bandeau
avatar Guest
Login|Inscr.
sign
Commentaires de Bao avatar
fiche
Trier par : Date | Support | Nom | Note
297 commentaires
Dungeon Punks play4
Bao

le 29/05/2018
2
Dans l'idée, Dungeon Punks c'est un peu un Odin Sphere / Castle Crushers (pour la formule de jeu) sur lequel on aurait passé l'aspirateur à magie : c'est moche, mal animé, bordélique à l'écran, sans réelle profondeur, mal équilibré vu la manière aussi longue que désespérante qu'il fourni expérience et butins pour sa troupe (et le NG+ ne fait qu'amplifier ça tant la difficulté devient stupidement abusée). De plus le jeu multiplie sans cesse les temps de chargement et sur consoles, l'interface a été mal ajustée ce qui la rend parfois illisible. Il y a juste pour lui un format mission courtes et deux trois phrases rigolotes dans ce qui sert de scénario, ce qui est peu vous en conviendrez.
Final Fantasy XII: The Zodiac Age play4
Bao

le 24/05/2018
7_5
Troisième fois que je fais FF12, et TZA est la meilleure version grâce à tous les ajouts et modifications (surtout ceux en provenance de IZJS). En l'état mon avis n'a pas vraiment changé : direction artistique sublime, souci du détail qui force le respect et qui donne énormément d'identité à cet Ivalice, et derrière l'ambiance musicale assiste tout ça avec brio. Même si il y a pas mal de flottements j'aime beaucoup le scénario, intelligent et bien écrit à l'image du casting ou chacun je trouve à sa place (même le duo Vaan / Penelo) et surtout sa voix car le doublage est de très haute qualité. Comme dans mes précédentes aventures c'est la partie jeu qui a posé quelques problèmes car il y a toujours un petit ou un gros grain de sable qui vient bloquer une mécanique de manière parfois très frustrante. Les coffres aléatoires resteront pour moi la plus grosse bévue de l'histoire de FFXII car c'est un système décourageant au possible. Et une nouvelle fois, on m'enlèvera pas l'idée que l'équipe de développement comprenait des sadiques ou des gens bossant pour la clique des éditeurs de guide (voir les deux à la fois) tant les conditions d'obtention de certains objets ou compétences, ou l'apparition de certains monstres, sont délirantes à deviner. En revanche, je resterais un défenseur résolu du système des gambits !
Monster Hunter: World play4
Bao

le 17/05/2018
7_5
C'est mon quatrième essai sur la série et je vais enfin au bout avec cet épisode, le coup de jeune apporté y est pour beaucoup : enfin Capcom met les moyens pour que l'univers soit à la hauteur de la direction artistique (j'adore le design du Nergigante et du Teostra), le monde est beau et vivant et n'il y a plus de transitions de zones, enfin le côté cassé et poussiéreux des mécaniques a été revu, enfin les combats ressemblent à quelque chose même si on toujours un peu l'impression de taper avec des saucisses molles, enfin le studio pense au confort du joueur avec des éléments comme les lucioles, la récupération d'objets simplifiée, les contrats, la livraison par bateau, le botaniste, le craft simplifié, etc, pour fluidifier l'expérience de jeu qui elle reste la même : tuer, fabriquer, tuer, fabriquer, etc, du début à la fin, de la première arme au contenu endgame (quoique non, on fait que tuer tuer tuer tuer tuer tuer tuer à la fin pour de pauvres gemmes). Mais en mieux donc, avec par dessus du contenu à gratter et un multijoueurs pas trop mal foutu.

Aussi des efforts niveau narration même si c'est pas vraiment convaincant et parfois même casse bonbon à nous balancer sans cesse aux quatre coins d'un camp de base pas très bien pensé. D'ailleurs pas la peine de forcer pour trouver des défauts au jeu entre sa performance technique très variable, une ergonomie incroyablement fastidieuse,ou un manque de finition parfois assez criant : je pense notamment aux tutoriels mal foutus, ou aux guerres de territoires qui voient les créatures qui s’entre tuaient 15s auparavant s'oublient l'une l'autre (généralement pour nous attaquer à deux) une fois que le script est fini. Et surtout un manque d'imagination assez frappant que ce soit dans l'équipement ou dans le bestiaire, pas très gros et qui arrive pourtant avec certaines nouvelles créatures à donner une impression de déjà vu. Et le boss de fin est une immondice. Je veux cependant bien laisser le bénéfice du doute à l'équipe de développement, qui est repartie de 0 pour créer le jeu et pour qui ça n'a pas toujours été rose si j'en crois les interviews, notamment la création et l'animation des monstres. Mais le truc le plus regrettable c'est pas avoir repris le transmog de MHXX ou à défaut une mécanique d'échange de compétences d'armure à armure... car avoir un bon build, c'est souvent synonyme de ressembler à un sac.

Mais c'était quand même cool.
Persona 5 play4
Bao

le 01/05/2017
8_5
C'est un très, très bon jeu, mais il ne détrônera pas Persona 4 Golden dans mon cœur. Et je le place légèrement derrière Persona 3. Et d'ailleurs quand j'ai conclu l'aventure, j'ai pas eu cette larmichette que j'avais eu avec ces deux là en me disant "merde c'est fini..."

