Commentaires RPG - Legendra RPG

franck.mail

le 17/11/2015

(Test sur iphone 6+)

Tout a été dit sur ce jeu: super ambiance, musiques rythme, narration, graphismes 2D.
Concernant la narration, en effet j'ai pas tout suivi, il faudrait que je fasse un New Game pour profiter des subtilités...

Concernant le gameplay cette fois: une vraie réussite sur iOs!
En effet, cette version vous propose un "autolock/autofire" qui frappe l'ennemi dès qu'il arrive à portée. Personnellement j'ai toujours trouvé que les titres iOs étaient désavantagés du fait de l'absence d'une interface pratique... eh bien là ce mode de jeu est parfait: vous tapotez la position du Kid, et il se charge du reste... Génial!
Cela équilibre beaucoup le challenge qui était àmha trop relevé sans ça.

Bref, super expérience!

Miracle Warriors: Seal of the Dark Lord

franck.mail

le 25/03/2013

Non mais Miracle Warriors, avec ses Evil Merchant, ses Kokins qui rapportent de la thune, son "Treo has come", son boss final bien en formes et sa musique de combat qui me revient immédiatement en tête alors que je n'ai pas touché au jeu depuis bientôt 30 ans... C'est une partie de moi, mince!

Bon certainement que si je le refaisais maintenant, je serais déçu (notamment parce que les jeux trop difficiles, j'ai plus assez de temps pour ça), mais je m'en fous! Nostalgia power!

Ultima IV: Quest of the Avatar

franck.mail

le 15/05/2009

Bien résumé.

Il fallait aussi acheter de la bouffe, qui était consommée à chaque pas... Combien de fois j'ai entendu le son strident suivi de l'affichage "starving... Step North... Starving... Step south... starving.... " etc etc... avec le HP des gugusses qui baisse en même temps. Chiant quand même, mais il n'y avait que ça!

Shining Force: The Legacy of Great Intention

franck.mail

le 02/08/2010

La version MegaDrive (pas le remix GBA, donc) vient de sortir sur l'AppStore de l'iPhone/ iPodTouch.

2, 39€, la Légende vaut bien ça!

Source: RPGFan / et mon iPhone français

Shining Force: The Legacy of Great Intention

franck.mail

le 13/08/2009

La note correspond à mon engouement de l'époque, bien entendu.

Je crois que c'est le seul jeu auquel on devait m'arrêter de jouer pour que j'aille dormir, à l'école, manger, etc...

La première partie (que je faisais avec mon frère) reste pour moi inoubliable, on n'en pouvait plus de jouer pour découvrir le prochain village, les prochaines recrues, le prochain boss, la prochaine map, la prochaine musique, les prochaines armes, le prochain bout de scénar et surtout surtout le prochain graphisme de fond de la bataille suivante.

Un équilibre éblouissant que je n'ai plus guère retrouvé très récemment que dans Valkyria Chronicles.

The Legend of Zelda: A Link Between Worlds 3ds

franck.mail

le 17/11/2015
8_5

Bien sûr l'histoire est nulle (on voit venir le principal plot twist à 100 miles).
Et, oui, la durée de vie même à 100% est vraiment trop faible.

Malgré tout, le monde d'Hyrule, que nous commençons à bien connaître, la maniabilité, les mini-games, les persos finalement pas si mal travaillés, le rythme histoire/jeu/minijeu/histoire/jeu etc... tout ça est de tout premier plan.

Et, SURTOUT, ce qui est génial dans Zelda c'est le level-design.
Il est jouissif de commencer les donjons en se demandant ce que les devs ont bien pu trouver comme casse-têtes qui vont nous forcer à réfléchir -oh pas bien longtemps- mais toujours avec la sensation d'avoir trouvé le "truc", bref d'avoir été malin...
Alors c'est vrai on commence à connaître: le grapin, les bombes, les gants de force, même les passages monde lumineux/monde obscur... mais c'est toujours super sympa... Et puis, il y a l'ajout fantastique de "paper link", qui ajoute encore à l'intérêt.

Bref j'avais pas super kiffé ALTTP, mais là j'ai pris mon pied... pas assez longtemps il est vrai.

