de mythologie dans lequel vous allez errer de quête en quêtes dans un bonheur in-interrompue. Que se soit vos rencontres avec les PNJ, les ennemis ou les divers lieux visités, le monde d'Okami est d'une richesse rare et des plus mystique. Le ton léger, saupoudré d'humour est vraiment un délice. Le mal omniprésent dans cette histoire sera là pour apporter une touche de noirceur dans un monde qui aurait pu être parfait. Comme si cela ne suffisait pas, il est impossible de rester de marbre devants les graphismes. Le jeu est une estampe animée qui ne demande qu'a être exploré afin de révéler des tableaux plus beaux les uns que les autres. Les musiques ne sont pas en restent et collent parfaitement à l'univers qui s'offre à nous et cela pour le plus grand bien de nos sens. Pour ce qui est de la Wiimote, celle ci permet de contrôler la peinture on ne peut mieux. On a vraiment l'impression que la manette avait été créé pour ce jeu. Elle répond bien et c'est avec grand plaisir que l'on dessine devants nous ces esquisses afin de déclencher nos pouvoirs divins. Comme vous l'avez compris, c'est un RPG d'exception à faire absolument. |
![]() le 23/11/2011 ![]() ![]() ![]() |
Mais quelle aventure !! 40 heures de folie ! Se balader dans des décors d'estampes japonaises dans la peau d'une divinité solaire prenant la forme d'un loup sur Terre...Que dire de plus à part WOOOOOOW ! Etre Amaterasu est un pur plaisir ! Son univers vous emporte dans un tourbillon de couleurs, de personnages plus farfelus les uns que les autres, le tout saupoudré d'une ost qui colle parfaitement à l'ambiance. Ce jeu a tout pour plaire, il n'y a pratiquement rien à redire, à part peut-être des ptits bugs d'affichage infimes et parfois des soucis de pinceau, mais rien de grave ou qui puisse entacher mon ressenti sur ce jeu. Que les possesseurs désenchantés de la wii se consolent (oh oh) Okami est un chef d'oeuvre. Alors là pour le coup, jetez-vous y, tête baissée sans vous boucher le nez. Vous atterrirez en douceur et serez chatoyer par les fleurs de cerisiers divins qui peuplent le monde d'Okami. Sans conteste un BGE, sans conteste mon n°1. Mais quelle aventure !! 40 heures de folie ! Se balader dans des décors d'estampes japonaises dans la peau d'une divinité solaire prenant la forme d'un loup sur Terre...Que dire de plus à part WOOOOOOW ! Etre Amaterasu est un pur plaisir ! Son univers vous emporte dans un tourbillon de couleurs, de personnages plus farfelus les uns que les autres, le tout saupoudré d'une ost qui colle parfaitement à l'ambiance. Ce jeu a tout pour plaire, il n'y a pratiquement rien à redire, à part peut-être des ptits bugs d'affichage infimes et parfois des soucis de pinceau, mais rien de grave ou qui puisse entacher mon ressenti sur ce jeu. Que les possesseurs désenchantés de la wii se consolent (oh oh) Okami est un chef d'oeuvre. Alors là pour le coup, jetez-vous y, tête baissée sans vous boucher le nez. Vous atterrirez en douceur et serez chatoyer par les fleurs de cerisiers divins qui peuplent le monde d'Okami. Sans conteste un BGE, sans conteste mon n°1. |
![]() le 11/08/2011 ![]() ![]() ![]() |
Une grande aventure pleine de poésie. Les personnages sont attachant, drôle et touchant, Les décors sont magnifique j'ai pris un pied monstre a voyagé a travers tout le Nippon, L'histoire est bien construite et intéressante, j'ai pris plaisir a la suivre et je ne me suis pas ennuyer une seul fois et que dire des musiques a part qu'elles sont fabuleuse, les compositions sont pratiquement toutes d'une beauté remarquable. En attaquant ce jeu je ne m'attendait vraiment pas a passer autant de bon temps, je suis agréablement surpris d'autant plus que j'ai vraiment adoré Okami, pour preuve il va avoir droit a une place dans mon top 10. Une grande aventure pleine de poésie. Les personnages sont attachant, drôle et touchant, Les décors sont magnifique j'ai pris un pied monstre a voyagé a travers tout le Nippon, L'histoire est bien construite et intéressante, j'ai pris plaisir a la suivre et je ne me suis pas ennuyer une seul fois et que dire des musiques a part qu'elles sont fabuleuse, les compositions sont pratiquement toutes d'une beauté remarquable. En attaquant ce jeu je ne m'attendait vraiment pas a passer autant de bon temps, je suis agréablement surpris d'autant plus que j'ai vraiment adoré Okami, pour preuve il va avoir droit a une place dans mon top 10. |
