Commentaires RPG - Legendra RPG

anhhoi

le 24/01/2019

Je viens de terminer les 8 scénarios et vais à présent me pencher sur les quêtes annexes inachevées, avant d'enchainer sur Tales of Vesperia que je devrais recevoir aujourd'hui par la Poste.

J'ai énormément apprécié l'ambiance, les musiques. J'ai eu beaucoup de plaisir à retrouver les joies de la 2D, avec un rendu graphique très particulier et agréable.

Je regrette comme beaucoup le manque d'interactions entre les protagonistes, même s'il y en a malgré tout via les saynètes. Les personnages sont assez attachants dans l'ensemble.
J'aurais aussi aimé un récit plus ambitieux (quand j'ai parfois lu que ce jeu était l'héritier de Final Fantasy 6 je ne suis pas tout à fait d'accord). Mon scénario préféré est sans conteste celui de Primrose mais les histoires restent sinon assez classiques à mon goût.

Les bases sont bonnes en tout cas et je me plais à imaginer une hypothétique suite un jour.

(et je terminerai simplement en précisant que le support Switch est très appréciable, pour profiter de ce jeu en déplacement)

Opoona

anhhoi

le 30/10/2008
Edité le 25/05/2009

Opoona est un petit jeu agréable sur Wii, sans prétention et auquel j'ai joué avec plaisir.

L'aventure n'est pas extrêmement longue mais elle est plutôt variée, avec notamment de nombreuses quêtes annexes. On a en effet la possibilité d'exercer de nombreux métiers, non obligatoires, du classique pêcheur au plus original manager pour une chaine de télévision, sauveteur, technicien de surface, et bien d'autres. Après avoir terminé le jeu il me reste encore des activités non exercées.

Techniquement les graphismes sont colorés, plus agréables en extérieurs (parfois vraiment jolis) que dans les dômes, plus austères de par leur côté science-fiction. A ma grande surprise, certaines musiques sont vraiment agréables.

Parmi les reproches, on pourra noter la lourdeurs des déplacements dans les dômes (parfois labyrinthiques et mal agencés, il faut obligatoirement franchir les ascenceurs un par un pour évoluer: on se perd très facilement, surtout dans le premier dôme) et les voyages entre dômes (où on a droit à une scène répétitive et impossible à zapper de vol en capsule).

Si le jeu n'est pas extrêmements difficile, un ou deux boss m'ont toutefois posé quelques soucis de par leur vitesse. Les combats fonctionnent en effet avec un genre d'ATB. Comprenez que les ennemis ne sont pas patients et vous frapperont même lorsque vous cherchez dans les menus pour utiliser un objet et une magie. Et ces adversaires jouent parfois très rapidement, ce qui peut s'avérer dangeureux.

Opoona est un jeu original et varié qui pourra cependant déconcerter avec ses héros à tête de legos.

Pokémon Perle nds

anhhoi

le 16/08/2008
Edité le 16/08/2008

Bien que ce soit un Pokémon, avec donc des graphisme basiques (mais colorés) et un scénario vraiment minimum, le jeu se joue sans déplaisir et profite d'une bonne durée de vie. Lorsqu'on le termine et qu'on obtient un certain objet, le nombre de créature à capturer est plus que doublé et la carte propose encore de nouveaux lieux à visiter. Il y a vraiment de quoi faire donc.

A noter la possibilité de combats opposants deux joueurs contre deux autres joueurs en même temps.

Un jeu sympathique et pas prise de tête.

Rudora no Hihou snes

anhhoi

le 25/04/2013
Edité le 25/04/2013

Grace à sa traduction bénévole j'ai pu découvrir ce jeu qui n'est pas sorti en dehors du Japon.

Rudra no Hihou est un jeu sympathique, avec des personnages attachants, et présentant quelques points assez originaux dont deux principaux. D'abord les trois scénarios parallèles, dans lesquels on peut avancer comme bon nous semble, alternant de l'un à l'autre librement.
Ensuite, le système de magie avec des mots que l'on rédige soit même, mots à découvrir au fil de l'aventure.
Ces deux originalités entrainent cependant aussi une certaine lourdeur.
S'agissant des scénarios, on passe plusieurs fois par les même lieux et j'avais tendance à finir par m'emmeler un peu dans l'histoire, essayant de jouer les scénarios en alternance. Je ne me souvenais plus trop quel lieu j'avais visité ou pas avec tel personnage.
Pour le système de magie, il manque un répertoire de l'ensemble des découvertes de mots, sachant qu'on ne peut sauvegarder que quelques pages de magies et qu'on atteint très vite la limite autorisée.
On est obligé du coup de noter nos découvertes sur un support à part. Et j'avoue que je suis passé à coté de nombreuses magies.

