Commentaires RPG - Legendra RPG

anhhoi

le 30/05/2014
Edité le 30/05/2014
6_5

Le jeu est vraiment sympa par certains aspects, notamment les personnages attachants et l'évolution du héros principal, mais j'ai trouvé le récit peu intéressant au final et le "langage technologique" insupportable (histoires confuses de fonons et autres "trucs" faussement compliqués).
Il ne me laissera pas un souvenir impérissable même s'il n'est pas désagréable.

Bravely Default: Flying Fairy 3ds

anhhoi

le 30/05/2014
Edité le 30/05/2014
6_5

Si j'ai beaucoup apprécié le système de job de Bravely Default, j'ai détesté ce que tout ceux qui ont fait le jeu savent, ce qui survient vers les deux tiers du jeu et qui m'a poussé à faire une longue pause pendant un moment tant j'en avais la nausée (vraiment, je ressentais comme un écoeurement).
J'ai aussi été moyennement emballé par le scénario et les personnages.
C'est donc surtout le système de jeu qui m'a accroché et fait tenir jusqu'au bout. La possibilité de régler à tout moment les modes de jeu (difficulté, fréquence des combats, etc) est excellentes (et je plains les japonais qui ont dû se farcir l'horrible partie du jeu sans cette possibilité...).

The Legend of Zelda: Ocarina of Time 3D 3ds

anhhoi

le 19/03/2014
Edité le 19/03/2014

Je n'avais pas pu terminer la version originale de ce Zelda il y a plusieurs années, pour cause de sauvegarde disparue et aussi parce que je m'éparpillais avec plusieurs jeux.

C'est avec un grand plaisir que j'y suis retourné, après un Link to the Past que je viens de refaire aussi (dont j'avais oublié une certaine rigidité dans les combats, et que je n'ai pas forcément trouvé si dark que ça contrairement à d'autres commentaires).
Un jeu poétique, une ambiance unique, dissimulant moult trésors et surprises à chercher à travers le royaume et un gameplay efficace (personnellement j'ai apprécié la fonction gyroscope, même si elle a une facheuse tendance à se décentrer) et avec une belle 3D.

Bon, bien sûr, comme pour la plupart des Zelda, le scénario n'a rien d'extraordinaire quand même, mais l'intérêt est ailleurs.
Un excellent jeu sur cette console.

The Legend of Zelda: A Link Between Worlds 3ds

anhhoi

le 10/02/2014
Edité le 30/05/2014

J'ai trouvé ce sympa très sympa même si, en dehors de l'idée de la transformation en peinture, il n'y a pas grand chose de nouveau depuis l'épisode qui le précède sur Super Nintendo.
Rien de bien neuf mais du plaisir de bout en bout, et pas de prise de tête (contrairement à certains passages de Bravely Default qui me tapait sur le système et que j'ai mis entre parenthèses pour jouer à ce Zelda).
Je regretterai seulement que la carte du monde et les donjons ne soient pas plus vastes (j'en aurais voulu encore plus, parce que le jeu m'était agréable!) et la possibilité d'accéder à presque tous les objets importants du jeu sans se décarcasser (je préférais la formule classique des Zelda avec le plaisir de découvrir l'objet en milieu de donjon), ce qui offre en contrepartie une liberté totale d'exploration.

Etrian Odyssey IV: Legends of the Titan 3ds

anhhoi

le 15/01/2014
Edité le 15/01/2014

Ayant déjà fini les deux premiers opus de la série (mais pas le 3ème car j'étais arrivé à un point où de nouvelles classes s'étaient débloquées et je n'avais pas envie de repartir au niveau 1 pour l'entrainement, en plus de l'apparition des sous classes qui me faisait peur..) j'ai apprécié ce nouvel opus.

