Commentaires RPG - Legendra RPG

Ananas

le 17/07/2010
Edité le 17/07/2010

Mon premier Suikoden, et on peut dire qu'il donne envie de découvrir la série.

Une durée de vie énorme, grâce à la quête des 108 étoiles à recruter. 108 étoiles absolument toutes charismatiques (même les poissons sur pattes), ça donne envie de toutes les avoir. Par contre, il est quasiment impossible de toutes les trouver sans aide extérieure...
A part cette quête énorme, le scénario est un peu bidon, mais plaisant (les révélations finales m'ont personnellement bien surprise), les quelques personnages obligatoires sont les meilleurs du jeu, à part les quatre huitres du départ. Les combats sont un peu lourdingues, et sont à la fois très simple, et très long, mais encore, plaisants. Facile de se maintenir en vie et d'attaquer, mais vu le nombre de hp assez conséquent des boss... Les donjons sont assez longuets et pas très variés, pas d'énigmes, rien. Ajoutons à cela le fait que les combats ne soient pas évitables, l'exploration devient vite looooourde.

Gros plus pour les graphismes : C'est BEAU ! Décors enchanteurs alliés à une technique parfaite, ça donne ce Tierkreis. Les musiques ne sont pas en reste, et la plupart des pistes de combat sont motivantes !

Malgré ses défauts, adoré. Vraiment. Paradoxe par contre, je suis certaine de ne pas le refaire. Au moins vu que les 108 personnages pouvaient être recrutés dès notre première partie, je n'ai pas de regrets.

Sword of Mana gba

Ananas

le 17/09/2010
Edité le 26/11/2010

Jeu sympa, et j'ai passé un bon moment dessus. Et cette fin... Même si j'ai trouvé le dernier donjon d'une lourdeur impressionante, on se rend compte à quel point ça valait le coup en voyant la fin. =)

Les graphismes sont bien jolis, vraiment bien foutus pour de la GBA. C'est de la jolie 2D toute mignonne comme je les aime. ^.^ Le scénario est bien ficelé, et malgré la trame classique, réussit à tenir le joueur en haleine. Le fait de suivre l'histoire du point de vue de deux personnages rajoute un petit plus au soft. Le gameplay bien que répétitif est sympa, et j'ai bien aimé le côté Zelda qui demandait de trouver la bonne arme, la bonne stratégie pour vaincre les boss. L'OST est sympatoche, le chara-design est bien réussi... Mais malheureusement... On finit par en avoir marre. L'exploration est lourde, l'IA est absolument pathétique, les bugs sont nombreux...
Le jeu a de réelles qualités certes, mais malheureusement ternies par l'exploration casse-bonbons, l'IA nulle à chier (sérieux, même quand un autre personnage nous accompagne, on a l'impression d'être seul...) et quelques bugs malheureux. Il reste franchement sympa.

Tales of Destiny 2 play2

Ananas

le 09/06/2012
Edité le 09/06/2012

Après 49h, il est temps de remettre le disque de ToD2 dans sa boîte. Tel un livre exceptionnel que l'on regrette de terminer, ToD2 reste dans la tête du joueur, encore et encore, bien après l'avoir terminé.

ToD2, c'est l'histoire d'un jeune homme qui veut marcher sur les traces de son père, héros de renommée mondiale. Mais comment se montrer digne d'un tel homme ? Et surtout, qu'est ce qui fait un héros ? ToD2 aborde toutes ces questions et bien plus encore, avec, en tête, l'exploration des notions de "bonheur" et de "héros".

Alors, par où commencer ? Déjà, le jeu est beau. C'est une 2D belle et fine, les tableaux sont travaillés et agréables à explorer. D'un autre côté, la world map est super moche, mais vu que c'est les débuts de la PS2, on lui pardonne. Pour aller avec l'aspect graphique, on a un très bon ost signé Sakuraba, qui nous livre un véritable chef d'oeuvre.

Et parce que la forme ne fait pas tout, le fond n'est pas en reste. On a là un scénario intéressant et que l'on suit avec plaisir, qui surprend par certains twists et qui sait émouvoir le joueur. Au niveau des personnages, ça coince cependant. Si tu t'appelles pas Kyle ou Reala, tu sers à rien, et les 4 autres personnages ne sont que peu abordés. Leur participation aux skits reste agréable cependant, et l'aspect comique et léger de celles-ci est toujours aussi présent.

On ne saurait parler d'un Tales sans aborder le gameplay: Celui-ci est du calibre d'un Rebirth, avec un aspect tactique très présent. Si tu pars comme un bourrin sans préparation, bonne chance. On s'y fait assez vite, et le jeu se révèle très vite aussi fun que le reste de la série. A noter cependant que la difficulté est assez élevée, et que le gain de grade relève presque de l'aléatoire.

Loin d'être le jeu parfait, ToD2 est cependant un grand jeu, qui fait passer un excellent moment en compagnie de Kyle et ses compagnons. Une valeur sûre dans la série, ToD2 est un de ces jeux qui marque de par ses qualités indéniables, qui réussissent à faire oublier les malheureux défauts l'encombrant.
Après 49h, il est temps de remettre le disque de ToD2 dans sa boîte. Tel un livre exceptionnel que l'on regrette de terminer, ToD2 reste dans la tête du joueur, encore et encore, bien après l'avoir terminé.

ToD2, c'est l'histoire d'un jeune homme qui veut marcher sur les traces de son père, héros de renommée mondiale. Mais comment se montrer digne d'un tel homme ? Et surtout, qu'est ce qui fait un héros ? ToD2 aborde toutes ces questions et bien plus encore, avec, en tête, l'exploration des notions de "bonheur" et de "héros".

Alors, par où commencer ? Déjà, le jeu est beau. C'est une 2D belle et fine, les tableaux sont travaillés et agréables à explorer. D'un autre côté, la world map est super moche, mais vu que c'est les débuts de la PS2, on lui pardonne. Pour aller avec l'aspect graphique, on a un très bon ost signé Sakuraba, qui nous livre un véritable chef d'oeuvre.

Et parce que la forme ne fait pas tout, le fond n'est pas en reste. On a là un scénario intéressant et que l'on suit avec plaisir, qui surprend par certains twists et qui sait émouvoir le joueur. Au niveau des personnages, ça coince cependant. Si tu t'appelles pas Kyle ou Reala, tu sers à rien, et les 4 autres personnages ne sont que peu abordés. Leur participation aux skits reste agréable cependant, et l'aspect comique et léger de celles-ci est toujours aussi présent.

On ne saurait parler d'un Tales sans aborder le gameplay: Celui-ci est du calibre d'un Rebirth, avec un aspect tactique très présent. Si tu pars comme un bourrin sans préparation, bonne chance. On s'y fait assez vite, et le jeu se révèle très vite aussi fun que le reste de la série. A noter cependant que la difficulté est assez élevée, et que le gain de grade relève presque de l'aléatoire.

