Commentaires RPG - Legendra RPG

EDLA

le 15/02/2008

- Pour montrer l'importance que ce mythe, occupe dans ma vie, il convient de rappeler ma rencontre (il y a 16 ans), avec l'immensité de l'univers videoludique (dont le premier Zelda sur la Nes, en était le portail inter dimensionnel). Le sentiment qui m'habitait à ce moment là, était indescriptible. La flamme de la passion, pour les jeux-video était née (pour ne plus jamais s'éteindre). Pourtant, cette émotion habituellement si unique, s'est reproduite une nouvelle fois, avec Shenmue. Plus que la découverte d'un nouvel univers, ce fut tout simplement, le paradis vidéoludique qui s'offrit à moi (les compositions musicales, transcendantales de Koshiro, y sont sans doute pour quelque chose). Bon, il est grand temps pour moi, de cesser ces pseudo-envolées lyriques ridicules,...

Shenmue II

EDLA

le 15/02/2008

- Shenmue 2 : reprenant tous les fondements de son ainé, et en les transformant au plus que parfait, Shenmue 2 transfigure la perfection, pour se hisser au rang de divinité suprême du monde vidéoludique. Que dire de plus, à part s'incliner devant une telle grandeur,...

Pokémon Jaune

EDLA

le 10/06/2010
Edité le 10/06/2010

- Un jeu dont j'ai fait l'aquisition près d'un an plus tard, à celles de la version rouge et bleu. Même principe, donc toujours aussi addictif, mais j'enlève 0,5 à la note par rapport aux deux précédentes versions, pour des raisons totalement arbitraire : j'ai du faire des mains et des pieds pour convaincre, mes parents d'acheter 3 "jeux identiques"

. J'ai honte à postériori (mais sans jamais le regretter bien sûr^^) de m'être fait complètement berné par le message marketing "Atrrapez les tous"(

). Enfin je n'ai jamais pu blairer Pikachu complètement inutile au début du jeu (et tout long aussi

), notamment face à Onyx.

Pokémon Bleu

EDLA

le 10/06/2010
Edité le 10/06/2010

- Une version dont j'ai fait l'acquisition 3 mois plus tard, après celle de la version rouge (Dracofeu a plus de classe, point barre), afin de continuer la chasse des pokémons. Un avis identique à la version rouge, cad un jeu génial.

Pokémon Rouge

EDLA

le 10/06/2010

- Je me souviens encore des nombreuses heures passées (à tel que le temps de jeu, arrêta de défiler au delà des 255 heures, je crois bien) sur Pokemon Rouge et Bleu, à me forger une équipe de tueurs, afin de démolir les teams de mes camarades de classe de collège (6 Mewtwo avec des stats de tarés, des attaques Blizzard, Déflagration, Plaquage, truc de tonnerre, je ne m'en rappelle plus du nom exact, et un sort de soin). Les premiers Pokemon, assurément le plus mémorable comme le dit Bao, des jeux qui ne paient pas de mine, mais dangereusement addictif, du fait d'un concept génialement pensé.

Phantasy Star III: Generations of Doom

EDLA

le 14/02/2008

- Malgré un grand nombre de défauts rédhibitoires, il reste un jeu très prenant (d'autant plus qu'il fut mon premier véritable classical), avec de belles idées (dont le système de génération, unique en son temps).

The Legend of Zelda nes

EDLA

le 14/02/2008

- Mon premier jeu video : quelle entrée en matière. Bien que ne comprenant rien, à l'époque au système de jeu (je n'avais que 5 ans), ce fut une véritable révélation, et le début d'une longue et intarissable passion. Aujourd'hui, le jeu a certes vieilli, mais rien que pour le plaisir de découvrir les fondements d'une saga légendaire, il mérite que l'on s'y intéresse. D'une grande difficulté, comme le signale Allesthar dans son test, il m'aura fallu un sacré bout de temps, pour pouvoir en déceler la fin.