Plusieurs regrets par rapport à cet épisode:
- je trouve que les ennemis en 3D ont perdu le charme des épisodes où ils étaient représentés en 2D (comme le 5ème épisode du Professeur Layton, que je viens de commencer, et où l'aspect 3D m'a énormément atristé par rapport à la magie des anciens épisodes)
- l'histoire est plutôt moyenne et ce n'est pas ce qui fait l'intérêt du jeu
- (comme pour les précédents) toujours cette limite de niveau à 70, qui est rapidement atteinte quand on approche de la fin (j'ai trop trainé sans doute), même si elle peut être débloquée ensuite malgré tout

Sinon, le jeu est toujours aussi prenant s'agissant de son principe, simple et efficace.
Je trouve très bien d'ouvrir le jeu aux joueurs moins expérimentés en permettant de modifier à tout moment la difficulté du jeu.
Autre très bonne idée à mon goût, les ennemis "dorés" qui rapportent beaucoup plus d'expérience. Idéal pour monter de nouveaux personnages qui commencent au niveau 1. Ainsi, j'ai pris plaisir à crééer plusieurs membres dans ma guilde afin de tester différentes manières de jouer.
Sympa aussi même si un peu anecdotique la possibilité de croiser d'autres joueurs via streetpass afin de débloquer des cartes au trésor (j'en ai rencontré peu, mais la surprise fait toujours plaisir lorsqu'elle a lieu).

Un jeu bien agréable donc dans l'ensemble, même s'il pourra rebuter certains et peut être sembler répétitif.

Crimson Shroud 3ds

anhhoi

le 23/07/2013
7_5

J'ai été très agréablement supris par Crimson Shroud. Peut-être légèrement déstabilisé au tout début, avec ces scènes figées, j'ai très vite été emporté par ce jeu, certe court, mais très original avec cette ambiance jeu de rôle sur plateau, avec des musiques bien souvent magnifiques (j'ai adoré l'ambiance sonore et trouve comme heavenly qu'elle procure au jeu, en cohésion avec le reste, quelque chose d'unique).
J'ai eu de la chance pour le fameux "problème" du chapitre deux, puisque sans solution j'ai obtenu très vite l'objet nécessaire à la suite de l'avancée (mais je comprends l'énervement de Riskbreaker sur ce point, si j'avais été à sa place).

Mon seul bémol, qui fait baisser un peu la note (en plus de la faible durée de vie), c'est la langue anglaise, que je comprends en gros mais qui pour le coup gache un peu l'expérience puisque les textes sont très travaillés.

Fire Emblem: Awakening 3ds

anhhoi

le 01/07/2013
Edité le 01/07/2013

Mon expérience de ce Fire Emblem se rapproche de celle des autres joueurs.

Si l’histoire se laisse suivre, elle n’est pas forcément la plus originale qui soit.
Pourtant elle partait plutôt bien je trouve.
En tout cas cela ne m’a jamais empêché d’avancer malgré tout agréablement.

Pour le reste, le jeu est vraiment bien conçu.
J’ai beaucoup aimé l’ensemble des thèmes musicaux, notamment les musiques avec des chœurs.
La 3D, que je n’utilise pas forcément souvent d’habitude, est efficace et ne fait pas mal aux yeux. J’ai trouvé certains passages magnifiques de cette façon. Ainsi, notamment un combat annexe sous la pluie, le champ de bataille étant couvert d’un épais nuage gris funeste, le tout accompagné d’une musique héroïque, avec des angles de vue dynamiques.

Un bémol : je regrette l’apparition des DLC payants (j’ai craqué et en ai acheté certains..) pour pouvoir profiter de cartes bonus, alors que ces ajouts auraient pu être inclus dès le départ dans le jeu initial.

Etrian Odyssey III: The Drowned City nds

anhhoi

le 04/05/2015

Contrairement aux précédents commentaires je crois que j'ai ressenti une certaine lassitude sur cet épisode d'Etrian Odyssey, après le 1er, le 2 et le 4. J'avais d'ailleurs mis le jeu en longue pose (et j'ai joué et terminé le 4 entre temps, que j'ai beaucoup aimé).
Peut-être ai-je mal composé mon équipe mais je n'ai jamais trouvé de véritable osmose entre mes personnages, avec les classes proposées dans cet épisode. Et j'ai beaucoup hésité sur la répartition des compétences. Cela est d'autant plus regrettable que la difficulté reste assez corsée en particulier pour le boss pour la "bonne fin" et qu'une équipe bien montée (si je puis dire) est primordiale.
Du coup tout en appréciant malgré tout ce jeu j'y ai pris moins de plaisir qu'avec les autres épisodes et me suis un peu forcé sur la fin.