Loin d'être le jeu parfait, ToD2 est cependant un grand jeu, qui fait passer un excellent moment en compagnie de Kyle et ses compagnons. Une valeur sûre dans la série, ToD2 est un de ces jeux qui marque de par ses qualités indéniables, qui réussissent à faire oublier les malheureux défauts l'encombrant.

Tales of Destiny: Director's Cut play2

Ananas

le 09/08/2012
Edité le 09/08/2012

Tales of Destiny remet vraiment en perspective ce qu'est un "remake". A vrai dire, plus encore qu'un remake, ce jeu est une totale réimagination du Destiny original. Un pur bonheur à jouer et un vrai régal, Destiny est sans doute un des meilleurs jeux de la série.

Argument de choc, et à mettre en valeur avant tout, le gameplay excellentissime. Meilleur que Graces, meilleur que Xillia, oui, Destiny Remake a le meilleur système de la série. Les combats sont rapides et nerveux, c'est juste super beau et ça déboite la rétine. Dans l'ensemble le jeu est faisable sans être trop difficile, mais il propose un réel challenge appréciable à côté.

Du reste, on a un casting génial (Johnny ! Lilith ! Woodrow !), très attachant, un scénario qui, sans casser trois pattes à un canard, propose quelques twists sympas, sait se faire émouvant et touchant. Mention spéciale à la backstory de la famille Gilchrist, juste fabuleuse.

Enfin, le jeu est beau. Musicalement on a du très sympa, comme le final boss theme et du... Très bizarre, comme certains dungeon themes, qui ne peuvent être qualifiés autrement que par "Sakuraba était probablement sous ecstasy." Sinon, graphiquement, la 2D est impeccable (petite mention à certaines animations de Stahn qui sont identiques à certaines animations de Kyle dans le 2, détail inutile mais sympathique.), l'univers est beau et coloré... Bon, la 3D de la world map est ignoble, mais c'est tout.

Et pour finir, parce que je ne me suis sans doute pas assez étendue sur le fait que ce remake tue; ce remake tue. Tout a été revu par rapport à la version PSone, que ce soit les donjons, l'ajout de certains événements, ou une refonte totale de certains points du scénario. Tout bêtement, Destiny c'est l'idéal du remake, c'est le jeu qui fout la honte à tous les autres remakes comme il en existe des dizaines, tant il est différent - et meilleur ! - de son original.

Destiny, c'est juste le jeu, le Tales, qu'on ne peut pas ne pas aimer. Une réussite sur absolument tous les plans, ToD c'est le jeu qu'on refait volontiers, sans autre raison que le fait qu'il soit incroyablement prenant.
Tales of Destiny remet vraiment en perspective ce qu'est un "remake". A vrai dire, plus encore qu'un remake, ce jeu est une totale réimagination du Destiny original. Un pur bonheur à jouer et un vrai régal, Destiny est sans doute un des meilleurs jeux de la série.

Argument de choc, et à mettre en valeur avant tout, le gameplay excellentissime. Meilleur que Graces, meilleur que Xillia, oui, Destiny Remake a le meilleur système de la série. Les combats sont rapides et nerveux, c'est juste super beau et ça déboite la rétine. Dans l'ensemble le jeu est faisable sans être trop difficile, mais il propose un réel challenge appréciable à côté.

Du reste, on a un casting génial (Johnny ! Lilith ! Woodrow !), très attachant, un scénario qui, sans casser trois pattes à un canard, propose quelques twists sympas, sait se faire émouvant et touchant. Mention spéciale à la backstory de la famille Gilchrist, juste fabuleuse.

Enfin, le jeu est beau. Musicalement on a du très sympa, comme le final boss theme et du... Très bizarre, comme certains dungeon themes, qui ne peuvent être qualifiés autrement que par "Sakuraba était probablement sous ecstasy." Sinon, graphiquement, la 2D est impeccable (petite mention à certaines animations de Stahn qui sont identiques à certaines animations de Kyle dans le 2, détail inutile mais sympathique.), l'univers est beau et coloré... Bon, la 3D de la world map est ignoble, mais c'est tout.

Et pour finir, parce que je ne me suis sans doute pas assez étendue sur le fait que ce remake tue; ce remake tue. Tout a été revu par rapport à la version PSone, que ce soit les donjons, l'ajout de certains événements, ou une refonte totale de certains points du scénario. Tout bêtement, Destiny c'est l'idéal du remake, c'est le jeu qui fout la honte à tous les autres remakes comme il en existe des dizaines, tant il est différent - et meilleur ! - de son original.

Destiny, c'est juste le jeu, le Tales, qu'on ne peut pas ne pas aimer. Une réussite sur absolument tous les plans, ToD c'est le jeu qu'on refait volontiers, sans autre raison que le fait qu'il soit incroyablement prenant.

Tales of Eternia psp

Ananas

le 09/07/2010
Edité le 12/10/2010

Encore un bon Tales, avec un scénario pas toujours passionnant, mais qui reste intéressant, des personnages au design assez discutables et au doublage particulièrement insupportable (sans rire), mais attachants, un OST assez plat mais qui a le droit à UNE piste inoubliable, que l'on entend malheureusement une seule fois (Eternal Mind), des graphismes mignons et franchement bien foutus.

Le système de combat. Waw. C'est nerveux, c'est rapide, tout va à une vitesse folle. Ils sont excellents, mais dommage qu'on ne puisse en profiter qu'avec le seul personnage jouable (dans le sens où avec tous les autres on se fait chier), Reid. Autre point bof, la traduction des techniques parfois... Douteuse, et qui déroutera le plus habitué. "Demon Lightning Hammer" pour "Lightning Tiger Blade" ? Euh...

Un Tales sympa, pas le meilleur, loin de là, mais il fait passer de bonnes heures, et c'est un bon jeu... Tout simplement pour passer le temps.

Tales of Graces f play3

Ananas

le 07/11/2011
Edité le 25/11/2012

Quand la team Destiny se met à la 3D, elle ne fait pas les choses à moitié, et Graces le prouve grâce à une technique riche et novatrice.
Sa force réside dans son gameplay solide et intelligent. Reprenant le système de CC déjà vus dans Destiny Remake, ce ToG est un jeu dont les deux maitres d'ordre sont vitesse et esquive. Les combats sont plus rapides que jamais, et apportent une nouveauté absolument exceptionnelle: Les Side Step, qui permettent d'esquiver virtuellement tout et n'importe quoi, et sont d'ailleurs le meilleur moyen de se déplacer, le Free Run étant devenu tout simplement obsolète.
Autre changement génial: La disparition des attaques normales. Tout le système de jeu se base sur des enchainements de techniques spéciales, divisées en deux styles précis. Ce qui donne lieu à un vrai festival d'effets de lumière et de capacités toutes plus impressionnantes les unes que les autres.
Bien évidemment, le reste du système n'est pas en reste, et la progression par titres, bien que parfois lente et frustrante, apporte son lot de nouveauté.

Cependant... Cependant, le gameplay est peut-être bien le seul point parfait de Graces. Le reste oscillant entre le sympathique et le carrément moyen.