Mario & Luigi: Voyage au centre de Bowser nds

franck.mail

le 22/11/2011

Je ne sais pas ce qui n'a pas marché, mais le jeu m'a fermement ennuyé, alors que j'avais bien aimé le deuxième épisode.
Les simagrées italiennes m'ont fait parfois sourire, mais souvent pas. L'humour de Bowser est ultra-lourdingue (oh oH OH je vais tout casser c'est rigolo).
Les lieux où évoluent M&L sont soit toujours pareils (l'intérieur de Bowser), soit toujours pareils (on se retape les niveaux de Bowser). Quelle variété!

J'avoue que techniquement c'est plus que correct, mais je me suis fait violence pour le terminer, alors que je trouve que je deviens de plus en plus bon public avec les JV...

Bref, pas bon pour moi, j'en suis le premier désolé.

Solatorobo: Red The Hunter nds

franck.mail

le 23/08/2011

Le parfait jeu de l'été.

Transportable, jouable par petites sessions d'environ 15 mn entre chaque sauvegarde, sans difficulté, avec une linéarité certes, mais dont on peut choisir l'ordre des missions, c'est le compromis idéal "non prise de tête", ce que j'aime sur les portables...

les +:
la technique
le gameplay, varié
le chara design
le level design

les +/-
la difficulté
les personnages attachants mais déjà vus
l'histoire, idem

les -
Aucun!

Dragon Quest IX: Sentinel of the Starry Skies nds

franck.mail

le 05/10/2010
Edité le 06/10/2010

Beaucoup a été dit:

les ++:
la longévité même post game (90h et je continue...)
les graphismes (les équipements visibles en jeu! waouh!)
la construction de l'équipe (création, choix des vocations)

les +
gameplay
ennemis visibles
la richesse des equipements, de l'Alchimie
les vocations et surtout leur fonctionnement
quelques parties du scenar
la relative facilité (quelques game overs quand même pour qui fonce droit vers le boss)
un équilibre général entre liberté et guidage
le chara design (sauf pour les allergiques à Toriyama)
classique jusqu'à la perfection

les =
musiques
scenar ne casse pas des barres

les -
quelques incohérences: pourquoi les équipiers humains ne s'étonnent-ils pas de se retrouver dans le ciel? Ils n'ont pas de vie??
Manque un coup de coeur (et pourtant je continue à jouer...?)

Infinite Space nds

franck.mail

le 06/05/2010

Infinite Space est un jeu avec lequel, disons-le, certains, même peu nombreux, auront du mal.
D'abord la DS ne se prête que peu aux très longues aventures, le petit écran, les sauvegardes uniquement sur les planètes, la précision du stylet empêchera d'en profiter dans les transports en commun. Ensuite, les Space-opera sont plus rarement appréciés que les bons vieux heroïc-fantasy, il n'y a pas ici de paysages bucoliques avec des rats pour seuls ennemis, ni de villages sympatoches, ou le fermier vous félicite pour votre belle épée, en vous laissant dézinguer ses jarres et ses tiroirs. Rien que le vide immense de l'Espace (Infini vous l'aurez compris).
Enfin, le ton du jeu a une tendance au mature, même si quelques répliques viennent très nettement dérider l'atmosphère (aaaah le "style grunge", j'en ris encore), et si le fanservice est souvent de rigueur (certaines de vos recrues en ont visiblement gros sur le coeur, et le montrent). Mais il y aura des morts, du sang, de la bravoure, des trahisons, des plot-twist et des révélations qui vous laisseront pantois.

Le jeu consiste donc à aider Yuri, le héros, à découvrir l'Univers, du moins au début, afin de devenir le pirate de l'Espace le plus renommé avec le vaisseau le plus perfectionné. Le problème est qu'on commence avec zéro renommée, et que Valantin le pirate mythique et son navire, le Corsair, (qui n'est pas sans rappeler l'Atlantis du capitaine Harlock -Albator-) sont déjà au Panthéon des infâmes de la Galaxie!

