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298 commentaires
Ys: The Oath in Felghana pc
Bao

le 02/10/2010
Edité le 18/10/2010
9
C'est fun, c'est intense, c'est sans prise de tête, l'histoire reste classique mais relativement agréable à suivre, le gameplay est bien maitrisé de bout en bout, les boss-fights sont jouissifs (par contre oui le jeu est dur, j'ai enchainé les GO contre les boss, mais la satisfaction en est que plus grande au moment de la victoire), ET LA BANDE SON EST JUSTE ULTIME ! C'est très propre et mignon graphiquement, les paysages traversés sont très jolis et les personnages ont droit à une refonte graphique qui leur fait honneur. Bref QUE DU BON (y'a même un patch us fan-made qui se balade), hormis une durée de vie un peu courte !
Ys III: Wanderers from Ys snes
Bao

le 29/09/2010
Edité le 30/09/2010
4
Graphiquement assez pauvre pour de la SNES, mais ça reste acceptable (les boss sont cool en revanche, par contre le boss final est interdit aux épileptiques). Par contre les cutscenes sont d'un moche, Adol a vraiment l'air d'un ahuri. La musique est très bonne par contre ! Et suis resté insensible au scénario tellement c'est simplet et prévisible, mais au moins ça se laisse suivre.

Mais qui m'a le plus fâché c'est le gameplay : ce scrolling est détestable, et la nouveauté que représente le saut est juste frustrante tant c'est imprécis. En combat Adol a cette fâcheuse tendance à agiter son épée à toute vitesse comme un mongol, y'a pas de réelle gestion des "chocs", les ennemis sont toujours en mouvement et au final c'est dur de porter des coups corrects sans se faire toucher tellement tout va vite. Et mention spéciale au calibrage du jeu, juste bizarre, pourtant Adol n'a "que" 16 niveaux à monter et pourtant il faut s'amuser à pexer, comme ça. Du genre pour fumer en quelques coups un boss en ayant pris un niveau, tandis qu'au précédent il était tout simplement invincible ! Le jeu est dur mais pas à cause du défi proposé, plus à cause d'une jouabilité pas top.

Bref pas fameux, mais (très) court pour compenser.
Puzzle Quest II pc
Bao

le 28/09/2010
Edité le 19/05/2013
3_5
C'est comme le premier, mais en moins réussi. En beaucoup moins réussi. Le jeu reprend les bases de son ainé et place sa maigre histoire et ses musiques inexistantes dans un très long donjon qu'on va parcourir en tatannant tout ce qui nous passe sous le pion, et en résolvant énigmes et affrontements annexes lors de tableaux particuliers (crochetage de coffres / serrure, désamorçage de pièges, acquisition de butin de nouveaux sorts). Tout le super côté custom du 1 a disparu au profit d'un bête drop / upgrade (occasion d'aller farm tiens !), le jeu inclu de nouvelles mécaniques qui le rende plus bourrin que son ainé, comme l'attaque directe à l'arme, mais aussi bien plus frustrant (comme le blocage, mal foutu, qui visera surtout à vous énerver et à prolonger inutilement les combats). Ah et surtout, la très très très très très bonne idée d'adapter le lvl des ennemis en fonction du notre, et d'enlever la capacité de les esquiver. Le jeu étant très lent, j'ai parfois eu l'impression de plus avoir droit à une punition obligatoire pour avancer (et Dieu m'apparut alors et me parla du Cheat Engine et de sa fonction speedhack) qu'autre chose.

Ça reste addictif, mais c'est pas terrible quand même. Préférez le 1.
Chrono Cross play
Bao

le 28/09/2010
Edité le 19/05/2013
9_5
J’ai adoré l’univers et l’ambiance du jeu du début à la fin. Le petit monde tropical d’El Nido est juste magnifique de bout en bout, riche en couleurs, vivant, esthétiquement très réussi, à ça se rajoute une OST sublime (mis à part cet affreux thème de combat qui constitue la seule fausse note, à mon goût), le jeu dispose d’une personnalité aussi envoutante qu'unique, sous laquelle je suis resté sous le charme durant toute l’aventure. Le grand nombre de personnages disponible m'a pas dérangé, chacun a son style et sa propre identité, parfois ridicule ou amusante, mais tous restent attachants, même si la grande majorité ne disposera pas forcement de l’aura ou du développement nécessaire à en faire un personnage de grande classe, ou plus simplement un personnage « utile ».

Le scénario est vraiment super, très riche et assez mature dans ses termes abordés, avec des perso. principaux vraiment intéressants et travaillés, disposant de rebondissements vraiment surprenants et efficaces, quoiqu’un peu brainfuck sur le long terme avec ce principe de monde parallèles. En bon fanboy j’ai été ravi de voir les clins d’œil et les références à CT, jusqu’à voir que ça allait bien plus loin que ça, même si certaines incohérences font leur apparition (sans forcement noircir le tableau). J’ai pas décroché tout le long et j’ai toujours eu l’envie d’avancer pour voir la suite.

