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154 commentaires
Chrono Cross play
Chipstouille

le 08/09/2010
Edité le 01/06/2013
5
Difficile de soutenir la comparaison, à l'époque, avec un FFIX qui l'a talonné en terme de date de sortie. L'argument "suite" a plutôt fait du tort à ce jeu au système très particulier, bien loin des attentes de son potentiel public.
En fait, le gros point commun avec Chrono Trigger, c'est son thème des combats absolument indigeste, contraste saisissant avec le reste de l'OST qui dans l'ensemble (le reste) est une totale réussite.
A l'image de ce petit couac musical, Chrono Cross navigue souvent entre deux eaux... Le scénario, dense et complexe, doit se trainer un héros muet et des lignes de dialogues servies la plupart du temps par un Perso aléatoire donnant lieu à quelques incohérences affligeantes (selon son monde d'origine...). Des personnages insipides (Poshul, Pip, le champignon, Skelly et j'en passe... pfff) croisent quelques héros de grande classe (Kid, Harle, Karsh, Glenn, Viper...) qui auraient largement suffit au casting. Une densité incroyable de quêtes annexes se noie dans la répétition inutile du parcours des niveaux systématiquement doublés (monde parallèle oblige? Pas si sur, cf. Le Chrono Trigger et ses époques 600 et 1000 qui en jouait beaucoup mieux). Les décors somptueux contrastent avec un chara design pas franchement mémorable et même parfois laborieux. La possibilité (originale encore en 2000) de visualiser les ennemis avant les affrontements et le système particulier d'XP ne permet pas non plus de réduire leur fréquence...
Et puis il y a ces rares moments où, sans soluce, avancer devient un véritable sacerdoce... Saloperie de Dragon Vert!

Je dois avouer, bien que la constatant de loin, je n'ai jamais réellement ressenti la "toute puissance" de ce jeu. Chrono Cross est loin d'être exempt de qualités, mais plein de petits défauts ridicules (je n'ai pas évoqué le fastidieux "flashback" des 15 premières heures de jeu...) viennent entacher une aventure qui ne manque pourtant pas d'ambition...

Résultat je ne fini ce jeu que 10 après sa sortie (et son acquisition), avec un certain intérêt mais sans réelle passion.
Costume Quest 2 xboxone
Chipstouille

le 11/05/2018
5
Sympatique, sans plus. Le premier épisode avait pour lui une certaine fraicheur. Vu que le second refait la même chose en un chouilla moins bien, forcément ce gros atout a disparu.

Je suis tout de même preneur de n'importe quel RPG dans cet esprit. Simple et court.
Dragon Quest VII: La Quête Des Vestiges Du Monde play
Chipstouille

le 02/07/2009
Edité le 01/06/2013
5
Techniquement hors propos, Draque VII séduit tout de même tout simplement de par son objectif premier. Le monde dans lequel vous vivez vos jours est tranquille et il ne se passe pour ainsi dire rien qui ne justifie une quête de plus de 100h. Pourtant, au-delà de votre petite île natale, vous allez découvrir un monde, celui du passé, petit à petit, avec ses petites histoires sous forme d'épisodes. Lesquelles s'entrelassent pour que l'on découvre par petites touches successives une multitude de fils conducteurs à suivre indépendaments.
Ce mode narratif qui relève du génie, accompagné de quelques touches de gameplay bienvenues et propres à la série, fait de cet épisode un jeu très attachant.

La technique désuète et les menus pas même digne d'une production amateur (fautes d'orthographe, bugs dans la gestion d'objets, description approximatives, etc.) nous font cependant bien vite redescendre sur terre. Du coup on hésite fortement à se procurer les différents remakes de la série calqués sur le moteur du jeu.

Et si on faisait des remake avec le moteur de DQ VIII? Hein?