Suikoden

EDLA

le 27/02/2008
Edité le 27/02/2008

- le premier épisode d'une fresque immense, et à mon avis, le plus mémorable. Un conflit géopolitique, ou se mêle drames indidivuels et tragédies collectives déchirants. Cette grandeur tragique s'affermit encore, par cette abscence totale de manichéisme : on assiste impuissant à l'entrechoc des volontés, et dont seule l'issue détermine, de quel côté se trouve la légitimité (ce qui revient inéluctablement à sa négation pure et simple). Une trame d'une puissance émotionnelle unique, multipliant les scènes d'anthologies ou les differents intervenants, révêlent leur héroisme face à leur destins, et dont la narration fait revêtir au terme virtuose, tout son sens. Des compositions musciales, sublimes (en dépit des capacités sonores limitées de la console) finissent de parachever un ensemble d'une harmonie parfaite. Le système de jeu en lui-même est loin d'atteindre ce degré de plénitude, mais son efficacité ne peut être remise en cause : il emprunte tout simplement les codes inhérents aux rpg traditionnels, jusque dans les phases de combats. Ce classicisme (qui est très loin de constituer en soi, un défaut) se combine toutefois, avec quelques idées fort novatrices pour l'époque : je parle bien entendu de la réunion des 108 Etoiles du destin, et l'édification (plus sa "gestion") d'une forteresse. Inutile de détailler ces aspects, que les fans connaissent par coeur (sinon, lisez l'excellent article du général Spiriel, pour en savoir plus). Signalons quelques défauts, d'ordre pratique essentiellement : impossibilité de courir, de se déplacer en diagonal, le concept des grandes batailles, bien qu'original est à mon avis raté, et ne proposent qu'un nombre minimaliste de possibilités. quant à la durée de vie : elle est certe un peu courte (10-15 heures si l'on fonce comme un dératé, 1 dizaine d'heures en plus, si l'on achève la quête des 108 Etoiles), mais elle constitue le complément nécessaire à cette prouesse dans l'enchaînement des évènements. Pour ce qui est de l'esthétique en 2D, bien que totalement dépassé (même pour l'époque), elle possède un certain charme. Au final, sous ces airs de jeu sans prétention, se cache un monument, qui mérite amplement sa place, au sein des Géants du genre.
- le premier épisode d'une fresque immense, et à mon avis, le plus mémorable. Un conflit géopolitique, ou se mêle drames indidivuels et tragédies collectives déchirants. Cette grandeur tragique s'affermit encore, par cette abscence totale de manichéisme : on assiste impuissant à l'entrechoc des volontés, et dont seule l'issue détermine, de quel côté se trouve la légitimité (ce qui revient inéluctablement à sa négation pure et simple). Une trame d'une puissance émotionnelle unique, multipliant les scènes d'anthologies ou les differents intervenants, révêlent leur héroisme face à leur destins, et dont la narration fait revêtir au terme virtuose, tout son sens. Des compositions musciales, sublimes (en dépit des capacités sonores limitées de la console) finissent de parachever un ensemble d'une harmonie parfaite. Le système de jeu en lui-même est loin d'atteindre ce degré de plénitude, mais son efficacité ne peut être remise en cause : il emprunte tout simplement les codes inhérents aux rpg traditionnels, jusque dans les phases de combats. Ce classicisme (qui est très loin de constituer en soi, un défaut) se combine toutefois, avec quelques idées fort novatrices pour l'époque : je parle bien entendu de la réunion des 108 Etoiles du destin, et l'édification (plus sa "gestion") d'une forteresse. Inutile de détailler ces aspects, que les fans connaissent par coeur (sinon, lisez l'excellent article du général Spiriel, pour en savoir plus). Signalons quelques défauts, d'ordre pratique essentiellement : impossibilité de courir, de se déplacer en diagonal, le concept des grandes batailles, bien qu'original est à mon avis raté, et ne proposent qu'un nombre minimaliste de possibilités. quant à la durée de vie : elle est certe un peu courte (10-15 heures si l'on fonce comme un dératé, 1 dizaine d'heures en plus, si l'on achève la quête des 108 Etoiles), mais elle constitue le complément nécessaire à cette prouesse dans l'enchaînement des évènements. Pour ce qui est de l'esthétique en 2D, bien que totalement dépassé (même pour l'époque), elle possède un certain charme. Au final, sous ces airs de jeu sans prétention, se cache un monument, qui mérite amplement sa place, au sein des Géants du genre.

Valkyrie Profile play

EDLA

le 17/02/2008

- Une trame structuré de façon atypique, des personnages hautement charismatiques (Anrgrim, Lenneth, Lezard Valeth, Brahms, etc,...), des scènes ou le terme de tragédie prend tout son sens et une fin A de folie. Sans oublier un esthétique en 2d majestueux, une bande-son magistrale, signée motoi sakuraba, et un système de combats ultra-dynamique, qui rend bien la fureur des batailles (bien servi par des musiques des dungeons nerveuses à souhait).Ajouter à cela une ambiance morne et de fin du monde, ,qui s'accorde parfaitement avec le caractère glacial de la mythologie nordique (bien aidé par des superbes et adéquate mélodies), et vous obtenez au final, une réussite totale (enfin presque, les voix anglaises sont horribles).