Autre excellent point c’est tout le calibrage lié au gameplay, qui j’ai trouvé favorise la progression et l’histoire : le jeu n’est ni trop dur ni trop facile, la très bonne idée de l’Element Grid permet de constamment s’adapter aux situations, le système d’XP permet de toujours être à niveau (et efface d’éventuelles phases de leveling), les affrontements sont non-aléatoires, et l’équipement présent en petit nombre s’acquiert naturellement. Juste dommage que le jeu soit si avare en informations en dehors de la quête principale, j’ai été surpris de la quantité de choses que j’ai pu rater (perso, items, tech), et pourtant c’est pas faute d’avoir crawl plusieurs fois les deux mondes !

Un vrai petit bijou ce jeu !
Legacy of Ys: Books I & II nds
Bao

le 12/09/2010
7
Assez pauvre graphiquement mais avec des artworks de toute beauté, une histoire sympathique comme tout étalée sur les deux jeux, un gameplay simple et bourrin mais foutrement dynamique et efficace, la maniabilité est top, les boss fights sont tout simplement jouissifs (ceux de Ys 2 à la limite du shmup !!) et la bande son est géniale du début à la fin.

J'ai été surpris de la cassure que représente le dernier donjon dans chaque jeu (qui occupe facile la moitié de l'aventure) un peu en mal, surtout dans le 2 avec ce temple retord et les allers retours incessants. Un peu frustré également par le calibrage du jeu, le 1 bien trop facile (le boss de fin est une blague) et le 2 bien dur, avec un étalage d'exp mal foutu qui casse le rythme, même en butant tout ce qui passait sur mon chemin je suis passé plusieurs par la case pexage pour obtenir le lvl minimum pour avoir une chance face aux boss.

Bon petit jeu au final, je me suis pas ennuyé une seconde, et ça m'a bien donné envie de découvrir la saga !
Shin Megami Tensei: Strange Journey nds
Bao

le 10/09/2010
Edité le 19/05/2013
6_5
Déjà commencer par la chose qui m'a plu, ça a été l'aspect "vices et tords" de la société humaine, servant grossièrement de tapisserie au background du jeu, on y fait constamment face, que ce soit dans l'esthétique des donjons, le scénario, les dialogues aussi bien avec démons qu'humains, avec un petit aspect survie tournant tout autour... du moins dans la première partie, la deuxième, purement megatenienne avec l'habituelle trinité law / neutral / chaos et tout ce que ça implique d'anges, de démons et de morales discutables, est amenée totalement à l'arrache. L'histoire à un rythme très lent et tout s'accélère à la fin, comme ça. Les personnages sont pas très intéressants, et on a vraiment peu d'impact et d'implication sur les évènements. Bref pour l'histoire, c'est pas trop ça. Pour la musique pareil, le tout orchestral m'a moyennement convaincu, ça remplissait correctement son rôle de zik d'ambiance, mais sans plus (mais les ziks de fights sont naaaaaaazes). De tous les jeux de la franchise SMT que j'ai fait, c'est le premier à me décevoir à ce niveau.

J'ai pesté contre pas mal d'éléments du gameplay, notamment le système de forma (putain de système de farm d'objets !), de l'Analysis, et surtout, SURTOUT le système des Sources, vraiment, mais vraiment à chier : seul moyen de customiser ses démons, ça passe par l'analyse complète d'un démon, enchainé par un un lvl up, afin d'obtenir sa source, source contenant des skills spécifiques au démon (et parfois très puissants, ou très rares !). Source qui ne pourra être qu'une seule fois (enfin théoriquement plusieurs fois, avec un % extrêmement faible que le démon la redonne a un lvl up). Et vu qu'on a pas d'indications sur le contenu de la source avant de l'obtenir... ^^. VIVE LE SYSTEME DE PASSWORDS !

Et tant qu'on est dans le négatif, comment ne pas parler du level design du jeu, avec ses maps immenses, ou chaque donjon vous fait constamment vivre et subir les pièges et énigmes les plus retords et vicieux qui soient. Du bon vieux dungeon crawler qui fait baver (un petit exemple avec l'un des étages du donjon le plus hardos du jeu :http://db.gamefaqs.com/portable/ds/file/shin_megami_tensei_sj_sector_eridanus_1f.png

Par contre rayon démons j'ai été ravi, y'en a une pétée, le design est sublime, le système de fusion pas trop mal, et ils sont même "mythologiquement" exploités lors de quêtes très sympathiques.

Au final c'est pas catastrophique, même si certains éléments m'ont fait soupirer plus d'une fois je me suis jamais forcé à le finir. Mais c'est bien en dessous de mes attentes quand même...
Fire Emblem: Thracia 776 snes
Bao

le 26/08/2010
Edité le 26/08/2010
4
Une side-story à FE4, qui narre les (més)aventures du Prince Leaf dans Thracia avant qu’il joigne l’armée de libération (dans FE4). L’histoire est basique et rythmée, avec un casting plutôt attachant. Dommage que le développement des personnages soit pas très folichon, pour une grande majorité ça s’arrêtera au dialogue de recrutement. Bof. Le jeu est très joli, et dispose de bonnes musiques.