Bien entendu, cet épisode n'est à conseiller qu'aux fans de la série, qui trouveront bien d'autres façons d'aborder l'univers de Dragon Quest. Pourtant il dégage cette aura unique au même titre que le Vème épisode. Pas les meilleurs, mais ceux qui donnent le plus envie de s'y remettre.
Lufia II: Rise of the Sinistrals snes
Chipstouille

le 29/06/2009
Edité le 01/06/2013
5
Derrière ses graphismes charmants et sa musique envoutante Lufia 2 ne nous épargne aucun cliché. Ersatz de Dragon Quest sur bien des niveaux, il vous fera subir son horripilant bestiaire, son schéma village-dongeon-village-suivant, ses combats peu variés, un système d'évolution primitif et une histoire inutile... Pourtant derrière tout ceci, on découvre un RPG au système de rencontres pas vraiment aléatoire qui vous fera creuser vos méninges, et un level design qui recèle encore bien des mystères après en avoir décousu avec le jeu.

Et rien que pour ça, Lufia 2 est une perle.
Lunar: Silver Star Story Complete play
Chipstouille

le 01/08/2003
Edité le 01/06/2013
5
Un jeu très sympa, ou chaque détail a vraiment été travaillé. Mais il reste tout de même très cliché, aussi bien au niveau des personnages, que de l'ambiance, de l'univers ou du scénario... Il n'y a pas vraiment de surprises. Working design a tout de même fait un très bon boulot d'éditeur avec tous les bonus inclus. Si vous ne redoutez pas quelques clichés, c'est un très bon RPG ^^
Mystic Quest gb
Chipstouille

le 08/06/2010
Edité le 01/06/2013
5
Mes souvenirs sont très flous, mais je ne me rappelle pas avoir jamais été dithyrambique sur ce jeu. Sympatoche était l'adjectif qui lui convenait à l'époque. Aujourd'hui, il est carrément dépassé.

Ce que je lui ai toujours reproché, c'est sa maniabilité, un peu rigide, en particulier au niveau des déplacements. Il faudra que je me frotte un jour à son remake...

Reste une aventure dont je n'ai pas décroché tout du long, et un type de jeu qui se faisait trop rares dans nos contrées à cette époque...
Persona 3 FES play2
Chipstouille

le 11/03/2011
Edité le 01/06/2013
5
*** Voici mon commentaire original de 2011:
Un jeu qui marque par son design, son ambiance et quelques mécaniques de jeu plutôt bien pensées (les S-link, le quotidien étudiant...). Hélas, à trop vouloir jouer la carte de la durée de vie, on finit par s'ennuyer ferme à force de parcourir des niveaux générés aléatoirement, parfaitement sans surprise et à la difficulté croissante. J'ai abandonné après 40h de jeu aux alentours du 100e étage du tartarus après avoir été défait contre la combinaison : un seul perso jouable/2 types de magies fatales lancées par les ennemis d'une même zone/impossible de se protéger contre les deux à la fois...
Faudrait peut-être pas abuser quand même...Ils sont fous ces japonais.

J'ai fait un heureux en revendant le jeu...

*** Sur lequel je reviens donc en 2020 après avoir terminé dans l'ordre Persona 5, 4, 3 (et de nouveau Persona 5 Royal) depuis 2018. Je passe donc de 3 à 5.
Une seconde partie en facile et la compréhension du système de S-Link/Confidant en poche m'a permis d'avancer à une allure correcte avec beaucoup moins de frustration que lors de mon premier essai. J'ai donc pu mieux apprécier ce Persona 3. Tous ceux qui se plaignent que le 5 n'est pas au niveau sur la question des personages jouables me semblent cependant avoir la mémoire bien courte.
L'histoire, l'ambiance et l'idée originale du quotidien étudiant restent des points qu'il faut saluer. J'espère que le succès actuellement rencontré par Persona 4 The Golden sur Steam va encourager Atlus à nous sortir une version définitive qui combinera le meilleur des versions PSP et FES. Pour le moment, Persona 4 et 5 supplantent largement cet épisode. Quelles que soient les retouches, le Tartarus restera le truc le plus chiant qu'il m'ait jamais été donné de parcourir dans un J-RPG. Ne pas donner le contrôle de tous les persos en combat, c'est également se tirer une balle dans le pied.
Soul Blazer snes
Chipstouille