Cet épisode a néanmoins un mérite par rapport aux autres épisodes, celui de proposer un choix important dans le scénario permettant d'obtenir ainsi des fins différentes.

Shin Megami Tensei: Strange Journey nds

anhhoi

le 13/04/2015
7_5

Après Soul hackers j'ai enchainé sur strange Journey, que j'avais en fait abandonné il y a quelques temps pour une raison qui m'échappe (il me semble que j'avais été happé par un autre jeu tout simplement) alors que je me trouvais vers la fin. Donc ça y est je l'ai finalement bouclé.

J'ai beaucoup apprécié l'atmosphère du jeu, notamment avec son ambiance musicale très particulière (sauf les musiques de combats qui ne m'ont pas enthousiasmé) bien que peut-être peu variées.

J'ai retrouvé un peu d'Etrian Odyssey dans les mécanismes de jeu.

Par contre les décors ne sont pas forcément des plus beaux je trouve; enfin cela ne m'a pas empêché d'apprécier l'exploration.

SaGa 3 Ruler of Space-Time: Shadow or Light nds

anhhoi

le 29/10/2014
Edité le 29/10/2014
6_5

Ce remake de Saga 3 Game boy sur Nintendo DS reprend le moteur du remake de Saga 2.
Les deux ne sont jamais sortis officiellement en dehors du Japon mais ont bénéficié d’une traduction bénévole.

Il apporte des améliorations intéressantes par rapport au jeu d’origine, un petit coup de jeune bienvenu, sachant que j’avais moins aimé celui-ci par rapport à son aîné. J’avais notamment trouvé le système d’arme confus, alors qu’ici on peut trouver toutes les explications (les classes ont des affinités d’armes, qui sont décrites ici).

Le scénario se veut un peu plus original que SaGa 2 puisqu’il est ici question de voyages dans le temps mais l’histoire n’est pas vraiment transcendante. On est loin de Chrono Trigger ou Radiant Historia, sur le même support.

Je n’ai pas du tout utilisé le système de mutations, transformations qui peuvent se faire en fin de combat en utilisant des objets laissés par les ennemis en fin de combat, système qui ne m’a pas intéressé, d’autant plus qu’on perd alors les bonus gagnés parfois en fin de combat. Tout cela m’a semblé trop aléatoire.

J’apprécie par contre toujours autant le système de progression propre à la série SaGa, avec gain de caractéristiques et de techniques au gré des techniques utilisés en combat.
Par contre certaines magies ne se sont jamais débloquées alors que j’étais à la fin du jeu. J’imagine qu’il m’aurait fallu réaliser encore de nombreux combats pour y parvenir mais l’envie n’y était pas.

Le tout n’est pas désagréable, avec de nombreuses quêtes disséminées à résoudre en voyageant dans le temps (la résolution de certaines permettra d’obtenir une fin bonus, si l’on a fait les bons choix), mais mon enthousiasme est resté modéré malgré des côtés sympathiques.

Le jeu m’a aussi un peu lassé sur la fin, en raison de la fréquence élevée des combats. Ce sentiment étant renforcé par la possibilité de voir les ennemis sur la carte : bien que les combats ne posent pas de problème particulier, les adversaires étaient très nombreux et difficiles à éviter, ce qui provoquait une lourdeur pénible.

Pas un mauvais jeu, au final, mais qui ne m’a pas marqué.
Ce remake de Saga 3 Game boy sur Nintendo DS reprend le moteur du remake de Saga 2.
Les deux ne sont jamais sortis officiellement en dehors du Japon mais ont bénéficié d’une traduction bénévole.

Il apporte des améliorations intéressantes par rapport au jeu d’origine, un petit coup de jeune bienvenu, sachant que j’avais moins aimé celui-ci par rapport à son aîné. J’avais notamment trouvé le système d’arme confus, alors qu’ici on peut trouver toutes les explications (les classes ont des affinités d’armes, qui sont décrites ici).

Le scénario se veut un peu plus original que SaGa 2 puisqu’il est ici question de voyages dans le temps mais l’histoire n’est pas vraiment transcendante. On est loin de Chrono Trigger ou Radiant Historia, sur le même support.