Dans l'ensemble le jeu me laisse un souvenir agréable, avec des musiques et des graphismes plaisant, mais, sur le même support, loin d'être au niveau (par exemple) d'un Final Fantasy 6 ou Chronotrigger.

A noter, un thème assez rare abordé par l'histoire, un message plutôt écologiste.

Sands of Destruction nds

anhhoi

le 11/01/2013

Un jeu aux défauts évidents mais qui me laisse pourtant un bon souvenir, notamment au niveau des musiques et des personnages.
Mais j'attendais plus du scénario, qui démarrait pourtant bien. Et un système de combat qui ne m'a pas tout à fait convaincu.

Shin Megami Tensei: Digital Devil Saga play2

anhhoi

le 28/12/2007

J'avais essayé Digital Devil Saga un peu par hasard pendant les vacances d'été et alors que j'avais terminé Suikoden premier du nom. Ambiance totalement différente ici, et jeu essentiellement basé sur la visite de longs donjons.

L'atmosphère est unique, l'univers est très particulier avec des décors gris et tristes. Les héros sont plutôt attachants et j'ai trouvé le système de mantras très accrocheur (j'enchainais des combats rien que pour débloquer de nouveaux pouvoirs).

J'ai par contre bien moins accroché aux musiques, et certains donjons m'ont bien lassé (je pense en particulier à des égouts dont je ne voyais pas le bout). Je regrettais parfois de passer tant de temps à arpenter des couloirs alors que je souhaitais faire avancer enfin le scénario. Je m'étais constitué une liste de adversaires avec leurs points faibles afin que la progression soit moins lourde.

Un jeu dont la grande qualité est son ambiance et dont on souhaite découvrir la suite une fois arrivé au bout.

Starflight

anhhoi

le 22/06/2008
Edité le 22/06/2008

Bien qu'il soit plutôt austère graphiquement et au niveau sonore, ce jeu se révèle passionnant une fois qu'on en a intégré le principe. On constitue un équipage, on effectue les règlages sur son vaisseau, et nous voilà parti à la découverte des étoiles. Une riche aventure spatiale qui réjouira les fans de science-fiction (et dont je n'ai jamais vu la fin).

Suikoden IV play2

anhhoi

le 30/06/2009
Edité le 06/11/2009

S'il n'est pas exceptionnel, ce Suikoden se laisse malgré tout jouer sans trop de déplaisir.
Les principaux défauts ont été cités: un héros sans charisme auquel on s'attache difficilement, les voyages en bateau franchement lourds (vive la téléportation!), les étoiles à recruter ne sont pas parmi les plus attachantes de la série (à quelques rares exceptions).
Contrairement à certains épisodes (surtout le 5), cette fois les combats stratégiques ne m'ont pas énervé et sont assez rapides, pas trop lourds.
Je m'attendais à bien pire après les echos que j'avais eu de ce jeu, mais il n'est pas désagréable (même si je me suis beaucoup plus amusé sur le Tierkreis).

Super Hydlide

anhhoi

le 12/07/2007
Edité le 14/02/2008

Un ami m’avait prêté ce jeu sur Megadrive il y a bien longtemps et sans que je comprenne tout à fait pourquoi j’avais accroché.
Comment un jeu d’une laideur aussi épouvantable, aussi mal fichu et animé pouvait-il me plaire ? Je ne saurais me l’expliquer.

Avec le recul, je me dis que ce jeu avait une ambiance unique ; je lui trouvais un je-ne-sais-quoi de mystérieux, une certaine étrangeté, quelque chose d’atypique et qui me le rendait sympathique. Les musiques contribuaient à cette ambiance particulière, le pire côtoyant aussi le meilleur.

Le jeu présente plusieurs originalités.
Tout d’abord, la notion de temps. En effet une horloge est affichée en permanence, avec passage du jour à la nuit et obligation de s’alimenter régulièrement aux « heures de repas ». A défaut votre barre de vie baisse inexorablement, le héros souffrant de la faim.