le 07/07/2009
Edité le 01/06/2013
5
Pas prise de tête, Soulblazer délivre le standard du genre action-aventure, sans plus. On apprécie cette épopée héroïque et quelques idées salvatrices avec un petit côté très poétique dans leur approche (la baguette permettant de visiter les rêves, les différents animaux ou objets avec lesquels on est amené à discuter...)
C'est plus du côté de la maniabilité que l'on pourra aujourd'hui vraiment trouver à redire, en particulier les magies à envoyer à partir d'une boule qui gravite durant l'intégralité du jeu autour de votre personnage.
Star Ocean: Till the End of Time Director's Cut play2
Chipstouille

le 07/07/2009
Edité le 01/06/2013
5
C'est beau, c'est chiadé, c'est moderne (à sa sortie), c'est technique, c'est réjouissant, c'est passionnant, c'est envoutant, c'est en 2 mots "bien fait". Star Ocean 3 balaye d'un coup tous les défauts de son ainé dans une épopée en deux temps, fantasy puis science fiction. La transition étant magnifique.

Pourtant, un trio de défauts vient ternir le tableau pourtant idyllique. la correction d'un seul des trois aurait fait de ce jeu un chef d'oeuvre, faites votre choix (et n'hésitez pas à vous procurer une soluce pour y remédier) :
- La difficulté est exponentielle, comprenez par là que les si les 30 premières heures ne vous poseront pas de gros soucis, la fin est à s'arracher les cheveux.
- L'intelligence artificielle est complètement débile (vos attaquants ne font rien alors que vos guérisseurs potentiels foncent dans le tas) malgré quelques options de paramétrage très obscures et irréversibles.
- La création d'objet est encore plus hermétique que dans l'épisode précédent. Une aide extérieure n'est pas dispensable.

Assurément l'un des plus beau gachis de ces dernières années. On prend son pied et on grince des dents.
Super Paper Mario wii
Chipstouille

le 24/03/2012
Edité le 01/06/2013
5
Assez en accord avec l'opinion général. Super Paper Mario est une sympathique fusion de plateforme et RPG. Le problème c'est que passé le monde 5 (inclus pour ma part), le level design devient assez laborieux. le traumatisme étant surtout lié au monde 6 et ses combats hyper répétitifs, bien barbant.

Rien de catastrophique, ça reste jouable et quelques idées parsèment encore les 2 niveaux finaux, mais la bonne impression du départ s'évapore malheureusement quelque peu...
The Legend of Zelda: The Wind Waker gc
Chipstouille

le 29/06/2009
Edité le 01/06/2013
5
Entre sa promesse de navigation maritime, quelques objets récupérés au début permettant de légèrement renouveler la série et les boss les plus fantastiques que l'on ait pu voir en cell shading, ce Zelda WW nous a fait rêver, un peu. Hélas, passé le 2ème ou 3ème palais, le jeu s'enfonce dans la redite, une exploration calamiteuse de miettes d'îles à peine composées de cavernes interminables et sans saveur indignes du plus mauvais des hack'n slash. Fort heureusement, tout ceci n'est pas nécessaire pour parvenir très rapidement à la fin, qui aura fatalement un goût des plus amers.

Nintendo nous a habitué à mieux, beaucoup mieux.
The Legend of Zelda: Twilight Princess wii
Chipstouille

le 22/10/2009
Edité le 01/06/2013
5
Twilight Princess remet le couvert pour la série Zelda. Epopée "fantasy" de Nintendo, toujours rien de réellement neuf à se mettre sous la dent, si ce n'est quelques idées éparses et bienvenues dont Nintendo a toujours su faire preuve.

On attendait un jeu "retour aux sources", on l'a. Impression de copier collé volontaire pour un jeu assez stylé au demeurrant. On apprécie un peu, notamment, le durcissement du ton, comme cette ambiance sonore empruntée à Silent Hill pour les passges dans le monde des ténèbres. On lui reprochera cependant son filtre jaunâtre et ses effets de lumière forcés rendant la visibilité difficile par moment. La maniabilité de la Wii n'est pas optimale (la pèche est un calvaire, sans parler de vouloir enchaîner les différentes techniques de combat ou des joutes à dos de cheval qui étaient déjà un problème sur Nintendo 64). Pour le cheval voyez Assassin's Creed sorti l'année suivante par exemple, bien plus agréable à conduire que ce bourrin d'épona rigide au possible...