La faute principalement à la partie narrative. J'ai l'impression d'avoir eu à faire à un soft qui ne savait pas vraiment ou il allait et qui s'éparpillait dans plein de trucs à la fois. Pourtant le début est prometteur avec ce parti-pris d'entamer un flashback, un MC traité comme un rebut, un cadre urbain déprimant et pesant et cette volonté de justice de la part de jeunes en rage contre la société, mais ça stagne relativement vite tout en multipliant les sujets et en jonglant maladroitement avec (la-dite notion de justice ou le rapport de l'humain à la société d'aujourd'hui, par exemple), la ou P2 / P3 / P4 avaient un cap et savaient s'y tenir. Pour moi le jeu n'a vraiment décollé qu'à partir du fameux twist liant le tutorial au flashback. Il y a bien eu ces quelques moments de grâce et des cinématiques qui déboitent pour laisser l’intérêt quelque peu éveillé, mais bien trop peu pour réussir à m'échapper d'un gamedesign étouffant où l'omniprésence du-dit scénario prend en otage le rythme et les personnages. Le premier grignoté par un étalage des mots qui saccade la progression (des mois dont le tiers peuvent être bouffés par le scénar, les compagnons qui harcèlent pas SMS, Morgana qui commente et dicte pas mal les actions du MC...) les seconds qui donnent l'impression de ne pas vivre en dehors du scénario. Ils vivent, mangent, dorment Phantom Thieves, le jeu oubliant d'habiller les archétypes qu'ils sont pour leur donner une véritable âme, une substance. Comme avait pu le faire P3 à travers l'évolution du scénario ou P4 avec sa multiplication de saynètes et des s-links plus "sincères". C'est peut être pour ça que j'ai pas lâché cette larmichette, car au final j'ai pas cette impression de les connaitre comme j'ai pu connaitre la bande de P3 et P4, j'ai juste eu l'impression de voir des ados travailler ensemble et point. Genre la scène concluant le 7ème Palace, ou après avoir battu le boss de fin... limite j'ai trouvé ça traité par dessus la jambe. Sans parler des antagonistes quand ils exposent leurs plans, c'est parfois tellement ridicule qu'on est à un stade au dessus du shonen :x

Par contre sur tout le reste, il est quasi inattaquable. Les efforts sur l'ergonomie, le design, l'art et la manière d'habiller les écrans de chargement, les enchainements, c'est juste fou. C'est maitrisé de bout en bout, on a vraiment une impression d'un "flow" qui ne s'arrête jamais, tout comme la ville dans laquelle on évolue et qui fourmille de détails. La manière dont Atlus a réussi à styliser et fluidifier encore plus un bon vieux système de combat au tour par tour force le respect et montre bien que le genre peut encore sortir de belles choses pour peu de s'en donner la peine. D'autant plus que la courbe de progression est exemplaire, tout est calibré, équilibré au poil. Voir le compendium Megaten dans une 3D digne de ce nom est juste hyper satisfaisant, d'autant plus que la Velvet Room façon Persona 5 offre moult services très bien pensés pour bichonner ses créatures. Bon par contre je serais pas aussi catégorique sur les Personas des protagonistes, autant les premières formes sont classes autant les évolutions sont... comment dire... (ici encore je trouve que le jeu rate le coche avec ses personnages en oubliant cette évolution "logique" de forme, qui se justifie par la thématique voleur & filou). La manière dont le jeu a fait évoluer le système des S-Links aussi est une très bonne chose en les imbriquant plus à l'histoire, la progression, même si parfois on sent que c'est parfois super forcé (coucou, Star et Tower). J'ai aussi trouvé la bande-son excellente, ce côté jazz / lounge sonne bon aux aux oreilles et je trouve le titre aussi bien fourni en thèmes forts que ses grands frères, et je dirais même qu'elle est "plus" écoutable en dehors du jeu que ses congénères. En ce qui concerne les donjons ça a été de l'enthousiasme-mais-pas-trop, ici aussi on fait face à quelque chose de juste fou visuellement mais terriblement convenu sur le plan du design. C'est dommage que l'aspect "voleur" du titre ai pas été plus utilisé que ça, au final j'ai du autant voir plus m'amuser dans le Mementos qui rappelait au titre ses racines de dungeon-crawler.

En l'état je juge mon attente récompensée, et j'ai vraiment pris du plaisir à saigner de bout en bout un titre à la finition exemplaire et que je considère comme étant un modèle dont devrait s'inspirer pas mal de studios. C'est juste "dommage" qu'en voulant absolument raccrocher les wagons du monde moderne à son jeu, Atlus lui a aussi intégré un peu de son manque d'âme.
Rogue Galaxy play4
Bao

le 24/01/2017
7
Jeu rangé dans la catégorie 'c'était mieux dans mes souvenirs'.