Le gameplay, le sujet qui fâche... Thracia 776 abandonne une partie des bonnes bases posées dans son ainé, et adopte la « beta » du modèle qui sera utilisé et peaufiné dans les versions GBA (shop / arena / storage sur le terrain, système de promotion par item, possibilité de porter, etc.). Le système de fatigue, mettant automatiquement out les personnages trop utilisés est... déroutant (oubliez la seule idée de jouer avec vos perso. préférés, faire tourner les unités est un impératif). Autre mécanique majeure, le système de capture, ou il faut chopper les adversaires pour les dépouiller (seul moyen viable de s’approvisionner en armes et items) est une idée séduisante mais terriblement chiante et usante passé un cap.

Bref ça c'était l'entrée, les 3 premiers chapitres, après vient le plat de résistance dès le chapitre 4, et on voit à quel point le jeu est totalement broken (ce qui d'ailleurs est la cause principale de sa réputation de FE le plus dur, pour moi) : les unités ennemis proposent aucun défi ou au contraire sont totalement fumées, le point critique étant atteint vers la fin (le boss de fin étant une blague absolue, son armée sûrement pas). Le RNG (random number generator, mécanique incluse dans la formule de calcul hit / critical) a sérieusement un grain (j’ai jamais autant raté de coups à 95 % et pris de coups à 2 %, même les soins peuvent rater). Le level design est vicieux - parfois l’impression que lui aussi est contre nous – encore plus quand il joue des coudes avec les ennemis, histoire de frustrer et d'énerver jusqu’au bout (rah ces map à conditions pour les chapitres gaiden...) . Pourtant je sais pas, j'ai eu comme une espèce d'admiration malsaine vis à vis de cette difficulté, à toujours vouloir avancer jusqu'à la fin pour savoir ce que j'allais me manger dans les dents.

Bref j’en ai chié. Apparemment le jeu aurait été conçu avec une base « réaliste » - du moins l’idée qu’on commande une petite bande, et pas une armée - et c'est tout sauf fun. Ma motivation première pour avancer ça a été le lien avec FE4, et dans une moindre mesure, une rage vengeresse grandissante. Même pas une satisfaction face à la difficulté, plus une délivrance.

(nb : après avoir fini le jeu j'ai découvert l'existence d'une astuce lors de la création d'une nouvelle partie, qui octroie le statut Elite (+50% d'exp) à tous ses trouffions. Chose assez sympathique)

Fire Emblem: Seisen no Keifu snes
Bao

le 19/08/2010
Edité le 26/08/2010
9
Les ressentiments que j’ai eu dès le début ont persistés tout le long : les maps sont immenses, ridiculement immenses (elles sont censées représenter une région entière) et ça casse le rythme, et pas que le rythme quand on calque son avancée sur les unités les plus lentes, unités évidemment les plus indispensables (j’ai pas honte de le dire, j’ai pas hésité longtemps avant d’avoir recours aux fonctions speed up de l’émulateur...) Aussi, moyennement apprécié la « mécanique d’individualité » du jeu : autant le système arène / réparation d’armes est une idée géniale, autant le système de gestion gold / items est vraiment chiant. Les prémices du système qu’on connaît aujourd’hui apparaissent dans ce jeu, et c’est déséquilibré à mort (General ou porteurs de haches juste bon à jeter, à l’inverse les Swordmasters sont de véritables bouchers, par exemple)

Mais j’ai pas décroché tout le long. Le background du jeu est riche et immersif, le scénario est travaillé, sans concessions et est prenant à mort, et alterne avec finesse moments sombres, dramatiques, épiques ou touchants (TOUT le chapitre 5, qui tombe comme un couperet !!). En termes d’intensité et de profondeur, Seisen no Keifu enfonce tous les FE que j’ai fait jusqu’à présent. Le casting du jeu est également très réussi, aussi attachant que haïssable (le devenir de la 1st gen >< !). Le système de génération est super bien foutu, même si un peu compliqué à dompter à la base (la mécanique de formation des couples est tout sauf évidente), et peut donner des résultats vraiment monstrueux pour peu qu’on l’exploite correctement. Le mot « Bataille » à jamais trouvé autant d’écho dans un FE, la difficulté est bien présente et parfaitement dosée, même si elle tend à s’effacer un peu dans la deuxième partie du jeu, ou l’on dispose d’unités surpuissantes issues de la formation des couples, et des armes légendaires.

Un petit mot sur le patch US, malheureusement pas fini : les titres de chapitre ne sont pas traduits (et y’a 2-3 blagues des traducteurs tout le long), et la conclusion après le dernier chapitre ne l’est pas non plus (il faut avoir recours à un script si on veut la connaître !). Mais tout le reste (histoire, talk events, menus, etc) l’est entièrement.