Le casting notamment, très inégal. La faute, principalement, à Asbel et Sophie (et Richard, mais moins) qui volent littéralement les devants de la scène... A peu près tout le temps. Tellement, qu'on en est à un point où, face à un personnage comme Malik, la seule chose qui vient à l'esprit c'est "mais c'est QUOI au juste son intérêt pour l'histoire ?". Même les sidequests ne parviennent pas à le rendre à moitié aussi intéressant que Sophie.
Quant au scénario, il se laisse suivre mais sent le réchauffé, et l'épilogue... Est... Inutile ? Trop court, trop rushé, son seul intérêt est au final de permettre au joueur de rejouer avec Richard (et de le "récupérer" pour l'histoire principale par ailleurs); les graphismes sont loin d'être au niveau de la PS3 mais restent assez jolis, l'univers manque d'intérêt, et, enfin, seules quelques musiques parviennent à se démarquer de l'OST qui est, dans l'ensemble, un des plus mauvais de Sakuraba.

Quoiqu'il en soit, Graces est un bon jeu de par le fun global qui s'en dégage, ayant essayé de jouer la carte de la nouveauté, mais les résultats ne sont pas toujours concluants.

Ah, et dernièrement, un "défaut" au jeu que je trouve absolument inacceptable, c'est que le Rockgagan, monstre parmi les monstres, et un des boss les plus puissants de la série, ne rapporte pas le moindre point d'xp dans cette version PS3. Une véritable insulte au joueur qui aura besoin de beaucoup plus que de la chance pour le vaincre.

Après, j'admets, éventuellement, que c'est anecdotique.
Quand la team Destiny se met à la 3D, elle ne fait pas les choses à moitié, et Graces le prouve grâce à une technique riche et novatrice.
Sa force réside dans son gameplay solide et intelligent. Reprenant le système de CC déjà vus dans Destiny Remake, ce ToG est un jeu dont les deux maitres d'ordre sont vitesse et esquive. Les combats sont plus rapides que jamais, et apportent une nouveauté absolument exceptionnelle: Les Side Step, qui permettent d'esquiver virtuellement tout et n'importe quoi, et sont d'ailleurs le meilleur moyen de se déplacer, le Free Run étant devenu tout simplement obsolète.
Autre changement génial: La disparition des attaques normales. Tout le système de jeu se base sur des enchainements de techniques spéciales, divisées en deux styles précis. Ce qui donne lieu à un vrai festival d'effets de lumière et de capacités toutes plus impressionnantes les unes que les autres.
Bien évidemment, le reste du système n'est pas en reste, et la progression par titres, bien que parfois lente et frustrante, apporte son lot de nouveauté.

Cependant... Cependant, le gameplay est peut-être bien le seul point parfait de Graces. Le reste oscillant entre le sympathique et le carrément moyen.

Le casting notamment, très inégal. La faute, principalement, à Asbel et Sophie (et Richard, mais moins) qui volent littéralement les devants de la scène... A peu près tout le temps. Tellement, qu'on en est à un point où, face à un personnage comme Malik, la seule chose qui vient à l'esprit c'est "mais c'est QUOI au juste son intérêt pour l'histoire ?". Même les sidequests ne parviennent pas à le rendre à moitié aussi intéressant que Sophie.
Quant au scénario, il se laisse suivre mais sent le réchauffé, et l'épilogue... Est... Inutile ? Trop court, trop rushé, son seul intérêt est au final de permettre au joueur de rejouer avec Richard (et de le "récupérer" pour l'histoire principale par ailleurs); les graphismes sont loin d'être au niveau de la PS3 mais restent assez jolis, l'univers manque d'intérêt, et, enfin, seules quelques musiques parviennent à se démarquer de l'OST qui est, dans l'ensemble, un des plus mauvais de Sakuraba.

Quoiqu'il en soit, Graces est un bon jeu de par le fun global qui s'en dégage, ayant essayé de jouer la carte de la nouveauté, mais les résultats ne sont pas toujours concluants.

Ah, et dernièrement, un "défaut" au jeu que je trouve absolument inacceptable, c'est que le Rockgagan, monstre parmi les monstres, et un des boss les plus puissants de la série, ne rapporte pas le moindre point d'xp dans cette version PS3. Une véritable insulte au joueur qui aura besoin de beaucoup plus que de la chance pour le vaincre.

Après, j'admets, éventuellement, que c'est anecdotique.

Tales of Hearts - Anime Movie Edition - nds

Ananas

le 06/10/2010
Edité le 24/12/2010

Fier héritier d'une grande saga, Hearts renoue d'une fort belle manière avec celle-ci, après deux épisodes DS qui non contents d'avoir été réalisés par un studio autre que Namco, étaient forts différents de leurs prédécésseurs...

Ici, on retrouve (presque) que du bon ! Un scénario accrocheur et original, mais malheureusement terni par une grosse période de creux durant le troisième quart du jeu, où il ne se passe strictement rien, un gros vide prétexte à de nombreux aller-retours et à beaucoup d'agitation et de blabla pour ne rien dire. La dernière ligne droite rattrape cela cependant, en proposant entre autres une fin fort jolie. Le casting d'un autre côté, est... Médiocre. Côté design comme caractères, on a là des huitres, aux personnalités clichées à l'extrême... Cependant, et c'est totalement subjectif, j'ai adoré les personnages d'Hisui et Innes, qui de mon point de vue, rattrapaient le reste un peu foireux.

Dernier défaut pour entacher le tableau, l'OST que j'ai trouvé pathétique et sans relief, des musiques robotiques, mécaniques et artificielles... @.@

A part ça ? Une grande réussite, une durée de vie phénoménale, le jeu est aussi complet, riche et long qu'un bon jeu sur console de salon ! Les quêtes annexes sont nombreuses et renforcent allègrement la durée de vie. Les graphismes sont mignons comme tout, adieu la 3D réussie certes, mais un peu bancale des précédents épisodes sur DS, on a une 2D très réussie; les sprites de combat surtout, sont jolis comme tout et bien détaillés ! Cependant, les décors sont un peu vides, et l'ambiance est assez lourde... Et le gameplay, pour finir, est à la fois très riche et... un peu bancal. Les possibilités de customisation via le Soma Evolve sont bien trouvés, permettent de choisir soi-même l'évolution de nos personnages, et les combats sont dynamiques... Mais l'ensemble est mal fichu, c'est vif certes, mais c'est bourrin à mort, et surtout complètement cheaté. Les ennemis qui deviennent invulnérables toutes les dix secondes, je dis non, faut pas déconner non plus...

Dans l'ensemble un grand jeu sur DS, un très bon Tales, mais qui souffre de (trop) gros défauts. =/

Fier héritier d'une grande saga, Hearts renoue d'une fort belle manière avec celle-ci, après deux épisodes DS plus ou moins ratés, il faut l'admettre...