Au départ, on dispose de 2 membres d'équipage et d'un seul (petit) vaisseau. On recrute au cours de la partie des nouveaux membres, plus ou moins bons, qui vont évoluer. Au bout d'un moment, il y aura plus de membres que de places d'équipage, et le choix se révélera stratégique et passionnant, on peut passer son temps à faire et défaire ses combinaisons pour trouver le meilleur arrangement.
Les personnages sont inégaux, certains ont un charisme fou, d'autres aucun! Certains vont être très développés, d'autres pas du tout, et beaucoup interviendront une ou deux fois dans l'histoire, en général de manière très réussie. Au total, sur peut-être 80-90 persos, au moins la moitié auront un caractère très attachant.
Les vaisseaux sont eux aussi très nombreux, et composent une flotte qui peut aller jusqu'à 5 unités, que vous pouvez nommer au moment de l'achat. Préparez une bonne quinzaine au moins de noms qui ont de la gueule (ou qui vous font rire) pour encore plus d'immersion (j'avais pris comme thème la mythologie grecque, et mon dernier, je l'ai appelé... l'Atlantis bien sûr!). Chaque vaisseau a ses caractéristiques de départ, qui vont évoluer avec leur utilisation, et avec leur customisation. On peut changer à l'intérieur de nombreux modules, qu'il va là encore falloir modeler et remodeler en fonction du contexte, pour coller à l'action. Cette partie peut vous prendre 5 minutes comme une bonne heure par vaisseau pour les puristes, avec évidemment un résultat un peu meilleur quand on y passe du temps. Les combinaisons de modules, armes et chasseurs embarqués sont infinies, et on prend vraiment plaisir à la personnalisation de ses navires.

Le gameplay, probablement inspiré de Suikoden, est varié, et va du très efficace, les combats spatiaux par exemple, j'en ai parlé dans un précédent commentaire, au plus que bof, les combats à terre, assez nuls. La progression s'effectue par des lignes tracées entre les points spatiaux d'intérêt (planètes, zones, débris, étoiles, phénomènes...), avec de très nombreux événements scénarisés qui arriveront pendant les trajets ainsi que pas mal de combats aléatoires. Ceux-ci restent quand même sporadiques, et ne m'ont jamais agacé par leur nombre (et pourtant j'y suis très sensible). Il faut vraiment vouloir du levelling pour passer son temps entre deux planètes.
L'exploration des planètes est vraiment succincte, et consiste à taper du stylet sur deux écrans distincts, l'un où on sauvegarde, modifie son equipage, sa flotte, achète, vend ou remodèle ses vaisseaux, consulte le classement des pirates, l'aide du jeu (très utile), effectue des batailles en ligne (pas essayé); et l'autre où l'on va dans la taverne discuter, dans les QG, dans les boutiques etc... L'écran change à chaque fois de fond (à la Shining in the Darkness), mais c'est bien tout, les animations sont assez austères, il faut le reconnaître.

Le super point fort du titre, c'est son scénario! Un peu poussif peut-être au début, on a ensuite une succession d'événements, de dialogues, de surprise qui ne s'arrête qu'à le fin du soft. Environ une avancée de scénario toutes les 20 minutes de jeu, qui dit mieux? Qui plus est l'histoire est de super facture, nuancée (si vous aimez les méchants méchants et les gentils gentils, passez votre chemin) variée et riche de rebondissements plus ou moins (plutôt moins) prévisibles. Et encore, je ne parle pas des surprises annexes pléthoriques que vous aurez au détour d'une conversation dans une taverne, entre deux planètes, où en revenant parfois sur vos pas... C'est du super boulot de la part des p'tits gars de Platinum Games! Le jeu m'a pris, et ne m'a lâché avec amertume qu'à la fin (un peu courte à mon goût). Encore! Sur Next Gen please!

Parce qu'il faut dire que la technique atteint ses limites, DS oblige. Les musiques sont inspirées, mais peu nombreuses, et certaines finissent par lasser, les voix digitalisées pareil, niveau graphisme là encore la 3D est bien mais peu variée, et les nombreux arts 2D... bon ben voilà, la résolution de la DS ne les aide pas, quoi.
Et pourtant le design des vaisseaux est génial, l'ambiance vraiment excellente (certaines batailles sont d'une envergure incroyable), les musiques collent parfaitement... non vraiment à part le chara-design critiquable, je suis bien persuadé que ce n'est pas le talent qui a manqué, mais bien l'espace-cartouche.

All in all, ça donne un jeu un peu old-school passionnant, long (61 h pour moi), avec des persos attachants, une customisation au top, une difficulté au poil (globalement simple, mais attention à ne pas s'endormir sur ses lauriers, sinon les game-overs vous attendent), beaucoup de variété aussi bien dans les combats que dans l'exploration, malgré une technique limitée qui se fait parfois sentir. Notons que l'Univers ne se prête pas à une suite a priori, mais bon, s'ils en font une sur un support que je n'ai pas, et bah tant pis, ça me fera une console de plus!