Je n’ai pas du tout utilisé le système de mutations, transformations qui peuvent se faire en fin de combat en utilisant des objets laissés par les ennemis en fin de combat, système qui ne m’a pas intéressé, d’autant plus qu’on perd alors les bonus gagnés parfois en fin de combat. Tout cela m’a semblé trop aléatoire.

J’apprécie par contre toujours autant le système de progression propre à la série SaGa, avec gain de caractéristiques et de techniques au gré des techniques utilisés en combat.
Par contre certaines magies ne se sont jamais débloquées alors que j’étais à la fin du jeu. J’imagine qu’il m’aurait fallu réaliser encore de nombreux combats pour y parvenir mais l’envie n’y était pas.

Le tout n’est pas désagréable, avec de nombreuses quêtes disséminées à résoudre en voyageant dans le temps (la résolution de certaines permettra d’obtenir une fin bonus, si l’on a fait les bons choix), mais mon enthousiasme est resté modéré malgré des côtés sympathiques.

Le jeu m’a aussi un peu lassé sur la fin, en raison de la fréquence élevée des combats. Ce sentiment étant renforcé par la possibilité de voir les ennemis sur la carte : bien que les combats ne posent pas de problème particulier, les adversaires étaient très nombreux et difficiles à éviter, ce qui provoquait une lourdeur pénible.

Pas un mauvais jeu, au final, mais qui ne m’a pas marqué.

7th Dragon nds

anhhoi

le 05/08/2014
Edité le 04/10/2014

Le jeu n’étant jamais sorti hors du Japon, j’ai pu découvrir 7th Dragon grâce à sa traduction bénévole.
Le Game Designer d’Etrian Odyssey a participé à son élaboration.

Il y a sans doute un petit côté Etrian en effet.
Je pense notamment à la création d’une guilde, avec des classes un peu semblables (par contre l’équipe ne peut regrouper que quatre combattants en même temps, contre cinq dans Etrian Odyssey). L’évolution des personnages se fait de la même manière, avec répartition stratégique des précieux points de compétences octroyés à chaque montée de niveau.
De même, il est nécessaire de vendre les objets lâchés par les ennemis ou les produits de récoltes afin de débloquer les nouvelles armes et armures disponibles en magasins.
Lors des phases d’exploration, on retrouvera l’équivalent des F.O.E d’Etrian Odyssey, ces ennemis (sur?)puissants (les dragons, ici) signalés sur la carte et qui ont le pouvoir de s’incruster dans les combats déjà lancés.

Des quêtes peuvent être débloquées en parlant aux habitants (pas plus de trois quêtes en même temps, ce qui s’avère très vite trop restreint, sachant que certaines ne peuvent pas être réalisées avant d’avoir bien avancé dans l’aventure bien qu’elles soient déjà disponibles), quêtes qui ont beaucoup d’importance pour certaines puisqu’elles permettront parfois de débloquer des compétences spéciales nécessaires à l’avancée (je n’en dit pas plus pour garder la surprise).

7th Dragon évoque dans sa réalisation les bons vieux rpg japonais à l’ancienne (la créatrice de la saga Phantasy Star a d’ailleurs participé aussi au jeu), avec une vue de haut dans les villages et ennemis « immobiles » à l’écran lors des phases de combats.
J’ai été un peu déçu par les musiques, souvent assez quelconques je trouve, ce qui est décevant de la part de Yuzo Koshiro l’auteur des musiques de Street of Rage et The Revenge of Shinobi.

Le jeu est assez exigeant de par sa difficulté (combats aléatoires nombreux, impossibilité de sauvegarder sur la carte du monde, lieux infestés de plantes empoisonnées qui font baisser la barre de vie à vitesse grand V lorsqu’on marche dessus (sauf à utiliser une compétence limitant voir annulant les dégâts)).

L’histoire n’est pas follement originale mais bon, comme on dit, ça se suit, car le système de jeu est assez agréable.
Néanmoins la mécanique de jeu pourra sans doute lasser et sembler répétitive : arpenter des donjons en cherchant la carte et en essayant chaque fois de vaincre tous les dragons du lieu pour nettoyer la zone des fleurs empoisonnées.
Pour ma part j’ai trouvé le jeu plutôt accrocheur, la quête principale ainsi que les petites quêtes anexes.