Star Ocean: The Second Story play

EDLA

le 16/02/2008
Edité le 16/02/2008

- Un excellent titre, doté de très jolis tableau (on passera sur l'horrible carte du monde en 3D), de belles mélodies (comme d'habitude avec Motoi Sakuraba), des phases de combats en temps réel très dynamiques (il vaut mieux ne pas trop laisser l'ordinateur, s'occuper du contrôle des autres personnages : les magiciens ont tendances à lancer, à tord et à travers leurs sortilèges. Résultat : 0 MP en l'espace d'un seul affrontement.), un système de skills bien foutu, des personnages attachants. Le scénario se laisse suivre très facilement, même si l'évènement majeur laisse un brin perplexe (comme d'habitude avec les Star Ocean). Le jeu n'est pas très difficile dans l'ensemble, sauf pour l'ultime combat, corsé si l'on n'est pas bien préparé. Pour l'anecdote, lors de ma première partie, j'avais étalé facilement l'avant dernier-boss, avec simplement des persos à 60 levels. Lorsque je me suis retrouvé devant le dernier ennemi, je me suis fait laminer lors de la 2ème partie du combat. Un passage du côté du levelling était donc nécessaire.

Final Fantasy IX play

EDLA

le 16/02/2008
Edité le 16/02/2008

- Commençons tout suite par énumérer les défauts : la lenteur des combats finit par agacer à la longue. Ensuite, Kuja ne tient pas toute ces promesses en terme de "grand méchant loup" et on assiste à un évènement totalement ridicule, surgissant de nulle part, vers la fin du jeu. Néanmoins, l' univers féerique à l' ambiance enchanteresse, les superbes mélodies, les personnages très attachants (bien qu' ils ne sortent pas des sentiers battus), le scénario (simple, efficace et très rythmé) compensent largement pour moi, ces désagréments. En bref, une grand FF.

Xenogears

EDLA

le 14/02/2008
Edité le 14/02/2008

- Il est difficile pour moi de nier ses formidables qualités : le scénario (exceptionnel), la qualité (remarquable) des dialogues, le charisme (édifiant) des personnages, les mélodies (sublimes), l'ambiance (d'une puissance immersive indéniable), rien à critiquer à ce niveau. Les raisons de son absence dans mon top 10, sont à regarder du côté du gameplay : franchement, je suis loin d'être un adepte du système de combats de Xenogears. Et ce ne sont pas les phases de méchas, qui vont me convertir. Surtout, j'ai en horreur les phases de plateformes, trop approximatives à mon gout (à moins que je ne sois une pauvre loque dans ce domaine, ce qui est très probable). Je ne compte plus les heures perdues, à errer dans les dungeons, pour ce seul et unique motif. évidemment, je ne peux pas non plus passer sous silence, la manière dont a été traitée le deuxième cd, même si on ne peut pas à en vouloir aux développeurs, bien entendu. Toutes ces raisons, qui expliquent pourquoi Xenogears ne parvient pas pour moi, à atteindre les cimes de la perfection, auxquels il était pourtant promis. Il constitue toutefois, dans tous les cas, un incontournable.

Final Fantasy Tactics play

EDLA

le 11/07/2007
Edité le 04/02/2008

Points forts :

- Une histoire passionnante.
- De beaux graphismes (enfin pour l' époque).
- De superbes compositions musicales (de l' oeuvre de Masaharu Iwata et de Hitoshi Sakimoto) et collant parfaitement à l' ambiance (captivante) de l' univers d' Ivalice.
- Un système de " jobs " d' une grande richesse et offrant de customiser à sa guise, nos différents guerriers.
- Des quêtes annexes qui valent le coup.

. Points faibles :

- Un système de combats intéressants ou les nombreuses bases stratégiques, sont complètement gâchées par des aires de combats trop petites et des équipes de combats restreintes à un nombre famélique de 5 personnages !!!

- Des personnages hautement charismatiques, malheureusement desservis par un character design horrible.

- Un niveau de difficulté mal dosé et qui est de toute manière, ruiné par la possibilité d' une montée exponentielle en level, en frappant nos propres unités !!!

- Conclusion : un rpg qui aurait pu se hisser au panthéon des TRPG, s' il n' était pas frappé par des aberrations, pour le moins frustrantes,...