Ici, on retrouve (presque) que du bon ! Un scénario accrocheur et original, mais malheureusement terni par une grosse période de creux durant le troisième quart du jeu, où il ne se passe strictement rien, un gros vide prétexte à de nombreux aller-retours et à beaucoup d'agitation et de blabla pour ne rien dire. La dernière ligne droite rattrape cela cependant, en proposant entre autres une fin fort jolie. Le casting d'un autre côté, est... Médiocre. Côté design comme caractères, on a là des huitres, aux personnalités clichées à l'extrême... Cependant, et c'est totalement subjectif, j'ai adoré les personnages d'Hisui et Innes, qui de mon point de vue, rattrapaient le reste un peu foireux.

Dernier défaut pour entacher le tableau, l'OST que j'ai trouvé pathétique et sans relief, des musiques robotiques, mécaniques et artificielles... @.@

A part ça ? Une grande réussite, une durée de vie absolument phénoménale pour un jeu sur DS, le jeu est aussi complet, riche et long qu'un bon jeu sur console de salon ! Les quêtes annexes sont nombreuses et renforcent allègrement la durée de vie. Les graphismes sont mignons comme tout, adieu la 3D réussie certes, mais un peu bancale des précédents épisodes sur DS, on a une 2D très réussie; les sprites de combat surtout, sont jolis comme tout et bien détaillés ! Cependant, les décors sont un peu vides, et l'ambiance est assez lourde... Et le gameplay, pour finir, est à la fois très riche et... un peu bancal. Les possibilités de customisation via le Soma Evolve sont bien trouvées, permettent de choisir soi-même l'évolution de nos personnages, et les combats sont dynamiques... Mais l'ensemble est mal fichu, c'est vif certes, mais c'est bourrin à mort, et surtout complètement cheaté. Les ennemis qui deviennent invulnérables toutes les dix secondes, je dis non, faut pas déconner non plus... On prend son pied quand on arrive à caser de nombreux combos sans se faire interrompre tout le temps par l'invulnérabilité occasionelle des ennemis cependant, dieu merci...

Dans l'ensemble un grand jeu sur DS, un très bon Tales, mais qui souffre de défauts gênants.

Fier héritier d'une grande saga, Hearts renoue d'une fort belle manière avec celle-ci, après deux épisodes DS qui non contents d'avoir été réalisés par un studio autre que Namco, étaient forts différents de leurs prédécésseurs...

Ici, on retrouve (presque) que du bon ! Un scénario accrocheur et original, mais malheureusement terni par une grosse période de creux durant le troisième quart du jeu, où il ne se passe strictement rien, un gros vide prétexte à de nombreux aller-retours et à beaucoup d'agitation et de blabla pour ne rien dire. La dernière ligne droite rattrape cela cependant, en proposant entre autres une fin fort jolie. Le casting d'un autre côté, est... Médiocre. Côté design comme caractères, on a là des huitres, aux personnalités clichées à l'extrême... Cependant, et c'est totalement subjectif, j'ai adoré les personnages d'Hisui et Innes, qui de mon point de vue, rattrapaient le reste un peu foireux.

Dernier défaut pour entacher le tableau, l'OST que j'ai trouvé pathétique et sans relief, des musiques robotiques, mécaniques et artificielles... @.@

A part ça ? Une grande réussite, une durée de vie phénoménale, le jeu est aussi complet, riche et long qu'un bon jeu sur console de salon ! Les quêtes annexes sont nombreuses et renforcent allègrement la durée de vie. Les graphismes sont mignons comme tout, adieu la 3D réussie certes, mais un peu bancale des précédents épisodes sur DS, on a une 2D très réussie; les sprites de combat surtout, sont jolis comme tout et bien détaillés ! Cependant, les décors sont un peu vides, et l'ambiance est assez lourde... Et le gameplay, pour finir, est à la fois très riche et... un peu bancal. Les possibilités de customisation via le Soma Evolve sont bien trouvés, permettent de choisir soi-même l'évolution de nos personnages, et les combats sont dynamiques... Mais l'ensemble est mal fichu, c'est vif certes, mais c'est bourrin à mort, et surtout complètement cheaté. Les ennemis qui deviennent invulnérables toutes les dix secondes, je dis non, faut pas déconner non plus...

Dans l'ensemble un grand jeu sur DS, un très bon Tales, mais qui souffre de (trop) gros défauts. =/

Fier héritier d'une grande saga, Hearts renoue d'une fort belle manière avec celle-ci, après deux épisodes DS plus ou moins ratés, il faut l'admettre...

Ici, on retrouve (presque) que du bon ! Un scénario accrocheur et original, mais malheureusement terni par une grosse période de creux durant le troisième quart du jeu, où il ne se passe strictement rien, un gros vide prétexte à de nombreux aller-retours et à beaucoup d'agitation et de blabla pour ne rien dire. La dernière ligne droite rattrape cela cependant, en proposant entre autres une fin fort jolie. Le casting d'un autre côté, est... Médiocre. Côté design comme caractères, on a là des huitres, aux personnalités clichées à l'extrême... Cependant, et c'est totalement subjectif, j'ai adoré les personnages d'Hisui et Innes, qui de mon point de vue, rattrapaient le reste un peu foireux.

Dernier défaut pour entacher le tableau, l'OST que j'ai trouvé pathétique et sans relief, des musiques robotiques, mécaniques et artificielles... @.@

A part ça ? Une grande réussite, une durée de vie absolument phénoménale pour un jeu sur DS, le jeu est aussi complet, riche et long qu'un bon jeu sur console de salon ! Les quêtes annexes sont nombreuses et renforcent allègrement la durée de vie. Les graphismes sont mignons comme tout, adieu la 3D réussie certes, mais un peu bancale des précédents épisodes sur DS, on a une 2D très réussie; les sprites de combat surtout, sont jolis comme tout et bien détaillés ! Cependant, les décors sont un peu vides, et l'ambiance est assez lourde... Et le gameplay, pour finir, est à la fois très riche et... un peu bancal. Les possibilités de customisation via le Soma Evolve sont bien trouvées, permettent de choisir soi-même l'évolution de nos personnages, et les combats sont dynamiques... Mais l'ensemble est mal fichu, c'est vif certes, mais c'est bourrin à mort, et surtout complètement cheaté. Les ennemis qui deviennent invulnérables toutes les dix secondes, je dis non, faut pas déconner non plus... On prend son pied quand on arrive à caser de nombreux combos sans se faire interrompre tout le temps par l'invulnérabilité occasionelle des ennemis cependant, dieu merci...

Dans l'ensemble un grand jeu sur DS, un très bon Tales, mais qui souffre de défauts gênants.

Tales of Innocence nds

Ananas

le 09/07/2010
Edité le 01/12/2010

Un de mes petits coups de coeur sur DS, bien que...