Ensuite la notion de poids est prise en compte, le héros ne pouvant porter qu’une quantité limitée de matériel. Si celui-ci est trop chargé il se retrouve bloqué sur place, incapable du moindre mouvement. Au fur et à mesure de sa progression, devenant de plus en plus fort au fil des niveaux, il pourra supporter un poids de plus en plus conséquent. Certains équipements puissant se révèlent particulièrement lourds en raison des matériaux dans lesquels ils sont forgés, et il faudra parfois patienter longuement avant d’acquérir la puissance nécessaire pour pouvoir les porter.

Pour changer de niveau il faudra vous rendre dans un temple, une fois que vous aurez acquis l’expérience nécessaire. Cependant cette même expérience pourra aussi être échangée dans un autre bâtiment contre des sorts. Il faudra donc veiller à une bonne utilisation de l’expérience, pour monter de niveau ou plutôt élargir son panel de sorts.

La carte du monde n’est pas extrêmement grande et les villages sont assez peu nombreux au fil de l’aventure, ce qui ne m’avait pas empêché de passer du temps sur le jeu. J’étais d’ailleurs resté malheureusement bloqué au boss de fin, incapable de trouver la technique qui m’aurait permis de lui faire mordre la poussière.

Super Hydlide reste pour moi un bon souvenir, mais son austérité et la pauvreté de sa réalisation le rendront difficilement accessible aujourd’hui je pense.
Un ami m’avait prêté ce jeu sur Megadrive il y a bien longtemps et sans que je comprenne tout à fait pourquoi j’avais accroché.
Comment un jeu d’une laideur aussi épouvantable, aussi mal fichu et animé pouvait-il me plaire ? Je ne saurais me l’expliquer.

Avec le recul, je me dis que ce jeu avait une ambiance unique ; je lui trouvais un je-ne-sais-quoi de mystérieux, une certaine étrangeté, quelque chose d’atypique et qui me le rendait sympathique. Les musiques contribuaient à cette ambiance particulière, le pire côtoyant aussi le meilleur.

Le jeu présente plusieurs originalités.
Tout d’abord, la notion de temps. En effet une horloge est affichée en permanence, avec passage du jour à la nuit et obligation de s’alimenter régulièrement aux « heures de repas ». A défaut votre barre de vie baisse inexorablement, le héros souffrant de la faim.

Ensuite la notion de poids est prise en compte, le héros ne pouvant porter qu’une quantité limitée de matériel. Si celui-ci est trop chargé il se retrouve bloqué sur place, incapable du moindre mouvement. Au fur et à mesure de sa progression, devenant de plus en plus fort au fil des niveaux, il pourra supporter un poids de plus en plus conséquent. Certains équipements puissant se révèlent particulièrement lourds en raison des matériaux dans lesquels ils sont forgés, et il faudra parfois patienter longuement avant d’acquérir la puissance nécessaire pour pouvoir les porter.

Pour changer de niveau il faudra vous rendre dans un temple, une fois que vous aurez acquis l’expérience nécessaire. Cependant cette même expérience pourra aussi être échangée dans un autre bâtiment contre des sorts. Il faudra donc veiller à une bonne utilisation de l’expérience, pour monter de niveau ou plutôt élargir son panel de sorts.

La carte du monde n’est pas extrêmement grande et les villages sont assez peu nombreux au fil de l’aventure, ce qui ne m’avait pas empêché de passer du temps sur le jeu. J’étais d’ailleurs resté malheureusement bloqué au boss de fin, incapable de trouver la technique qui m’aurait permis de lui faire mordre la poussière.

Super Hydlide reste pour moi un bon souvenir, mais son austérité et la pauvreté de sa réalisation le rendront difficilement accessible aujourd’hui je pense.

The Legend of Zelda: Phantom Hourglass nds

anhhoi

le 07/06/2008
Edité le 07/06/2008

Un Zelda sympathique et qui se joue sans trop de déplaisir, bien qu'il soit loin d'être mon préféré.

Si j'ai apprécié l'idée de partir à nouveau à l'aventure en bâteau comme son aîné sur Gamecube, et de pouvoir encore chercher les trésors perdus aux fonds des mers, on n'a pas ici la même impression de voyage et de longues distances à parcourir. Les cartes marines sont peu nombreuses et le monde est plutôt petit. De même, les donjons m'ont paru bien courts.

