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223 commentaires
Wild ARMs 3 play2
Riskbreaker

le 09/02/2013
7
Le Wild Arms 3, il a un goût prononcé de Western, il y a des guns, des chevaux, de l'harmonica, du sable et des couchers de soleil.
Tout va bien.
Et puis il y a son côté RPG très japoniais avec ses personnages caricaturaux, ses morales à deux sous et ses rebondissements téléphonés.

Fort heureusement, ce petit troisième opus dispose d'un monde très grand, bourré de quêtes annexes, d'un nombre de donjons hallucinants et de quelques idées / énigmes fort sympathiques. Et puis il y a Lombardia, ce fucking dragon transformer bleu/blanc/rouge qui sert d'avion ! Et ça, c'est priceless !

Plus sérieusement, Wild Arms 3 dispose d'une structure solide, d'arguments convaincants et une robe graphique plutôt correcte. Malheureusement, on joue comme un robot dans ce jeu. Une mécanique de gameplay ultra répétitive (ville -2min- puis donjon -20min- boss + boss + boss). Et bordel on s'en tape des boss dans le jeu (+70) ! Sans compter que pour trouver son chemin, il faut les apostropher souvent les NPC ! On tourne pas mal de temps sans savoir où aller, à qui le demander ou même que faire. Mais une fois tout ce fourbi dompté (et armé d'une bonne soluce !), il y a du bon, du plaisir, de la subtilité dans les combats, un excellent boss final et une chouette OST (bien que très répétitive).
Allez, ouep, Wild Arms 3 c'est bien quand même.

► Points positifs :
- Durée de vie conséquente
- Un gros contenu (avec les quêtes annexes)
- Un chouette boss final (avec 12 transformations !)
- Great OST
- Le plaisir de voler sur une map monde avec Lombardia !

► Points négatifs :
- Répétibilité des actions
- Morales type shonen
- Trop de rebondissements téléphonés
- Animations très moyennes
Zelda II: The Adventure of Link nes
Riskbreaker

le 08/12/2010
7
Un zelda hors norme, coupant net avec tous les codes amenés par le premier épisode pour un résultat pour le moins détonnant.

Très dur, il n'est pas rare de criser et recommencer 15 fois le même passage avant de pouvoir trucider ces foutus chevaliers aux paterns de coups particulièrement $£*ùùù$!!! Bref, on prend son mal en patience, et après les premières heures de jeu pour le moins difficiles, on y prend goût et on avance jusqu'à la fin de l'épopée pour récupérer une fois de plus la triforce du pouvoir.

Et en fait, le jeu est bon. On a à faire à une véritable aventure accompagnée d'un très bon gameplay. C'est d'ailleurs le Zelda le plus accès RPG (véritables niveaux à faire évoluer via de l'expèrience) et l'aventure n'en est que plus prenante. Nul doute qu'à l'époque, ce titre avait tout le potentiel pour se présenter comme un très bon jeu capable de scotcher le joueur à son écran des heures durant.

Graphiquement, c'est de la Nes. Et de la nes moyenne... Donc pas de folies graphiques, juste le strict minimum. Dur d'apprécier aujourd'hui, mais on s'y habitue très vite tant tout est très rapide et jouable.
Les musiques en revanche, bien que très bonnes, sont en nombre trop restreints pour être véritablement appréciées sur la longueur tant elles sont répétitives. La musique des donjons en particulier quand vous y passez plus d'une heure et que la piste ne dure qu'à peine 40 sec...

Bref, au final, un bon jeu, dur et exigeant (avec quelques énigmes à la con de l'époque, genre se rendre dans un bosquet de la map monde bien précis, sans aucun indice au préalable ou bien traverser un mur, comme ça, sans prévenir...) mais qui prend toute sa saveur au fil des heures de jeu. Un bon gameplay, une aventure bien menée pour un bon zelda sur Nes. Surpris de le trouver aussi bon ! Et tant mieux.
ActRaiser snes
Riskbreaker

le 16/07/2020
6_5
Actraiser est un essai réussi, un bon mélange des genres qui devient très vite très addictif. L'aspect gestion des villes est assez rapide pour ne jamais lasser et s'enchaine vite avec les niveaux d'action-plateforme. On jongle de l'un à l'autre rapidement et on le jeu se termine en une dizaine d'heures sans grand pic de difficulté.
On notera une chouette OST et des graphismes tout à fait corrects compte tenu de l'époque de sa sortie. Sans être mémorable, Actraiser s'impose comme un bon petit plaisir du support à ne pas bouder.
Angry Birds Epic ios
Riskbreaker

le 30/06/2014
6_5
Étonnant et grotesque.
Je partais avec des apriois évidents, comme beaucoup de monde, j'imagine. Je pensais y jouer quelques minutes, me rendre compte de son potentiel commercial pay-to-win ignoble et bourré de publicités, le tout sur fond de pastiche rpgiesque malvenu.
Et non, Epic est bon. Voire très bon quand on le rapporte à son support.