En l'état c'est pas un mauvais jeu, mais j'en avais un souvenir plus... enjolivé. J'avais dans la tête une aventure avec bien plus de peps, et ce peps je l'ai pas retrouvé dans un tissu narratif globalement sans épaisseur, qui part dans tous les sens en plus de s'offrir une fin sans queue ni tête, ni dans le casting plutôt plat-plat. En revanche j'avais un souvenir clair d'un jeu riche en longs couloirs qui compensait ça par ses environnements et ses trésors à dénicher et j'ai retrouvé exactement la même chose, sans forcement trouver ça plus chiant qu'à l'époque, en revanche la fréquence des combats.. des combats qui sont bons, mais en bouffer tous les dix pas ça gave vite, et ça gave encore plus vite avec l'apparition des ennemis à gimmicks (notamment les 'jump & hit' qui sont insensibles aux capacités). Heureusement il reste les capacités des personnages pour expédier tout ça, car elles sont totalement abusées. C'est un jeu qui offre aussi pas mal de contenu à poncer, mais un contenu qui aurait gagné à être mieux ajusté ou intégré. Comme la fusion des armes, par exemple. J'ai aussi beaucoup plus apprécié la bande-son qu'à l'époque, qui se résumait à la piste Shadow of the Sun, j'ai désormais un peu plus de morceaux en tête.

Bref dans l'ensemble il a passé un bon moment, mais probablement à cause du recul, de l'expérience, de l'aigritude (ou tout ça à la fois), il a juste retouché à un bon jeu et pas au grand jeu qui se cachait dans ses souvenirs.
Valkyria Chronicles Remastered play4
Bao

le 13/11/2016
8
Fait une fois sur PS3 à l'époque, refait ici car bon pas cher et j'en gardais initialement un bon souvenir. Musique bien dans le ton, level design réussi, système de combat brillant, même si le jeu est globalement super-déséquilibré et qu'on peut facilement tout casser (dites bonjour aux scouts et aux ordres). La 3D façon animé a bien été retapée pour ce remake, par contre c'est pas le cas de la 2D avec des plans qui sont parfois absolument dégueulasse à l’œil...celui de la ville quand on va au QG... :x. Quand à l'histoire / l'ambiance c'est comme dans mes souvenirs, à savoir un espèce d'étrange mélange entre la réalité de la guerre et un défilé de tropes de japanim'. C'est pas à jeter mais c'est pas mémorable non plus, juste "sympa" sur le moment. Comme le casting, en fait.
Stranger of Paradise: Final Fantasy Origin ps5
Bao

le 28/09/2024
5_5
J'ai débuté le jeu sur un coup de tête, et ça a été une expérience assez brouillonne du début à la fin.La partie narrative est certainement ce qui plombe le plus le jeu. Le titre part du postulat de départ que le joueur a fait et terminé Final Fantasy premier du nom (FFO en est une sorte de spin off) et va multiplier les références et les twists par rapport à ça, malheureusement l'histoire est très décousue, même en faisant l'effort de mettre bout à bout les morceaux d'infos trouvés ici et là on a l'impression de suivre une série à qui il manque un épisode sur deux. Jack le grognon et sa petite bande de suiveurs aux personnalités bien lisses sont les victimes malheureuses de ce bordel narratif, c'est difficile de s'attacher à eux et à la fin on ne retient que les quelques passages wtf et les memes. Gros gâchis.

Le focus du développeur s'est surtout porté sur le gameplay. Stranger of Paradise n'est pas un A-RPG Final Fantasy fait par Team Ninja, mais un A-RPG Team Ninja avec un skin Final Fantasy. Une nuance importante qui se ressent dès la mission tuto, le jeu est plutôt rude à approcher entre les nombreuses mécaniques à assimiler et le fait qu'on sert de serpillère aux ennemis dès qu'on fait un faux pas. Le système de combat est à la fois assez technique et bourrin, Jack peut manier toutes les armes et tous les styles de combats (inspirées de FF bien sûr) et changer à tout moment et créer des combinaisons surpuissantes, le jeu encourage d'ailleurs à faire ça, et l'ensemble est assez bien foutu... à condition de serrer les dents les premières heures, et d'accepter le fait qu'on va passer notre temps dans des couloirs pendant toute l'aventure. Chose qui ne m'a pas trop dérangé d'autant plus que ça, chaque niveau est un hommage à un épisode de la série niveau visuel/musique donc les environnements se renouvellent bien même si le mix techno-fantasy est d'assez mauvais goût, par contre le manque de renouvellement des ennemis est flagrant surtout pour un bestiaire aussi large que celui de FF. Toujours les mêmes Bombo/squelettes/chauve-souris reskinnés d'un niveau à l'autre, brrr, passé la moitié de l'aventure ma seule motivation c'était les hommages à la série et les combats de boss (et le nawak de l'histoire, dans une certaine mesure).