J’ai très vite arrêté le « post-game » une fois le jeu achevé car il consistait en des combats incessants et assez costauds.
Le jeu n’étant jamais sorti hors du Japon, j’ai pu découvrir 7th Dragon grâce à sa traduction bénévole.
Le Game Designer d’Etrian Odyssey a participé à son élaboration.

Il y a sans doute un petit côté Etrian en effet.
Je pense notamment à la création d’une guilde, avec des classes un peu semblables (par contre l’équipe ne peut regrouper que quatre combattants en même temps, contre cinq dans Etrian Odyssey). L’évolution des personnages se fait de la même manière, avec répartition stratégique des précieux points de compétences octroyés à chaque montée de niveau.
De même, il est nécessaire de vendre les objets lâchés par les ennemis ou les produits de récoltes afin de débloquer les nouvelles armes et armures disponibles en magasins.
Lors des phases d’exploration, on retrouvera l’équivalent des F.O.E d’Etrian Odyssey, ces ennemis (sur?)puissants (les dragons, ici) signalés sur la carte et qui ont le pouvoir de s’incruster dans les combats déjà lancés.

Des quêtes peuvent être débloquées en parlant aux habitants (pas plus de trois quêtes en même temps, ce qui s’avère très vite trop restreint, sachant que certaines ne peuvent pas être réalisées avant d’avoir bien avancé dans l’aventure bien qu’elles soient déjà disponibles), quêtes qui ont beaucoup d’importance pour certaines puisqu’elles permettront parfois de débloquer des compétences spéciales nécessaires à l’avancée (je n’en dit pas plus pour garder la surprise).

7th Dragon évoque dans sa réalisation les bons vieux rpg japonais à l’ancienne (la créatrice de la saga Phantasy Star a d’ailleurs participé aussi au jeu), avec une vue de haut dans les villages et ennemis « immobiles » à l’écran lors des phases de combats.
J’ai été un peu déçu par les musiques, souvent assez quelconques je trouve, ce qui est décevant de la part de Yuzo Koshiro l’auteur des musiques de Street of Rage et The Revenge of Shinobi.

Le jeu est assez exigeant de par sa difficulté (combats aléatoires nombreux, impossibilité de sauvegarder sur la carte du monde, lieux infestés de plantes empoisonnées qui font baisser la barre de vie à vitesse grand V lorsqu’on marche dessus (sauf à utiliser une compétence limitant voir annulant les dégâts)).

L’histoire n’est pas follement originale mais bon, comme on dit, ça se suit, car le système de jeu est assez agréable.
Néanmoins la mécanique de jeu pourra sans doute lasser et sembler répétitive : arpenter des donjons en cherchant la carte et en essayant chaque fois de vaincre tous les dragons du lieu pour nettoyer la zone des fleurs empoisonnées.
Pour ma part j’ai trouvé le jeu plutôt accrocheur, la quête principale ainsi que les petites quêtes anexes.

J’ai très vite arrêté le « post-game » une fois le jeu achevé car il consistait en des combats incessants et assez costauds.

Golden Sun: Obscure Aurore nds

anhhoi

le 11/01/2013
Edité le 15/01/2014
6_5

J'ai trouvé que le jeu se laisse plutôt bien jouer, en dépit de personnages pas vraiment géniaux et assez niais et d'une histoire qui ne vole pas très haut.
Mais voilà, une fois terminé, je l'ai vite oublié (et je n'attend pas la suite avec impatience).

Sands of Destruction nds

anhhoi

le 11/01/2013

Un jeu aux défauts évidents mais qui me laisse pourtant un bon souvenir, notamment au niveau des musiques et des personnages.
Mais j'attendais plus du scénario, qui démarrait pourtant bien. Et un système de combat qui ne m'a pas tout à fait convaincu.

Dragon Quest IX: Sentinel of the Starry Skies nds

anhhoi

le 11/01/2013
Edité le 11/01/2013

Si ce n'est pas mon épisode préféré de la saga, j'ai malgré tout accroché au système de jeu, même si certaines classes sont d'une utilité un peu douteuse (j'ai souvent monté des classes uniquement pour récupérer des points à répartir ailleurs).
Je n'ai pas eu la chance de partager ce jeu en multijoueurs (sans doute que l'expérience aurait été agréable) et je regrette que le scénario ne soit pas plus poussé (même si c'est toujours plutôt classique dans cette série).
Mais j'ai pris plaisir à monter ma petite équipe, à la bichonner, la faire progresser, et m'amuser à la fin à parcourir des donjons bonus et affronter des boss cachés.
Du classique mais pas désagréable.