Des animations délirantes, un scénario grotesque aux twists toujours bienvenus, un contenu assez gargantuesque, un replay value abusé et surtout, un gameplay bien plus fin et tactique qu'il n'y parait au premier abord.
Epic est dur et demande de peaufiner ses stratégies. L'erreur n'est pas permise et souvent on doit recommencer le combat pour adopter une approche différente. Le bourrinage n'est pas permis ici. Mais en même temps, ce n'est pas du die-and-retry basique et bateau qu'on peut voir partout ailleurs. Le jeu est suffisamment laxiste et intéressant pour nous accroche à l'écran et nous faire pencher vers le "allez, encore un petit essai". Toute action, tout argent, toute expérience engrangée en combat, qu'importe qu'on le termine ou non, est définitivement acquise. Du coup, même les fights dits "d'essai" ne sont pas inutiles. On évolue tout le temps.

L'aspect craft, bien qu'il demande pas mal de farm si on veut être toujours à jour sur ses équipements, est simple mais réussi, avec l'ajout de quelques idées intéressantes (le roll de dés définissant la qualité du craft).
Les boss demandent souvent une stratégie bien plus poussée et osée (à l'image du dernier boss qui, à première vue, est imbattable) et l'ensemble jouit d'une finition tout ce qu'il y a de plus exemplaire.

Mention spéciale aux publicités, qui, et c'est la première fois que je vois cela, s'inscrivent directement dans le gameplay. "Vous regardez notre petit trailer promo de 10 sec ? Merci, on vous donne +10% de HP et d'ATK pour ce combat". C'est cool et pas intrusif.

Au final, seul son aspect ultra simpliste l'empêche d'atteindre des sommets. On reste sur un support mobile et bien que le contenu soit énorme, c'est adapté au support, ça manque légèrement d'ambition.
Un jeu étonnant donc, réussi, drôle, sympathique et super bien adapté aux plateformes mobiles. Une bonne surprise.
Baten Kaitos Origins gc
Riskbreaker

le 22/04/2022
6_5
Que c'est lent… que c'est lent.
Tout comme son aîné, Baten Kaitos Origins est un beau jeu, une belle aventure qui joue bien plus sur la finesse que dans la recherche du wahou à gros impact. L'histoire est toujours relativement mature et les dialogues sont, dans l'ensemble, plutôt réussis. Le casting suit bien derrière et le world building particulièrement cohérent (alors qu'avec un point de départ comme celui-ci, ce n'est pas évident). Les musiques sont dans l'ensemble toujours une franche réussite même si la redondance des thèmes (et du battle surtout) m'a rendu fou. Et on arrive à ce qui fache : les combats incessants, permanents et souvent très très longs (on touche souvent du 3 à 4 min pour le fight de base…c'est long). Des aller-retours pas toujours heureux ni évidents et une lenteur générale qui ne m'a pas aidé à rester éveillé. Néanmoins, les petits twists narratifs sont sympathiques, bien amenés, et tout l'acte final est plutôt très réussi. Un bon jeu, ultra classique dans sa forme, comme son ainé, avec une couche poétique bienvenue et des décors toujours incroyables (bien que bcp de redite du premier).
Ever Oasis 3ds
Riskbreaker

le 07/10/2017
6_5
Un joli petit A-RPG sur 3DS.
Plein de couleurs, mignon tout plein, avec une histoire simple mais accrocheuse, Ever Oasis ne nie pas son héritage des Seiken Densetsu (il y a sieur Kōichi Ishii dans les directeurs / producteurs du jeu mine de rien).
On évolue dans un univers désertique, à mi-chemin entre Turquie et Egypte ancienne. On doit gérer et faire évoluer un petit Oasis qui, plus avec sa population grandissante, grandira de la même manière. On y ajoute des boutiques, gagne de l'argent, organise quelques foires et un peu de craft et de jardinerie. Heureuseuement (ou pas), tout est simplifié à l'extrême et on reste à des millénaires d'une gestion plus poussé à la Legend of Mana ou des Harvest Moon. Ici, c'est pépère cool, 3 coups de pelle et on repart à l'action.
Le petit côté Suikoden aussi, avec le fait d'aller chercher et recruter les persos peuplant l'Oasis (et qui pourront tous combattre d'ailleurs). Chacun ayant leur capacité, utile durant certaines phases de donjons.
En plus le jeu s'apparente à un Zelda-like, avec ses quelques donjons à énigmes/salles/boss très similaire au roi, on récupère le Quartz et retour à l'Oasis. Et on défait le vilain méchant pas beau.