L'histoire n'est pas passionnante mais on trouve toujours le même plaisir zeldaesque de découverte et de progression dans le jeu. Les gadgets de la DS sont bien exploités et j'ai trouvé amusant de devoir honteusement beugler deux trois fois dans le micro pour faire avancer le récit. Le stylet est intelligemment mis à l'épreuve (bien qu'il soit particulier de controler complètement Link avec cet outil) avec notamment la possibilité de griffonner sur les cartes afin de noter les indices (très pratique puisque comme tout Zelda qui se respecte il faut revenir plus tard dans les lieux avec les objets nouvellement acquis afin d'avoir accès à de nouvelles zones).

La possibilité de customiser à loisir le navire au fur et à mesure que l'on découvre de nouvelles pièces, est une option fort sympathique.

Je n'ai par contre trouvé aucun plaisir à me faire et refaire ce fameux donjon où il faut sans cesse revenir et où on est contraint d'éviter des adversaires invincibles (sauf à la fin du jeu) avec le chronomètre qui défile. Alors que je m'amusais dans tous les autres donjons.

Enfin, je regrette l'absence d'un boss digne de ce nom.

Pas le meilleur des Zelda donc, mais un jeu agréable (hormis le fameux temple du roi des mers) qui utilise bien la Nintendo DS.

The Legend of Zelda: Skyward Sword wii

anhhoi

le 11/01/2013
Edité le 16/01/2013

Si les premières heures sur ce Zelda ont assez agréables, mon avis reste assez mitigé finalement après l'avoir terminé, le jeu m'ayant assez agacé plusieurs fois, pour différentes raisons.
Je pense notamment au controle des chutes libres avec le wii motion plus, que je ne suis jamais vraiment parvenu à maitriser parfaitement (je n'ai donc pas joué au mini jeu nécessitant cette maitrise).
J'ai moyennement apprécié aussi le principe des épreuves de la déesse.
Ayant lu que le scénario était plus poussé que les précédents Zelda, je n'ai pas été convaincu.
Pas convaincu non plus par les vols à dos d'oiseau dans ce ciel vide.
Enfin, le nouveau "grand méchant" récurrent de l'histoire m'a laissé de marbre.
Sinon, j'ai trouvé sympa de pouvoir réellement maitriser l'épée (même si j'avais parfois du mal à placer les coups d'estoc lors des combats contre les boss) et l'idée du scarabée.
Je suis un peu hésitant sur la note à mettre en fait, par rapport à l'agacement procuré à certains moments (et même si j'aime toujours essayer de résoudre les enigmes "zeldaiennes"), ayant en tout cas nettement préféré l'ambiance sombre du précédent opus.

Bravely Default 3ds

anhhoi

le 05/07/2014
6_5

Si j'ai beaucoup apprécié le système de job de Bravely Default, j'ai détesté ce que tout ceux qui ont fait le jeu savent, ce qui survient vers les deux tiers du jeu et qui m'a poussé à faire une longue pause pendant un moment tant j'en avais la nausée (vraiment, je ressentais comme un écoeurement).
J'ai aussi été moyennement emballé par le scénario et les personnages.
C'est donc surtout le système de jeu qui m'a accroché et fait tenir jusqu'au bout. La possibilité de régler à tout moment les modes de jeu (difficulté, fréquence des combats, etc) est excellente (et je plains les japonais qui ont dû se farcir l'horrible partie du jeu sans cette possibilité...).

Bravely Default: Flying Fairy 3ds

anhhoi

le 30/05/2014
Edité le 30/05/2014
6_5

Si j'ai beaucoup apprécié le système de job de Bravely Default, j'ai détesté ce que tout ceux qui ont fait le jeu savent, ce qui survient vers les deux tiers du jeu et qui m'a poussé à faire une longue pause pendant un moment tant j'en avais la nausée (vraiment, je ressentais comme un écoeurement).
J'ai aussi été moyennement emballé par le scénario et les personnages.
C'est donc surtout le système de jeu qui m'a accroché et fait tenir jusqu'au bout. La possibilité de régler à tout moment les modes de jeu (difficulté, fréquence des combats, etc) est excellentes (et je plains les japonais qui ont dû se farcir l'horrible partie du jeu sans cette possibilité...).