En définitif, bonne petite tuerie. Son titre de « meilleur Fire Emblem » est pas volé.
Persona 2: Eternal Punishment play
Bao

le 12/08/2010
Edité le 21/05/2013
8_5
Un scénario béton, certes moins pêchu et fou que celui de IS, mais avec un côté terre à terre assez dark et mature dans son approche (peut être le fait qu’on joue avec des adultes ?). Le côté « revisité » de IS m’a pas dérangé, c’est bien mené, on a vraiment une seconde vue sur les personnages et les évènements. Des deux P2 ça doit être celui qui a le plus de liens avec P1 (par la présence et l'implication de certains personnages) ça m'a pas dérangé outre mesure (n'ayant pas touché à P1). A part trois lignes à aller chercher sur wiki pour saisir qui était un certain personnage, le jeu distille parfaitement les informations nécessaires à la compréhension de l’histoire. Le casting est toujours aussi bon - quoique le fait d’avoir pris Maya comme MC reste discutable - ainsi que l’univers du jeu, bien plus riche et fourni que dans son prédécesseur (rien que le côté « rumeurs » mieux maitrisé et offrant plus de contrôle sur Sumaru City, j’ai trouvé ça cool, même si c’est accessoire). Et toujours une très bonne OST. Le massacre lié à « l’américanisation » du jeu est par contre super irritant (les doublages, putain).

Pour le gameplay on prend le même et on recommence, y’a pas mal de petits défauts qui ont été gommés ou améliorés (fusions spells via liste ! En plus les spells possibles viennent en haut de liste ! ALLELUIA), plein d’autres petits trucs ajoutés qui fluidifient le jeu (genre les gears, qui allègent un peu le rank up) mais malheureusement les mêmes grosses tares persistent, notamment au niveau du système de combat, ou on retrouve avec désarroi une gestion des tours toujours aussi calamiteuse, et un système de contact encore plus retord qu’avant.

Jeu de grande classe, je le préfère à IS mais vraiment d’un chouilla, et il apporte une conclusion sublime pour Persona 2.
Persona 2: Innocent Sin play
Bao

le 13/07/2010
Edité le 19/05/2013
8_5
J’ai surkiffé l’histoire. Ce que j’ai cru être au départ un récit assez classique sur fond de mythes urbains (idée déjà originale et séduisante au départ) s’est vite transformé en une épopée sans temps morts, ou surprises et révélations vraiment folles se sont enchainées avec une alchimie géniale, avec beaucoup d’insistance sur les (très bons) personnages, et le tout est très bien traité et mis en scène. Également bien aimé le fait de constamment voir l’environnement autour de soit évoluer (les rumeurs, les NPC, les dialogues progressifs, etc.), ça donne une certaine vie à l’univers (même si au fond c’est qu’un détail). Et l’OST est géniale (le thème des Longinus, les versions du main theme ou encore l’opening dans mes préférées) !

C’est plus avec le côté gameplay que j’ai été fâché, car c’est vraiment du caca. J’ai trouvé certaines idées sympas (contracts, fusions spells) mais dans l’ensemble c’est tellement mal foutu et agencé que ça en devient très vite lourd et chiant (la gestion des tours, le contact casse bonbons passé un cap, le rank up, la mécanique brouillonne des fusions spells pour ne citer que ça). A croire que l’équipe du jeu a torché le brainstorming et le développement de toute la partie gameplay en une seule journée, ou le saké coulait à flots.

Mais grand jeu quand même, je l'ai apprécié jusqu'au bout, grinçant quand même des dents en supportant ce gameplay moisi
Atelier Annie ~Alchemists of Sera Island~ nds
Bao

le 09/06/2010
6
Le soft baigne vraiment dans une ambiance pétillante, c’est pas prise de tête et ça turbine à la bonne humeur. C’est très coloré et la musique suit le mouvement, les personnages sont amusants et le jeu est blindé d’humour avec de (TROP) nombreuses scènes et autres dialogues. Et les scènes d’ouverture sont justes épiques .

C’est avec le côté gameplay que à tâché. L’alchimie est bof (le système de traits…), les combats sont bof (pour pas dire inutiles), « l’exploration » est bof (si on peut appeler ça de l’exploration). Le petit côté gestion est sympa. Mais c’est surtout la gestion du temps qui m’a usé, frustrante et restrictive, usant mon capital patience jusqu’à sa dégringolade. Ce time management est vraiment le pire ennemi du jeu, y’a pas mal de choses à faire et trop peu de temps pour, j’ai passé mon temps à rusher et à surveiller le plus paranoiaquement possible mon cahier de jobs en courant tous les lapins à la fois (et c’est pas faute de s'organiser pourtant), pour au final me cogner totalement de la compétition et faire ça comme je le sentais. J’aurais au moins fini avec l’ending « Annie Comptable » sans trop savoir comment (à croire que j’ai ça dans le sang), et clairement pas l’envie de recommencer.

Un jeu léger et fun, mais ce gameplay est bien trop mal calibré pour en profiter pleinement, à mon goût. C’est dommage car le mélange gestion / "Atelier" est quand même sympathique (et avec du potentiel).
Atelier Iris 3: Grand Phantasm play2
Bao

le 06/06/2010
Edité le 16/07/2014
6_5
Les personnages sont attachants (faute d'êtres réellement intéressants, à mon goût) et bénéficient d’un chara-design efficace. J’ai trouvé l’ensemble scénaristique sans grandes prétentions, mais il se laisse suivre agréablement, à son lot d’humour (le nain masochiste…) et de scènes tristounettes notamment à travers les quêtes (système de progression qui ne m’a pas trop dérangé autre mesure), et la storyline dispose d’un finish efficace (j’ai eu la good ending).