C'était sympa, 30 h mignonnettes, avec de chouettes graphismes et de chouettes musiques (bien que répétitives à force).
La note, 6,5, parce qu'il n'ajoute pas de plus-value particulier à un titre similaire. C'est une aventure sympathique mais qui manque justement de profondeur. On reste en surface tout du long, avec une difficulté plutôt très facile, des quêtes annexes un peu trop fedex pour la plupart et surtout pas mal de farm pour faire évoluer l'Oasis en fin d'aventure.
Il y a même un post-game pour les plus courageux voulant continuer à recruter et farmer.
Golden Sun: L'âge Perdu gba
Riskbreaker

le 05/08/2019
6_5
Je termine enfin cette histoire que j'avais pourtant entamé en 2002 !
Et malheureusement, je reste sur un avis relativement proche du premier épisode.
Si The Lost Age reprend tout le concept du premier en exploitant bien plus son gameplay (donjons plus longs / world map complète / quêtes annexes en pagaille / beaucoup de Djinns et collectibles à ramasser / etc), je n'ai tout de même pas réussi à être émerveillé ni étonné par ce monde et cette histoire.
Pire, le game design m'a quelques fois déçu. Notamment lorsqu'on se retrouve sur la world map sans savoir quoi faire ni où aller. Il faut fouiller un peu tout et les distances peuvent être très grandes à parcourir. Déconcertant. Cela dit, c'est un défaut mineur par rapport à ce qu'il sait nous offrir à côté.

On reste donc dans la lignée exacte du premier, avec enfin le pourquoi du comment de l'histoire révélé. Mais malheureusement uniquement dans le dernier tiers du jeu. Et les quelques twists et révélations m'ont malheureusement laissé de marbre. Sans compter cette fin balancée à la va-vite avec une résolution du personnage d'Alex assez… moyenne. Bref, meh.

Le capital sympathique du premier épisode est toujours d'actualité. Les graphismes sont toujours exemplaires pour le support. Les musiques essaient d'en découdre avec le processeur sonore de la GBA. Le héros devient muet en début de partie (alors qu'il parlait dans le premier épisode)... mouais. La durée de vie est bien supérieur au premier. Quelques passages sympathiques et une difficulté parfois intransigeante (alors que le premier épisode était quasiment une promenade de santé). De bons donjons et des énigmes plus fournies, mieux pensées autour des psy-énergies.
Mais malgré tout ça… le jeu ne m'a jamais émerveillé ni passionné. Il restera donc cantonné – pour moi – au rang des jrpg sympathiques-sans-plus, qui aurait mérité un meilleur traitement de ses personnages et de son scénario. Il y avait tous les ingrédients, mais il manque le liant pour sublimer l'ensemble.
Lunar: Sanposuru Gakuen ggear
Riskbreaker

le 08/07/2013
Edité le 08/07/2013
6_5
Oui, c'est un Lunar. Non il n'a rien à voir avec les Lunar.

Prenez le ton et l'ambiance des épisodes classiques, mélangez avec des étudiantes dans une école, des professeurs complètement idiots, un petit coup de magie par-ci, par-là et des mini-scenarios pour chacun des 12 chapitres de Sanposuru Gakuen et hop, vous saurez à quoi vous attendre.

Ce lunar est très loin d'être une prise de tête. On y contrôle un petit groupe d’héroïnes (et 2/3 petits garçons qui viennent prêter main forte de temps en temps) qui vont passer leur diplôme sur une île reculée on ne sait où. Quelques petites surprises rigolotes en début de partie puis des petites histoires assez convenues mais toujours sympathiques à suivre. Cela grâce à un ton léger, jouant et se jouant des poncifs liés au genre. Pour un classical RPG de l'époque, c'était osé.

La Game Gear est très avare en rpg, encore plus en bon rpg. Pourtant, ce Lunar fait partie des titres à tester absolument pour peu que l'on veuille jouer à un bon titre sur ce support.
Graphiquement, il est irréprochable et se place sans mal parmi les plus beaux titres de la console. Il offre, de plus, une bande sonore entraînante et plutôt réussie malgré la piètre qualité du chipset sonore. Certaines mélodies sont vraiment réussies et contribuent à l'ambiance si particulière du titre.

Pour le reste, c'est du classique comme on en a l'habitude. Du combat aléatoire au tour par tour (surtout basé sur la magie), le petit donjon qui se termine avec son boss, une mignonnette trame de fond avec un pseudo méchant risible pour encadrer l'ensemble et hop, on s'amuse pendant une dizaine d'heures sans mal.

Au final, on est en face d'un j-rpg assez frais, old-school mais sympathique, qui ravira les joueurs grâce à des qualités relativement rares pour l'époque (bien qu'il soit sorti très tardivement). A fortiori sur ce support.
Rogue Galaxy play2
Riskbreaker

le 20/02/2013
Edité le 01/06/2013
6_5
Généralement, les jeux ultras attendus, comme Rogue Galaxy, je les fuis.
Annoncé comme un des derniers blockbusters de la PlayStation 2, il avait un nombre assez incroyable d’arguments convaincants sur le papier… Durée de vie de plus de 100h, quêtes annexes partout, possibilité de vagabonder sur plus de 6 planètes différentes dans la galaxie, graphismes magnifiques, bande sonore épique, etc.
Allez, on est en 2013, plus de six ans après sa sortie PAL, il est temps de voir ce qu’il en est vraiment.