Ce qui est bien moins foutu c'est le système d'équipement, une sorte de croisement horrible gacha game x MMO, le jeu va chier 3 tonnes d'armes/armures/accessoires à chaque mission avec des stats et des bonus dans tous les sens et des services à côté pour manipuler tout ça. C'est repoussant à souhaits, il n'y aucune satisfaction à trouver/équiper du stuff, d'autant plus qu'en mode de difficulté normal on a du mal à percevoir les bénéfices d'un équipement optimisé. On appuie sur équiper automatiquement et on passe à autre chose, ca pourrait ne pas être là que mon expérience serait similaire vu que ya peu d'intérêt à interagir avec (©Luckra 2024). Et il y a encore moins de plaisir à trouver du stuff que, à l'image du bestiaire, il y a finalement assez peu de sets d'armes et d'armures... ce qui est dommage car le jeu à un système de transmog. Ce système a surtout l'air d'avoir une finalité quand on s'attaque aux modes de difficultés supérieurs (si j'en crois mes visités sur le reddit du jeu), mais penser un système juste pour le post-game... c'est très radical comme choix ?

Bref sans non plus être une mauvaise expérience, ça a surtout été une expérience sans grande saveur, ce qui est dommage pour un jeu anniversaire.
Unicorn Overlord ps5
Bao

le 11/08/2024
8
Super jeu, je l'ai dévoré d'une traite.

Vanillaware oblige Unicorn Overlord est intouchable niveau réalisation, la bande son fait aussi le travail même si elle ne marque pas plus que ça.

Concernant le gameplay, la partie relative à l'explo de la carte / la reconstruction des villes est pas le truc le plus intéressant, surtout que c'est généralement jumelé à des affrontements pas plus intéressants (les missions de libération) mais qui se torchent vite.

C'est quand on s'intéresse aux grosses batailles que le jeu montre tout sa superbe, chacune d'entre elle représente un certain défi car on sent qu'il y a eu du travail sur les scénarios proposés. Des batailles qu'on peut tacler juste en en jouant du système "pierre-ciseau-feuille", ou en poussant plus loin en exploitant toutes les subtilités de la composition d'équipe, super bien foutue, c'est vraiment un système pensé pour être "facile à aborder, difficile à maitriser". Par contre l'équilibrage est quand même fortement en faveur du joueur, rien qu'avec la puissance des équipements par exemple, donc augmenter le niveau de difficulté est nécessaire si on veut vraiment faire travailler sa matière grise. Le seul bémol va venir du système pour "mettre à jour" les unités, il faut se taper en boucle des stages pour gagner des objets permettant de faire gagner de l'exp, ce qui est sacrément archaïque surtout quand on compare à tout ce qui a été intégré pour rendre l'expérience de jeu agréable. Un sacré frein à la découverte et l'expérimentation avec les unités.

Le plus gros point faible de Unicorn Overlord est sa partie narrative, ce qui est plutôt inhabituel pour un Vanillaware, qui avait habitué à des personnages travaillés et des moments forts dans ses précédents titres. La c'est juste... bof. C'est plat, c'est pas intéressant à suivre, les personnages sont pas plus travaillés que ça, il y a bien un système de discussion façon Fire Emblem pour leur donner un peu d'épaisseur mais ça ne se reflète jamais dans l'histoire ou dans les batailles. Ca tire le jeu vers le bas, et c'est vraiment dommage.
The Legend of Heroes: Trails through Daybreak ps5
Bao

le 24/07/2024
7
Sacré flambleau dont a hérité Trails through Daybreak, car après un Trails into Reverie qui a mis un point final à l'épopée dans l'ouest de Zemuria, c'est à lui d'ouvrir le bal des évènements qui vont se passer à l'est. Et c'est une première aventure quelque peu mitigée.

J'ai eu un peu de mal avec l'histoire, j'ai trouvé qu'elle avait un espèce de parfum de ...spin-off ? Le premier jeu de chaque saga traine toujours du pied car il est là pour poser les bases, Daybreak n'y fait pas exception, mais la chasse au macguffin que représente l'histoire, impliquant à chaque chapitre des antagonistes pas foufous dont les motivations font sourciller, sans parler du chapitre final, poussif et qui sort littéralement de nul part, et du slalom permanent pour éviter d'évoquer les fils rouges de la série... plus ça avançait et plus c'était difficile de rester impliqué. Heureusement on peut toujours profiter de la fonction d'accélération, et le rythme / équilibrage du jeu est parfait, on a toujours la bonne dose d'exp et de matériels pour progresser.

Après il reste la partie construction de l'univers (plus importante que jamais après les évènements Cold Steel IV) et Falcom est toujours au top, même si c'est pas vraiment comme ça que j'imaginais Calvard. Toujours au top avec le casting également, Van est un excellent protagoniste qui n'a rien a envier à ses prédécesseurs, le fait que ce soit un adulte avec du bagage offre un changement bienvenu à la dynamique de groupe et comment sont abordés les évènements. On était habitué à jouer la bleusaille qui apprend et grandit, donc avoir ici un "grand frère" débrouillard, qui veille sur ses cadets et qui sent les embrouilles, c'est un changement rafraichissant. Ensuite ça reste Trails of, avec toujours des tropes de la japanimation dans tous les sens, on y échappe pas même si Daybreak a globalement un ton et des thématiques plus matures que dans les épisodes précédents. Par contre c'est moins au top niveau musique, je le place facile dans les épisodes les plus faibles à ce niveau.