Encore!
Infinite Space est un jeu avec lequel, disons-le, certains, même peu nombreux, auront du mal.
D'abord la DS ne se prête que peu aux très longues aventures, le petit écran, les sauvegardes uniquement sur les planètes, la précision du stylet empêchera d'en profiter dans les transports en commun. Ensuite, les Space-opera sont plus rarement appréciés que les bons vieux heroïc-fantasy, il n'y a pas ici de paysages bucoliques avec des rats pour seuls ennemis, ni de villages sympatoches, ou le fermier vous félicite pour votre belle épée, en vous laissant dézinguer ses jarres et ses tiroirs. Rien que le vide immense de l'Espace (Infini vous l'aurez compris).
Enfin, le ton du jeu a une tendance au mature, même si quelques répliques viennent très nettement dérider l'atmosphère (aaaah le "style grunge", j'en ris encore), et si le fanservice est souvent de rigueur (certaines de vos recrues en ont visiblement gros sur le coeur, et le montrent). Mais il y aura des morts, du sang, de la bravoure, des trahisons, des plot-twist et des révélations qui vous laisseront pantois.

Le jeu consiste donc à aider Yuri, le héros, à découvrir l'Univers, du moins au début, afin de devenir le pirate de l'Espace le plus renommé avec le vaisseau le plus perfectionné. Le problème est qu'on commence avec zéro renommée, et que Valantin le pirate mythique et son navire, le Corsair, (qui n'est pas sans rappeler l'Atlantis du capitaine Harlock -Albator-) sont déjà au Panthéon des infâmes de la Galaxie!

Au départ, on dispose de 2 membres d'équipage et d'un seul (petit) vaisseau. On recrute au cours de la partie des nouveaux membres, plus ou moins bons, qui vont évoluer. Au bout d'un moment, il y aura plus de membres que de places d'équipage, et le choix se révélera stratégique et passionnant, on peut passer son temps à faire et défaire ses combinaisons pour trouver le meilleur arrangement.
Les personnages sont inégaux, certains ont un charisme fou, d'autres aucun! Certains vont être très développés, d'autres pas du tout, et beaucoup interviendront une ou deux fois dans l'histoire, en général de manière très réussie. Au total, sur peut-être 80-90 persos, au moins la moitié auront un caractère très attachant.
Les vaisseaux sont eux aussi très nombreux, et composent une flotte qui peut aller jusqu'à 5 unités, que vous pouvez nommer au moment de l'achat. Préparez une bonne quinzaine au moins de noms qui ont de la gueule (ou qui vous font rire) pour encore plus d'immersion (j'avais pris comme thème la mythologie grecque, et mon dernier, je l'ai appelé... l'Atlantis bien sûr!). Chaque vaisseau a ses caractéristiques de départ, qui vont évoluer avec leur utilisation, et avec leur customisation. On peut changer à l'intérieur de nombreux modules, qu'il va là encore falloir modeler et remodeler en fonction du contexte, pour coller à l'action. Cette partie peut vous prendre 5 minutes comme une bonne heure par vaisseau pour les puristes, avec évidemment un résultat un peu meilleur quand on y passe du temps. Les combinaisons de modules, armes et chasseurs embarqués sont infinies, et on prend vraiment plaisir à la personnalisation de ses navires.

Le gameplay, probablement inspiré de Suikoden, est varié, et va du très efficace, les combats spatiaux par exemple, j'en ai parlé dans un précédent commentaire, au plus que bof, les combats à terre, assez nuls. La progression s'effectue par des lignes tracées entre les points spatiaux d'intérêt (planètes, zones, débris, étoiles, phénomènes...), avec de très nombreux événements scénarisés qui arriveront pendant les trajets ainsi que pas mal de combats aléatoires. Ceux-ci restent quand même sporadiques, et ne m'ont jamais agacé par leur nombre (et pourtant j'y suis très sensible). Il faut vraiment vouloir du levelling pour passer son temps entre deux planètes.
L'exploration des planètes est vraiment succincte, et consiste à taper du stylet sur deux écrans distincts, l'un où on sauvegarde, modifie son equipage, sa flotte, achète, vend ou remodèle ses vaisseaux, consulte le classement des pirates, l'aide du jeu (très utile), effectue des batailles en ligne (pas essayé); et l'autre où l'on va dans la taverne discuter, dans les QG, dans les boutiques etc... L'écran change à chaque fois de fond (à la Shining in the Darkness), mais c'est bien tout, les animations sont assez austères, il faut le reconnaître.