Tales of Innocence a un scénario diablement original, un des plus originaux de la série, avec un parallèle constant aux vies passées des différents personnages. Malheureusement le jeu est très mal mis en scène, avec un schéma ville-donjon très long-bateau-ville-donjon très long-bateau qui se répète quasi pendant tout le jeu. Ca donne un rythme lourd, qui empêche de suivre avec plaisir et intérêt l'histoire.
Les personnages sont tous plus ou moins charismatiques et attachants, et chacune de leur vie passée a un lien fort avec celle des autres, parfois même assez surprenant. On regrette par contre qu'il n'y ait que leur vie passée qui soit mise en avant, avec absolument rien comme information à propos de leur vie actuelle. Il y a les saynètes qui permettent d'en apprendre plus certes, mais c'est totalement optionnel alors...
L'OST propose quelques pistes sympathiques, l'intro, le thème de combat et quelques autres, mais rien de transcendant, il se laisse simplement écouter.
Les graphismes de ce To font partie des plus beaux de la DS, les personnages sont détaillés, bien animés, mais il y a une faiblesse au niveau des décors, avec des donjons longs, linéaires et qui ne font que se ressembler, les villes sont un peu vides et lorsqu'une ose afficher des détails, le jeu rame lamentablement.
Le système de combat... C'est du To, ici mélange de Destiny remake (combat aérien) et Abyss (Disponibilité du Free Run), deux systèmes excellents... Le résultat est inférieur aux deux, mais on prend tout de même son pied... Pendant un moment, la fréquence trop élevée des combats fait qu'à force, ce n'est même plus drôle.

Bref, un bon jeu, mais un Tales of un peu convenu et bien répétitif... Dommage.

Tales of Legendia play2

Ananas

le 16/02/2010
Edité le 10/08/2010

Le voilà, le Tales of mal-aimé, le rejeté de la série, considéré comme beaucoup comme un jeu abominablement mauvais... Du coup je commence avec un peu d'appréhension, mais l'aventure va vite dissiper mes doutes.

Le scénario, s'il parait d'un classicisme sans nom au départ, cache de belles surprises et des révélations incroyables. Les Character Quests, qui interviennent après l'aventure principale, nous permettent d'en apprendre plus sur les personnages, et surtout, de voir la véritable fin. Que du plaisir au niveau personnages et scénario.

Les graphismes sont mignons, mais le SD pourrait en rebuter certains. Les décors sont tous magnifiques et variés, le Legacy regorge d'endroits mystérieux et inexplorés tous plus beaux les uns que les autres. En contre partie, il n'y a qu'une seule, unique et gigantesque ville...

L'OST est vraiment de bonne qualité, cette fois-ci c'est Go Shiina qui s'y est attelé, et le résultat est plus que satisfaisant. Aucune musique ne transcende vraiment en fait, mais toutes sont agréables et collent à l'ambiance.

Les combats... Le GROS point noir de ce jeu. Ils sont chiants, lourds et redondants, très nombreux, les ennemis de s'affichant pas à l'écran on ne peut y échapper... Et ils sont très faciles aussi, même si le dernier combat pourrait donner du fil à retordre... Si on reste au héros, tout est très bourrin (étant donné que c'est un monk et non un épéiste...) et on se retrouve vite à marteler X sans distinction. L'IA n'est pas des plus développées, les possibilités de tactiques diverses sont assez réduites, et les mages ont tendance à aller se placer au milieu du terrain, bien devant l'ennemi, et de lancer des sorts inefficaces contre le dit ennemi. Et étant donné que les Grade Points descendent trèèès vite, ça devient rapidement assez problématique.

Un jeu mal-aimé à tort, il a ses qualités comme il a quelques défauts gênants qui peuvent vite carrément agacer. On aime ou on aime pas. Moi, je suis dans la première catégorie.
Le voilà, le Tales of mal-aimé, le rejeté de la série, considéré comme beaucoup comme un jeu abominablement mauvais... Du coup je commence avec un peu d'appréhension, mais l'aventure va vite dissiper mes doutes.

Le scénario, s'il parait d'un classicisme sans nom au départ, cache de belles surprises et des révélations incroyables. Les Character Quests, qui interviennent après l'aventure principale, nous permettent d'en apprendre plus sur les personnages, et surtout, de voir la véritable fin. Que du plaisir au niveau personnages et scénario.

Les graphismes sont mignons, mais le SD pourrait en rebuter certains. Les décors sont tous magnifiques et variés, le Legacy regorge d'endroits mystérieux et inexplorés tous plus beaux les uns que les autres. En contre partie, il n'y a qu'une seule, unique et gigantesque ville...

L'OST est vraiment de bonne qualité, cette fois-ci c'est Go Shiina qui s'y est attelé, et le résultat est plus que satisfaisant. Aucune musique ne transcende vraiment en fait, mais toutes sont agréables et collent à l'ambiance.

Les combats... Le GROS point noir de ce jeu. Ils sont chiants, lourds et redondants, très nombreux, les ennemis de s'affichant pas à l'écran on ne peut y échapper... Et ils sont très faciles aussi, même si le dernier combat pourrait donner du fil à retordre... Si on reste au héros, tout est très bourrin (étant donné que c'est un monk et non un épéiste...) et on se retrouve vite à marteler X sans distinction. L'IA n'est pas des plus développées, les possibilités de tactiques diverses sont assez réduites, et les mages ont tendance à aller se placer au milieu du terrain, bien devant l'ennemi, et de lancer des sorts inefficaces contre le dit ennemi. Et étant donné que les Grade Points descendent trèèès vite, ça devient rapidement assez problématique.

Un jeu mal-aimé à tort, il a ses qualités comme il a quelques défauts gênants qui peuvent vite carrément agacer. On aime ou on aime pas. Moi, je suis dans la première catégorie.

Tales of Phantasia psp

Ananas

le 25/06/2012

Même plus de 15 ans après sa sortie originale, Tales of Phantasia reste une référence. Un jeu charmeur, enchanteur, honnête dans ses sentiments et sublime dans sa façon d'exercer; ce jeu fut un grand début pour une série d'anthologie.

L'histoire, si elle n'est pas forcément originale, est néanmoins très prenante. S'il y a une chose à noter, c'est qu'elle cherche à toucher le joueur, et l'aspect tragédie est au final bien présent. Je ne dis pas que le joueur est entraîné au bord des larmes non plus, mais, pour une série connue pour son humour ravageur, Phantasia joue avec brio la carte de la tristesse.
Les personnages sont très attachants, bien que les personnalités soient, au final, vues et revues. Qu'il s'agisse des protagonistes ou des antagonistes d'ailleurs, et Dhaos est très certainement l'ennemi le plus charismatique qu'ait jamais connu la série.
Les décors sont bien fichus et agréables à explorer, l'OST est franchement très très bon (les thèmes de combat particulièrement), et le gameplay est un régal. Dans cette version PSP tout particulièrement, les combats sont très dynamiques et les effets de lumière volent partout, à tel point que l'on se croirait parfois dans un shoot 'em up.

Je n'ai, très honnêtement, pas grand chose, voire rien, à critiquer. Phantasia fut une très agréable surprise; alors que c'est le tout premier Tales sorti, c'est également un des derniers que je fais, et un de ceux qui arrive le plus à me surprendre.
Très beau, mignon, charmant, Phantasia fut un premier coup de maitre, peaufiné au fil des ans via ses nombreux remakes. Assurément un de mes grands favoris.