Daybreak c'est aussi l'occasion d'une refonte du système de combat/personnalisation, et dans l'ensemble j'ai pas trouvé ça convaincant. On sent clairement la volonté de proposer quelque chose de plus poussé que précédemment niveau personnalisation, mais le système de Shards (basiquement : les quartz équipés donnent des capacités et on peut avoir des capacités différentes selon les combinaisons) peine à montrer son efficacité en dehors de certaines capacités bien précises, la mécanique de S-Points est bancale et invalide souvent le potentiel des Holo Core (nouveau nom des Masters Quartz), et le fait de devoir coller les perso les uns aux autres (pour profiter de boosts) est stupide, une régression par rapport au Bond System des jeux précédents. Le mix temps réel/tour par tour a un impact certain sur l'approche des combats, mais le fait de toujours devoir faire une entame en mode A-RPG du pauvre devient très vite lassant. Surtout qu'en plus, on ne peut plus dégager d'un coup les ennemis faibles du terrain... On peut comprendre que Falcom ai voulu se détacher d'un modèle qui cours depuis 7 jeux car le tour avait été fait, mais le système de Daybreak parait quelque peu maladroit face au flow quasi-parfait qui avait été atteint dans Reverie. A voir dans les prochaines opus comment ça va évoluer, il y a quand même du potentiel.

Le seul point vraiment indéfendable c'est l'interface de combat, c'est incompréhensible qu'elle soit aussi dégueulasse. Notamment la façon dont sont gérés les affichages du bouclier et du déroulé des tours, deux éléments primordiaux de ce nouveau système.

Daybreak est un jeu covid et la pandémie a joué dans son développement (y'a pas un seul mini-jeu !), donc je veux bien laisser le bénéfice du doute et voir ce que va donner Daybreak II, mais en l'état ça a été une aventure un peu poussive, heureusement les qualités narratives habituelles des jeux de cette série sont au rendez-vous donc ça aide à faire passer la pilule.
Final Fantasy VII Rebirth ps5
Bao

le 05/04/2024
8_5
On prend les mêmes et on recommence avec ce second volet du remake de FFVII, sauf que cette fois Square Enix décide de mettre les potards à fond, tout en continuant à jouer l'équilibriste entre la volonté de proposer du nouveau et celle de respecter un jeu culte.

On retrouve ainsi la plupart des éléments de gameplay de FFVII Remake, enrichis de toujours plus de trucs et de bidules ; le système de combat est toujours aussi bon et offre plus d'options, le système de matéria également, il y a une grande variété dans le camp ennemi et les combats-cinématiques de boss sont toujours aussi impressionnants. Mais il faut subir une surcouche pas forcement pertinente de menus pour en profiter (plus que dans FF7R) alors que des éléments qu'on pourrait considérer comme indispensables, comme l'échange en masse de materias ou la possiblité de sauvegarder des sets, sont eux absents. Ils l'étaient déjà dans FF7R, sauf que cette fois on dispose de 7 personnages jouables, et le jeu aime à nous imposer des équipes prédéfinies au fil de l'aventure, cela devient graduellement gonflant de changer et interchanger dans tous les sens.

On retrouve aussi dans Rebirth l'envie de SE de continuer à approfondir l'univers de FF7, quitte à étirer certains éléments : ca va passer par une aventure qui va encore transformer des passages de 10 minutes dans l'original en des chapitres entiers, tantôt prenants tantôt anecdotiques, à faire cohabiter moments loufoques et sérieux sans aucune honte ni retenue - TOUT le chapitre du Gold Saucer est mémorable, à rajouter par-ci par-là divers éléments de Compilation of FFVII et autres références FFesques, le tout avec une bande-son qui dépote. Rebirth a aussi la main lourde niveau mini-jeux, qui pour la plupart servent à rythmer l'aventure, y'en a partout jusqu'à l'indigestion et la plupart sont justes passables, il aurait été mieux d'en avoir moins mais de meilleur qualité. Le tout est porté par une dynamique de groupe toujours aussi efficace, les rajouts à l'équipe apportant toujours plus d'interactions et de moments amusants et / ou touchants, les doubleurs donnent tout, FFVII Rebirth aime son casting et veut le mettre en valeur à la moindre occasion, et c'est plaisant. Quelque chose de surtout vrai pour Cloud, plus que jamais au centre de l'histoire, entre le mystère en entourant son passé, sa place dans le triangle formé avec Tifa et Aerith ou le lien qui l'unit à Sephiroth... dont l'omniprésence à toutes les étapes de l'histoire et le comportement d'ex toxique lui font cependant perdre de sa superbe, c'est dommage d'avoir abusé ainsi du personnage. L'histoire en elle même continue le jeu de pistes entamé à la fin de FFVII Remake, même si Rebirth propose nombre de scènes chocs ou de passages incroyables (comme l'intégralité du dernier chapitre, ou tout s'emballe, et didjou le medley accompagnant l'avant dernier boss !), rien ne "bouge" vraiment et il faudra attendre la troisième partie et probablement un délire Nomura-esque pour avoir des réponses. Même si j'ai apprécié, je peux comprendre que cette fin fruste ou agace les gens.