![]() le 31/05/2011 ![]() ![]() ![]() |
Jeu sublime de part ses graphismes d'estampes japonaises , ses ambiances et ses musiques typiques et merveilleuses , ses légendes du Japon médiéval , moi qui suis déjà grand fan du Japon et de son histoire je suis parfaitement bien rentré dans ce jeu. Jeu sublime de part ses graphismes d'estampes japonaises , ses ambiances et ses musiques typiques et merveilleuses , ses légendes du Japon médiéval , moi qui suis déjà grand fan du Japon et de son histoire je suis parfaitement bien rentré dans ce jeu. |
![]() le 04/06/2010 ![]() ![]() ![]() |
Un design et une ambiance enchanteresse et hors norme gachée par une maniabilité trop souvent imprécise et surtout des dialogues à rallonge et très très lent qu'on est obligé de se taper de multiples fois en cas d'échecs de certaines actions. Ce qui arrive souvent du fait de la maniabilité. Si seulement on pouvait accélérer les dialogues et passer ceux qu'on a déjà lu !!! Un design et une ambiance enchanteresse et hors norme gachée par une maniabilité trop souvent imprécise et surtout des dialogues à rallonge et très très lent qu'on est obligé de se taper de multiples fois en cas d'échecs de certaines actions. Ce qui arrive souvent du fait de la maniabilité. Si seulement on pouvait accélérer les dialogues et passer ceux qu'on a déjà lu !!! |
![]() le 05/01/2010 ![]() ![]() Edité le 21/05/2013 ![]() |
Une perle que j'ai honte de ne pas avoir découvert sur PS2. Une ambiance et un univers unique, exploitant les mythes japonais avec un brio et un charme certain, et surtout LA MUSIQUE DU JEU, enchanteresse à souhaits. Un scénario complet et rythmé, alternant moment tristes, de bravoure et d'humour avec une alchimie parfaite et une galerie de personnages hauts en couleurs pour l'alimenter. Le style graphique, à mi chemin entre le cell-shading et l'estampe japonaise est un régal pour les yeux, on prend plaisir à gambader de jour ou de nuit pour admirer ces décors. Au niveau du gameplay c'est également du tout bon, Amaterasu se contrôle au poil (ohoh) à la fois en balade ou en combat, et l'utilisation du pinceau avec la Wiimote est super agréable. Et ces boss fight dantesques, rah yeah, malgré une répétitivité un peu marquée (combien de fois on affronte ce foutu Orochi ?!) Une vraie bombe. Une perle que j'ai honte de ne pas avoir découvert sur PS2. Une ambiance et un univers unique, exploitant les mythes japonais avec un brio et un charme certain, et surtout LA MUSIQUE DU JEU, enchanteresse à souhaits. Un scénario complet et rythmé, alternant moment tristes, de bravoure et d'humour avec une alchimie parfaite et une galerie de personnages hauts en couleurs pour l'alimenter. Le style graphique, à mi chemin entre le cell-shading et l'estampe japonaise est un régal pour les yeux, on prend plaisir à gambader de jour ou de nuit pour admirer ces décors. Au niveau du gameplay c'est également du tout bon, Amaterasu se contrôle au poil (ohoh) à la fois en balade ou en combat, et l'utilisation du pinceau avec la Wiimote est super agréable. Et ces boss fight dantesques, rah yeah, malgré une répétitivité un peu marquée (combien de fois on affronte ce foutu Orochi ?!) Une vraie bombe. |
![]() le 27/11/2008 ![]() ![]() Edité le 02/01/2009 ![]() |
Je ne m'étendrai pas sur le descriptif d'Okami, qui a déjà été fort bien commenté dans son épisode PS2. Un jeu magnifique autant graphiquement que musicalement; une ambiance tout à fait unique. Le principe correspond tout à fait au support, avec l'utilisation de la wiimote en guise de pinceau. J'étais plutôt sceptique avant de commencer le jeu et je ne m'attendais pas à apprécier autant Okami. Je ne peux que regretter que ce jeu n'ait pas eu plus de succès auprès du public alors qu'il le méritait amplement. Enormément de charme et tout autant de plaisir de jeu. Je ne m'étendrai pas sur le descriptif d'Okami, qui a déjà été fort bien commenté dans son épisode PS2. Un jeu magnifique autant graphiquement que musicalement; une ambiance tout à fait unique. Le principe correspond tout à fait au support, avec l'utilisation de la wiimote en guise de pinceau. J'étais plutôt sceptique avant de commencer le jeu et je ne m'attendais pas à apprécier autant Okami. Je ne peux que regretter que ce jeu n'ait pas eu plus de succès auprès du public alors qu'il le méritait amplement. Enormément de charme et tout autant de plaisir de jeu. |