PS: Mon gros regret: la fermeture de la VPC et donc l'impossibilité à présent de se procurer des objets rares et uniques que l'on pouvait télécharger quotidiennement dans le passé

Radiant Historia nds

anhhoi

le 11/01/2013
Edité le 11/01/2013

Une des expériences sur DS qui me laisse le meilleur souvenir avec Infinite Space.
L'histoire et les musiques m'ont emporté avec plaisir, du début à la fin.
Sans doute que le jeu avait le potentiel pour être "encore plus" (monde plus vaste, plus de variété, meilleure mise en scène), mais je me contente déjà très bien de tout cela.

Dragon Quest VI nds

anhhoi

le 03/05/2012
Edité le 02/07/2014
7_5

C'est le dernier Dragon Quest qu'il me restait à faire (en oubliant le 2 et le 3 auxquels je n'ai pas prévu de jouer), même si je l'avais déjà terminé il y a un moment dans une version plus ou moins traduite.

Un jeu classique mais que j'ai trouvé plaisant avec son système de classes, bien que la limite de niveau imposée dans les premières heures pour gagner des points de classe m'a un peu gené.

Pas grand chose à dire par rapport au reste, sauf qu'en effet le scénario ne vole pas bien haut ce qui pourra en rebuter quelques uns.

Infinite Space nds

anhhoi

le 16/04/2010
Edité le 23/04/2010

Infinite Space est un jeu assez ambitieux sur DS, qui m'a véritablement enthousiasmé même s'il présente malgré tout certains défauts.

Parmi ceux-ci, on notera l'absence de "carnet de bord" qui aurait permis de récapituler les objectifs et de se remémorer l'histoire (dense). Je me suis souvent trouvé perdu (mais jamais bien longtemps) à ne pas savoir où me rendre avant de trouver enfin le lieu précis permettant de débloquer la suite.

Les menus paraitront peut-être austères poour certains et les combats en temps réel ne seront sans doute pas du goût de tout le monde.

Pour ma part, je me suis trouvé plongé dans une aventure épique et, le style de narration aidant, j'ai eu l'impression de vive un roman de science-fiction, emporté par l'histoire. Un récit divisé en deux actes bien distincts (je n'en dirais pas plus) découpés en chapitres. Le ton est plutôt sérieux, adulte, malgré quelques touches d'humour.

Le jeu propose à plusieurs reprises des embranchements scénaristiques, nous imposant de prendre partie dans des conflits et de choisir un "camp" pour résoudre une situation particulière, ce qui renforce le "replay value".

Même si Infinite Space est très différents de Suikoden (et de loin), je n'ai pu m'empêcher de penser à ce dernier, d'une part parce que l'on sera amené à recruter de nombreuses troupes aux quatre coins de l'espace. Aussi pour les nombreuses intrigues politiques. Et enfin pour les combats de mêlée basés sur le principe pierre-feuille-ciseaux. Mais la comparaison s'arrête là.

Les membres de l'équipage recrutés se verront assigner une fonction dans le vaisseau principal (la flotte pouvant à la fin compter 5 vaisseaux), un métier, qu'il s'agisse par exemple du pilotage, de l'artillerie, le secteur recherche et développement pour faire évoluer le vaisseau, les médecins, etc. Les personnages ainsi en poste gagneront des niveaux au fur et à mesure des combats et renforceront ainsi leurs compétences.

De même je me suis régalé à prendre le temps de bricoler mes vaisseaux, en ajoutant/retirant des modules achetés en magasin, organisant ensuite les blocs à la manière d'un Tetris, selon la place disponible, permettant de modifier les capacités.

Le jeu propose deux types de combats: les affrontements de vaisseaux, les plus courants, et aussi des combats au sol, lors de l'attaque de bases ou lorsqu'un vaisseau en intercepte un autre.
Si les musiques renforcent parfaitement le côté épique et accompagnent parfaitement les évènements, elles auraient mérité d'être un peu plus nombreuses, vu que l'aventure est longue.
Des images sympathiques viennent ponctuer les moments importants de l'histoire, comme un livre illustré.