Par contre, je n'ai pas du tout apprécié l'aspect monde ouvert, qui est pour moi LE raté du jeu. Et quel raté. C'est d'ailleurs assez fou de voir le grand écart qui existe entre les moments ou le jeu passe en mode couloir/donjons, ou il sait faire preuve de maitrise et d'originalité, et un "monde ouvert" qui accuse 15 ans de retard, un monde qui est plus plus une succession de hubs proposant quêtes et mini-jeux que quelque chose pensé de façon organique, et qui n'est pas foutu de vendre correctement ses décors ou la sensation de voyage. Et pour une raison qui échappe à tout le monde, la possibilité de ramasser les objets de craft (car il y a un système de craft, pas foufou en plus) juste en marchant dessus est en option de NG+. Bref c'était plat et ennuyant à arpenter, et pour rajouter un peu plus de sel sur la plaie, "obligatoire" car Chadley est de retour, accompagné maintenant d'une petite sœur encore plus horripilante que lui, et accomplir des objectifs pour sa pomme est le seul moyen d'obtenir certaines matérias... et vu ce qui a été gardé sous la pédale niveau géographie, pas vraiment de doutes sur le fait qu'on va avoir droit à la même chose pour la partie trois...
Persona 3 Reload ps5
Bao

le 21/02/2024
9
3ème fois (et demi) que je rempile pour l'aventure Persona 3, et comme il y a 15 ans de ça j'en ai apprécié chaque seconde.

Le jeu se pare de nouveaux habits et c'est vraiment plaisant de découvrir le jeu avec une plastique moderne, des animations et des visuels refaits de A à Z, malgré un traitement graphique assez inégal (comme le dortoir qui est franchement pas joli alors qu'il est un élément central) ou certains choix esthétiques discutables comme le choix d'avoir remplacé la cinématique de l'éveil du MC par un truc avec le moteur du jeu, ça a bien moins de punch ainsi. l'OST retravaillé est globalement très bonne, même si ici aussi il y a des choix assez bizarres dans la façon de revisiter / mixer certains morceaux au point de faire perdre ce qui faisait leur identité dans le jeu d'origine.

L'histoire c'est Persona 3 tel quel, avec de la réécriture par ci par là et quelques scènes en plus pour étoffer le casting masculin : la même chose avec ses maladresses, ses longueurs, son rythme yoyo, ses personnages attachants, des s-links pas foufou dans l'ensemble, son ambiance si particulière qui jongle entre moments légers et l'omniprésence de thématiques lourdes que le jeu cherche à traiter du mieux qu'il peut, il y a vraiment une alchimie unique, un supplément d'âme qu'on ne retrouve pas dans les épisodes suivants. Et c'est peut être aussi pour ça que l'ending du jeu, Kimi no Kioku, frappe toujours aussi fort dans le kokoro même après tout ce temps.

Le gros des modifications se retrouve plutôt du côté du gameplay, la partie sim life prend des bouts de P3P/P5 pour proposer plus de souplesse dans la gestion de son calendrier, le Tartarus a eu droit à une cure de jouvence bienvenue ou il abandonne le dungeon-crawler pour une expérience plus classique mais aussi plus modulable et accessible, avec pas mal d'éléments à prendre en compte pour que chaque visite se passe bien. Pas pour autant qu'il devient plus facile car il y a eu un retravail des combats avec des ennemis plus vicelards et qui synergisent entre eux, il y beaucoup de situations différentes à surmonter. Heureusement on peut toujours compter sur nos fidèles personas, même si le compendium est d'époque (comprendre : pas gros) et que "juste" le système de cartes de capacités pour assouplir leur création fait pale figure comparé à ce qu'on a pu voir dans SMT5 ou P5. Et avec les Theurgy (des sortes de limit break), le baton pass de P5, des passifs qu'on peut acquérir en faisant certaines actions et le fait qu'ils sont tous contrôlables, les personnages de l'équipe sont aussi une force sur qui compter et ça dynamise vraiment les affrontements.

J'aurais aimé dire que c'est la version ultime de Persona 3, malheureusement The Answer a été coupé au montage pour mieux être revendu après. En attendant, ça reste la meilleure version de P3 pour découvrir une pièce unique et marquante de l'univers du JRPG.
Maneater ps5
Bao

le 04/11/2023
5
Typiquement le genre jeu qui fait original sur le papier - à savoir une simulation de requin tueur avec un zeste de RPG, sur fond d'histoire façon série-Z - mais qui montre très vite ses limites manettes en main.