Le super point fort du titre, c'est son scénario! Un peu poussif peut-être au début, on a ensuite une succession d'événements, de dialogues, de surprise qui ne s'arrête qu'à le fin du soft. Environ une avancée de scénario toutes les 20 minutes de jeu, qui dit mieux? Qui plus est l'histoire est de super facture, nuancée (si vous aimez les méchants méchants et les gentils gentils, passez votre chemin) variée et riche de rebondissements plus ou moins (plutôt moins) prévisibles. Et encore, je ne parle pas des surprises annexes pléthoriques que vous aurez au détour d'une conversation dans une taverne, entre deux planètes, où en revenant parfois sur vos pas... C'est du super boulot de la part des p'tits gars de Platinum Games! Le jeu m'a pris, et ne m'a lâché avec amertume qu'à la fin (un peu courte à mon goût). Encore! Sur Next Gen please!

Parce qu'il faut dire que la technique atteint ses limites, DS oblige. Les musiques sont inspirées, mais peu nombreuses, et certaines finissent par lasser, les voix digitalisées pareil, niveau graphisme là encore la 3D est bien mais peu variée, et les nombreux arts 2D... bon ben voilà, la résolution de la DS ne les aide pas, quoi.
Et pourtant le design des vaisseaux est génial, l'ambiance vraiment excellente (certaines batailles sont d'une envergure incroyable), les musiques collent parfaitement... non vraiment à part le chara-design critiquable, je suis bien persuadé que ce n'est pas le talent qui a manqué, mais bien l'espace-cartouche.

All in all, ça donne un jeu un peu old-school passionnant, long (61 h pour moi), avec des persos attachants, une customisation au top, une difficulté au poil (globalement simple, mais attention à ne pas s'endormir sur ses lauriers, sinon les game-overs vous attendent), beaucoup de variété aussi bien dans les combats que dans l'exploration, malgré une technique limitée qui se fait parfois sentir. Notons que l'Univers ne se prête pas à une suite a priori, mais bon, s'ils en font une sur un support que je n'ai pas, et bah tant pis, ça me fera une console de plus!

Encore!

Infinite Space nds

franck.mail

le 23/03/2010

C'est pas un S-RPG

Je sais pas à quoi tu compares, mais même si c'est vrai que la réflexion est moins sollicitée que la rapidité d'exécution, la plupart des C-RPG ont un système de combat encore plus basique pour les ennemis communs (bataille s'engage, je martèle le bouton action de chacun de mes persos enattribuant si besoin une cible séparée à chacun, allez, un heal si ils n'étaient pas en forme au début du combat, et puis c'est marre). Ici, tu places ou pas un dodge, tu surveilles la jauge d'action, le périmètre d'action de chacune de tes armes, la formation ennemie, la position des vaisseaux, la couleur qui les entoure, et ensuite une attaque normale, barrage ou mêlee, à répéter. Bref.

Infinite Space nds

franck.mail

le 22/03/2010

Bonne surprise que ce petit Infinite Space.

C'est un peu Suikoden qui se lancerait à l'assaut de Firefly (la série).

Il manque un peu de polish au niveau de la 3D, des transitions absentes, des musiques qu'on entr'aperçoit 5 sec et qui s'arrêtent à la faveur d'un changement de lieu ou de rythme, mais pour l'instant (un gros 1/3 du jeu environ, basé sur mes recrues), l'équilibre entre recherche, leveling, liberté de mouvement, gestion, et avancées de scénar se tient bigrement bien.

Vivement ce soir que j'y retourne. <

Fighting Fantasy: The Warlock of Firetop Moutain nds

franck.mail

le 17/02/2010

C'est con que ce soit nul, "Le Sorcier de la Montagne de Feu", c'était (avec "La Grande Menace des Robots") mon premier Livre dont Vous êtes le Héros!
M'enfin bon, à 40€ la daube, et surtout le peu de temps dont je dispose, ça fait un peu hiéch...

