Commentaires RPG - Legendra RPG

anhhoi

le 27/12/2007
Edité le 27/12/2007

Un jeu que j'ai découvert avec beaucoup de plaisir et un peu par hasard, alors que j'étais en quête d'un rpg.

Comme il a été dit, ce jeu est une petite bouffée d'air frais, malgré un scénario qui n'a rien de transcendant (mais qui se laisse suivre agréablement).

J'ai passé beaucoup de temps à parcourir la ville principale, arpentant les rues de jour comme de nuit, en quête de personnages à recruter. Et il y a de quoi s'occuper si on se lance dans cette tâche. Le petit monde de Radiata est très vivant, et on se laisse charmer par son ambiance.

Ce que j'ai principalement regretté dans Radiata Stories, comme cela a été indiqué, c'est la grande rareté des sauvegardes. Il m'est arrivé de devoir éteindre la console et arrêter le jeu parce que je n'avais plus le temps de chercher un hypothétique point de sauvegarde.

Une aventure très amusante et très sympathique à jouer.

Xenosaga Episode II: Jenseits von Gut und Böse play2

anhhoi

le 12/07/2007
Edité le 12/07/2007

Après avoir terminé le premier épisode, c’est tout naturellement que j’ai entrepris de découvrir la suite de Xenosaga, l’épisode 2. Ce qui m’a frappé au départ, c’est l’évolution des graphisme, plus fins mais aussi un style plus sérieux à mon goût que dans le précédent volet (Shion et Momo ont bien changé). C’est avec regret que j’ai constaté aussi le départ de certains doubleurs, notamment pour les personnages de chaos, KOS-MOS et MOMO (surtout).

Une des modification importante est l’absence d’argent et de magasin dans cet épisode. L’avantage c’est qu’il ne sera plus nécessaire de se ruiner pour acquérir des accessoires ou des armes. L’inconvénient c’est que les objets seront principalement récoltés au terme des combats. J’ai moyennement apprécié la chose au début, lorsque les objets de résurrection et de soins étaient une denrée rare. Et puis finalement on s’habitue assez rapidement.

Au niveau des musiques, j’ai trouvé celles-ci très répétitives et fatigantes lorsqu’on se trouve en ville ou à bord des vaisseaux, alors qu’elles sont bien meilleures dans les donjons et pendant les cinématiques (cinématiques pour lesquelles un deuxième compositeur est intervenu).

Les combats sont différents de l’épisode 1, plus stratégiques mais aussi parfois beaucoup plus longs. Les systèmes de boost et de roulette ont été conservés et améliorés. Le « break » fait son apparition, permettant de briser la garde des adversaires puis de le plaquer au sol ou de le projeter dans les airs une fois leur point faible découvert.

J’ai trouvé l’épisode 2 plus difficile, s’agissant notamment des boss qui peuvent parfois donner beaucoup de fil à retordre. Cette difficulté se retrouve surtout à la fin à l’occasion des donjons supplémentaires.

D’ailleurs, les quêtes annexes sont nombreuses cette fois (certaines sont malheureusement ennuyeuse et constituent parfois un simple prétexte pour allonger la durée de vie, tandis que d’autres sont plutôt amusantes), et il faudra du temps pour compléter totalement le jeu, s’agissant notamment de la quête du remboursement de la dette de 10.000.000G du capitaine (quête qui m’a pris le plus de temps).
Je lui ai mis une moins bonne note que l’épisode précédent en raison des musiques vraiment mauvaises dans les villes et vaisseaux, des personnages que je trouve moins attachant graphiquement que dans le précédent volet, et de certaines voix modifiées qui ne sont pas toujours terribles.
Sinon l’histoire m’a tout autant accroché et on demeure impatient de découvrir la suite lorsque s’affiche le terrible "To be continued"
Après avoir terminé le premier épisode, c’est tout naturellement que j’ai entrepris de découvrir la suite de Xenosaga, l’épisode 2. Ce qui m’a frappé au départ, c’est l’évolution des graphisme, plus fins mais aussi un style plus sérieux à mon goût que dans le précédent volet (Shion et Momo ont bien changé). C’est avec regret que j’ai constaté aussi le départ de certains doubleurs, notamment pour les personnages de chaos, KOS-MOS et MOMO (surtout).