On a de nouveau cet épineux problème face à l'argent. Bourse trop petite, rubis en veux-tu en voilà, possibilité de dépenses pour ainsi dire absentes... Un dosage digne d'amateurs, à croire que le jeu n'a pas été testé. Vous laisserez le contenu d'un coffre sur deux derrière vous... Frustrant!

Question palais, le jeu s'enferme sur lui-même. A l'instar d'un Starfox Adventures, certains objets ne deviennent utile que dans le dongeon où on les obtient ou presque. L'ensemble fait très (trop) "old school" comparé à cet effort de réalisme constant tout au long du jeu. Bien sûr il y a l'escalier pivotant dans celui de l'eau ou encore ce manoir de glace à mi chemin entre Resident Evil et, pour ceux qui s'en souviennent, la petite maison de Sibérie du Docteur Jivago, aussi froide que belle, effrayante et poétique... Mais dans l'ensemble ce qui faisait autrefois le point fort de la série le traine ici le tout vers le bas. Fort heureusement (?) cette part du jeu tend à se réduire de plus en plus au fur et à mesure des épisodes au profit du reste (monde ouvert, quêtes annexes, quêtes inter-palais, un peu plus varié et ouvert dans sa conception (le combat du sumo, les colliers de perles, etc.).

On ne constate donc pratiquement aucune évolution de la série sur le fond en 10 ans et c'est bien triste. On dira même que le jeu dans ses rares nouveautés tend à plus repiquer ses idées ailleurs qu'à réellement trouver sa propre voie. L'enchaînement village dans la forêt > Gorons dans la montagne de feu > Zoras au lac Hylia finit par franchement lasser.

Pour ma part, en tant que 8e épisode, je reste donc sur ma faim. J'ai même du me forcer durant les premières heures, pleines de répétitions et d'impressions de déjà-vu.

Le jeu reste cependant bon. Le principe de base étant quasi inusable, et des petites choses (celles qui font les grands jeux) piquent régulièrement l'intéret du joueur. Si vous n'avez jamais joué au moindre épisode de la série, vous pouvez foncer tête baissée, ce Zelda-là ne ternit en rien la légende. Les vieux singes comme moi comptent cependant les réels apports de cet épisode à la série sur les doigts de la main...
Undertale play4
Chipstouille

le 05/07/2020
5
Comme les gens ne savent pas s'empêcher de spoiler, j'ai donc "découvert" undertale tout en sachant à quoi m'en tenir.
C'est très earthbound dans l'esprit, en très moche et très dirigiste avec un manque flagrant de finitions.

J'aime le message, même s'il faut en passer par un voyage à portnawak land pour y parvenir.
Ce qui est surtout dommage, c'est qu'aussi peu d'indépendants ne prenne de risque dans le domaine du RPG retro (ou alors on n'ose pas les éditer?). Du coup undertale est le borgne au royaume des aveugles et a fait un carton.
J'ai fait partie d'une communauté de RPG Maker 2000 en 2001/2002, et j'ai joué à plein de jeux qui souffraient du même défaut et mériteraient au moins autant de reconnaissance: A blurred Line, Dark Soul (pas celui de from software), Phylomortis II, Idunn Ymiraldor... et j'en passe.
Wild ARMs play
Chipstouille

le 18/04/2010
Edité le 01/06/2013
5
L'idée de refaire un Zelda "3" à la sauce RPG avait bien pris à l'époque, et vu le niveau des productions 3D en 96, revenir à une 2D soignée était une idée plus que salutaire. Hélas, coincé entre un Suikoden et un Final Fantasy VII (sauf version FR) qui auront pris un beau tournant question narration, Wild Arms accuse son age avec beaucoup plus de gène. Les dialogues réduits à leur plus simple expression nous font suivre non sans peine une histoire inutilement compliquée et paradoxalement de profondeur nulle (vive Dragon Quest 1er du nom). Difficile au final pour l'aventurier en herbe de connaître sa prochaine destination sans errer au hasard, encore plus lorsque quelques énigmes plutôt corsées viennent freiner vigoureusement la progression.