Graphiquement pas grand-chose à dire, de la 2D bien Gustienne, très colorée, ni trop clinquante et ni trop pauvre. Par contre mention aux entrées de zones, inutiles certes, mais superbes (Grimoire !) La bande son est sympathique, agréable et accompagne bien le jeu, et propose même quelques morceaux bien puissants.

La difficulté du soft est assez bien équilibrée, hormis lors de quelques pics de difficultés bien sentis, la progression est assez fluide, aussi bien en exploration (la découverte progressive des map) qu’en combat (les classes d’ailleurs, great idea, et PUIS LE BURST !). Le système d’alchimie est très bon et facile d’utilisation, malgré la « frustration » constante que représente l’acquisition d’une nouvelle recette (enfin dans mon cas, notamment avec les dérivations de recettes… avec RIEN pour les deviner, j’étais constamment à faire un full check des items...)

J’ai trouvé le jeu rapidement très répétitif. « Uniquement » 5 map ça fait peu à mes yeux, elles deviennent vite très familières, surtout quand on doit les revisiter X fois et se taper des trajets jusqu’au bout des maps pour des objectifs parfois con-con ou anecdotiques, ou aller chercher quelques ingrédients (car le jeu est bien avare, même en étant top-Raider-de-la-mort-qui-tue faut pas espérer un seul coup de main de la part de la guilde ou des commerçants, ne serait-ce que sous la forme d’un renouvellement de stock…), le tout avec un timer peu clément au cul (hais-déjà dit à quel point je hais les timer ?).

Bref j'ai quand même accroché au soft, malgré une lassitude grandissante sur la fin.
Pokémon HeartGold nds
Bao

le 13/05/2010
Edité le 13/05/2010
8
Toujours aussi addictive comme série.

La refonte graphique et musicale de l'univers originel est potable, c'est ni trop laid ni trop surfait, mais la refonte de l'ergonomie du soft est réussie (et utilisation agréable du stylet !).

La durée de vie est énorme, et pour cause avec 493 bestioles à capturer et 2 régions à explorer de font en comble, y'a de quoi s'amuser. Et le système de combat est toujours aussi riche (en parallèle d'être toujours aussi mou, je trouve...). Sans compter le très grand nombre d'à côté qui permet d'apporter une certaine diversité - Pokéathlon, Parc Safari, gestion jour / nuit, les events journaliers, et d'autres - ainsi qu'une fluidité certaine dans le déroulement de l'aventure (l'idée du téléphone pour ré-affronter les dresseurs et pouvoir pexer ponctuellement par exemple). Y'a toujours quelque chose à faire.

Niveau histoire c'est toujours aussi faible, mais au moins l'aventure garde ce petit parfum de liberté caractéristique. Enfin dans la mesure des CS disponibles, qui sont d'ailleurs un problème qui devient agacant (constamment devoir bouffer 1-2 slot pokémon pour des capacités, pour éviter de foutre en l'air les movesets de son équipe ça devient lourd à force). Et autre chose qui m'a un tantinet agacé, le manque de construction sérieux qu'on retrouve constamment chez les dresseurs. Car bon, les adversaires avec 6 Rattata ou 6 Magicarpe c'est fun 5 minutes, MAIS QUE 5 MINUTES (ce qui au moins légitime la défaite constante de la Team Rocket, pas étonnant quand on voit que la quasi-totalité des mongols qui la compose ont à 95 % les trois mêmes pokémons faiblards à souhaits).

Bon remake, en conclusion.
Monster Hunter 3 tri- wii
Bao

le 03/05/2010
Edité le 25/05/2010
Fin de Monster Hunter 3 après 30h de jeu. Abandon en fait. Pour l’histoire, j’avais toujours été curieux de cette licence, le fait d’avoir fait quelques heures sur les versions PS2 ou PSP auparavant ayant attisé tout ça.

Ce n’est pas l’univers du jeu en lui-même qui m’a fait stoppé, puisque exception faite du léger souci de cohérence de l’univers (enfin plus dans le comportement des bestioles), les map sont bien faites et sympathiques, on baigne bien dans l’ambiance « hunt & survive » (savoir s'équiper, cuisiner, réunir des éléments, prendre tel ou tel item en face de telle situation) , les armes, armures et monstres ont vraiment de la gueule, même si c’est un peu moche (c’est la fête aux textures baveuses et plates). Dommage néanmoins que le contenu soit si réduit, même les versions PSP sont amplement plus fournies, ce à tous les niveaux, tu fais un peu la gueule au comparatif quand même . Dommage également qu’il n’y ai pas de trame précise, une petite carotte scénaristique ou quelque chose du genre, du coup on se retrouve avec une aventure à rythme 0.