Et bien au final, Rogue Galaxy se révèle être un bon jeu. Si on oublie ses couloirs, bien entendu…

Graphiquement irréprochable, il arrive à convaincre avec un cell-shading pour le moins très réussi. Rares sont les jeux aussi convaincants dans ce style. Dommage que l’animation ne suive pas complètement (trop rigide). Beaucoup de scènes CG, de décors assez grands et de trompe-l’œil réussis. Rogue Galaxy est beau et coiffe encore la plupart des jeux Wii d’aujourd’hui (Xenoblade… ?).

Musicalement, ça passe. Si certaines scènes sont vraiment réussies grâce à un fond sonore épique – les scènes finales en fait – le reste du jeu peut vite taper sur les nerfs tant on reste longtemps dans une zone. Ainsi, la musique de Burcaqua rend complètement dingue au bout d’à peine 15 heures de jeu (raaah cette flûte insupportable) – celle de l’écran d’accueil, pareil, imbuvable tellement on l’entend… Et malheureusement, c’est le cas pour la plupart des musiques de field. Dommage.

Et puis il y a ces couloirs. Les couloirs des donjons. Des donjons qui durent plusieurs heures…
C’est pas compliqué, le premier couloir que vous voyez lors de l’entrée dans un de ces derniers… Et bien… Ce sera le même pendant les deux prochaines heures. Avec des combats tous les six pas. Bon courage. Pour ma part, fort heureusement, je n’ai craqué que lors du dernier donjon. Le reste du jeu est passé relativement bien. Mais le dernier… Avec ses combats à rallonge et ces grottes interminables… Horrible.
Les combats, en revanche, sont sympathiques. Même si on finit par ne lancer que le skill Supernova en boucle pour en finir vite fait, le système de skill avec la gestion de nos deux autres compères est bien pensé. L’AI fait son boulot et jamais ne nous embête. On râlera juste sur la redondance et le nombre de combats hallucinant que l’on fait dans ce jeu (en 40h, j’ai dû en fait plus de 2 500).

Et puis il y a son scénario. Lent à démarrer, une scène à la moitié du jeu relance cependant notre intérêt, jusqu’à la fin. Loin d’être mauvais, bien que basé sur une structure typiquement japoniaise et de type shonen, il évite quelques caricatures dans lesquelles sont tombés des jeux comme Xenoblade ou la plupart des derniers Tales of.
C’est sympathique et certaines idées vraiment ingénieuses.

So what ? Rogue Galaxy, ce n’est peut être pas la tuerie voulue par Level 5, ce n’est pas le grand jeu qui restera dans les anales - surtout sur PS2 où le catalogue de RPG est complètement barge – mais il y a du bon, du très bon.
Sigma Star Saga gba
Riskbreaker

le 04/02/2017
6_5
Un mix original entre shoot'em up et rpg, et ça fonctionne assez bien : remplacez les combats classiques par des mini-stages shoot'em up et vous avez l'idée générale.
L'histoire est blindée de twists en tout genre et se révèle en fin, et à ma grande surprise, très sympa à suivre. Il y a du double voire du triple-agent, des trahisons (des fois téléphonées, des fois non), des morts et ça se paie même le luxe de se jouer du manichéisme habituel.
Bon, pour nuancer, ça reste un RPG GBA et les enjeux sont au niveau du support et on est très loin des bests scenars ever. Néanmoins, j'attendais quelque chose d'assez fade à ce niveau et ce ne fut pas le cas.
Les phases de Shoot débutent par nous ridiculiser (j'ai même pris un Game Over dès la première phase du jeu), mais on est très vite en surlevel et du coup, on s'en sort au final assez facilement. Sauf peut-être le dernier fight et quelques boss aléatoires qui demandent un peu plus d'attention et surtout, une bonne préparation (on peut régler son tir de la manière qu'on veut et ya pas mal d'upgrades à découvrir à ce niveau. Plutôt cool).
L'exploration classique est... classique et se résume à fouiller chaque recoin de chaque planète offerte (il y en a 6). Paumé au début, on prend vite ses marques pour la crawler de A à Z et trouver toutes les upgrades du jeu.