Tales of Rebirth play2

Ananas

le 23/08/2010
Edité le 26/09/2010

Une merveille. Sans hésiter un de mes Tales of préférés... Lorsque la fin arrive, on ne peut s'empêcher de penser "déjà ?!" et de regretter qu'une telle aventure arrive déjà à son terme.

Une histoire et des personnages matures. Adieu le gamin surexcité prêt à partir à l'aventure, Veigue ne part explorer le monde uniquement parce qu'il le doit. Les autres personnages ne sont pas en reste, et même si Mao et Tytree viendront mettre de la bonne humeur dans le groupe, ce ne sont pas des comiques ridicules qui sont juste là pour faire rire. Casting de haut niveau qui colle bien avec l'ambiance et l'histoire.
Encore une fois le problème du racisme est abordé, mais avec une délicatesse et une justesse infinie, tellement supérieures à Symphonia qui avait attaqué le sujet comme un gros bourrin. Les musiques sont magnifiques, les cinématiques de qualité, la 2D est absolument sublissime, et chaque lieu est tellement beau, propre, détaillé, qu'on se croirait en train d'explorer des tableaux peints d'une main de maitre. Le système de combat est le plus jouissif de la série, c'est à la fois tactique et extrêmement dynamique, réfléchi, vif, stratégique, fluide, excellent.

Les défauts du jeu ? Sa carte du monde en 3D, une honte... Et les quelques antagonistes qui sont loin d'être mémorables (Tohma et Zilva, quelle blague...) A part ça... Rien. Parfait, une réflexion sur ce que le terme de "race" signifie, une ode enchanteresse à la coexistence et à l'égalité, contée avec une délicatesse rare.

Tales of Symphonia

Ananas

le 09/07/2010
Edité le 30/05/2012

Premier Tales of (étrangement), un de mes premiers vrais coup de coeur pour un jeu. Mais après coup, je me rend compte...

L'histoire se veut sérieuse et aborde un sujet délicat, mais elle le fait avec maladresse et lourdeur. Le thème du racisme notamment, omniprésent, est bien mal exploité, et au final, rien à faire, on se moque de Génis et Raine, les deux victimes de ce racisme, du début à la fin, tant le sujet est mal abordé et les personnages lourds et anti-charismatiques. Quelques musiques sympathiques, dans l'ensemble un OST plat, des graphismes hideux.

Mais, mais, et c'est la force de Symphonia, on se prend au jeu quand même. On se prend à l'histoire, on est surpris avec les héros des tournants qu'elle prend, on se demande ce qui va se passer, comment les évènements qui arrivent peuvent avoir lieu, ce qui a bien pu se passer... Le système de combat est énorme, fun, dynamique, bourrin, pas de ralentissement, toujours de l'action, bref, presque la perfection, seul un détail manquait, que ses successeurs ont su trouver avec le Free Run.

La durée de vie est énorme, avec des quêtes annexes à n'en plus finir, le compteur d'heures monte facilement très très haut ! Et on ne s'ennuie jamais, oh que non.
Le RPG de la Game Cube... Ce qui n'est pas bien dur au final, mais c'est déjà ça.

Tales of Symphonia: Dawn of the New World wii

Ananas

le 29/10/2012

Après m'être dit que c'était vraiment trop dommage de rester fâchée avec un Tales, je me suis décidée à refaire ce ToS2, avec une idée en tête: Me séparer de ToS premier du nom. Et s'il n'est toujours pas un de mes jeux favoris, l'expérience est tout de même bien meilleure.

Commençons par le point qui fâchera toujours autant: Le couple de héros, Emil et Marta. Le duo (trio...?) qu'ils forment divise, c'est certain, tant ils ne sont pas... Et bien, conformes à ce que l'on attend d'un héros et d'une héroïne habituellement. Alors s'il est certain que la personnalité de lavette d'Emil tapera sur le système de plus d'un, j'ai au final apprécié ces jeunes héros, qui évoluent au fil de l'histoire. Petite mention évidemment au casting de ToS, de retour, pour le meilleur et pour le pire, toujours aussi... Attachants ?

Ca c'était le côté "on aime ou on aime pas". Du reste, les combats sont très bons, l'ost agréable, l'aspect graphique, sans être exceptionnel, est plutôt joli, et ça fait toujours aussi plaisir de retrouver l'univers de ToS.

Mais alors, en quoi ToS2 est-il un jeu moyen tirant sur le mauvais ? En vrac on peut citer les nouveaux donjons vides et linéaires, le scénario entrant en contradiction avec les événements de ToP (et pourtant je promets d'avoir fait un effort pour comprendre en quoi ils pouvaient s'imbriquer, mais rien n'y fait), la carte du monde restreinte, l'absence d'annexes, les quêtes de la guilde chiantes et répétitives...

Alors oui, au final, ces défauts relèvent surtout du détail, mais ils sont tellement présents, tellement nombreux, qu'on ne peut pas passer à côté. On peut tenter d'apprécier le jeu, de le juger à part de la série, mais même comme ça, ça reste très limite. Oui, j'aime bien plus ToS2 qu'auparavant, mais je ne pourrai décemment jamais le considérer comme une bonne suite à ToS.

Tales of the Abyss play2

Ananas

le 27/12/2009
Edité le 25/04/2011

Un excellent Tales of, et sûrement le meilleur de la série.

Une histoire prenante et bien plus mature que tout ce qu'on a pu avoir jusque là. Vers la fin on sent que le rythme s'essouffle un peu, mais on suit avec plaisir ce scénario qui offre des révélations incroyables et des moments forts, notamment une fois la deuxième partie du jeu passée.

Des personnages tous plus charismatiques les uns que les autres, et vraiment intéressants, leur psychologie à tous sans exceptions est incroyable. Ils sont énormes, tout simplement, le meilleur casting de la série.
Mention spéciale à Jade et Anise, le duo le plus hilarant que j'ai jamais vu dans un jeu vidéo, ces deux là en font de belles tout au long du jeu, et ça nous évite d'avoir des passages plats où il ne passe rien. (si, si...)

Les musiques sont toutes belles, on retiendra Meaning of Birth, évidemment, LA musique du jeu, et d'autres dont je ne me souviens pas des noms, mais qui contribuent toutes à donner une ambiance terrible au jeu !

Les combats sont franchement agréables aussi, le Free Run c'est LE petit ajout qu'il fallait pour compléter un système de combat sympathique mais imparfait. Le principe des AD skills est sympa, les FSC sont une idée brillante et permettant de booster nos Artes comme on le souhaite, et les FoF, c'est tout simplement le meilleur système que j'ai vu. Les explosions de lumières, les attaques qui pètent dans tous les sens, c'est tout simplement énorme.