Niveau gameplay c’est une tare pas possible par contre. En combat notamment. Déplacements lourds et rigides, maniabilité pataude et désastreuse, affrontements mous et caméra à la rue, tout pour vous faire apprécier les combats. Enfin il parait que c’est génial et réaliste, ça récompense la dextérité et les trues gamers, je ne sais que dire. Ou alors c'est une mécanique vieillotte et poussiéreuse qui mérite un coup de polish car bon camper en 2010 avec ce gameplay d'un autre âge qui à même pas pris la peine d'évoluer un brin est un peu insultant (quitte à faire pleurer à chaudes larmes la fanbase). Reste les boss qui sont quand même de beau morceaux à voir et affronter, c'est quand même bien bandant d'affronter ces mobs, de se faire étaler et d'arracher la victoire après un combat épique... même s’ils se réduisent vite à un tas de viande dont on va apprendre le pattern, et qu’on va affronter 15 fois avec une lassitude grandissante, histoire d’avoir droit un farming nauséabond qui permettra de réunir les matériaux nécessaires à l’arme / armure qui permettra d’affronter le prochain boss, etc. (notez que le côté "génial et réaliste" ne s'applique pas au dépeçage d'ailleurs, c'est plus une loterie avec un nombre de coups limités) Et le côté aquatique qui partait d’une bonne intention est tout aussi raté.

Bon par contre le online pas grand-chose à dire, faute d’être bien agencé (dans les meilleures, je retiendrais d’avoir pu jouer avec ce que je crois être des allemands à un moment, et avec un melting pot anglais-italien-français à un autre :lol : ) il a l’avantage d’être gratuit et de pas être trop dégueux niveau lag.

Ah oui et mention spéciale à la traduction. J'ai rarement vu aussi foiré. genre l'option "supprimer un objet" dans le coffre

Bref c’est vraiment un jeu pour fan...
Fragile Dreams: Farewell Ruins of the Moon wii
Bao

le 25/04/2010
7
Superbe jeu qui mise tout sur une ambiance vraiment réussie, mais plombé par un gameplay vraiment douteux.

La quête de Seto pour trouver des êtres vivants est très poignante, à mi chemin entre la poésie et la mélancolie, la solitude en thème principal qu'on ressent vraiment tout le long. On progresse doucement dans dans ce Japon dévasté ou la nature à repris ses droits, en découvrant au faire et à mesure les raisons de cette ruine. Dommage que le dernier quart du jeu gâche un peu tout, à cause d'un revirement bien trop cliché et d'une conclusion qui laisse plusieurs questions en plan (et le jeu étant assez court...). Le jeu est magnifique, très travaillé techniquement et esthétiquement, j'ai vraiment été happé dans cet univers qui fourmille de milles et uns détails - les souvenirs notamment, idée vraiment magnifique (la danseuse et le botaniste...;_; ). Les musiques sont très bonnes, tantôt douces tantôt oppressantes, se mariant comme il faut aux lieux et aux situations.

Par contre question gameplay, c'est une autre histoire... le personnage est lent et rigide, l'imprécision est de mise, la caméra a du mal à suivre, au cumul ça donne un système de combat affreux et des situations pas très agréables (notamment dans les salles ou nos mouvements sont limités). En plus daubique y'a le système de casse des armes, très simple, on ne sait JAMAIS quand ça peut casser, et ça casse pas forcement qu'en combat (grosse surprise quand j'ai vu ça la première fois, je passe une porte, paf item cassé).

Très bonne expérience en définitif.
Infinite Space nds
Bao

le 23/04/2010
Edité le 01/09/2010
9
J'ai bien aimé IS, même si ses défauts ont un peu plombé l'aventure tout le long.

Le scénar' et l'univers sont géniaux, avec un départ un peu abrupte (quasiment aucun tuto. ni rien) et assez mou dans sa première partie, mais qui envoie du pâté dans la seconde, ou c’est épique et mené tambour battant jusqu'à la (très moyenne) fin. Le style de narration est super bon, entrecoupé d’images pour « voir » l’action, on est vraiment spectateur d’un Space Opera en grandes pompes, avec un ton très mature et crédible du début à la fin. Le casting du jeu est tout aussi énorme, le chara-design est très hétéroclite (vraiment eu du mal à me convaincre que c’était jap’), même si je regrette un peu le « Syndrome Suikoden » - comprenez : 95 % des personnages serviront juste au côté gameplay - même si on a droit régulièrement à de petites interscènes avec les membres de l’équipage en allant dans certains lieux.

La progression du jeu dans le jeu est assez étriquée, la faute à un manque de clarté flagrant qu'on vit tout durant tout le jeu, on se retrouve souvent à naviguer dans l’espace en sachant « approximativement » ou aller, chose que je trouve assez ironique vu qu'on est guidé sur des rails pour aller de planète en planète (et non pas de folles embardées dans l'espace, on reste dans les clous !)

La technique du jeu reste propre mais très austère, limite très cheap, aussi bien en 2D (pour les décors, les personnages) que pour la 3D. Niveau musical y’a très peu de pistes. Vraiment très peu. Elles ne sont pas mauvaises pour autant, certaines sont épiques à souhaits, mais donnent vraiment un sentiment de lassitude passé un cap.