Et puis il y a une bad, une normale et une good ending, et assez bien vues. J'ai eu la normale au premier run, il faudrait un NG+ pour débloquer la Good, mais la flemme hein. ;-)

Bref, pas l'expérience la plus mémorable du monde, mais un bon titre sur GBA, très original, qui vaut surtout par son histoire et non – contrairement à ce qu'on pourrait penser – pour son aspect shoot'em up.
Souldiers pc
Riskbreaker

le 13/09/2022
6_5
Souldiers est bourré de qualités.
À commencer par son rendu visuel, magnifique de bout en bout. Un vrai ravissement pour les yeux tant c'est détaillé et bien animé.
Le jeu est long, complet, bourré de secrets, d'éléments à débloquer, de bonnes idées de gameplay, quelques passages plateformer sympas voire même quelques bribes de scénario qui poussent plus loin que le metroidvania classique.
Cependant, il peinera à s'inscrire comme un jeu marquant pour d'autres raisons : des donjons TROP longs (vraiment, 4 à 6 h pour terminer un donjon, c'est trop, beaucoup trop) et une difficulté (pre-patch juin) qui punit immédiatement la moindre faute (en raison d'un équilibrage aux fraises - bien que cela semble avoir été corrigé). On lui reprochera aussi un manque global d'originalité, du moins, il lui manque ce petit "truc" qui le sortirait d'un jeu indé classique.
C'est une chouette expérience, on sent l'amour que les développeurs ont mis dans ce titre (mais trop d'amour…) et il ne faut pas le bouder car il propose une aventure longue, riche et plaisante.
Squids and
Riskbreaker

le 17/07/2013
6_5
C'est mignon, c'est gentillet, ça bouge bien et pour une fois, il y a du contenu de base dans un jeu F2P. Enfin un petit T-RPG bien pensé pour le tactile.
Il nous occupe sympathiquement pendant 5/6h avant d'en voir la fin. Sans compter les niveaux bonus franchement réussis, ainsi qu'une bonne replay-value de chaque niveau.

On l'oubliera relativement vite, mais les quelques heures passées dessus ne sont pas vaines et même plaisantes. Chose assez rare sur ce support.
Super Neptunia RPG pc
Riskbreaker

le 01/10/2019
6_5
Si la série ne m'a jamais attiré plus que cela, cet épisode - développé par un studio occidental, Artisan - possédait un capital sympathie bien plus important grâce à sa 2D plutôt léchée.
On se lance donc dans l'aventure, sans rien connaître au lore de la saga. Tant pis, on tente.

Et j'en ressors plutôt convaincu. À mon grand étonnement.

Il faut le prendre comme un JRPG modeste, bien évidemment. On est loin des AAA du genre et, de ce fait, on ne peut décemment pas lui demander de s'aligner. Ainsi, on note quelques couacs ici et là. L'animation globale laisse à désirer, des sauts d'images ici et là, des sons qui se chevauchent, une absence de sous-titres lors de certaines scènes (à priori uniquement sur la version PC), un level design moyen et un manque de lisibilité ici et là pour bien gérer quelques sauts. D'autres petits détails aussi, mais ce n'est que broutille.

Mais malgré cela, le titre se parcourt avec un plaisir non dissimulé.
Les décors sont pour la très grande majorité très beaux, le système de combat - pour peu que l'on se penche un peu dessus - plutôt sympathique, tout s'enchaîne très bien, il n'y a pas de temps mort, les donjons ne sont jamais trop longs ou soporifiques, un nombre de références au JRPG au sens général très bienvenue et une utilisation du 4e mur au final assez fine. L'histoire, bien que très moyenne et liée à la saga, se suit sans déplaisir et les personnages m'ont semblé pour la plupart assez justes.

Je regrette tout de même un manque de difficulté notable, malgré le plaisir jouissif de voir les chiffres découler passé le niveau 100 !
Une bonne petite surprise, une vingtaine d'heures de jeu agréable.
The Legend of Dragoon play
Riskbreaker

le 16/04/2017
6_5
Dix ans plus tard, j'ai enfin eu le courage de terminer ma partie.
Débuté en plein âge d'or du j-rpg, j'avoue m'être totalement désintéressé de ce titre en plein milieu du CD3. La faute à une actualité chaque jour plus folle et des titres diablement plus prenant et rythmés.
Bref, il m'avait gonflé, je l'avais lâché.

2015, grosse période de vaches maigres en jrpg, on reprend tout et on recommence.
Et la conclusion est - sans grande surprise - mi-figue mi-raisin. On y côtoie de l'excellent comme du très moyen, voire mauvais. Une aventure en dents de scie où certains passages auraient franchement du être évités ou, du moins, raccourcis. Car le grand problème de ce jeu, à mon sens, est son rythme.
L'aventure débute correctement, sans grande folie, mais c'est joli et ça donne envie. Sauf que très vite, l'aventure perd de l'intérêt et on se met à traverser un bon nombre de lieux sans réelle conviction. Le scénario met énormément de temps à démarrer, ou du moins à nous accrocher, et j'avoue m'être forcé à quelques reprises à lancer le jeu pour avancer.
Heureusement, à la fin du CD2 puis surtout au CD3, l'aventure prend de l'envergure avec LLoyd et les Voliens, la trame se dessine enfin et les personnages commencent à avoir un semblant d'intérêt. Les décors se renouvellent de plus en plus et on voyage enfin. Les twists abondent - un peu trop - mais c'est fun. Puis, petit perte de vitesse en début de CD4 avec ces cités à traverser (dont la laborieuse Zénébatos et ses lois débiles) pour terminer sur un final réussi et assez épique.
Du coup, je ne sais sur quel pied danser.
Dans son ensemble, le scénario est plutôt bon et ambitieux. Dans son exécution, il manque de rythme et les quelques défauts de narration (liée en partie à une mauvaise animation) plombent l'ensemble.
C'est franchement dommage.