Quant au reste, des graphismes très jolis, une carte du monde belle (à l'échelle de la série bien sûr) mais qui se permet malheureusement de planter à tout bout de champ, des quêtes annexes à gogo, et un New Game + fort alléchant, tout ça contribue à faire de ce jeu l'indispensable qu'il est. Mon jeu préféré, simplement. =D

Tales of the Tempest nds

Ananas

le 06/08/2010
Edité le 12/10/2010

Tales of the Tempest en un seul mot : court.

Ce jeu est court, bien trop court. Il regorgeait de bonnes idées pourtant, entre ses personnages et son scénario proposant des idées originales. Malheureusement le jeu est trop court et ne laisse le temps ni aux persos, ni au scénario de se développer. Au final on a des bouts d'infos, des bribes, mais rien de complet.
Les combats, la marque de fabrique de la série, ont eu le droit à un massacre : C'est lent, ça ne bouge pas, les animations sont pas terribles, et le génial 3on3LMBS de Rebirth a ici été passé à la tronçonneuse et ne propose plus que de bêtes affrontements sans génie sur 3 lignes. A noter l'IA catastrophique également...

Reste un OST sympa, l'utilisation du stylet pour la cuisine que je trouve marrant, et... Et voilà. Dans l'ensemble, j'ai quand même bien apprécié. Un peu.

Tales of the World: Radiant Mythology psp

Ananas

le 13/07/2010
Edité le 13/07/2010

A dungeon RPG is a dungeon RPG...

ToW propose une histoire complètement bateau, branlante et inintéressante, une simple excuse pour un jeu. Les musiques sont pour la plupart reprises des anciens Tales of dans des remix plus ou moins réussis. Les donjons sont longs, répétitifs, trop simples.

Mais ce n'est pas pour ça qu'on joue à ToW. C'est pour pouvoir combattre avec plein d'anciens personnages de la série réunis en un jeu. Sur le papier ça sonne comme le jeu pour les fans de la série, malheureusement, on ne retrouve pas assez de personnages, et les combats ne sont pas aussi funs que dans les autres épisodes... Dommage. Un épisode à réserver aux fans hard-core de la série, et encore.

Tales of the World: Radiant Mythology 3 psp

Ananas

le 05/02/2012

Sans aucun doute, le jeu ultime pour tout fan de Tales. Tout l'attrait du jeu repose dans ses 83 personnages, tout droit sortis de 14 Tales différents.

Comme d'habitude dans la série, l'humour est de mise et fait mouche, et c'est un véritable régal de voir tous ces personnages intéragir les uns avec les autres lors de skit plus inspirées les unes que les autres.
Le jeu offre également une réelle liberté des plus appréciables: Le joueur est libre de composer à volonté sa propre équipe et de partir accomplir des quêtes ou explorer des donjons, et ce sans la moindre restriction. Quant aux combats, ils sont comme à leur habitude une véritable réussite, même si l'on pourrait regretter une difficulté assez élevée qui force souvent le joueur à revenir à son point de départ pour se soigner.

Au final, on peut reprocher au jeu un scénario bateau et une mise en scène très pauvre, mais ce n'est pas pour ça qu'on joue à RM3. C'est pour pouvoir jouer à un cross-over qui accomplit ce qu'on attend de lui: Une rencontre improbable entre nos personnages favoris, pour le simple plaisir du joueur.

Tales of Vesperia xb360

Ananas

le 30/04/2013

Un excellent jeu, un grand Tales of, tout aussi magique que sa mouture PS3, malgré les ajouts et bonus de cette dernière.

+ Une grande aventure !
+ Graphiquement irréprochable, et peut-être un poil supérieur à la version PS3.
+ Les personnages, attachants, divers, tous très différents, mais tous crédibles.
+ Le système de combat, un régal.
+ La world map gigantesque.
+ C'est cool de pouvoir enfin y jouer en anglais.

+/- Des annexes à en crever. Il y en a beaucoup, beaucoup, beaucoup, voire trop.
+/- L'OST, allant du très bon au terriblement ordinaire.

- L'histoire très en retrait, la palme allant au troisième acte du jeu, qui a réussi à s'écarter totalement du sujet initial.
- Je regretterai à jamais l'absence de Flynn et Patty.

Alors oui la version 360 est souvent pointée du doigt comme une "beta", un jeu non-fini. Même s'il manque ici et là quelques ajouts sympathiques, l'expérience ToV reste au fond la même, un vrai régal et un pur bonheur à jouer.

Tales of Vesperia play3

Ananas

le 13/07/2011
Edité le 30/04/2013

Tales of Vesperia, ou le J-RPG à son apogée. Le jeu propose un pitch de départ très simple: L'artefact magique du coin a été volé, c'est donc à notre fier héros d'aller pourchasser le voleur et récupérer l'objet. Mais tout n'est pas si simple, et le scénario se complexifiera vite sans pour autant devenir inutilement compliqué.
Au programme, que du très bon: Un casting aussi charismatique qu'attachant et des personnalités hautes en couleur, un univers beau et coloré, des graphismes sublimes (on se croirait en train de jouer à un dessin animé interactif !), un OST très réussi, une carte du monde gigantesque sur laquelle on aime se perdre pour découvrir tous les secrets du jeu, et surtout, surtout, un système de combat jouissif à l'extrême. Rarement a-t-on vu des combats aussi vifs et amusant, qui se renouvellent constamment. Le jeu est extrêmement riche et il faudra des centaines d'heures pour découvrir tout ce qu'il a à offrir, et le maitriser totalement.
On pourra regretter un mauvais équilibre de l'aspect technique et gameplay du jeu, par rapport au côté scénaristique: L'histoire est très en retrait et le troisième tiers du jeu brille par son illogisme et par le retour de l'increvable quête des esprits à récupérer. Malgré ses quelques défauts, Vesperia reste un jeu tout simplement excellent, et sans aucun doute un des meilleurs RPG de cette génération.