The Legend of Zelda: Spirit Tracks nds

franck.mail

le 02/02/2010

Pour faire court:

<

+ l'histoire, quoiqu'assez infantile (comme tjrs avec les Zelda), m'a plu.
+ quelques bonnes idées de plus que dans PH
+ le gros défaut de refaire les mêmes étages du même donjon dans PH a été révisé.
+ tjrs un gameplay aux petits oignons(sauf pour Zelda)

- un peu beaucoup de tchoutchou sur la fin, mais pas non plus l'horreur comme ce qui a été dit ici.
- graphiquement peu innovant par rapport à PH

Je ne comprends pas cette haine de la flûte de pan, je n'ai perso eu que de très courts problèmes (et pourtant mon sens du rythme n'est pas réputé...).

Comme quoi, les phénomènes de masse...

Final Fantasy IV nds

franck.mail

le 22/01/2009
Edité le 22/01/2009

Première fois que je fais Final IV, c'est dire si la 3D ne m'a pas choqué, au contraire, c'est plutôt beau pour la DS. Technique OK, donc, côté graphismes, musiques, bruitages (les musiques n'ont jamais été un point crucial pour moi, je sais pas pourquoi...)

Côté scénar, l'épopée est super: pas la plus compliquée ni la plus subtile que j'aie vu, mais suffisament épique et à rebondissement pour qu'on ait envie d'aller au bout. C'est le premier Final qui ne me gave pas à la moitié, champagne!

Mais alors je ne comprendrai décidément jamais l'intérêt de multiplier les possibilités tactiques à l'infini: Attaque, défense, changement de rang, caractéristiques spéciales, caractéristiques bonus à attitrer à tel ou tel charac (dont la plupart tournent de manière un peu forcée scénaristiquement, on sent que Square n'a pas voulu que l'on puisse choisir), magie blanche, magie noire, summons, items et j'en oublie... pfff que c'est inutilement compliqué par rapport à d'autres jeux dont le système de combat beaucoup plus simple se suffit à lui même (DQ ou SF notamment).

Autre point négatif, le dernier donjon et ses rencontres aléatoires interminables, lentes et même difficiles pour qui n'a pas levellé ... j'ai failli abandonner (comme pour le VII, le VIII, le III)... mais la proximité de la fin m'a tenu en haleine, et voilà, fini!

Du coup, j'attends le V et le VI avec une certaine impatience!

Dragon Quest IV: L'épopée des Elus nds

franck.mail

le 02/12/2008
Edité le 06/10/2010

4.5 pour moi et pour l'instant, je reverrai peut-être à la baisse plus tard.

Enfin un vrai RPG sur DS qui donne vraiment envie d'aller au bout (et même de se faire l'épisode bonus), loin des TWEWY et autre FF3, qui ont l'air terribles au début, mais finissent par lasser.

+ : l'humour, les persos, les 4 premiers chapitres, le dessin, la longévité (une bonne cinquantaine d'heure pour moi... je dois trainer un peu, j'imagine...?)

- : le scenar un peu pauvre

Castlevania: Order of Ecclesia nds

franck.mail

le 27/10/2008
Edité le 21/12/2008

Le test va sensiblement, mais c'est son droit, dans une direction opposée à la plupart des reviews en ligne. Celle-ci décrivent "Order of Ecclesia" comme supérieur à Portrait of Ruin, et le comparent plus volontiers à l'excellent SOTN, quoiqu'au désavantage du soft DS.

A voir notamment sur Metacritic

Edit: Je viens de le finir avec presque tous les équipements. Une vingtaine d'heures acharnées, la difficulté est effectivement au RDV, sans être injouable (hors boss limite décourgeants).

Le village, les lieux, les glyphes, les quêtes, le challenge, tout est bon. Bref, un super Castlevania, où on ne peut déplorer qu'un seul bémol, la faiblesse du point de vue scenario.

Star Wars: Knights of the Old Republic

franck.mail

le 29/04/2009

J'adore!

L'univers, l'histoire, le déroulement des combats (au système de points, comme pour les compétences, calqué sur celui de AD&D), les musiques, bref, tout me plaît!

Il est vrai que le jeu est plus dur quand on s'oriente du côté lumineux de la Force, mais c'est pour moi un plaisir supplémentaire!

Mon seul regret : à quand le 3?