J'ai pris beaucoup de plaisir au cours de cette longue aventure et ce jeu constitue une de mes meilleures expérience sur DS malgré des réserves sur certains points.
Sans doute qu'Infinite Space ne s'adresse pas au grand public, de par son austérité, sa compléxité, la non traduction en français, et sa difficulté assez élevée (principalement dans le premier acte, ensuite ça va tout seul je trouve). Peut-être plaira t-il surtout au "vieux joueurs" tel que moi, puisque j'ai en effet retrouvé quelques anciens plaisir de jeu avec ce titre.
Un jeu qu'il faut prendre le temps de s'approprier, parce que le plaisir vient sur le long terme, venant récompenser l'investissement qu'on y consacre.
Infinite Space est un jeu assez ambitieux sur DS, qui m'a véritablement enthousiasmé même s'il présente malgré tout certains défauts.

Parmi ceux-ci, on notera l'absence de "carnet de bord" qui aurait permis de récapituler les objectifs et de se remémorer l'histoire (dense). Je me suis souvent trouvé perdu (mais jamais bien longtemps) à ne pas savoir où me rendre avant de trouver enfin le lieu précis permettant de débloquer la suite.

Les menus paraitront peut-être austères poour certains et les combats en temps réel ne seront sans doute pas du goût de tout le monde.

Pour ma part, je me suis trouvé plongé dans une aventure épique et, le style de narration aidant, j'ai eu l'impression de vive un roman de science-fiction, emporté par l'histoire. Un récit divisé en deux actes bien distincts (je n'en dirais pas plus) découpés en chapitres. Le ton est plutôt sérieux, adulte, malgré quelques touches d'humour.

Le jeu propose à plusieurs reprises des embranchements scénaristiques, nous imposant de prendre partie dans des conflits et de choisir un "camp" pour résoudre une situation particulière, ce qui renforce le "replay value".

Même si Infinite Space est très différents de Suikoden (et de loin), je n'ai pu m'empêcher de penser à ce dernier, d'une part parce que l'on sera amené à recruter de nombreuses troupes aux quatre coins de l'espace. Aussi pour les nombreuses intrigues politiques. Et enfin pour les combats de mêlée basés sur le principe pierre-feuille-ciseaux. Mais la comparaison s'arrête là.

Les membres de l'équipage recrutés se verront assigner une fonction dans le vaisseau principal (la flotte pouvant à la fin compter 5 vaisseaux), un métier, qu'il s'agisse par exemple du pilotage, de l'artillerie, le secteur recherche et développement pour faire évoluer le vaisseau, les médecins, etc. Les personnages ainsi en poste gagneront des niveaux au fur et à mesure des combats et renforceront ainsi leurs compétences.

De même je me suis régalé à prendre le temps de bricoler mes vaisseaux, en ajoutant/retirant des modules achetés en magasin, organisant ensuite les blocs à la manière d'un Tetris, selon la place disponible, permettant de modifier les capacités.

Le jeu propose deux types de combats: les affrontements de vaisseaux, les plus courants, et aussi des combats au sol, lors de l'attaque de bases ou lorsqu'un vaisseau en intercepte un autre.
Si les musiques renforcent parfaitement le côté épique et accompagnent parfaitement les évènements, elles auraient mérité d'être un peu plus nombreuses, vu que l'aventure est longue.
Des images sympathiques viennent ponctuer les moments importants de l'histoire, comme un livre illustré.

J'ai pris beaucoup de plaisir au cours de cette longue aventure et ce jeu constitue une de mes meilleures expérience sur DS malgré des réserves sur certains points.
Sans doute qu'Infinite Space ne s'adresse pas au grand public, de par son austérité, sa compléxité, la non traduction en français, et sa difficulté assez élevée (principalement dans le premier acte, ensuite ça va tout seul je trouve). Peut-être plaira t-il surtout au "vieux joueurs" tel que moi, puisque j'ai en effet retrouvé quelques anciens plaisir de jeu avec ce titre.
Un jeu qu'il faut prendre le temps de s'approprier, parce que le plaisir vient sur le long terme, venant récompenser l'investissement qu'on y consacre.