Tales of Xillia play3

Ananas

le 07/10/2011
Edité le 07/10/2011

Tales of Xillia, ou le jeu schizophrène. Non pas dans le mauvais sens du terme, loin de là, mais Xillia décide d'un côté de se montrer classique et old-school sur toute la ligne, de l'autre d'innover et de balayer certaines habitudes (bonnes comme mauvaises) de la série, ce qui donne lieu à un mélange savoureux; dont les saveurs restent parfois sur l'estomac, mais qui dans l'ensemble est un régal dont on reprend volontiers.
Pitch de départ; les esprits se meurent, l'héroïne est envoyée pour comprendre ce qui se passe, elle rencontre le héros qui a le coup de foudre instantané, et en avant la musique.
Classique, mais pas trop. Surtout que Xillia, à la manière d'un Star Ocean 2, propose deux scénarios, l'un avec Milla, l'autre avec Jude. Dans le fond, le jeu reste bien sûr le même, mais le groupe se sépare plus d'une fois, et c'est uniquement en jouant aux deux histoires que l'on peut véritablement comprendre la trame globale. A noter que le scénario de Milla est, à mon sens, bien meilleur, mais c'est purement personnel.
Musicalement parlant, on a un Sakuraba au top de la forme; l'ost est loin d'être le plus fourni de la série, mais il propose énormément de petites perles (coup de coeur pour les différentes pistes de Trigraph et ses environs; le côté jazzy est absolument orgasmique.) très diversifiées. Du côté graphique, on pourra reprocher un minimalisme absolu, en même temps qu'on pourra l'apprécier. Les zones entre les villes et donjons sont grandes, belles, vides. On aime ou on aime pas, pas de juste milieu. Mais le choix artistique des villes, personnages, et l'aspect général du jeu est une véritable réussite, et l'orientation "asiatique" dégage une ambiance excellente.
Quant aux combats, pour la treizième fois depuis la création de la série, rien à redire. Vif, fun et dynamique, les Link Artes apportent un véritable plus, les effets de lumière claquent leur maman, et L'AI EST INTELLIGENTE. Seuls les habitués de Graces pourront se plaindre de la perte de rapidité flagrante des combats de Xillia.
J'ai parlé d'habitudes qui disparaissent; Namco, pour la première fois, abandonne le fan-service. Eux qui sont d'habitude si enclins à faire plaisir aux fans par une multitude de références, cameos et hi-ougis en tout genre disent non à tout ça; ce qui peut paraitre étonnant pour l'opus 15ème anniversaire prend en fait tout son sens quand on met ça en perspective: Xillia est à la fois l'étendard représentant 15 années de savoir faire, et une remise à zéro des compteurs. Que ce soit au niveau des annexes, de l'orientation scénaristique, de la façon d'aborder l'univers et les personnages, tout est différent par rapport à avant mais, d'un autre côté, Xillia reprend d'anciennes idées de la série, les peaufine, les perfectionne, pour un résultat éclatant. Ainsi les AC feront immanquablement penser aux CC de Graces, en plus souple et permissif; les Link Artes renvoient aux techniques à l'unisson de Symphonia/Eternia en plus simple et moins frustrant; le Liliale Orb rappelle un système d'évolution à la Hearts, en plus efficace, etc, etc. Toutes ces idées et techniques sont la vraie manifestation du 15ème anniversaire, qui est fêté de la plus belle des manières.
Après, évidemment, le jeu ultime n'existe pas, et Xillia ne fait pas exception. C'est certain, le jeu est une réussite, mais pas exempte de défauts pour autant, même si, personnellement, je les compte sur les doigts d'une main: L'impossibilité d'explorer le monde entier (on ne me fera pas croire que l'univers de Xillia se compose d'un continent et d'un océan sans fin.), l'absence totale d'énigmes, le niveau maximum coincé à 99, et, enfin et surtout, les. Ra. Len. Ti. Sse. Mments. Lors des combats où trop d'actions se déroulent au même moment, le jeu tourne tellement au ralenti qu'on pourrait presque distinguer le frame rate.
Ce ne sont que quelques réserves bien sûr, et le jeu reste un immense coup de coeur que je n'oublierai pas de si tôt. Joyeux anniversaire Tales of~
Tales of Xillia, ou le jeu schizophrène. Non pas dans le mauvais sens du terme, loin de là, mais Xillia décide d'un côté de se montrer classique et old-school sur toute la ligne, de l'autre d'innover et de balayer certaines habitudes (bonnes comme mauvaises) de la série, ce qui donne lieu à un mélange savoureux; dont les saveurs restent parfois sur l'estomac, mais qui dans l'ensemble est un régal dont on reprend volontiers.
Pitch de départ; les esprits se meurent, l'héroïne est envoyée pour comprendre ce qui se passe, elle rencontre le héros qui a le coup de foudre instantané, et en avant la musique.
Classique, mais pas trop. Surtout que Xillia, à la manière d'un Star Ocean 2, propose deux scénarios, l'un avec Milla, l'autre avec Jude. Dans le fond, le jeu reste bien sûr le même, mais le groupe se sépare plus d'une fois, et c'est uniquement en jouant aux deux histoires que l'on peut véritablement comprendre la trame globale. A noter que le scénario de Milla est, à mon sens, bien meilleur, mais c'est purement personnel.
Musicalement parlant, on a un Sakuraba au top de la forme; l'ost est loin d'être le plus fourni de la série, mais il propose énormément de petites perles (coup de coeur pour les différentes pistes de Trigraph et ses environs; le côté jazzy est absolument orgasmique.) très diversifiées. Du côté graphique, on pourra reprocher un minimalisme absolu, en même temps qu'on pourra l'apprécier. Les zones entre les villes et donjons sont grandes, belles, vides. On aime ou on aime pas, pas de juste milieu. Mais le choix artistique des villes, personnages, et l'aspect général du jeu est une véritable réussite, et l'orientation "asiatique" dégage une ambiance excellente.
Quant aux combats, pour la treizième fois depuis la création de la série, rien à redire. Vif, fun et dynamique, les Link Artes apportent un véritable plus, les effets de lumière claquent leur maman, et L'AI EST INTELLIGENTE. Seuls les habitués de Graces pourront se plaindre de la perte de rapidité flagrante des combats de Xillia.
J'ai parlé d'habitudes qui disparaissent; Namco, pour la première fois, abandonne le fan-service. Eux qui sont d'habitude si enclins à faire plaisir aux fans par une multitude de références, cameos et hi-ougis en tout genre disent non à tout ça; ce qui peut paraitre étonnant pour l'opus 15ème anniversaire prend en fait tout son sens quand on met ça en perspective: Xillia est à la fois l'étendard représentant 15 années de savoir faire, et une remise à zéro des compteurs. Que ce soit au niveau des annexes, de l'orientation scénaristique, de la façon d'aborder l'univers et les personnages, tout est différent par rapport à avant mais, d'un autre côté, Xillia reprend d'anciennes idées de la série, les peaufine, les perfectionne, pour un résultat éclatant. Ainsi les AC feront immanquablement penser aux CC de Graces, en plus souple et permissif; les Link Artes renvoient aux techniques à l'unisson de Symphonia/Eternia en plus simple et moins frustrant; le Liliale Orb rappelle un système d'évolution à la Hearts, en plus efficace, etc, etc. Toutes ces idées et techniques sont la vraie manifestation du 15ème anniversaire, qui est fêté de la plus belle des manières.
Après, évidemment, le jeu ultime n'existe pas, et Xillia ne fait pas exception. C'est certain, le jeu est une réussite, mais pas exempte de défauts pour autant, même si, personnellement, je les compte sur les doigts d'une main: L'impossibilité d'explorer le monde entier (on ne me fera pas croire que l'univers de Xillia se compose d'un continent et d'un océan sans fin.), l'absence totale d'énigmes, le niveau maximum coincé à 99, et, enfin et surtout, les. Ra. Len. Ti. Sse. Mments. Lors des combats où trop d'actions se déroulent au même moment, le jeu tourne tellement au ralenti qu'on pourrait presque distinguer le frame rate.
Ce ne sont que quelques réserves bien sûr, et le jeu reste un immense coup de coeur que je n'oublierai pas de si tôt. Joyeux anniversaire Tales of~

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