Une des modification importante est l’absence d’argent et de magasin dans cet épisode. L’avantage c’est qu’il ne sera plus nécessaire de se ruiner pour acquérir des accessoires ou des armes. L’inconvénient c’est que les objets seront principalement récoltés au terme des combats. J’ai moyennement apprécié la chose au début, lorsque les objets de résurrection et de soins étaient une denrée rare. Et puis finalement on s’habitue assez rapidement.

Au niveau des musiques, j’ai trouvé celles-ci très répétitives et fatigantes lorsqu’on se trouve en ville ou à bord des vaisseaux, alors qu’elles sont bien meilleures dans les donjons et pendant les cinématiques (cinématiques pour lesquelles un deuxième compositeur est intervenu).

Les combats sont différents de l’épisode 1, plus stratégiques mais aussi parfois beaucoup plus longs. Les systèmes de boost et de roulette ont été conservés et améliorés. Le « break » fait son apparition, permettant de briser la garde des adversaires puis de le plaquer au sol ou de le projeter dans les airs une fois leur point faible découvert.

J’ai trouvé l’épisode 2 plus difficile, s’agissant notamment des boss qui peuvent parfois donner beaucoup de fil à retordre. Cette difficulté se retrouve surtout à la fin à l’occasion des donjons supplémentaires.

D’ailleurs, les quêtes annexes sont nombreuses cette fois (certaines sont malheureusement ennuyeuse et constituent parfois un simple prétexte pour allonger la durée de vie, tandis que d’autres sont plutôt amusantes), et il faudra du temps pour compléter totalement le jeu, s’agissant notamment de la quête du remboursement de la dette de 10.000.000G du capitaine (quête qui m’a pris le plus de temps).
Je lui ai mis une moins bonne note que l’épisode précédent en raison des musiques vraiment mauvaises dans les villes et vaisseaux, des personnages que je trouve moins attachant graphiquement que dans le précédent volet, et de certaines voix modifiées qui ne sont pas toujours terribles.
Sinon l’histoire m’a tout autant accroché et on demeure impatient de découvrir la suite lorsque s’affiche le terrible "To be continued"