Final Fantasy X play2

EDLA

le 22/12/2010
Edité le 22/12/2010

- Malgré toutes les reproches que je peux adresser à son encontre (la plus importante concerne l'équilibre des choix narratifs : plutôt que de donner la part belle, à certaines scènes de dialogues somme toutes anecdotiques, un plus long développement de certains thèmes, scénaristiques pourtant cruciales auraient été préférable), FFX reste un très bon voire un excellent rpg :

- Un système de combats dynamiques. des modalités d'évolution des personnage, à travers le concept fort oringinal du sphérier. Le seul reproche que l'on peut véritablement lui adresser, est que l'on aboutit au final à une uniformisation totale des statistiques des personnages, ce qui est un peu dommage,...

- Un univers très riche (un soin tout particulier, est consacré à la description des particularités, propres aux différentes civilisations qui peuplent le mode de Spira, notamment en termes de cultures, coutumes, tradition, mentalités, etc)

- De belles mélodies qui affermissent une l'ambiance très immersive (même s'il existe à mon goût, un trop grand contraste entre les douces voire trop calmes partitions musicales, et le sytle rock japonais chargé de dynamiser certaines phases de jeu),

- Le très addictif sport sous-marin collectif du Bliztball, très bien ficelé, et allant jusqu'à eclipser les jeux de cartes de FFVIII et IX). Le reste des mini-quêtes est en revanche d'un intérêt plus discutable. Eviter par exemple 200 fois la foudre, pour obtenir le champs de mars dans la plaine Foudroyée, a franchement de quoi me laisser perplexe,...

- Et enfin, un dénouement qui donne l'occasion au joueur d'assister, à quelques scènes poignantes digne de ce nom.

Persona 4

EDLA

le 10/06/2010
Edité le 10/06/2010

Cet épisode efface pour moi les aspects qui m'ont quelque peu rebuté dans Persona 3 (à tel point que j'ai lâché ce jeu en cours de route, au début du mois de septembre) : le fait de pouvoir contrôler tous les protagonistes lors de combats. N'ayant pas adhéré au concept certes original du Tartarus, j'ai accueilli avec plaisir un système de dongeon plus conventionnel. Le cadre plus "intimiste" et plus "terre à terre" de l'intrigue (par contre il fallait preuve d'une pertinence d'esprit digne d'un Conan Edogawa, pour mettre à jour depuis de début, les vérités qui se terrent derrière les mystérieux meutres et le non moins énigmatique Midnight Channel). Un meilleur équilibrage entre l'histoire proprement dite et les phases consacrées au Social Link et à l'exploration des dongeons, des personnages très attachants même s'ils versent dans les traditionnelles stéréotypes (je n'en connais pas la raison, mais ceux de Persona 3 m'ont laissé de marbre. Pour le moment tout du moins). Esthétiquement légèrement supérieure, et musicalement plus audible que l'espèce de techno-pop" japonais de P3. Et les doublages (anglais) de Persona 4 m'ont paru plus supportables que ceux de Persona 3. Incontestablement moins fou et original que Persona 3 certes, mais je verse sans doute dans le conservatisme le plus borné.^^

Tales of Rebirth play2

EDLA

le 16/02/2008

- Plus classique dans le fond, qu'un Tales of legendia, il dispose à mon sens du scénario du mieux construit (sans atteindre toutefois des sommets, je précise) de la saga, une sombre ambiance et des personnages (au character design discutable) au passé torturé, qui tranchent avec le reste de la série, un esthétique en 2d absolument magnifique, et d'un système de combat à son apogée (même si la tartine de dialogues, pas tjrs pertinent diluent inévitablement le plaisir). Il trône à la deuxième place, de mon Top consacré aux Tales of.

Shining Force Neo play2

EDLA

le 14/02/2008

- SF Neo ne se distingue pas tellement des autres hack'n slash (genre auquel je ne suis pas particulièrement attaché. Le seul que j'ai réellement apprécié, est Record of Lodoss War sur DC, pour uniquement 2 raisons : son histoire et je suis fan de l'anime).

- Ensuite, ma déception provient en partie du fait, que les Shining issus de la veine "action-rpg", ne m'ont pas laissé des souvenirs impérissables (entre le ridicule Shining Wisdom, et les Shining Soul très moyens, ma méfiance s'est accrue au fil des temps. Seul Shining Tears tire à mon avis, son épingle du jeu, sans être inoubliable non plus, et ce surtout grâce à son mode 2 joueurs).