Eiyuden Chronicle: Rising nxn

anhhoi

le 12/06/2024
6_5

Je ne peux pas mettre une note incroyable à ce jeu sans prétention et qui fait office d'initiation à ce nouvel univers mais, tout comme l'ont fait remarquer d'autres joueurs, j'ai passé un bon moment sans prise de tête. Un jeu qui détend, d'une certaine manière, malgré ses défauts.
J'attends à présent la suite une fois que la version Switch sera patchée et jouable.

Golden Sun: Obscure Aurore nds

anhhoi

le 11/01/2013
Edité le 15/01/2014
6_5

J'ai trouvé que le jeu se laisse plutôt bien jouer, en dépit de personnages pas vraiment géniaux et assez niais et d'une histoire qui ne vole pas très haut.
Mais voilà, une fois terminé, je l'ai vite oublié (et je n'attend pas la suite avec impatience).

Mystic Ark snes

anhhoi

le 12/03/2013
Edité le 15/01/2014
6_5

Mystic Ark a une atmosphère assez particulière, unique (atypique comme dit Ragink), ne serait-ce que dans les débuts, l'apparition dans le temple, avec une musique mystérieuse.
Après un premier monde qui m'a moyennement emballé, j'ai un peu plus apprécié ensuite l'originalité de certains mondes (un en particulier, avec une ambiance sombre et inquiétante).
En ce sens le jeu m'a un peu fait pensé à Dragon Quest 7, où on débarque dans mondes chaque fois différents.
Certains passages m'ont toutefois semblé assez ennuyeux, notamment des lieux truffés de combats, combats que je trouve assez longs et mous. J'ai longtemps utilisé systématiquement les combats automatiques (même face à de nombreux boss, je dois l'avouer..).
Les musiques sont plaisantes dans l'ensemble, notamment certains bons thèmes de combats.
J'étais un peu perdu à certains moments, cherchant un peu mon chemin. Les explications sont parfois rares.
Et, honte à moi, j'ai fait une longue partie du jeu sans avoir réalisé que je pouvais ajouter un troisième combattant.. Il faut dire qu'il faut se débrouiller pour comprendre beaucoup de choses, notamment pour l'équipement des armes et les affinités pour les porter.
L'arène m'a vite lassé aussi, vu le temps à passer pour pouvoir gagner l'argent "spécifique" permettant d'acheter les lots proposés.
Un jeu parfois agréable parfois décevant, que j'étais pourtant content de faire au début avec une traduction alors qu'il m'avait attiré à l'époque lorsque je l'avais découvert en japonais et que je ne m'y étais pas risqué sans comprendre les dialogues.
J'en attendais un peu mieux, même s'il est assez original sous certains aspects.

SaGa 3 Ruler of Space-Time: Shadow or Light nds

anhhoi

le 29/10/2014
Edité le 29/10/2014
6_5

Ce remake de Saga 3 Game boy sur Nintendo DS reprend le moteur du remake de Saga 2.
Les deux ne sont jamais sortis officiellement en dehors du Japon mais ont bénéficié d’une traduction bénévole.

Il apporte des améliorations intéressantes par rapport au jeu d’origine, un petit coup de jeune bienvenu, sachant que j’avais moins aimé celui-ci par rapport à son aîné. J’avais notamment trouvé le système d’arme confus, alors qu’ici on peut trouver toutes les explications (les classes ont des affinités d’armes, qui sont décrites ici).

Le scénario se veut un peu plus original que SaGa 2 puisqu’il est ici question de voyages dans le temps mais l’histoire n’est pas vraiment transcendante. On est loin de Chrono Trigger ou Radiant Historia, sur le même support.

Je n’ai pas du tout utilisé le système de mutations, transformations qui peuvent se faire en fin de combat en utilisant des objets laissés par les ennemis en fin de combat, système qui ne m’a pas intéressé, d’autant plus qu’on perd alors les bonus gagnés parfois en fin de combat. Tout cela m’a semblé trop aléatoire.

J’apprécie par contre toujours autant le système de progression propre à la série SaGa, avec gain de caractéristiques et de techniques au gré des techniques utilisés en combat.
Par contre certaines magies ne se sont jamais débloquées alors que j’étais à la fin du jeu. J’imagine qu’il m’aurait fallu réaliser encore de nombreux combats pour y parvenir mais l’envie n’y était pas.