Ceci étant, le jeu conserve un certain charme, qui n'a rien à voir avec son univers prétendument Western (3 chapeaux de cow-boy, un seul flingue, un village indien: le Western à la japonaise!). Difficile de s'emballer totalement pour Wild Arms. Difficile également de bouder son plaisir.
Brave Fencer Musashi play
Chipstouille

le 29/06/2009
Edité le 19/04/2010
4
Avec ses situations bucoliques (la fin est d'une débilité profonde) et sa prise en main rapide, Brave Fencer Musashi nous offre un Action RPG plutôt sympatique. Son design enfantin, la lourdeur de ses combats, ses couleurs allant jusqu'au criard et sa faible inventivité font de lui un jeu cependant tout juste bon. Et même si on peut aimer son système de magie à la Kirby, l'ensemble s'avère manquer légèrement de consistance pour en faire un digne adversaire des Zelda et autres Landstalker.
Breath of Fire snes
Chipstouille

le 01/08/2003
4
Un jeu qui ne paye pas de mine, mais qui fait quand même passer de bons moments. Je lui préfère largement son successeur, tout de même... BOF est trop cliché, manque d'entrain et reste dans le "banal" des RPGs old school..A faire quand on n'a plus rien d'autre à se mettre sous la dent...
Castlevania: Circle of the Moon gba
Chipstouille

le 29/06/2009
4
A force d'échouer dans une tentative d'adapter sa série au format 3D, Konami a fini par trouver refuge sur consoles portables en nous refourgant une série de clones de son opus le plus prestigieux, Symphony of the night. On oublie aussi que la première GBA n'ayant pas de rétro-éclairage, ce jeu très sombre nous a valu quelques maux de tête.

Dans l'ombre de son prédécesseur, surpasseé bien des fois par ses succésseurs, ce n'est pas les trois lignes de scénario qui rendront ce Circle of the moon indispensable de nos jours. Avec un challenge des plus relevés, un format rare à l'époque et une sortie au bon moment, COTM aura su s'imposer. Il s'agit cependant au final du moins bon des clones de SOTN.
Castlevania: Dawn of Sorrow nds
Chipstouille

le 18/04/2010
4
Dawn of Sorrow se contente simplement d'appliquer à la lettre la recette de son prédécesseur. On ne va pas s'en plaindre puisque c'est le meilleur opus depuis SOTN.

La différence majeure réside dans la difficulté des boss revue à la hausse, ainsi qu'un soupçon d'originalité les concernant, qui sauvera le jeu pour ma part d'un avis trop défavorable.

On mettra de côté la piètre qualité de la version FR... Ceci dit la VO ne volait peut-être déjà pas bien haut...
Dragon Quest II nes
Chipstouille

le 02/07/2009
Edité le 18/10/2010
4
Sitot la concurrence dévoilée, Enix s'empresse de copier Final Fantasy. Combats en groupes, donjons plus longs, et une ribambelle de détails sympathiques en moins font de Dragon Quest II une suite relativement décevante de nos jours. Bien qu'elle ait initié de belles choses pour le genre.

Rien d'indispensable ceci étant.
Eternal Sonata xb360
Chipstouille

le 02/07/2009
Edité le 01/06/2013
4
Dès son introduction, on sait que Eternal Sonata va prendre son temps. Graphiquement à la pointe, avec un système de combat à "niveaux" bien pensé et un casting plutôt plaisant, le jeu ne tient cependant pas ses promesses. La présence de Chopin est totalement anecdotique, celui ci n'influe même pas l'univers musical du jeu (Sakuraba fait du Sakuraba, point). Les mélomanes, en attente tout du long, resteront sur leur faim.

Entre ses donjons un peu brouillons, son bestiaire et la configuration des affrontements peu variés, on sent qu'on loupe pourtant de peu une merveille. L'ambiance caractéristique du jeu, entre féérique et dramatique nous tient en haleine. Mais faute d'avancée notoire dans l'histoire, c'est surtout l'ennui profond que l'on ressent vers la fin qui finit par avoir raison de nous. Fort heureusement le jeu s'avère plutôt court et la présence d'un new game+ (trop tard diront certains) à la difficulté relevée permet d'épicer l'aventure. Pour cela il faudra cependant avoir envie de tout recommencer, ce qui n'est pas gagné.

Bien en deçà du niveau qu'on a pu lui attribuer dans toute la presse spécialisée. Faute de mieux on s'en est tout de même contenté.
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