A côté, le gameplay est ultra classique mais correct. Les combats, avec un système de QTE basique pour enchaîner les combos sont prenants - bien que franchement gonflants si on veut développer nos aptitudes à fond. La difficulté est bien dosée, et l'arrivée des dragoons sur le tard m'a semblé une bonne chose.
Malheureusement, très peu de liberté et de quêtes secondaires l'accompagnent et un ressenti de traversée de couloir rigide se fait tout le temps sentir. Mention spéciale à l'ignoble map monde.

Du côté des points positifs, il y a les décors, vraiment superbes par moments. D'excellents design, de chouettes idées de paysages. On voyage vraiment et nos yeux sont ravis. Mais à côté, on a droit à une 3D assez cradingue et peu lisible (surtout les combats) montée sur une animation catastrophique. Hachée et basique, elle jure lors des scènes dramatiques. Bien dommage, surtout qu'à cette époque, Final Fantasy (il fallait les citer) nous mettait une assez grosse baffe technique sur le même support.
Et puis... les musiques... A vomir pour 99% d'entre elles.
Mauvaise OST, mauvaises pistes, seules celles lors des cinématiques en synthèse s'en sortent bien ainsi que deux ou trois autres par-ci, par-là. J'avoue avoir coupé le son bien des fois tellement la compo des combats m'insupportait. On repassera... ou pas.

Bref, au final, il y a du bon, oui, mais aussi du très mauvais.
A la fois beau et cradingue, un bon scénario mais mal rythmé, un bon concept de combat mais pas assez développé, une mauvaise bande sonore, une bonne durée de vie mais en couloir, peu de quêtes annexes... Difficile de se prononcer.
Un RPG bourré de défauts mais charmant sorti à une époque où de biens meilleurs étaient à se mettre sous la dent. Un titre ambitieux mais quelque peu maladroit de la part de Sony.
Thousand Arms play
Riskbreaker

le 26/05/2013
Edité le 26/05/2013
6_5
Thousand Arms fait office de titre assez insolite dans le panorama des j-rpg de la PlayStation. A mi-chemin entre un dating-game et un rpg, il offre une aventure assez surprenante qu’il est difficile de retrouver ailleurs.

Bon, ce n’est quand même pas trop l’extase, ne nous emballons pas.
Le système de combat, intrigant au départ, montre très vite ses limites et la stratégie globale tout au long des 25h de jeu sera de faire : attaquer ? défense ? attaquer ? défense… Et quelques invocations pour le boss final. Et ça manque drôlement de dynamisme.
Le scénario, bien que loin d’être très mauvais, est assez plat, avec ses rebondissements attendus et son grand méchant tout ce qu’il y a de plus cliché. On rajoute un paquet d’éléments inutiles au gameplay (rajoutant seulement une petite touche de fantaisie sur l’aspect dating du titre) comme les photos ou les mini-games… Un doublage ricain vraiment très limite et l’absence de quêtes annexes, de replay-value ou autres types d’éléments qu’on se plait à crawler dans un jrpg nous offrant une world map complète. Ah et n’oublions la caméra bien casse-bonbon.

En revanche, il est bien sympa sur de nombreux autres points !
Un humour réussi (pour peu que l’on passe outre le doublage moisi) avec des personnages vraiment uniques dans leur genre. Le casting féminin, bien que très « déjà-vu » est réussi et sait nous émoustiller comme il faut quand il le faut (on reste cependant au degré #1 de la drague, désolé les pervers). Sans compter que les choix de dialogues permettent de transformer quelques situations convenues en de vrais quiproquos cocasses.
Techniquement, le titre est loin d’être mauvais même si les sprites 2D SD lors de l’exploration auraient gagné à être plus détaillés. De même que les décors du début de l’aventure, vraiment bof et trop grisonnant comparé à toute la deuxième moitié du jeu. L’ost est, quant à elle, drôlement réussie (hors musique du final boss).

Au final, on en sort avec le smile, tout content d’avoir pu draguer un peu quelques nanas tout en se tapant une aventure auréolée de tous les poncifs du genre. De toute, on s’en fout parce qu’au final, c’était bien cool. Et puis il y a la petite carte brillante dans le jeu ricain, si c’est pas la classe ultime ça !
Torchlight pc
Riskbreaker

le 28/03/2010
Edité le 01/06/2013
6_5
Un petit jeu bien pépère de la part des papas de Diablo.
La musique de Torchlight fait d'ailleurs directement penser à ce dernier, et ce, dès la première minute de jeu. Ceci mis à part, on a droit à un Hack'n Slash simple mais battit sur un système de jeu très bien huilé. Du coup, on avance sans vraiment se prendre la tête et hormis la redondance des mécanismes du jeu qui peuvent user à la longue (warps à la ville - donner tous les drops au pet - achats de potion - etc), l'aventure se laisse finir sans problème.