Maneater est un titre qui dès la première heure nous enferme dans la répétitivité (et il ne faut que ~12-13h pour le finir), la boucle de gameplay et le contenu assez bateau faisant vite comprendre que ça va être toujours la même chose. Reste l'originalité des combats aquatiques, et le côté jouissif de jouer un caïd des mers. Enfin ça c'est surtout vrai dans la deuxième moitié du jeu, car la première on passe pas mal de temps à fuir et se faire victimiser. Dommage aussi que le DLC soit payant, un DLC dont le contenu nawak aurait du faire parti partiellement ou totalement du jeu de base, au moins pour lui apporter la variation de contenu qui lui fait défaut. Bref bien dommage, pour moi c'est un jeu qui passe à côté de son potentiel.
Lunar: Silver Star Harmony psp
Bao

le 16/01/2016
5_5
L'histoire reste assez classique et certains rebondissements sont bien trouvés mais j'ai pas ressenti le souffle de l'aventure comme le ferait un Grandia par exemple, le jeu a terriblement du mal à vendre ses antagonistes, ce qui est assez dommage notamment pour le bad guy dont les motivations sont pas si stupides que ça. Elle a aussi beaucoup de mal à vendre son insipide protagoniste dont les 3/4 des dialogues sont composés de LUNAAAAAAA!!!, heureusement que le reste de l'équipe (surtout Kyle et Jessica) arrive à remonter le niveau. Le jeu est joli, la musique sympa, on traverse des environnements assez classique sans grande difficulté, le rythme est plutôt soutenu et ça c'est bien. Dommage que les combats soient soporifiques et que la gestion de la vitesse soit en roue libre, on sait jamais qui va jouer quand. Au passage c'est sympa d'avoir mis des ennemis visibles sur la carte, mais bon si ils ont des yeux dans le dos et qu'ils courent aussi vite que le héros (surtout qu'il y a beaucoup de couloirs), ça sert pas à grand chose.

Bref c'est sympa sans plus, et ça m'a pas spécialement donné envie de découvrir la version originale ni la suite.
Persona psp
Bao

le 20/01/2014
Edité le 20/01/2014
5
Univers et ambiance captivantes, histoire et personnages en soit très sympathiques, et le "plaisir" de découvrir les bases du gameplay de la série. Et ben bordel on en a fait du chemin, car ce premier Persona est un concentré d'extrêmes et pas forcement dans le bon sens : personnages trop utiles ou pas assez (j'ai récupéré Ayase dans le run SEBEC, youhou...), donjons trop simples ou trop chiantissimes, le système de race/classe/résistance propre du démon est totalement pourri et transforme les combats en loterie, l'évolution des personnages est mal pensée, et pas mal de petites options liées à l'ergonomie qui manquent (je pense par exemple aux combats avec initiative des démons, ou on doit A CHAQUE FOIS retourner dans les menus pour refaire la formation...) rendent vraiment l'ensemble indigeste. Par contre le système de dialogue et d'invocation/fusion est relativement bien foutu. L'OST est sympa sans plus également, et on a quand même une jolie perte par rapport aux pistes originales. Je vais pas non plu dire que je me suis "forcé" à finir le jeu mais dans l'idée c'est ça, passé un cap je me contentais de spammer les Megidolaon histoire d'en finir le plus vite possible.

Bref un départ de licence correct en 1996, mais en 2009 il accuse méchamment son âge.
Star Ocean: First Departure psp
Bao

le 26/12/2013
Edité le 27/12/2013
5
C'était lambda. Personnages lambda, univers lambda, musiques lambda mais-pas-trop qui s'envolent dès le jeu coupé, bizarrement équilibré dans sa globalité, plein d'allez-retours, histoire anecdotique qui part dans tous les sens avec ce principe étrange de proposer un "choix" de personnages sans que ça ai une véritable importance sur le déroulement du jeu. Par contre le système de combat est pas mal du tout, et le système de personnalisation via les skills, pas forcement très clair et facile à assimiler, permet de vite faire le grosbill en puissance à force d'expérimentations. Au final la grande surprise ça a surtout été de voir que certains éléments, pas forcement les meilleurs, sont trainés depuis le début de la série (et je dis ça en prenant bien en compte les modifications SNES <> PSP). Mais bon, au moins ça se laisse jouer sans forcer, du début à la fin.
Gurumin psp
Bao

le 19/07/2013
Edité le 19/07/2013
6
C'est mignon et rigolo, rythmé, pas original pour un sou niveau gameplay mais agréable à prendre en main même si la caméra est un peu relou, et en plus c'est un jeu qui peut se faire en courtes cessions (le jeuest découpés en stages, il faut rarement plus de 20-25 minutes pour en finir un). Idéal entre deux gros titres.
Crisis Core: Final Fantasy VII psp
Bao

le 30/06/2013
Edité le 30/06/2013
7_5
Très agréablement surpris par la manière dont le récit à été intégré à des évènements déjà connus depuis plus de 10 ans déjà, en évitant au maximum les incohérences et en faisant pleuvoir les références, tout en offrant de l'épaisseur à un casting en parti connu, et en donnant ses lettres de noblesses à un tout nouveau, Gackt y-compris, même si il est un peu tape-système à jouer l'émo récitant sans cesse le même poème. Le personnage de Zack Fair est vraiment génial, et la rétrospective de sa vie fournie par le jeu lui rend vraiment honneur : son tempérament, son évolution, sa maturité, sa relation avec les autres (avec Aeris notamment). Certes y'a des moments assez poussifs dans l'histoire, mais j'ai pu que m'attacher à ce personnage au fil du jeu tout en sachant la fin qui alalit connaitre, d'ailleurs les larmichettes n'ont pas loupées lors de l'ultime cinématique qui doit être une des plus puissantes de toute l'histoire de Final Fantasy, voir du RPG en général (dans mon cas hein). Zack c'est le Héros avec un H de Final Fantasy 7. Faut aussi dire que le jeu à une plastique de rêve, les cinématiques tuent la gueule, il est également très beau et très détaillé. L'aspect musical n'est pas en reste, les pistes remixées pistes sont très réussies et les nouvelles le sont encore plus (The Price of Freedom!!!).