Xenosaga Episode I: Der Wille zur Macht play2

anhhoi

le 12/07/2007
Edité le 07/01/2008

J’ai entamé le premier épisode de Xenosaga après avoir joué à son « petit frère » Xenogears, que j’avais beaucoup apprécié. Toutefois j’éviterai de me livrer à une comparaison entre ces deux jeux.
Pour apprécier Xenosaga il faut accepter le principe du jeu, c’est à dire alterner des phases de jeu, d’exploration et d’action donc, avec des phases (parfois longues) où l’on est cette fois spectateur et où l’histoire évolue au gré de vidéos ma foi fort agréables. Ce concept ne me gène aucunement à partir du moment où l’histoire présentée est bien ficelée. Et dans le cas présent le scénario m’a plutôt accroché même si on est en effet baladé de mystère en mystère avec le minimum d’explication (pour l’instant). Au fil du récit, je ne pouvais m’empêcher de penser (avec plaisir) à 2001 l’Odyssée de l’Espace, au roman Fondation d’Asimov, ou bien aussi à Alien vers les débuts de l’aventure.Le gameplay n’est pas en reste et, à part l’utilisation des AGWS (les mechas) qui ne m’a pas trop emballé et que j’ai trouvé plutôt anecdotique, j’ai pris beaucoup de plaisir pendant le jeu, qu’il s’agisse des combats ou de la customisation de mon équipe.
Les graphisme sont (trop ?) simples et propres mais parfois un peu vides peut-être. Le style graphique des protagonistes pourra en rebuter certains.
J’ai appréciée l’ambiance (pas seulement le côté science-fiction) ainsi que les personnages, dont certaines conservent pour l’instant une part de mystère (Je pense à chaos notamment).Les doublages sont de qualité et les musiques (parfois discrètes et absentes de la plupart des donjons) collent bien au jeu, même si on regrette l’absence de « thème de boss » (sauf pour l’affrontement final).
Ce que je pourrais peut-être reprocher à ce premier épisode de la trilogie, en dehors d’un scénario qui nous laisse pour l’instant dans l’attente, c’est le sentiment que le jeu est court (sentiment sans doute accentué par la place importante occupée par les vidéos). Il y a finalement bien peu de donjons, et le jeu n’est pas extrêmement difficile.
Certains n’accrocheront pas et trouveront le jeu prétentieux. Il m’a été personnellement très agréable même s’il n’est pas parfait, et c’est avec curiosité que je me suis laissé porter vers la suite.
J’ai entamé le premier épisode de Xenosaga après avoir joué à son « petit frère » Xenogears, que j’avais beaucoup apprécié. Toutefois j’éviterai de me livrer à une comparaison entre ces deux jeux.
Pour apprécier Xenosaga il faut accepter le principe du jeu, c’est à dire alterner des phases de jeu, d’exploration et d’action donc, avec des phases (parfois longues) où l’on est cette fois spectateur et où l’histoire évolue au gré de vidéos ma foi fort agréables. Ce concept ne me gène aucunement à partir du moment où l’histoire présentée est bien ficelée. Et dans le cas présent le scénario m’a plutôt accroché même si on est en effet baladé de mystère en mystère avec le minimum d’explication (pour l’instant). Au fil du récit, je ne pouvais m’empêcher de penser (avec plaisir) à 2001 l’Odyssée de l’Espace, au roman Fondation d’Asimov, ou bien aussi à Alien vers les débuts de l’aventure.Le gameplay n’est pas en reste et, à part l’utilisation des AGWS (les mechas) qui ne m’a pas trop emballé et que j’ai trouvé plutôt anecdotique, j’ai pris beaucoup de plaisir pendant le jeu, qu’il s’agisse des combats ou de la customisation de mon équipe.
Les graphisme sont (trop ?) simples et propres mais parfois un peu vides peut-être. Le style graphique des protagonistes pourra en rebuter certains.
J’ai appréciée l’ambiance (pas seulement le côté science-fiction) ainsi que les personnages, dont certaines conservent pour l’instant une part de mystère (Je pense à chaos notamment).Les doublages sont de qualité et les musiques (parfois discrètes et absentes de la plupart des donjons) collent bien au jeu, même si on regrette l’absence de « thème de boss » (sauf pour l’affrontement final).
Ce que je pourrais peut-être reprocher à ce premier épisode de la trilogie, en dehors d’un scénario qui nous laisse pour l’instant dans l’attente, c’est le sentiment que le jeu est court (sentiment sans doute accentué par la place importante occupée par les vidéos). Il y a finalement bien peu de donjons, et le jeu n’est pas extrêmement difficile.
Certains n’accrocheront pas et trouveront le jeu prétentieux. Il m’a été personnellement très agréable même s’il n’est pas parfait, et c’est avec curiosité que je me suis laissé porter vers la suite.

Shining Force III scenario 3 sat

anhhoi

le 23/06/2008

La conclusion de la trilogie, avec un épisode sur lequel j'ai passé plus de cent heures.

De nouvelles transformations, de nouveaux matériaux à forger, et la rencontre tant attendue des trois équipes.

Un jeu excellent dont on regrette énormément de ne jamais lui avoir vu une véritable suite. La fin d'une ère.

Shining Force III scenario 2 sat

anhhoi

le 23/06/2008
Edité le 23/06/2008

Deuxième épisode de la grande trilogie de la Saturn, l'aventure est vue à présent à travers les yeux de Medion. Contrairement à beaucoup de monde semble t-il, j'ai apprécié le design de cette équipe.

Le scénario continue de s'étoffer, le jeu est encore plus beau, et le plaisir est toujours aussi grand, même si le boss de fin m'a un peu déçu.