Bon bien sûr, le scénario, ce n'est pas ça. Une sombre histoire de grand monsieur qui se laisse happer par de mauvais esprits afin de réveiller une bête pas très commode, et nous grosbill au grand coeur, on va sauver Torchlight de cette menace. Youhou, c'est la fête !

Un énorme donjon, divisé en 6 zones distinctes (château détruit au milieu de la lave, les mines, les ruines au milieu de la forêt, etc), elles-mêmes divisées en 4 ou 5 étages pour un total de 35 étages si vous voulez défaire la grande vilaine bébête de fin. Mais fort heureusement, une nombre impressionant de quêtes sont à la disposition du joueur au cas où l'aventure le laisserait sur sa fin (bon, perso, j'ai foncé droit au but sans en voir la couleur mais bon...).

Au final, un jeu assez court en ligne droite (7h en mode normal) mais qui saura proposer un replay value intéressant à quiconque aimant les Hack'n Slash bien construits !
World of Final Fantasy psv
Riskbreaker

le 20/11/2016
6_5
J'étais parti avec le méga gros apriori du "ahah c'est niais, on va se marrer et mettre 2" du type aigri habituel que je suis.
Et boum, je me suis amusé pendant 50h mine de rien !

Dans les faits, c'est quoi ce WoFF ? Réponse : un Kingdom Hearts du pauvre.
Tout m'y fait penser, du cross-over des univers FF au rendu enfantin, en passant par l'enchaînement de mondes-clins-d'oeil, de caméos à tout va et de mini-quêtes contant des histoires en rapport direct avec les jeux dont elles sont tirées. Vous ajoutez une histoire de fond tissée autour des deux persos principaux bien plus sérieuse qu'il n'y paraît, puis des carnets cachés dans tout le jeu venant apporter des explications importantes sur le background et... Ouais, tout comme dans Kingdom Hearts donc. Disney en moins, les chibis en plus.

Mais tout passe comme une lettre à la poste. La narration est rythmée et rafraîchissante (une fois passée la débilité de Lann, heureusement compensée par sa soeur), les donjons suffisamment courts pour ne pas s'ennuyer avec ces combats aléatoires, les combats s'enchaînent vite grâce au tourbe (touche R), le système de combat reste classique mais fonctionne assez bien et l'histoire réserve quelques surprises valant le détour.
Bon, c'est sûr que le fond reste très léger. L'histoire est quand même bien moins profonde et développée que dans un KH. On peut la résumer en 5 lignes et beaucoup d'éléments ne sont là que pour nous faire croire à un semblant de scénar "tavucébadass". Mais son développement est correct et les deux fins nous laissent sur une bonne impression.

Visuellement c'est tout à fait réussi pour de la Vita (moins pour de la PS4). Ca rame un peu mais heureusement, maintenant, on peut contourner ce problème (huhu). La structure du jeu est bien adaptée à un jeu portable et du coup, on prend plaisir à jouer.
J'aurais juste aimé un peu plus de personnalité dans les décors/personnages qui, au final, sont assez lambdas dans leur présentation. Aucun lieu n'est vraiment ouf et on ne fait que traverser des environnements assez convenu, bien que sympathique.
Rien de fou au niveau des musiques, agréables en soi, mais manquant - au même titre que les graphismes - cruellement de peps (putain, cette version de Battle on the Big Bridge pourrie...).

Bref, 50h tout à fait correctes, sûrement 10 à 20h supplémentaires pour les completionnistes (trophées). Quelques surprises, une aventure agréable, un scénario relativement efficace et une scène lors des crédits... ultra psychédélique.
Xenoblade Chronicles X wiiu
Riskbreaker

le 10/06/2020
6_5
Et c'est encore une expérience schizophrénique à laquelle j'ai touchée… Ce jeu est tellement à la fois bourré de qualité et de défauts qu'on ne sait plus sur quel pied danser. Un énorme ascenseur émotionnel de bout en bout (j'ai joué environ 80 h, très loin d'avoir tout fait, tellement il y en a).D'un côté, on a un des jeux les plus généreux de sa génération avec du contenu en veux-tu en voilà, des quêtes partout, de la customisation à outrance, du système dans le système dans le système. Des jobs, des skills, des arts, des classes, des robots, des super robots, du social, de l'affinité entre persos, des boutiques à développer, des trucs à collectionner par milliers, etc, etc, etc. et puis surout, cette putain de partie Exploration qui est vraiment ouf. Un appel à la découverte quasi incessant, une envie de toujours voir plus. Ça, c'est particulièrement génial.D'autant plus que le jeu se renouvelle énormément par 2 fois avec l'arrivée des Skells, d'abord à pied chapitre 6, puis volant chapitre 9. L'orgie. Des sensations géniales au premier décollage.Tout ce pan du jeu, j'ai adooooré. Vraiment. Et le scénario de fond, dans sa globalité aussi. Il y a de chouettes trucs…