Le tout n’est pas désagréable, avec de nombreuses quêtes disséminées à résoudre en voyageant dans le temps (la résolution de certaines permettra d’obtenir une fin bonus, si l’on a fait les bons choix), mais mon enthousiasme est resté modéré malgré des côtés sympathiques.

Le jeu m’a aussi un peu lassé sur la fin, en raison de la fréquence élevée des combats. Ce sentiment étant renforcé par la possibilité de voir les ennemis sur la carte : bien que les combats ne posent pas de problème particulier, les adversaires étaient très nombreux et difficiles à éviter, ce qui provoquait une lourdeur pénible.

Pas un mauvais jeu, au final, mais qui ne m’a pas marqué.
Ce remake de Saga 3 Game boy sur Nintendo DS reprend le moteur du remake de Saga 2.
Les deux ne sont jamais sortis officiellement en dehors du Japon mais ont bénéficié d’une traduction bénévole.

Il apporte des améliorations intéressantes par rapport au jeu d’origine, un petit coup de jeune bienvenu, sachant que j’avais moins aimé celui-ci par rapport à son aîné. J’avais notamment trouvé le système d’arme confus, alors qu’ici on peut trouver toutes les explications (les classes ont des affinités d’armes, qui sont décrites ici).

Le scénario se veut un peu plus original que SaGa 2 puisqu’il est ici question de voyages dans le temps mais l’histoire n’est pas vraiment transcendante. On est loin de Chrono Trigger ou Radiant Historia, sur le même support.

Je n’ai pas du tout utilisé le système de mutations, transformations qui peuvent se faire en fin de combat en utilisant des objets laissés par les ennemis en fin de combat, système qui ne m’a pas intéressé, d’autant plus qu’on perd alors les bonus gagnés parfois en fin de combat. Tout cela m’a semblé trop aléatoire.

J’apprécie par contre toujours autant le système de progression propre à la série SaGa, avec gain de caractéristiques et de techniques au gré des techniques utilisés en combat.
Par contre certaines magies ne se sont jamais débloquées alors que j’étais à la fin du jeu. J’imagine qu’il m’aurait fallu réaliser encore de nombreux combats pour y parvenir mais l’envie n’y était pas.

Le tout n’est pas désagréable, avec de nombreuses quêtes disséminées à résoudre en voyageant dans le temps (la résolution de certaines permettra d’obtenir une fin bonus, si l’on a fait les bons choix), mais mon enthousiasme est resté modéré malgré des côtés sympathiques.

Le jeu m’a aussi un peu lassé sur la fin, en raison de la fréquence élevée des combats. Ce sentiment étant renforcé par la possibilité de voir les ennemis sur la carte : bien que les combats ne posent pas de problème particulier, les adversaires étaient très nombreux et difficiles à éviter, ce qui provoquait une lourdeur pénible.

Pas un mauvais jeu, au final, mais qui ne m’a pas marqué.

Tales of the Abyss 3ds

anhhoi

le 30/05/2014
Edité le 30/05/2014
6_5

Le jeu est vraiment sympa par certains aspects, notamment les personnages attachants et l'évolution du héros principal, mais j'ai trouvé le récit peu intéressant au final et le "langage technologique" insupportable (histoires confuses de fonons et autres "trucs" faussement compliqués).
Il ne me laissera pas un souvenir impérissable même s'il n'est pas désagréable.

Avalon Code nds

anhhoi

le 26/04/2009
Edité le 26/04/2009

Je suis peut-être un peu dur pour la note finale, mais alors qu'Avalon Code m'a vraiment enthousiasmé au départ je l'ai trouvé trop répétitif sur la fin.

L'histoire en elle même est plutôt classique, même si l'idée d départ est intéressante: un ouvrage magique dans lequel chaque être vivant et chaque objet est repertorié, ainsi que le monde dans lequel on va progresser (monde malheureusement trop petit, avec un seul village..).