Shining Force III scenario 1 sat

anhhoi

le 22/06/2008

Le premier épisode d'une des plus grandes séries que nous ai offertes SEGA, et le début d'une formidable trilogie sur cette console, après l'excellent Shining the Holy Ark. Le seul des trois Shining Force 3 qui fit l'objet d'une traduction en anglais.

On retrouve l'ambiance indémodable de la série, des musiques géniales, et les premiers jalons d'une histoire tout à fait passionante.

Un jeu sans doute obligatoire sur Saturn.

Panzer Dragoon Saga sat

anhhoi

le 23/02/2008
Edité le 20/04/2008

Grand fan de Panzer Dragoon 1er du nom (j'avais aussi apprécié le deuxième épisode), de ses musiques magnifiques et de son ambiance unique, c'est avec un plaisir immense que je me suis plongé dans ce jeu de rôle qui prend sa place dans cet univers.

Toujours autant de bonheur dans ce jeu, avec un hit (encore un) de la Saturn. Et quelle (bonne) surprise d'affronter une nouvelle fois, en cours de jeu, le boss de fin de Panzer dragoon Zwei.

Mystaria: The Realms of Lore sat

anhhoi

le 17/02/2008

Un tactical très intéressant et avec lequel j'avais passé de longues heures de bonheur avec mes amis (eh oui, on y a joué à trois notamment, chacun controlant ses personnages).

Un large public ne pourra supporter des graphismes aussi laids et pixelisés, ni ces maisons horribles sensées représenter un village, et je le comprendrai tout à fait.Pour ceux qui pourront faire abstraction de ces soucis esthétiques, ils prendront grand plaisir à parcourir ce jeu aux techniques très complètes et variées, et aux musiques parfois très bonnes.

Un de mes grands souvenirs de la Saturn, malgré le coup de vieux.

Magic Knight Rayearth sat

anhhoi

le 11/02/2008
Edité le 12/02/2008

(Encore) Un jeu très sympathique de la Saturn, coloré, agréable à jouer (même en japonais, la version que je possède), et avec de très bons thèmes musicaux. Et pour une fois, la fin réserve une petite surprise.

Un jeu à essayer sur cette console.

Dragon Force sat

anhhoi

le 26/01/2008

Tout simplement un des meilleurs jeux de ma console préférée, un excellent jeu de stratégie dont la suite n'a malheureusement pas été traduite chez nous.

C'est un plaisir de recommencer une nouvelle partie avec un personnage différent, permettant de redécouvrir chaque fois le jeu sous un jour différent.

Ma grande douleur: n'avoir jamais pu terminer le scénario de Mikhal, qui buguait toujours au même moment du jeu. Un défaut du CD ?

Dark Savior sat

anhhoi

le 26/01/2008
Edité le 14/02/2008
7_5

Je pense qu'il ne faut pas voir ce jeu comme une suite de Landstalker, même si le système de jeu peut les rapprocher. L'ambiance est d'ailleurs tout à fait différente.

J'ai le souvenir d'un jeu un peu trop court; comme s'il lui manquait quelque chose pour être abouti. En revanche, j'ai été véritablement bluffé par le récit, à travers le système des scénarios parallèles (il faudra terminer le jeu trois fois pour débloquer le quatrième scénario). L'aventure bascule tout à coup, et dès lors on ne sait plus à quelle vérité s'accrocher. C'est ce passage précis du jeu qui l'avait rendu puissant à mes yeux.

Une expérience vraiment intéressante sur Saturn.

Virtual Hydlide sat

anhhoi

le 20/01/2008
Edité le 20/01/2008

J'ai trouvé Virtual Hydlide très court (fini en 6 heures) et comportant trop de défauts pour espérer une meilleure note. Le jeu est plutôt laid mais joyeusement kitsh (introduction et fin du jeu notamment, le héros "réaliste", certains monstres,...). Le scénario est plutôt mince et il ne faut pas espérer de dialogues, outre les grognements ténébreux des boss. Je n'ai toujours pas compris à quoi sert l'argent dans le jeu (sauf à avoir un meilleur score final): il n'y a pas de village où dépenser son or et les seules choses que l'on peut "acheter" s'échangent à un cristal contre des points de score. Pour les musiques, je pense qu'elles collent à l'ambiance. Le développeurs ne se sont quand même pas trop cassé la tête.