Mais ce que j'ai kiffé par dessus tout, c'est tout ce côté custom lié au gameplay : composer son équipage, sa flotte, réfléchir, acheter et équiper ses vaisseaux en fonction de leurs spécificités et du rôle qu’on souhaite leur donner, leurs armements, leurs positions dans la flotte, c’est très prenant et très jouissif de jouer les capitaines en herbe. Le système de combat (en temps réel) est tout aussi exigeant, faut savoir jouer intelligemment sur le terrain, car une erreur est vite arrivée et le game over qui l’accompagne aussi, même si ça s'estompe quand on acquiert les monstres sur-abusés dans la seconde partie. Les ennemis sont rarement sous- équipés et certains boss sont vraiment ardus. Le système de mêlée (le combat de troupes) est beaucoup moins intéressant par contre, le pierre-ciseau-feuilles doublée à une IA adverse débile rend ces joutes pas très passionnantes.

Bref IS ça peut rebuter par son apparente complexité et sa difficulté, mais une fois qu’on s’y investi c’est que du bonheur pour peu qu'on accroche au concept.
Final Fantasy Crystal Chronicles: The Crystal Bearers wii
Bao

le 26/03/2010
3
Au final je suis heureux que ce jeu soit aussi court (12h au compteur pour ma part), le calvaire en est ainsi amoindri.

Beau pour de la Wii, une histoire bof avec laquelle on s'implique peu mais relativement bien mise en scène, desservie par des personnages biens foutus.

Par contre niveau maniabilité / gameplay c'est proche du néant :
- Maniabilité hasardeuse (grande joie durant les mini-jeux... oui les mini-jeux vous avez bien lu, qui composent 75 % de l'avancée du scénario),
- Caméra 100 % manuelle ; j'ai cru à une blague au départ, mais non, et il faut constamment re-régler le bouzin, car en plus d'être mal foutue elle est capricieuse,
- Gameplay bancal et creux, limité à la fois en combat (on se contente d'attraper / lancer... rah si Layle pouvait ne faire qu'un quart des mouvements qu'il effectue dans les cutscenes ça serait déjà mieux) et en exploration (on est guidé au moindre obstacle),
- Aucune possibilité d'indications : pas de mini-map, pas de map, rien.
- Aucune vraie évolution du héros. Ah si, on peut changer le motif de sa veste

Bref : déception avec un grand D, que je vais ranger à côté de ToS 2.
The Last Remnant pc
Bao

le 25/03/2010
Edité le 11/07/2010
8
Après un premier essai peu concluant – rageant et frustrant en fait- y’a bien un an, j'ai repris, et fini The Last Remnant. Cette fois, en préparant le terrain via l’utilisation de nombreuses FAQs, au final quelque chose de presque indispensable vu la grande quantité d’informations et de subtilités peu ou pas expliquées.

J’ai trouvé l’histoire du jeu très peu engageante : bateau au départ, monte crescendo durant l'aventure en soulevant questions et interrogations durant la première partie... pour au final rien car tout est expédié dans la seconde, fin incluse. Mais elle dispose au moins d'une mise en scène du tonnerre (le combat Conqueror / Emma !) et de batailles dantesques (Les Seven ! Ou certains monstres de missions très ardus) pour réussir à retenir l’attention. Même punition pour les personnages, pourtant très classieux et soignés, car hormis deux-trois protagonistes, aucun ne sort vraiment du casting creux et sous développé du jeu. Même le héros ne m’a fait ni chaud ni froid.

C’est plus du côté du monde de TLR que j’ai pris mon pied. Il est super bien construit, très vaste (y’a un nombre énorme et diversifié de lieux à visiter), avec sa propre histoire, ses règles, ses mythes, ses légendes. Esthétiquement parlant, le jeu à une identité visuelle vraiment unique, que j’ai trouvé sublime sous tous les angles : les villes, les lieux, les Remnants, les monstres (même si les développeurs ont cédés à la facilité, au final on voit à peine une quinzaine d’espèces différentes et du re-skin à gogo, ça fait un peu tâche vu la grandeur du monde), les compagnons, les armes, bref tout ! Le chara-design notamment, que j’ai apprécié dans sa totalité, et pourtant il y a un nombre énorme de personnages a rencontrer et / ou à recruter durant le jeu (grand dilemme d’ailleurs, on ne peut avoir que 50 compagnons maximum, dont 18 sur le terrain…). A ça se rajoute les Guildes, occasions de faire un paquet de missions annexes qui baladent aux quatres coins du monde, tout comme les quêtes. Musicalement aussi c’est très bon, ça sonne bon aux oreilles du début à la fin, voir même plus que bien (certaines musiques de combat sont géniales).

Bien aimé le système de combat original également, bien nerveux et jouissif avec de bonnes idées, malgré un côté aléatoire assez lourd, qui fait que j’ai constamment eu l’impression de jamais avoir un contrôle total sur mes unités – exemple simple, voir ses unions bloquées à des actions à 7 PA alors que les barres sont aux max, chose un peu incompréhensible et qui prolonge inutilement les affrontements. Côté aléatoire qui mine également la difficulté du soft, on se retrouve parfois à voir ses unions éclatées en 10s par un groupe d’ennemis similaire à celui écrasé trois pas plus tôt. Ok la part d’aléatoire c’est normal pour donner une certaine teneur aux affrontements, mais la c’est peu nawak. Et en parlant d’unions, j’ai trouvé le principe très bon dans son idée et son application, c’est vite prenant de customiser sa petite armée.