Le gros point faible du jeu restera le gameplay en général, à mon goût. Le système de combat trouve vite ses limites, l'OCN est bien trop hasardeux et disproportionné dans ses bonus, le choix d'un tel level-up est ...bizarre, et le système des rencontres aléatoires tape sur les nerfs, on se retrouve à raser constamment les murs pour souffler 2 minutes. Y'a vraiment que le système de fusion de matéria que je retiendrais. J'en profite pour également pointer du doigt les missions, répétitives, moches, sans âme, enchainant les 10 mêmes décors, on a l'impression d'un ajout à la dernière minute suite à un complexe des développeurs sur la durée de vie du jeu en ligne droite. C'est dommage car ça aurait pu servir de gros fourre-tout pour continuer l’ode à FF7 faites par le jeu.

En définitif une très bonne expérience, et un must-do pour tous ceux qui ont fait FF7. Et cette fin putain, cette fin... :cryariver:
Ys Seven psp
Bao

le 23/06/2013
Edité le 23/06/2013
8
Je dois avouer que je regardais le jeu d'un sale œil à la base vu que pour moi Ys = mono-personnage, en plus du fait que Felghana et Origin avaient en parallèle placé la barre quand même assez haut. Au final cette appréhension s'est très vite dissipée : le gameplay à trois personnages est très bien fichu et la sauce prend vite, c'est ultra-speed, ultra-bourrin et ultra-fun. Sérieusement les combats boss (notamment celui de fin!) sont absolument jouissifs, et l'OST explosive du jeu, que je mets au même niveau que Felghana, contribue à donner une aura sacrément épique au soft. Le scénario est lui dans la moyenne et maintient l'attention en surprenant même parfois, et le côté explo plus travaillé que la normale de la série donne l'occasion de se balader pour voir moult décors et résoudre de nombreuses énigmes, contribuant ainsi au très bon sentiment d'aventure véhiculé par le jeu. Le seul gros point faible sera le tout début, car cette nouvelle aventure d'Adol sera assez molle à se lancer, et la présence de quelques passages un peu relou d’aller-retours.

On notera aussi les efforts de Falcom pour rendre l'expérience la plus agréable possible, en offrant trois tonnes d'options et de solutions histoire d'emmerder un minimum le joueur. On sauvegarde ou on veut quand on veut (sauf les boss fight), on se téléporte d'un point à un autre sans restrictions, l'inventaire à une limite de 999, l'IA loote automatiquement les objets, y'a des tonnes d'accessoires différents pour faciliter l'obtention d'exp/gold, il y a un compendium interne avec affichage des drops par monstre, la forge/les magasins sont toujours en relation avec la progression du joueur pour upgrader son équipement... c'est vraiment bien rôdé.
One Piece: Romance Dawn psp
Bao

le 27/03/2013
Edité le 28/03/2013
Peut-être faudrait-il lire le test de grikarfyn pour en comprendre la note, il est plus qu'exhaustif

Après, c'est peut être une des rares critiques sur le web sur ce jeu qui développe plus loin que le "c'est One Piece, c'est génial", qui représente justement les 7.9 de gamefaqs et les 18/20 de JV.com et qui sont avant tout basés sur des notes d'utilisateurs, non de testeurs "pro" (et je ne parle pas de "l'impartialité" Famitsu, surtout avec One Piece). Après c'est pas pour défendre ma crémerie, mais j'ai personnellement plus confiance en quelqu'un qui va faire un test détaillé et "éclairé" qu'à des commentaires d'utilisateurs parfois très douteux. Ensuite cette note n'engage que grikarfyn, l'auteur du test, qui comme toute personne à ses propres standards et attentes (et qui est justement est un fan de One Piece!).
Blazing Souls: Accelate psp
Bao

le 06/11/2012
En l'état je peux pas t'aider car je connais pas le jeu. Je t'invite à plutôt passer sur le forum pour de l'aide (nous avons une section consacrée à ça). Et puis tu n'auras pas beaucoup de réponses dans une fiche quasi-pas visitée
Modifir un commentaire :
X
$_$ >_< <_< :!: :!: :( :) :- :6: :a: :alien: :banana: :bat: :bave: :bear: :berk: :blush: :boss: :bounce: :bye:
OK
0 connecté
Legendra RPG V4.8.42 © Force 2024 - Mentions légales
Webmaster : Medion