Un jeu vite plié, qui fera parfois (involontairement) sourire, et que j'ai nettement moins apprécié que son prédécesseur pourtant aussi raté techniquement sur Megadrive.

Dragon Quest III snes

anhhoi

le 25/11/2015
7_5

Voilà, après celui-ci il ne me restera plus qu'à finir le deuxième (ce qui n'est pas prévu) pour terminer l'ensemble des épisodes de la série (en oubliant les jeux dérivés) sortis en France (je n'ai ainsi jamais joué au X).

Dragon Quest III remix est très bien réalisé mais après avoir terminé tant d'autres épisodes auparavant j'ai difficilement été surpris.
Si le jeu reste très agréable, l'histoire ne m'a pas vraiment emballé et c'est surtout le système de jeu qui m'a semblé entrainant, encore que je n'ai pas beaucoup changé les classes de mes personnages (sauf une promotion en sage), ne souhaitant repartir au niveau 1.

Un classique en tout cas.

Shin Megami Tensei snes

anhhoi

le 01/07/2013

J’ai pu essayer Shin Megami Tensei premier du nom grâce à la traduction bénévole en anglais.

Je connaissais déjà un peu la série par des jeux dérivés reprenant le même bestiaire et par l’épisode Strange Journey sur Nintendo DS, que j’avais malheureusement laissé de côté vers la fin pour me lancer dans autre chose à l’époque, alors que le jeu me plaisait (je n’ai donc pas arrêté parce que le jeu m’aurait déplu).

S’agissant par contre de Shin Megami Tensei, chose très rare pour moi, je l’ai abandonné, après avoir très longuement avancé, avec beaucoup d’heures au compteur (j’ai du faire environ trois quart du jeu ou un peu moins).
Je n’abandonne quasiment jamais un jeu de rôle, même des biens mauvais, mais là ma patience était arrivée à terme.
Attention, je ne dis pas que ce jeu est mauvais, mais il m’était devenu insupportable et je pense ne jamais trouver la force de le reprendre tant il m’a fatigué.

Si au début j’évoluais dans l’histoire avec plutôt du plaisir, j’ai commencé ensuite à ne plus supporter les combats incessants (quasiment à chaque pas) rendant l’avancée fastidieuse au possible.
J’avançais, et hop plusieurs groupes de monstres s’enchainent, en me lançant bien souvent des sorts avec malus (empoisonnement, paralysie, folie, etc) à soigner tout le temps.
Le manque de repère me rendait l’expérience d’autant plus lourde, aussi bien sur la « carte du monde » que dans les donjons pour me souvenir des emplacements des boutiques et lieux importants non signalés sur la carte. Et dans ce dernier cas, en cherchant simplement un lieu où vendre mes objets par exemple, ne me souvenant plus où se trouve une boutique, j’enchainais à nouveau d’interminables combats, longs et lents. Jamais un instants de répis.
D’ailleurs, la recherche de magasins était fréquente parce qu’en plus le nombre d’objets que l’on peut porter dans l’inventaire est assez limité et mes poches étaient tout le temps pleines.
Beaucoup d’agacement donc. J’avais l’impression de passer mon temps à me battre et à gérer mon inventaire, avec de rares bouts d’histoire au terme d’interminables batailles.
La fusion de démons m’a vite ennuyé aussi.
Il n’y avait aucun personnage attachant, rien qui me donne envie de continuer l’aventure.

Du coup, voilà, j’ai fini par arrêté, exaspéré.
Je ne mettrai pas de note, mon but n'étant pas de baisser la moyenne du jeu, d'autant plus que je ne suis pas allé au bout de l'aventure, mais je souhaitais malgré tout exprimer mon ressenti après y avoir joué.
Sans doute n’était-il vraiment pas fait pour moi, ou peut-être n'y ai-je pas joué au bon moment (peut-être l'aurais-je davantage apprécié si je l'avais connu à sa sortie).
J’ai pu essayer Shin Megami Tensei premier du nom grâce à la traduction bénévole en anglais.