Atelier Annie ~Alchemists of Sera Island~ nds

anhhoi

le 18/12/2009

Atelier Annie (mon premier véritable Atelier, après Mana Khemia) est un petit jeu bien sympathique, coloré et amusant.

Pas d'histoire torturée ici, mais une aventure fraîche avec des personnages attachants et des dialogues ((trop?) nombreux) qui m'ont parfois beaucoup fait rire.

J'ai regretté que le temps soit aussi limité et passe si vite, même lorsqu'on se contente de réaliser une recette. Il y a quand même beaucoup de choses à faire (notamment avec la gestion des différents "commerces"), et le temps m'a paru précieux.
Dommage aussi qu'il n'y ait aucune exploration, chaque carte à visiter se contentant d'un seul écran où il est possible de récolter les ingrédients et éventuellement de déclencher un combat.
Pour les défauts, je terminerai par le système de traits qui ne m'a pas convancu. Je préférais le système d'alchimie de Mana Khemia. J'ai d'ailleurs enragé de ne pouvoir obtenir la dernière médaille d'or en raison d'un dialogue raté et d'un trait qui m'est passé sous le nez et impossible à obtenir ensuite.

Je me suis bien amusé malgré tout, même si je doute de me lancer dans un New Game +.

Phantasy Star Ø nds

anhhoi

le 13/12/2009
Edité le 16/12/2009

J'ai trouvé ce Phantasy Star assez moyen, bien qu'il se laisse jouer malgré tout (je l'ai pratiqué en multijoueurs).

Techniquement il tient la route, avec des graphismes plutôt sympas et certains boss (peu) parfois de belle taille.

Les musiques ne m'ont pas enthousiasmé, et j'ai regretté que les quêtes de guilde ne proposent finalement que de refaire chaque fois le même boss dans chaque monde visité; j'aurai aimé un peu plus de variété et de nouveaux adversaires.

J'ai apprécié la possibilité d'utiliser le stylet pour griffoner des bétises aux coéquipiers.

L'histoire n'est pas terrible à mon goût, repompant un peu sur feu Phantasy Star 2.

J'aurais aimé un peu plus de choix dans l'aspect physique du personnage lors de sa création.

Un jeu pas forcément désagréable à plusieurs, assez prenant au départ (on cherche à trouver les meilleurs équipements au fil de l'exploration) mais assez vite répétitif dans son principe (comme Phantasy Star Online que j'ai pourtant préféré).

Nostalgia

anhhoi

le 05/11/2009
Edité le 06/11/2009

J'ai trouvé que Nostalgia était un petit jeu sympathique, pour peu qu'on n'attende pas de lui d'être à la hauteur de Skies of Arcadia, dont il s'inspire énormément.
Même s'il ne s'agit pas ici de pirates, on part à la découverte du monde et de ses trésors à bord d'un vaisseau, emporté par le souffle de l'aventure.
Ici aussi on alterne des combats au sol et des affrontements aériens (moins réussis ici, plus classiques). On garde la possibilité de renforcer la puissance de l'aéronef en achetant des armures et équipements.

L'histoire se déroule dans une ambiance XIXème, mais les villes visitées sont des modèles réduits. Ainsi par exemple, Londre est constituée de trois malheureux bouts de rues, ce qui m'a un peu surpris au départ. Je me suis étonné aussi de ne pas voir apparaître Paris ou une quelconque ville en France, outre un petit village imaginaire.

J'ai trouvé le jeu assez classique, avec des combats plutôt soporifiques et un peu mous, et des héros assez clichés et niais. S'agissant des combats d'ailleurs, les notes données lorsqu'ils s'achèvent m'ont parfois laissé dubitatif quant à leur calcul (j'obtenais quelquefois de piètres notes alors qu'il me semblait avoir bien combattu).

Malgré ces critiques, on prend malgré tout un certain plaisir à parcourir le monde, à compléter les quêtes annexes et remplir son notebook, améliorant au fur et à mesure son pourcentage de découvertes.
Les donjons sont bien réalisés à mon goût, ni trop longs ni prise de tête.
L'histoire se laisse suivre même si elle inspire un sentiment de déjà vu.

Bien qu'il ne révolutionne pas le genre, Nostalgia n'en reste pas moins plutôt sympa à jouer, même si j'attendais mieux de ce titre.

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