En vrac, d’autres trucs que j’ai également trouvé frustrants :

- Le lien Battle Rank / Stats bien étriqué. Car les stats ne suivent pas forcement la difficulté progressive du jeu (ce qui m’étais arrivé dans ma 1ère partie). J’ai eu recours au low BR run, mais c’est quand même un peu dérangeant de fuir 75 % du jeu pour s’assurer une montée en puissance correcte par la suite (d’autant qu’on récupère certaines unités que très loin dans le jeu).

- Les loadings constants (même pas un quelconque souci d’optimisation durant le portage sur PC), transformant parfois les missions ou quêtes en vrais calvaires.

- Dans le même ordre d'idée, les chargements tardifs de textures.

- La relative « débilité » des alliés lors des upgrades : il faut OBLIGATOIREMENT dropper les items. T’as beau en avoir 99 en stock, non, faut dropper, sans même en connaître le nombre.

- L’aléatoire encore, cette fois avec les spawn des monstres, notamment les rares ; à coupler avec les loadings, des combats aléatoires parfois longs, des critères particuliers de spawn, et des lieux d’apparitions généralement le plus à l’opposé du point de départ ; c’est presque dépressif passé les 50 premiers allers-retours.

Bref j'ai pris beaucoup de plaisir avec ce jeu (quoiqu'un peu de lassitude sur la fin), malgré un goût amer d'inachevé et de frustration dans la bouche. Un peu plus de finition de la part de Square Enix ça aurait pu donner un jeu ultime, là je dirais qu'il est juste bon
Star Ocean: Till the End of Time Director's Cut play2
Bao

le 27/02/2010
Edité le 19/05/2013
6_5
Bon jeu mais pas BGE pour moi, entre déceptions à surprises et surprises qui virent à la déception, j'ai pas trop trouvé mon compte.

Et puisque je parle de déception, autant commencer par la plus grosse : l'univers. Un univers bien futuriste présenté au départ, l'encyclopédie est bien fournie et fait littéralement baver (j'ai tout lu au départ du jeu !), et le jeu démarre sur les chapeaux de roues. Joie ! Mais en fait non. Au final on se retrouve parachuté très vite dans un univers med-fan (et apparemment c'est typique de la série, ça donne pas envie au final...) sans éclat, dont on aura très vite fait le tour - plutôt les allers retours, j'ai eu l'impression de faire que ça, les PA et les quêtes annexes en plus. Et dieu que je me suis fait chié durant les 3/4 du premier CD, heureusement que ça se rattrape magistralement après. Pour se casser la gueule sur la fin (cette fin...). Heureusement que la zik tue tout !

Mitigé aussi sur le système de combat, dynamique, bourrin mais drôlement jouissif, et assez technique pour peu qu'on s'y intéresse. Dommage qu'il soit aussi frustrant par son imprécision, son système de lock foireux, et une I.A. totalement à coucher dehors (même si techniquement un peu perfectible... non mais sérieux, via les SP, qui aurait pu deviner ça ?). Et je fais parti de ceux qui voient la difficulté mal calibrée du jeu comme un point faible.

Après, concernant l'Item Creation. Car j'adore les systèmes d'IC. Je pourrais probablement faire la phrase la plus longue que Legendra ai jamais connu, avec un maximum de gros mots dedans, je vais juste dire que j'ai jamais vu un système de création aussi mal foutu, contre-intuitif et lourd dans son application. Le pire c'est qu'il est un tantinet indispensable, et qu'engouffrer des centaines de milliers de fols pour la création des "armes ultimes", est la seule solution pour avoir une chance dans les donjons annexes. Donjons annexes bien forts d'ailleurs, j'crois que je n’ai jamais fait de donjons aussi long que la Sphere 211.

Les Battles Trophies auraient pu être une carotte très motivante, ça m'avait d'ailleurs botté au départ car j'aime ces conneries qui font la fierté d'une partie "100 % finie", mais malheureusement le système est affreux et démotivant dans ses "défis" et ses applications (genre le 1 min / no damage contre les boss, défi intéressants au départ, mais bien vite chiants et frustrants)
Guild Wars: Eye of the North pc
Bao

le 19/02/2010
5
Une extension naze. Un cadre qui aurait pu être sympa (nouvelles races, nouveau monde), mais expédié à la vitesse du son dans son cadre scénaristique. Abandon total du principe de stratégie au profit du bourrinisme le plus sauvage, le jeu aidant notamment grâce à ses skills abusés (Ursan !). Et ayant hait les titres avec Nightfall, ici j'ai été plus que servi, avec carrément une obligation à farm (!) pour accéder aux shops (!!) voir même aux groupes de joueurs (!!!). Reste les donjons, bon principe.
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