Je connaissais déjà un peu la série par des jeux dérivés reprenant le même bestiaire et par l’épisode Strange Journey sur Nintendo DS, que j’avais malheureusement laissé de côté vers la fin pour me lancer dans autre chose à l’époque, alors que le jeu me plaisait (je n’ai donc pas arrêté parce que le jeu m’aurait déplu).

S’agissant par contre de Shin Megami Tensei, chose très rare pour moi, je l’ai abandonné, après avoir très longuement avancé, avec beaucoup d’heures au compteur (j’ai du faire environ trois quart du jeu ou un peu moins).
Je n’abandonne quasiment jamais un jeu de rôle, même des biens mauvais, mais là ma patience était arrivée à terme.
Attention, je ne dis pas que ce jeu est mauvais, mais il m’était devenu insupportable et je pense ne jamais trouver la force de le reprendre tant il m’a fatigué.

Si au début j’évoluais dans l’histoire avec plutôt du plaisir, j’ai commencé ensuite à ne plus supporter les combats incessants (quasiment à chaque pas) rendant l’avancée fastidieuse au possible.
J’avançais, et hop plusieurs groupes de monstres s’enchainent, en me lançant bien souvent des sorts avec malus (empoisonnement, paralysie, folie, etc) à soigner tout le temps.
Le manque de repère me rendait l’expérience d’autant plus lourde, aussi bien sur la « carte du monde » que dans les donjons pour me souvenir des emplacements des boutiques et lieux importants non signalés sur la carte. Et dans ce dernier cas, en cherchant simplement un lieu où vendre mes objets par exemple, ne me souvenant plus où se trouve une boutique, j’enchainais à nouveau d’interminables combats, longs et lents. Jamais un instants de répis.
D’ailleurs, la recherche de magasins était fréquente parce qu’en plus le nombre d’objets que l’on peut porter dans l’inventaire est assez limité et mes poches étaient tout le temps pleines.
Beaucoup d’agacement donc. J’avais l’impression de passer mon temps à me battre et à gérer mon inventaire, avec de rares bouts d’histoire au terme d’interminables batailles.
La fusion de démons m’a vite ennuyé aussi.
Il n’y avait aucun personnage attachant, rien qui me donne envie de continuer l’aventure.

Du coup, voilà, j’ai fini par arrêté, exaspéré.
Je ne mettrai pas de note, mon but n'étant pas de baisser la moyenne du jeu, d'autant plus que je ne suis pas allé au bout de l'aventure, mais je souhaitais malgré tout exprimer mon ressenti après y avoir joué.
Sans doute n’était-il vraiment pas fait pour moi, ou peut-être n'y ai-je pas joué au bon moment (peut-être l'aurais-je davantage apprécié si je l'avais connu à sa sortie).

Rudora no Hihou snes

anhhoi

le 25/04/2013
Edité le 25/04/2013

Grace à sa traduction bénévole j'ai pu découvrir ce jeu qui n'est pas sorti en dehors du Japon.

Rudra no Hihou est un jeu sympathique, avec des personnages attachants, et présentant quelques points assez originaux dont deux principaux. D'abord les trois scénarios parallèles, dans lesquels on peut avancer comme bon nous semble, alternant de l'un à l'autre librement.
Ensuite, le système de magie avec des mots que l'on rédige soit même, mots à découvrir au fil de l'aventure.
Ces deux originalités entrainent cependant aussi une certaine lourdeur.
S'agissant des scénarios, on passe plusieurs fois par les même lieux et j'avais tendance à finir par m'emmeler un peu dans l'histoire, essayant de jouer les scénarios en alternance. Je ne me souvenais plus trop quel lieu j'avais visité ou pas avec tel personnage.
Pour le système de magie, il manque un répertoire de l'ensemble des découvertes de mots, sachant qu'on ne peut sauvegarder que quelques pages de magies et qu'on atteint très vite la limite autorisée.
On est obligé du coup de noter nos découvertes sur un support à part. Et j'avoue que je suis passé à coté de nombreuses magies.