On découvre dès le début la possibiliter de "scanner" les objets et les êtres vivants en leur assénant un coup de bouquin bien placé (mais le livre est solide, rassurez vous, vous pouvez vous déchainer sans retenue!).
Ces objets, personnages et créatures sont constitués d'éléments que l'on peut manipuler et changer à sa guise au stylet. Ainsi par exemple, en prenant un élément de feu sur un monstre qui dispose de ce pouvoir, on lui retire cette capacité et on peut ensuite l'ajouter à une de nos armes. A l'inverse, en otant une maladie à une pauvre jeune fille alitée, on pourra la transmettre à n'importe quelle race de monstre afin de l'affaiblir.
Les éléments sont à disposer dans une grille, en les imbriquant un comme un Tetris. La grille pourra s'agrandir par la suite lorsque le livre aura évolué.

Les possibilité sont vraiment nombreuses et des "recettes" découvertes ça et là nous permettrons d'y voir plus clair et de réaliser des armes et armures puissantes qui auront en plus le mérite de changer l'aspect du personnage (fille ou garçon, à vous de choisir en début d'aventure) proposant parfois des visuels bien sympas (ah, les petites ailes de démon sur mon héroïne affublée d'une paire de lunettes magiques repousanntes, c'est craquant!).

Outre ce principe de jeu tout à fait génial et prenant (on scanne tout ce qui bouge (et qui ne bouge pas) pour récupérer le maximum d'éléments), quasiment chaque lieu recèle des parties de décors à fouiller. Lorsqu'on les découvre, en plus d'une petite phrase descriptive, la valeur du lieu augmente (chaque lieu est à 0 lorsqu'on le découvre). Lorsqu'on découvre tous les éléments d'un lieu (sa valeur atteint alors 1000), un objet à scanner peut parfois apparaître, proposant souvent une nouvelle recette.
Ainsi, on cherche tous les coins possibles dans chaque salle afin d'en débusquer tous les mystères.

Il faut savoir que chaque objet ou être "scannée" ou chaque élément de décor découvert augmente l'expérience du livre magique, qui peut changer de niveau et évoluer.

Le jeu recèle en outre de très nombreuses quêtes annexes et propose des affinités avec les habitants du monde, à qui on peut offrir des cadeaux.
On aura même la possibilité d'éveiller les sentiments amoureux d'un personnage du sexe opposé, après l'avoir préalablement couvert de cadeaux et avoir ainsi acheter cet amour qui nous était de toute façon dû: Un(e) héros (héroïne) est fait(e) pour être adulé(e).

Tout cela semble bien sympathique songerez vous peut-être. Et c'est le cas en effet.
Malheureusement, quelques points viennent entacher quelque peu le tableau à mon goût.

Tout d'abord, les donjons sont d'une répétitivité mortelle. Chaque salle doit être résolue soit en tuant toutes les créatures haineuses qui l'habitent, soit en activant tout les interrupteurs qui y sont disséminés. Inlassablement, on a le sentiment de faire encore et toujours la même chose.
J'ai trouvé ces donjons terriblement ennuyeux.

Ensuite, au fur et à mesure qu'on scanne à tout va, on se retrouve avec un joyeux bazar car on ne dispose d'aucun moyen pour stocker vraiment les éléments récolter. On essaye donc tant bien que mal de les réunir par catégorie sur telle créature ou sur tel personnage, en espérant se souvenir ensuite où on aura bien pu les ranger.
Il n'existe pas vraiment de possibilités de rangement pratique.

Enfin, alors que le début laissait augurer de bonnes choses, j'ai trouvé l'histoire plutôt classique.

Je ne regrette pas d'avoir joué à Avalon Code mais je reste un peu sur ma faim, d'autant plus que le jeu fourmille de bonne idées et que le système de jeu est vraiment original.

A noter que le jeu est techniquement très réussi, avec une 3D plutôt bien faite pour ce support et des musiques plutôt sympatiques.

Je terminerai simplement en précisant que la technique du lancer de monstre m'a énormément amusé lorsque je l'ai découverte.

Baroque

anhhoi

le 11/01/2013
Edité le 11/01/2013

Ce jeu est vraiment étrange.
J'ai beaucoup aimé l'ambiance, graphique et musicale, mais à vrai dire je n'ai pas compris grand chose au jeu, sauf à fuir comme un malade à travers les étages de la tour tandis que le personnage s'affaiblit peu à peu, irrémédiablement. Quelque chose d'oppressant.
Il se dégage de ce jeu un charme disons.. unique.. mais déconcertant.
Une drôle d'expérience..

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