- La dernière raison à ma déconsidération à l'égard de SF Neo, provient de son appélation : "Force", utilisé à mon sens, d'un point de vue purement commercial, par les dirigeants de Sega. Personnellement, quelle ne fut pas ma désillusion, lorsque j'ai réalisé, qu'il ne s'agissait pas d'un SF4 en tactical, mais d'un diablo-like ! Cependant, mon aversion à son égard, provient finalement de motifs purement personnels. Avoir une vision objective de ses composantes intrinsèques, n'est pas donc pas de mon ressort (les possibilités de customisation qu'offrent SF Neo, sont justement des qualités que je ne peux nier),...

Champions: Return to Arms play2

EDLA

le 14/02/2008
Edité le 14/02/2008

Le scénario (que se soit en mode "gentil" ou en mode "méchant) n'a rien de bien original (mais bon, cela ne constitue pas une véritable tare, au vu de ce genre de jeu). Les personnages (enemis ou alliés) ne font pas preuve d'un charisme ahurissant, mais bon, on n'y prête pas attention. Question esthétique, rien à dire, c'est du bon boulot. De belles mélodies accompagnent nos pérégrinations sanglantes, même s'ils ne sont pas très nombreux. Il est dommage, qu'il n'existe qu'un nombre relativement restreint de tableaux (au demeurant très vaste). Résultat : la durée de vie est en réalité assez faible (les raisons qui expliquent pourquoi, il m'a fallu une éternité pour que je l'achève, ne se situent pas dans les caractéristiques intrinsèques du jeu). Au final, on a affaire à un hack'n slash des plus classiques, dont la véritable force se trouve comme toujours, du côté du mode multi-joueur.

Suikoden Tactics play2

EDLA

le 14/02/2008

un excellent tactical rpg avec un très bon système de combats, de belles compositons musicales et le scénario éclaircit certaines zones d' ombres de l' histoire de Suikoden 4. L' esthétique du jeu n' a rien d' attrayant mais cela n' a jamais été le point fort de cette Saga. Au final, je le préfère au 4ème volet.