Dans l'ensemble le jeu me laisse un souvenir agréable, avec des musiques et des graphismes plaisant, mais, sur le même support, loin d'être au niveau (par exemple) d'un Final Fantasy 6 ou Chronotrigger.

A noter, un thème assez rare abordé par l'histoire, un message plutôt écologiste.

Mystic Ark snes

anhhoi

le 12/03/2013
Edité le 15/01/2014
6_5

Mystic Ark a une atmosphère assez particulière, unique (atypique comme dit Ragink), ne serait-ce que dans les débuts, l'apparition dans le temple, avec une musique mystérieuse.
Après un premier monde qui m'a moyennement emballé, j'ai un peu plus apprécié ensuite l'originalité de certains mondes (un en particulier, avec une ambiance sombre et inquiétante).
En ce sens le jeu m'a un peu fait pensé à Dragon Quest 7, où on débarque dans mondes chaque fois différents.
Certains passages m'ont toutefois semblé assez ennuyeux, notamment des lieux truffés de combats, combats que je trouve assez longs et mous. J'ai longtemps utilisé systématiquement les combats automatiques (même face à de nombreux boss, je dois l'avouer..).
Les musiques sont plaisantes dans l'ensemble, notamment certains bons thèmes de combats.
J'étais un peu perdu à certains moments, cherchant un peu mon chemin. Les explications sont parfois rares.
Et, honte à moi, j'ai fait une longue partie du jeu sans avoir réalisé que je pouvais ajouter un troisième combattant.. Il faut dire qu'il faut se débrouiller pour comprendre beaucoup de choses, notamment pour l'équipement des armes et les affinités pour les porter.
L'arène m'a vite lassé aussi, vu le temps à passer pour pouvoir gagner l'argent "spécifique" permettant d'acheter les lots proposés.
Un jeu parfois agréable parfois décevant, que j'étais pourtant content de faire au début avec une traduction alors qu'il m'avait attiré à l'époque lorsque je l'avais découvert en japonais et que je ne m'y étais pas risqué sans comprendre les dialogues.
J'en attendais un peu mieux, même s'il est assez original sous certains aspects.

Dragon Quest VI snes

anhhoi

le 11/01/2013

Un jeu classique mais que j'ai trouvé plaisant avec son système de classes, bien que la limite de niveau imposée dans les premières heures pour gagner des points de classe m'a un peu gené.

Pas grand chose à dire par rapport au reste, sauf que le scénario reste assez classique, ce qui pourra en rebuter quelques uns.

Breath of Fire snes

anhhoi

le 23/02/2008

Un jeu que j'avais apprécié à l'époque malgré son classicisme (réalisation et scénario). Les personnages sont plutôt attachants, l'histoire se laisse bien suivre, et il est appréciable de voir les boss devenir plus difficile lorsqu'ils commencent à être amochés.

Breath of Fire II snes

anhhoi

le 23/02/2008
Edité le 23/02/2008

Un des deux seuls Breath of Fire auxquels j'ai joué, avec le premier. Ma partie remonte à quelques années, mais je me souviens avoir apprécié cet épisode, même s'il est un peu classique.

J'avais toutefois regretté le nombre excessif de combats tout au long du jeu. En outre, la difficulté est un peu lourde vers la fin. Une fin pas mauvaise d'ailleurs.

Live A Live snes

anhhoi

le 20/02/2008
Edité le 10/08/2008

Live a live est un jeu très sympathique et varié. Ses scénarios proposent des ambiances et des types de jeu d'autant plus différents. Les aventures sont malheureusement inégales et certaines sont bien moins intéressantes que le reste. J'avais notamment apprécié le scénario de science-fiction inspiré d'alien, plutôt stressant. L'histoire a le mérite de surprendre, une fois que tous les scénarios se trouvent liés. A essayer.

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