Natural Doctrine play3

franck.mail

le 17/11/2014
Edité le 17/11/2014

J'ai commencé ND avec un a priori positif (nouvelle license, chouette!) mais un peu de peur (les reviews et la difficulté annoncée ++).

Le début de ma partie a été stressant mais génial: le système est vraiment bien fichu, novateur, et ne compte que sur la concentration du joueur: tout est calculable à l'avance, pour peu qu'on y réfléchisse un peu, et la courbe d'apprentissage est rapide et récompensante. Dans ce contexte, la technique à la rue et l'absence d'histoire ne me dérangeaient pas.

Ca devenait même un réel plaisir que d'ouvrir une porte ou un coffre: du bon, du vrai grand stress, et la victoire était un vrai plaisir.

Dans le dernier tiers du jeu, néanmoins, les maps deviennent moins intéressantes, il n'y a plus de portes à ouvrir, et la difficulté baisse globalement.
De plus, le scénario auquel on pouvait pardonner la légèreté initiale ne décolle toujours pas, pire que ça, il retombe, sans jamais éveiller l'intérêt.

Les personnages recrutés confirment leur platitude, ou alors débarquent comme un cheveu sur la soupe, aucun soin n'est accordé à leur background...

Bref l'immersion que les plus patients et férus de T-RPG ont pu ressentir dans la première partie de l'aventure retombe comme un soufflé, et c'est avec un mélange de regrets et de soulagement que l'on repose le pad.

Je note 6 pour l'effort fourni à la conception d'un gameplay qui, allié avec un poil de technique, de scenar et de direction artistique, aurait pu faire un carton.

Eleve Kadokawa
6/10
Peut, non, DOIT faire ses preuves.

South Park: Le Bâton de la Vérité play3

franck.mail

le 21/04/2014
8_5

Un amateur de South Park ne peut pas dire qu'il a vu tous les épisodes s'il lui manque ce jeu: c'est un concentré de tout ce qui fait de South Park, South Park:
1. La satire du monde moderne: que ce soit le jeu vidéo lui même (les détournement des codes bien rigides du RPG sont légion), la friends-mania sur FB ou autre site de réseau, la religion (I found Jesus!), la politique, la naïveté de la population face au consumérisme ("Taco Bell" XD), tout en prend pour son grade!
2. La vulgarité parfaite est de mise: caca, pipi, caca qui a fait pipi, pets, godes, anus, testicules, etc... Je déconseille d'ailleurs la version française, censurée: j'ai pris perso la version Grand Wizard sur un site canadien.
3. Il n'y a jamais de limite au mauvais goût, c'est ça qui est bon!
4. Les héros de South Park sont complètement dans leur rôle, c'est agréable de passer un moment interactif avec eux.

De plus on sent qu'Obsidian ne s'est pas foutu de nous: le bestiaire est vraisemblable; les items sont innombrables et décris avec humour; le gameplay en combat est soit cohérent pour des gosses (les pets enflammés de Cartman, les potions à base de Cheesy poofs, le café Tweek qui permet d'attaquer 2 fois), soit loufoque mais hilarant (les plaies d'Egypte, la grosse attaque de Butters...), soit les 2 (la berceuse de Jimmy, juste énorme, l'attaque spéciale de Sparky...).

Bref, du sérieux du lourd du bon avec ce SP:TSoT.

++ le Canada et toutes les références aux RPG (conseil: choisissez bien un nom qui déchire au début du jeu, sérieux, réfléchissez bien)
++ Des donjons déjà cultes (avec les gnomes, avec M. Esclave...). Mais pas cultes et voilà. Non. CULTES.
++ Le système de combat
++ L'avancée dans les zones de jeu (mini énigmes, esquive des ennemis possible)
++ Le Trophée "Trop loin". Aller trop loin dans SP, faut vraiment le faire...!
++ South Park, quoi.

+ Tout le reste

- durée de vie: les bons jeux sont toujours trop courts...
- j'ai trouvé l'histoire principale centrée sur le Nouveau un peu en retrait, mais en fait osef
- bon graphiquement c'est South Park, donc c'est moche (mais fidèle) et ça se paye le luxe de ralentir parfois...

Je ne mets pas plus que 8,5 eu égard à la technique et parce qu'est un peu trop facile et finalement pas assez addictif, mais c'est du bonheur, ce jeu.

"There once was a Maiden from Stoneberry Hollow...."

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