Maaaaaaaaaais…


Il y a beaucoup de "mais". Quasiment pour chaque élément cool que le jeu t'offre, on y trouve la contre-partie. Pêle-mêle ?Il n'y a que 2 types de quêtes (tuer X ennemis / ramener X objets). Les dialogues sont totalement inintéressants pour 99 % du jeu. 99 % du scénario est contenu dans sa dernière heure de jeu. La fucking jauge de carburant des skells ! Cette fucking schyzophrénie sur les ziks, quand t'enchaînes du symphonique avec du R'n'B. HAN HAN YEAH YEAH. Ne pas pouvoir quitter les missions d'entente ! (putain !) Cette zik horrible quand tu voles en skell et qui boucle dès que tu atterris / redécolles… L'interface très discutable, surtout de cette map. Lin et Tatsu… Les barrières à la con de niveau pour récolter certains trésors. La différence de temps de fight, soit c'est très long, soit t'es OP et tu poutres tout en quelques secondes. Le grind vers la fin pour les équipements / skells. Les régions ne sont pas toutes de la même qualité en level design (Cauldros et Sylvalum… srly ?). Les phases d'explo à pied en intérieur (putain Cauldros…). l'AI qui fait nawak et meurt trop souvent. L'équilibrage du scénario, trop condensé à la fin et useless quasiment 70 % des autres chapitres. etc… etc…

C'était ultra grisant, j'ai eu des sensations de ouf bien des moments. Mais il y a beaucoup de problèmes ici et là qui m'ont fait rager. Dommage, juste dommage. Très bon… maiiiiiiiis…
Ys: The Oath in Felghana psp
Riskbreaker

le 01/10/2019
6_5
Adaptation de la version PC sur PSP, il faut bien avouer que cette version s'en tire très bien. L'action reste fluide et - presque - lisible en toute circonstance, le contenu se prête parfaitement à une utilisation mobile et l'ajout de multiples checkpoints rend le titre plus abordable.
On est donc toujours sur un remake total de Ys 3, avec sa simplicité, son aspect bourrin, son histoire expédiée, ses donjons jouissifs et sa bande sonore excellente. On le parcourt avec plaisir et - version PC mise à part - c'est sans nul doute la version à préférer pour découvrir ce troisième épisode.
Away: Shuffle Dungeon nds
Riskbreaker

le 22/04/2009
6
Petit RPG attirant en raison d’un gameplay totalement nouveau, voici que j’en décroche, 17h plus tard. Une durée de vie très courte donc pour un jeu somme toute assez moyen.
Le titre démarre sur quelques scènes ultra rapides, dont on peine à comprendre l’intérêt et puis tout d’un coup, une grosse cinématique arrive pour nous donner un prétexte à explorer les donjons. Et c’est parti pour une dizaine d’heures d’exploration lassante d’une multitude de donjons afin de sauver les villageois. Bon ok. En avant.
Si le scénario n’est pas bien riche au départ, il s’étoffe un peu vers les 3 dernières pour nous proposer quelques rebondissements assez douteux en fin de compte mais qui ont le mérite de maintenir le joueur légèrement en haleine. Bref Moyen.
Graphiquement, le titre est extrêmement rebutant au départ, en raison d’un chara design tout bonnement affreux, avec un héros répondant au nom de Sword vraiment très laid. Difficile d’accrocher, même si on notera la fluidité globale du jeu, que ce soit pour la 3D ou pour la 2D.
Musicalement, en revanche, le titre s’en sort avec les honneurs. De très belles mélodies, toujours très à propos et donnant toujours l’envie de les écouter. Un bon point.
Au niveau du gameplay, le concept du donjon pseudo aléatoire est plutôt bien venu, même si au final, nous aurions voulu quelque chose l’exploitant bien mieux. Du début à la fin, on ne se contente que d’enchainer 5 étages maximum de chaque donjons allant de la difficulté risible au très dur. On se mange de nombreux Game Over, on recommence sans cesse un passage, et même si on garde à chaque fois toute l’exp emmagasinée, tout cela reste faible, on se lasse relativement vite du système par manque de profondeur. Un point très négatif est qu’une fois qu’on est arrivé au bout du donjon pour sauver le villageois, il faut se retaper tous les étages en sens inverse… Et cela à chaque fois ! Vraiment très vexant et très énervant, surtout quand on a déjà recommencé 15 fois les 3 premiers étages. Passons.
Au final, beaucoup d’idées sympathiques mais souvent exploitées qu’à moitié.
On se retrouve donc face à un jeu avec de nombreuses idées intéressantes mais qui laisse une sensation de non fini. Un peu comme tous les jeux signés Mistwalker.
Une expérience moyenne qui pourra plaire quelques heures à tous ceux cherchant de nouveaux concepts…
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