Suikoden III play2

EDLA

le 11/07/2007
Edité le 30/10/2007

- Un épisode très ambitieux dans ses fondements. Une trame générale passionnante ou s’entremêle inévitablement trahison, complots politiques guerre, tragédie. Des personnages hautement charismatiques, au design sublime (la magnifique Chris,…) et à la psychologie très travaillée. Un intervenant en particulier, réservera aux fans de la saga, bien des surprises. Le Trinity System qui invite le joueur à suivre l’histoire à travers plusieurs points de vue différents, constitue une excellente idée et s’apparente à celui de la fantastique Trilogie Shining Force 3. Le revers de la médaille est l’obligation faite au joueur de revisiter un grand nombre de fois les mêmes lieux et d’effectuer de multiples et incessants aller-retour. De plus, l’habituelle carte du monde des 2 premiers épisodes, n’est plus ici de mise (ce qui réduit grandement la sensation de liberté). Par ailleurs, le rythme de l’intrigue est très irréguliers et comporte de nombreux temps-morts (ou l’on s’ennuie ferme) comme le chapitre de Thomas par exemple. Au niveau des graphismes, le bilan est mitigé : si les décors s’en sortent honorablement avec un bon niveau de détails, la modélisation des protagonistes est en revanche, des plus minimalistes (notamment au niveau des mains). Heureusement que les expressions faciales sont assez bien rendues, tout comme les effets spéciaux (notamment lors de l’exécution de magies), Sympas mais sans plus. Carton rouge en revanche, en ce qui concerne les mouvements des personnages, d' une rigidité affligeante. La conséquence immédiate est d' amoindrir la crédibilité de la mise en scène. Les mélodies que l’on doit au trio Michiru Yamane, Takashi Yoshida et Masahiko Kimura (+ Himekami) sont certes de bonnes factures (mention spéciale au thème exceeding love de l’opening, l’une des plus belles intros jamais crées, ainsi que celle de l’Ending, tout simplement sublime), mais restent un ton en-dessous des compositions musicales de Miki Higashino. L’ambiance est toujours aussi immersive, même si l’on pourra regretter la prédominance du caractère sombre de l’univers, au détriment de la tonalité humoristique (nettement moins marquée). Du côté du système classique de combats, rien de bien révolutionnaire, même si ce n' la présence du concept de Skills (permettant de customizer les statistiques de nos combattants), de paire, et du timing des différentes attaques, ajoute un zeste de stratégies des plus appréciables. Rien à signaler en ce qui concerne les duels, si ce n’est l’ajout d' 1 jauge d' avantage. Rien de bien nouveau non plus sur le plan du QG, des forges d’armes, des runes,... Le système des grandes batailles, reposant sur le concept du jeu de plateau, est assez bien conçu, même si l' on pourra regretter de ne pas avoir une entière maitrise, sur les actions que l' on souhaite réaliser. L’inévitable quête des 108 étoiles est toujours facultative, mais reste indispensable à l’obtention de la véritable fin, et surtout réserve une surprise de taille. Je ne dirais rien pour ne pas spoiler, mais sachez qu’elle permet d’éclaircir les zones d’ombre du scénario. Au final, ce 3ème opus fait honneur à la prestigieuse saga des Suikoden, mais n’atteint le niveau mythique des 2 premiers épisodes (ainsi que le 5ème volet désormais), en raison de la présence d’un certain nombre de défauts rédhibitoires.
- Un épisode très ambitieux dans ses fondements. Une trame générale passionnante ou s’entremêle inévitablement trahison, complots politiques guerre, tragédie. Des personnages hautement charismatiques, au design sublime (la magnifique Chris,…) et à la psychologie très travaillée. Un intervenant en particulier, réservera aux fans de la saga, bien des surprises. Le Trinity System qui invite le joueur à suivre l’histoire à travers plusieurs points de vue différents, constitue une excellente idée et s’apparente à celui de la fantastique Trilogie Shining Force 3. Le revers de la médaille est l’obligation faite au joueur de revisiter un grand nombre de fois les mêmes lieux et d’effectuer de multiples et incessants aller-retour. De plus, l’habituelle carte du monde des 2 premiers épisodes, n’est plus ici de mise (ce qui réduit grandement la sensation de liberté). Par ailleurs, le rythme de l’intrigue est très irréguliers et comporte de nombreux temps-morts (ou l’on s’ennuie ferme) comme le chapitre de Thomas par exemple. Au niveau des graphismes, le bilan est mitigé : si les décors s’en sortent honorablement avec un bon niveau de détails, la modélisation des protagonistes est en revanche, des plus minimalistes (notamment au niveau des mains). Heureusement que les expressions faciales sont assez bien rendues, tout comme les effets spéciaux (notamment lors de l’exécution de magies), Sympas mais sans plus. Carton rouge en revanche, en ce qui concerne les mouvements des personnages, d' une rigidité affligeante. La conséquence immédiate est d' amoindrir la crédibilité de la mise en scène. Les mélodies que l’on doit au trio Michiru Yamane, Takashi Yoshida et Masahiko Kimura (+ Himekami) sont certes de bonnes factures (mention spéciale au thème exceeding love de l’opening, l’une des plus belles intros jamais crées, ainsi que celle de l’Ending, tout simplement sublime), mais restent un ton en-dessous des compositions musicales de Miki Higashino. L’ambiance est toujours aussi immersive, même si l’on pourra regretter la prédominance du caractère sombre de l’univers, au détriment de la tonalité humoristique (nettement moins marquée). Du côté du système classique de combats, rien de bien révolutionnaire, même si ce n' la présence du concept de Skills (permettant de customizer les statistiques de nos combattants), de paire, et du timing des différentes attaques, ajoute un zeste de stratégies des plus appréciables. Rien à signaler en ce qui concerne les duels, si ce n’est l’ajout d' 1 jauge d' avantage. Rien de bien nouveau non plus sur le plan du QG, des forges d’armes, des runes,... Le système des grandes batailles, reposant sur le concept du jeu de plateau, est assez bien conçu, même si l' on pourra regretter de ne pas avoir une entière maitrise, sur les actions que l' on souhaite réaliser. L’inévitable quête des 108 étoiles est toujours facultative, mais reste indispensable à l’obtention de la véritable fin, et surtout réserve une surprise de taille. Je ne dirais rien pour ne pas spoiler, mais sachez qu’elle permet d’éclaircir les zones d’ombre du scénario. Au final, ce 3ème opus fait honneur à la prestigieuse saga des Suikoden, mais n’atteint le niveau mythique des 2 premiers épisodes (ainsi que le 5ème volet désormais), en raison de la présence d’un certain nombre de défauts rédhibitoires.

Compendium

Galeries

Médias

Le Site

	Guest
	Login\|Inscr.